|
Clikeo ny
2CV
mena |
Aujourd'hui
un cadeau..."
|
|
1)-
Je recherche une tortue de terre de 3 ans environ sur la région du languedoc roussillon prix raisonnable
contact : Vigroux
2)-un avis de recherche pour une secrétaire,
... c'est pour assurer le secrétariat de la Directrice d'une école maternelle et primaire à PARIS 16eme - libre de suite. contact : Tetezamitakely
3)-Si vous désirez augmenter sérieusement et rapidement vos revenus, ou si vous cherchez une opportunité de travailler à votre rythme, à temps plein ou partiel, de n'importe où,
... pour une documentation gratuite
contact : Nwaaba
4)-qq1
a-t-il des données concernant les paramètres de température? il serait dommage que ces oeufs se perdent et nous privent du plaisir d'un jour pouvoir rendre des tortues radiées à leur environnement naturelle.
contact : Paul
5)-Arrivage
Auto récent sur Mada Contact Naina ou Sam TEL 032 07 733 35 033 14 367 77 contact :
Charles
|
|
... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
Sobika
17 octobre 2005
ONU/NEW YORK : PARTICIPATION DE MADAGASCAR AU DEBAT SUR LA JUSTICE PENALE INTERNATIONALE.
Madagascar a donné son point de vue sur la justice pénale internationale, lors de la réunion de l'Assemblée générale de l'ONU le 10 Octobre pour examiner les Rapports respectifs du Tribunal pénal international pour le Rwanda et le Tribunal pénal international pour l' ex-Yougoslavie . Ces deux juridictions internationales ont été établies pour juger des individus responsables des crimes les plus graves qui préoccupent la communauté internationale.
Les deux Présidents des deux Tribunaux ont présenté respectivement leur rapport annuel. De même, ils ont lancé un appel aux Etats Membres à coopérer pour arrêter et traduire en justice les accusés ou les criminels toujours en fuite.
Face aux évènements graves de ces dernières années, tels les crimes de génocide, considérés comme des crimes contre l'humanité, la justice internationale ne doit pas laisser ces crimes impunis. Et au nom de la primauté du droit, la communauté internationale doit se mobiliser, ont estimé plusieurs représentants des Etats membres des Nations Unies.
Dans le cadre de ce débat, le Représentant Permanent de Madagascar auprès des Nations Unies, l'Ambassadeur ANDRIANARIVELO-RAZAFY, est intervenu pour féliciter les mesures prises par ces deux Tribunaux internationaux en vue d'accélérer les nombreux procès en cours devant les Chambres de Première Instance. Il a appuyé les recommandations contenues dans le rapport des Tribunaux invitant la communauté internationale à doter ces juridictions des ressources suffisantes leur permettant de s'acquitter de leur mandat respectif d'une manière efficace. La délégation de Madagascar a mentionné que la coopération pleine et entière des autorités nationales s'avère d'une grande importance car la justice pénale nationale et la justice pénale internationale sont complémentaires l'une de l'autre. Madagascar a exhorté tous les États Membres à coopérer étroitement avec les deux Tribunaux, à surmonter les difficultés de l'arrestation des criminels en fuite et leur transfert aux Tribunaux.
MADAGASCAR ASSUME DES RESPONSABILITES AU SEIN DES DEUX TRIBUNAUX INTERNATIONAUX.
Concernant le Tribunal pénal international pour le Rwanda, son Président Eric MOSE, a demandé aux Etats Membres africains de contribuer à la recherche engagée par le Tribunal des accusés en fuite dans les pays voisins, tout en se félicitant de la collaboration des autorités rwandaises pour le renvoi des affaires devant les tribunaux locaux. Il convient de souligner que Madagascar est représentée à cette juridiction en la personne de Mme Arlette RAMAROSON, élue Vice-présidente de ce Tribunal depuis le 21 mai 2005.
Quant au Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, le Président Théodor MERON a demandé aux États Membres de coopérer avec le Tribunal pour l'aider à traduire en justice les auteurs des atrocités commises dans les Balkans dans les années 1990, parmi lesquels les 3 fugitifs Rodovan Karadjic, Ratko Mladic et Anta Gotovina. Soulignons que Madagascar est représentée au sein de cette juridiction internationale en la personne de Mme Vonimbolana RASOAZANANY, réélue juge ad litem pour un mandat de quatre ans, lors des élections à l'Assemblée générale, le 24 août 2005.
Jeune
Afrique 17/10/2005
Limogeage du gouverneur de la province de Toamasina
par XINHUA
Le président de la délégation spéciale (PDS-gouverneur provincial) de la province de Toamasina, Emile Tsizaraina, a été limogé, selon un communiqué publié vendredi après un Conseil des ministres tenue jeudi.
On prête à ce PDS d'être entré en conflit avec un vice- président de la délégation spéciale de sa province dans l'est de Madagascar, causant ainsi une incohérence manifeste dans la gestion de celle-ci.
On ignore si c'est la raison qui à amené le Conseil des ministres d'hier à le limoger mais il faut aussi dire que Toamasina a été ces derniers temps le centre privilégié de l'opposition avec des manifestations que le PDS avait à gérer.
Le colonel Gilbain Pily est nommé nouveau PDS de Toamasina.
Le président malgache rejette l'idée d'une transition
par XINHUA
Le président malgache Marc Ravalomanana a rejeté l'idée d'une transition préconisée par l'opposition avant les élections présidentielles prévues en 2007, a-t-on appris vendredi de source officielle.
M. Ravalomanana a qualifié l'opposition d'entité qui "ignore la pratique moderne de la politique".
"Je ne pourrais même pas la considérer comme étant une véritable opposition. Elle est mal informée des réalités. Je ne la crains pas car nos efforts bénéficient du soutien des bailleurs de fonds dont la Banque mondiale, l'Union européenne et les partenaires bilatéraux", a déclaré le chef de l'Etat avant la tenue du Conseil des ministres jeudi au Palais d'Etat à Antananarivo.
En quelque sorte, une opposition est un "vieux jeu", aux yeux du président qui a indiqué: "s'ils veulent s'opposer au pouvoir, qu'ils le fassent, s'ils en ont la force".
En ce qui concerne "élection présidentielle anticipée", une question qui préoccuperait certains, le chef de l'Etat de rétorquer: "De quoi s'agit-il"?
Ironisant, M. Ravalomanana de demander "quand est-ce qu'on souhaiterait organiser une telle élection?" Pour lui, un tel schéma reste tributaire de trois conditions, à savoir "son opportunité, l'existence d'une quelconque crise et la disponibilité financière y afférente.
Enfin, à propos du "code électoral toiletté", le président d'affirmer que pour sa part, il n'y a pas encore pensé.
L'opposition malgache a tenu une série de réunions récemment pour renverser le pouvoir en proposant une transition.
LE
QUOTIDIEN 17/10/2005
Hausse des tarifs de la Jirama 60% des abonnés seront épargnés
L\'ajustement des tarifs de la Jirama s\'avère incontestable. Cette phrase émanait du Directeur Général Rodrigue Haché, lors d\'un point de presse qui s\'est tenu hier au siège de la société Jirama à Ambohijatovo. Tout va mal pour cette société qui est détenue à 100% par l\'Etat malgache. Cependant, il est certainement temps de sortir de cette impasse. Si les désagréments causés par le délestage perpétré par la société depuis environ deux semaines dans l\'ensemble de l\'île a suscité l\'anxiété voire l\'hostilité des usagers, voilà que les responsables ont annoncé la hausse indéniable des tarifs.
30% pour l\'électricité,
15% pour l\'eau
A compter du mois de juillet, une augmentation moyenne de 30% pour l\'électricité et de 15% pour l\'eau sera appliquée pour les abonnés de la Jirama. De fait, la facturation de cette hausse ne sera ressentie que sur la note du mois d\'août. Le taux d\'augmentation pour les catégories hautes et moyennes tensions (Ht et Mt) est de l\'ordre de 40%. En revanche, une hausse de 25% sera appliquée pour la catégorie des basses tensions (Bt).
La Jirama a, par ailleurs, pris en considération la situation des abonnés à faibles revenus, c\'est-à-dire ceux dans la catégorie \"tranche sociale\" affichant une consommation en dessous de 25%. Aucune augmentation du Kwh ne sera apposée pour cette dernière. \"Cependant, les prix appliqués seront évalués en fonction de la valeur de l\'Ariary courant\" a fait remarquer Raphaël Andria-masy, Directeur général du ministère de l\'énergie et des mines. En effet, quelque 234.000 abonnés sur un total de 390.900 usagers dans la catégorie de basse tension (Bt) ont un régime de consommation en dessous de 25 Kwt. Environ 60% des abonnés seront épargnés par cet ajustement des tarifs. Force est de constater que la société Jirama compte actue-llement 392.000 abonnés dont 390.900 abonnés au tarif Bt général, 900 abonnés au tarif Mt et 3 dans la catégorie des Ht. \"Malgré la crise que traverse la société actuellement, nous avons fait en sorte que la structuration des tarifs favoriseront toujours la rationalisation de l\'utilisation de l\'énergie\" a avancé Raphaël Andriamasy.
Manque à gagner de 210 milliards d\'Ar
La situation financière de la Jirama ne permet plus d\'honorer ses créances. \"Les charges pétrolières sont les plus concernées\" a tenu à préciser Rodrigue Haché. La variation du prix du gasoil depuis 2001, allant de 589 Ar à 1.293 Ar le litre, la dévaluation de la monnaie malgache de 120% face à l\'euro sans aucune mesure de révisions des tarifs sont autant de paramètres qui ont induit la situation actuelle de la Jirama. A cela s\'ajoute, la perpétuelle hausse des prix à la consommation qui était de l\'ordre de 55% depuis l\'an 2001. Ce qui a occasionné un maque à gagner de 210 milliards d’Ar.
Ayant comme rôle de servir le public, ce schéma financier déficitaire de la société Jirama est vraisemblablement au détriment de la société, de la vie des entreprises et à termes l\'économie nationale. \"Si aucune mesure ne sera prise, la Jirama ne sera plus apte à accomplir sa mission\" a indiqué Dominique Haché en tentant d\'expliquer la raison de cette hausse.
Recours à l\'utilisation
du fuel lourd
Actuellement, des mesures de redressement sont prises pour le rétablissement de la situation de la Jirama. L\'Etat a, entre autres, opté pour l\'exonération des droits de taxes et douanes à l\'endroit de la Jirama sur toutes les importations de matériels et pièces détachées. Par ailleurs, des négociations sont en ce moment en cours entre la société, le Gouvernement et les sociétés pétrolières afin de trouver des solutions à court terme pour la disponibilité de carburant pour les centrales thermiques. Parallèlement, des discussions se tiennent avec les bailleurs en vue de l\'obtention de financement pour l\'expansion du parc de production et du réseau électrique et eau, et en particulier la substitution progressive de la production au gas-oil par celle au fuel lourd, et/ou l\'hydroélectricité.
auteur : Rohama
|
|
Cliquez
sur TetezamitaKely |
"Les
'Grands' parlent d'idée
les 'médiocres'
parlent d'évènements
les 'misérables'
parlent contre les personnes..."
|
Midi
Mada 17/10/2005
Carte de la faim. Les classements faits par des organismes internationaux ne font pas honneur au pays.
Madagascar compte 6 millions de personnes sous-alimentées.
Dieu merci. Avec un taux de prévalence assez faible, Madagascar n’est pas encore comme certains pays africains où le Sida tue chaque jour des milliers de personnes. Mais il ne faut pas trop s’en réjouir car un autre danger réel guette le pays. Il s’agit en l’occurrence de la faim et de la malnutrition qui, chaque année, dans le monde, tuent davantage de personnes que le Sida ; le paludisme et la malaria réunis. Et en la matière, la carte de la faim dans le monde, un document publié par le Programme Alimentaire Mondial (PAM) place Madagascar dans la zone rouge avec environ 6 millions de personnes sous-alimentées ou plus simplement souffrant extrêmement de la faim.
R.E.
Marasme
La carte de la faim, établie sur la base de la situation de la sécurité alimentaire dans le monde en 2004, classe les pays en 5 catégories selon le pourcentage des sous-alimentés. Et Madagascar est au bas du tableau en figurant parmi les pays à sous-alimentation très élevée avec un taux de plus de 35% de population sous-alimentée. Il faut cependant noter que la carte de la faim a été établie sur la base des statistiques de 2000 – 2002. Et comme entretemps, Madagascar a reculé en terme d’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement, le marasme économique s’étant accentué, le nombre des sous-alimentés a augmenté au lieu de régresser.
Ce classement de Madagascar dans la zone rouge des pays à sous-alimentation très élevée, fait par la FAO, confirme en tout cas les autres classements faits par d’autres organismes internationaux plaçant Madagascar parmi les derniers en terme de performances économiques. L’on constate dans cette carte de la faim que Madagascar est placé derrière des petits pays africains comme le Tchad, le Soudan, le Kenya, le Mali, la Namibie…qui sont classés dans la catégorie des pays à sous-alimentation assez faible de 20 à 34%.
Faire mieux
Cette classification devrait en tout cas inciter les dirigeants à faire mieux pour sortir le pays rapidement de la situation de misère actuelle. Plus que 10 ans et 2015, délai d’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement, arrivera. La question qui se pose alors est de savoir si les actions de relance économique menées actuellement vont porter rapidement leurs fruits. En effet, s’il est indéniable que les constructions de grandes infrastructures économiques comme les routes, les ponts, les ports auront à coup sûr des impacts positifs sur le futur développement du pays, dans l’immédiat, ces infrastructures ne stoppent pas la faim. Ce que l’on voit pour le moment sur le terrain, c’est que le pays est dans une mauvaise passe et l’immense majorité des Malgaches attendent avec impatience que les belles promesses de développement rapide et durable prononcées depuis, produisent enfin des effets palpables dans leur vie quotidienne.
Tribune
17/10/2005
Prix du riz
: Hausse du prix du paddy
Hausse du paddy, hausse du riz. Les relevés de prix réalisés par la FAO, la semaine du 10 octobre, ont montré que l’évolution des prix du riz au niveau du marché reste assez stable dans presque toutes les régions et tous les districts.
Les tendances des prix sont variables en fonction de l’approvisionnement du marché que ce soit pour le riz blanc local que pour le riz blanc importé. Quant au paddy, le prix du kilo a connu une hausse au début de ce mois si l’on compare aux relevés de la semaine du 26 septembre.
Le prix moyen du riz blanc local reste toujours stationnaire aux environs de 980 Ar le Kg. La période de soudure correspond à la période où les prix du riz sont élevés. Or, la situation actuelle montre une stabilité des prix généralisée au niveau du marché. De plus, on enregistre que certains paysans sont obligés de vendre leurs stocks face à l’abondance du riz au niveau du marché. Antsiranana connaît toujours le prix le plus bas. Le kilo est maintenu à 875 ariary. Malgré cette situation, certains producteurs de la région d’Amoron’i Mania limitent leur vente en prévision d’une éventuelle hausse de prix. Dans la région Atsimo Andrefana, une hausse a été constatée, le prix du kilo est passé de 1015 à 1085 Ariary le kilo.
Pour le riz blanc importé, le prix moyen reste aux environs de 1000 Ariary le kilo. Les prix se maintiennent dans la plupart des régions et districts. Antsiranana, Antananarivo, Mahajanga connaissent le prix le plus bas avec 950 Ariary le kilo. Pour la région du Vakinankaratra une légère baisse a été constatée allant de 1050 à 950 Ariary. Après les régions du Melaky, Analanjirofo et Anosy où le prix est à 1050 Ariary le kilo, la région d’Atsimo Andrefana connaît le plus prix le plus élevé à 1120 ariary le kilo.
En ce qui concerne le paddy, le prix moyen est passé de 550 ariary à 600 Ar le Kg. Or si le prix du paddy est en hausse, une augmentation du riz est à prévoir surtout pour le riz local. Selon les informations recueillies, les producteurs ne vendent plus de paddy auprès de la décortiquerie, même pour le cas d’Alaotra et Marovoay. Dans la région du Vakinankaratra, le prix du kilo atteint les 980 Ariary s’il est était de 680 Ariary à la fin du mois de septembre.
SOBIKA.COM
18/10/2005
Marc Ravalomanana échappe à la mort Journal de la Réunion Clicanoo
Mercredi dernier, le président malgache et sept autres personnes dont son épouse, qui avaient pris place dans un hélicoptère pour une visite sur le terrain dans la région de Fianarantsoa au sud de la capitale, ont échappé de peu à la mort. Leur appareil s'est écrasé à l'atterrissage à Imerin'Imady et s'est retourné avant de prendre feu. Les huit occupants ont été dégagés in extremis.
Les hommes politiques de la Grande Île n'ont décidément pas de chance avec les machines volantes. Le 30 juillet 1976, Joël Rakotomalala, Premier ministre malgache, trouvait la mort dans un accident d'hélicoptère. On ne compte plus les militaires ou hommes politiques qui ont trouvé ou échappé de peu à un destin tragique lors de déplacements à travers Madagascar. Rien de tel à première vue dans l'accident d'hélicoptère dont a miraculeusement réchappé le président Marc Ravalomanana et les sept personnes qui l'accompagnaient. Défaillance technique ou erreur de pilotage sont pour l'instant les pistes privilégiées. Marc Ravalomanana affectionne tout particulièrement l'avion ou l'hélicoptère pour ses déplacements. Le gouvernement malgache a fait l'acquisition d'un Boeing 737 exclusivement destiné aux déplacements du président.
TROIS CAUSES ENVISAGÉES
Mercredi dernier, c'est à bord d'un hélicoptère que Marc Ravalomanana décolle pour une visite sur le terrain dans la province de Fianarantsoa au sud de la capitale Antananarivo. Le président malgache a pris place à côté du pilote, Louis Pharrand. Dans l'appareil prennent également place le ministre en charge de la décentralisation Angelin Randirianarison, l'épouse du président, son aide de camp, son médecin personnel et un garde du corps. Accompagné d'un autre appareil où se trouvent des journalistes et des politiques, l'hélicoptère présidentiel effectue six escales sans problèmes. Les choses se gâtent à l'approche de Imerin'Imady à 12 km à l'est d'Ambositra vers 15 h. La première machine se pose sans difficulté. Dans la foulée, l'appareil où se trouve Marc Ravalomanana doit le rejoindre. Que s'est-t-il alors passé ? “Trois hypothèses sont avancées, analyse notre confrère La Gazette de la Grande Île. Le premier hélicoptère soulève un épais nuage de poussière en se posant. Le sol est donc masqué lorsque l'appareil présidentiel engage sa manœuvre d'atterrissage. Faute de repères, il heurte violemment le sol et est déséquilibré. Seconde hypothèse, sur le terrain en pente, le pilote évalue mal la distance entre sa machine et le sol d'où le crash. Il n'est pas à exclure que l'hélicoptère s'est posé sur le bord d'un champ à flanc de colline sur une terrasse aménagée et a été déstabilisé. Dernière hypothèse, l'appareil est plaqué violemment au sol par une bourrasque soudaine ou son atterrissage a été perturbé par les turbulences générées par l'autre hélicoptère.” L'appareil présidentiel prend contact avec le sol très cabré. La queue et le rotor touchent. Déséquilibrée, la machine se couche sur la gauche puis se retourne. Les pales principales volent en éclat. Un incendie se déclare à hauteur de la turbine. Les occupants sont évacués de la cabine disloquée. Tous sont indemnes mais l'hélicoptère est détruit. Secoué mais ne souffrant d'aucune blessure, Marc Ravalomanana poursuit sa visite sur le terrain avant de regagner la capitale dans un autre appareil envoyé en renfort.
Alain Dupuis Clicanoo
|
