Madavôvô 2005  

L'Année 2004 c'est l'année des Ouvertures..  ;   Joyeuses Fêtes de Noel à tous...

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Présentation au Roi du Maroc Sa Majesté le Roi Mohammed VI  des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana
Notons que la Présentation à Sa Majesté le Roi Mohammed VI des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana a précédé la visite présidentielle. Le programme de séjour présidentiel a été marqué, entre autres, par un entretien en tête-à-tête entre les deux chefs d’Etat, suivi d’une visite au Mausolée Mohammed V où le couple présidentiel a déposé des gerbes de fleurs sur les tombes de feu S.M. le Roi Mohammed V et feu S.M. le Roi Hassan II avant de signer le livre d’or....

1er aout 2005

L'impasse...

26 aout 2005

les contre-manifestation Ra8...

09 sept 2005

Autopraclamation Ra8...

17 sept 2005

Etat de nécessité national...

30 sept 2005

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17 oct 2005

06 nov 2005

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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Sommaire Madavôvô: 06 novembre 2005

BigNews. -TSELATRA est de retour...

1. "La Musique dans le Fihavanana malgache" 5è anniv ARF (Sobika)

2. L'Italie annule les dettes malgaches(Jeune Afrique)

3. Révélations sur le dynamitage de ponts:Des officiers bâillonnés !(La Gazette)

4. Coopération - L’Union européenne continue à aider Madagascar (Madagate)

5. INCENDIE DU ROVA : Dix ans de ruine  (La Gazette)

6. No Comment.... No Comment...

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Reportage MégaSoirée-ARF le samedi 29 octobre à Tournan en Brie   Klikeo >>

7. Madagascar se veut un pays touristique. (Madamaki)

8. MADAGASCAR sur la piste des danses sportives à Forges-les-Eaux (Madagate)

9. Plusieurs personnes blessées lors d'un meeting de l'opposition (Jeune Afrique)

10. Les réalisations dans la SAVA en réplique à l’opposition (Midi)

11. L’accès aux capitaux et la fiscalité, principaux obstacles pour investir  (Les Nouvelles)

12.Délestage : La Jirama est invendable ! (Tribune)

13. Jirama : l’industrie paiera pour les particuliers et la capitale pour les provinces (Les Nouvelles)

14. ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE - L'AVI PRÉSENTERA UN CANDIDAT en 2006 (Express)

06/11/2005

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.530,11 Ar 
USD 2.11,77 Ar 
GBP 3.730,37 Ar 
CHF 1.634,33 Ar 
JPY Ar 
ZAR 318,24 Ar 
HKD 272, 64 Ar

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Derniers Messages de nos Petites Annonces         + Savoir plus >>          Les Contacts  >>

1)- vends huiles essentielles de cannelle (cinamomum camphora)               contact : fenoramah

2)- Je recherche une tortue de terre de 3 ans environ sur la région du languedoc roussillon prix raisonnable              contact : Vigroux

3)-Si vous désirez augmenter sérieusement et rapidement vos revenus, ou si vous cherchez une opportunité de travailler à votre rythme, à temps plein ou partiel, de n'importe où, ... pour  une documentation gratuite      contact : Nwaaba

4)-qq1 a-t-il des données concernant les paramètres de température? il serait dommage que ces oeufs se perdent et nous privent du plaisir d'un jour pouvoir rendre des tortues radiées à leur environnement naturelle.        contact : Paul

5)-Arrivage Auto récent sur Mada    Contact Naina ou Sam TEL 032 07 733 35      033 14 367 77      contact : Charles

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Big News... TSELATRA est de retour...   ...suite   Cliquez ici >>

Tselatra frappe toujours fort..., 

La foudre a frappé Antsahamanitra..., 

Le public a été en totale euphorie...           ...suite   Cliquez ici >>


*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


Sobika.com 04 novembre 2005

"La Musique dans le Fihavanana malgache"

Vème anniversaire de l'ARF: 29 octobre à Tournan-en-Brie

L'association des Rainizafimanga en France a fêté son 5éme anniversaire. Cette grande famille malgache a pour l'occasion réunie au cours d'une soirée le groupe Tselatra, l'orchestre Macadence Car, Kikou entre autres
"ARF 5ème anniversaire" La dynamique association des Rainizafimanga de France, a dignement fêté son 5ème anniversaire avec une soirée qui a vu défiler entre autres Tselatra, Macadence car...Les photos !

                                         Reportages  photos  sur    Sobika.com    /  rainizafimanga.com   /   Madamaki.com  / Moramora.net 


Jeune Afrique  04/11/2005

L'Italie annule les dettes malgaches - par XINHUA 
Madagascar et l'Italie sont tombés d'accord sur l'annulation des dettes que le premier doit au dernier, a-t-on appris mercredi de source officielle. 
La totalité des dettes malgaches a été réparties en trois monnaies différentes dont les montants s'élèvent à 132,6 millions de dollars, à 44,29 millions de francs suisses et à 85,3 milliards de lires italiens. La siganture de l'accord de protocole se fera très prochainement à Antananarivo. 
L'accord portont également sur la promotion et l'investissement, le développement de la communication audiovisuelle, l'appui à la consolidation, la promotion et le développement du secteur et le partenariat en matière de gestion de l'environnement seront bientôt concrétisés. 
L'accord a été conclu au cours de la visite du ministre italien sans portefeuille, pour les affaires régionales, Enrico La Loggia. A la tête d'une délégation italienne, il était arrivé dans la capitale malgache samedi dernier et l'a quittée mercredi pour regagner son pays. 


La Gazette 04/11/2005

Révélations sur le dynamitage de ponts:Des officiers bâillonnés !
Le déroulement du procès en appel des 24 militaires, prévenus, entre février et mai 2002, de vol d’explosifs (2 525 kg de dynamite) à la soute à bombe d’Ivato et d’atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat, a quelque peu étonné l’assistance qui est, pourtant, venue en masse, hier au palais de Justice Anosy. En effet, ces hommes en treillis, dont 7 ont été condamnés à 3 ans d’emprisonnement ferme en première instance tandis que le reste a été relaxé au bénéfice du doute, devaient de nouveau comparaître hier devant la barre de la Cour d’appel d’Antananarivo, suite au recours interjeté par le ministère public. Ce dossier pénal a déjà été cité devant la Cour le 23 septembre, mais, pour production de l’acte de décès d’un colonel de l’Armée, un des prévenus, décédé depuis, les juges ont renvoyé l’affaire à cette audience d’hier. 
En tout cas, 9 militaires ont répondu présents devant les juges de la Cour. Contrairement à leur démarche à l’audience du 23 septembre (s’étant tous présentés devant la barre en tenue camouflée), la majeure partie d’entre eux a été hier, en civil. Ce qui a permis à l’assistance d’espérer que le procès allait se tenir, les prévenus n’ayant plus transgressé la loi par le port d’une tenue militaire devant une juridiction de droit commun. Et les prévenus ont effectivement été cités devant les juges mais pour ne répondre qu’à une seule question : “qui d’entre vous a interjeté appel contre le jugement en premier ressort ?”. Les réponses ont été les mêmes : “personne et aucun d’entre nous n’a un avocat”. D’emblée, la présidente a alors annoncé que l’affaire est mise en délibéré pour l’arrêt à rendre à l’audience de la Cour du 25 novembre. 
Une célérité déroutante dans la conduite d’un procès en appel qui a, pour ainsi dire, laissé sans voix tant les prévenus que l’assistance. En effet, le Code de procédure pénale reste sans équivoque quant à la conduite de l’audience en de pareilles circonstances : appel des prévenus à se présenter devant la barre ; vérification de leur identité ; rappel des faits pour lesquels ils sont poursuivis ; désignation d’office d’un avocat pour les prévenus non assistés par un défenseur mais passibles d’une peine supérieure à cinq années d’emprisonnement ; rapport oral du président ; interrogation, par le président, des prévenus présents et lecture des déclarations, faites au cours des débats en première instance, pour ceux absents. Ce “rituel” constitue ce que le jargon judiciaire appelle “instruction à l’audience”. Et vient ensuite l’audition de la partie civile et du ministère public. En tout cas, les prévenus ont toujours la parole en derniers. Or, cette chaîne procédurale n’a guère été observée hier par la Cour. Pis, même le représentant du ministère de la Défense nationale, n’a pas été cité à la barre en sa qualité de plaignant dans la présente affaire. 
Ce qui a amené des juristes, présents dans la salle, à se poser une question : “pourquoi la Cour n’a-t-elle pas suivi cette procédure disposée clairement par le Code de procédure pénale ?”. Alors que la citation de cette affaire devant cette juridiction de second degré expose les prévenus à de sérieux risques. En effet, le même Code édicte que, “si la Cour est saisie par l’appel du ministère public, elle statue sur l’action publique avec une pleine liberté d’appréciation, dans un sens favorable ou défavorable au prévenu”. En clair, les prévenus relaxés au bénéfice du doute pourraient écoper d’une peine privative de liberté et ceux condamnés à 3 ans d’emprisonnement ferme pourraient voir leur peine augmentée. Pis, la Cour dispose d’une “pleine liberté d’appréciation” sur un procès où les débats ont fait défaut. 
Des observateurs avertis ne tirent, de cette sorte de parodie de Justice, qu’une seule explication : la Cour n’a pas offert aux prévenus l’opportunité de s’exprimer en public, l’audience d’hier n’a pas été tenue à huis clos. Est-ce à dire qu’elle aurait craint que certains de ceux-ci, notamment des Colonels, oseraient réitérer, devant la barre, les révélations fracassantes qu’ils ont faites en marge de l’audience du 23 septembre ? Rappelons effectivement que deux officiers supérieurs, parmi les prévenus, ont craché à la presse que “les ponts de Zazafotsy (Ihosy) et Mamokomita (Maevatanana) ont été dynamités suite aux ordres donnés par des généraux, dont Ismael Monibou était le chef, qui s’alliaient encore avec le camp Ratsiraka durant cette crise 2002 et que le dynamitage du pont de Fatihita (Ambositra) était l’œuvre d’un commando consécutivement à l’ordre venant de Jules Mamizara” (voir “La Gazette” du 24 septembre). De toutes les façons, ces officiers supérieurs ont été limpides dans leur constat : “ceux, parmi nous, qui ont réellement dynamités ces ponts, ont exécuté leurs actes suite aux ordres donnés par leurs chefs militaires hiérarchiques d’alors. De ce fait, ces derniers doivent assumer leur responsabilité devant la Justice”. Ce ne fut pas le cas dans la mesure où, avec cette mise en délibéré de l’affaire, ces galonnés de la hiérarchie ont finalement été écartés de ce procès. 
Par ailleurs, Denis Rakotomahafaly dit Denis Be et Merci Ratoabolamanana dit Ra-Merci (tous deux ex-députés Arema d’Antsirabe) ainsi que Jena Emile Tsaranazy (ex-ministre) continueront de subir leur peine d’emprisonnement de 6 ans pour l’inculpation de dynamitage du pont de Fatihita tant que ces aveux d’officiers supérieurs, pourtant bâillonnés hier, ne soient pas consolidés par un arrêt de condamnation de la Cour. Aux dernières nouvelles, les deux actuels députés d’Anstirabe, après avoir fortement réagi durant le face-à-face avec le gouvernement pour la libération de ces trois personnalités condamnées “à tort” dans le dynamitage du pont de Fatihita, ont récemment rendu visite à Denis Be et Ra-Merci à leur geôle d’Antanimora pour leur manifester leur entière solidarité… 


Madagate.com  03/11/2005

Coopération - L’Union européenne continue à aider Madagascar
Jean-Claude Boidin, ambassadeur de l'Union européenne (UE) vient de rassurer le régime et la population.
"L'Union européenne ne suspendra pas son aide au pays ", lance-t-il durant l'inauguration de la route reliant Sambava à Antalaha, hier, que l'UE a financée.

Le diplomate européen veut ainsi couper court aux rumeurs qui se sont propagées sur une telle éventualité. Mieux, Jean-Claude Boidin a annoncé la possibilité de l'accroissement de l'aide de l'UE à Madagascar.
Ces derniers temps, des rumeurs, non démenties sur la mission " inachevée " du Fonds monétaire international (FMI), tendent à s'enfler. L'éventualité d'un accord non conclu sur un nouveau programme du Fonds de réduction de la pauvreté renforcée (FRPC) entraînerait des conséquences fâcheuses, dont le retrait des aides bilatérales dont bénéficie le gouvernement. La déclaration de Jean-Claude Boidin prend ici tout son poids.
Iloniaina A.   [ Posté par : lexpressmada.com 


La Gazette  06/11/2005

INCENDIE DU ROVA : Dix ans de ruine 
Journée de deuil, de recueillement et de souvenir demain. Il y a dix ans en effet, le 6 novembre 1995, le Palais de la Reine flambait dans un impressionnant et sinistre embrasement qui avait illuminé toute la capitale et ses environs. 

En fait, ce ne fut pas le seul Palais de la Reine qui s’enflammait, mais tous les bâtiments royaux de l’esplanade historique : les tombes royales, Tranovola, Manampisoa, Tsarahafatra, Besakana, le temple d’Anatirova etc. Le feu qui s’était déclaré au nord, du côté des tombes royales, fut attisé par un vent violent et avait pris en enfilade toutes les constructions de l’étroit plateau. On n’a jamais autant sangloté dans la capitale…En une nuit en effet, un patrimoine historique d’une valeur inestimable fut parti en fumée. Accident ou crime ? Le débat sur la question n’est pas près d’être clos. En tout cas, cet évènement d’une envergure formidable allait influer sur la situation politique et avoir des conséquences incalculables. D’abord celle-ci : le régime des Forces Vives, pourtant puissamment soutenu par la capitale en 1991, est tombé lamentablement car ses vives querelles politiques sont considérées comme directement à l’origine de l’incendie. Ensuite celle-ci : l’avènement d’un Merina au pouvoir quelques années plus tard. On jugeait impossible une telle éventualité depuis l’indépendance de 1960. Mais après l’incendie, l’extrême compassion de la classe 

politique et de la population des provinces à l’endroit des Merina avait ouvert la voie à l’accession d’un Tananarivien au pouvoir. Revenons sur les aspects de cet incendie qui avait marqué l’Histoire.
UN BANAL FEU DE BROUSSE À L’ORIGINE…
Le 6 novembre 1995, vers 17 heures 30, un banal feu de brousse s’était déclenché sur le versant Est du Rova. Dans la ville basse, on se montrait le filet de fumée et les passants s’arrêtaient un instant sans manifester une inquiétude excessive. Mais les flammes sautèrent sur les tombes royales, et avivées par un vent violent, dévorèrent les bâtiments royaux l’un après l’autre. Nuit d’horreur et d’impuissance dans la capitale… Devant la presse le 20 décembre 1995, le procureur Désiré Randrianarivelo, chargé du dossier, nia tout lien entre le feu de brousse et l’incendie du Rova. Sa déclaration : 
« Entre la muraille côté Est et le premier foyer d’incendie, il y a une distance de 20 mètres. Et l’arbre dont les branches penchent vers le fossé ne fut pas brûlé. Le feu sur l’esplanade s’est déclaré en trois endroits différents. Il s’agit d’un feu intentionnel ». Apparemment, un feu a été allumé sur le versant Est tandis que sur l’esplanade, des mains criminelles créaient trois foyers. On voulait donc faire croire à un incendie criminel…    Adelson RAZAFY 


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Madamaki.com  06/11/2005

Madagascar se veut un pays touristique.

Infrastructure touristique ?? 

Aucun responsable du secteur n'a jamais posé le problème dans sa simplicité première: pour accueillir beaucoup de touristes, il faut d'abord multiplier le nombre de lits. À partir de là, on peut complexer un peu le problème et déterminer quel type d'hébergement le touriste préfère le plus : établissements hôteliers, complexes touristiques, villages de vacances, gîtes d'étapes.
À l'heure d'aujourd'hui, force est de constater que Madagascar n'a pas encore réglé la question de son infrastructure touristique pour pouvoir se positionner dans le concert des nations à vocation touristique. L'infrastructure nationale en la matière est pauvre, insuffisante et sommaire. En un mot, Madagascar se veut un pays touristique, mais l'investissement dans ce domaine ne suit pas, faute peut-être de mesures incitatives.

                                           ... suite sur madamaki.com >>


Madagate.com  06/11/2005

MADAGASCAR sur la piste des danses sportives à Forges-les-Eaux, 
Dans une ambiance très conviviale et amicale, la ville des Forges-les-Eaux a ouvert ses portes à Madagascar avec en toile de fond la représentation de la danse sportive, par l'APSDM et le grand marché de « Zoma » un concept de marché malgache en plein air. 

Un temps d'automne ensoleillé rythmé par la musique malgache, du groupe Gasy Music et l'orchestre Soley, accueille les convives du Premier week end Madagascar, parmi lesquels, notre Ambassadeur de Madagascar en France, SEM Razafy Andriamihaingo, qui est venu soutenir et honorer de sa présence, ce dynamisme nouveau de « Madagascar naturellement ». 
Monsieur Michel Lejeune Député Marie des Forges-les-Eaux et son équipe municipale adhèrent à la manifestation et ont mis les moyens matériels pour réussir cette manifestation. 

Le "Week end Madagascar" vise à mettre en place une fédération de "Danse sportive" à Madagascar et péreniser l'action humanitaire initiée en février 2005. 

L'association APSDM (Association pour la Promotion de la Danse Sportive à Madagascar ) présidée par Messieurs Haja André Resampa et son ami Claude Germain, avait fait venir une quarantaine de 

couples de danseurs de hauts niveaux à Madagascar au mois de février 2005, afin de présenter la Danse sportive aux malgaches. 
Un séjour et expérience fort agréable pour cette association, qui avait menée sur double fronts l' action humanitaire et la mise en place d'une future fédération de danse sportive, dont Madagascar serait probablement la troisième en Afrique.
Cette tournée des danseurs professionnels avec l'APDSM, a suscité énormément de vocation. Monsieur Claude Germain, titulaire de 7 centres de danses en France affirme que « les malgaches se montrent particulièrement doués pour la pratique de la danse et qu'actuellement l'enseignement de la danse sportive et la formation des couples sont déjà sur la bonne voie à Madagascar ». 
Cette discipline regroupe déjà plus de 100 000 pratiquants dans le monde. Il faut croire que Madagascar pourrait être un réservoir des futurs champions dans cette discipline. Après l'Afrique du Sud et le Cameroun, Madagascar serait le troisième pays d'Afrique à avoir sa 

 fédération nationale de la Danse sportive. Cela risque de promettre une bonne nouvelle, car dans la mesure où la danse sportive serait acceptée en tant que discipline de compétition sportive, aux prochains jeux olympiques de 2008, nous pouvons bien espérer gagner des médailles en récompenses.

Mais faut-il encore travailler dur, car le talent, -aussi brillant soit-il- ne suffise pas, il faut surtout beaucoup d'entraînements car face à la Chine où la danse sportive regroupe les plus d'adeptes dans le monde, cette discipline très populaire ne restera pas, seulement, sur un terrain de loisirs ou du bien être. ... suite sur madagate.com >>


Jeune Afrique 04/11/2005

Plusieurs personnes blessées lors d'un meeting de l'opposition par XINHUA 
Quatre personnes ont été blessées dans les rangs de l'opposition malgache, dont le sénateur Vaovao Benjamin et une ancienne députée, Mme Voavy, lors que les forces de l'ordre voulaient dispercer un meeting de l'opposition à Antsiranana, dans le extrême nord de Madagascar, a rapporté mercredi la presse malgache. 
Le meeting a été organisé par les 3FN composé de trois partis d'opposition, samedi dernier. 
"L'opposition a commis un forcing pour tenir un meeting sur un endroit non autorisé", a déclaré Jérôme Nosy Harinony, chef de la région Diana où se trouve Antsiranana, chef-lieu de la province du même nom. 
Les dirigeants des 3FN ne nient pas les faits et mettent cet " incident" sur le compte de "quelques éléments incontrôlés". 
"Nous allons corriger ces imperfections. Nous garantissons que ces malheureux événements ne se produiront plus à l'avenir", promet le pasteur Edmond Razafimahefa, un des dirigeants des 3FN. 


Midi Mada 04/11/2005

ROUTE NATIONALE 5A. les usagers de la région, payant auparavant un tarif de transport de 75.000 fmg, n’auront plus à payer que 15.000 fmg.
Les réalisations dans la SAVA en réplique à l’opposition
L’inauguration des « zava-bita » dans la région de la Sava, notamment la route nationale 5A reliant Sambava à Antalaha, fut une circonstance de fait pour les tenants du régime d’adressser des piques à l’opposition. Si le président de la République n’a, à aucun moment, tenu un discours politique, trois autres personnalités ont eu la charge de répliquer aux déclarations de l’opposition. 
Val A.

Il s’agit du Premier ministre Jacques Sylla, du vice-président de l’Assemblée nationale, Solofonantenaina Razoarimihaja, du président du groupe parlementaire Tim, Yves Aimé Rakotoarison, et du député d’Antalaha, Jeannot Randrianaivoarivony. Le premier, en rappelant les souffrances dont a été victime la Sava en 2002, a rendu hommage aux actes de bravoure dont ont fait preuve les habitants de la région. « Vous avez osé affronter le mal et défendre votre choix. Actuellement, nous nous tournons vers l’avenir. Cette route que nous inaugurons, les autres ne l’ont pas réalisée alors que nous avons eu notre Indépendance il y a 45 ans. Les uns disent que la route ne nourrit pas. Qu’ils viennent ici constater sur place », a-t-il déclaré en ironisant sur les mots : « Les opposants soutiennent que ça ne va pas. Ils se trompent de lieu et d’endroit car, ici, Sava ! ». Le Premier ministre de se prononcer à Antalaha sur la « Transition » réclamée par l’opposition. « Ils veulent un tetezamita. Un seul pont dont on ne sait l’aboutissement. Pour notre part, nous venons d’inaugurer six ponts aujourd’hui, et dans peu de temps, l’Union européenne va encore nous aider à réhabiliter ou construire 33 autres ponts dans la même région de Sava. Une transition signifie une régression. Nous, nous voulons avancer vers le développement », a affirmé Jacques Sylla.
Pour Solofonantenaina Razoarimihaja, « ceux qui disent que la route n’est pas consommable doivent savoir que les usagers de la région, payant auparavant un tarif de transport de 75.000 fmg, n’auront plus à payer que 15.000 fmg grâce à cette route. Ils font ainsi une économie de 60.000 fmg actuellement. Cette somme n’est-elle pas consommable ? Si les opposants disposent de 60.000 fmg chaque fois qu’ils viennent ici, qu’ils les donnent aux habitants de la Sava ». Ensuite, pour le président du groupe parlementaire Tim, le député de Tolagnaro : « On peut qualifier le régime actuel d’incroyable mais vrai ! ». « Beaucoup n’ont pas cru que cette route allait être réhabilitée. Alors qu’il suffisait de faire confiance au président de la République, lequel, quand il promet quelque chose, le réalise toujours », a-t-il déclaré. En louant Dieu, parodiant l’histoire de Moïse, le député Yves Aimé Rakotoarison d’exhorter l’assistance « à faire confiance en Dieu lequel a béni le Chef de l’Etat qui a survécu à l’accident de l’hélicoptère à Imerin’Imady ». Enfin, pour le député d’Antalaha, « le régime Ravalomanana avait hérité d’une nation détruite ». « Cette route a fait l’objet des promesses à chaque élection, mais rien n’a été fait. Une certaine minorité ne souhaitait pas que cette route puisse être réhabilitée par le Président Ravalomanana car une fois ainsi, ce dernier reste à jamais dans le cœur de la population de cette région. Certains d’entre eux ont même maudit ces travaux, mais tout ce que le régime n’a pas achevé, il le fera la prochaine fois », a indiqué le député Jeannot Randrianaivoarivony. 


LES NOUVELLES  04/11/2005

L’accès aux capitaux et la fiscalité, principaux obstacles pour investir 
L’accès au financement, obstacle n°1 à l’investissement… 
Où sont passés les investisseurs ? Depuis le début des années 1990, Madagascar a imaginé toutes les solutions possibles pour promouvoir le secteur privé comme moteur de développement. Quinze années plus tard, les résultats sont toujours aussi décevants. Et pour cause, l’accès au financement reste l’« obstacle n°1 à l’investissement ». Le Programme national d’appui au secteur privé (PNPS) en dit long dans son dernier rapport.
C’est un éternel problème. Une enquête a été réalisée cette année par le PNPS auprès de 103 chefs d’entreprises d’Antananarivo, d’Antsirabe, de Taolagnaro et de Nosy Be. Elle a montré que l’accès au financement était, une fois de plus, considéré unanimement comme l’ « obstacle n°1 à l’investissement ». 
Deux années de suite (2003 et 2004), l’accès au financement a été cité comme tel dans le milieu des affaires. Le principal problème : le niveau élevé des taux d’intérêt. Ces résultats rejoignent d’ailleurs les conclusions du dernier rapport mondial sur la compétitivité publié par le Forum économique mondial de Davos.
Pourtant, l’accès au financement est la clé de l’investissement, source de croissance et de renouvellement des équipements des entreprises. Mais cette question reste d’autant plus problématique qu’elle soit imputable à une conjonction de facteurs.
DES FACTEURS MULTIPLES
Du point de vue monétaire, une analyse de l’évolution des « crédits à l’économie » a montré que ces derniers n’avaient cessé de chuter depuis 1994, à l’exception des années 2000-2001. Mais jusqu’ici, ce type de crédits n’a jamais atteint son niveau d’avant 1994.
Mais encore, les crédits à long terme ne représentent que 7% des crédits à l’économie en 2004. Cela tient à l’inexistence d’institutions spécialisées dans les crédits à moyen et long terme. 
Le financement des « ressources stables ou à long terme » est particulièrement restreint. Les opérations de Fiaro, la seule institution qui exerce le métier du capital-investissement, connaissent une envergure trop limitée.
Au niveau des banques, l’épargne collectée est nettement insuffisante eu égard aux besoins d’investissement. À vrai dire, les ressources d’épargne disponibles sont drainées par le Trésor public au moyen des Bons du Trésor par adjudication (BTA). 
Pour financer son déficit chronique, l’Etat a recours de plus en plus massivement à ce type d’emprunt. Les BTA sont très bien rémunérés et attirent de plus en plus d’agents économiques. Les banques et les compagnies d’assurances figurent en tête de liste des souscripteurs.
Les banques, elles, épinglent l’absence de transparence et de fiabilité dans les états financiers des entreprises. Ce qui n’est pas de nature à les rassurer compte tenu, en particulier, de leurs risques à long terme. Confirmation au greffe du tribunal du commerce : les obligations concernant le dépôt des états financiers sont rarement respectées. 
PEU DE DOSSIERS BANCABLES
Rien d’étonnant à ce que les dossiers bancables soient peu nombreux. L’assimilation de la pratique bancaire par les promoteurs locaux est sérieusement mise en doute. Ajouté à cela, un système juridique et financier rigide. D’où, des difficultés à réaliser des hypothèques et des garanties vis-à-vis des banquiers.
Sans compter qu’il n’y a que sept banques – dont la majorité à capitaux français et détenant plus de 80% des parts de marché – malgré les possibilités offertes par la loi bancaire. La perception de Madagascar à l’étranger reste limitée à l’étroitesse du marché ; ce qui semble dissuader les investisseurs d’entrer dans le secteur financier.
Dire que rien n’a été fait pour améliorer l’accès au financement serait néanmoins incorrect. À l’issue de la crise politique de 2002, il a été mis en place le Fonds de garantie malgache (FGM) destiné à financer le fonds de roulement et les nouveaux équipements des entreprises. 
Idem pour le Fonds de relance aux petites et moyennes entreprises (FR PME), créé pour mettre à disposition de ces dernières des crédits pour la reconstitution des fonds de roulement à des conditions plus simples en matière de garantie. Mais si le financement continue d’être au centre des préoccupations des chefs d’entreprises, c’est parce que le courant ne passe pas.
Mamy Lalaina Razafindrakoto


TRIBUNE 04/11/2005

Délestage : La Jirama est invendable ! 
La Radio France International, par la voix de Bruno Minas, nous donne son point de vue sur ce problème crucial à Madagascar.
Les délestages, c'est-à- dire les coupures d'électricité, sont une véritable plaie à Madagascar. A Antananarivo, c'est par quartier; ailleurs, ce sont des villes entières qui sont privées de courant, notamment à Tuléar et surtout à Antsiranana. 
Dû à une mauvaise gestion
Le problème est simple, il n'y a plus assez d'énergie pour tout le monde. C'est le résultat d'années d'imprévision voire de gabegie dans ce pays plein de rivières. 
On a misé sur l'électricité thermique au lieu d'investir dans l'hydraulique. Avec la hausse du pétrole, la Jirama achète du gaz-oil quasiment au jour le jour. Le pouvoir aurait voulu privatiser la Jirama mais en l’état actuelle, elle est invendable.
Pas suffisamment de financement
On a donc fait appel à un cabinet allemand pour redresser la société. Le québécois Rodrigue Haché, directeur général de la Jirama a lancé que : "On n’a pas suffisamment de finance actuellement pour acheter du carburant, du gaz-oil en particulier pour pouvoir faire marcher nos groupes à 100%. De plus, nos groupes de productions thermiques sont dans un état assez délabré. Ce qui fait que dans certaines villes du pays, le délestage peut durer entre 4 heures et 8 heures par jour".
Des employés bénéficiaires
Actuellement, la Jirama dépense 2 fois et demi ce qu'elle gagne. Il faut remettre de l'ordre. 
Parmi les 7000 employés qui ne paient que 1% de leurs factures, certains consomment 16 fois plus que la moyenne en revendant le courant au noir à leurs voisins. Il y a aussi l'histoire de ce directeur qui a fait acheter un groupe électrogène deux fois son prix. 
La Banque Mondiale en a marre
Le tout à l'avenant, appelée au secours, la Banque Mondiale a déjà mis la main à la poche une fois, mais “cela suffit” dit son représentant résident James Bond : "Nous sommes là pour appuyer le gouvernement Malagasy pour faire évoluer la Jirama vers quelque chose de rationnel. Le rôle de la Banque Mondiale n'est pas de financer l'achat du gaz-oil cher pour vendre l'électricité bon marché".
Le gouvernement travaille sur un plan de redressement de la Jirama. Récemment, le président Ravalomanana a dit qu’:«il ne la privatiserait pas quelle que soit la solution trouvée, il faudra investir dans de nouveaux barrages».
Rodolphe Ramanantsoa, coordonnateur du plan énergie explique : ” Madagascar recèle quand même de réservoirs assez immenses de ressources hydrauliques. Nous avons une potentialité qui peut offrir jusqu'à 7000 MégaWatt et pour laquelle d'ailleurs 2% seulement est exploitée”.
Donc on a beaucoup d'espoir pour que dans l'avenir on pourra exploiter ces ressources là. On est en train de finaliser un plan d'équipement pour mettre en priorité les ressources hydrauliques.
En attendant, les abonnés Malagasy vont devoir payer plus cher, une augmentation de 30% a déjà eu lieu, une autre de 20 à 35% est attendue. Et ce pour équilibrer le compte. Une hausse de 150% de tarif aurait été nécessaire selon l'intersyn-dicat et la direction de la Jirama.


Les Nouvelles 04/11/2005

Jirama : l’industrie paiera pour les particuliers et la capitale pour les provinces
Les nouveaux tarifs de la Jirama, applicables à compter de ce mois, sont connus. Toutes proportions gardées, ce sont les industriels qui écoperont de la facture la plus salée, et la capitale n'est pas la mieux lotie par rapport aux provinces.
D'aucuns ignorent que la facturation de l'électricité de la Jirama varie en fonction de nombreux facteurs : selon la tension (haute tension, moyenne tension, basse tension dont les principaux utilisateurs sont les industries) et exceptionnellement, suivant la catégorie sociale des usagers (tarif social). Mais la distinction ne s'arrête pas là : encore faut-il différencier les différentes zones, actuellement, au nombre de trois qui, bien évidemment dépendent de la source de production d'énergie (hydroélectrique ou thermique) et, bien entendu, de l'éloignement de la localité.
Dans la zone tarifaire I on peut citer, entre autres, la capitale et ses environs et celle du Vakinankaratra; autrement dit, toutes les zones où l'on peut identifier les grandes industries, ce qui signifie également, les gros consommateur s d'électricité. Et par la nature des choses, c'est cette zone qui est fournie en électricité par des sources hydroélectriques.
Mais en considérant les nouveaux tarifs applicables par la Jirama, on s'étonnera de constater que ce sont ceux qui paient le plus qui sont pénalisés dans la mesure où les différentes zones tarifaires définies par la Jirama connaissent des hausses différentes.
Ainsi, en ce qui concerne la moyenne tension, c'est-à-dire, celle utilisée couramment par les industries (telle que la Cotona), si dans la zone I, le prix unitaire d'énergie passe de 84 ariary à 138 ariary (soit une augmentation de l'ordre de 64 %), dans la zone tarifaire II, la hausse est de 50,2 % (en passant de 181 ariary à 272 ariary). Dans la zone tarifaire III, la hausse est de 40 % (430 ariary contre 307 ariary précédemment).
Le même phénomène est enregistré au niveau du tarif social : dans la zone tarifaire I, la hausse est de 34 % (500 ariary contre 373 ariary précédemment), alors qu'elle n'est que de 25 % dans la zone tarifaire II (560 ariary contre 448 ariary) pour descendre à 19, 3 % dans la zone tarifaire III (600 ariary contre 503 ariary).
Autrement dit, la Jirama applique toujours le même système de péréquation des prix qui consiste à pénaliser les consommateurs d'énergie concentrés dans la zone tarifaire I. Et ce constat est également valable pour le tarif social du fait que les concentrations urbaines enregistrent les hausses les plus significatives. En d'autres termes, les autres zones sont subventionnées par la zone tarifaire I.
Ranaivo Lala Honoré


EXPRESS Mada 06/11/2005

ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE - L'AVI PRÉSENTERA UN CANDIDAT en 2006
L’Avi de Norbert Lala Ratsirahonana alignera un et un seul candidat.
L'Avi au starting-block pour la course à la magistrature suprême. Depuis Ambovombe, il met en branle sa machine électorale pour y arriver. 
La voile est levée. L'Avi vient de déclarer en public sa position. Le parti dirigé par Norbert Lala Ratsirahonana présentera son candidat à la prochaine élection présidentielle. La formation politique s'active déjà pour préparer sa base pendant ses états généraux. 
Dans une salle survoltée, avec la présence de tous les ténors du parti, à l'exception de Norbert Lala Ratsirahonana, en mission à Bamako, l'Avi dévoile ses batteries. La formation politique donne ainsi le coup d'envoi officiel du parti dans la course à la magistrature suprême lors de ses états généraux à Ambovombe hier. 
“Avi amin'izay”
"Nous allons présenter notre candidat. Nous devons être présents à toutes les élections qui vont venir, à commencer par les présidentielles, puis les sénatoriales, les communales, la députation, ou encore le gouvernorat", annonce Laurent Ramaroson, secrétaire général du parti.
... Iloniaina A.

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