Madavôvô 2005  

L'Année 2004 c'est l'année des Ouvertures..  ;   Joyeuses Fêtes de Noel à tous...

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Présentation au Roi du Maroc Sa Majesté le Roi Mohammed VI  des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana
Notons que la Présentation à Sa Majesté le Roi Mohammed VI des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana a précédé la visite présidentielle. Le programme de séjour présidentiel a été marqué, entre autres, par un entretien en tête-à-tête entre les deux chefs d’Etat, suivi d’une visite au Mausolée Mohammed V où le couple présidentiel a déposé des gerbes de fleurs sur les tombes de feu S.M. le Roi Mohammed V et feu S.M. le Roi Hassan II avant de signer le livre d’or....

Ampy Portos...

15  juin 2005

Et encore...

19  juin 2005

Les observateurs etrangers ...

25 juin 2005

Et encore...

28 juin 2005

03 juillet 2005

08 juillet 2005

Place du 13 mai...

17 juillet 2005

Les 2 resultats des urnes

24 juillet 2005

Médiation internationale...OUA

30  juillet 2005

1er aout 2005

L'impasse...

26 aout 2005

les contre-manifestation Ra8...

09 sept 2005

Autopraclamation Ra8...

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Etat de nécessité national...

30 sept 2005

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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Sommaire Madavôvô: 07 octobre 2005

BigNews. -TSELATRA est de retour...

1. Souvenirs de printemps... (Echo du Capricorne)

2. Azza Nassar, ambassadeur d’Egypte : «Nous voulons aider Mada! » (Midi)

3.Il y a 110 ans, Madagascar devenait française (La gazette)

4. Le SMIG est de 21 euros par mois (Jeune Afrique)

5. Une nouvelle banque à Mada avec l'arrivée des chinois (Sobika)

6. No Comment.... No Comment...

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MégaSoirée-ARF le samedi 29 octobre à Tournan en Brie   Klikeo >>

7. Coopération sino-malgache:Enfin une détaxation sans dégâts (La Gazette)

8. Reconstruction à petit feu - Le Rova renait de ses cendres (Express)

9. Andranoro, un haut lieu du culte des ancêtres (Midi)

10.Ambassadeur de la Rép. française auprès de la Rép de Mada (Nosintsika)

11. Camp RM 1 Analakely:A vendre aux Chinois (Madagate)

12. Perspectives de recherches à Madagascar (ADES Bordeaux)

07/10/2005

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

Euro (pondéré) 2511 
US Dollar 2098.17 
Dollar canadien 1776.98 
YEN 18.43 
Franc suisse 1637.08 
Livre sterling 3715.75 
Rand 320.27 
Roupie mauricienne 69.20 
Couronne suédoise (100) 271.79 
DTS 3040.51 

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Derniers Messages de nos Petites Annonces         + Savoir plus >>          Les Contacts  >>

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2)-qq1 a-t-il des données concernant les paramètres de température? il serait dommage que ces oeufs se perdent et nous privent du plaisir d'un jour pouvoir rendre des tortues radiées à leur environnement naturelle.        contact : Paul

3)-Arrivage Auto récent sur Mada    Contact Naina ou Sam TEL 032 07 733 35      033 14 367 77      contact : Charles

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... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Big News... TSELATRA est de retour...   ...suite   Cliquez ici >>

Tselatra frappe toujours fort..., 

La foudre a frappé Antsahamanitra..., 

Le public a été en totale euphorie...           ...suite   Cliquez ici >>


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Echo du Capricorne  06 Octobre 2005

Souvenirs de printemps... Au commencement était un palais… 
L’arrivée sous un soleil radieux, en ce début de soirée printanière, dans cette ville méditerranéenne, m’imprègne bien de cette impression d’un voyage initiatique : constructions modernes, espaces en devenir, friches jalonnent le parcours du tram conduisant vers le domaine d’Ô, lieu d’accueil du festival des printemps des comédiens à Montpellier. L’excitation d’une expérience inédite, assister à la genèse d’une œuvre originale m’envahit : Le « Palais des vents » est annoncé comme une première dans l’histoire de la création artistique, les artistes ont été recrutés de part et d’autre des rives de l’Océan Indien. Daniel Bedos et Raoul Vuhra, les initiateurs, ont fait le déplacement en Inde, Madagascar et dans les îles de l’Océan Indien, et avec l’aide de contacts artistiques locaux, par exemple 

Dolly Odeamson de la troupe Landyvolafotsy pour la partie malgache, proposent de monter un spectacle sur l’imaginaire de l’Océan Indien, en mettant en exergue le côté spirituel… Quelques jours avant la première, ces artistes ne se connaissaient pas. Ils ne parlent pas la même langue et doivent ensemble bâtir ce Palais et le présenter pour une quinzaine de représentations.
Et là, dans l’immensité du domaine d’Ô - un lieu abouti et en plein nature: amphithéâtre, chapiteaux et tréteaux de baladins sont plantés en harmonie avec un environnement boisé et embaumé d’une pinède et d’une oliveraie - je me dis que le cadre esthétique augure d’un Palais des vents où l’exotisme ne pouvait pas être mieux servi.

La genèse de l’humanité…
Il est 18h, les grilles de l’espace micocouliers du domaine d’Ô s’ouvrent : le public s’engouffre en joyeuse procession familiale dans l’allée des oliviers. Il est accueilli par les musiciens malgaches : Olombelo Ricky, Dieudonné, Hajazz, et Jean Donne, perchés sur des stèles en gardiens d’un lieu où on sent une magie, une spiritualité, venues sans doute du royaume des vazimba, les premiers habitants malgaches. 
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Midi  03 octobre 2005

Azza Nassar, ambassadeur d’Egypte : «Nous voulons vraiment aider Madagascar ! »
Le pays des Pharaons vient de voir pour la première fois l’élection d’un président au suffrage universel. Celle-ci a vu la victoire de Hosni Moubarak. L’Egypte envoie très prochainement à Antananarivo son ministre-assistant des Affaires étrangères, chargé des affaires africaines, Mohamed Hegazi. Le chef de mission égyptienne en parle !
RCR 

Midi-Madagasikara : Les Egyptiens viennent d’élire leur président de la République. Hosni Moubarak est élu après 24 ans de pouvoir. Comment est-ce possible ?
Azza Nassar : Le président Moubarak a obtenu 88% des voix ! Je peux dire qu’il a beaucoup fait pour l’Egypte et pour les Egyptiens depuis 1981 au plan politique et économique. Il est une personnalité très respectée, patriote et démocrate. 90% de notre économie est détenue par le secteur privé, notre pays est ouvert à tous, nous jouissons d’une stabilité politique, économique et juridique durable. Le multipartisme est un fait. Au plan international, nous jouons un rôle important notamment en Palestine, en Irak et aussi en Afrique. Au conseil de sécurité des Nations Unies, nous préservons l’unité de l’Afrique. Personnellement, j’ai apprécié le discours du président Ravalomanana à la tribune des Nations Unies. Je le félicite par ailleurs de sa volonté de faire bouger les choses en faveur d’un vrai développement de notre continent.
M-M : A propos, qu’en est-il des relations entre Madagascar et l’Egypte ?
Azza Nassar : Depuis mon arrivée, deux expositions de marchandises égyptiennes ont eu lieu avec une cinquantaine de participants chaque fois. Ces événements ont permis la signature de nombreux partenariats entre les opérateurs égyptiens et locaux. Des produits d’Egypte sont maintenant disponibles sur le marché malgache. Par ailleurs, la venue de grandes entreprises égyptiennes sont à l’étude. Elles s’intéressent aux secteurs des infrastructures, à l’agro-alimentaire et aux technologies. Nous voulons vraiment aider Madagascar parce que le président veut faire beaucoup pour son pays.
M-M : Précisément, le ministre assistant des Affaires étrangères, chargé des affaires africaines, se rend à Antananarivo très prochainement ? Quel est l’objet de sa visite ?
Azza Nassar : M. Mohamed Hegazi arrive le 4 octobre à Antananarivo. Il aura un entretien avec le ministre des Affaires Etrangères, Marcel Ranjeva le lendemain. L’étude d’accords de partenariat entre les deux pays sera à l’ordre du jour de cette entrevue entre les deux personnalités. L’Egypte souhaite vraiment contribuer à l’essor de Madagascar. Cette visite entre dans ce cadre. 
M-M : En tant que femme, ambassadeur d’un pays musulman dans un pays où le christianisme s’érige en religion quasi-officielle, comment faites-vous pour concilier tout cela ?
Azza Nassar : En Egypte, les hommes et les femmes sont égaux en droits et devoirs qu’ils soient coptes ou musulmans. Les églises se trouvent près des mosquées et elles cohabitent sans problème. La discrimination entre chrétiens et musulmans n’existent pas. Les chrétiens égyptiens ou les coptes sont présents dans le pays depuis très longtemps. Les musulmans aussi. Notre pays reste un modèle d’intégration et de tolérance. Nous en sommes fiers !


La Gazette   03/10/05

Il y a 110 ans, Madagascar devenait française
Après les accords signés entre la France et l’île Maurice par notre pays, un troisième traité sur la protection réciproque des investissements vient d’être signé hier. Etabli entre Madagascar et l’union économique belgo-luxembourgeoise, cet accord vient raffermir davantage la sécurité des intérêts belges et luxembourgeois qui sont installés dans notre pays ainsi que les investissements futurs que les opérateurs de ces pays voudront faire. 
En effet, de par les changements des régimes politiques et du cadre règlementaire qui peuvent s’opérer fréquemment dans les pays en voie de développement comme le nôtre, une assurance pour les investisseurs de la sûreté des placements à long terme qu’ils vont faire est plus qu’une nécessité. « Tous les pays en voie de développement se mettent actuellement en mouvement afin de mettre de telle traité en place. En effet, afin d’améliorer l’environnement des affaires à Madagascar qui est un élément essentiel pour développer les investissements, des efforts doivent être amplifiés sur plusieurs plans aussi bien dans le cadre règlementaire, le système judiciaire, le cadre législatif, qu’au niveau des infrastructures », a affirmé le ministre de l’Industrie, du Commerce et du Développement du Secteur Privé, Sahobisoa Andrianarison. 
Notons qu’après cette signature, une large diffusion de cet accord dans ces deux pays pour informer les opérateurs sur place sera effectuée 


Jeune Afrique 03/10/05

Le SMIG est de 21 euros par mois - 21 septembre 2005 - par XINHUA 
Le SMIG est de 21 euros à Madagascar contre 136 euros à Maurice, 192 aux Seychelles, 275 aux Comores et 578 à La Réunion, selon la presse malgache. 
La valeur du SMIG malgache est la plus faible dans la région de l'océan Indien, voire par rapport à l'Afrique pour ne citer que le Mali où le salaire minimum d'embauche est 2,7 fois supérieur à celui de la Grande Ile, le Cameroun (9,7), le Burkina Faso (3,9) et la Guinée (4,2 fois au-dessus). 
Selon une organisation de la statistique d'Antananarivo, le salaire minimum vital devait être estimé dans la capitale malgache à 1 047 266 Fmg (125 000 Fmg équivalent à un euro, soit quelque 84 euros), à raison de 415 000 Fmg pour l'alimentation, 66 080 pour l'entretien ménager (couverture, bougies, piles, allumettes ...) 77 486 pour l'habillement, 350 000 Fmg pour le transport, loisir et les imprévus. 


Sobika  07/10/2005

Une nouvelle banque à Madagascar avec l'arrivée des chinois
C'est la nouvelle banque qui fait son entrée dans le paysage financier malgache. C'est la Banque Internationale de Chine Madagascar ex Compagnie Malgache de Banque, CMB c'est ce qui a été annoncé au Hilton le 5 octobre. 
la CMB était en faillite et c'est la Chine par le milliardaire Hong Kongais, le Dr Hui Chi Ming, qui a recapitalisé par millions de dollars.
Une nouvelle banque qui vient de naître qui va tout faire pour que la BICM devienne rapidement une banque moderne, efficace et rentable. Le Dr Hui Chi Ming a été reçu par le Président de la République Marc Ravalomanana


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La Gazette   03/10/05

Coopération sino-malgache:Enfin une détaxation sans dégâts
La République Populaire de Chine célèbre les 56 ans de sa fondation ce jour. 
Une cérémonie a été organisée à cette occasion, hier à l’ambassade de Chine. Ce pays a connu des changements prodigieux en 27 ans, à savoir un rythme d’accroissement annuel moyen de plus de 9% pour l’économie nationale, une croissance annuelle moyenne de 7% pour le niveau de consommation de la population, et une augmentation annuelle progressive de 16,7% pour le commerce d’import-export. La Chine a également connu un PIB de 650 milliards de USD, soit 1200 USD par habitant, jusqu’à la fin de l’année 2004. Le volume global d’import-export est de 1150 milliards de USD, avec une réserve de devises d’un montant de 600 milliards de USD. Malgré les méfaits causés par les calamités naturelles, l’économie chinoise continue à se développer de façon durable et saine. L’ambassadeur de la République Populaire de Chine, Li Shuli a annoncé lers de son discours que Madagascar jouira d’un droit de détaxation pour l’exportation de 187 sortes de marchandises locales vers la Chine. La coopération entre les deux pays se présente sous plusieurs formes, notamment par le biais des échanges commerciaux ainsi que dans le domaine de la collaboration médicale. Il est à faire remarquer que cette année marque le 30e anniversaire de la coopération médicale et sanitaire entre la Chine et Madagascar. La Chine connaît un essor économique important malgré le fait qu’il soit un pays en voie de développement. La situation dans laquelle notre pays se trouve nous fait perdre l’espoir de connaître un jour ce succès. 


EXPRESS  30 septembre 2005

RECONSTRUCTION À PETIT FEU - LE ROVA RENAÎT DE SES CENDRES

L’état de Manjakamiadana à l’heure actuelle.
Dix ans après l’incendie, la reconstruction de Manjakamiadana en marche.
Il aura fallu attendre une décennie pour qu’on se décide à reconstruire le Rova de Manjakamiadana. Une décision non dénuée d’arrières-pensées politiques.

Des nouveaux signes pour la reconstruction du Rova de Manjaka-miadana. Sans tambour ni trompette, le Comité national du patrimoine (CNP) envisage (enfin) le démarrage effectif des travaux de reconstruction du Rova d'Antananarivo. A la lecture des projets antérieurs, on peut estimer vers la fin de l'année 2007 la finition des travaux, si tout va bien.
Mejamirado Razafimihary, président du CNP, ne souhaite pas encore s'étaler sur les détails du projet. "Ce sera pour cette année", lâche-t-il, sans plus. Depuis quelques jours, le Comité chargé de la reconsctruction s'affaire pour boucler le dossier relatif à la désignation de l'entreprise chargée des travaux. L'heureuse élue sera connue le 5 octobre. La coïncidence de la

date avec le dixième anniversaire de l'incendie du site, conforte la volonté de marquer le démarrage des travaux.
Sauf changements, le Rova de Manjakamiadana devrait être reconstruit "dans son aspect originel", selon Yvette Rabetafika, notre ambassadeur auprès de l'Unesco. Elle a pourtant déjà prévenu qu'"une partie de l'édifice sera supprimée". La discrétion des responsables de cet organisme rattaché à la présidence ne permet pas de connaître les derniers changements du projet initial. 
Aucune information officielle n'est également disponible, pour ce qui est du bugdet pour sa reconstruction. Si l'on se réfère aux chiffres de l'année dernière, celui-ci devrait atteindre 15 millions de dollars. Mais pour l'instant, "il n'y a pas encore grand-chose", avait révélé Yvette Rabetafika, notre ambassadeur auprès de l'Unesco, également membre du CNP. 
"L'Unesco a promis 25 000 dollars", selon Yvette Rabetafika. Outre la "participation personnelle du chef de l'Etat", toutes nos ambassades sont également mises à contribution pour trouver des fonds. 
Promesse présidentielle.
Les mains incendiaires de Manjakamiadana n’ont jamais été reconnues.
Depuis 1994, bon nombre de projets ont été brandis ou promis pour la reconstuction du Rova. La plupart d'entre eux n'ont pourtant pas abouti. Lors de la visite du site en octobre 2004, le président Ravalomanana, accompagné par James Wolfehnson, président de la Banque mondiale, a donné l'ordre de suspendre les travaux en cours et de "revoir le dossier" de reconsctruction. 
Désormais rattaché à la présidence depuis l'année dernière, quelques tergiversations ont suscité en cours de route des points d'interrogation quant à la concrétisation du projet. A cause du retard de l'officialisation du CNP, les membres de l'organisme se sont retrouvés dans une position inconfortable. 
Annoncé par le chef de l'Etat depuis octobre 2004, le décret portant création du comité n'a été approuvé qu'en mars 2005. Il en est de même pour l'arrêté présidentiel portant nomination des membres de l'organisme. 

La reconstruction du Rova pourrait faire l’objet d’une surenchère politique à l’approche des élections présidentielles.
Cela n'a pas empêché les responsables d'effectuer quelques travaux "dans la discrétion". L'on apprend, entre autres, des "travaux préalables des techniciens" pour la concrétisation du projet. Avec tous les projets de reconstruction entamés depuis 1994, quelques monuments ont pu être restaurés. Il en est de même des travaux de reconstruction de Mahitsielafanjaka, les tombeaux royaux et celui du temple sont déjà achevés. Il reste maintenant à parachever la reconsctruction de Manjakamiadana, le plus grand édifice du site. 
Iloniaina A. 


Midi Mada  03/10/2005
Andranoro, un haut lieu du culte des ancêtres 
Parce qu’elle a disparu dans les eaux de la Mamba, on lui donna le nom de « Fille du fleuve »… Mais derrière cette appellation évocatrice d’une image mythologique, c’est d’une grande figure du culte des ancêtres, Ranoro, qu’il est surtout question. Et son nom est indissociable de celui d’Andriambodilova, son époux. Celui par qui sa légende naquit, dans la deuxième moitié du 17ème siècle. 
SJ

Ranoro et Andriambodilova se rencontrèrent sur les rives de la Mamba. Séduit par la grande beauté de la jeune fille, celui qu’Andrianjaka a «chassé » d’Analamanga en «l’exilant » à Ambohimanarina, demanda à la belle Ranoro de l’épouser. Elle accepta, mais à une condition : que son soupirant s’engage à ne jamais prononcer le mot « sira », qui lui rappelait le patronyme sacré de son père, Andriantsira de son nom. Le pacte fut rompu par Andriambodilova, qui dans un accès de colère, prononça le mot interdit, en traitant son épouse de « fille du sel ». Sur ces mots du mari courroucé, elle abandonna aussitôt le toit conjugal, prit une barque et disparut à jamais dans les flots… 
Si le tombeau d’Andriambodilova devint un lieu de culte qui attire jusqu’à nos jours de nombreux fervents au sommet de la colline d’Anosisoa, à 2 km plus loin, au nord-ouest, Ranoro est aussi l’objet d’un culte très vivace, à Ambohibao Antehiroka, sur un site quasi éponyme du nom d’Andranoro. 
Ici, Razaiarisoa accueille les visiteurs avec prudence. Ses derniers doutes repoussés, elle affirme avoir été désignée par les mânes de Ranoro, il y a trente ans, pour être la gardienne des lieux. Elle y réside du reste, et veille à ce que les lieux soient respectés par tous ceux qui souhaitent y vénérer celle qu’elle considère comme l’unique souveraine de tout le royaume. La présence du visiteur acceptée, et son intention connue, Razaiarisoa prononce une incantation de bienvenue devant un autel où trône un tabernacle. On peut y voir une statuette de la Sainte Vierge, mais aussi un peu de terre sacrée et surtout, de nombreux miroirs. Avare de paroles, Razaiarisoa n’en dira pas plus. « Je mentirais si je disais depuis quand ce Doany existe » coupe-t-elle court, renvoyant les visiteurs à un certain Ranarivelo, le véritable maître de cérémonie, et détenteur de tous les secrets, s’il en est, de ces lieux. En son absence, Clément Rarivoarison, qui assiste Razaiarosoa dans l’entretien du site, nous fit le tour du propriétaire. 
Il est impératif de quitter ses chaussures avant de pénétrer dans l’enclos, par un portail fraîchement blanchi. Tout semble d’ailleurs régulièrement entretenu dans ce lieu où règne une atmosphère à la fois de crainte et de respect. De très vieux arbres, dont un pied de lilas au tronc éprouvé par le temps et aux branches profondément fendillées, et un jamblonnier en pleine floraison, offrent leur ombre à l’autel qui accueille les offrandes. 
Comme Andranoro est un véritable lieu de culte où les mânes de tous les ancêtres et surtout, de tous les souverains peuvent être invoqués, on y trouve un endroit dédié à Ranavalona 1ère, un autre aux rois Sakalava du Menabe, un autre encore, nommément au roi Andriamanalimbetany du Betsileo. Le célèbre et énigmatique Rakotomaditra, y est aussi vénéré. Son culte est célébré au fond d’une petite grotte naturelle qui ne livre qu’à moitié le secret de cet homme qui aurait été le fils aîné de Ranoro. Il fut connu sous trois noms différents, Rakotonanahary à sa naissance, puis Rakotomahery quand il fut un redoutable chef militaire, et enfin, Rakotomaditra quand il se laissa aller à la luxure ! Ceux qui partagent son goût et approuvent son penchant pour la décadence, lui apportent tabac et alcool à la nouvelle lune, quand leurs vœux sont exaucés… 
Oui, à Andranoro, il n’est pas seulement question de culte des ancêtres, mais aussi de célébration des joies de l’existence.


 Nosintsika  05/10/2005

Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République française auprès de la République de Madagascar

- decret nomination nouvel ambassadeur
- ancienne fonction de l'heureux élu
- petit exposé sur le rang de "ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire" de la République française auprès de la République de Madagascar.
Et pour déroger un peu à la discipline qu'on essaie de s'imposer, et succomber à la tentation des mondanités : il rejoint son poste d'ici la fin du mois, et a déjà rencontré notre président et notre premier ministre.
Les moderateurs Nosintsika

Décret du 4 juillet 2005 portant nomination d'un ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République française auprès de la République de Madagascar
NOR : MAEA0520247D
Le Président de la République,
Sur le rapport du Premier ministre et du ministre des affaires étrangères,
Vu l'article 13 de la Constitution ;
Le conseil des ministres entendu,
Décrète :
Article 1
M. Alain Le Roy, conseiller référendaire à la Cour des comptes, en fonction à l'administration centrale, est nommé ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République française auprès de la République de Madagascar, en remplacement de Mme Catherine Boivineau, née Greverie, appelée à d'autres fonctions.
Article 2
Le Premier ministre et le ministre des affaires étrangères sont responsables, chacun en ce qui le concerne, de l'application du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 4 juillet 2005.
Jacques Chirac
Par le Président de la République :Le Premier ministre, Dominique de Villepin
Le ministre des affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy

occupait (dans le désordre)les fonctions de :
- directeur des affaires économiques et financières du ministère des affaires étrangères à Paris
- membre du conseil d'administration du CNES
- coordonnateur national du Pacte de stabilité pour l'Europe du sud-est
- Magistrat à la Cour des comptes

An ambassador, rarely embassador, is a diplomatic official accredited to a foreign sovereign or government, or to an international organization, to serve as the official representative of his or her own. In everyday usage it applies to the ranking plenipotentiary minister stationed in a foreign capital. Diplomatic officers heading missions outside the capital, or heads of "interest group" missions between two states which do not have diplomatic relations, are known as consuls. The host country typically allows the ambassador control of specific territory called an embassy, whose territory, staff, and even vehicles are generally afforded diplomatic immunity to most laws of the host country.
The senior diplomatic officers among members of the Commonwealth of Nations are known as High Commissioners, who are the heads of High Commissions. Representatives of the Holy See are known as Papal or Apostolic Nuncios, while the head of a Libyan People's Bureau is a Secretary.
Historically, officials representing their countries abroad were termed ministers, but this term was also applied to diplomats of the second rank. The Congress of Vienna of 1815 formalized the system of diplomatic rank under international law:
Ambassadors are ministers of the highest rank, with plenipotentiary authority to represent their head of state. An Ordinary Ambassador is one heading a permanent diplomatic mission, for instance the senior professional diplomat in an embassy. An Extraordinary Ambassador could be appointed for special purposes or for an indefinite term; politically appointed ambassadors would fall under this category.
Moreover, a Resident Ambassador is one who resides within the country to which s/he is accredited. A Non-Resident Ambassador is one who does not reside within the country to which s/he is accredited, but lives in a nearby country. Thus a resident ambassador to a country might at the same time also be a non-resident ambassador to several other countries.
Among European powers, the ambassador extraordinary and plenipotentiary (French ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire or German ausserordentlicher und bevollmächtigter Botschafter) was deemed the personal representative of the sovereign, and the custom of dispatching ambassadors to the head of state rather than the government has persisted. For example, ambassadors to and from the United Kingdom are accredited to or from the Royal Court of St. James's, rather than to the State.
Because members of the Commonwealth of Nations have or had a common head of state, they do not exchange ambassadors, but instead have High Commissioners which represent the government rather than the head of state.
Ranking below full ambassador are the rank of envoy, minister resident and chargé d'affaires. They represent their government rather than their head of state. For further details, see diplomatic rank.


Madagate  07/10/2005

Camp RM 1 Analakely:A vendre aux Chinois - [ Posté par : lagazette-dgi.com | 
C’est l’effervescence à Analakely, plus précisément au camp de la RM1 (région militaire n°1). Le camp sera cédé aux Chinois qui le transformeront en un grand centre commercial, affirment des officiers et de simples soldats. D’après nos sources, le secrétaire général du ministère de la Défense lui-même s’était rendu sur place, avant-hier, pour faire l’inventaire de tous les dossiers concernant le camp ainsi que toutes les infrastructures s’y trouvant.
Faute d’interlocuteurs, nous avons été incapables de demander de plus amples détails auprès du ministère de la Défense, l’officier chargé de la communication étant absent alors que le correspondant obtenu au téléphone avoue n’être pas habilité à communiquer ce genre d’information, même si éventuellement, il était au courant.
En tout cas, les témoins ont rapporté sous le couvert de l’anonymat que dans ce projet de démantèlement du camp d’Analakely, la RM1 sera transférée au Fort Voyron sur la colline d’Ambohijanahary. Là où sont déjà logés la plupart des officiers composant ce détachement militaire. Autrement dit, le déplacement du camp arrangerait plutôt les haut gradés au contraire des sous-officiers habitant le camp actuel qui s’inquiètent de leur sort, aucun logement n’étant plus disponible au Fort Voyron.
Aucun de nos interlocuteurs n’a toutefois voulu donner son avis sur l’opportunité ou non du transfert du camp à un autre lieu. Les questions légitimes qu’ils se posent et que ne manquera pas de faire également l’opinion en général, se rapportent sur les conditions de cession du site aux Chinois.
A priori, la transformation de ce camp militaire en un grand centre commercial ne peut souffrir d’aucune discussion. D’abord, la présence même de ce camp en plein cœur de la ville est plutôt incongrue dans un pays qui se veut moderne et démocratique. Ensuite, ce quartier est devenu par les temps un centre d’affaires et commercial par excellence.
En son temps, le bon maire Guy Razanamasy avait d’ailleurs engagé un projet de modernisation du cœur de Tana qui a nécessité la suppression du légendaire marché du Zoma. Avec la petite rocade qui est devenue le boulevard de l’Europe, ce projet intégrait le prolongement de l’avenue de l’Indépendance, via la gare de Soarano, aux 67 ha à hauteur de l’immeuble abritant le ministère de la Fonction publique et du Travail. Pour des raisons qu’on ignore (nonobtsant la décision du ministre d’alors, Herivelona Ramanantsoa, qui a décidé de faire construire des logements sur le site d’où devait se prolonger l’avenue de l’Indépendance), la modernisation d’Analakely n’a pu se réaliser. Il est vrai que M. Razanamasy n’est plus à la tête de la capitale depuis 1998, année à partir de laquelle la gestion de la Ville des Milles était confiée à Marc Ravalomanana.
Bref, si la création d’un nouveau centre commercial à Analakely ne pourrait que donner un nouveau visage à la capitale, un problème capital se pose au niveau du choix de l’acteur de la rénovation. Ce n’est pas parce qu’on est contre les Chinois, loin s’en faut. D’ailleurs même si les conditions d’arrivée de ces nouveaux opérateurs dont la plupart obtiennent trop rapidement la nationalité malgache, contrairement à d’autres minorités, restent floues, les Chinois demeurent très actifs en matière d’investissements. Le commerce à Behoririka, les casino et les restaurants à travers la ville traduisent ce dynamisme qui s’est récemment étendu au secteur bancaire, à travers le rachat de CMB par un groupe chinois, et devrait se concrétiser par d’autres projets conséquents comme la création d’une cimenterie par exemple.
Le problème est que la transparence est totalement absente. Pourquoi ne lance-t-on pas un appel d’offres sur le camp de la RM1 qui est d’ailleurs en décadence comme l’ensemble du patrimoine immobilier des forces armées ? Alors que les responsables concernés pouvaient par exemple expliquer la cession en contrepartie de la réhabilitation d’autres domaines, le schéma s’étant déjà réalisé sous le précédent régime.
Il appartient donc à l’Etat de tout expliquer. D’autant plus que ce projet risque d’être assimilé par l’opinion a une magouille de plus sur le plan immobilier.
Après qu’on a pompeusement annoncé le projet de création d’un palais de congrès à Andranomena, un scandale financier a été par exemple rapporté par la presse en impliquant des députés désignés, à tort ou à raison, comme étant les principaux instigateurs de la motion de destitution de Jean Lahiniriko. La coïncidence est-elle fortuite ?
Le projet de construction d’un palais de congrès est, en tout cas, resté au stade de l’annonce. Il en est de même pour le Palais du Sénat à Ambohimailala où l’absence d’une quelconque construction tend à confirmer le sentiment selon lesquel les promoteurs immobiliers d’Andranomena et Ambohimailala, ne se seraient finalement engagés que pour une forte protection politique de leurs propres affaires.
En somme, l’Etat doit jouer pleinement la transparence pour éviter toute suspicion de corruption. D’autant plus que pratiquement, le Bianco ne peut rien faire en l’absence d’une plainte de la part d’un soldat soucieux de l’hiérarchie encore moins d’un citoyen qui risque gros avec la possibilité de condamnation pour dénonciation calomnieuse.
Reste toutefois à savoir si pour les décideurs, le message est du chinois.


ADES Bordeaux 06/10/2005

Perspectives de recherches à Madagascar 

L' unité Aménagement, développement, environnement et société (ADES UMR 5185 - Univ. Bordeaux 3 / Univ. Bordeaux 2 / CNRS) organise un séminaire sur le thème : Perspectives de recherches à Madagascar 
Ce séminaire aura lieu aura lieu le mardi 11 octobre 2005 de 9h à 13h, à la Maison des Suds, Salle des stages, Pessac.
Sont conviés à y participer les chercheurs, les enseignants-chercheurs, les doctorants...
Voir les informations relatives à cette séance à l'adresse suivante
http://www.ades.cnrs.fr/article.php3?id_article=22 <http://www.ades.cnrs.fr/article.php3?id_article=223> 3 <http://www.ades.cnrs.fr/article.php3?id_article=223> 
........................................................................................................................................
Contact : Marie-José Claverie
ADES TEMPOS
Maison des Suds
12 Esplanade des Antilles
33607 PESSAC CEDEX
Mél. : mj.claverie@ades.cnrs.fr 
Tél. : (+33) 05 56 84 82 01
Fax : (+33) 05 56 84 68 55
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