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AngolaPress
11/11/2005
Madagascar veut devenir le grenier et le potager de Maurice
Port-Louis, Maurice,11/11 - Le ministre malgache de l`Agriculture, de l`Elevage et de la Pêche, Harison Edmond Randriarimana, qui accompagne le président malgache, Marc Ravalomanana, en visite officielle dans l`île, a exhorté les opérateurs économiques mauriciens à se tourner davantage vers son pays pour des projets d`investissement et de partenariat, ainsi que pour leurs importations en produits alimentaires.
Lors d`une rencontre à Plantation House, dans la capitale mauricienne, jeudi, il a dit que Madagascar a l`ambition d`être le grenier, le verger et le potager de Maurice, avant de parler de l`amélioration du cadre d`investissement dans son pays, particulièrement l`assouplissement des conditions d`investissement dans le foncier.
Selon M. Randriarimana, les dirigeants politiques des deux îles malgaches ont démontré un engagement ferme à la promotion de la coopération bilatérale, mais «nous ne devons plus rester au stade des relations amicales mais évoluer vers des relations économiques approfondies.»
Il a rappelé l`importation par Maurice d`une première cargaison de 9 tonnes de pommes de terre de Madagascar récemment, et a souhaité qu`un volume plus conséquent soit importé à l`avenir.
En ce qui concerne les normes sanitaires et phytosanitaires, M. Randriarimana a dit que l`accord signé avec le gouvernement mauricien, mercredi, va faciliter les échanges et que des efforts seront entrepris pour que les normes établies par les autorités des deux pays puissent concorder.
Pour sa part, le ministre malgache du Commerce, de l`Industrie et du Développement du secteur privé, Roger Rafanomezantsoa, a plaidé pour une consolidation de la coopération au niveau des opérateurs du secteur privé.
Il a rassuré les hommes d`affaires locaux quant à la sécurité de leurs investissements dans son pays. Toutefois, a-t-il ajouté, la réussite d`un projet de partenariat dépend du bon choix des partenaires.
La délégation malgache quitte l`île ce jeudi après midi, rappelle-t- on.
Sobika.com
04 novembre 2005
"La
Musique dans le Fihavanana malgache"
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Vème anniversaire de
l'ARF: 29 octobre à Tournan-en-Brie
L'association des Rainizafimanga en France a fêté son 5éme anniversaire. Cette grande famille malgache a pour l'occasion réunie au cours d'une soirée le groupe
Tselatra, l'orchestre Macadence Car, Kikou entre autres
"ARF 5ème anniversaire" La dynamique association des Rainizafimanga de France, a dignement fêté son 5ème anniversaire avec une soirée qui a vu défiler entre autres
Tselatra, Macadence car...Les photos !
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Reportages photos sur
Sobika.com
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Madamaki.com
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Moramora.net
Midi
Mada 11/11/2005
ROVA. Une pression indirecte autour de la reconstruction du Rova, dont le budget nécessaire n’est pas encore connu jusqu’à présent.
Des cotisations… « obligatoires »
Plus une obligation qu’un… devoir. Le patriotisme cultivé autour de la reconstruction du Rova de Manjakamiadana laisse planer quelques doutes et fait naître quelques interrogations. Surtout parmi ceux qui ont été sous l’emprise d’une pression, à peine voilée, pour cotiser.
Nirina R.
C’est ce qu’on murmure ces derniers temps parmi le personnel de certains ministères, où l’incitation faite par le gouvernement a revêtu une forme d’obligation afin qu’il contribue aux fonds destinés à la reconstruction du Rova. Certains d’avancer même qu’un montant minimal leur a été imposé. Et que les ministres devaient s’acquitter chacun de 200.000 ariary, les secrétaires généraux de 25.000 ariary et les directeurs de 10.000 ariary. Quant au reste du personnel, il pouvait donner ce qu’il voulait, du moment qu’il contribuait.
« Volontaires »
Pour l’heure, un tel constat n’a été fait que dans la capitale. Il est vrai qu’Antananarivo est la principale concernée dans l’histoire. Ce qui pourrait engendrer par la suite des craintes dans les services déconcentrés ou décentralisés. L’effet d’entraînement devant, en effet, venir d’en haut, il aurait été «suggéré » à chaque département de s’acquitter de 5 millions d’ariary. Cependant, les chiffres de cotisations « volontaires » publiés lors du dernier conseil de gouvernement justifient d’une enveloppe de Ar. 69.084.176 millions. Dans laquelle 10 ministères n’ont pas atteint ce quota, contre 8 qui y sont arrivés. L’explication se trouve sans doute dans la différence de poids entre eux. La primature ayant rassemblé, quant à elle, 3.426.450 ariary.
Garantie
Ce n’est pas étonnant dans la mesure où les ministères sont actuellement sujets à des difficultés financières. Il y a d’abord eu la réduction des crédits au mois d’août, où le budget de l’Etat a été amputé de Ar. 33 milliards d’ariary sur le fonctionnement et de 25 milliards sur l’investissement. Ensuite, l’amputation de 80% pour les Ar. 26 milliards destinés au redressement de la JIRAMA. Ce qui ramène déjà à un trou de 84 milliards d’ariary pour le dernier semestre 2005. Mais nous sommes encore loin des 70 milliards d’ariary annoncés par le Président Ravalomanana à Maurice. Face à tout cela, le CNP est plus que jamais tenu à une obligation de résultats et de fournir la garantie de ne pas dépasser le délai de un an.
La
Gazette 09/11/2005
A cause de la Jirama : Le budget de l'Etat délesté de 80%
C’est confirmé ! Les bailleurs de fonds ne veulent plus accorder un seul centime pour régler le problème de la Jirama. Après les 5 millions de dollars accordés par la Banque mondiale pour l’achat de gasoil, un message formel a été adressé à l’Etat malgache de régler lui-même le problème de délestage alors que la cargaison achetée sur le financement de la Banque ne pouvait assurer l’alimentation des groupes électrogènes au-delà du mois d’octobre.
Le risque d’une coupure totale était alors réel pour finalement obliger l’Etat à financer la Jirama sur son budget qui est ainsi de nouveau amputé de 80 %. La circulaire suivante du ministère des Finances et de l’Economie a été adressée dans ce sens à tous les institutions et ministères. « Suite à la Décision prise en Conseil des Ministres à la date du 27 octobre 2005 de contribuer au plan de redressement de la JIRAMA, lequel nécessite un besoin de financement de 26 milliards ariary jusqu’à la fin de l’année 2005, la présente circulaire décrit les dispositions à suivre par les Ordonnateurs secondaires de tous les Institutions et Ministères, entre autres :
- l’engagement des dépenses est limité à 20 % des crédits disponibles à la date du 27 octobre 2005 sauf pour les Institutions ;
- en ce qui concerne les Institutions, une réduction globale de crédit de 3 milliards est prévue sur les crédits d’investissements ;
- pour les Ministères, cette mesure ne porte pas sur les dépenses obligatoires telles que personnel ECD, prime globale d’alimentation,
contribution internationale, bourses…
- à cet effet, il appartient aux ordonnateurs secondaires de prendre l’attache du Contrôle financier afin de procéder à la DEF/TEF de blocage de 80 % des crédits disponibles à la date du 27 octobre 2005, établie au nom de l’ordonnateur secondaire concerné (…) »
Madagate
09/11/2005
MENACE DE SANCTION DE LA BANQUE MONDIALE - LE PROJET PSDR REMIS EN CAUSE
Le financement accordé à la population rurale risque encore de chuter.
La mauvaise gouvernance au sein du PSDR risque d'aller au delà d'une simple suspension de crédit. Les sanctions pourront concerner tout le portefeuille du pays déjà amputé de 16%.
Dérapage dans l'utilisation des fonds, non respect du manuel de procédure dans les passations de marché influant sur le choix des partenaires stratégiques, ce sont d'une manière générale les charges qui pèsent sur le Projet de soutien au développement rural (PSDR). Les sources ministérielles indiquent que près de 10% des sous-projets se trouvent sur une liste rouge énumérant ceux qui sont concernés par ces anomalies.
C'est dans ce contexte que le gouvernement tente de sauver les meubles. Le ministère de l'Agriculture, de l'élevage et de la pêche (Maep) engage des réformes musclées au sein du PSDR. Des mesures d'urgences qui prendront dans un premier temps la forme d'un vaste remaniement au sein de l'équipe dirigeante de cet organisme. Par la suite, un cabinet indépendant prendra en charge une partie de sa gestion.
Motif : éviter une nouvelle sanction de la Banque mondiale avec la suspension de fonds alloué au PSDR, une mesure qui aurait inévitablement de sérieux impacts sur l'ensemble du portefeuille destiné à Madagascar.
"Nous devons faire preuve de rigueur. On ne peut pas attendre que les choses s'aggravent pour réagir et prendre des dispositions", déclare le ministre de l'Agriculture, de l'élevage et de la pêche, Harison
Randriarimanana.
Aux dernières nouvelles, le gouvernement malgache a déjà reçu les encouragements de James Bond, directeur des opérations de la Banque mondiale à Madagascar dans ses actions. "Mais rien n'est sûr car les enquêtes sont encore en cours", précisent les techniciens.
Task manager.
Les planteurs risquent d’être privés de semences.
Le problème du PSDR a effectivement débuté lorsque la nouvelle responsable au sein de la Banque mondiale, dénommée "task manager", est arrivée au pays . De source proche du dossier a révélé que "ce task manager" est particulièrement exigeant dans ses contrôles. Le week end dernier, tous les responsables du projet avec le staff technique du ministère et l'équipe de la Banque mondiale se sont réunis à Antsirabe, loin des regards indiscrets. "C'était une réunion sans précédente. Jamais un projet de développement n'a réussi à rassembler autant de décideurs autour d'une table", confie une source.
Le but de cette réunion était de faire le point sur les anomalies constatées dans les projets du PSDR. Rappelons que, quelques semaines plus tôt, le gouvernement malgache à travers le Maep a pris l'initiative de suspendre l'approvisionnement de son compte. Par cette décision, les autorités du pays ont donc décidé d'aller au devant d'une éventuelle décision de la Banque mondiale. Les sources ministérielles ont affirmé que les décaissements ont repris dès lundi.
"Qu'il n'y ait pas de malentendu. C'est la partie malgache et non la Banque mondiale qui a pris la décision d'arrêter les décaissements ", souligne Harison
Randriarimanana.
Deux vagues de limogeage.
La riziculture est un des secteurs bénéficiaires du
PSDR.
Aucune information pour l'instant n'a été diffusée concernant ceux qui seront démis de leur fonction au sein du PSDR. Néanmoins, le ministre a affirmé "l'imminence du départ d'une première vague qui sera suivie prochainement d'une deuxième". "Avec la nomination d'un cabinet indépendant pour gérer le PSDR, vous devrez savoir qui sera le premier à partir", précise-t-il, mettant du coup en tête de liste le nom du directeur national. "Un projet ne peut pas avoir deux têtes ", diront certains.
Interrogé, Rivo Ratsimbarison, directeur national du PSRD affirme être "prêt à se sacrifier pour le pays". "Je n'ai aucunement peur d'une éventuelle enquête du Bianco ni celle d'une inspection d'Etat", lance-t-il. "Toutefois, je ne peux rien faire si effectivement des collègues sont coupables ", continue-t-il.
Le PSDR est un projet colossal avec un financement de près de 106 millions dollars. Logiquement, il devrait prendre fin en 2007. Initialement, son financement a été prévu pour la réalisation de quelques 4000 sous-projets et 3000 filières. Aujourd'hui, il reste 30 millions dollars à utiliser et les projections prévoit la réalisation de près de 7000 sous-projets au total. Déjà menacé de dissolution par le Président de la République en début d'année, le PSDR a néanmoins pu résister. Aujourd'hui, il est de nouveau confronté à de nouvelles difficultés avec de profonds changements qui s'annoncent à l'horizon.
Mahefa Rakotomalala [ Posté par : lexpressmada.com |
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Xinhuanet.com
11/11/2005
Madagascar: les vols sur Milan suspendus
ANTANANARIVO, 8 novembre (XINHUANET) -- La liaison aérienne entre Madagascar et Milan sera suspendue dans les prochains mois, a-t-on appris mardi de source officielle.
Selon les responsables de la compagnie nationale de transport aérien, Air Madagascar, cette décision veut favoriser davantage de performances sur cette ligne. "Nous voulons optimiser sa rentabilité", explique Erick Rabemananoro, responsable du département communication de la société.
Actuellement, trois vols hebdomadaires relient Madagascar et la ville italienne, à savoir un vol charter avec le groupe hôtelier Venta Club de Nosy Be et deux vols réguliers depuis la capitale", précise M.
Rabemananoro.
"Nous profiterons de la suspension annuelle des activités hôtelières du Venta Club, du mois de janvier à mars, pour lancer la restructuration", avance-t-il. "Tous les vols reliant la Grande île à Milan seront alors suspendus durant cette période", poursuit- il.
A terme, la nouvelle configuration des liaisons avec Milan pourra se présenter en vol combiné "charter/régulier" de deux fois par semaine. Un certain nombre de places sera réservé à l'hôtel Venta Club pour ses clients et le reste sera vendu par la compagnie nationale.
Ouverte en 2004, la liaison avec Milan a été initiée dans le but de faciliter l'accès des touristes italiens, de plus en plus nombreux, à la Grande île. Fin
Un projet de recyclage de déchets ménagers et industriels est actuellement en cours de constitution à
Antananarivo, a-t-on appris jeudi de source officielle.
Le projet prévoit la transformation, le traitement et le stokage des ordures.
Le premier point focal du projet est sa contribution à instaurer une image propre de la ville: la présence d'un centre de traitement et de stockage de déchets pour garantir, de manière significative, davantage de propreté.
Outre le nettoyage de la ville, il y aura également une importante création d'emplois, au moins une centaine de nouveaux emplois directs. Dans la chaîne connexe, il y en aura un millier d'emplois.
L'installation d'un centre de traitement pourra aussi susciter les investissements, car certains opérateurs exigent l'existence d'une telle structure avant de s'implanter. L'éternel problème de l'évacuation des déchets industriels s'en trouve résulu. Une vingtaine d'entreprises ont d'ores et déjà manifesté leur intérêt pour le projet.
Le coût global du projet tourne autour des 9 milliards d'Ar (2 150 Ar équivalent à un dollar). La première étape consistera à construire le centre d'enfouissement technique qui sera opérationnel au plus tard début 2006. L'installation des structures destinées à la production d'énergie sera lancée en 2006 pour être effective en 2007. Selon les prévisions, l'ensemble du projet devra être en pleine activité dans le courant de 2007.
Madamaki.com
06/11/2005
Madagascar se veut un pays touristique.
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Infrastructure touristique ?? |
Aucun responsable du secteur n'a jamais posé le problème dans sa simplicité première: pour accueillir beaucoup de touristes, il faut d'abord multiplier le nombre de lits. À partir de là, on peut complexer un peu le problème et déterminer quel type d'hébergement le touriste préfère le plus : établissements hôteliers, complexes touristiques, villages de vacances, gîtes d'étapes.
À l'heure d'aujourd'hui, force est de constater que Madagascar n'a pas encore réglé la question de son infrastructure touristique pour pouvoir se positionner dans le concert des nations à vocation touristique. L'infrastructure nationale en la matière est pauvre, insuffisante et sommaire. En un mot, Madagascar se veut un pays touristique, mais l'investissement dans ce domaine ne suit pas, faute peut-être de mesures incitatives.
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Jeune
Afrique 11/11/2005
Madagascar ne va pas s'isoler à nouveau, selon Ravalomanana - par PANAPRESS
Le président malgache, Marc Ravalomanana, actuellement en visite officielle à Maurice, a déclaré que son pays a payé cher son isolement en restant sous- développé malgré ses richesses naturelles.
S'adressant aux businessmen et entrepreneurs mauriciens, ainsi qu'aux responsables de diverses institutions de l'île mercredi soir, il a dit que son pays a décidé de s'ouvrir au monde, afin que sa population puisse bénéficier de l'abondance de sa terre et des eaux qui l'entoure.
«Mais pour que cela puisse se matérialiser, nous devons faciliter les investissements dans des secteurs qui pourraient agir comme catalyseurs de notre développement économique - dans les mines, l'agriculture, le secteur manufacturier, l'agro-industrie, de même que dans le tourisme et les technologies de l'information et de la communication (TIC», a-t-il déclaré.
Il a ajouté qu'étant un entrepreneur lui-même il sait qu'aucun investisseur ne va prendre des risques si les conditions ne sont pas propices à l'investissement.
M. Ravalomanana a souligné que les procédures administratives pour l'investissement dans son pays ont été simplifiées avec la création d'un bureau pour s'occuper de toutes ces démarches.
«Nous étudions également les incitations que nous offrons afin de faire de notre pays une destination compétitive. Comme d'habitude Maurice est invité à prendre avantage des facilités d'investissements», a fait ressortir le président malgache.
Il a, par ailleurs, remercié Maurice pour son soutien à l'adhésion de son pays à la Communauté de développement des pays de l'Afrique australe (SADC).
«En tant que nouveau membre, nous devons apprendre de l'expérience de Maurice, particulièrement en ce qui concerne l'application du Protocole de cette organisation», a-t-il affirmé.
M. Ravalomanana et sa délégation quitte l'île cet après-midi rappelle t-on
Madagate.com
06/11/2005
MADAGASCAR sur la piste des danses sportives à Forges-les-Eaux,
Dans une ambiance très conviviale et amicale, la ville des Forges-les-Eaux a ouvert ses portes à Madagascar avec en toile de fond la représentation de la danse sportive, par l'APSDM et le grand marché de « Zoma » un concept de marché malgache en plein air.
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Un temps d'automne ensoleillé rythmé par la musique malgache, du groupe Gasy Music et l'orchestre
Soley, accueille les convives du Premier week end Madagascar, parmi lesquels, notre Ambassadeur de Madagascar en France, SEM Razafy
Andriamihaingo, qui est venu soutenir et honorer de sa présence, ce dynamisme nouveau de « Madagascar naturellement ».
Monsieur Michel Lejeune Député Marie des Forges-les-Eaux et son équipe municipale adhèrent à la manifestation et ont mis les moyens matériels pour réussir cette manifestation.
Le
"Week end Madagascar" vise à mettre en place une fédération de "Danse sportive" à Madagascar et péreniser l'action humanitaire initiée en février 2005.
L'association APSDM (Association pour la Promotion de la Danse Sportive à Madagascar ) présidée par Messieurs Haja André Resampa et son ami Claude Germain, avait fait venir une quarantaine de |
couples de danseurs de hauts niveaux à Madagascar au mois de février 2005, afin de présenter la Danse sportive aux malgaches.
Un séjour et expérience fort agréable pour cette association, qui avait menée sur double fronts l' action humanitaire et la mise en place d'une future fédération de danse sportive, dont Madagascar serait probablement la troisième en Afrique.
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Cette tournée des danseurs professionnels avec
l'APDSM, a suscité énormément de vocation. Monsieur Claude Germain, titulaire de 7 centres de danses en France affirme que « les malgaches se montrent particulièrement doués pour la pratique de la danse et qu'actuellement l'enseignement de la danse sportive et la formation des couples sont déjà sur la bonne voie à Madagascar ».
Cette discipline regroupe déjà plus de 100 000 pratiquants dans le monde. Il faut croire que Madagascar pourrait être un réservoir des futurs champions dans cette discipline. Après l'Afrique du Sud et le Cameroun, Madagascar serait le troisième pays d'Afrique à avoir sa |
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fédération nationale de la Danse sportive.
Cela risque de promettre une bonne nouvelle, car dans la mesure où la danse sportive serait acceptée en tant que discipline de compétition sportive, aux prochains jeux olympiques de 2008, nous pouvons bien espérer gagner des médailles en récompenses. Mais faut-il encore travailler dur, car le talent, -aussi brillant soit-il- ne suffise pas, il faut surtout beaucoup d'entraînements car face à la Chine où la danse sportive regroupe les plus d'adeptes dans le monde, cette discipline très populaire ne restera pas, seulement, sur un terrain de loisirs ou du bien être.
... suite sur madagate.com
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Jeune
Afrique 09/11/2005
La spirale de la hausse gagne les produits de première nécessité
- par XINHUA
L'inflation se généralise et touche plus particulièrement les produits de première nécessité à Madagascar.
Leurs prix ont enregistré une augmentation moyenne de 10% ces derniers mois. Celui du gaz combustible figure en tête de liste avec 20%, dû notamment à la hausse du carburant. La bouteille de 12 kg est vendue aujourd'hui à 29 900 Ar (2 120 Ar équivalent à un dollar) contre 2 500 Ar il y a à peine deux mois alors que le SMIG est de 52 000 Ar actuellement.
Cependant, les consommateurs n'ont pas diminué en nombre. "La vente reste la même malgré cette hausse", affirme une responsable de vente de la station Shell.
Par ailleurs, la viande n'est pas non plus épargnée. Une hausse de près de 10% a été constatée, surtout pour la viande de boeuf. Cette augmentation dure depuis deux mois et la hausse du prix à l'abattoir provoque celle des boucheries, à laquelle s'ajoutent les frais de déplacement. Le prix minimum du kilo tourne autour de 4 000 Ar, selon la catégorie des viandes.
La viande de porc, quant à elle, tourne autour de 5 200 Ar le kilo. Cette hausse s'explique par la baisse de la demande: "Nous avons dû reduire de moitié notre commande car mieux vaut tout vendre que d'avoir un surplus", confie un marchant dans le centre
velle.
Les consommateurs, eux, réduisent leurs achats: "Nous consommons de la viande une fois par semaine car c'est devenu un produit de luxe", déclare une mère de famille.
En ce qui concerne le poulet de chair, son prix a monté de 20% avant même celui des viandes bovine et porcine parce que la loi de l'offre ne suit plus celle de la demande, situation compliquée par la grippe aviaire qui a frappé les fournisseurs étrangers des grossistes. Le kilo coûte 5 200 Ar pour le poulet de chair et 4 800 Ar pour la poularde. De ce fait, la vente est aussi aléatoire.
Cependant, les détaillants maintiennent les prix de certains produits de première nécessité comme le riz, le sucre et l'huile, même si ceux des grossistes commencent à subir une hausse. Un changement peut cependant s'opérer dans peu de temps.
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