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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent 29 mai 2004

(patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Hello again....  TetezamitaKely  Communique sur MadaVôvö

sur le site d'ANIMATION ARR ...RRRRR ! 

http://a.ratsimbarajohn.free.fr/

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Sommaire Madavôvô:

1. Madagascar: des réservistes prennent brièvement des députés en "otages"  (TV5.org)

2. L’euro à 14.570 Fmg  (Midi Mada)

3. LA LOI DE FINANCES SERA RECTIFIÉE POUR LIMITER LES DÉGÂTS (Express Mada)

4. Chute du FMG -  A cause de vrais-faux billets ? (La Gazety)

5. Conseil de discipline - Deux magistrats sanctionnés  (La Gazety)

6. Tantely Andrianarivo à Paris -  Poursuivi par la justice française ? (Tribune)

7. No Comment.... No Comment...

8. Jacques Chirac à Madagascar début 2005 ( Mada Magazine)

9. projets de lois sur les regions...Des centaines de « Zanadambo » ou réservistes ont rallié ... (Midi)

10. Les réservistes manifestent à Tsimbazaza pour démentir ... . (Les Nouvelles)

11. COMMENT FAIRE POUR AVOIR DES PLANTS DE RIZ QUI CROISSENT MIEUX ... (Nosintsika)

12. Madagascar :Des réservistes prennent le Parlement en otage - (Mada Magazine)

COURS DES CHANGES

   EURO(cmax) 14 570 FMG 
   EURO(cmin) 12 800 FMG 
   EURO(cmp) 13 462 FMG 
   USD 11 088,05 FMG 
   GBP 20 169,30 FMG 
   CHF 8 754,35 FMG 
   JPY 99,44 FMG 
   ZAR 1 682,53 FMG 
    HKD 1 422,93 FMG 

Midi Mada  28 mai 2004

MID : L’euro à 14.570 Fmg 
« A ce rythme, l’euro atteindra bientôt un taux de 15.000 Fmg ». En annonçant cela, les cambistes croyaient que le cap des 15.000 Fmg pour un euro, serait bien atteint, mais à une date qui se rapprocherait plutôt de la mi-juillet. Malheureusement cette prédiction risque de se réaliser plus tôt que prévu puisque hier, l’euro affichait sur le marché interbancaire des devises un nouveau taux record de 14.570 Fmg en cours maximum.
Edmond R.
Avec cette chute effrénée de la monnaie nationale dont les conséquences inflationnistes seront inévitables, le milieu des affaires se pose en tout cas des questions sur la capacité du gouvernement à gérer efficacement l’économie nationale Le ministère de l’Economie, des Finances et du Budget en général et la Banque Centrale en particulier, ne jouent-ils plus leur rôle de gardien de la stabilité monétaire et de régulateur des changes, s’interroge-t-on, en proposant que les Zaza Ramandimbiarison, Radavidson Benjamin Andriamparany et autres fassent de nouveau une conférence de presse pour annoncer leur stratégie afin de mettre un terme à cette chute vertigineuse du Fmg.


TV5.org   28 mai 2004

Madagascar: des réservistes prennent brièvement des députés en "otages"

Marc Ravalomanana

ANTANANARIVO (AFP) - 28/05/2004 14h06 - Plusieurs centaines de réservistes de l'armée de Madagascar ont pris des députés en "otages" vendredi pendant quelques heures en bloquant les abords de l'Assemblée nationale à Antananarivo dans une manifestation sans armes, avant de se disperser sans incident.
Leurs revendications étaient uniquement financières. Les réservistes réclament des indemnités supérieures à celles de 200.000 ariary (118 euros) par personne annoncées par le Premier ministre lors de leur cérémonie d'adieu aux armes, le 31 janvier 2004.
Peu après 14h00 locales (11h00 GMT), le porte-parole des réservistes, Georges Randimbiarijaona a appelé les manifestants à se disperser après avoir eu un entretien avec deux des vice-présidents de l'Assemblée nationale pour leur exposer leurs revendications financières.
"Je leur ait dit de nous adresser une lettre avec l'ensemble de leurs revendications", a déclaré à l'AFP l'un des deux vice-présidents, Jean-Pascal Jaosao.
Selon leur porte-parole, les manifestants étaient environ 1.200 à s'être rassemblés peu avant 11h00 locales (8h00 GMT) devant l'Assemblée, en centre-ville. Le commandant du groupement de la gendarmerie d'Antananarivo, le colonel Faly Rabetrano, a estimé leur nombre à 500.
Le chef de service de l'information et des relations avec les médias à l'Assemblée nationale, Mme Hanta Racotovao, a affirmé que six membres du bureau permanent de l'Assemblée étaient présents vendredi matin dans les locaux, ainsi que quatre députés "de passage", venus chercher des dossiers ou passer des coups de téléphone.
Quelque 500 employés de l'Assemblée nationale se trouvaient également dans les locaux à l'occasion d'une réception pour le 25ème anniversaire de la mutuelle des agents de l'Assemblée, a-t-elle ajouté.

Le chef de service de l'information et des relations avec les médias à l'Assemblée nationale, Mme Hanta Racotovao, a affirmé que six membres du bureau permanent de l'Assemblée étaient présents vendredi matin dans les locaux, ainsi que quatre députés "de passage", venus chercher des dossiers ou passer des coups de téléphone.
Quelque 500 employés de l'Assemblée nationale se trouvaient également dans les locaux à l'occasion d'une réception pour le 25ème anniversaire de la mutuelle des agents de l'Assemblée, a-t-elle ajouté.
Dans la matinée, elle avait pourtant déclaré à l'AFP qu'il y avait là "tous les députés et le personnel qui fait la fête".
L'Assemblée nationale de Madagascar compte 160 députés.
Vendredi matin, au cours de cette manifestation finalement très pacifique, le porte-parole des réservistes parlait de "prise d'otages".
"Nous attendons que les députés trouvent une solution aujourd'hui à nos problèmes, nous leur donnons un ultimatum. (....) C'est une prise d'otage des députés pour qu'ils examinent aujourd'hui nos requêtes", une prime de démobilisation, avait-il déclaré à l'AFP.
Pendant la crise politico-militaire de 2002, quelque 2.500 réservistes avaient répondu à l'appel de Marc Ravalomanana "pour reconquérir le territoire" après le premier tour contesté de l'élection présidentielle du 16 décembre 2001.
L'ancien président Didier Ratsiraka, après avoir contesté jusqu'au bout la victoire de M. Ravalomanana, a quitté Madagascar en juillet 2002 pour l'exil en France, où il se trouve toujours.
La contestation des réservistes a débuté lors de leur cérémonie d'adieu aux armes le 31 janvier 2004, où le président Ravalomanana ne s'était pas rendu. Depuis, ils ont manifesté à plusieurs reprises pour faire aboutir leurs revendications financières.
Cette crise constitue le plus important mouvement de contestation auquel M. Ravalomanana doit faire face depuis son arrivée au pouvoir.
En février, à la suite de négociations, le ministère de la Défense avait accepté de rembourser à chaque réserviste ses éventuels arriérés de salaire et les frais médicaux pour les blessures subies pendant les affrontements.
Le ministère s'était également engagé à verser des pensions de veuvage en cas de décès. Trente-huit réservistes sont morts pendant la crise).
Le ministère de la Défense indique que de nombreux dossiers ont déjà été traités, sans préciser leur nombre. Il avait également annoncé le 1er mars que les prochains versements ne seraient pas effectués avant mai.


Express Mada  28 mai 2004

LA LOI DE FINANCES SERA RECTIFIÉE POUR LIMITER LES DÉGÂTS DE LA DÉTAXATION
UNE LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE EN PRÉPARATION POUR LIMITER LES DÉGÂTS DES DÉTAXATIONS 

Les membres du gouvernement qui ont l'audace et le courage de commenter la situation financière et économique actuelle s'abstiennent d'avancer une quelconque analyse sur ce que pouvaient être les conséquences des détaxations en série décidées par le Président de la République sur l'équilibre macro-économique. Une attitude tout à fait compréhensible de la part des ministres. 
Mais les faits sont têtus : hier l'euro maximum valait 14 570 Fmg soit 1270 points de plus que la veille, tandis que le dollar suit sa progression pour atteindre les 11 088 Fmg. La hausse généralisée par cette dépréciation du Fmg accentuée par l'augmentation du prix du baril de pétrole sur le marché international, affecte considérablement les portefeuilles des ménages qui auront à gérer la prochaine accélération décidée par les transporteurs sur le rythme de leurs tarifs. Face à cette situation qui vire chaque jour davantage à une véritable catastrophe nationale aux conséquences inattendues pour le pouvoir, le gouvernement ne peut plus se contenter de bâillonner les députés de l'Assemblée nationale par des explications théoriques peu convaincantes. L'heure des grandes décisions a sonné depuis longtemps. 
Ainsi, le ministère de l'Economie, des finances et du budget s'attele depuis quelques jours à peaufiner des textes réduisant le champ d'application des détaxations décidées en juillet 2003 pour être effectives au mois d'octobre de l'année dernière. 
Il s'agit d'une constatation d'échec de cette orientation économique présentée comme étant la baguette magique pour nous sortir de l'ornière dans laquelle nous sommes engloutis. 
DES SOLUTIONS ENVISAGEABLES 
Après le diagnostic de la situation, voilà quelques pistes à explorer pour revenir dans le droit chemin de l'orthodoxie financière internationale : la dépréciation du Fmg se nourrit d'elle-même par la panique des opérateurs économiques. Il est temps de réduire de moitié les objectifs de réserves de la Banque centrale. 
L'Etat ne commettrait pas de crime en instaurant l'obligation de cession aux exportateurs sur ce qu'ils gagnent dans leurs opérations dans un délai de 60 à 90 jours durant une période n'excédant pas 6 mois. 
Que le factures pétrolières ne soient plus négociées au Mid mais seulement avec la Banque centrale. Et enfin comme beaucoup le réclament, que le Mid soit ouvert en continu par le net au lieu d'être quelques instants de privilégiés de deux heures. 
Par extension, certains souhaiteraient le retour à des taux administrés du Fmg vis-à-vis des devises fortes. Cette expérience a fait ses preuves dans des petits pays "englobés" par la privatisation où il était essentiel de gérer les taux de changes que d'autres agrégats économiques. 


La Gazety 28 mai 2004

Chute du FMG -  A cause de vrais-faux billets ?
Tout le monde se souvient encore de l’existence de trois conteneurs, bourrés de nouvelles liasses de 25 000 Fmg, qui ont été débarquées au port de Toamasina au moment fort de la crise de 2002. De nouveaux billets qui ont été commandés par l’ancien régime. L’on a évoqué à cette période que l’amiral et ses proches auraient commencé à dépenser ce faramineux pactole. En tout cas, des billets, encore tout crissant, ont commencé à circuler dès l’avènement du régime Ravalomanana mais, selon des témoins oculaires, ceux-ci auraient porté la signature de l’ex-SG de la Banque centrale, Ferdinand Velomita et nullement celle du gouverneur en exercice légal. Des médias ont, d’ailleurs, révélé ce fait en mai-juin 2002. 
Cependant, curieusement, cette affaire s’est subitement tue et, jusqu’à ce jour, personne n’y a plus touché mot. Quoi qu’il en soit, des indiscrétions font aujourd’hui croire que le contenu de ces trois conteneurs aurait été détenu par un responsable de la province de Toamasina. Pis, ces liasses, flambant neuves, auraient déjà inondé le pays et, comme il ne serait plus possible de les déceler de celles légalement émises par la Banque centrale, elles auraient actuellement gonflé à bloc la masse monétaire en circulation. Bref, la venue de ces vrais-faux billets dans le circuit monétaire légal est perçue par certains analystes comme l’une des raisons de cette chute vertigineuse du FMG. Ajoutés aux nouveaux billets de 50 000, 25 000 et 10 000 FMG que les tenants actuels du pouvoir ont émis, mais dont la contre-partie, en anciens billets, n’a pas été retirée du circuit, les mêmes analystes ont déclaré n’être plus étonnés de voir la dépréciation de la monnaie nationale atteindre ainsi un niveau aussi historique. En tout cas, des explications, claires et formelles, sont attendues du régime en place pour indiquer où ont « échoué » ces trois conteneurs…
Rolly Mercia 
Qui s’en soucie ?
Que l’euro ait de nouveau crevé le plafond sur le marché interbancaire de devises (MID) où il frôle désormais la barre des 15 000 FMG... 
Miasa, miasa, miasa…
Conseil de discipline - Deux magistrats sanctionnés
Le conseil supérieur de la magistrature (CSM), qui s’est mué en conseil de discipline, a statué avant-hier sur le cas de deux magistrats inculpés de comportements contraires à la déontologie et de multiples infractions pénales dans l’exercice de leurs fonctions. Notons que ces deux juges font partie des douze hommes en toge rouge et noire, ayant défrayé la chronique l’année dernière, et « épinglés » en situation d’illégalité, en plein exercice de leur métier. Prévu se tenir en décembre dernier, le procès disciplinaire de ces deux magistrats n’a donc pu avoir lieu qu’avant-hier, une fois que les enquêtes y afférentes ont été entièrement bouclées. 
En tout cas, l’un de ces derniers a été suspendu de ses fonctions pour une durée de deux années tandis que l’autre n’a eu qu’un avertissement. Rappelons que les dix autres ont déjà reçu leurs « châtiments » respectifs, allant du simple avertissement à la révocation, consécutivement à l’incarcération. A en croire les bruits de coulisses du palais d’Anosy, d’autres magistrats, dont cette fois-ci des femmes, pourraient suivre le pas de ces douze juges défaillants. Par ailleurs, le CSM a revêtu hier sa toge régulière pour décider des différentes affectations de magistrats pour nécessité de service. En clair, une valse, plutôt rapide, pourrait incessamment cadencer le pas du corps de la magistrature.

admin :


Tribune Mada   29 mai 2004

Tantely Andrianarivo à Paris -  Poursuivi par la justice française ? 
Le 27 mai 2004, la police française a effectué une perquisition au siège social de la société TRANSFI. Une entreprise de coursier-livreur opérant en Île de France. 
Cette société, après avoir été rachetée, dans des conditions étranges en mars et avril 2003, a été placée en redressement judiciaire en février 2004. Entre-temps, ses dirigeants mèneraient une vie de pacha au volant de voitures de luxe toutes payées par la société et feraient travailler des jeunes Malgaches au mépris de toutes les règles du droit social. Il est vrai que n'ayant pas de titre de séjour régulier sur le territoire français, ces employés n'auraient pas osé revendiquer leurs droits élémentaires, de peur d'être reconduits à la frontière. 
Depuis quelques mois, les autorités françaises s'intéressent de près à cette société et lui reprochent, entre autres activités douteuses, l'emploi de travailleurs irréguliers. Au surplus, le train de vie des dirigeants semblerait indiquer la commission du délit de banqueroute. 
L'intéressant dans cette histoire est que, parmi les chefs de cette entreprise, deux sont bien connus des Malgaches. Le premier est un ancien proche collaborateur de l'ancien Premier ministre, Tantely Andrianarivo, qui, tout en n'étant pas gérant, détiendrait, depuis avril 2003, 96,8% des parts sociales de la société TRANSFI. 
Mais, selon toute vraisemblance, cet ancien proche collaborateur ne serait que le prête-nom du véritable propriétaire de l'entreprise qui serait Tantely Andrianarivo. Depuis son arrivée en France, l'ancien Premier Ministre, dotée d'une santé d'airain, passerait plus de la moitié de son temps dans les locaux de TRANSFI. Il semble qu'il y agit en véritable maître des lieux alors que son nom n'apparaît nulle part.
La déclaration de cessation de paiement, un mois après l'arrivée du véritable chef ne serait donc pas le fruit d'une coïncidence. Seulement, en tant que gérant de fait de l'entreprise, Tantely Andrianarivo risque fort de refaire un séjour en prison. L'ironie est qu'il a voulu la liberté pour s'occuper de sa santé et non pour occuper la Santé. Certes, les prisons françaises n'ont-elles rien à voir avec les cloaques inhumains malgaches, mais, cette fois, il lui faudra attendre l'âge d'un Maurice Papon pour espérer bénéficier d'une suspension de peine en raison d'une maladie incurable. D'ici-là, il aura tout le temps de peaufiner le rôle d'Argan. Cette information diffusée le 18 mars dernier laissait présager les tribulations judiciaires actuelles de Tantely Andrianarivo. 
Pour information, la société TRANSFI (RCS Evry B.420.224.222), société francilienne de transport routier a été placée en redressement judiciaire par le tribunal de commerce d'Evry. Il y a quelques mois, cette société avait défrayé la chronique parce que l'ancien collaborateur de Tantely Andrianarivo est soupçonné d'y avoir investi des fonds détournés avant et pendant la crise de 2002. En avril 2003, cet ancien collabo avait injecté plus de 46.000 euros dans le capital de cette société. Par la même occasion, il avait pris l'entier contrôle de cette société tout en laissant comme gérant ultra-minoritaire un Malgache peu connu répondant aux initiales A.R. 
De deux choses l'une : soit l'ancien collabo de Tantely Andrianarivo est un piètre gestionnaire ; soit et c'est plus vraisemblable, il a provoqué une cessation de paiement frauduleuse pour ensuite liquider la société. En effet, les fonds récoltés au cours d'une liquidation seront inévitablement supérieurs à ceux qui ont été injectés à titre de capital. De plus, les fonds distribués dans une liquidation étant réputés propres, il blanchirait ainsi l'argent malgache. 


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...Les 8 Familles et leurs vœux 2004

  (vu sur le site  www.rainizafimanga.com)

  "Les 'Grands' parlent d'idée

  les 'médiocres' parlent d'évènements

  les 'misérables' parlent contre les personnes..."


Madagascar Magazine 28  mai 2004

Jacques Chirac à Madagascar début 2005 - 
“La tenue du sommet des chefs d’État de la Commission de l’océan Indien, début 2005 à Madagascar, pourrait correspondre à la volonté du président français de venir à Madagascar”, a déclaré mardi soir Xavier Darcos, ministre français délégué à la Coopération et la Francophonie, en visite à Madagascar. 
Il a ajouté : “Le président a manifesté à plusieurs fois son souhait de venir à Madagascar, s’il avait pu trouver un créneau favorable il serait venu plus tôt. L’occurrence du sommet des pays membres de la commission de l’océan Indien (COI) qui se tiendra à Madagascar au début de l’année 2005 devrait correspondre à cette venue… c’est une des raisons de ma présence.”
Xavier Darcos a expliqué aux journalistes malgaches que sa visite dans l’océan Indien visait également, outre la future visite présidentielle, à développer les relations franco-malgaches. Il souhaite « respecter une tradition et une fraternité qui existent depuis longtemps », soutenir la coopération entre la France et Madagascar, et enfin assister à la réunion des ministres de la COI aux Comores, « pendant laquelle sera évoqué l’avenir ».
La France a consacré une aide de 100 millions d’euros à Madagascar en 2003, 130 si on y ajoute les aides dans le cadre multilatéral. « Pour 2004, le budget accordé sera plus conséquent », a poursuivi Xavier Darcos, qui a déclaré attendre une plus forte participation de l’Union Européenne. D’un côté, ce dernier a évoqué les aides multilatérales « qui ne pourront être débloquées sans notre soutien, dont certaines en instance au sein du FMI », une manière de dire que la France sera pour beaucoup dans le déblocage des fonds, si celui-ci se fait dans les prochains mois. Il estime que des crédits pourront être débloqués d’ici fin août, sans autre forme de précision.
Xavier Darcos a été reçu par le président Ravalomanana mardi en fin d’après-midi. Concernant cette rencontre, il a déclaré que « le président malgache m’a également mis au courant des questions politiques internes, comme la décentralisation, et l’accueil que les parlementaires ont fait du projet de loi y afférent. »
Journal de la Réunion 


Midi Mada  29 mai 2004

PROJET DE LOI SUR LES REGIONS
Adoption définitive sans commission mixte par Tsimbazaza !     Ce sera la semaine prochaine

Les députés de Madagascar sont conviés à être présents à partir de mardi 1er juin pour l’ examen du projet de loi relative aux régions, après la seconde lecture au niveau de la Chambre haute. Il s’agit maintenant pour la Chambre basse de trouver une issue afin que cet épisode prenne fin. Selon nos informations, les députés s’acheminent vers la troisième, sinon la définitive adoption de ce texte qui a fait couler beaucoup de salive aux parlementaires et beaucoup d’encre aux journalistes. 
Val A.
Nos sources indiquent que le Premier ministre n’userait pas de sa « faculté », comme il est stipulé par l’article 86 de la Constitution, de provoquer la réunion d’une commission mixte en vue de l’élaboration d’un nouveau texte en commun. En effet, selon des observateurs, cette disposition constitutionnelle ne contraint pas le Chef du gouvernement à le faire. Voici ce que dit l’article en question : « (…) Lorsque par suite d’un désaccord entre les deux assemblées, un projet ou une proposition de loi n’a pu être adopté après deux lectures par chaque Assemblée ou si le gouvernement a déclaré l’urgence, après une seule lecture par chacune d’elles, le Premier ministre a la faculté de provoquer (en malgache dans le texte : …dia afaka mandray fanapahankevitra hamory vaomiera ikambanana…) la réunion d’une commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion. Le texte élaboré par la commission mixte peut être soumis par le gouvernement pour approbation aux deux assemblées (…) ».
« Simple »
La prise de décision du Chef du gouvernement demeure ainsi facultative, d’autant qu’aucun délai ne lui est imparti après que les deux chambres ont épuisé les deux adoptions. Le dernier alinéa de l’article 86 de la Constitution dispose que « Si la commission ne parvient pas à l’adoption d’un texte commun ou si ce texte n’est pas adopté dans les conditions prévues à l’article précédent, l’Assemblée nationale statue définitivement à la majorité absolue des membres la composant ». Il s’avère ainsi, selon ces mêmes observateurs, que sans une commission, toute la procédure s’y rattachant ne s’opère pas. Et comme le dispose cet alinéa, le texte n’ayant pas été adopté selon une adoption « simple », les députés auraient ainsi à statuer définitivement.
Elle seule
Dans l’état actuel des choses, le Premier ministre n’aura pas ainsi intérêt à perdre du temps avec la mise en place d’une commission mixte, tout en sachant que l’Assemblée nationale a, à deux reprises, adopté presque texto le projet de loi que le gouvernement a présenté. Soutenu par la majorité de la Chambre basse, le projet instaurant 22 régions sera adopté d’une manière définitive certainement la semaine prochaine, en « troisième lecture ». Après, ce sera à la Haute Cour Constitutionnelle, et à elle seule, de juger si le projet de loi est anticonstitutionnel ou non. L’important pour les uns est de commencer à réaliser les souhaits émis depuis 1994, c’est-à-dire il y a 10 ans. Pour eux, le nombre de régions importe peu, pourvu que le pouvoir ait fait preuve de volonté politique. Pour les autres, le débat juridique prime avant toute concrétisation, sans être rassurés au préalable qu’ils ont entièrement raison.
Loi sur les régions :    Le Sénat campe aussi sur sa position !
Des centaines de « Zanadambo » ou réservistes ont rallié hier le Palais de Tsimbazaza pour y tenir un sit-in. Des rumeurs ont été propagées sur la demande d’audience qu’ils ont émise et qui aurait tourné au vinaigre si bien qu’elle aurait pris une tournure plutôt violente. Les appels ont fusé de partout à l’Assemblée Nationale au sujet d’une éventuelle prise d’otage sur la personne même du Président de l’institution, Lahiniriko Jean, par les manifestants. L’institution s’explique…
Nirina R. 
Pour la énième fois, les Zanadambo ont fait hier une descente en ville et ont observé un sit-in à l’Assemblée Nationale. Visiblement, les Zanadambo ont voulu faire entendre leurs voix aux élus du peuple. Venus cette fois-ci en tenue civile et accompagnés de leurs épouses, ils voulaient déposer une demande d’audience auprès du bureau permanent de la chambre basse. Prise de panique, la sécurité du Palais s’est empressée de fermer les issues de l’enceinte de l’établissement. Aussi, les réservistes n’ont-ils pas été reçus tout de suite par les parlementaires, qui avaient encore procédé, simultanément à leur arrivée vers 9 heures, à la cérémonie d’ouverture officielle du 25ème anniversaire de la Mutuelle des députés et du personnel de l’Assemblée Nationale ainsi qu’à la remise officielle des prix pour le concours de logo de l’institution.
Impatience
Les réservistes ont finalement été écoutés à 13 heures. Au bout de plus de quatre heures d’attente au point que certains ont estimé qu’ils ont été déconsidérés. Si la manifestation se voulait non violente, quelques éléments se sont impatientés et ont commencé à inciter des mouvements d’humeur auprès des manifestants pour une démonstration de force, se plaisaient-ils à dire. Toutefois, du fait d’une organisation interne mise en place par les Zanadambo pour maîtriser leurs éléments, le calme est revenu.
Promesses présidentielles
Les vice-présidents Jaosoa Jean Pascal et Mahafaritsy Samuel, ont alors rencontré huit porte-parole des Zanadambo, porteurs d’un texte qui retrace l’ensemble de leurs revendications et de leurs droits en faisant référence aux promesses présidentielles qui leur ont été faites. Par ailleurs, ils ont montré le décret 2002-259 du 27 mai 2002 portant la mobilisation partielle et de rappel des réservistes pour l’année 2002. Et le décret 2003-641 du 14 mai 2003 portant la prolongation de la mission des réservistes pour l’année 2003. Leurs interlocuteurs au Parlement ont accepté d’examiner le bien-fondé du texte en question et se sont proposés pour le soumettre à l’exécutif.
Doléances 
De leur côté, les réservistes sont restés fermes; ils persistent et signent dans leurs revendications, qui consistent entre autres aux indemnités de risque, allocations familiales, indemnités de logement ainsi qu’aux primes de risque qui doivent être alignées à celles de leurs « frères d’armes » dans l’armée régulière. D’autres de rappeler qu’on leur a promis qu’à la fin de leur mission, les jeunes seront réengagés, les moins jeunes rentreront dans la fonction publique et les plus âgés recevront des pensions. Ce qui n’a pas encore été le cas, ont-ils poursuivi. Ils se donnent alors jusqu’à mercredi prochain pour que leurs doléances soient prises en compte, sinon d’autres actions seront envisagées. Si des craintes sur la possibilité que des politiciens seraient derrière ces mouvements sont soulevées, serions-nous encore loin du dénouement de la crise ?


Les Nouvelles 29 mai 2004
Les réservistes manifestent à Tsimbazaza pour démentir les propos de leur ministre de tutelle 
<i>Non, ce n'était pas une prise d'otages comme annoncée précipitamment par les médias internationaux. "Ce n'était que les réservistes" qui voulaient se faire entendre et qui, pour faire pression sur le bureau permanent de l'Assemblée nationale, ont bloqué la circulation à Tsimbazaza. Après avoir patienté plus de deux heures, les délégués ont été reçus par Jean Pascal Jaosoa et Samuel Mahafaritsy Razakanirina, vice-présidents de l'Assemblée nationale. Le bureau permanent de l'Assemblée nationale veut mieux connaître le dossier "réservistes" et a promis de transmettre les doléances à l'exécutif. 
Une manifestation-surprise des réservistes a pris de court, hier, la grande famille de l'Assemblée nationale en pleine cérémonie de célébration du 25ème anniversaire de sa mutuelle. A 9 heures, les réservistes et quelques-unes de leurs femmes sont arrivés sans crier gare devant le portail de Tsimbazaza et ont bloqué la circulation. Ils ont alors demandé à rencontrer le président de l'Assemblée nationale. "Nous nous adressons aux députés parce qu'ils ont le pouvoir de faire pression sur l'exécutif", ont-ils déclaré pour justifier leur démarche. "Les questions relatives à nos problèmes ont été posées au ministre de la défense par les députés lors de la séance de questions-réponses avec le gouvernement mais le général Behajaina s'est contenté de répondre que tout était déjà réglé, ce qui est un mensonge". 


Nosintsika  27 mai 2004

SRI, SYSTEME DE RIZICULTURE INTENSIVE : 

COMMENT FAIRE POUR AVOIR DES PLANTS DE RIZ QUI CROISSENT MIEUX ET QUI PRODUISENT PLUS    -   INFORMEZ-VOUS ET INFORMEZ LES AUTRES
Norman UPHOFF du CIIFAD, et Association TEFY SAINA de Madagascar

1 - PRINCIPES
1.1 - Introduction

Le Système de Riziculture Intensive (SRI) est déjà venu en aide à plusieurs milliers de paysans à Madagascar pour doubler leur rendement. Avec un bon entretien des plants et quelques aménagements du terrain et de l'eau, les rendements peuvent s'élever jusqu'à 4, à 6, à 8, et même jusqu'à 10 tonnes par hectare.
Ce texte voudrait partager avec vous les idées de bases et les pratiques que vous pouvez faire pour qu'une telle augmentation soit possible. Elles vous sont présentées non pas comme des recettes à suivre sans réfléchir mais comme un guide pour un agriculteur désirant faire des investigations lui-même pour chercher de nouvelles méthodes de riziculture afin de produire plus.

Si ce manuel et cette méthode de production vous rendent service, nous espérons qu'à votre tour vous partagerez avec d'autres ces idées et ces pratiques. Chaque famille et chaque communauté pourront ainsi bénéficier de plus de prospérité et de sécurité
alimentaire.
. Le SRI a été découvert par le Père Henri de LAULANIÉ, Ingénieur Agronome, sj, à Madagascar où il a travaillé de 1961 à 1995 avec des paysans malgaches, avec des étudiants et avec des amis pour améliorer les possibilités de production rizicole dans ce pays. Il voulait que le peuple malgache vive plus heureux et en sécurité. Le SRI fait maintenant l'objet d'études et d'évaluation de la part des scientifiques et des riziculteurs dans d'autres pays.
. Le SRI est d'abord une philosophie : le riz est une plante qui doit être respectée et entretenue comme un être vivant ayant une forte potentialité.
Cette dernière ne se réalisera que si nous fournissons aux plants de riz les meilleures conditions pour leur croissance.  ... Suite Klikeo


Mada Magazine 29 mai 2004

Madagascar :Des réservistes prennent le Parlement en otage -
Plusieurs centaines de réservistes de l’armée de Madagascar ont pris des députés en «otages» hier pendant quelques heures en bloquant les abords de l’Assemblée nationale à Antananarivo dans une manifestation sans armes, avant de se disperser sans incident. 
Leurs revendications étaient uniquement financières. Les réservistes réclament des indemnités supérieures à celles de 200 000 ariary (118 euros) par personne annoncées par le Premier ministre lors de leur cérémonie d’adieu aux armes, le 31 janvier 2004.
Peu après 14 h locales (15 h à la Réunion), le porte-parole des réservistes, Georges Randimbiarijaona, a appelé les manifestants à se disperser après avoir eu un entretien avec deux des vice-présidents de l’Assemblée nationale pour leur exposer leurs revendications financières.
«Je leur ait dit de nous adresser une lettre avec l’ensemble de leurs revendications», a déclaré l’un des deux vice-présidents, Jean-Pascal Jaosao.
Selon leur porte-parole, les manifestants étaient environ 1 200 à s’être rassemblés peu avant 11 h devant l’Assemblée, en centre-ville. Le commandant du groupement de la gendarmerie d’Antananarivo, le colonel Faly Rabetrano, a estimé leur nombre à 500.
Le chef de service de l’information et des relations avec les médias à l’Assemblée nationale, Mme Hanta Racotovao, a affirmé que six membres du bureau permanent de l’Assemblée étaient présents vendredi matin dans les locaux, ainsi que quatre députés «de passage», venus chercher des dossiers ou passer des coups de téléphone.
Quelque 500 employés de l’Assemblée nationale se trouvaient également dans les locaux à l’occasion d’une réception pour le 25e anniversaire de la mutuelle des agents de l’Assemblée, a-t-elle ajouté.
Premier conflit pour Ravalomanana
Dans la matinée, elle avait pourtant déclaré qu’il y avait là «tous les députés et le personnel qui fait la fête». L’Assemblée nationale de Madagascar compte 160 députés.
Vendredi matin, au cours de cette manifestation finalement très pacifique, le porte-parole des réservistes parlait de «prise d’otages».
«Nous attendons que les députés trouvent une solution aujourd’hui à nos problèmes, nous leur donnons un ultimatum. (…) C’est une prise d’otage des députés pour qu’ils examinent aujourd’hui nos requêtes», une prime de démobilisation, avait-il déclaré.
Pendant la crise politico-militaire de 2002, quelque 2 500 réservistes avaient répondu à l’appel de Marc Ravalomanana «pour reconquérir le territoire» après le premier tour contesté de l’élection présidentielle du 16 décembre 2001. L’ancien président Didier Ratsiraka, après avoir contesté jusqu’au bout la victoire de M. Ravalomanana, a quitté Madagascar en juillet 2002 pour l’exil en France, où il se trouve toujours.
La contestation des réservistes a débuté lors de leur cérémonie d’adieu aux armes le 31 janvier 2004, où le président Ravalomanana ne s’était pas rendu. Depuis, ils ont manifesté à plusieurs reprises pour faire aboutir leurs revendications financières.
Cette crise constitue le plus important mouvement de contestation auquel M. Ravalomanana doit faire face depuis son arrivée au pouvoir.
En février, à la suite de négociations, le ministère de la Défense avait accepté de rembourser à chaque réserviste ses éventuels arriérés de salaire et les frais médicaux pour les blessures subies pendant les affrontements. Le ministère s’était également engagé à verser des pensions de veuvage en cas de décès. Trente-huit réservistes sont morts pendant la crise.
Le ministère de la Défense indique que de nombreux dossiers ont déjà été traités, sans préciser leur nombre. Il avait également annoncé le 1er mars que les prochains versements ne seraient pas effectués avant mai. 
Journal de la Réunion 

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