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Les infos du jour 

De nos correspondants à Mada

tocsin et signal d'alarme: la population veille

Extraits RFI

On vient de passer sur les ondes des radios privées que l'insécurité est à son comble dans la province précitée : Ce matin, est arrivé par le vol de Nosy be, le cadavre d'un employé de la BTM à Nosy be. D'après sa femme, sortie indemne du massacre, les forces de l'ordre ont investi leur maison durant leur sommeil. Son mari a été sauvagement tué pcq'il n'avait pas les mêmes convictions politiques et aspirations que les proRatsiraka.Les malgaches de Nosy Be ont lancé un appel au secours, car ils ont tous peur pour leur vie car l'armée qui est sensée les protéger, agit contrairement.

Subject: Situation à Tana ce jour Bonjour,

En cette fin d'après-midi du dimanche, depuis 10j environs, si je ne m'abuse, des barrages ont été montés dans les rues de Tana afin de sécuriser les accès à Faravohitra, lieu du domicile élu de Ra8. En cette fin d'après-midi, l'armée descend dans les rue à bord de camions pour démanteler ces barrages. Les radios pro Ra8 ont lancé un appel au peuple Tananarivien pour renforcer ces barrages. Ainsi, juste devant la maison, il y a une foule immense qui a aussi mis en place un barrage : il y a même une carcasse de voiture qui a été placée en travers de la route pour empêcher le passage.

Toutes les messes du soir (18h00) ont été annulées pour la sécurité des paroissiens. La tension est passée au degré supérieur. Les 2 camps s'affrontent en véritable guerre froide. En cas d'alerte, ce sont les cloches de la ville qui sonneront. La cloche de l'église catholique du quartier a déjà sonné plusieurs fois.

Chaque personne qui passe par ces barrages est systématiquement fouillée. Il y a autant de fouille que de barrage rencontré sur le chemin choisi.

Le peuple n'entend pas fléchir ni se laisser intimider, le couvre feu est complètement ignoré puisque tous les soirs, les gens montent les barrages dans la ville et veillent toute la nuit. Dans le quartier, ça chante à tue-tête (des chants du style Mahaleo) ou sinon ils font une partie de foot pour rester éveiller.


Dimanche 03 mars 2002
Offensive armée du pouvoir sortant

Cet après-midi, des éléments des forces armées tentent de briser les barrages dressés par le Peuple malgache pour protéger le président Marc Ravalomanana et ses proches collaborateurs, physiquement menacés.
Des fusillades ont été entendues et les cloches ont sonné à toute volée dans la Capitale pour alerter la population. Accourus de toutes parts, les gens se déclarent prêts à défendre coûte que coûte la démocratie et les élus du peuple.
Que Dieu protège le vaillant Peuple malgache.


Efa mba manantena ny hilamina amin'izay,ary hoe hanomboka hametraka ny ministres eny amin'ny Ministères isankarazany,manomboka rahampitso.Anefa i DR toa tsy mety milavo lefona.Tairiny indray angamba ilay gouverneur militaire toa malefadefaka teo,ka izao alahady izao dia namoaka miaramila handrava ny barrages nataon'ny olona mankany amin'ireny toerana tokony hambenana ireny:Faravohitra misy ny tranon'i MR,Banque Centrale sy Trésor eo Antaninarenina,Station ny MBS eny Anosipatrana,Ambohimitimbina misy ny émetteur national,...Mandefa alerte izao ny MBS miantsao ny olona hiambina ny barrages. Ny tany am-piangonana koa izao androany niantso ny diakonina hanao na handefa solontena hiambina ny fiangonana,fa hoa misy mitady handoro ny fiangonana eto Antananarivo.

J.R.


Tout le monde est appelé à faire la garde contre l'invasion des troupes de l'ancien pré.... 
Des "barrages sont placés un peu partout surtout sur les coins stratégiques : résidence du président (Ra 8) à Faravohitra ; du côté de la banque centrale où il y a l'argent du peuple ; le trésor à Antaninarenina ; le Palais de travail de Ra 8 ainsi que la station radio nationale (qui reste encore muette il y a déjà une semaine) ; et à chaque entrèe des quartiers ou on doit controler l'idendité des automobilistes et les pietons,.... 

R.R


Message du COLLECTIF  INDEPENDANT  POUR   LA DEFENSE  DE  LA  DEMOCRATIE

 A MADAGASCAR

ALERTE MAXIMUM A MADAGASCAR !!!

RATSIRAKA REPRIME DANS LE SANG LA PACIFIQUE
«REVOLUTION DES OMBRELLES »

Appel a tous ceux qui oeuvrent pour la paix et la vraie démocratie

Comme il fallait s’y attendre, RATSIRAKA assassine les leaders de l’opposition en province (à Nosy Be), et lance ses « commandos » pour défaire les barrages populaires à Antananarivo.

Ce sont des provocations claires qui visent à amener le peuple à s’engager dans une escalade de la violence qui justifiera la répression armée dans le cadre de la «loi martiale».

Il est temps de mettre un coup d’arrêt aux velléités sanguinaires du dictateur malgache. Il ne doit pas rééditer ses « exploits » du 10 Août 1991.

Nous appelons tous ceux qui peuvent influer sur les décideurs du monde entier à user de leur poids pour obliger RATSIRAKA à quitter ce pouvoir qui ne lui sied plus, avant qu’il ne soit trop tard pour le peuple malgache.

Il y a suffisamment de sang versé à travers le monde pour que RATSIRAKA crée une nouvelle « source » à Madagascar.


Voici un résumé de la situation actuelle à Madagascar :

  

Prétextant le rapatriement à Antananarivo du corps du directeur de l’agence  de la banque BTM de Nosy-be, victime d’un attentat commis par le chef de la sécurité auprès du gouverneur de la province d’Antsiranana, le président sortant Didier RATSIRAKA  a donné l’ordre de faire intervenir la force armée dans la Capitale ; la ville est quadrillée par des militaires circulant en jeeps ; ordre a été donné de déposer les barrages mis en place par les partisans du Président RAVALOMANANA.

 

Toujours à Nosy-be, on déplore l ‘état de deux personnes gravement blessées victimes d’agression commise par des partisans de Didier Ratsiraka.

 

Il est à craindre que de tels actes de provocation  n’engendrent des heurts pouvant créer  une situation de violence dont, par leurs agissements, les hommes se réclamant du président sortant en portent l’entière responsabilité.

 

Communication et presse : Simone RANJALAHY et Claudia Solofolandy

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur RFI du 4 mars 2002 à 8H:"Le gouvernement Ra8 a décidé de mettre en place dans les differents ministères les ministres ce jour, et très tôt ce matin les militaires  se sont postés devant les ministères"

 

Sur Radio Notre Dame le 4 mars 2002 à 0H :"Soutien du pape Jean-Paul II - le Saint Père vient de présenter son message de soutien envers le peuple malgache. ...Selon les traditions non violentes . Par ailleurs, il invite les autorités à engager un dialogue d'une part, et, de trouver une solution rapide à la situation actuelle"
 Sur le Journal télévisé de TV5 ce 3 mars 2002 à 18h :" Affrontement  entre les partisans de Ra8 et l'armée"


Le pire n’est pas sûr

Alors que la loi martiale reste en partie ignorée par les habitants de la capitale malgache, Marc Ravalomanana nomme un «gouvernement». Pendant ce temps on négocie en coulisse.

«La loi martiale ne nous concerne pas, nous ne sommes pas inquiets». Ces quelques mots de Marc Ravalomanana témoignent de l’ambiance qui prévaut dans la capitale malgache. «Etat de nécessité nationale, (état d’urgence), couvre-feu, loi martiale», sont des mots qui semblent totalement inconnus dans le vocabulaire du commun des Tananariviens. Détachés de ces termes de guerre, des milliers d’habitants de la capitale, ont bravé les restrictions exceptionnelles que prévoient, en principe, les dispositions prises par le pouvoir Ratsiraka. La plus élémentaire étant l’interdiction d’attroupement. Mais la place du 13 mai a connu son animation «normale», même au lendemain du décret instaurant la loi martiale. Les militants pro-Ravalomanana y ont manifesté à nouveau leur soutien à leur leader, qui selon eux, doit légitimement occuper le fauteuil présidentiel malgache.

A quoi sert la loi martiale? Question que se posent les manifestants qui ne remarquent aucun déploiement, ni des forces de police, ni d’unités de l’armée. «Nous n’avons pas peur de l’armée, ce sont des membres de notre famille, ce sont nos frères», déclare Marc Ravalomanana qui est persuadé que l’armée a déjà «choisi son camp». Il s’en convainc d’autant plus que le nouveau gouverneur militaire d’Antananarivo, désigné par le président Ratsiraka, le général Léon-Claude Raveloarison, n’a pas pris la voie de la répression, comme l’y autorise l’application de la loi mariale. «J’entends d’abord privilégier la négociation, mon premier souci n’est pas d’aller à l’affrontement, mais de négocier» a-t-il déclaré, lors d’une conférence de presse, peu après sa nomination. Le gouvernement militaire s’est fait médiateur en annonçant, par ailleurs, avoir établi des contacts avec et entre les deux parties en conflit. 

Une solution «à la malgache» 
Ces contacts paraissent primordiaux, au moment où Marc Ravalomanana brave la loi martiale en acceptant la liste du gouvernement que lui soumet son «Premier ministre», Jacques Sylla. Au nombre de dix-sept ministres, le gouvernement compte dans ses rangs une femme, Alice Rajoaonah, qui hérite du ministère de la Justice. Deux portefeuilles restent néanmoins non attribuées : la Défense et les Affaires étrangères. Dans le contexte actuel Marc Ravalomanana retarde la nomination des titulaires de ses portefeuilles parce que des tractations se poursuivraient encore dans son «QG» de l’hôtel de ville d’Antananarivo rebaptisé «palais présidentiel d’Ambohitsirohitra» par ses supporters. La Défense devrait être confiée à un militaire qui fait l’unanimité dans l’armée et les Affaires étrangères à une personnalité qui jouit d’une grande réputation sur le plan international. Ces choix paraissent essentiels dans la stratégie de Marc Ravalomanana, qui a accepté par ailleurs un gouvernement composé de personnes peu connues dans les turpitudes politiques malgaches.

«Le Premier ministre», Jacques Sylla, qui entend se mettre très vite au travail, annonce pour sa part que ses ministres prendront «progressivement leurs poste et fonctions». Mais comment? C’est la grande question à la quelle personne ne répond précisément. En attendant l’économie du pays est exsangue. Les grèves dans la fonction publique ont paralysé tous les secteurs vitaux de l’économie nationale. Deux villes, symboles des pouvoirs politique et économique y ont pris aussi une part active.

A Antananarivo, fief de Ravalomanana, grand pourvoyeur de fruits et légumes et autres denrées de premières nécessités, le pouvoir Ratsiraka oppose Tamatave, premier port malgache qui alimente la capitale en carburant et produits d’importation. En effet le gouverneur de la province de Tamatave tolère un barrage des pro-Ratsiraka sur la route nationale 2, seule voie de communication qui relie et favorise les échanges entre les deux métropoles. Malgré les protestations des transporteurs, l’état de nécessité nationale, le couvre-feu et enfin la loi martiale, ce barrage n’a pas été levé, pas plus que les barricades érigées un peu partout par les partisans de Marc Ravalomanana. Cette guerre des villes s’est traduite par une pénurie de carburant et de produits manufacturés dans la capitale et à l’inverse le port Tamatave connaît actuellement une pénurie des denrées alimentaires.

L’exemple de ce deux villes montre la situation de blocage à tous les niveaux que vit Madagascar. Le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères estime que «seule la reprise du dialogue peut permettre de dégager une solution politique», sous entendant que la loi martiale n’est pas de nature à apaiser les esprits. Mais selon certains observateurs de la vie politique malgache, la nomination d’un gouverneur militaire à Antananarivo, loin de crisper les protagonistes pourrait apporter des solutions de sortie de crise, «à la malgache», ambiance bon enfant, et peut-être même à contre-courant de la volonté de ceux qui ont pris cette initiative. 

DIDIER SAMSON 
01/03/2002 


Pour résumé les infos de cette journée, je me contenterais vous transmettre cette lettre d’une correspondante qui résume a peu près la situation.

Bonjour à tous,

Un dimanche marqué à Antananarivo par une bataille d'antenne. Le Gouverneur militaire aurait décidé d'établir les émetteurs de la TVM et RNM dans un camp militaire sis à Soanierana, après avoir tenté de le faire en vain hier à Ampahibe au Ministère de la Défense: la population avait été avertie et a empêché le projet. Ce n'a pas été le cas aujourd'hui où les militaires ont utlisé des gaz lacrymogènes pour disperser la foule.

D'autre part, des véhicules légers militaires ont circulé dans la ville et mégaphone à l'appui, ont rappelé les mesures de la loi martiale: ce qui a eu pour effet immédiat de faire sortir la population et la mise en place des barrages plus tôt que d'habitude.

La situation est autrement plus grave à Nosy Be où règne la terreur: il semble confirmé que c'est bien le Cl Kotity qui ait été à l'origine des évènements de la nuit de vendredi. Je me demande alors qui a été arrêté à Ambositra: MBS avait annoncé l'arrestation de Kotity dans cette localité la semaine dernière. Plusieurs familles merina ont quitté Nosy Be et ont préféré passer la nuit dernière dans le camp de la gendarmerie à Hellville (qui mérite bien son nom en ce moment).

Rien de semblable dans les autres localités de la région, Ambanja notamment.

On veut faire passer le tribalisme du stade d'épouvantail à une réalité en s'attaquant à des personnes innocentes. L'intention de DR est peut-être de démontrer qu'il est le SEUL (?) garant de la nation malgache, mais ces agissements barbares et l'instrumentalisation de l'armée se retourneront sans doute contre lui, les militaires indécis peuvent basculer dans un camp ou l'autre à tout moment.

Par ailleurs, on apprend qu'un boeing 767 d'Air Madagascar est retenu en France par l'Exim bank pour non paiement de loyer. J'aimerais avoir confirmation de l'information: il semble que les jours d'Air Madagascar soient comptés et que les nécrophages rôdent depuis longtemps autour des dépouilles escomptées, dossier brûlant pour le nouveau ministre des transports. Dans le même ordre d'idée, je ne comprend pas pourquoi Air France a (encore) annulé tous ses vols sur Madagascar, ce qui ajoute à l'incompréhension générale sur l'attitude de la France, même si ça n'a rien à voir.

Les yeux se tournent vers le nouveau gouvernement: vont-ils prendre possession des bureaux ou plutôt vont-ils se pencher sur la sitaution dans les provinces sans pour autant délaisser Antananarivo. Il est temps que Ravolomanana s'adresse à la nation entière pour lui faire part de ses intentions. J'ignore dans quelle mesure cela est matériellement possible.

L'ancien gouvernement s'enferme dans un silence assourdissant, qui fait qu'il ne compte plus que pour du beurre.

Les rumeurs concernant Rossy et Mme Ranaivo ont commencé à circuler dès jeudi dernier sans qu'on sache si elles sont fondées ou non.

(NDLR : Rossy serait entre la vie et la mort à cause d’une balle tirée par Sophie Ratsiraka)

Nous entamons une nouvelle semaine importante.

Patricia.

 VAOVAO ITALIANINA (MISNA)

Les manifestations dans le monde

MADAGASCAR, 2 MAR 2002 (13:57)

ANTANANARIVE : LA FOULE ACCLAME LE ‘GOUVERNEMENT PARALLELE’ (STANDARD, POLITICS/ECONOMY)

La présentation des nouveaux ministres du ‘gouvernement parallèle’ de Ravalomanana s’est déroulée comme prévue à Antananarive, capitale du Madagascar. Des sources de la MSINA informent qu’à 11H25 de ce matin, près d’un million de personnes se sont regroupées Place du 13 Mai pour saluer les membres du ‘nouvel exécutif’ ne tenant pas compte, encore une fois, de la loi martiale ni de l’état d’urgence. Durant la manifestation Ravalomanana a déclaré que lundi le peuple devra accompagner les nouveaux ministres jusqu’à leurs bureaux pour prendre possession des locaux. Jacques Sylla, le premier ministre nommé par Ravalomanana ces derniers jours, a expliqué les critères selon lesquels les ministres ont été choisis pour la formation de son gouvernement : compétence et capacité à travailler en équipe. Il a par ailleurs lancé un appel invitant les gens à ‘tenir bon’. ‘‘Nous sommes presque arrivés à obtenir le pouvoir effectif. Maintenant il s’agit de rester unis’’, a-t-il déclaré sous les applaudissements de la foule. Sylla a conclu son intervention en remerciant en français tous les étrangers qui ont appuyé la cause du peuple malgache. Durant ces semaines, les nombreuses communautés internationales résidant dans l’île africaine ont financé les activité de restauration des personnes engagées dans les checks points de quartiers. L’entière situation malgache présente cependant une certaine particularité. De ce processus d’‘activisme politique’ sont restés exclus des zones entières du pays. A l’exception d’Antananarive, les 5 provinces restantes du pays sont contrôlées par Ratsriaka. La carence des moyens de communication à l’intérieur de l’île (la télévision et la radio nationale sont éteintes depuis plus d’une semaine) font que nombreux sont ceux qui ignorent ce qui se passent dans la capitale. Des sources locales informent la MISNA que les gouverneurs de ces provinces sont en train de mettre de l’ordre (surtout parmi les paysans) en recourant à l’intimidation. D’autres évolutions de la situation pourront avoir lieu quand le mouvement pro Ravalomanana quittera la capitale pour informer des derniers changements. En attendant, outre une prise de position ouverte des militaires, on attend celle de la communauté internationale. (AHG)

 

 

Manifestation CANADA, Ottawa Vendredi 01/03/02 à 13h 

Manifestation GENEVE, Place des Nations, Samedi 02/03/02 à 10h30 

Manifestation PARIS, Esplanade du Trocadero, Samedi 02/03/02 à 11h 

Manifestation STRASBOURG, Place Kleber, Samedi 02/03/02 à 13h 

Manifestation SAINT-DENIS, Place du Barachois, Samedi 02/03/02 

Réunion d'information ROUEN, Samedi 02/03/02 à 15h


Collectif Indépendant pour la Défense de la Démocratie à Madagascar

Manifestation pour la défense des droits élémentaires du peuple malgache et de la démocratie à Madagascar

Samedi 2 Mars 2002 De 11h à 13h
ESPLANADE DES DROITS DE L'HOMME
Place du Trocadéro Paris 16è (Métro Trocadéro)

HALTE AU RETOUR DE LA DICTATURE A MADAGASCAR

De provocations en manifestations et contre- manifestations, les situations d'exception se mettent en place graduellement à Madagascar entraînant de fait la suspension des libertés publiques et la mise en place d'une chape de
plomb sur les réalités.

Le peuple malgache ne demande que la vérité, le respect de son vote et de ses droits les plus élémentaires

POUR SOUTENIR LA LUTTE DU PEUPLE MALGACHE

Munissez vous de bruiteurs « pacifiques » style casserole, sifflet, tam-tam, djembé et autres.

N'oubliez pas vos banderoles, drapeaux.

Contacts : collectifmadagascar@yahoo.fr 

René Rakotondrabao Andriantsihafa
06 82 82 46 21

Claudia Solofolandy
27, rue de la Gare - 7501 94 230 Cachan
06 65 65 52 89 - 01 45 46 27 99
claudias@oreka.com 
claudiasolofolandy@wanadoo.fr

 

 

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