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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent 10 avril 2003

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Infos de dernières minutes sur les TV et les ondes ce 10/04/2003 à 8h00

EuroNews: Le mur de Bagdad est tombé-La chute du régime de Saddam- Opération liberté pour l'Irak réussie.

Les nouvelles de Bagdad sont arrivées à Bassorah.

France Info: Mission accomplie pour les forces de la coalition avec l'effondrement  du régime de Saddam Hussein.

RFI: Les forces militaires a pris le contrôle de Bagdad. Opération militaire réussie et efficace avec le soutien populaire irakien.

AFP : Les forces US et kurdes prennent deux localités proches de Kirkouk.

Air France annonce l'arrêt définitif des vols du Concorde le 1er novembre 

BBC-MFM: La ville de Kirkouk est tombée sous le controle des Américains. De hauts responsables irakiens s'enfuient vers la Syrie.

LCI: La partie est terminée (Ambassadeur d'Irak à l'ONU). Kirkouk ville pétrolière du nord de l'Irak est tombé coe un fruit mûre. Tikrit ville de Saddam sous les bombes. L'après Saddam se prépare.

L'ambassade d'Allemagne et le centre Culturel français à Bagdad ont été mis à sac.

i-télévision: Les irakiens célèbrent la fin du dictateur et savourent les 1ères heures de liberté. La nouvelle de la chute de Bagdad s'est propagée dans tout le pays.

Fin de 35 années de dictatures de Saddam.

RMC info-RTL: Il a fallu 22 jours aux forces de la coalition pour battre le régime de saddam. prochain objectif de la coalition c'est la ville de Tikrit. Scéne de liesse et de pillage en série. Le régime Irakien s'est effondré.

EXPRESS MADA 10/04/2003

LA PNEUMONIE ATYPIQUE EST DANS L'AIR, LE MINSAN DECLARE L'IMMINENCE DU DANGER 
Hier, une dépêche de l'Afp apprend que les premiers cas de cette maladie en Afrique ont été relevés à Pretoria. Le danger frappe ainsi à nos portes aéroporté par les compagnies aériennes. Des mesures de prévention ont été prises mais le Minsan tient à souligner la nécessité de renforcer la sécurité sanitaire. La première sagesse recommande-t-on est, à l'instar de la lutte contre le choléra, de savoir se laver les mains autant de fois qu'on peut. 
DANGER IMMINENT DE PNEUMONIE ATYPIQUE 
UNE COMPAGNIE AÉRIENNE DESSERTANT MADAGASCAR TOUCHÉE 

Suite à l'évolution de l'épidémie de pneumopathie atypique ou Syndrome respiratoire aigu sévère (Sars), la compagnie aérienne Air France qui dessert Madagascar a été touchée. Trois hôtesses de l'air de cette compagnie des vols AF171 et AF185 du 22 mars 2003 ont été hospitalisées, ayant été suspectées de Sars après suivi, mais des états qui n'inspirent pas des inquiétudes car deux d'entre elles sont sorties de l'hôpital les 4 et 5 avril derniers. 
Face à ce danger imminent de l'épidémie, le Service de santé aux frontières rattaché au ministère de la Santé a tenu à aviser toutes les structures publiques et privées travaillant aux ports et aéroports internationaux de Madagascar, en renforçant toutes les dispositifs de prévention aux frontières entreprises depuis le 20 mars 2003. Suite à l'hospitalisation des trois hôtesses de la compagnie Air France, les mesures doivent être respectées rigoureusement, vu la menace à l'échelle mondiale de l'épidémie de Sars, d'autant plus que les pays limitrophes de Madagascar sont actuellement touchés. Ces dispositifs concernent les travailleurs aux ports et aéroports internationaux avec l'obligation de porter au cou un masque de protection couvrant le nez, la bouche et le menton; le port de gants latex de protection aux mains et la possession permanente en poche de désinfectants de genre alcool, mercryl ou assimilés. Quant aux voyageurs suspects souffrant du Sars, il faut diriger le patient immédiatement à l'infirmerie du service de santé aux frontières pour les premiers soins et l'isolement. Le patient suspecté sera ensuite transféré à l'hôpital, sans passer par la sortie commune des voyageurs, pour 10 jours d'internement et de soins en isolement. Concernant les prescriptions d'hygiène du milieu, il faut se servir régulièrement de produits désinfectants pour la stérilisation des sanitaires de toilettes, des parquets, des matériels techniques et des divers restes publics considérés comme déchets à risques pour la santé publique. 
La mobilisation générale pour le port de masque de protection à l'endroit de la population ne sera lancée qu'après constatation d'un cas authentique diagnostiqué débarquant à Madagascar. Mais au vu de l'évolution, si rien n'est découvert pour enrayer l'extension de l'épidémie, et en considérant le rapprochement du risque de l'infection vers notre Pays, en principe dans une semaine, il sera commencé la mobilisation du port obligatoire du masque de protection. Etant donné qu'un premier cas probable de Sars a été diagnostiqué à Pretoria hier, premier cas reconnu en Afrique du Sud et en Afrique, et Madagascar ne pourra pas échapper à l'entrée de ce virus. En tout cas, si une personne a de la fièvre avec des toux fréquentes et des difficultés respiratoires, il faudrait consulter un médecin immédiatement afin d'éviter toute complication surtout si le concerné a eu un contact avec un cas suspect ou a passé un séjour dans un pays à risque d'épidémie. :
Ramalala 


Le Monde  10/04/2003

"La partie est terminée", a déclaré l'ambassadeur de l'Irak à l'ONU, mercredi 9 avril | AFP
A Bagdad, le régime irakien s'effondre

Les forces américaines sont parvenues, mercredi, au centre de Bagdad, sur la place Ferdaous, devant l'hôtel Palestine. Elles ont été accueillies par des scènes de liesse populaire. Certains quartiers de la capitale offrent encore une résistance sporadique et des pillages ont eu lieu dans l'est de la ville. "Le régime est en perdition, il n'a plus le contrôle de certains endroits, et la capitale est l'un de ces endroits", a déclaré le général Brooks, porte-parole du commandement central américain au Qatar. Dans le nord du pays, les forces américano-kurdes ont réussi une importante percée vers Mossoul. Le sort du président irakien, Saddam Hussein, et de ses deux fils reste incertain.

SANTÉ : Pneumopathie : l'épidémie progresse 
2 888 cas probables de pneumopathie atypique dont 108 mortels ont été signalés à l'Organisation mondiale de la santé et par les autorités des pays touchés par l'épidémie. 
Avec 55 morts et 1 290 cas recensés, selon les chiffres du ministère de la santé, la Chine est le pays le plus touché par l'épidémie.
2 888 cas probables de pneumopathie atypique ou syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) ont été signalés à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et par les autorités des pays touchés par l'épidémie, dont 108 mortels.
Cinquante-cinq personnes sont mortes de pneumonie atypique en Chine, où 1 290 cas ont été recensés, a indiqué jeudi le ministère chinois de la santé qui a pour la première fois fait état de cas contractés à Pékin. 
Le précédent bilan du 6 avril s'établissait à 1 279 cas et 53 morts. Sur les 1 290 cas, 1 025 personnes ont guéri. 265 personnes étaient donc encore atteintes du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS) au 9 avril en Chine, selon le dernier bilan officiel publié jeudi. Les deux nouveaux décès ont été enregistrés dans les provinces du Guangdong (sud), la plus touchée par l'épidémie, et du Shanxi (nord). Le nombre de cas à Pékin s'élève maintenant à 22 dont 4 mortels, a indiqué le vice-ministre de la santé, Ma Xiaowei, lors d'une conférence de presse au cours de laquelle il a implicitement fait référence à des cas contractés à Pékin. "Les cas enregistrés à Pékin sont principalement des cas importés", a déclaré M. Ma, sans précision. Jusqu'à jeudi, les autorités affirmaient que les cas enregistrés dans la capitale étaient "tous importés". Une personne ayant guéri, il reste officiellement 17 malades dans la capitale. 
Toutefois, selon un médecin chinois d'un hôpital militaire, le nombre de morts y serait beaucoup plus élevé que celui admis pas les autorités. Le seul hôpital militaire numéro 309 aurait enregistré 7 décès et 60 cas. Dimanche, un Finlandais de 53 ans est décédé à Pékin. La province du Shanxi a elle aussi recensé ses premiers cas contractés localement, a indiqué le vice-ministre. "Il faut poursuivre les enquêtes", a encore déclaré M. Ma, qui a confirmé que les victimes en Chine appartenaient à toutes les tranches d'âge tout en précisant que les cas touchant les enfants étaient peu nombreux. Un étranger, qui était hospitalisé à Shenzen dans la province du Guangdong pour une pneumonie atypique, a été transféré mercredi soir à Hongkong où son décès a été enregistré. Il s'agit d'un enseignant américain de 50 ans. Son fils de 6 ans, transféré à Hongkong, a également contracté la maladie, selon le quotidien hongkongais South China Morning Post. Enfin, les chiffres publiés jeudi par le ministère de la santé font apparaître 10 cas supplémentaires dans le Guangdong, qui en totalise désormais 1 213. 
S'y ajoutent 970 cas recensés à Hongkong (contre 928 cas mardi), dont 27 mortels (contre 25 lundi). Un de ces cas mortels à Hongkong concerne un patient transféré du Vietnam, précise l'OMS. L'épidémie a touché 126 personnes à Singapour, soit 8 malades de plus que la veille (dont 9 sont morts, soit un de plus). Sur les 126 cas de SRAS, 42 patients restent hospitalisés dont 14 en service de soins intensifs. Le bilan reste en revanche inchangé au Vietnam (62 malades dont 4 sont morts), en Thaïlande (7 malades dont 2 décédés) et en Malaisie (une personne malade qui est décédée). 19 cas sont signalés à Taïwan, dont aucun mortel.
IMPORTANT FOYER AU CANADA
En dehors de l'Asie, le Canada reste le pays le plus affecté par le SRAS avec 242 malades présumés (10 de plus que la veille), dont 10 sont morts. La plupart des cas de SRAS restent circonscrits à la province de l'Ontario qui en recensait 195, soit 5 de plus que mardi. Au total, en Ontario, 49 personnes, traitées pour des cas suspects ou probables, ont été autorisées à quitter l'hôpital pour rester en isolation chez elles. Tous les décès se sont produits dans la région de Toronto, capitale de l'Ontario, et la plupart concernaient des personnes âgées. A la demande de cette province, le ministère de la santé a fait livrer 10 000 masques destinés à endiguer la propagation de la maladie alors que l'Ontario était en rupture de stock. 
149 cas ont été recensés aux Etats-Unis, soit un de plus que mardi, mais aucun décès. Ce pays fait cependant état de cas suspects qui font l'objet d'une enquête, contrairement aux autres pays qui signalent à l'OMS les cas probables. Toujours selon les décomptes de l'OMS, la maladie affecte également l'Allemagne (5 cas), le Royaume-Uni (5), la France (4), la Roumanie (un), la Suisse (un), l'Espagne (un), l'Italie (3), l'Irlande (un). Aucun des cas avérés en Europe n'a entraîné de décès. Par ailleurs, un cas est signalé au Brésil, sans issue mortelle, alors que l'Australie, ne compte plus de cas, contre un annoncé mardi. Enfin, l'épidémie semble avoir touché le continent africain, avec un cas "probable" recensé en Afrique du Sud.
En France, 15 patients présentant des signes cliniques pouvant évoquer une pneumonie atypique au retour d'un voyage d'une zone affectée d'Asie du Sud-Est (Hanoï, Chine, Taïwan, Hongkong, Singapour) font l'objet d'un suivi médical en France, selon un bilan des autorités sanitaires diffusé mercredi. Parmi elles, les quatre cas déjà déclarés par la France à l'OMS. Depuis le début de l'alerte, en France 275 personnes ont été signalées à l'Institut national de veille sanitaire (InVS), 256 ont été écartées et le nombre de patients restant en cours d'investigation, qui était de 24 mardi, est passé à 15. 
Avec AFP

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  les 'misérables' parlent contre les personnes..."


MIDI MADA 09/04/2003 

CONSEIL DE GOUVERNEMENT: Le SMIG à 197.075 fmg et à 200.000 fmg,
le protocole de Kyoto à ratifier
 
Le gouvernement vient d'adopter le décret portant relèvement des salaires minima au secteur privé. Ce fut lors du conseil de gouvernement tenu avant-hier au palais de Mahazoarivo sous la présidence du Premier ministre, Jacques Sylla. En effet, dans le cadre du protocole d'accord en date du 9 mars 2000 signé par les partenaires sociaux, il a été stipulé que le salaire minimum sera relevé par étape. L'objectif est de parvenir à une rémunération égale à 250.000 fmg. C'est ainsi qu'à partir du 1er janvier 2003, les salaires minima d'embauche passent de 180.090 fmg à 197 075 fmg pour le secteur non agricole, et de 182 600 fmg à 200 000 fmg pour le secteur agricole. 
Val A. 
Flexibilité
Sur d'autres plans, le gouvernement a approuvé le projet de loi portant ratification du Protocole de Kyoto. Il s'agit d'un protocole de la convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. Il concerne l'entente de réduction ou de limitation des émissions des principaux gaz à effet de serre que les pays développés ont conclue. Une réduction au moins de 5% par rapport au niveau de 1990 pendant la période de 2008 à 2012. Le protocole prévoit des engagements quantifiés pour les pays développés et la possibilité pour ces pays de recourir aux mécanismes de flexibilité comme, entre autres, financer un projet réducteur d'émission dans un pays en développement et obtenir en retour des crédits d'émission en proportion des émissions évitées.
Publics et privés
Puis, le conseil de gouvernement a pris un décret portant organisation du Bureau Programme Education Environnementale (BPEE) et fixant son statut. Ce bureau, intégré dans l'organigramme du ministère de l'Enseignement Secondaire et de l'Education de Base, est dirigé par un Directeur, chargé de l'exécution de l'éducation environnementale dans tous les établissements scolaires publics et privés de Madagascar. Concernant l'organisation administrative, un Conseil d'administration, la Direction et le Conseil technique national formeront ainsi les organes du Bureau.
150 villages 
Les membres du gouvernement dirigés par le Premier ministre ont, par la suite, approuvé la communication présentée par le département de l'Energie et des Mines concernant l'électrification rurale à Madagascar. Il s'agit du projet IBERMAD qui se traduit en un programme d'électrification englobant 150 villages par an avec la participation active du secteur privé, des investisseurs nationaux et internationaux. La réalisation de ce programme s'effectue de concert avec le Royaume d'Espagne à travers le crédit "Fonds d'Aide au Développement" (FAD). L'entreprise Puroil sélectionnée par le département de l'Expansion Exterior, rattaché au ministère de l'Economie et des Finances d'Espagne, réalise ce projet pour un montant de 2 090 260 euros pendant neuf mois.
Admission
Enfin, au titre du ministère des Affaires étrangères, une communication sur l'initiative canadienne concernant l'accès au marché pour les pays les moins avancés a été approuvée. Il s'agit d'un protocole se rapportant à l'exportation à destination du Canada des produits textiles et vestimentaires.L'initiative en question correspond à une série de mesures énoncées par le Canada en réponse au NEPAD. Ainsi, par la signature d'un accord général de coopération entre les deux gouvernements, l'admission de Madagascar comme pays éligible à l'Aide Publique au Développement fournie par le Canada sera opérante. 
Toamasina
Dix grenades lacrymogènes pour disperser les manifestants 
Les éléments de l’EMMO-FIV ont dû encore intervenir, hier vers 10h35. Une dizaine de grenades lacrymogènes ont explosé pour disperser les barragistes. Ces derniers ont répliqué par des jets de pierres. Finalement, les forces de l’ordre sont parvenues à rétablir la circulation sur la RN2, vers 11 heures. Le calme s’est instauré petit à petit l’après-midi, dans le Grand port de l’Est. 
Dominique R. 
Amorcés avant-hier, par la grève estudiantine, puis suivis le jour d’après par les meetings de Toamasina Tonga Saina, la ville de Toamasina a connu, depuis deux jours, des moments forts. Lors de la matinée d’hier, il y a eu deux manifestations pour deux causes différentes et à des endroits différents, celle des étudiants et celle de Toamasina Tonga Saina. Ainsi, hier matin vers 10h45, les partisans et les sympathisants de Toamasina Tonga Saina se sont donné rendez-vous à la gare, pour rallier, par la suite, le domicile de Fanony Fulgence. Ils ont emmené ce dernier avec eux faire le tour de la ville. Le cortège est passé par les quartiers de Mahazo, Anjomà, Ambolomadinika, Mangarano, Ankirihiry et Tanambao V, pour s’arrêter au lycée technique. Un petit discours fut prononcé. Les intervenants ont surtout insisté sur le fait que la vérité sera étalée au grand jour, dans les jours à venir, concernant les saccages et les actes de vandalisme qui ont eu lieu à Tananambao V. 
Remercier 
Mahefa Robert et Fanony Fulgence, le président local du CRN, étaient présents à ce meeting. Chose curieuse, les trois députés de Toamasina Tonga Saina élus dans le Faritany de Toamasina n’ont pas honoré de leur présence cette manifestation. Selon des sources dignes de foi, ce dernier a été libéré très tôt dans la matinée d’hier. Condamné à trois mois d’emprisonnement ferme, sa peine a expiré hier. Après la brève manifestation qui s’est tenue au lycée technique, les militants de Toamasina Tonga Saina se sont dispersés vers midi. Toujours d’après nos sources peu des membres du Comité de Réconciliation Nationale ont assisté aux manifestations. Tout de suite après, l’ancien ministre de l’Education nationale du professeur Zafy Albert est intervenu sur Radio Feon’i Toamasina, dont il est également le propriétaire. C’était surtout pour remercier ceux qui l’ont soutenu pendant les moments difficiles qu’il a traversés et ceux qui sont venus l’accueillir à sa sortie de prison. 
Rétablir 
De leur côté, les étudiants ont continué leurs manifestations dans la matinée d’hier. Les barrages érigés par les étudiants à Barikadimy, en face du campus, n’ont pas disparu. Il est à rappeler que les contestataires ont fait la veillée sur leurs barricades en brûlant des pneus et des morceaux de bois. Et ce, malgré les dispositions prises par le recteur de l’Université de Toamasina, en hâtant la signature des chèques pour le paiement des bourses d’études qui fait partie des revendications des étudiants. Réaction un peu tardive mais qui a tout de même calmé les esprits. Ainsi, les responsables ont procédé au paiement des bourses, hier matin, au bureau du recteur sis au centre-ville, près de la société Descours et Cabaud. L’après-midi, le centre de paiement des bourses a été transféré au service des œuvres de Barikadimy. 


Clicanoo  10/04/2003

La guerre en Irak ajoute aux déboires du Concorde. 

La guerre en Irak pèse sur le taux de remplissage du Concorde, ajoutant un surcroît d'incertitude pour l'avenir du supersonique franco-britannique, déjà assombri par des incidents techniques à répétition.
Le taux de remplissage des Concorde d'Air France est tombé "autour de 20%" depuis le début du conflit en Irak, contre environ 50% auparavant, a-t-on appris hier de sources syndicales.
"Il y a eu (au sein d'Air France) deux réunions depuis le début du conflit, l'une sur les conséquences du conflit lui-même, l'autre sur la question de la pneumonie atypique", selon un représentant syndical qui a préféré garder l'anonymat.
"Au cours de la première réunion, le président a dit que le taux de remplissage était aux alentours de 20%", a-t-il ajouté.
Interrogée hier par l'AFP, la direction d'Air France a confirmé la tenue de ces deux réunions mais n'a souhaité faire aucun commentaire sur le taux de remplissage du supersonique.
Même discrétion de la part de British Airways, qui exploite sept des douze appareils en service. "Nous ne commentons pas les taux de remplissage de dessertes spécifiques, ce sont des informations sensibles d'un point de vue commercial", a déclaré un porte-parole.
Le conflit en Irak a accentué une tendance déjà sensible depuis la reprise d'exploitation du supersonique le 7 novembre 2001, après la catastrophe de Gonesse (Val-d'Oise), le 25 juillet 2000, qui avait fait 113 morts.
Les indications fournies par les deux compagnies aériennes à l'atterrissage des derniers vols Concorde affectés par des avaries techniques avaient révélé des taux de remplissage modestes. 50 passagers - pour 92 places disponibles - étaient enregistrés sur le vol du 15 juillet 2002, 67 sur celui du 5 novembre, 38 sur celui du 13 janvier 2003, 47 sur celui du 19 février et 38 sur celui du 27 février.
Cette tendance peut s'expliquer par la fréquence des incidents techniques survenus sur les différents appareils en exploitation.
"En 2002, pour 590 vols et 1.812 heures d'activité par Air France, huit incidents ont nécessité un demi-tour, un détournement ou un arrêt au décollage", a révélé début avril le ministre des Transports Gilles de Robien.
Il a d'ailleurs manifesté son intérêt pour l'élaboration "d'un rapport technique circonstancié" sur les divers incidents survenus aux Concorde depuis le 7 novembre 2001. Ce rapport "pourrait comporter une étude comparative du nombre d'incidents par type d'appareil et indiquer des perspectives d'avenir", a précisé le ministre.
Reste que c'est aux compagnies de décider l'éventuelle interruption du programme, techniquement destinée à durer pour Air France jusqu'à 2007-2008, date limite au-delà de laquelle une révision intégrale des appareils devra être entreprise.
"Toute décision que prendra Air France sera acceptée par l'actionnaire principal actuel", a dit hier le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau.
"C'est à la compagnie d'apprécier les problèmes techniques qui se posent actuellement, les problèmes de remplissage", a-t-il souligné, ajoutant : "les Anglais ont la même difficulté".
Fin février, British Airways avait averti qu'elle envisageait un arrêt du supersonique. "Vu l'environnement commercial actuel, alors que les produits de haut de gamme sont de plus en plus sous pression, ce n'est que prudence de notre part que de réfléchir soigneusement à une éventuelle date de retrait du Concorde", avait indiqué une porte-parole.
A Air France, aucune modification du programme Concorde n'est à l'ordre du jour 
Les langues se délient 
"Dictateur", "tortionnaire", "traître". Mardi encore, la simple mention de son nom faisait trembler les gens à Bagdad mais les langues se sont vite déliées contre Saddam Hussein avec l'entrée hier des troupes américaines dans le centre de la capitale irakienne.
"Nous sommes ravis de nous débarrasser de lui après des années de guerre et de privations", confie Dinkha Khossina, un chrétien assyrien venu avec des centaines d'autres Irakiens saluer, au bord d'une autoroute à l'entrée nord de Bagdad, les convois de soldats américaines filant vers le centre.
Des jeunes enlèvent leur t-shirt et l'agitent devant les troupes américaines alors que d'autres crient en anglais "welcome, welcome".
"C'est le meilleur sentiment de ma vie après onze ans de service militaire à cause de toutes les guerres dans lesquelles Saddam nous a embarquées", dit Ayoub, préférant taire son nom de famille.
Yasser, un ancien des services de sécurité, affirme avoir passé sept ans et demi en prison "pour avoir été faussement accusé de vol d'armes".
Il a été libéré à la faveur de la dernière amnistie décrétée par le président irakien en octobre 2002, mais il ne lui a pas pardonné les années des sa vie passés derrière les barreaux.
"Saddam était impitoyable avec son peuple. Il nous torturait", assure-t-il.
Dans les quartiers des ministères dans le nord de la capitale, où des pillages à grande échelle ont suivi l'entrée des troupes américaines, un jeune homme portant des vêtements usés crie joyeusement "Saddam n'est plus, Saddam n'est plus".
Pour Ryad, 28 ans, Saddam Hussein, qui n'a pas donné de signe de vie depuis lundi, "est un couard qui a trahi son propre peuple".
"Il ne nous a rien donné à part les guerres et l'embargo", renchérit Qassem, 54 ans. "Avec les Américains, nous serons bien", estime-t-il. Mohammad Wali, la quarantaine, montre à un journaliste de l'AFP un bras plus court que l'autre en raison d'une blessure reçue lors de la guerre de huit ans contre l'Iran, déclenchée en 1980 peu après l'avènement de Saddam Hussein au pouvoir.
"J'ai aussi des éclats qui me sont restés dans les jambes", assure-il. Pour lui, "Saddam était le dictateur de tous les Irakiens".
"Nous aimons (le président américain George W.) Bush, nous n'aimons pas Saddam Hussein. Nous avons faim", lâche un garçonnet en voyant arriver une voiture de journalistes étrangers.
A côté, une armée de pilleurs dévalisent les ministères du Pétrole, de l'Irrigation et le siège du comité olympique. Des brouettes chargées de meubles, d'ordinateurs, de radiateurs et de ventilateurs sont vidés dans des camionnettes garées à l'entrée des ministères.
Certains hommes sortent avec des cartons sur l'épaule. D'autres tractent à l'aide de leur pick-up des voitures ministérielles.
Dans le quartier proche de Ziouna, de petits groupes de jeunes hommes, agitant un tissu blanc pour montrer leur bonnes intentions, passent devant les soldats américains qui ont pris position dans le quartier général de Fedayin de Saddam, un corps militaire dirigé par le fils aîné du chef de l'Etat.
Des militaires américains en position de tir sont déployés sur le toit de l'immeuble alors que d'autres sont sur des chars stationnés dans la cour.
Bustes sortis des fenêtres et agitant les mains à l'intention des soldats américains, d'autres jeunes passent devant la bâtisse à bord de voitures, klaxons bloqués.
Un immense portrait de Saddam Hussein à l'entrée du complexe est resté intact.
Des habitants du quartier, certains en robe de chambre, s'aventurent timidement sur le trottoir à l'entrée de leurs maisons pour saluer les soldats américains d'un geste de la main.
"Scènes de joie" et de pillage à Bagdad

"Good, Good, Bush", "Good America", scandent place Hamza des Irakiens qui affluent pour voir les premiers transports de troupe américains avançant lentement dans l'immense avenue Habibiya dans un quartier nord de Bagdad.
Après avoir atteint un carrefour, à moins de 3 km du centre de la ville, sept véhicules blindés couverts de sable avec des Marines marchant devant pénètrent dans un terrain vague et prennent position derrière un muret.
Des habitants s'approchent d'eux en faisant le V de la victoire puis les applaudissent et l'un d'entre eux vient offrir à un soldat américain un branchage. "Je n'ai pas trouvé de fleurs alors je lui apporté ce rameau d'un arbre irakien", explique l'homme en galabiyah, la robe longue blanche traditionnelle.
Les habitants essaient de s'approcher d'eux, de leur offrir des cigarettes mais d'un geste les soldats leur demandent de ne pas trop avancer. "Nous sommes vraiment heureux de cet accueil", affirme un des Marines visiblement fatigué.
"Nous ne sommes pas surpris car nous savions qu'ils nous attendaient. Nous sommes très contents d'être à Bagdad", ajoute ce militaire qui explique être entré dans la matinée dans la ville après avoir bivouaqué dans la banlieue la nuit dernière.
Tout ce qui ressemble à des Américains suscite l'enthousiasme. Le journaliste et le photographe de l'AFP, qui portent des gilets pare-balles et des casques blancs, sont chaleureusement salués aussi. "Affiyeh, Affiyeh" (Bravo, Bravo), crient les Irakiens en voulant serrer la main.
Des jeunes s'approchent d'un immense portait de Saddam Hussein, souriant et portant un keffieh. Avec des couteaux, des tournevis, ou d'autres objets tranchants, ils lacèrent avec rage puis déchirent l'immense poster en plastique, alors que des hommes plus âgés frappent son visage avec leurs pantoufles. "No good Saddam. Très mauvais, Très mauvais, Très mauvais", crient-ils dans un anglais hésitant.
"Aujourd'hui, nous sommes vraiment très, très contents. C'est un grand jour. Saddam est fini. Savez vous où il est? Est-il mort? Qu'il meurt en enfer", s'écrie un homme tenant à la main son enfant.
De l'autre côté de la place, des jeunes sont en train de dépouiller un camion de ravitaillement de l'armée irakienne. Ils démantèlent chaque pièce du véhicule qui disparaissent immédiatement.
Les scènes de pillage sont généralisées. Dans le nord, en utilisant tous les moyens de locomotion les gens se précipitent au ministère des Transports, à celui de l'Irrigation, ou dans un siège du parti Baas pour s'emparer de tout ce qu'ils peuvent trouver.
Dans les édifices publics, les pillards emportent dans la bonne humeur, sans aucune violence, des chaises, des tables, des armoires, des ventilateurs, des lampes, des climatiseurs, des rames de papier, des photocopieurs, un bric-à-brac incroyable.
Ils entrent dans tous les bureaux, les réserves, errent dans les couloirs et il y a tellement d'objets à prendre que personne ne se dispute mais au contraire s'encourage en montrant à son voisin quelque chose qu'il n'a pas vu. Certains poussent des motos qu'ils ont trouvées sans essence, d'autres s'emparent de voitures, des pelleteuses et un jeune est même monté sur un cheval et part au galop. Un autre est venu avec une carriole tirée par un âne et un adolescent s'enfuit avec un téléviseur qu'il a posé sur son vélo.
Ils entassent leur butin dans les coffres, sur le toit et même sur le capot des voitures et passent devant les troupes américaines qui ne font aucun geste pour les faire rebrousser chemin. "Nous n'avons pas d'argent, nous sommes pauvres", crie un jeune en montrant ses poches pour expliquer son geste.
"Khalas, Khalas Saddam " (C'est fini, c'est fini), crient les Bagdadis qui dévalisent un des sièges du parti Baas, hier encore tout puissant. 
La chute de Bagdad ( Monde ARTICLE DU 10/04/03)

Le régime irakien s'est effondré hier avec l'entrée des soldats américains dans le coeur de Bagdad où ils ont symboliquement renversé une statue géante du président Saddam Hussein, au milieu de scènes de liesse, accompagnées de pillages .
Les forces américaines ont défait l'armée irakienne et pris le contrôle de la plus grande partie de Bagdad en dépit de la poursuite des combats, a déclaré hier soir le général Buford Blount, commandant de la 3ème division d'infanterie américaine.
Des chars et des blindés américains sont arrivés dans l'après-midi dans le centre de la capitale, sur la place Ferdaous, devant l'hôtel Palestine où se trouve la presse internationale.
Aidés par des soldats américains, un groupe d'Irakiens s'est attelé à renverser la gigantesque statue de Saddam Hussein installée sur cette place, en passant une corde autour d'elle puis en la faisant tirer par un blindé. Auparavant, un soldat américain avait brièvement recouvert la tête de la statue d'un drapeau américain puis irakien, avant de les enlever.
"Ils l'ont fait tomber", s'est exclamé à Washington le président américain George W. Bush en suivant la scène à la télévision, a indiqué son porte-parole Ari Fleischer.
"On ne peut s'empêcher de penser à la chute du mur de Berlin et l'écroulement du rideau de fer", a commenté le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld.

C'était la dernière statue de Saddam Hussein inaugurée dans la ville, le 28 avril 2002, pour son 65ème anniversaire. Bras levé en l'air, l'énorme bronze trônait sur un socle en marbre entouré de 37 colonnes - Saddam Hussein est né en 1937 - chacune portant les initiales SH en arabe.
Les troupes américaines ont ainsi franchi le Tigre et pris position sur la rive est du fleuve qui divise la capitale. Ils sont aussi implantés sur la rive ouest où ils contrôlent plusieurs ministères. 
"Nous contrôlons la plus grande partie de la ville mais il y a encore des combats en cours", a estimé le général Blount.
Seules des forces irrégulières continuent à se battre du côté irakien, a ajouté l'officier, citant notamment les Fedayin de Saddam, un corps paramilitaire dirigé par Oudaï Saddam Hussein, le fils aîné du président irakien, et les miliciens du parti Baas au pouvoir.
Les troupes américaines se sont emparées d'un camp de formation de la milice du parti Baas, dans un quartier de l'ouest de Bagdad proche du centre, selon un correspondant de l'AFP. 
Dans la matinée, elles étaient entrées à Saddam City, principal faubourg chiite du nord-est de la capitale, tandis que les combattants irakiens abandonnaient leur positions.
La population se livrait à des scènes de liesse et à des actes de pillages à grande échelle. Saddam City est un immense quartier populaire peuplé par les chiites.
"Presque tous (les combats) ont cessé dans la zone est", a déclaré à l'AFP le lieutenant-colonel Jim Parrington. Les tireurs embusqués "se cachent bien, ils sont bien armés et ils sont bon tireurs", a ajouté l'officier de la première force expéditionnaire des Marines qui progresse vers le centre de Bagdad par le flanc est.
Scènes de pillage
Alors que le Comité olympique irakien dirigé par Oudaï Saddam Hussein était en flammes, des Irakiens applaudissaient les Marines américains, déchirant un portrait géant de Saddam et pillant les ministères et bâtiments publics à moins de 3 km du centre de la capitale.
A Hababiyah, un quartier du nord de Bagdad, des centaines d'Irakiens se sont précipités vers les transports de troupes américains en applaudissant et en scandant "Good, Good, Bush !".
A Hatif Haiyawi, un faubourg rural à quelques km à l'est de Bagdad, hommes, femmes et enfants sont venus piller usines et bâtiments publics. Etonnant spectacle que celui de Marines assistant aux pillages, ou de ces convois américains chargés de ravitailler le front croisant des camions et des moissonneuses-batteuses irakiens remplis à ras bord.
Le Commandement central a d'autre part affirmé que les troupes américaines avaient pris le contrôle de l'aéroport militaire al-Rachid, au sud-est de Bagdad.
Le président américain George W. Bush est "heureux" que les Irakiens manifestent leur désir d'être libres, a indiqué à Washington son porte-parole, Ari Fleischer.
Le Premier ministre britannique Tony Blair s'est refusé à tout triomphalisme affirmant que la guerre en Irak n'était pas terminée et qu'une "intense résistance" persistait au sein du pouvoir de Saddam Hussein.
Les images d'Irakiens se réjouissant dans les rues de Bagdad, au côté des forces américaines, rappellent la chute du mur de Berlin, a estimé le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld. Les armes de destruction massive du régime irakien doivent encore être trouvées et sécurisées, a-t-il ajouté.
La guerre, qui entrait jeudi dans sa quatrième semaine, a fait 96 morts dans les rangs de l'armée américaine, selon un dernier bilan du Pentagone.
Le Pentagone et l'agence centrale de renseignement américaine (CIA) ignorent si Saddam Hussein a survécu au bombardement américain de lundi qui visait à le tuer, a indiqué un responsable américain à Washington.
De même hier la Maison Blanche ignorait toujours le sort du dirigeant irakien, a déclaré son porte-parole Ari Fleischer, qui a ajouté que Saddam Hussein avait "raté sa chance de partir pacifiquement en exil".
Selon M. Rumsfeld, de hauts responsables irakiens s'enfuient en Syrie et Damas continue à aider militairement l'Irak.
Saddam Hussein et au moins l'un de ses fils sont toujours vivants, a affirmé Ahmed Chalabi, président du principal mouvement irakien d'opposition, le Congrès national irakien, interrogé sur CNN depuis Nassiriyah (sud).
D'après les agences humanitaires à Genève, les hôpitaux de Bagdad commencent à être débordés et à manquer de matériel pour les soins d'urgence.
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a suspendu ses activités à Bagdad en raison de la situation "dangereuse" dans la capitale irakienne. Son délégué canadien, porté disparu depuis mardi après-midi à Bagdad, a été retrouvé mort, victime d'un échange de tirs, a indiqué un porte-parole du Comité à Genève.
Des avions d'aide humanitaires sont arrivés à l'aéroport international de Bagdad, aux mains des forces américaines, a annoncé M. Rumsfeld.
Dans le sud, l'exaspération se répandait hier parmi les habitants de Bassorah, la seconde ville d'Irak, face à l'anarchie régnant dans leur ville en l'absence de toute autorité locale et de police, et l'apparente impassibilité des troupes britanniques.
Enfin, le vice-président américain Dick Cheney a estimé que les Nations Unies n'étaient "pas équipées" pour jouer un "rôle central" dans la reconstruction de l'Irak.

Saddam Hussein est tombé de son piédestal ... place du Paradis
Saddam Hussein ne s'est pas laissé déboulonner aisément restant ainsi fidèle jusqu'au bout à sa réputation. Il a fallu faire appel à un blindé américain et renforcer plusieurs fois la chaîne autour de son cou pour les faire tomber de son piédestal ... Place du Paradis.
Alors que les troupes américaines avaient pris position autour de l'Hotel Palestine, où est logée la presse internationale, des Irakiens se sont précipités sur la place pour desceller la statue de celui qui dirigea d'une main de fer pendant trois décennies l'Irak.
Pendant que ces anciens thuriféraires scandaient en choeur: "Il n'y a d'autre Dieu que Dieu et Saddam est l'ennemi de Dieu", sous les caméras de la presse internationale, le blindé armé d'une grue a d'abord fait pencher la statue du dictateur, puis vaciller avant qu'il ne tombe d'un bruit mat et que la foule monte piétiner la statue et la couvrir de sable.
Mais si le buste et les jambes ont flanché, les pieds sont restés soudés à la base en marbre.
La fin de règne du "président, du combattant, du dirigeant, du héros de la victoire et de la paix, de la libération nationale" s'est produite 19 jours avant qu'il ne célèbre son 66ème anniversaire.
Mais avant que Saddam Hussein ne tombe place du Paradis, il s'était promené hier dans les rues de Bagdad devant les habitants sidérés et ravis... mais cette fois tiré par une corde attachée à une voiture.
Au ministère du Pétrole, des hommes en civil avaient descellé dans des cris de joie en début d'après-midi une énorme statue en bronze, comme il en existe des centaines à travers tout le pays, tant il avait poussé à l'extrême le culte de sa personne.
Ils avaient passé un noeud coulant autour de sa tête et attaché une corde à une voiture, puis ils étaient sortis de l'enceinte pendant que d'autres se livraient à un pillage systématique.
Ils avaient ensuite entamé une promenade à travers la ville tirant la statue toute couverte de poussière qui glissait sur la chaussée alors que de son talon jaillissait des étincelles au contact avec le béton.
La voiture s'était brusquement immobilisée, non loin d'un pont occupé par l'armée américaine, et la circulation s'était arrêtée. Des automobilistes quittaient leur véhicule et venaient cracher, frapper avec leur chaussures ou jeter des détritus sur l'ancien dictateur inerte.
Ali, le "propriétaire" de la statue, a calmé leur ardeur. "J'emporte chez moi la statue de mon président bien aimé" explique-t-il avec ironie en reprenant la formule consacrée à l'époque où Saddam Hussein régnait en maître absolu.
"Je vais mettre chez moi ce voleur, cet assassin, celui qui nous a appauvris et nous a ruinés, car je ne peux pas oublier tout le mal qu'il m'a fait", dit-il.
Dans toute la ville, une fois la victoire américaine consommée, des habitants ont commencé à brûler, a lacérer, à détruire la photo de celui qui était toujours présent dans la vie quotidienne des habitants, dans la rue, dans les magasins, au bureau et même dans la salle à manger de chaque appartement sur le petit écran. 

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