Madavôvô 2005  

L'Année 2004 c'est l'année des Ouvertures..  ;   Joyeuses Fêtes de Noel à tous...

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Angraecum Sesquipedale ou Etoile de Madagascar et aussi connu sous le nom de -étoile de Noël- ou -étoile d_orchid de Bethlehem-
L_Angraecum sesquipedale aux trois fleurs blanches est célèbre pour son éperon de 35 cm où vient butiner un papillon nommé Xanthopan morgani doté d_une longue trompe qu_il ne déroule qu_à proximité de cette orchidée...

21 avril 2005

25 avril 2005

30 avril 2005

Katita champion

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Raharaha Zaraniaina.... ;  Cacao de Mada... ;  Rassembleurs et Dynamiques... ;  Savoir vivre sur le web...  ;  200 Milliards pour le secteur public... ;  Air mad renforce sa flotte... ;

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Sommaire Madavôvô: 19 juin 2005

BigNews. - la vie sauvage à Mada par Dreamworks  ... (ecranlarge.com)

1.Cinéma : «Madagascar» : bestiaire d'humour (LeFigaro.fr)

2.Grande-Bretagne : départ de l’Ambassadeur dans quelques semaines (wanadoo.mg)

3. De nouveaux avions pour Air Madagascar (sobika)

4.Plage de Nosy-Be : Interdite aux nationaux ?  (Tribune)

5.Comment.... No Comment...

6. Produits perimés en vente libre - Les autorités impuissantes face aux dangers (Express)

7.Spéculation sur le MID:863 milliards Fmg en deux jours (La Gazette)

8. 21 Juin Fête de la musique: Cachan renait (Sobika)

9. Crise latente au sein de l'armee - Réunions secrètes d'officiers généraux (Express)

10. 700 apatrides à Madagascar veulent être français ! (allAfrica.com)

11. « Le Rubis » restitué à la SOGECT  (Les Nouvelles)

12.Editorial: Fragile cohésion (MaTV)

17/06/2005

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary
EURO(cmp) 12.466 FMG 
USD 10.916 FMG 
GBP 19.676 FMG 
CHF 8.562 FMG 
JPY 100 FMG 
ZAR 1.589 FMG 
HKD 1.404 FMG 

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Derniers Messages de nos Petites Annonces         + Savoir plus >>          Les Contacts  >>

1)-Cherche acheteur d'huiles essentielles.MERCI DE ME CONTACTER AU 06 67 08 87 83 OU 06 15 80 99 72      contact : Sylvie

2)-vend terrain 700 hectar dont il y en a des café et plusieurs d'autre plante dessus et qui se situe dans la brousse de manakara (madagascar)     contact : Randriamanantsoa

3)-je recherche 2 tortues radiata bb je suis dans le sud de la france     contact : jean (13)

4)-Cherche emplacement sécurisé stockage contener 40 pieds TANA ou environ ex: Ivato à/c du 26 juin et ceci pour 1 mois faire offre et laisser coordonnées Merci      contact : Yves

5)-recherche tortue terrestre .j en recherche depuis tres longtemps et c devenu un desir d en posseder au moins une merci si vous pouvez satisfaire a ma demande       contact : Coupé

6)-je recherche désespérément une tortue herman à bas prix en loire atlantique merci    contact : Sandrine

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Big News... la vie sauvage à Mada par Dreamworks  ... (ecranlarge.com)

Après les succès de Shrek 1&2 puis de Gang de requins, les studios Dreamworks Animation persistent et signent dans la 3D avec cette fois un quatuor d’animaux échappés d’un zoo : un zèbre, un hippopotame, un lion et une girafe qui vont découvrir la vie sauvage sur l’île de Madagascar. De nouvelles images du film viennent de faire leur apparition en attendant la sortie en salles, prévue en France pour le 22 juin 2005. - Stéphane Argentin - 


Cliquez ici...

*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


LeFigaro.fr   18 juin 2005
CINÉMA :    «Madagascar» : bestiaire d'humour 

Marina Foïs, José Garcia, Anthony Kavanagh et Jean-Paul Rouve sont les voix françaises des nouvelles créatures de DreamWorks. 
PHOTOS COURTESY DREAMWORKS ANIMATION 

Il fut un temps, pas si lointain, où les marmots mimaient le sifflement long, à deux tons, de Tex Avery et ravalaient leurs sanglots devant Bambi. Aujourd'hui, quelques Parisiens nostalgiques accompagnent encore leurs enfants au Balzac, le deuxième dimanche de chaque mois, pour faire bégayer un passé où Disney régnait. Une démarche aussi courageuse que de chercher à sensibiliser une génération «I-Podémique» au nasillement inédit de Bugs Bunny. En dix ans, l'animation informatique a éclipsé les techniques traditionnelles et s'est imposée comme l'un des arts cinématographiques les plus novateurs. Des longs-métrages comme Toy Story, Nemo, Chicken Run, les Indestructibles, Shrek, témoignent avec succès des prouesses réalisées par des équipes audacieuses qui n'hésitent pas à dépoussiérer le genre, sans forcément pousser du coude les grands classiques. Ainsi Madagascar (en salles mercredi prochain) puise-t-il son inspiration dans certaines des meilleures productions des années 30-40. «Avoir stylisé les personnages nous a permis une totale fantaisie en matière de look et de gestuelle, confirme le réalisateur Eric Darnell. Ils évoluent dans un univers de cartoon proche de la 2D, en dépit du fait qu'ils aient été créés dans le monde en 3D de l'ordinateur.»

Sur grand écran, la simplicité de l'image cache bien souvent une performance : avoir su tisonner la mémoire tout en la modernisant. Chahuter d'un simple clic les dimensions des animaux, les gonfler, les rétrécir, les ratatiner à volonté n'a pas été aisé. De même qu'il a été extrêmement complexe de réaliser des gags corporels comme lorsque des yeux jaillissent des orbites ou des mâchoires se décrochent brutalement.«Les studios PDI/DreamWorks ont dû mettre au point un système qui nous

a fait franchir une nouvelle étape, explique le réalisateur Tom McGrath. Les animateurs ont ainsi pu jouer avec les personnages sans risquer de les voir se désintégrer.» Il eût été dommage, en effet, de se priver des aventures du lion Alex, roi de la jungle urbaine, du zèbre rebelle Marty, de Melman, la girafe hypocondriaque, et de la très maternelle Gloria, l'hippopotame : un quatuor fugueur parti de Manhattan pour s'échouer en pleine nature sur l'île de Madagascar. Dans la lignée des différentes réalisations de DreamWorks, ce film se distingue par son ton un tantinet irrévérencieux, son humour à dagues tirées, compréhensible à divers degrés, ses clins d'oeil permanents (Fiona et Shrek énumérés dans une liste de prénoms) et souvent référencés : Seul au monde de Robert Zemeckis, la Grande Evasion de John Sturges, Bip Bip, Coyotte et autre Marvin le Martien de Chuck Jones, ou Chicken Run, de Peter Lord et Nick Park des studios d'animation Aardman qui ont rejoint DreamWorks en 2000. Sur des thèmes maintes fois exploités, les scénaristes ont bousculé les conventions, mais sont restés fidèles à l'esprit des contes. Ici, la souffrance des bêtes sauvages, pâtissant de la stupidité humaine, est heureusement dépassée par leur vertu à museler leurs instincts et privilégier une sagesse qui suscite la fascination des hommes.
Il fut un temps, extrêmement lointain, où les minots en culotte courte planchaient à la communale sur les bestiaires de Jean de La Fontaine. Chiens, chats, tortues, lièvres et belettes y professaient sur papier bible quelques morales que Madagascar nous restitue aujourd'hui avec une poésie, une légèreté de trait qui tiennent de la magie. Et nous font des yeux d'enfant.

LAURENCE HALOCHE


Wanadoo.mg 17 juin 05
Grande-Bretagne : départ de l’Ambassadeur dans quelques semaines
L’Ambassadeur de Grande-Bretagne à Madagascar, Sem Brian Donaldson, va quitter Madagascar d’ici quelques semaines, ainsi que le service diplomatique, a-t-il confirmé hier lors de la célébration de l’anniversaire de Sa Majesté la Reine à sa résidence « Cameron House » Ivandry. 
Rappelons que l’Ambassade de Grande-Bretagne à Madagascar figure parmi celles qui vont fermer leurs portes cette année, en raison de la restructuration de la représentation diplomatique outre-mer, et le redéploiement des ressources du ministère pour relever les nouveaux défis. 
Mais selon une lettre adressée par Jack Straw, ministre des Affaires Etrangères de Grande-Bretagne au Président Marc Ravalomanana, la fermeture de l’Ambassade n’entamera en rien les relations entre les deux pays, car la Grande-Bretagne continuera à jouer un rôle important dans le développement de Madagascar, à travers son statut d’Etat membre de l’Union Européenne et des institutions financières internationales. L’Ambassadeur a ajouté que quand l’Ambassade fermera à la fin du mois d’août, la responsabilité des affaires consulaires passera à un Consul Honoraire résidant à Antananarivo et celle des relations bilatérales au Haut Commissaire britannique à Port-Louis Maurice. 
En tout cas, la fermeture de l’Ambassade touche de près les autorités malgaches, car le Ministre des Affaires Etrangères par intérim, Harison Edmond Randriarimanana, a confirmé l’importance que le Gouvernement malgache attache au maintien de la mission diplomatique à Madagascar, d’autant plus que ce dernier a décidé de la ré-ouverture de son ambassade à Londres. Quoi qu’il en soit, tant le parti malgache que britannique est convaincu de l’excellence de la coopération entre les deux pays, qui se concrétise par les actions menées par les organismes britanniques auprès de la population malgache dans divers domaines. 
B.A ©Midi-Madagasikara 


Sobika.com   17/06/2005

De nouveaux avions pour Air Madagascar !
Il n'y a pas que Airbus au salon aéronautique du Bourget ( France) ! C'est en effet le lieu et le moment qu'à choisi Air Berend Bruns (Air Madagascar) et Filippo Bagnato (ATR). Madagascar pour annoncer l'achats de deux nouveaux avions ATR 42-500 pour renouveler une partie de sa flotte. Objectifs, moderniser la flotte sur le réseau intérieur ce qui devrait permettre une meilleur ponctualité, les avions étant neufs, les pannes devraient être peu nombreuses !

Air Madagascar va remplacer ses trois ATR-42 dans les 12 mois 
Air Madagascar et le constructeur d'avion européen ATR ont officialisé le 15 Juin 2005 l'arrivée de nouveaux ATR au sein de la compagnie malgache dans les douze prochains mois. 
C'est au 46ème Salon International de l'Aéronautique et de l'Espace qui se tient actuellement au Bourget que l'annonce a été faite par Berend Bruns et Filippo Bagnato, respectivement
Directeurs généraux d'Air Madagascar et d'ATR. Deux ATR 72-500 (version allongée de l'ATR-42) arriveront en Octobre 2005, et seront suivis d'un ATR 42-500 en Juin 2006.

Ces appareils font partie de la nouvelle génération de la gamme ATR, et bénéficieront d'innovations technologiques en conséquence. 
Ces nouveaux avions remplaceront les trois ATR-42 actuellement utilisés par Air Madagascar. En effet, le coût de maintenance de ces appareils commence à devenir trop élevé en raison de leur âge. Deux d'entre eux seront mis en vente, et le troisième sera gardé par la Compagnie pour les opérations de fret et comme appareil de remplacement.Ce renouvellement des ATR-42 est à l'étude depuis un an au niveau d'Air Madagascar. Plusieurs options avaient été étudiées entre des appareils proposés par ATR, Embraer et Bombardier. Le choix de rester avec des avions ATR a finalement été pris par les dirigeants de la Compagnie. Selon Berend Brun, « les ATR sont parfaitement adaptés à notre réseau intérieur, très dense mais au trafic limité. Ce sont des appareils que nos techniciens et nos pilotes connaissent déjà bien pour avoir travaillé dessus depuis les années 90. Et surtout, c'est un choix économiquement pertinent, dans la mesure où ces 

appareils ont une consommation de carburant raisonnable». La consommation de kérosène est en effet un paramètre important à Madagascar, où le coût du carburant aviation est très élevé comparé à celui pratiqué dans d'autres pays.
La modernisation de la flotte fait partie des éléments fondamentaux du processus de redressement d'Air Madagascar. Après celle de la flotte des Boeing 737, traduite par l'arrêt de l'exploitation des B737-200 au profit de B737-300, la compagnie malgache entame donc
une nouvelle étape avec le renouvellement de la flotte d'ATR-42. L'objectif de la modernisation de flotte est l'amélioration du service offert aux clients d'Air Madagascar, afin que les vols se déroulent dans les meilleures conditions de sécurité et de confort pour les clients, tout en contribuant de manière importante à la ponctualité des vols.
J.R.   
source: AMBAMAD PARIS


Tribune 17/06/2005

Plage de Nosy-Be : Interdite aux nationaux ? 
Décidément, l'île aux Parfums" a fait parler d'elle ces derniers temps. On aura tout entendu diront les mauvaises langues. Toujours est-il que cette question d'occupation de terrain demeure le plus souvent au centre des divergences de vue et de conflits entre investisseurs et locaux. Les autorités ayant tranché, la question n'est pas moins résolue.

« Est interdit de s’installer, de vendre ou d’exercer toute activité commerciale devant un domaine privé ou plage sans l’autorisation du propriétaire et / ou du bailleur ». Tel est la teneur de l’article premier de l’arrêté municipal n° 10 CU/NB/AG/04 de la commune urbaine de Nosy Be en date du 2 août 2004. En application de l’arrêté municipal et suite à la requête du premier magistrat de Nosy Be, le président du tribunal de cette localité a ordonné le 25 mars dernier l’expulsion de toute personne exerçant illicitement toute activité commerciale ou lucrative sur les plages et/ou devant tout domaine privé. Du coup, cette décision du maire de l’île aux Parfums, Yves Ernest, a suscité des remous, voire des contestations au sein de la population, notamment chez les artisans et les jeunes nosybéens. Ces derniers crient au scandale et dénoncent avec véhémence l’application de ce texte jugé discriminatoire. En clair, cet arrêté les prive de leurs principales ressources dont la vente des produits artisanaux aux touristes. 
Tout récemment, les vendeurs ont été chassés, par les forces de l’ordre des plages jouxtant 

 des grands hôtels. Or, la plupart d’entre eux, regroupés au sein d’une association, sont en règle vis-à-vis du fisc. Autrement dit, les vendeurs sont patentés et les plongeurs ont leur assurance. En se référant à cet arrêté municipal, on dirait que la plage est une propriété privé, contrairement au texte en vigueur que les plages sont des domaines publics dont l’accès et le passage devraient être libres et ne peuvent être l’objet d’aucune réglementation restrictive. 
Une plainte contre des gendarmes
Depuis, la tension reste tendue. Privée de leur ressource, la population locale a manifesté une résistance face à cette décision du maire. Une partie d’entre elle a exposé ses produits non loin des plages pour qu’ils soient plus visibles. Hier, la tension est montée de plusieurs crans. Trois éléments de la gendarmerie locale sont descendus sur une plage au moment où des jeunes gens ont pris leur bain. Selon les témoins occulaires, les forces de l’ordre ont invité les jeunes à quitter les lieux mais ces derniers n’ont manifesté aucune intention d’obtempérer aux ordres des hommes en uniforme. Indigné, l’un des gendarmes aurait pointé son arme sur ces jeunes tout en les menaçant. La situation a failli dégénérer mais l’incident a été évité de justesse grâce à l’intervention des « ray aman-dreny » du village.
Toutefois, l’affaire a connu une autre tournure. Les jeunes ont déposé hier une plainte contre ces éléments de la gendarmerie au tribunal de première instance de Nosy Be pour menace avec arme à feu, nous a déclaré Tsimpa Narcisse, président de l’association ANDT. Visiblement, cette affaire sera suivie avec attention par la population de Nosy Be. Le problème d’accès à la plage sera enfin étalé au grand public. L’association des jeunes et des artisans aura-t-elle le courage de défendre son intérêt ? Quoi qu’il en soit, les autorités locales ont une lourde tâche de restaurer la paix sociale en cette période de crise politico-économique.


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EXPRESS MADA   18/06/2005

PRODUITS PERIMES EN VENTE LIBRE - LES AUTORITES IMPUISSANTES FACE AU DANGER
Dans des emballages alléchants, des friandises devenues du poison !

Menace sur la santé publique. A la veille de la fête nationale, des produits périmés envahissent les marchés de la capitale. Les friandises et les pâtes alimentaires, reconditionnés ou en vrac, sont les plus vendus par les marchands à la sauvette, et les quartiers populaires sont particulièrement visés. Quelquefois, ils falsifient les dates de péremption.
“Les marchandises que j'achète ne sont pas encore périmées, et de plus, elles sont vendues à bas prix. La population peut en profiter du fait qu'elle peut consommer des produits qui correspondent à son pouvoir d'achat”, se défend Lala, une marchande à Tsaralalana. Avec cette activité, elle enregistre un bénéfice de Ar 1000 par jour. “Je ne reste pas au même endroit pour ne pas me faire attraper par les agents de la commune”, ajoute-t-elle.

De son côté, un épicier de la ville annonce : “Notre problème se situe au niveau de l'écoulement des produits. Nous achetons des marchandises qui sont encore loin d'être périmées. Mais suite à leur stockage, elles finissent par devenir. Les dépenses que nous avons faites en les achetant nous obligent à les liquider, quitte à appliquer le prix de revient.”

Les produits près d'être périmés, écoulés avec des remises considérables, intéressent les importateurs. Mais vu l'éloignement de la Grande île par rapport aux pays exportateurs, le délai d'acheminement joue à leur détriment.

Madagascar, en tant que membre de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), est régi par des conventions internationales, dont le principe est le libre échange. “Pour éviter ce phénomène, nous ne pouvons pas empêcher les opérateurs économiques d’importer des produits qui sont encore sains. De plus, l'importation n'est soumise à aucune autorisation”, explique Jean Claude Razafindralambo, directeur du commerce intérieur. 

Certificat de consommabilité
Le contrôle de la qualité des denrées alimentaires est assuré par l'unité de contrôle de qualité des denrées alimentaires (UCQDR), service sous tutelle du ministère de la Santé et du planning familial. Pour y arriver, elle travaille en étroite collaboration avec des laboratoires reconnus par l'Etat tels que le Centre national de recherche sur l'environnement (CNRE), l'Institut national des sciences et techniques nucléaires (INSTN). Un prélèvement d’échantillons sur les marchandises est nécessaire afin que l’UCQDR puisse, après les avoir analysés, délivrer le certificat.
“Malgré la disposition des textes juridiques qui prévoit le caractère obligatoire de l’analyse, toutes les marchandises ne passent pas systématiquement chez nous. Et en plus, les importateurs nous emmènent directement les produits. Comment savoir si ces échantillons correspondent bien aux articles qui font l’objet d’importation ?” précise Dr Clara Rajemiarimoelisoa, directeur de l’UCQDR. 
“Nous suggérons que l’analyse soit effectuée avant le débarquement même des produits,et non pas lorsqu'ils sont déjà sous douane”, ajoute-t-elle. 

Le ministère de l'Industrialisation, du commerce et du développement du secteur privé, quant à lui, octroie le certificat de mise en vente après avoir reçu tous les documents exigés, y compris le certificat de consommabilité.
Les lacunes du cadre juridique
En fait, le problème ne se pose pas au niveau de la qualité des marchandises importées, mais plutôt au niveau de la date de péremption. Consultée sur la question, aucune entité n’est a priori en mesure de régler les problèmes. Seuls les commissaires de commerce qui effectuent des descentes sur terrain et vérifient les dates de péremption, peuvent agir. Selon le directeur du commerce interne, “les commissaires du commerce n’arrivent pas à poursuivre ces marchands de façon régulière, faute de moyens humains, matériels et financiers. En plus, en tant que marchands informels et à la sauvette, ils se déplacent d’un lieu à un autre”.
De son côté, Mamisoa Ranaivoniriana, directeur provincial de l’industrialisation, du commerce et du développement du secteur privé, confirme : “Ma direction est actuellement en pleine action pour combattre ce phénomène”. 
Les lacunes du cadre juridique sont l’une des raisons évoquées par les responsables. Ni la loi relative à la concurrence ni celle sur la protection des consommateurs ne sont encore mises à jour. Celles de la période coloniale continuent toujours de s’appliquer. 
Malgré les actions menées par chaque direction, le problème persiste, voire se développe. Cela les oblige à s'investir davantage encore. Les citoyens sont quant à eux invités à prendre le maximum de précautions.:
Olivia Velonjanahary 


La Gazette  17/06/2005

Spéculation sur le MID:863 milliards Fmg en deux jours
Nouveau record historique sur le MID (marché interbancaire de devises). Cette fois-ci, ce n’est pas le franc malgache qui a atteint des taux bas jamais imaginés (comme l’année dernière où la descente aux enfers avait franchi le cap des 16 000 Fmg pour un euro) qui focalise l’attention, c’est plutôt au niveau du volume des transactions, c’est-à-dire le total des achats et ventes réalisés quotidiennement sur le marché. 
Mercredi, le volume des devises échangées sur le marché avait atteint 19,3 millions d’euros et 2,3 millions de dollars. Rappelons que depuis l’installation du MID en continu, en juillet 2004 (c’est-à-dire un marché électronique et non plus un marché à la criée comme pour les enchères sur n’importe quel produit), les opérateurs pouvaient échanger aussi bien le dollar que l’euro. En 1994,avec la mise en flottement du franc malgache à travers la création du MID, le franc français était la devise pivot, autrement la devise de référence par rapport à laquelle la parité de la monnaie malgache était fixée suivant les achats et les ventes de devises sur le marché. En 2001, avec l’introduction de la monnaie européenne, la devise pivot était devenue l’euro. Et depuis juillet 2004, avec l’installation du marché électronique, Madagascar a adopté une double cotation par rapport à l’euro et au dollar. 
Mercredi dernier donc, le total des achats et ventes de devises sur le MID a atteint globalement 25,34 millions de dollars. Jamais, au grand jamais, on n’avait pourtant enregistré pareil volume depuis la création du MID, il y a 11 ans de cela. Les tentatives d’explications recueillies ici et là, hier, soulignent que ces opérations d’achats et de ventes font suite à l’achat massif de devises par les compagnies pétrolières dans le cadre des opérations normales d’importation de carburants pour le pays. 
En fin d’après-midi pourtant, le MID affiche de nouveaux records : le volume des transactions a atteint (tenez-vous bien !) 22,4 millions en euros et 33,01 millions en dollars. Afin de faciliter la compréhension, le montant des devises échangées sur le MID a donc atteint, hier, 622 milliards de francs malgaches. Et si l’on ajoute celui de mercredi, le total s’élève à 863 milliards en deux jours. Ces chiffres sont tels que le volume quotidien des échanges s’approche à celui relevé mensuellement. Durant tout le mois de mai, par exemple les transactions se chiffraient à 39 millions d’euros et 57 millions de dollars. Autrement dit, les transactions en devises sur le MID durant ces deux derniers jours représentent 80 % de celles réalisées durant tout le mois de mai qui est pourtant supposé être le top de l’année. 
Dans la vie quotidienne, ces chiffres ne représentent rien pour la population. Du moins pour le moment, car les conséquences peuvent être très graves à court terme, sans des explications et des mesures nécessaires et convaincantes de la part des autorités concernées. Ce dont on doute malheureusement. 
On remarque, en effet, que la multiplication du volume des transactions coïncide avec une baisse du taux de change. Mercredi à l’occasion des échanges de 19 millions d’euros, la devise européenne était à moins de 12 500 Fmg contre 12 800 Fmg la veille. Hier pour les 33 millions de dollars, le billet vert est subitement descendu à 10 350 Fmg contre 10 850 la veille. La loi de l’offre et de la demande étant, la hausse de la parité de la monnaie malgache ne peut pourtant s’expliquer que par un afflux de devises en provenance de l’étranger et/ou par une augmentation des exportations du pays. Ce qui est tout le contraire de la réalité. 
D’un côté, les décaissements de la Banque mondiale, de la Banque africaine de développement, de l’Union européenne et d’autres bailleurs de fonds multi et bilatéraux se font au compte-goutte, suivant l’avancement des projets financés. Même les 115 millions de dollars gracieusement octroyés par les Etats-Unis au titre du MCA ne sont débloqués que par tranches en dépit du soutien de Bush à Ravalomanana. Par ailleurs, la thèse d’un accroissement d’un afflux des devises grâce aux investissements étrangers ne peut tenir debout car chacun sait pertinemment que pour 100 dollars investis chez nous, la majeure partie sinon la quasi-totalité est déjà dépensée à l’étranger (donc en devises) en machines et outils (et à la limite en études). 
De l’autre, les exportations du pays sont dans une position inconfortable avec la dégringolade des prix de la vanille sur le marché internationale et les effets négatifs sur notre zone franche du démantèlement de l’accord multifibres (contrairement aux perceptions des autorités malgaches traduites dans la loi de Finances et confortées par le président lui-même). 
Bref, le mystère reste entier sur ce nouveau « miracle ». Car à l’allure où vont les choses, il faut s’attendre à une nouvelle et grave dépréciation du franc malgache. Ou de l’ariary, si on le veut. 
Ni plus ni moins, la conclusion des remarques émises ci-haut serait, en effet, que le pays est en train de faire d’importants payements à l’étranger. S’agit-il de la facture de riz gouvernemental qui d’après les chiffres officiels de 100 000 tonnes à 270 dollars se chiffrent à 27 millions de dollars (on n’inclut pas encore les riz pakistanais « saisis » dans le cadre de la même opération) ? Le paiement de l’importation des vaches laitières y serait-il pour quelquze chose ? Idem pour la location des hélicoptères de Saphir Executive Air. 
Au-delà de ces questions qui sont fondamentales pour la gestion publique, le problème se situe au niveau de la transparence du marché. Comment démentir que délits d’initiés et favoritisme n’existent plus dans le pays quand curieusement certaines importations jouissent de taux cléments ? 

Sa


Sobika.com  17/06/2005

18 Juin: Soirée, 21 Juin Fête de la musique: Cachan renait !
Cachan, la ville malgache de France a décidé de bouger cette année ! Une initiative à mettre au compte du Foyer malgache de Cachan qui enfin assume son rôle social et culturel ! Tout d'abord une soirée spéciale fin d'année universitaire aura lieu ce samedi 18 Juin au sein même du foyer ! Depuis le temps qu'on attendait cela car les soirées sont l'un des ciments de la communauté mine de rien ! Gasy Music et des artistes seront là pour l'ambiance ! Sur sa lancée, le foyer organise un concert gratuit pour la fête de la muisque à la mairie de Cachan à 19H30 avec la participation du groupe Mbolatiana, Kalo, Solo Razaf' et Fenoamby ! Cachan redeviendrait elle la terre promise des malgaches de france ! En tous cas, venez nombreux !

COMMUNIQUE AMBASSADE DE MADAGASCAR PARIS
FETE NATIONALE DE MADAGASCAR Le 26 juin 2005
Son Excellence Monsieur l'Ambassadeur de Madagascar en France, et Madame Jean-Pierre RAZAFY-ANDRIAMIHAINGO, et Son Excellence Madame Yvette RABETAFIKA RANJEVA, Ambassadeur, Représentant Permanent de Madagascar auprès de l'UNESCO, ont l'honneur d'inviter les ressortissants malgaches en France à la réception qui aura lieu à la Résidence de Madagascar 1, boulevard Suchet - 75016, le 26 juin 2005 de 18 heures à 20 heures . Les cartons d'invitation (individuelles et nominatives, limitées à deux cartes par famille) sont à retirer, sur présentation d'une pièce d'identité, auprès de l'Ambassade, 4, rue Raphaël - 75016, du 16 juin 2005 au 22 juin 2005, entre 14h00 et 16h30 et ce, dans la limite des places disponibles. Les enfants de moins de 15 ans ne sont pas admis.


Express Mada  17/06/2005

CRISE LATENTE AU SEIN DE L'ARMEE - REUNIONS SECRETES D'OFFICIERS GENERAUX
Le défilé militaire du 26 juin risque d’être bâclé. Du mouvement chez les Forces armées. Des signes de tension latente sont perceptibles au sein de ce corps ces derniers temps. L'addition de plusieurs choses conduit une cinquantaine d'officiers généraux à monter en première ligne pour “réfléchir sur les conditions de travail du corps”. A l'approche de la célébration de l'Indépendance et du 45e anniversaire des forces armées, ces dernières semblent ne pas être à la fête.

Plusieurs griefs figureraient sur les tablettes de ces officiers. Leurs désidératas se rapportent aux “conditions de travail de la Grande Muette”. Les questions relatives au salaire des militaires et des gendarmes figurent en tête de liste. Malgré l'intervention de Benjamin Andriamparany Radavidson, ministre de l'Economie, des finances et du budget, la question n'est pas tout à fait réglée. Le retard, inhabituel, de la paie confirme le problème. D'habitude, militaires et gendarmes perçoivent leur salaire autour du 18 du mois en cours. En mai, certains d'entre eux n'ont vu leur fiche de paie que le 28 du mois. 
Certains militaires et gendarmes jugent également “exagérées, eu égard à la loi qui régit les forces armées», les missions qu'on leur assigne. Ces éléments de la Grande Muette évoquent même le “déshonneur” du corps à cause des tâches qu'ils accomplissent. “L'escorte des vaches laitières, la présence des éléments des forces armées aux premières lignes des foyers de tension, une situation 

qui ne devrait se produire qu'après échec des autres entités”, sont autant de situations qui font déborder le vase. Outre les réunions secrètes des officiers généraux, des signes de la tension latente au sein des forces armées confirment le malaise. La propagation de tracts dans les casernes en est une illustration parfaite. Il en est également de la préparation “bâclée” des défilés militaires du 26 juin. D'habitude, chaque camp procède aux répétitions un mois à l' avance. A une semaine du rendez-vous, certains camps militaires n'ont pas encore débuté les leurs, “faute de moyens”, invoque-t-on. 
Promesse présidentielle
Pour l'instant, l'on ne connaît pas encore l'ampleur du mouvement. Il en est de même de l'aboutissement du conclave de certains officiers généraux. De là à trouver un lien entre le mouvement et les “intentions de déstabilisations avant le 26 juin”, il n'y a qu'un pas à franchir. L'on chuchote seulement que la réunion “se borne à trouver des solutions à l'intérieur des casernes, rien de plus”. Du côté des autorités, c'est encore le calme plat, du moins en apparence. Interrogés sur le mouvement, des responsables assurent “ne pas être au courant d'une telle réunion”. 
Avec ces rencontres secrètes, la grogne qui monte au sein des forces armées n'est pas le premier du genre, du moins cette année. Des mouvements de grève couvaient déjà dans les casernes en avril, mais ils étaient vite calmés par le gouvernement. Des militaires et des gendarmes ne décolèrent pas après avoir réalisé la baisse de leur solde de fin de mois à cause de “l'imposition” sur certaines indemnités. 
Ces mouvements à répétition au sein de Grande Muette démentent la “confiance” affichée en début d'année entre les forces armées et son chef suprême, le président Marc Ravalomanana. Le chef de l'Etat promet la “réforme conduisant à la professionnalisation de la Grande Muette cette année”. Parmi les projets évoqués, certains concernent, entre autres, la “dotation des moyens et la revalorisation des traitements des militaires et des gendarmes”. En tout cas, l'existence d'un tel mouvement pourrait jeter une ombre sur la célébration du 45e anniversaire du corps.:
Iloniaina A. 


allAfrica.com   17/06/2005

Nationalité : 700 apatrides à Madagascar veulent être français !
Vivant à Madagascar depuis près de 40 ans, ils n'ont pas pu faire enregistrer officiellement ni leur nationalité française ni la malgache. 
Une association des oubliés de la décolonisation s'est créée la semaine dernière à la Réunion. Et ce, afin d'aider près de 700 personnes qui, depuis 40 ans, vivent sans nationalité à Madagascar. Nées lorsque la Grande Ile était sous la souveraineté de la France, mais n'ayant pas fait enregistrer officiellement leur nationalité française au moment de l'indépendance, elles sont depuis apatrides.
Cette association veut alerter l'opinion sur ce que ses membres qualifient de « drame humain » qui repose sur une situation juridique complexe et ainsi, entamer des démarches à la fois diplomatiques, politiques et éventuellement judiciaires pour régler cette situation. Créée à l'initiative de personnes d'origine malgache vivant à la Réunion, l'association des oubliés de la décolonisation souhaite mettre fin à une situation inhumaine qui dure depuis plus de 40 ans. C'est l'explication de sa présidente, Nazine Fazal.
Droit sanguin
Cette dernière d'affirmer également que c'était un devoir moral pour la France de reconnaître le droit de ces personnes à la citoyenneté française. En effet, au moment de la décolonisation en 1960, les personnes ont disposé d'un délai de 6 mois pour faire le choix de garder ou non la citoyenneté française à laquelle ils avaient droit. Le problème est que cette information n'est pas bien passée, notamment dans les villages reculés, et beaucoup n'ont pas fait la démarche nécessaire, selon l'explication de Me Saïd Larifou, qui aide l'association dans ses démarches. Des centaines de personnes, d'origine indienne, chinoise ou grecque, se sont donc retrouvées apatrides, ne pouvant obtenir ni la nationalité française, ni la malgache puisque le droit national ne reconnaît que le droit du sang, c'est-à-dire avoir au moins un parent malgache.
Président Chirac
« Les priver de nationalité, c'est les priver d'identité tout comme leurs descendants », devait ajouter Nazine Fazal. « Ils sont particulièrement vulnérables et s'inquiètent d'être désignés comme boucs émissaires par le président malgache qui, mercredi dernier, a accusé la communauté karana (ndlr : personnes d'origine indienne souvent de nationalité française ou apatrides) d'être des perturbateurs qui veulent déstabiliser le régime ». Outre une information de l'opinion française voire internationale, l'association va entamer des démarches diplomatiques, politiques pour que ces apatrides puissent obtenir la nationalité française et espère qu'une délégation pourra rencontrer le président Chirac lors de son voyage à Madagascar, prévu pour le mois prochain. Le déblocage de la situation est avant tout politique, mais s'il le faut, les membres de l'association sont prêts à porter l'affaire devant le tribunal de Paris. C'est une information publiée hier dans les colonnes du Journal de l'Ile de la Réunion.
Nirina R.    -     Midi Madagasikara (Antananarivo)


Les Nouvelles 18/06/2005
L’ancien locataire reprend possession de « Le Rubis » : « Le Rubis » restitué à la SOGECT 
L’affaire de l’ex-hôtel « Le Rubis » d’Ambanidia a vu, hier, un nouveau rebondissement. L’ancien locataire, la société SOGECT, a vu son arrêt d’expulsion cassé par la Cour suprême qui a également ordonné en même temps, la restitution des lieux à la société SOGECT.
Aux alentours de 10h30, l’huissier Ratovoson, escorté par plusieurs éléments des forces de l’ordre, s’est présenté pour faire exécuter la décision de la Cour suprême n°148 du 3 juin 2004, dont la grosse a été publiée et notifiée officiellement à qui de droit, le 23 mai dernier. 
Visiblement pris au dépourvu, l’occupant actuel des lieux n’a pu que s’exécuter et suivre le déroulement des opérations. Opérations qui ont débuté par une notification verbale de l’huissier, et par la remise d’une copie de ladite décision à l’intéressé. Puis, l’on a procédé aux premiers déménagements, sauf qu’il s’agit de quelques meubles appartenant à l’ancien locataire qui y ont été réinstallés. 
Après l’arrêt de la Cour suprême, la restitution n’a pu être menée à son terme, dans la mesure où le nouveau et actuel locataire de l’établissement n’a pas évacué la place, d’autant plus qu’il n’y avait aucune décision à cet effet qui lui a été présentée. La présence des forces de l’ordre l’aura cependant fait plus ou moins fléchir, et il s’est contenté d’observer ce qui allait se passer.
Me Ratovoson explique qu’il a mission de faire exécuter une décision de justice. Une exécution qui l’autorise à avoir recours à tout moyen dont notamment l’assistance des forces de l’ordre pour veiller au maintien de l’ordre public.
En attendant de savoir la suite des événements, le moins qu’on puisse dire est que cette affaire est pendante devant les tribunaux depuis 1999. Trois procès au moins se sont tenus, respectivement en Première instance qui a été favorable à la société SOGECT, puis en Appel qui a donné gain de cause à la dame Rasoavololona, propriétaire du terrain où est implanté le bâtiment, et enfin en Cassation qui vient donc de rétablir l’ancien locataire dans ses droits. Notons que le bâtiment en question et qui abritait l’ex-hôtel «Le Rubis», avait été construit et aménagé à l’époque par la société SOGECT.
Miadana Andriamaro


MaTV 18/06/2005
EDITORIAL : FRAGILE COHESION
Les 3 N sont en réunion ce week-end pour essayer de désigner les (ou la) personnes chargées de présider le Comité National de Suivi et d’Orientation (Cnos) des résolutions prises lors de la fameuse conférence nationale organisée au début mois de Juin à Andoharanofotsy.
Les divergences de vue étaient d’abord de fond. Le Rfn voulait dégager de cette conférence nationale un canevas d’idées consensuelles pour des actions futures. D’autres entités voulaient en découdre avec le régime actuel, et le mot « gouvernement de transition » a été vite lâché. Les 3N sont tiraillés entre les légalistes qui veulent s’en tenir au processus démocratique d’alternance douce et d’autres, plus impétueux, qui désirent rééditer le scénario de 1991.
Autre pomme de discorde : comment définir les règles et le mode de désignation des hommes politiques à la tête du Cnos ? Andriamanjato Richard manœuvre en faveur de son fils Ny Hasina Andriamanjato. L’Arema ne jure que par Pierrot Rajaonarivelo, en exil en France. D’autres groupes de l’opposition aimeraient voir en bonne position le bouillant Voninahitsy Jean Eugène, et une aile de l’opposition est favorable à Alain Ramaroson qui s’est sacrifié à la cause en accueillant dans sa propriété les 10.000 participants à la conférence nationale. Lui non plus ne veut pas être la 5e roue du carrosse. N’oublions pas le Pr Albert Zafy qui rêve de revenir au pouvoir.
Pour le moment, c’est l’intransigeance du camp d’en face - le discours du chef de l’état, intraitable quant à l’opposition - qui cimente la solidarité des opposants. Selon les observateurs, si Ravalomanana entrouvre légèrement la porte en accordant quelques avantages politiques et autres, le camp de l’opposition, trop hétérogène, risque de voler en éclats… D’autant plus qu’il commence à manquer d’argent frais pour financer ses actions politiques. La réunion de ce week-end, toujours à Andoharanofotsy, sera déterminante. Les chefs politiques des 3N sont conscients de la fragilité de leur cohésion. « Cette solidarité sera affirmée au fil des jours, car nous ferons tout pour aplanir les divergences », a-t-on assuré du côté du Rfn à qui on prêtait l’intention de quitter le bateau. 

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