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18 mai 2004

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21 mai 2004

et encore...

27 mai 2004

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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent 27 mai 2004

(patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Hello again....  TetezamitaKely  Communique sur MadaVôvö

sur le site d'ANIMATION ARR ...RRRRR ! 

http://a.ratsimbarajohn.free.fr/

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Sommaire Madavôvô:

1. La visite du président sénégalais, Abdoulaye Wade, à Madagascar (Madagate)

2. L’Euro à 13 000 FMG…   LA HAUSSE GENERALISEE S’INSTALLE (Midi Mada)

3. Norbert Ratsirahonana à Jacques Sylla : "L’histoire établira la vérité !" (Wanadoo.mg)

4. "Ratsiraka n’a pas à reconnaître Ravalomanana", dixit Abdoulaye Wade  (Wanadoo.mg)

5. Raharaham-pirenena : nokianin’ny Filoha Senegaley mafy ry Pr Zafy, Crn, Arema   (Wanadoo.mg)

6. No Comment.... No Comment...

7. MONDIAL PUPILLES: Les malgaches sont tombés en 1/8 de finale.( Madamaki)

8. Dina Rajohns, 24 ans, est pasteur de l'Eglise réformée de France à Cognac et Segonzac. (Sud Ouest)

9. MADAGASCAR DEPUIS 2002 L’AREMA VIDE SON SAC SUR LE FOND ET LA FORME (Express mada)

10. COMMENT FAIRE POUR AVOIR DES PLANTS DE RIZ QUI CROISSENT MIEUX ... (Nosintsika)

COURS DES CHANGES

    EURO(cmax) 12 300 FMG 
    EURO(cmin) 11 800 FMG 
    EURO(cmp) 12 058 FMG 
    USD 10 070,573 FMG 
    GBP 17 824,095 FMG 
    CHF 7 850,005 FMG 
    JPY 88,90 FMG 
    ZAR 1 482,173 FMG 
    HKD 1 289,41 FMG

Madagate  26 mai 2004

La visite du président sénégalais, Abdoulaye Wade, à Madagascar

Escale technique ou mission politique ? 
La visite du président sénégalais, Abdoulaye Wade, à Madagascar, a été annoncée comme une simple escale technique, mais n’empêche qu’il a quand même passé deux jours au pays. Deux jours à l’image d’une véritable visite officielle, et pendant lesquels il s’est entretenu avec les plus responsables du pouvoir dont, notamment, son homologue malgache, Marc Ravalomanana qui l’a raccompagné à l’aéroport international d’Ivato, samedi dernier, avant son embarquement pour le Mozambique où doit se tenir une réunion du NEPAD. Une réunion à laquelle M. Ravalomanana n’est pas invité… Mais avant d’embarquer, Abdoulaye Wade a donné une conférence de presse d’une quinzaine de minutes, où il a plutôt réitéré ses propos de la veille, lors du dîner officiel au palais d’Ambohitsorohitra. A cette occasion, le président sénégalais avait indiqué qu’il est venu pour voir l’avancée des changements intervenus au pays (pourquoi ?), depuis l’investiture du nouveau pouvoir présidé par Marc Ravalomanana, et pour raffermir la coopération bilatérale dans le cadre du développement des échanges commerciaux et d’expériences. Jusqu’à preuve du contraire, Madagascar n’entretient pas de relations économiques avec le Sénégal. 

En tout cas, il a annoncé la prochaine mise en place d’une commission mixte qui doit préparer un projet de réglementation des importations et exportations entre les deux pays... « Car, fait-il remarquer, le plus important pour nous autres pays en développement, est de renforcer ces échanges qui permettent de gagner beaucoup de temps… ». 
Le président Wade a affirmé avoir constaté beaucoup de changements dans l’île, entre autres, la restauration de la paix sur l’ensemble du territoire. A une question relative à son rôle, lors des fameuses rencontres de Dakar en 2002, Abdoulaye Wade s’est ainsi expliqué : « Je me suis assigné une mission de médiation entre les deux camps, mais je savais déjà que Marc Ravalomanana allait être élu président de la République… ». Néanmoins, M. Wade qui, à l’époque, avait réussi à mettre autour de lui, sur la même table, les deux présidents Didier Ratsiraka et Marc Ravalomanana, lesquels se sont serré la main à l’issue des négociations, indique maintenant qu’il n’a plus la possibilité de refaire ce qu’il avait entrepris, pour la simple raison qu’il n’a pas été saisi, ni par Ratsiraka ni par Ravalomanana, à cet effet. Le fait est que Didier Ratsiraka ne reconnaît toujours pas le pouvoir Ravalomanana. Mais Abdoulaye Wade s’empresse de préciser : « Le président Ravalomanana a surtout besoin d’être reconnu par la majorité des Malgaches. Je pense que Ratsiraka doit aussi reconnaître cette souveraineté populaire. Et un président élu ne doit pas négocier sa reconnaissance… » 
Rappel à l’ordre ? 
A propos du véritable objet de cette visite du président sénégalais dans la Grande Ile, beaucoup d’observateurs chuchotent qu’il serait venu pour une toute autre chose. Car si c’était vraiment une escale technique, cela n’aurait pas duré 48 heures. 
Initiateur des fameux accords de Dakar en 2002, Abdoulaye Wade estime, paraît-il, que lesdits accords ne sont toujours pas appliqués. Certains pensent que la mission qu’il vient d’effectuer à Antananarivo, a plutôt porté sur une sorte de rappel à l’ordre des tenants actuels du pouvoir, notamment pour faire respecter ces accords de Dakar. La présence, vendredi dernier à Ambohitsorohitra, de tous les autres chefs d’institution et des chefs politiques qui avaient pris part à ces négociations de Dakar, n’est pas fortuite. On pense même que c’était une exigence particulière d’Abdoulaye Wade qui a tenu à leur rappeler les enjeux de ces accords, et surtout les engagements qui ont été signés par les parties concernées. 
Si tel était alors l’objet de cette visite, on attend maintenant la réponse du pouvoir, surtout en ce qui concerne le processus de la réconciliation nationale et la mise en place d’un gouvernement d’union nationale, qui constituent les deux points forts de ces accords de Dakar. 
Miadana Andriamaro - Source La Gazette de la Grande Ile 


Midi Mada  25 mai 2004

L’Euro à 13 000 FMG…   LA HAUSSE GENERALISEE S’INSTALLE
Si l’on pensait, il y a quelques mois, que le FMG n’irait plus en dessous de la barre des 12 000, actuellement ce seuil constitue le meilleur niveau atteint par la monnaie nationale. Quand le FMG avait franchi effectivement la barre des 12 000, c’est-à-dire qu’un euro s’échangeait contre 12 000 FMG, un banquier n’avait pas caché son inquiétude et avançait que ce record pourrait devenir le cours minimum dans quelques semaines. 
Didier Rambelo
Actuellement, cette prédiction semble être vérifiée. A la clôture de la séance du MID (Marché Interbancaire des Devises) hier, la monnaie nationale a réalisée malheureusement un nouveau triste record. L’euro s’achetant à 13 005 FMG (cours maximum) et le cours minimum était 1/12 000. La mésaventure du FMG sur le MID, qui avait commencé depuis la fin de l’année 2003 a entraîné le quotidien de la population dans une série de hausses de prix. 
L’Instat (Institut National de la Statistique) révèle que les prix à la consommation ont augmenté de 2,9% entre le mois de mars et le mois d’avril 2004. Le taux de variation des prix paraît si faible aux yeux des profanes mais les statisticiens affirment que cette hausse des prix de 2,9% est loin d’être négligeable. Les techniciens révèlent également que la tendance haussière s’était généralisée au mois d’avril. 
Impuissantes 
Ce n’est plus une surprise pour les opérateurs économiques d’apprendre que le FMG se déprécie de nouveau face à l’euro ou le dollar américain mais les choses ont semblé aller très vite ces derniers jours. Au début de la semaine dernière, les opérateurs échangeaient encore l’euro contre 12 000 FMG (cours maximum) ; à la fin de la même semaine (vendredi), la même devise s’achetait à 12 500 FMG et hier, le pire est arrivé à la monnaie nationale. Il faut désormais 13 005 FMG pour pouvoir posséder une unité d’euro. Parallèlement, le billet vert ne ménage pas non plus le franc malagasy. Le dollar coûtait hier 10 315 FMG. 
Face à ce spectacle désolant, les opérateurs économiques déplorent le fait que les autorités monétaires de la place semblent être impuissantes à stopper l’hémorragie. « Il s’avère confirmé que les mesures prises au mois d’avril par la Banque Centrale n’ont rien apporté de bien à la situation du FMG », devait déclarer un importateur las de perdre au change à chacune de ses transactions. Et de poursuivre « Pis, la monnaie nationale continue de se déprécier ». 
Flou total
Mais avant de pouvoir soigner la patiente (notre monnaie), il faut d’abord savoir de quel mal elle souffre. Mais là encore, les opérateurs mettent sur la sellette nos financiers. Pour ces acteurs économiques, aucune information ne leur est parvenue de la part des autorités monétaires alors que l’on prône actuellement le principe de 3P, à part la décision du mois d’avril. « A quoi jouent nos financiers ? » se demandent-ils et de continuer : « La seule réponse que l’on a pu avoir : Tout va bien ». « C’est le flou total »,concluent-ils. 
Par ailleurs, force est de constater que devant cette crise monétaire, le marché parallèle de devises semble gagner du terrain. Les taux pratiqués par ces opérateurs informels sont nettement avantageux par rapport à ceux des banques primaires et ce, à l’achat comme à la vente. Etonnant également le fait qu’il est facile de trouver sur le marché noir une quantité de devises déterminée. Il suffit d’annoncer combien on veut échanger. Mais l’on est amené à se demander d’où viennent ces devises échangées sur les marchés parallèles. Qui en sont les fournisseurs ? Voilà encore un point noir qui nécessite un éclaircissement. 
Inhabituelle 
Mais cette longue, trop longue dépréciation de la monnaie nationale face à l’euro d’abord, puis par rapport au dollar plus tard, s’était accompagnée d’une vague inflationniste. Les résultats de l’enquête périodique de l’Instat, intitulée Nouveaux Indices des Prix à la consommation, dans son édition du mois de mai, indiquant les évolutions des prix au cours du mois d’avril, indiquent que le coût de la vie s’était renchéri de 2,9% entre les mois de mars et avril 2004. Selon les techniciens, la plus forte hausse a été observée dans la province de Toamasina avec un taux de 5,2% et la plus faible à Fianarantsoa avec un taux de 0,2%. Les statisticiens, dans leur étude, mentionnent que les prix à la consommation ont augmenté de 6,5% depuis le début de l’année ; c’est-à-dire entre le mois de décembre 2003 et le mois d’avril 2004. 
Selon toujours les explications des statisticiens, les variations des prix observées au cours du mois d’avril sont inhabituelles. Les tendances observées durant les années précédentes semblent s’inverser. En effet, ils notent que à cette époque de l’année par exemple, le prix du riz devrait en moyenne baisser de 5% alors que celui-ci a connu au contraire une augmentation de 6,6% le mois dernier.
Généralisée 
En fonction des articles, l’Instat révèle que la hausse est généralisée et que les produits alimentaires se trouvent en tête de peloton avec une augmentation de l’ordre de 4,6% entre mars et avril 2004. A noter que ces denrées ont contribué à hauteur de 73,9% de la hausse globale. Les prix des transports ont suivi la même tendance durant la période étudiée avec un taux de 2,9%. Les variations des prix du carburant sont passées par là. A noter également que les PPN ont renchéri de 4,2% en avril. Une approche par origine a permis de constater que les produits locaux et ceux d’importations ont tous vu leurs prix monter. 
Si au mois d’avril, les prix à la consommation ont connu une hausse de 2,9%, les statisticiens dans leurs prévisions avancent que la tendance haussière persistera mais l’ampleur devrait être moindre que celle du mois d’avril. 


Wanadoo.mg 25 mai 2004

Norbert Ratsirahonana à Jacques Sylla : "L’histoire établira la vérité !"
"Vous n’aviez pas fait mieux du temps où vous étiez au gouvernement ». L’actuel locataire de Mahazoarivo devait répondre en ces termes au député Reboza Julien qui a exprimé un AVIs pas toujours positif, lors du face-à-face entre l’Exécutif et le Législatif à Tsimbazaza. 
A cette plaidoirie de Me Jacques Sylla en faveur de son équipe, celui qui fut commissaire de la loi – l’équivalent du Procureur général au niveau de la Chambre administrative de la Cour Suprême - ne veut pas apporter la réplique, même si l’ancien PM Norbert Ratsirahonana est indirectement visé par les « conclusions » de l’avocat. 
« Ce n’est pas la peine d’envenimer les choses. Je préfère me taire pour que cela ne prenne pas une autre tournure », concède le chef de l’AVI. Sans pour autant se désolidariser de son ancien ministre et député élu à Amboasary-Sud qui s’est permis de lancer en direction du gouvernement, des épines dont les cactus et les ronces de la région pauvre de son Androy natal en sont …riches. « L’histoire établira la vérité », déclare Norbert Ratsirahonana qui ne veut pas, pour le moment, s’exprimer sur ce qu’il reconnaît lui-même comme étant des « sujets brûlants d’actualité ». Faisant sienne, la réponse classique « il y a un temps pour parler, il y a un autre pour se taire », l’homme a choisi pour le moment de se taire et dont ne veut pas en parler. 
« Difficultés » 
« C’est déjà assez difficile comme ça », explique-t-il. En faisant allusion à la situation politique, mais aussi économique et financière. « Je ne vais pas en rajouter. Il y a assez de difficultés actuellement », lâche celui qui ne jure que par « le asa vita no hifampitsarana » et qui préfère pour l’instant observer. Jusqu’à quand ? « On verra », rétorque-t-il, évasivement. Pour être par contre plus précis quand il s’agit de l’AVI, un parti qui n’a jamais tenu de congrès national depuis sa création en 1997. 
« Nous avions profité du dernier séminaire de tous les maires à Tana, pour tenir en marge des travaux d’Iavoloha, une réunion entre les responsables du parti et nos élus », rappelle-t-il. En mentionnant au passage que « l’AVI compte à peu près 260 maires, quelques milliers de conseillers, 20 députés et 3 sénateurs ». Des édiles qui jouent le rôle de courroie de transmission entre les organes du parti et la base qui les a élus. 
Solidaires 
« La vie d’un parti ne se limite pas à moult réunions et discussions. La participation aux élections s’avère fondamentale. Qu’il fasse cavalier seul ou noue des alliances avec d’autres formations, un parti doit se soumettre au verdict des urnes, à moins qu’il n’ait opté pour un boycott ». A son corps défendant d’égratigner les autres membres de la classe politique, Norbert Ratsirahonana, car cette mise au point est de lui, de faire remarquer, que « certains partis demeurent introuvables, au moment des élections ». Alors que la participation aux élections est, ajoute-t-il, synonyme de participation à la direction des affaires publiques, que ce soit au niveau local ou à l’échelle nationale. Il, c’est évidemment Norbert Ratsirahonana qui réitère que « nous sommes dans le pouvoir même si nous n’avons qu’un seul ministre au gouvernement. Tant qu’il est là, nous restons solidaires du pouvoir ». Est-ce à dire que l’AVI pourrait basculer s’il n’était plus représenté au gouvernement ? « Nous pourrions toujours être avec le régime, puisque nous soutenons le Président de la République, mais cela ne voudra pas dire que nous roulerions pour le gouvernement », nuance-t-il. 
Mandat 
De toute façon, quand bien même il serait dans le gouvernement, « l’AVI reste vigilant et ne ménage ni ses critiques ni ses conseils qui s’adressent directement aux responsables ». C’est dans cet esprit qu’il situe les récentes interventions des députés AVI à Tsimbazaza. « Ce n’est pas parce que le Premier ministre rabroue nos élus que ces derniers ne vont pas remplir le mandat pour lequel le peuple les a élus », a fait savoir le président national de l’AVI et non moins co-président du Firaisankinam-pirenena. Où en est actuellement cette plate-forme regroupant le TIM, l’AVI et le RPSD ? « L’avenir le dira. Si cela ne dépendait que de nous, l’existence du Firaisankinam-pirenena ne serait pas un problème. De toute manière, qu’il existe ou pas, nous restons fidèles à nos principes », répond Norbert Ratsirahonana qui avoue avoir rencontré pour la dernière fois Marson Evariste, à Ouagadougou et en Libye, lors du déplacement du Président Marc Ravalomanana avec qui ils ont pu, pour l’occasion, s’entretenir. « Mais il n’était pas question du Firaisankinam-pirenena dont les 3 co-présidents ne se sont pas rencontrés depuis longtemps », s’empresse-t-il de souligner. 
« Mpisolelaka » 
Le chef de l’AVI et/ou l’ambassadeur itinérant a-t-il rencontré le président sénégalais Abdoulaye Wade lors de son bref passage à Tana ? « J’étais présent au dîner offert par le Président de la République en son honneur, mais je n’ai pas sollicité un entretien particulier avec lui. Je n’avais aucune raison de le rencontrer, sauf si le Président de la République avait estimé que je devais m’entretenir avec son illustre hôte dont il est l’interlocuteur privilégié ». Autrement, Norbert Lala Ratsirahonana, fût-il négociateur actif des accords de Dakar, ne voyait pas de motif pour rencontrer Wade. « Je ne suis pas du genre « mpisolelaka ». Je ne fonctionne pas comme ça », a fait savoir l’ancien PM qui refuse pour l’instant de dire si ça fonctionne ou si ça ne fonctionne pas. Il réserve son AVIs. 
Propos recueillis par R. O. 
©Midi-Madagasikara 
"Ratsiraka n’a pas à reconnaître Ravalomanana", dixit Abdoulaye Wade
"Le Président Ravalomanana n’a pas besoin d’être reconnu par Ratsiraka", c’est en ces termes que le Président sénégalais Abdoulaye Wade s’est exprimé samedi dernier lors d’un point de presse qu’il a tenu avant son retour au pays. 
A lui de continuer que ce que l’ancien Président devrait faire, c’est de féliciter son successeur car il a obtenu des résultats majoritaires aux élections présidentielles de décembre 2001. Et ce, sans conditions. Mais cela signifierait que Didier Ratsiraka reconnaît sa défaite. Il ajoute que c’est seulement à partir de ce moment que tout peut être possible. Cela signifierait-il que les partisans de l’ancien régime pourraient disposer de l’indulgence des tenants du pouvoir actuel à cette condition? 
Le Président Wade a, par ailleurs, reconnu qu’il restait encore beaucoup à faire afin que Madagascar enclenche le levier de son développement. Mais ses propos étaient optimistes, parce que les conditions étaient effectivement réunies pour y arriver. Il a le soutien des bailleurs de fonds, tout comme il vient de bénéficier, à l’instar du Sénégal, de moyens financiers important en étant éligible au « Millenium Account Challenge ». Invitation a été lancée par le Chef d’Etat sénégalais à son homologue Ravalomanana à venir dans son pays et continuer ainsi les échanges d’expériences initiés entre eux. Au Président Ravalomanana de souligner que l’envergure d’Abdoulaye Wade aidant, nous pouvons encore escompter d’obtenir d’autres financements internationaux. 
Nirina R. 
©Midi-Madagasikara 
Raharaham-pirenena : nokianin’ny Filoha Senegaley mafy ry Pr Zafy, Crn, Arema
Efa tafiditra lalina ary maharaka akaiky ny fizotra sy ny fandehan’ny raharaham-pirenena eto amintsika mihitsy ny Filoha Senegaley Abdolaye Wade. Tsy nahagaga raha vaky vava tanteraka ny lehilahy nilaza nahitsy tamin’ny fony feno fitiavana antsika, fa fireneny faharoa i Madagasikara. 
Araka izay fanarahany sy fahafantarany ny zava-misy eto amain’ity fireneny faharoa ity izay, dia tsy nisalasala mihitsy ny tenany, nilaza fa fahendrena ho an’ireo izay tsy manaiky ny filoha Ravalomanana no mandinin-tena, satria izao tontolo izao aza efa nanaiky azy. Azo antoka araka izany, fa ny tariky ny Profesora zafy Albert, ny Crn, ary ny tomponandraikitra ambony Arema sasantsany, izay tsy mety mbola manaiky ny maha Filoham-pirenena an’Ing. Marc Ravalomanana no tian’ny filoha Snegeley ho pehana ao anatin’ity hafatra napetrany ity. 
Iza tokoa moa no tsy mahalala, fa saika mbola litania na tsianjery hatrany ao ambavan’izy ireo hatramin’izao, ny tsy fanekena izay tena safidim-bahoaka sy maha Filohan’ny Repoblika an’i Madagasikara an’Ing. Ravalomanana, ka rehefa sasatra niteny ny gasy mitovy aminy, dia ny vahiny, eny Filoham-pirenena Senegaley mihitsy no maneho an’izany, ary milaza aminy fa fahendrena ny mandinin-tena. Etsy anilan’izay kosa anefa, dia nambaran’ny Filoha Abdolay wade fa dingana lehibe tokoa no vitan’ny Malagasy. Na ny lalana 3000 kilaometra izay vitan’ny Filoha Ravalomanana hatramin’izao aza, dia navohitrany, fa tsy mbola vitany hatramin’izay nitondrany ny fireneny izay. Tsy misy firenena tsy misedra olana, hoy ny Filoha Abdolaye wade, fa hain’ny malagasy tsara ny niatrika izany, ka izay no nahatonga ny firenena any ivelany hanohana an’i Madagasikara.
Tsetsatsetra tsy aritra moa no ilazana, fa iray amin’ireo filoham-pirenena aty Afrika manana ny anjara toerany lehibe eo amin’ny sehatra iraisam-pirenena ny Filoha Abdolaye wade. Tsy mahagaga araka izany, raha manohana mafy ny Filoha Ravalomanana amin’izay hisian’ny fampandrosoana eto ny tenany, ka nipehany, na ny marimarina kokoa nananarany an’ireo mpanao politika gasy tsy manaiky ny maha ara-dalana ny Filoha Ravalomanana mba hanana fahendrena sy handin-tena. 
Andriambelomasina 
©Gazetiko 


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  (vu sur le site  www.rainizafimanga.com)

  "Les 'Grands' parlent d'idée

  les 'médiocres' parlent d'évènements

  les 'misérables' parlent contre les personnes..."


Madamaki   26 mai 2004

MONDIAL PUPILLES: Les malgaches sont tombés en 1/8 de finale. 
D'Ottawa à Tananarive en passant par Bagdad, cette 19 ème édition a livré comme chaque année son lot d'émotions et d'anecdotes. Super ambiance, c'était la phrase qui revenait dans toutes les bouches des habitués comme dans celles des petits nouveaux.
Les belges du RC Anderlecht victorieux en finale contre le RC Lens (2-0) gagnent le tournoi pour la 3ème fois.
Cette finale d'un bon niveau technique a vu la victoire logique d'Anderlecht, grâce à une meilleure maîtrise collective. Les buts ont été marqués en seconde mi-temps.

Outre l'aspect sportif les organisateurs sont ravis de cette édition qui, une fois de plus, a connu un vif succès populaire. De très nombreuses délégations et des jeunes footballeurs venant du monde entier ont assuré le spectacle sur les terrains de football de Combrit, Douarnenez, Gourlizon, Penmarc'h, Plogastel, Plomelin, Pluguffan et Primelin.
Quant à l’équipe malgache, ce week-end s’achevait dans une grande déception le parcours de notre équipe. Les jeunes Malgaches, malgré leurs superbes matchs en éliminatoire, sont tombés en huitième de finale face au FC Nantes (0-1). L’équipe d’Itaosy a fini 13ème en classement général sur 70 équipes venues du quatre coins du monde entier. 
Une grande déception au vu de la manière certes, mais peut-on réellement parler de désillusion pour une équipe au fond du trou à peine une semaine avant le début de cette 19e édition du Mondial Pupilles de Plomelin, et qui en sort la tête haute.
Jeannot Randroso


Journal Sud Ouest 21 mai 2004
RELIGION. -- Dina Rajohns, 24 ans, est pasteur de l'Eglise réformée de France à Cognac et Segonzac. Son parcours est atypique et brillant. Rencontre

Dina, gardienne du temple: Olivier Sarazin

En ce long week-end de l'Ascension, Cognac accueille le 97e synode de l'Eglise réformée de France. Pas moins de 230 protestants dont de nombreux invités étrangers s'interrogent sur la question des ministères. 
Dans quelles conditions les exerce-t-on ? Comment concilier vie ministérielle et vie privée ? Le pasteur connaît-il la solitude ? Quelle est sa place au sein du conseil presbytal ? Dans cette assemblée locale, est-il un chef, un exécutant ou un simple animateur ? 
Toutes ces questions vont passionner Dina Rajohns... 
Par curiosité intellectuelle. Dina a 24 ans, un sourire désarmant et une assurance rassurante. Voilà dix mois que cette jeune femme née à Madagascar est pasteur de l'Eglise réformée de France, en poste à Cognac et à Segonzac. Elle est très exactement « proposante », comme vingt autres personnes en France. Comprenez qu'elle débute. Que son engagement doit être validé par une Commission des ministères. 

« Je n'ai pas choisi ce métier par conversion ou par fulgurance. Ma famille a toujours été protestante. J'ai baigné dans cet univers. J'ai toujours eu la foi. En fait, j'ai choisi cette voie par curiosité intellectuelle, par volonté d'en savoir plus », dit-elle spontanément. 
Dina reçoit au presbytère, au nø 6 de la rue du Temple. Son temps est précieux. Son bureau donne sur un jardinet qu'il faudrait désherber et fleurir. Elle allume son ordinateur et répond à des courriels. Seules une Bible et des partitions nous indiquent que nous ne sommes pas chez une « executive woman ». 

Dina Rajohns : « Je n'ai pas choisi ce métier par conversion ou par fulgurance. Ma famille a toujours été protestante » 
PHOTO O. S.

Dina a un parcours atypique et brillant. Elle a décroché son bac très jeune, avant d'étudier le commerce et le marketing : deux matières qui l'intéressent toujours. 

Puis elle choisit la théologie, qu'elle étudie à l'université de Montpellier. Deug. Licence. Maîtrise. Doctorat. Puis l'arrivée à Cognac. Où elle est épaulée par le pasteur David Mitrani, qui prêche à Jarnac et à Châteauneuf... 
Témoignage : « J'ai été très bien accueillie par la communauté et je m'entends bien avec mon conseil presbytal. Je me souviens : mon premier culte fut très émouvant; ce n'était pas évident de prendre la parole en public. Certes, les paroissiens ne sont pas très nombreux une trentaine en moyenne mais ils sont en attente d'une parole. Ils ont une réelle qualité d'écoute. Vous savez, aujourd'hui, on ne vient plus au temple pour faire bien, pour briller socialement. Tout ça, c'est fini ! » 
Une femme pasteur ? Dans le Cognaçais, où vivent 400 familles protestantes, cela n'a ému quasiment personne. On sait que l'Eglise réformée de France compte 79 femmes parmi ses 373 pasteurs en poste dans une église locale... 
Seule la jeunesse de Dina a peut-être pu surprendre. « J'ai pensé que la théologie s'étudiait tôt », répond-elle humblement, avant de préciser qu'elle regrette désormais de ne pas rencontrer assez de personnes de son âge. Cognac, c'est vrai, n'est pas Montpellier. « Mais la ville n'est pas pour autant fermée, comme on veut bien le dire. Les jeunes n'y restent pas, c'est tout », tempère-t-elle. 
Apprendre à se ressourcer. Lors de ce 97e synode, Dina s'occupe de logistique et des questions d'hébergement. Une lourde tâche. Mais elle prend quelques minutes pour écouter les plus importants débats. 
Elle a sans doute lu avec attention les rapports préparatoires, où il est dit qu'il « existait une contradiction entre la prédication de la grâce première et l'attente d'un pasteur modèle et "impeccable" ». Des rapports où il est écrit que « toute quête d'un pasteur parfait devient un écran à une rencontre du Christ ». 
Cela a dû la rassurer et la conforter dans son chemin. Dans le Cognaçais, Dina apprend que grande est la tentation de donner toute son énergie à l'Eglise. Et qu'il faut se ressourcer pour mieux annoncer l'Evangile. 
Dina Rajohns reçoit les fidèles au presbytère, au n 6 de la rue du Temple
Une femme pasteur ? Dans le Cognaçais où vivent 400 familles, cela n'a ému quasiment personne


Express Mada 25 mai 2004

MADAGASCAR DEPUIS 2002 L’AREMA VIDE SON SAC SUR LE FOND ET LA FORME 
L’Arema, l’ancien parti au pouvoir, a durement éreinté le pouvoir hier à Fiadanana, et l’a qualifié de « fascisant » caché derrière une « démocratie de façade ». Répondant aux critiques du Président sur des « chicaneries » qui bloqueraient la régionalisation, le sénateur Jean Félicien, président de la commission juridique du Sénat, explique que son parti craint avant tout « des provisoires qui tendent à être définitifs », surtout que des dispositions sur le fond -mode d’élections, choix des représentants au conseil de région ou durée de mandat- constituent autant d’inconnues. Le parti Arema aura profité de la conférence de presse pour faire une fois pour toutes, le procès du pouvoir né après la présidentielle de 2001 et les « évènements » de 2002. Selon la principale formation politique d’opposition, le pays vit dans un système républicain « illusoire », qui fait fi de la séparation des pouvoirs et gouverne par des pressions exercées sur le Parlement et la Justice. « A quoi servent des institutions, si seule prévaut « la parole d’un seul homme ». 
L’AREMA FAIT LE PROCES DU REGIME 
2 ans après, l’Arema, l’ancien parti au pouvoir juge qualifie le nouveau pouvoir de « fascisant » et dont la « démocratie n’est que de façade ». 
Hier à Fiadanana, l’Arema a livré une vision très critique de la gestion des affaires nationales, lors d’une conférence de presse à allure de procès politique. 
Le sénateur Vaovao Benjamin, secrétaire administratif et chef de fait du parti, le sénateur Ramasy Adolphe, le sénateur Jean Félicien, président de commission juridique au Sénat, Samuel Ralaidovy, coordonnateur national du parti, Harinaivo, secrétaire national adjoint Harinaivo et Ndremanjary Jean André n’ont pas mâché les mots pour fustiger le pouvoir qu’ils qualifient « d’inconstitutionnel dès sa naissance ». 
La hiérarchie du parti fondé par l’Amiral a profité, d’un « droit de réponse » lancé au Président de la République sur des « chicaneries » qui bloqueraient la régionalisation, pour tomber à bras raccourcis sur un régime républicain « illusoire ». 
Les barons Arema se sont étendus sur une gouvernance qui fait fi du principe de la séparation des pouvoirs. 
Pour eux, la bonne gouvernance n’existe pas et le principe d’équilibre du pouvoir a volé éclat « avec des décisions qui tombent en cascade venant d’une seule personne ». Ils montrent du doigt un exécutif omnipotent qui élabore les lois et donne des directives à la Justice. Ils dénoncent les pressions qui seraient à l’origine de l’absentéisme parlementaire. 
Concernant le projet de loi sur les régions, l’Arema s’étonne que les « techniciens n’aient pas été consultés » et ne voient aucune utilité de « dispositions transitoires ». Ils appréhendent que cela ne devienne du « définitif ». Une période gérée par les structures existantes peut parfaitement être envisagée pour tenir des élections. 
C’est à toutes ces raisons que l’Arema attribue l’actuelle ambiance « lourde » où l’on bafoue les libertés individuelles. « Tables d’écoute et torture » ont été évoquées. 
Sur le plan économique l’Arema, n’a également pas été tendre avec le régime. La détaxation a été jugée peu préoccupée de l’intérêt de la majorité pour uniquement s’intéresser locale ou étrangère. 
Sans compter les « promesses non tenues », l’Arema remet en cause l’esprit patriotique des dirigeants. « Le pays ne fait plus confiance en son régime ». :


Nosintsika  27 mai 2004

SRI, SYSTEME DE RIZICULTURE INTENSIVE : 

COMMENT FAIRE POUR AVOIR DES PLANTS DE RIZ QUI CROISSENT MIEUX ET QUI PRODUISENT PLUS    -   INFORMEZ-VOUS ET INFORMEZ LES AUTRES
Norman UPHOFF du CIIFAD, et Association TEFY SAINA de Madagascar

1 - PRINCIPES
1.1 - Introduction

Le Système de Riziculture Intensive (SRI) est déjà venu en aide à plusieurs milliers de paysans à Madagascar pour doubler leur rendement. Avec un bon entretien des plants et quelques aménagements du terrain et de l'eau, les rendements peuvent s'élever jusqu'à 4, à 6, à 8, et même jusqu'à 10 tonnes par hectare.
Ce texte voudrait partager avec vous les idées de bases et les pratiques que vous pouvez faire pour qu'une telle augmentation soit possible. Elles vous sont présentées non pas comme des recettes à suivre sans réfléchir mais comme un guide pour un agriculteur désirant faire des investigations lui-même pour chercher de nouvelles méthodes de riziculture afin de produire plus.

Si ce manuel et cette méthode de production vous rendent service, nous espérons qu'à votre tour vous partagerez avec d'autres ces idées et ces pratiques. Chaque famille et chaque communauté pourront ainsi bénéficier de plus de prospérité et de sécurité
alimentaire.
. Le SRI a été découvert par le Père Henri de LAULANIÉ, Ingénieur Agronome, sj, à Madagascar où il a travaillé de 1961 à 1995 avec des paysans malgaches, avec des étudiants et avec des amis pour améliorer les possibilités de production rizicole dans ce pays. Il voulait que le peuple malgache vive plus heureux et en sécurité. Le SRI fait maintenant l'objet d'études et d'évaluation de la part des scientifiques et des riziculteurs dans d'autres pays.
. Le SRI est d'abord une philosophie : le riz est une plante qui doit être respectée et entretenue comme un être vivant ayant une forte potentialité.
Cette dernière ne se réalisera que si nous fournissons aux plants de riz les meilleures conditions pour leur croissance.  ... Suite Klikeo

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