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LE MONDE | 03.02.03 | 14h05 
Le aye-aye, porte-malheur en terre malgache
Tous sont des survivants, lui l'est plus que tous les autres. Il est aussi l'un des plus atypiques, au point que son appartenance à la famille fut longue à être admise. Buffon l'avait baptisé "souris à main" et classé dans l'ordre des rongeurs, suivi dans cette conviction par Cuvier et Geoffroy de Saint-Hilaire, Daubenton en faisait un parent des tarsiers... 
Il fallut attendre le naturaliste français Henri Milne-Edwards (1800-1885) pour que le aye-aye, en 1884, soit enfin considéré comme un membre du sous-ordre des lémuriens. Encore y fut-il classé à un rang inférieur. Et doté d'un nom, Daubentonia madagascariensis, évoquant son découvreur et son lieu de vie bien plus que sa personne.                                                  
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NOSINTSIKA 1er fevrier 2003

Cote d'Ivoire : 5 partis politiques dénoncent le complot de la France
Après la table ronde de Marcoussis
Cinq partis politiques dénoncent le complot de la France: Les violentes manifestations de rue enregistrées en Côte d'Ivoire suite à l'application partielle des résolutions de la table ronde de Marcoussis (Paris) obligent les délégations ayant participé à ces réunions à sortir de leurs gonds. Hier, en début de soirée, le FPI, le PDCI-RDA, l'UDPCI, l'UDCY et le MFA ont organisé un point de presse, 85 Rue du Rocher à Paris pour rétablir toute la vérité. La déclaration commune aux délégations ayant
participé aux travaux de Marcoussis a été lue par M. Mel Eg Théodore de l'UDCY entouré des hauts représentants des partis ci-dessus cités. Voici cette déclaration.               
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Midi Madagasikara 05/02/03
Remplacement des Pds
Marc Ravalomanana reste ferme sur sa décision

De retour de son voyage européen, le Président de la République MarcRavalomanana avait déclaré de but en blanc, lors de la conférence de presseimprovisée au Palais d'Etat d'Ambohitsorohitra hier, que le pouvoir nereviendrait pas sur sa décision concernant le remplacement des Pds dans lesprovinces, surtout au niveau de Fianarantsoa. "Il faut penser à l'intérêt du peuple avant tout. Je ne dis pas que les Pds remplacés sont incompétents, mais dans la perspective du développement rapide, ils seraient peut-être mieux ailleurs", a clarifié le Président d'un tonferme.
Bobo A. 
Il ne s'était pas limité aux cas des Pds en général, mais avait précisé pour celui de Fianarantsoa que ce dernier ferait mieux de faire sa passation officielle. " L'heure n'est plus aux démonstrations de force, l'heure est au développement. Le Pds de Fianarantsoa a été désigné en conseil de ministres, il a été remplacé en conseil de ministres. Les politiciens devraient bien réfléchir sur ce point ", avait-il poursuivi.
Kmmr
A une question concernant la place tenue par le Kmmr durant la crise, le Chef de l'Etat s'était déclaré conscient de l'effort fait par les membres de cette coalition, mais " si je rendais l'ascenseur à tout un chacun, il n'y aurait pas suffisamment de places ", avait-il tenu à expliquer. Il a ajouté que les critères dont il fallait tenir compte étaient la compétence et la collaboration avec le régime. " J'ai pris comme vice-Premier ministre une personne qui n'avait pas lutté sur la place du 13 mai, parce qu'il correspond à ces critères ", selon le Chef de l'Etat. Néanmoins, ce dernier avait précisé que sa porte était grande ouverte pour toute discussion avec le Kmmr, à condition que les membres suivent la légalité. Bref, une position on ne peut plus claire du Président, à laquelle les divers politiciens ont réagi chacun à sa manière. Alors, la réponse de Pety Rakotoniaina était claire : " Je remercie le Président. Je n'attendais que sa décision. Je vais donc partir d'Andohanatady. Mais en tant qu'homme, je ne pensais pas qu'il allait réagir ainsi ", a déclaré ce dernier. Le député d'Ikalamavony, Randrianirina Hery Hajaina, son fidèle conseiller, est également de son avis : " Si le Président a jugé que c'était la décision à prendre, nous le remercions. Pendant une année, nous avons travaillé uniquement pour lui, et c'est ce que nous avons eu en retour. Il y a de quoi réfléchir ", s'est exprimé ce dernier, d'une voix apparemment atone.
Au beau fixe 
Outre les questions politiques locales, les relations avec la Suisse ont également été évoquées à cette conférence de presse. Marc Ravalomanana a ainsi précisé que les rapports avec la nation helvétique sont actuellement au beau fixe, après le froid jeté par le meurtre d'un ressortissant suisse vers 1999. Il a eu également fait un bref rapport de la visite de la délégation en Allemagne, durant laquelle il y a une rencontre avec le Président Johannes Rau à Berlin. De retour de ce voyage, la délégation malgache a rapporté des dons offerts par les ressortissants malgaches à Nairobi pour les sinistrés des inondations à Madagascar. Le Chef de l'Etat n'a pas manqué de prodiguer des encouragements aux familles des victimes et a affirmé qu'il en avait déjà discuté avec le Premier ministre, Jacques Sylla, qui était présent dans la salle, et que des mesures allaient être appliquées pour venir en aide à ces sinistrés. Un soutien qui mettra sûrement du baume au cœur de ces victimes. Ce qui n'est pas le cas de tout le monde dans le milieu politique… 
Affaire Pety Rakotoniaina:
"QUE CHACUN ASSUME LES CONSEQUENCES !",

déclare Germain Rakotonirainy 
Réagissant aux propos tenus par le Chef de l'Etat, peu après son arrivée, hier, le numéro Deux des "Mafana" donne l'impression de souffler le chaud et le froid. Il s'agit évidemment de Germain Rakotonirainy qui parle au nom, plus de lui-même que du MFM, en attendant d'être fixé sur l'évolution de la situation à Fianarantsoa et tout particulièrement, sur les résultats de la descente sur les lieux de Manandafy. 
R.O. 
Epreuve de force 
Par contre, il n'attend rien d'une éventuelle rencontre entre le KMMR et le locataire d'Ambohitsorohitra. "La décision de remplacer les PDS ayant été prise en conseil des ministres présidé par Marc Ravalomanana, ce dernier était parfaitement en connaissance de cause. Prétendre que cela s'est fait à son insu équivaudrait à dire qu'il a signé le décret à l'aveuglette". Germain Rakotonirainy, car cette mise au point est évidemment de lui, d'enchaîner que "s'agissant d'un "didim-panjakana", on ne peut qu'acquiescer". Une manière d'exclure apparemment toute rébellion ou désobéissance. "Point n'est besoin d'engager une épreuve de force à Fianarantsoa", souligne-t-il. Avant d'ajouter "que chacun assume toutefois les conséquences, car cela aura inévitablement des effets, non seulement au niveau du MFM et/ou de la population de Fianarantsoa, mais également parmi tous ceux qui ont accordé leur confiance en Marc Ravalomanana et qui pourraient ne pas comprendre le bien-fondé de cette décision".
Prétexte 
Celui qui est considéré dans le microcosme politique comme un agitateur né, tient à souligner que "cette décision de limogeage ne passera pas comme une lettre à la poste si les motifs ne sont pas clarifiés". Germain Rakotonirainy considère comme un prétexte, le souci de sécurisation. "Pierre Tsiranana, en sa qualité de commissaire de police, n'a rien à envier à un lieutenant-colonel de la Gendarmerie sur le plan de la sécurité. Avec tout le respect qu'on doit à son âge et à son grade, Soja est un général retraité qui n'a pas mis les pieds depuis belle lurette dans les casernes où il n'était d'ailleurs pas resté longtemps, compte tenu de son parcours".
"Latsalatsa" 
Concernant la réflexion du président de la République qui disait hier, que l'heure n'est plus aux démonstrations de force genre mai 72, Germain Rakotonirainy de répliquer que "Marc Ravalomanana doit savoir qu'il ne serait pas parvenu au pouvoir sans les manifs sur la place du 13 mai". Pour le bras droit de Manandafy, "cela fait mal au cœur d'entendre pareils propos qui s'apparentent à une insulte, à des "latsalatsa". Et qui sont loin de laisser froids les "Mafana".
Total Marketing Madagascar : 44 milliards d'investissements pour 2004 
La compagnie pétrolière Total Madagascar Marketing va encore effectuer cette année un investissement de 44 milliards de FMG. Cette information, on la tient du Directeur Général de la société, Philippe Bourgeois. Lors de la conférence de presse que Total a tenue, hier au Dépôt Aviation d'Ivato, il explique que cette compagnie s'était toujours battue pour donner satisfaction aux clients malgaches. Depuis l' année 2000, Total a investi près de 75,7 milliards de FMG dont 50,5 milliards pour l'amélioration de son réseau de distribution. Le montant total des investissements de cette compagnie s'élèvera donc à la fin de l'année 2004 à 120 milliards de FMG. A noter que 34,3 milliards de FMG des 44 milliards de FMG à investir cette année seront encore consacrés à la distribution. 
Didier Rambelo 
Il semble que ce Groupe International est récompensé pour ces efforts. Selon le Directeur Général, Philippe Bourgeois, Total accapare actuellement 27% du marché pétrolier de la Grande Ile ; c'est-à-dire pour l'ensemble des activités se rapportant au secteur, le carburant aviation inclus. Il faut noter que Total est le seul opérateur présent sur la branche aviation. Pour ce qui concerne la distribution uniquement, elle occupe 27% du marché.
Etant déjà en bonne position sur le marché, les dirigeants de la compagnie Total affirment qu'ils veulent toujours aller de l'avant dans la conquête du marché. "Ce qui nous différencie, c'est que nous nous sommes toujours efforcés d'offrir des produits et des services de qualité", devait alors affirmer le Directeur Commercial, Jean Marie Marty. En effet, pour répondre à ce souci de qualité, Total a mis en place un laboratoire de contrôle des produits pétroliers. Un laboratoire, géré par la société Madagascar Petro Service et qui a nécessité un investissement en matériels d'un montant de 2 milliards de nos francs. Selon les explications des dirigeants de la compagnie Total, tous les acteurs à tous les niveaux de la distribution sont susceptibles d'être soumis à des contrôles (inopinés) et toute fraude implique par exemple pour les gérants des stations-service une rupture de contrat.
Concernant "le supercarburant sans plomb 95", que Total a mis à la disposition des automobilistes depuis une semaine, le Directeur général de Total Marketing Madagascar a expliqué que le produit est entièrement importé parque la raffinerie de Toamasina, pour pouvoir le produire localement devrait effectuer de nouveaux investissements. Il a également noté que l'objectif est de supprimer le plomb dans les essences avant la fin de l'année 2005. "Ceci, pour répondre à un souci de conservation de l'environnement", devait-il conclure.


Midi Madagasikara 04/02/03
MARC RAVALOMANANA: L'UA mais surtout les grandes puissances
Le périple du président de la République en Europe et les relations étroites avecles pays puissants du monde sont les signes révélateurs d'une volonté denouer de grandes perspectives avec lespartenaires forts de la planète. Marc Ravalomanana a toujours affirmé qu'il valait mieux s'associer avec des grands pour pouvoir démarrer plus vite. En attendant l'effectivité de la reconnaissance de l'Union africaine, qui n'émeut guère l'opinion malgache,                                        
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...Et en passant par TetezamitaKely

...Les 8 Familles 

et leurs voeux 2003

  (vu sur le site www.rainizafimanga.com)

  "Les 'Grands' parlent d'idée

  les 'médiocres' parlent d'évènements

  les 'misérables' parlent contre les personnes..."

 EXPRESS MADA 05 fevrier 2003

EXPRESSION: Dans la légalité et rien que la légalité
Ce retour, et la ferme position prise sur l'indispensable respect de la légalité, met également un terme aux rumeurs que distillent divers milieux chaque fois que le chef d'Etat s'absente du pays. 
L'annonce faite à Berlin par le président Marc Ravalomanana qu'il était disposé à reconsidérer le cas de son ami Pety avait, en effet, alimenté l'idée d'un possible coup de froid entre Ambohitsirohitra et Mahazoarivo. Implicitement, on insinuait que le président de la République, dans cette affaire Pety Rakotoniaina, pourrait en faire porter la responsabilité à son Premier ministre, même si la décision avait été prise en conseil des ministres, juste avant son départ, et qu'il pouvait aussi bien s'y opposer avant qu'elle soit officialisée. 
Précisons toutefois qu'il est de tradition dans tous les pays du monde sous régime présidentiel que le chef du gouvernement, nommé par le chef de l'Etat, soit éventuellement un fusible, ou le responsable tout trouvé en cas de dysfonctionnement de l'appareil politique. C'est dans la fonction acceptée du Premier ministre que d'être en place à titre précaire et donc révocable. 
Pour le choix des hommes qui doivent conduire sa politique, bien que chacun de ses collaborateurs puissent, sans doute, avancer des arguments, il est plus que vraisemblable que le poids du Président est prépondérant. Il n'y a donc pas eu, vraisemblablement, beaucoup de monde pour exiger le maintien de l'homme du MFM à la tête de l'exécutif provincial en terre betsileo, d'autant que le choix est finalement moins politique que pragmatique comme on le voit dans la désignation des autres présidents de délégation spéciale. 
Pour s'étonner que l'on puisse maintenir Emile Tsizaraina à la tête de la province de Toamasina, M. Pety Rakotoniaina et ses conseillers commettent une grave erreur d'interprétation et d'analyse politique : Toamasina n'est pas Fianarantsoa que l'on sache. 
L'existence dans la province électorale de l'ex-président Ratsiraka d'un courant résiduel d'opposants potentiels - on l'a vu avec le nombre de députés Arema et T.T.S. élus à l'Assemblée nationale - impose tout naturellement au président Ravalomanana de ne pas contrarier, pour l'instant, l'ordre établi. 
En revanche, après celle d'Antananarivo, la province de Fianarantsoa est, pour différentes raisons, celle où le chef de l'Etat peut véritablement prétendre placer un homme à lui à la tête de l'exécutif décentralisé : un fort courant chrétien a immédiatement fait de cette belle province à vocation agricole un soutien naturel au nouveau président de la République. 
Pour quelles raisons strictement politiques serait donc maintenu au palais d'Andohanatady le représentant d'un parti dont on sait que les idées ne sont pas en parfaite communion avec le pouvoir en place ? Et d'ailleurs, dans cette logique, le président Manandafy Rakotonirina savait que "l'éviction" de Pety Rakotoniaina était, comme il l'a dit, "programmée depuis longtemps." 
Pourtant ce n'est ni un lynchage, ni un désaveu, ni un discrédit mais plus simplement une mise aux normes administratives nouvelles : dans la légalité et rien que la légalité.
LA CRISE EST FINIE À FIANAR : "PETY" A ENTENDU L'APPEL À LA RAISON DU CHEF DE L'ETAT 
Nommé en conseil des ministres, remplacé en conseil des ministres, l'ex-Pds pour la province de Fianarantsoa ne pouvait donc prétendre à aucune prolongation légale de son mandat. Pour ramener le "rebelle d'Ikalamavony" dans la légalité républicaine, il est vraisemblable que des explications lui ont été fournies ces dernières 24 heures. 
Il faut croire que cette précision du chef de l'Etat, qui avait tout d'un ferme avertissement, a été immédiatement reçue dans la capitale du Betsileo puisque l'ex-Pds Pety Rakotoniaina a permis dans la soirée que son successeur, le général Randrianarivo Ravelomanga, s'installe au palais provincial d'Andohanatady, après en avoir quitté lui-même avec ses hommes les lieux. Il reste à organiser la passation officielle afin que tout se termine bien et que Pety Rakotoniaina puisse, éventuellement, assumer d'autres responsabilités dans le dispositif du nouveau régime. 
Dans les rangs du MFM on se fait également contre mauvaise fortune une raison, tout en laissant entendre que l'affaire pourrait ne pas en rester là ! 
De retour hier au pays, après sa première mission officielle en Europe, notamment en Suisse et en Allemagne, le Président de la République Marc Ravalomanana n'aura pas été avare de déclarations.

 Déclarations ayant trait à la manière dont il entend conduire les affaires nationales, dans le cadre de son programme pour le développement rapide et durable du pays. En tout cas, concernant aussi bien les différents contacts qu'il a eus au cours de son périple européen, que l'actualité brûlante de l'heure au pays, Marc Ravalomanana explique que tout ce qu'il a fait ou décidé, s'inscrit dans la recherche de ce développement rapide et durable. 
Il faut d'abord relever que malgré la venue des journalistes à Ivato, Marc Ravalomanana a préféré donner sa conférence au palais d'Ambohitsorohitra, après avoir eu une entrevue avec le Premier ministre Jacques Sylla qui, visiblement, n'a pas eu le temps de lui faire un rapport des événements qui animent actuellement la vie nationale. Jacques Sylla est en effet arrivé un peu tard à Ivato, alors que le chef de l'Etat avait déjà salué les couleurs nationales avec les différentes autorités venues l'accueillir à sa descente d'avion… 
Rentré avec beaucoup de "voan-dalana", Marc Ravalomanana explique que toutes les démarches qu'il a entreprises dans le cadre de ce voyage, ont été axées sur la recherche de moyens pour soutenir le développement socio-économique du pays. Un développement auquel les uns et les autres doivent maintenant s'atteler, au lieu de se perdre dans des guéguerres politiques. 
TOUT BAIGNE AVEC LA SUISSE 
Depuis ces dernières années, la coopération malgacho-suisse a été quelque peu refroidie par l'affaire "Arnold Walter" dont les résultats des enquêtes sont toujours attendus. Marc Ravalomanana indique que cette affaire a été au centre des entretiens qu'il a eus avec de hauts responsables suisses dont le Président de la Confédération helvétique et le Procureur. Ces entretiens ont été très positifs mais ont également permis aux deux parties de passer en revue la coopération bilatérale. Une coopération qui sera désormais redynamisée, d'après Marc Ravalomanana qui ajoute que des investisseurs suisses sont attendus prochainement à Madagascar. Il en est de même avec les Allemands, car les contacts et discussions tenus avec ces derniers, ont été tout aussi prometteurs quant à une bonne relance de la coopération entre les deux pays. 
Si tout semble baigner avec la Suisse et l'Allemagne, ce n'est pas encore le cas avec l'Union africaine. Interrogé sur l'évolution de la situation de Madagascar par rapport à l'ex-Oua (Organisation de l'unité africaine), et après la récente mission de cette organisation au pays, Marc Ravalomanana n'a pas caché que la reconnaissance de son pouvoir n'a pas été à l'ordre du jour de l'actuel sommet des chefs d'Etat de l'Union africaine. Néanmoins, il indique avoir eu des informations par téléphone, notamment du président sénégalais Abdoulaye Wade et de quelques autres chefs d'Etat qui participent à ce sommet d'Addis-Abeba, comme quoi, cette reconnaissance africaine de l'effectivité de son pouvoir, et partant la réintégration de Madagascar au sein de l'Union, seraient en bonne voie. 
Une communication de dernière heure, émanant de l'organe central de l'Union africaine, nous fait part des recommandations qui seront proposées à ce sommet (lire article, par ailleurs). 
RESPECTER LA LÉGALITÉ 
Mais au-delà de ces "voan-dalana", le Président de la République s'est exprimé sur les événements qui font l'actualité de l'heure au pays. Marc Ravalomanana a ainsi répondu aux rumeurs relatives à la présence de mercenaires sur le territoire, et surtout justifié les raisons qui ont conduit le pouvoir à procéder au remplacement des pésidents de délégation spéciale (Pds) des provinces de Toliara, Fianarantsoa, Mahajanga et Antsiranana. Raisons qui tiennent apparemment à une nouvelle stratégie pour la mise en œuvre du développement rapide et durable du pays. "Non pas que les précédents Pds n'ont pas été performants ni à la hauteur de leurs responsabilités, d'ailleurs ils ont tous beaucoup fait, mais je pense que le pouvoir a ses raisons de procéder à ces changements…" Raisons qui, somme toute, n'ont pas été expliquées… au fond, car Marc Ravalomanana a préféré se retrancher derrière le fait que les décisions de nomination des Pds ont été adoptées par le conseil des ministres ainsi que leur remplacement. "Donc, tout a été fait dans le strict respect de la légalité, et je pense qu'il ne devrait pas y avoir de problème… Pour le cas du Pds Pety Rakotoniaina, je crois qu'il gagnerait à respecter cette légalité et procéder à la passation de service avec son successeur. Et je souhaite que les uns et les autres puissent comprendre que le développement rapide auquel nous aspirons tous, doit commencer par ce strict respect de la légalité…" A la revendication des chefs politiques de l'ex-Kmmr, Marc Ravalomanana répond que ses portes leur restent ouvertes… mais que cette légalité soit d'abord respectée… 
DÉMONSTRATION DE FORCE 
Ainsi le chef de l'Etat vient d'annoncer clairement sa position par rapport au cas particulier de l'ex-Pds de Fianarantsoa, et plus généralement, par rapport aux revendications politiques. En tout cas, il a été ferme sinon intransigeant en annonçant qu'il n'est plus question de revenir sur ces décisions du conseil des ministres… Pety Rakotoniaina et consorts sont donc avertis, mais en attendant de savoir ce qu'ils vont décider, Marc Ravalomanana fait remarquer que l'heure n'est plus aux démonstrations de forces… politiques. "Si démonstration de forces il y a, je pense qu'on a surtout besoin de forces pour soutenir le développement socio-économique du pays…" Dans ce même ordre d'idées, et parlant de la présence (ou non ?) de mercenaires au pays, le chef de l'Etat pense également à une autre démonstration de force plus ou moins commanditée quelque part. Il a précisé que la propagation de telles rumeurs est de bonne guerre, "mais le pouvoir ne minimise aucune information, des rumeurs fussent-elles, et prend ses dispositions en conséquence…"
Le nouveau président de la délégation spéciale de Fianarantsoa le général de division Randrianarivo Ravelomanga s'est installé au palais d'Andohanatady hier à 18 heures. 
Joint au téléphone, le général nous a précisé que le chef du protocole du Pds sortant Gilbert Raderandraibe l'avait introduit au palais peu après que "les occupants" aient quitté les lieux immédiatement après la déclaration du président Marc Ravalomanana. 
"Des tractations ont été encore faites entre lui et moi et il se pourrait que la passation se fasse demain (ce jour). Je ne peux cependant pas vous préciser à quelle heure", a dit le nouveau Pds. 
"Tout est bien qui finit bien, du moins pour le sang qui n'a pas coulé. Cependant, sachant que du matériel, du mobilier et autres, dont nous ne savons pas encore la quantité ont disparu, des recherches sont engagées et des mesures sont actuellement prises", a terminé le Pds. 
En ville, hier en fin de journée, personne n'osait donner ses impressions, à quelques exceptions près qui soulignaient qu'une fois de plus "la sagesse malgache a fait ses preuves".
Total Madagascar offre l'essence sans plomb 
C'est Total Madagascar qui est le premier pétrolier du pays à le commercialiser avec le "Super Sans Plomb 95". Selon Philippe Bourgeois, directeur général de Total Madagascar, cette action s'inscrit en droite ligne de la politique du Groupe TotalFinaElf qui est l'amélioration constante de la qualité des produits et de l'environnement. C'est pourquoi Total Madagascar a mis en place les mesures et les moyens nécessaires pour l'importation et la commercialisation rapides du nouveau produit. L'essence super sans plomb va se substituer progressivement au super vendu actuellement. L'essence sans plomb sera commercialisé au même prix que celui contenant du plomb. Donc, le prix à la pompe n'enregistrera pas de changement. Il est suggéré que des mesures incitatives soient prises pour que les automobilistes utilisent ce type de carburant dans la mesure où il présente plusieurs avantages: il a été préconisé dans la lutte contre la pollution atmosphérique au cours du Sommet mondial de la Terre de Johannesbourg en 2002, le super carburant sans plomb ne produisant pas de résidus de plomb, nocifs pour la santé. En effet, la présence de plomb dans le sang est une cause de maladies respiratoires, cardio-vasculaires et rénales. 
44 Milliards Fmg pour 2003 
Or, il a été constaté que la teneur en plomb dans le sang de la population de la Capitale est supérieure à la moyenne normale. D'où la réaction radicale et immédiate de Total Madagascar. À terme, c'est la suppression de l'essence avec du plomb sur le marché national qui est programmée avant 2005. 
Par ailleurs, le super carburant sans plomb, produit importé, favorise une baisse de la consommation de carburant des véhicules. 
Mais il va sans dire que la réalisation de cet objectif nécessite à la fois le respect d'une démarche qualité rigoureuse et des investissements non négligeables. Dans son souci permanent de la qualité, Total Madagascar a pris les mesures suivantes: reconstruction et mise aux normes européennes des installations, installation de plus de 30 cuves neuves, contrôle et plombage des appareils distributeurs, mise en œuvre des procédures de sécurité pour protéger les clients, les exploitants, le voisinage, ... 
C'est ainsi que depuis le dernier trimestre 2002, les gérants et le personnel en station compris dans le réseau de Total Madagascar ont reçu une formation renforcée concernant les contrôles à effectuer lors de la réception des produits ainsi que des matériels de contrôle spécifiques (pâte à eau, thermo-densimètre). Un laboratoire indépendant et doté d'équipements sophistiqués, à savoir la société Madagascar PetroService (MPS), réalise et analyse des prélèvements inopinés effectués directement en station. 
En matière d'investissement, c'est l'une des raisons pour lesquelles le budget 2003 de Total Madagascar atteindra un niveau jamais enregistré: il sera de 44 milliards Fmg pour l'année en cours contre respectivement, 17,7 milliards en 2000, 33,9 milliards en 2001, et 24,1 milliards en 2002 (dus principalement à la crise, notamment pour des raisons techniques, a-t-on précisé).
De Genève à Breme, Ravalomanana dépose ses marques
Marc Ravalomanana a trouvé le créneau, en allant en Suisse et en Allemagne, où bon nombre d'opérateurs économiques ont montre preuve de bonne volonté, soit à Genève, ou à Munich, sans oublier Berlin, ou Brême, avec une réception officielle de reconnaissance du président Johannes Rau, très loin après l'ancien président Henrike Lübke au temps de Tsiranana. Les opérateurs allemands sont prêts à venir. Succès d'une mission officielle. 
La présence d'une nouvelle ambassade à Berlin, capitale allemande, en est la consécration de l'aboutissement des relations malgacho-allemandes. Le président Ravalomanana l'a inaugurée sous le signe du partenariat, lors de sa mission en Europe qui s'est déroulée du 26 janvier au 4 février. Mais, force est de reconnaître que la Suisse est déjà prête à nouer des relations commerciales et économiques avec Madagascar. La manifestation "Ema Invest 2003" à Genève, a démontré que le pays possède des potentialités énormes et que des réformes en vue de faciliter la venue des investisseurs étrangers ont été déjà établies. 
Dans cette optique, le président Ravalomanana continue jusqu'en Allemagne, sa percée "partenariale". Homme d'affaires averti, il connaît ses interlocuteurs, et démontre les possibilités d'investir à Madagascar. "Je fais tout ce qui est possible pour que mon pays soit digne, et je lutte pour vaincre cette pauvreté". 
Dans ce voyage européen, il n'est pas question d'échouer, il s'agit de convaincre et de réussir. Et tout a marché comme sur des roulettes. Les opérateurs européens sont prêts à venir. Il reste à concrétiser les relations. De Genève, en passant par Munich, Berlin et Brême, tout a été acquis. Ravalomanana a gagné une bonne partie, le reste dépend des décisions interministérielles. 
Quoi qu'il en soit, Madagascar est sur la bonne voie, économiquement. C'est essentiel pour un début de négociations en terre européenne. La suite est question de volonté. Ravalomanana a déposé ses marques.
C'est reporté en juillet à Maputo... 
L'Union africaine (UA) n'a pas officiellement reconnu le nouveau président de Madagascar, Marc Ravalomanana, lors de son premier sommet hier lundi à Addis Abeba, mais pourrait le faire lors du prochain, en juillet à Maputo, a déclaré mardi à l'AFP un de ses hauts responsables, sous couvert de l'anonymat. 
Mardi, dans le communiqué final du premier sommet des chefs d'Etat africains tenu la veille à Addis Abeba, l'Organe central de l'UA pour la prévention des conflits a "recommandé à l'assemblée de l'Union de reconnaître Monsieur Marc Ravalomanana comme le président légitime de la République de Madagascar". 
"La décision pourrait être prise lors du prochain sommet de l'UA à Maputo, en juillet prochain", a déclaré à l'AFP un haut responsable de l'UA, sous couvert de l'anonymat. 
Mardi, dans son communiqué, l'organe central de l'UA a également "souligné le besoin d'une réconciliation nationale" à Madagascar et enjoint le gouvernement et l'opposition à "mettre en place une table ronde pour examiner les questions relatives aux droits de l'Homme, au respect des lois et aux détenus politiques".
Des contraires se rencontrent dans l'affaire Pety Rakotoniaina 
L' opinion de Raharinaivo Randrianantoandro, président du parti "Tiako i Madagasikara", questeur de l'assemblée nationale et celle (à titre personnel) de Germain Rakotonirainy, secrétaire général du parti Mfm, grand défenseur de Pety devant l'Eternel, ont présenté des points communs. Le premier conseille d'obéir et de ne pas dramatiser. Le second déclare que "si j'étais Pety, j'accepterais la décision (et) j'effectuerais la passation". Mais tous les deux envisagent l'avenir. Un espoir de reclassement "sans doute" avance le questeur, "un effet boomerang" pronostique le secrétaire général. Interview flash après la déclaration présidentielle sur l'affaire. 
o Raharinaivo Randrianantoandro 
Le président de la République a été clair. Une décision gouvernementale a été prise en conseil des ministres, Pety Rakotoniaina aurait dû d'abord obéir. D'autant plus qu'il a été rapporté que le Chef de l'Etat le considère comme un ami. Il faudrait se remettre dans l'esprit que les besoins politiques en termes de personnalités varient selon les circonstances et les conditions. Pety Rakotoniaina a été nommé Pds de la province de Fianarantsoa, dans un contexte bien précis où il a agi et été considéré comme the right man at the right place. Quand le contexte change, on change d'hommes. Dieu a octroyé à chacun la grâce de qualités qui lui permettent à un niveau ou à un autre, de servir les autres. Pety ne devrait pas dramatiser. Sans doute, quelque part, attend quelque chose en rapport avec ses qualités. 
o Germain Rakotonirainy 
Cette affaire ne mérite pas qu'elle se transforme en épreuve de force. Si j'étais Pety, j'accepte la décision, j'effectue la passation mais que chacun assume alors ses responsabilités. Tout ce que je peux dire, c'est que des choses comme cela ne passent pas comme une lettre à la poste. Il y aura un effet boomerang qui affectera non seulement Pety, le Mfm ou la population de Fianarantsoa mais la Nation. Toutes les personnes qui conseillent Marc Ravalomanana vont désormais y regarder à deux fois. Il y a quelque chose derrière le limogeage des Pds. Mais ce qui m'a le plus touché et que Ravalomanana n'aurait pas dû exprimer c'est d'avoir parlé de personnes qui depuis 72, n'ont fait que descendre dans la rue. Si nous n'étions pas descendu dans la rue, il ne serait pas là où il est.
Education civique 
Reflexion sur l'engagement citoyen dans la défense de ses droits 
"Faites profession d'humanité. Engagez-vous dans le noble combat pour l'égalité des droits. Vous ferez de vous quelqu'un de plus noble, de votre pays une nation plus forte, et du monde un endroit plus agréable". C'est le thème véhiculé, cette année, par l'association "Fifanabeazana" (éducation mutuelle) qui regroupe des citoyens issus de tous les secteurs d'activité épris de civisme, suivant le slogan "Mijoroa ho olom-banona". ("Conduisons-nous en citoyens valables"). 
À l'occasion du mois de l'Histoire afro-américaine et en collaboration avec l'ambassade des États-Unis, "Fifanabeazana" organise une conférence-débat aujourd'hui à 14h 30 dans les locaux du Centre culturel américain, à Antanimena. Le sujet portera sur l'engagement du citoyen dans la défense de ses droits. À l'animation, on retrouvera Jean-Jacques Rakotoarison, Directeur de l'éducation de masse et du civisme (Demc) au ministère de l'Enseignement secondaire et de l'éducation de base (Mineseb) ainsi que Lily Razafimbelo, membre fondateur du Cnoe et membre de l'Action catholique des milieux indépendants. 
"Fifanabeazana" oeuvre depuis deux ans dans des actions de sensibilisation médiatique sur le respect des biens publics, la corruption, le "fihavanana" ou la solidarité et l'entraide.
VANF
Y-avait-il un pilote dans l'avion ?
Par NASOLO-VALIAVO Andriamihaja 

Contrairement donc à ce qui était devenu une sorte de coutume, la conférence de presse de "voan-dalana" s'est passée à Ambohitsorohitra. Ce n'est pas nécessairement plus mal. 
Décidément, on a donné à cette affaire dite Pety Rakotoniaina plus d'importance qu'elle ne devait avoir. Quand ce Monsieur prétendait que l'opinion d'Antananarivo le soutenait, il avait sans doute oublié de soustraire mon nom. Il n'est d'ailleurs pas le seul ni le premier à se réclamer indûment d'une légitimité populaire en l'absence de tout étalonnage par les urnes. Mais, quand on a trop longtemps confondu le peuple avec la foule, on a quelques excuses. 
Le plus étonnant, et ce n'est pas très rassurant, c'est qu'il ait effectivement fallu attendre l'arrivée du Président de la République et les paroles sans équivoque de Marc Ravalomanana pour qu'un haut fonctionnaire, nommé en Conseil des Ministres, ose prendre possession des lieux. Décidément, les mauvaises habitudes populaires contractées sur la Place du 13 mai finiront par aller à l'encontre des intérêts du peuple. 
Jusqu'aux paroles définitives de Marc Ravalomanana, qui répondent en écho à sa désinvolture d'avant ce périple ? " sitrapo ny anareo " 
(vous l'aurez voulu) -, le Gouvernement n'a pas osé assumer ses responsabilités et l'ordre public a couru le risque d'une possible déstabilisation. Un acte signé en Conseil des Ministres a nécessairement reçu l'aval du Président de la République si on s'en tient seulement à l'article 54 de la Constitution. Pourquoi alors le Premier Ministre n'a-t-il pas pris les dispositions réglementaires pour faire respecter cette décision ? 
S'il fallait, chaque fois, que le Président de la République se mêle de tout et de rien, on retrouverait le schéma détesté de l'arbitraire d'un seul homme, qu'il s'appelait hier Didier Ratsiraka ou qu'il se nomme aujourd'hui Marc Ravalomanana. De quoi se demander à quoi servent tous ces ministres incapables de décider de quoi que ce soit sans l'ombre tutélaire du Président de la République. Lu à travers l'absurdité de cet exemple, on comprend désormais mieux pourquoi le Premier Ministre Rainilaiarivony (1864-1985) répugnait à s'éloigner du Rova et d'Andafiavaratra : une fois qu'il était à Ambohimanga, un complot a été fomenté à Antananarivo ; dès lors qu'il avait décidé de rester à Antananarivo, il décidait absolument de tout, des chapitres jusqu'à la moindre virgule. 
Depuis toujours, c'est bien parce la population savait avoir affaire avec un subalterne "angady mondro tsy mahatapak'ahitra" (moignon de bêche qui ne peut même pas servir à faucher l'herbe) qu'elle cherchait constamment à porter directement l'affaire au Rova. L'excès de centralisation procède de deux logiques : l'accaparement du centre ou le renoncement des périphéries. Cette fois, très précisément, en l'absence du pivot présidentiel, le gouvernement a renoncé à gouverner. Le Président de la République doit-il, et peut-il, être partout et tout le temps présent ?

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MOTS CROISES
Débattre de l'avenir de la société malgache au lendemain des Législatives
AVEC MICHEL MAHATSANGA

enseignant chercheur au Département Histoire de l'Université de TULEAR, économiste,  membre fondateur et responsable national. du MFM,

Le Samedi 8 Fevrier 2003 A 15H30 Précises :

6 rue LEGRAVEREND Paris 12eme ( Métro : Gare de Lyon)
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