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Demain est un mystère
Aujourd'hui un cadeau..."

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sur le site d'ANIMATION ARR ...RRRRR ! 

http://a.ratsimbarajohn.free.fr/

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar et ses élections...


EXPRESS MADA 16/04/2003

LE GOUVERNEMENT A CHOISI LA LOCATION-GÉRANCE POUR SORTIR LA SIRAMA DU TROU 
En fin de compte, et pour rester fidèle à cette promesse présidentielle, le gouvernement a choisi d’adopter la location-gérance pour le cas de la Sirama. Histoire de ménager la chèvre et le chou. Huit entreprises étrangères ont déjà manifesté leur disposition à se mettre sur les rangs dans cette voie. La location-gérance est assortie d’une promesse d’achat. Le repreneur retenu devra aussi procéder à la réhabilitation totale des infrastructures de la Sirama pour un meilleur rendement. C’est ainsi un moindre mal pour la Sirama jadis une fierté nationale quand elle s’appelait Sosumav. 
LA LOCATION-GERANCE COMME STRATEGIE 
Lors de son passage dans la Sava, le président Marc Ravalomanana a publiquement déclaré qu'il n'est pas question pour l'actuel pouvoir de vendre les unités sucrières de la Sirama, une parmi les 46 sociétés d'Etat à privatiser du premier lot. On sait maintenant que la location-gérance a été adoptée par le gouvernement pour traiter le cas de la Sirama. Ce qui est tout à fait conforme aux textes régissant le désengagement de l'Etat des sociétés dans lesquelles il détient la majorité du capital. Selon les dispositions en vigueur, la location-gérance est assortie d'une promesse d'achat. Cette démarche rassure ceux pour qui la vente des actions sonne mal aux oreilles. 
Nos informations indiquent que 8 entreprises sont déjà intéressées, sinon en lice pour cette reprise de la Sirama : 4 mauriciennes, 2 réunionnaises, une sud-africaine et une chinoise déjà présente aux installations de la défunte Siranala à Morondava, qui l'a rebaptisée Sucoma. La redevance de la location exigible dès la première année sur les 5 convenues est encore à négocier, mais le gouvernement a avancé le montant de 2,5 millions de dollars, comprenant une part fixe et une part variable calculée sur le chiffre d'affaires. 
Une autre "conditionnalité" est imposée au repreneur : la réhabilitation des infrastructures existantes pour un meilleur rendement de la productivité au bout de 3 ans. On ne sait si cette location-gérance est du "type glissant" renouvelable au bout de 5 ans. La Sirama possède 4 sites de production à Namakia, Brickaville, Nosy-Be et Ambilobe. En somme, un marché juteux, si on sait éviter de patauger dans la… mélasse.:
Eric Ranjalahy 
Pety Rakotoniaina se dit sous le coup d'un mandat d'arrêt
Le concerné a choisi l’affirmation pour exciter la “petite foule” du terrain de basket ne pouvant dépasser les 200 à 300 personnes. “Un mandat d’arrêt est lancé contre ma personne. Je ne me terrerai pas (tsy hisitrika aho). Je ne suis pas un esclave de Ravalomanana. Et si l’arrestation a été le prix de ce que j’ai sacrifié pour lui, le sang versé le 26 février n’aura servi à rien. Si Rabolobolo (un héros betsileo) serait encore vivant, il se relèvera. Venez m’arrêter mais je vous préviens, tenez vous à une vive résistance (tongava ny mpanambotra ary dia misikiana fa misy raharaha eto androany)". Telle est la traduction libre de la déclaration du Pds évincé et qui n’a surtout pas apprécié son remplacement. De toutes les façons, son départ précipité d’Andohanatady qui a laissé dans un état de délabrement le palais selon son remplaçant, PV d’huissier à l’appui, ce départ reste encore dans les mémoires. 
Mais pour en revenir au meeting d’hier, une réunion autorisée mais dans un espace clôturé (stade ou tranompokonolona), on a eu largement l’impression que le Kmmr nouveau veut faire du neuf avec du vieux. Un thème récurrent focalisé sur une profonde frustration avec des relents de tribalisme et de caste a été traité de façon à ce que le vrai problème où certains voudraient arriver ne soit pas abordé brusquement. Fianarantsoa étant une ville cosmopolite qui sanctionne ceux qui osent franchir le mur, il fallait ainsi marcher sur des œufs. La réélection du maire n’est que l’expression de cette tendance à la censure. Mais dans la lancée, le self contrôle perd une partie de sa valeur que tout le monde savait lire le message lancé : 
"Andevolahy izahay nametraka anao tao ? Manana ny razanay izahay, aoka hazava tsy hisy hifanitsakitsaka" Nous ne sommes pas vos esclaves pour vous avoir placé où vous (le président Marc Ravalomanana) êtes actuellement. Nous avons aussi nos ancêtres et il ne faut pas que vous nous marchiez sur les pieds – Député Vobninahitsy Jean Eugène. 
"Malagasy aho vao Merina. Menatra aho satria Merina. Menatra amin’ny nataon’ny namanay Merina taty aminareo Fianarantsoa izahay" Je suis Malagasy avant d’être Merina. J’ai honte d’être Merina de ce qu’avait fait un Merina (Marc Ravalomanana) chez vous à Fianarantsoa – Roger Ralison du Prm. 
"Tsy ekenay ho mpitondra-teny an’Isandra i Michel (Mineseb). Tsy tokony hatahotra hilaza ny fihaviany izy. Tsy mpanavakavaka aho” Nous ne pouvons pas admettre que Michel puisse être le porte parole d’Isandra. Il ne devrait pas avoir peur de dire son origine – Pety Rakotoniaina. 
A fermer cette malheureuse parenthèse. Au cours de ce meeting, le président Marc Ravalomanana, le PM Sylla, Honoré Rakotomanana, Tsizaraina Emile, Jean Lahiniriako Pdt de l’Assemblée nationale, Evariste Andriamamonjy le directeur provincial des TP, l’entreprise Tiko, passaient un à un dans le collimateur des frustrés à des degrés divers. "J’ai la forte impression que ces politiciens dont certains excellent dans l’exercice de la contorsion vestimentaire, dans l’instinct olfactif et dans le protée se comporte en champions de la défense du fahamarinana", disait un observateur qui semble connaître le parcours politique de ces discoureurs. 
Pour en revenir au mandat d’arrêt, les orateurs se sont manifestés pour la défense de leur protégé Pety Rakotoniaina. Mais le point qui a attiré particulièrement l’attention aura été cette déclaration du principal concerné : "Ce n’est ni le préfet ni le général Randrianarivo ne pourront nous interdire de manifester devant Magro. C’est un lieu historique. Lorsque nous terminons le tour de Madagascar nous reviendrons à la place du Fahamarinana. Si nous reviendrons je voudrai que vous député Faharo n’acceptiez pas qu’on nous accorde une autre place". C’est justement cette dernière phrase de la déclaration qui enclenche une question selon laquelle Pety Rakotoniaina sentirait il qu’il ne pourra plus faire partie de l’équipe pour la prochaine descente sur Fianar en demandant au député Faharo la charge de ce déplacement vers la place du Fahamarinana ? L'autre remarque qui a provoqué un débat très rapide c'est le fait que Pety Rakotoniaina n'aime pas un espace clôturé à l'image des parcs à bovidés. C'est la raison pour laquelle il veut absolument que les meetings se fassent à la place qu'il affectionne. 
Recueillis par : Victor Otonia


Le Monde  16/04/2003
Washington veut installer la "démocratie" en Irak et dans la région
LE MONDE | 16.04.03 | 13h37 
La réunion, à Nassiriya le 15 avril, des Américains, confrontés à l'émergence du pouvoir chiite, et de représentants de l'opposition est le point de départ de la reconstruction politique du pays. Il est aussi, a assuré Colin Powell, le début du "remodelage" de l'ensemble du Proche-Orient.
Washington de notre correspondant
Le "remodelage" du Proche-Orient est devenu un peu plus, mardi 15 avril, le vrai projet mis en œuvre par l'administration américaine avec le contrôle de l'Irak. Symboliquement, la capture du terroriste palestinien Abou al-Abbas à Bagdad, responsable du détournement du paquebot Achille-Lauro, en 1985, et de la mise à mort d'un passager juif américain paralytique, Leon Klinghoffer, est venue servir le propos de Washington.
Même si la victoire en Irak est "certaine, mais pas complète", comme l'a dit George Bush à l'occasion d'une rencontre, à la Maison Blanche, avec des chefs d'entreprise, le renversement de Saddam Hussein est, pour les dirigeants américains, la première étape d'une stratégie qui vise à mettre fin à des décennies d'affrontements sanglants et de stagnation économique et politique dans toute la région.
Colin Powell, qui s'adressait aux correspondants étrangers à Washington, a présenté la première réunion de représentants irakiens à Ur, près de Nassiriya, comme un "jour d'espoir"pour le peuple de ce pays, mais aussi pour ceux de la région. 
"La démocratie n'est pas une chose dont les musulmans devraient être privés", a dit le secrétaire d'Etat, ajoutant qu'"il n'y a aucune raison de craindre la démocratie au Proche-Orient ou dans le Golfe" et que "chaque nation devra trouver sa propre voie".Cette précision était destinée à rassurer ceux qui redoutent que la méthode employée avec Saddam Hussein ne le soit de nouveau, demain, avec d'autres. "L'Irak était un cas unique", a réaffirmé M. Powell.
Néanmoins, le diplomate de M. Bush a marié le chaud et le froid au sujet de la Syrie. Comme on lui demandait jusqu'où irait la volonté américaine de réformer le Proche-Orient, M. Powell a déclaré que le comportement de la Syrie "et certains aspects de la politique de l'Iran" préoccupent Washington, mais qu'il "n'y a pas de liste". "Il n'y a pas de plan, maintenant, pour attaquer -un autre pays-, que ce soit pour renverser ses dirigeants ou pour imposer des valeurs démocratiques", a-t-il ajouté. Le "maintenant" atténuait fortement l'assurance ainsi donnée.
"EN FINIR AVEC LE STATU QUO"
C'est que, comme l'a confié anonymement un responsable du gouvernement au New York Times, "nous devons faire comprendre que nous ne sommes pas venus seulement pour en finir avec Saddam Hussein, -mais- pour en finir avec le statu quo".
Il ne fait aucun doute que les dirigeants américains ne cherchent pas à rassurer les voisins de l'Irak, mais, au contraire, à les inquiéter. "Il s'agit de capitaliser politiquement sur le succès militaire en Irak", estime Michael Doran, professeur à l'Université de Princeton et spécialiste du Proche-Orient. "Le message adressé aux pays des la région est qu'ils ne peuvent plus s'engager dans une rhétorique anti-américaine au vitriol ou dans le soutien au terrorisme sans en payer les conséquences", résume M. Doran.
Dans le cas de la Syrie, le secrétaire à la défense, Donald Rumsfeld, a joint un geste à la parole. Interrogé, au cours d'une conférence de presse, sur la destruction de l'oléoduc Bagdad-Damas, par lequel l'Irak exportait illégalement du pétrole, M. Rumsfeld a répondu qu'il n'avait pas été détruit - "Nous avons préservé les infrastructures dans ce pays", a-t-il affirmé -, mais que l'ordre avait été donné de le fermer. Washington a accusé Damas, en outre, d'héberger le chef des services de renseignement de Saddam Hussein, Fazrouk Hijazi.
Pour les responsables américains, la présence, en Syrie, de membres de la garde rapprochée de Saddam fait craindre qu'ils ne cherchent à organiser des opérations contre les forces américaines et britanniques ou contre les Irakiens participant à la mise en place de nouvelles institutions.
Alors que le général Jay Garner, sorti de sa retraite pour diriger la reconstruction économique de l'Irak, n'est pas encore arrivé à Bagdad, M. Rumsfeld a revendiqué clairement, pour le Pentagone, la direction du processus politique. L'Autorité intérimaire irakienne, qui doit sortir des réunions dont la première a eu lieu, mardi, près de Nassiriya, "dépendra du peuple irakien", a déclaré le ministre de la défense, mais il lui a, quand même, assigné deux tâches : permettre aux Irakiens d'avoir "un rôle immédiat" dans l'administration de leur pays, "y compris à la tête de certains ministères", et réformer le système institutionnel, politique et économique. Pour M. Rumsfeld comme, d'ailleurs, pour M. Powell, la légitimité des organes de pouvoir qui vont se mettre en place en Irak ne viendra pas de l'ONU, mais "des Irakiens eux-mêmes".
Dirigée par l'ambassadeur spécial du président Bush, Zalmay Khalilzad, la réunion d'une centaine de représentants irakiens, à Ur, a été suivie, aussi, par le général Garner. Celui-ci apparaît ainsi comme associé au processus politique, puisqu'il lui reviendra non seulement de faire fonctionner les services civils irakiens, mais aussi de faire en sorte que des Irakiens y exercent des responsabilités.
Cet ancien du Vietnam, officier sorti du rang qui a fini sa carrière à l'état-major de l'armée de terre, sera assisté par l'ambassadrice des Etats-Unis au Maroc, Margaret Tutwiler. Le roi Mohamed VI a accepté qu'elle soit mise en congé de son ambassade pour assumer cette tâche.
Patrick Jarreau

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  les 'médiocres' parlent d'évènements

  les 'misérables' parlent contre les personnes..."


MANANDAFY RAKOTONIRINA « GUERRE ENTRE TIM ET MFM ! »
"Ma nomination, comme conseiller spécial du président de la République, ne change rien sur les relations qui me lient tant avec ce dernier qu'avec le MFM et le KMMR". Une semaine après l'officialisation de la fonction qu'il a déjà excercée durant une année auprès du Chef de l'Etat, Manandafy Rakotonirina vient de sortir de l'ombre du palais d'Ambohitsorohitra pour parler de sa position vis-à-vis du cours des affaires nationales. 
C'était hier sur les ondes de la Radio Antsiva. Intervenant sur cette radio privée, le président national du MFM a ébloui avec ses façons très subtiles de traiter les événements, surtout politiques. Il a révélé qu'il a commencé à graviter autour du Chef de l'Etat dès le début de la campagne des élections présidentielles. "Depuis ce temps là, j'ai déjà excercé la fonction de conseiller spécial de Marc Ravalomanana. En tout cas, cette nomination n'a rien changé en ce qui me concerne", a-t-il continué. Plus, il a clairement indiqué que, contrairement aux allégations colportées ici et là, "cette nomination n'aura aucun impact sur le MFM qui reste résolument soudé et unique". De même, ce patron du "Mafana" a réitéré sa ferme volonté de rester uni dans toutes les actions menées par le KMMR. "Un KMMR qui n'est point dans l'opposition et qui n'a rien à voir ni avec le CRN ni avec l'Arema", a-t-il tenu à préciser. 
Ayant excercé ensuite, cette fois-ci par voie radiodiffusée, sa fonction officielle, Manandafy Rakotonirina a été clair et catégorique sur l'amalgame qui prévaut actuellement dans la haute sphère de l'Etat : "la Constitution a clairement défini les attributions de chaque institution. Aussi, le président de la République n'a point à excercer la fonction de Premier ministre et vice versa. De même, le Chef de l'Etat n'a pas à officier, par exemple, comme maire ou président de fokontany tout comme les élus n'ont pas à promettre de réaliser des travaux relevant de la compétence de l'Exécutif". 
Mais ce fut les critiques qu'il a lancées hier contre le gouvernement, du moins contre quelques-uns de ses membres, qui ont retenu l'attention du grand public. "Des ministres, dans leurs missions en provinces, ont utilisé le nom du président de la République pour faire accepter leurs propres abus et autres bourdes", a-t-il révélé. Il a ainsi pris l'exemple de ce membre du gouvernement qui a ordonné, soit-disant suite à un ordre émanant du président Marc Ravalomanana, au chef CISCO de Fianarantsoa d'interdire la réception des quatre ordinateurs octroyés au lycée local par l'ONG "Tambatra 2002". Ayant poussé encore plus loin le bouchon, il a clairement indiqué que "certains ont claironné ici et là que toutes ces arrestations, opérées suite aux événements de 2002, ont émané du Chef de l'Etat. C'est archi-faux !". Ayant soutenu de ce fait les appels déjà lancés par ce dernier sur ce problème, il a déclaré que "l'on condamne donc ceux qui sont à condamner et que l'on libère immédiatement ceux qui sont à libérer".
En ce qui concerne son "poulain", Pety Rakotoniaina, Manandafy Rakotonirina a été clair et net : "Ce fut le TIM qui a tout fait pour que Pety Rakotoniaina soit démis de sa fonction. Et tout a été fomenté par le gouvernement. Ainsi, rien n'étonne si la guerre est déclarée entre le TIM et le MFM. Du moins à Fianarantsoa". Sur sa nomination , il a appuyé que "l'enfant terrible" du MFM a déjà indiqué à qui veut l'entendre que ceci ne change en rien l'état des relations qui lient les deux hommes. Pour ce qui en est des propos fracassants tenus dernièrement par le KMMR à Toliara, le président national du MFM n'y a vu aucun inconvénient : "la vérité doit, au nom de la transparence et de la démocratie, être révélée au grand jour !". En tout cas, sur tous ces problèmes, il reste convaincu que "seul le président de la République peut les résoudre". Le Chef de l'Etat qu'il croit dur comme fer "ne jamais rejeter ses alliés et autres amis politiques qui ont lutté à ses côtés".
Mais une phrase, plutôt anodine et prononcée par l'interviewé lors de sa prestation radiodiffusée d'hier, a littéralement étonné plus d'un : "la déclaration, faite à Fianarantsoa par le président Marc Ravalomanana, selon laquelle il ne va pas dissoudre l'actuel gouvernement ne veut pas dire qu'il allait ou pas effectivement changer cette équipe de Mahazoarivo. Si le Chef de l'Etat veut changer le gouvernement, il peut le faire. A tout moment".
Recueillis par Rolly Mercia
TOURNÉE PRÉSIDENTIELLE: RAVALOMANANA DANS LE VAKINANKARATRA
Poursuivant ses tournées dans différentes régions de l'Ile dans le cadre des efforts de recherche des voies et moyens pour sortir le pays de la pauvreté, le président Marc Ravalomanana était hier à Antsirabe où il a dirigé à l'Hôtel Impérial un atelier sur le développement de la région du Vakinankaratra.
Le Chef de l'Etat devait à cette occasion annoncer sa décision de faire d'Antsirabe une ville moderne en accord avec son statut de grande ville. Il devait également définir la méthode de travail à adopter et l'esprit qui doit animer les acteurs du développement régional pour atteindre cet objectif. Les opérateurs économiques d'Antsirabe ont exprimé leur volonté d'apporter leur contribution à l'effort de développement de la région de Vakinankaratra. Il s'agit, en l'occurrence, de créer des unités de production qui vont aussi générer des emplois.
Le président du Groupement des Entreprises du Vakinankaratra connu sous son sigle malgache FOV ("Fivondronan'ny Orinasan'i Vakinankaratra"), Ramarijaona, a toutefois soulevé les problèmes engendrés par la lourdeur administrative. Des problèmes qui, selon le ministère de l'Industrialisation, du Commerce et du Développement du Secteur privé, Razafimihary Mejamirado devraient être résolus par la mise en place d'un guichet unique.
Au chapitre des projets à concrétiser à très court terme, le service local des Travaux publics sera doté des moyens adéquats qui devront lui permettre d'effectuer des recherches en matière de construction de routes. La région du Vakinankaratra devrait aussi bénéficier du recrutement de quarante médecins supplémentaires pour la Province autonome d'Antananarivo. Par ailleurs, un nouveau lycée sera construit à Soanindrariny, dans le Fivondronampokontany d'Antsirabe II.
Toujours au cours de ce déplacement dans la région du Vakinankaratra, le président Ravalomanana a inauguré le cinquième "Magro", magasin de vente en détails de produits d'usage courant qui fait partie du groupe Tiko. Cet établissement très moderne a coûté pour sa création la somme de sept milliards de Fmg.
P.R
BANQUE MONDIALE :LES MICROSUBVENTIONS SONT DISPONIBLES 
De nouveau 40.000 USD de subventions non remboursables sont disponibles pour les ONG et associations ayant une existence légale en vue de monter un projet directement opérationnel au niveau de la population pour l'année fiscale 2003-2004.
Cette année, le Programme de Microsubventions (PMS) de la Banque mondiale va financer les demandes de subventions axées sur la promotion de l'engagement civique des citoyens et au développement des groupes vulnérables et marginalisés. Evidemment, sera écartée, toute demande ne correspondant pas à ce thème.
Il entre ici donc des critères d'éligibilité et de non-éligibilité. Les activités éligibles sont la création de réseaux c'est-à-dire de projet viable qu'on peut évaluer à long terme. Les projets doivent épouser le cadre de la politique de développement. La publication et la production de supports IEC sont également encouragées. Au contraire, le PMS ne finance pas les programmes de recherche, les financements d'infrastructure, les activités génératrices de revenus (AGR), les aides aux institutions, les bourses et programmes d'études et de perfectionnement, les voyages et toutes demandes à titre personnel. 
La plupart des subventions sont comprises entre 2.000 et 8.000 dollars. Les demandes et la fiche de renseignement sont disponibles auprès des Directions provinciales du Ministère de la Population ou des antennes régionales de la Banque mondiale et surtout auprès de la représentation de la Banque Mondiale à Anosy. Les demandes devraient parvenir au bureau de la Banque mondiale au plus tard le vendredi 18 avril 2003 à 17 heures.
Recueillis par Didier R. 
MINSAN/JSI: PARTENARIAT ACCEPTABLE ET RÉALISABLE
Le Projet JSI ("Jereo Salama Isika") met fin à ses quatre ans d'existence, "mais l'USAID continue ses actions, surtout en matière de santé", souligne l'ambassadeur des Etats-Unis, Wanda Nesbitt. "La santé est l'affaire de tous et elle se cultive au jour le jour". Durant l'atelier de dissémination des activités et résultats de ces quatre ans, hier à l'Hôtel Madagascar Hilton, il en est ressorti que JSI avait surtout travaillé sur la promotion de la santé infantile et le renforcement de la lutte contre la malnutrition. De ce fait, cinq axes dirigent ses objectifs, à savoir: (i) la mobilisation de la communauté pour la promotion de la santé dans les ménages malagasy ; (ii) l'extension des programmes enfant à enfant (child to child) ; (iii) la promotion de la PCIME ; (iv) le support des campagnes nationales d'éradication de la poliomyélite ; et (v) l'augmentation et la décentralisation de l'accès aux services de qualité en matière de santé de la reproduction, survie de l'enfant et santé maternelle.
• Décentralisation ou appui technique
De cette décentralisation, il est donné aux centres de santé son autonomie. Ils seront capables de planifier, de mettre en oeuvre, d'évaluer leurs activités. Ils détiennent donc leurs pouvoirs d'action. Le transfert de capacités manageriales et de ressources permet alors aux centres une facilitation de mise en oeuvre efficace au niveau des communautés concernées. "Tout projet qui n'inclut pas l'approche communautaire est voué à l'échec", certifie le directeur Provincial de Santé d'Antananarivo, Norolalao Rakotondrafara Ralitera. De la Politique Nationale jusqu'aux ménages, en passant par les districts, les CSB et les communautés locales, la mobilisation est effective.
• Une approche concluante
L'approche communautaire a été introduite à Madagascar dans un but de favoriser et de redynamiser le changement de comportement en général de la population et l'acquisition d'une meilleure pratique face au besoin urgent d'amélioration de la santé de la famille malagasy, en particulier la santé maternelle et infantile. Cette approche fut initiée par les projets JSI/Linkages financés par l'Agence américaine pour le développement international dans le pays vers la fin des années 90. Actuellement, il est prouvé que c'est une des méthodes les plus fiables quant à la nécessité d'appropriation et de pérennisation d'un programme de population.
• Appui en financement
A travers les appuis financiers alloués par le Projet, on peut donner ces chiffres : 18.000 animateurs locaux et 400 communautés de base formés, 470 CSB remis à niveau (Antananarivo - Fianarantsoa), 50 millions fmg alloués aus SSD en matière de IEC, 32 stations-radio travaillant avec le Projet.
D'autre part, 500 à 700 millions fmg répartis dans chaque CSB avec l'octroi d'ordinateurs et de voiture 4x4, et 4 milliards fmg pour chaque Direction provinciale. En définitive, 40% des actions des centres sanitares ont été soutenues par JSI.
Volana
AMBASSADE DU JAPON: « VELOMA » À SEIGI HINATA !
Des diplomates, des amis du Japon, et d'autres personnalités du monde diplomatique se sont donnés rendez-vous, hier, en fin de matinée pour s'associer au "veloma" organisé par le ministère des affaires étrangères à l'occasion du départ en fin de mission en terre malgache de l'ambassadeur de Japon, Seigi Hinata. 
Ce fut une occasion pour le ministre des affaires étrangères, Marcel Ranjeva, d'élever ce diplomate japonais au grade de "Commandeur de l'ordre national malgache", au nom du président de la République et dans la foulée en des termes éloquents l'excellence de la coopération entre Japon et Madagascar, en général, et les réalisations "diplomatiques" de Seigi HInata, en particulier ainsi que les aides du Japon au développement de Madagascar concernant essentiellement l'agriculture, l'énergie, la pêche et l'aquaculture, la santé, les travaux publics, l'éducation et les sports, la protection civile et la lutte contre l'incendie. Le gouvernement japonais a également octroyé des dons hors projet pour soutenir les efforts destinés à l'ajustement structurel économique à Madagascar, à l'allègement des difficultés économiques dont la dette. 
Le général Ranjeva a rappelé, dans son discours, que le gouvernement de la République de Madagascar tient à réitérer ses préoccupations face à l'évolution de la situation en Irak. "Les priorités actuelles, a -t-il ajouté, concernent le rétablissement de la paix en Irak et la reconstruction du pays après les opérations militaires . Pour teminer, il a souligné son appréciation personnelle à l'égard du diplomate japonais pour sa prise de position et son gouvernement durant la crise 2002.
Toujours au ministère des affaires étrangères, l'ambassadeur de la République fédérale d'Allemagne, Heinz Peter Behr, a effectué une visite de travail chez le ministre Ranjeva Marcel, hier après-midi. Leur entretien a été axé sur les relations internationales et bilatérales, notamment la célabration du 120è anniversaire du traité d'amitié entre les deux pays.
NTA 
DSRP: PAS BESOIN D'UN GRAND TAM-TAM POUR ÊTRE EFFICACE
Le gouvernement de Tantely Andrianarivo a prouvé de façon éclatante qu'on pouvait convaincre les bailleurs de fonds du bien fondé du programme économique pour réduire la pauvreté sans déplacer tout le gotha de la République à un atelier national, somme toute banal. Le DSRP a besoin de l'adhésion de tous mais n'exige pas que le débat politique soit interdit comme suggère le quotidien du TIM. Le précédent pouvoir a essuyé les salves des critiques des opposants de l'époque durant son existence, cela ne l'a pas empêché de mener à terme les pourparlers avec les bailleurs de fonds, on en récolte jusqu'à maintenant les fruits. Il appartient au gouvernement du TIM de réussir le développement rapide et durable au lieu de chercher déjà des boucs émissaires d'un prévisible échec des réformes économiques. A titre de rappel, au cours de la présentation au public pour la première fois au Hilton le 7 septembre 2000, Tantely Andrianarivo alors chef de gouvernement avait prédit qu'un taux de croissance en terme réel du PIB de 8% dès 2003 serait parfaitement à la portée de Madagascar. Cela devant les bailleurs de fonds. A quelques nuances près, le DSRP avancé par le gouvernement du TIM (avec deux généraux fidèles de Didier Ratsiraka, un Premier Ministre proche du Professeur Albert Zafy, excusez du peu !) n'est qu'une pâle copie du DSRP original.
Problèmes des Magistrats: Rien de concret à Ambohitsorohitra
Ayant usé de ses statuts de Chef suprême de la magistrature, de président d'honneur du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) et de président de la République, M. Marc Ravalomanana a convié hier à son bureau d'Ambohitsorohitra, la ministre de la Justice et les ténors du syndicat des magistrats de Madagascar (SMM). Selon Philippe Andrianjanahary (président du SMM) à l'issue de cet entretien qui a duré près de deux tours d'horloge, des échanges d'informations et d'idées ont eu lieu entre les trois parties sur les problèmes qui minent actuellement la Justice. "Mais comme le Chef de l'Etat devait encore joindre Antsirabe, il a été convenu de reporter la suite des discussions après les festivités pascales", a-t-il continué. De ce fait, ce président du SMM a clairement indiqué que la conférence de presse, programmée hier, sera également reportée en attente des nouvelles données devant être accouchées par ces discussions. Or, il paraît que la conférence de presse en question aurait été tenue hier à l'heure et lieu indiqués. Est-ce à dire que la scission, tant commentée ces derniers temps, de ce syndicat serait en passe de se concrétiser ? En tout cas, des banderoles vindicatives ont été étalées hier, à l'entrée du palais de Justice à Anosy, décriant des abus et autres injustices perpétrées au sein de la... Justice.
Crise universitaire: Le feu continue de couver…
Hier vers midi, un groupe d'individus se réunissait près du bloc 59 de la cité U d'Ankatso II. Selon les rumeurs qui se sont propagées, ce groupe aurait projeté de rameuter les étudiants dans le but de les conduire à perpétrer des actes de déstabilisation du monde universitaire. Personne n'a pu indiquer hier si ces gens sont de vrais étudiants ou de personnes étrangères aux cités U. En tout cas, les avis convergent pour dire que le feu continue encore de couver à Ankatso. D'ailleurs, jusqu'à ce jour, aucune liste officielle des étudiants, devant bénéficier des logements universitaires, n'est encore sortie. 
Dans son intervention d'hier à la radio Antsiva, Manandafy Rakotonirina devait décrier que c'est le manque de moyens financiers et d'infrastructures qui reste la principale source de cette crise universitaire. En outre, il a clairement indiqué que "bon nombre de ceux qui sortent d'Ankatso n'arrivent pas à trouver du travail tandis que bien de ceux qui ont le bac en poche n'arrivent point à passer le concours d'entrée dans les filières universitaires". Le président national du MFM croit dur comme fer que "tout le monde, étudiants comme enseignants, est libre de tenir les propos qui leur plaisent. La liberté est totale dans cette université d'Ankatso. Personne n'y doit pas être interdite d'opinion et tout le monde peut y faire de la politique"....


MIDI MADA 16/04/2003 

MARC RAVALOMANANA « Critiquez mais travaillez !»
Le Président de la République était à Antsirabe, hier, pour y poursuivre le processus d'explication du DSRP. Sur le plan politique, Marc Ravalomanana a répondu à ceux qui passent leur temps à gesticuler en déclarant que ce sont ceux qui ne travaillent pas qui critiquent le plus. "Ceux-ci doivent travailler et aider l'Etat dans la recherche du développement du pays. 
Val A. 
D'où qu'elles viennent, je n'ai pas peur des critiques. Mais, on ne doit pas critiquer bêtement dans les rues. Ces personnes doivent travailler et non agir de la sorte", a-t-il déclaré avant d'ajouter que "le pays a besoin de stabilité politique pour que les bailleurs de fonds aient confiance en nous. Sans cette stabilité politique, il nous sera difficile d'obtenir les financements de nos partenaires internationaux. Nous de notre côté, devons faire confiance aux bailleurs de fonds parce que les 85% de nos ressources financières viennent d'eux". Jouant le rôle d’un « Raiamandreny », le Chef de l’Etat a ainsi lancé un appel de responsable.
Frustration 
En effet, Fianarantsoa fut hier l'étape suivante des membres du Kmmr nouveau, après Toliara. Ayant négocié la "Place du Fahamarinana" avec les autorités locales, le meeting n'a eu lieu que sur un terrain de basket-ball à Ampasambazaha. Un test pour le mouvement vis-à-vis de son public, le Kmmr a quand même pu réunir comme assistance…trois cents (300) personnes, selon des sources locales. Pety Rakotoniaina, Jean Eugène Voninahitsy, Roger Ralison, Gaston Ramaroson, Fenomila Maxime, Faharo Ratsimbalison et Avonel Andriatsilavo ont repris le même langage d'opposants avec des déclarations tonitruantes de façade. Toujours très critique à l'endroit du gouvernement, le Kmmr y voit un moyen subtil pour réclamer indirectement des "seza", objets de sa frustration.
Lignes générales 
Il est inutile de s'appesantir sur les propos proférés par les membres du Kmmr se rapportant au tribalisme, lesquels auraient choqué des habitants lucides de Fianar. Mais le fait nouveau, si on peut le considérer ainsi, dans les discours de ces politiciens dits "frustrés", fut leur attaque contre le Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté (DSRP). Dernièrement invités à s'exprimer sur ce document au palais d'Iavoloha, ces politiciens viennent de le réfuter en arguant que cette stratégie n'augure rien de bon et n'est pas en mesure de résoudre tous les problèmes tels que la misère ou encore les problèmes sociaux. Le Kmmr a fait remarquer que ce document a été finalisé à Iavoloha et qu'il est inutile de le "refaire" dans les provinces. Ce mouvement semble oublier que le DSRP étant l'énoncé des lignes générales de la politique du redressement, il importe de l'expliquer aux responsables locaux malgaches, en vue de sa réalisation. Grâce à ce DSRP qui a eu l'aval des bailleurs de fonds, Madagascar peut espérer supprimer 90% de ses dettes. Le Kmmr donne l'impression de se poser en ennemi du redressement. Ses membres ont ainsi montré leurs réticences vis-à-vis de ce document, alors qu'ils ne se sont pas bien exprimés lors de son élaboration au palais d’Iavoloha. Peut-être que c’était un domaine où ils se sentaient un peu indisposés. Mais sauront-ils écouter l'appel du Président ?
SMM : La balle dans le camp de Ravalomanana en tant que « Raiamandreny » 
Des représentants du Syndicat des Magistrats de Madagascar se sont entretenus, hier matin, avec le président Marc Ravalomanana, au Palais d’Etat d’Ambohitsorohitra. « L’entretien a été très bref, environ 30 mn, tout n’ a pas été dit pendant cette entrevue », rapporte le président du SMM, Andrianjanahary Philippe. Toutefois, selon ce dernier, à l’issue de cette entrevue, le président va prendre l’affaire en main. 
Dominique R. 
Pour sa part, le vice-président du SMM, Randrianarivelo Désiré, a signalé que le syndicat s’est rendu à Ambohitsorohitra pour rencontrer le président Ravalomanana en tant que président du Conseil Supérieur de la Magistrature. Un rôle que le président va certainement jouer en tant que « Raiamandreny » et en tant que premier responsable du CSM. Prévu à 11 heures, l’entretien a été avancé à 8 heures15 du matin, au motif que le président Marc Ravalomanana partait à Antsirabe. Il est à noter que les deux parties, à savoir le SMM et le ministère de la Justice, étaient présentes, lors de cette entrevue avec le Chef de l’Etat.
Dénouement
Ce n’est que partie remise, car une autre rencontre est prévue dans le courant de la semaine prochaine, entre le SMM et le président Marc Ravalomanana.. Selon toujours le président du SMM, le syndicat veut connaître la véritable position du président. Et c’est certainement l’une des raisons de cette deuxième rencontre. Quant à la conférence de presse que le syndicat a voulu organiser hier, elle a été reportée à une date ultérieure, après les fêtes pascales. Cependant, le président du SMM a donné un bref aperçu du litige qui oppose le SMM au ministère. « C’est le statu-quo actuellement », a-t-il dit. A propos de la grève, le bureau du syndicat a réitéré que le SMM n’a nullement eu l’intention de faire une grève. Après cette mise au point, les membres du syndicat se sont réunis de nouveau. Une réunion qui s’est tenue à huis clos. La semaine prochaine verra probablement un dénouement au conflit qui oppose les deux parties. Concernant les huit magistrats de Toamasina qui ont été suspendus dans leurs fonctions, les enquêtes de quatre d’entre eux vont débuter ce jour à Toamasina. Selon des sources dignes de foi, les quatre autres n’étaient pas encore présents, du moins, jusqu’à hier, dans la capitale du Betsimisaraka. Selon toujours nos sources, leur absence serait due aux différentes réunions du SMM dans la capitale. 
Pôlisy sandoka nandroba vola 2,5 tapitrisa iraimbilanja 
Notanana am-ponja vonjimaika omaly ilay lehilahy antsoina hoe Alain, teraka tamin’ny taona 1970, monina eny Ankadilalampotsy-Ankaraobato, nisandoka ho pôlisy, nandroba vola tao amina mpivarotra saribao iray, teny Andohavato-Tanjombato, ny harivan’ny 10 avrily 2003 lasa teo, tokony ho tamin’ny fito ora. Vola mitentina 2,5 tapitrisa mahery raha atotaly no lasany tamin’izany asa fisandohana ho mpitandro filaminana izany. Tonga tao amin’ilay mpivarotra saribao izy, tamin’io ora voatondro etsy ambony io. Nitonona ho inspecteur de police avy ao Tanjombato ny tenany ary dia nampiseho karatra ihany koa. Hanao perquisition ao amin’io mpivarotra saribao io, hono, ny tenany. 
Rocco R. 
Sendra tamin’ny fotoana tsy naha-tao an-trano an’ilay raim-pianakaviana, vadin’ilay ramatoa mpivarotra saribao, izany. Nangataka hijery ny anarany ilay ramatoa saingy nasitriny haingana tany am-paosiny ilay karatra sandoka nasehony, nisandohany ho pôlisy. Farany, tafiditra tao an-trano ihany ity mpisandoka ity ary nasain’ilay ramatoa niandry ny vadiny. Tamin’izay anefa no indro nisy olona nividy saribao, koa dia voatery nivoaka nijery izany ilay mpivarotra. Niverina nitady madinika tao an-tranony izy ary mbola nivoaka ny trano indray nanome ny famerim-bola. Niharihary teo ilay vatakely misy ny vidin-tsaribao ary hitan’ilay mpisandoka tsara izany. Tsy nanaiky anefa ilay mpisandoka raha tsy nentiny nanaraka azy ilay ramatoa. Fanompàna, teny ratsy sy fampitahorana maro no nahazo azy nandritra izany. 
Fanolanana 
Saika naolan’ilay pôlisy sandoka indray anefa ilay ramatoa mpivarotra saribao, nony lasa lavidavitra kely ny trano fonenany. Tsy vitan’izany fa mbola nangaroniny ihany koa ny vola tany am-paosiny. Soa ihany anefa fa nisy taxi-be nandalo koa lasa nirifatra nandositra ity mpisandoka ity. Tsy vitany izany fikasàna hanolana an’ilay mpivarotra fa ny vola koa no lasany avokoa. Mitentina 2,5 tapitrisa iraimbilanja, araka ny efa voalaza tetsy aloha, ny vola voarobany, ka ny 2,4 tapitrisa tamin’izany dia tao anatin’ilay vatakely tany an-trano ; ny 130.000 Fmg kosa dia ny vola sisa tany am-paosin’ilay ramatoa. Amin’ny faha-24 avrily izao no fotoam-pitsarana an’ity mpisandoka ho pôlisy, nandroba vola sy nanam-pikasàna hanolana vehivavy ity. 
Fandotoana 
Mendrika ny hosaziany mafy tokoa ny olona tahaka itony izay mandoto sy manimba endrika ny pôlisim-pirenena. Iaraha-mahalala anefa fa azo tsapain-tanana tokoa ny vokatry ny asan’ny mpitandro filaminana, saika nanerana ny Nosy, raha tsy hiresaka fotsiny afa-tsy ireo andian-jiolahy mitam-piadiana manafika etsy sy eroa efa sarona izay. Tsy kely lalana ihany koa anefa ny jiolahy ary dia ny anaran’ny mpitandro filaminana indray no entin-dry zalahy hanamoràna ny asa ratsiny. 

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