Madavôvô 2005  

L'Année 2004 c'est l'année des Ouvertures..  ;   Joyeuses Fêtes de Noel à tous...

voir
Angraecum Sesquipedale ou Etoile de Madagascar et aussi connu sous le nom de -étoile de Noël- ou -étoile d_orchid de Bethlehem-
L_Angraecum sesquipedale aux trois fleurs blanches est célèbre pour son éperon de 35 cm où vient butiner un papillon nommé Xanthopan morgani doté d_une longue trompe qu_il ne déroule qu_à proximité de cette orchidée...

21 avril 2005

25 avril 2005

30 avril 2005

Katita champion

08 mai 2005

14 mai 2005

26 mai 2005

cliquez...

29 mai 2005

04 juin 2005

demarrage economique...

10  juin 2005

Ampy Portos...

Et encore...

Les observateurs etrangers ...

Et encore...

Cliquez... Les Archives ...

Archives 2002 - 2005

Le dernier MadaVôvô

La Page Sommaire MadaVôvô

Cliquez... Les Archives ...

Pubs &  bas de la page

 

Raharaha Zaraniaina.... ;  Cacao de Mada... ;  Rassembleurs et Dynamiques... ;  Savoir vivre sur le web...  ;  200 Milliards pour le secteur public... ;  Air mad renforce sa flotte... ;

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Sommaire Madavôvô: 10 juin 2005

BigNews. - la vie sauvage à Mada par Dreamworks  ... (ecranlarge.com)

1. "Madagascar" a eu raison de "Star Wars"  (TF1)

2. Salon de l’art culinaire : Du 9 au 11 septembre à Mahamasina ( Tribune)

3. Madagascar félicité par le Fonds monétaire international  (Nosintsika)

4. J. Sylla durcit le ton - Des arrestations dans l'air (Express)         

5. Trafic de tortue:Le colonel Velonjara nie tout !  (La Gazette)

6. No Comment.... No Comment...

7. Guvernement insurrectionnel : Albert Zafy, premier ministre pour la seconde fois   (AllAfrica)

8. le PM prévient contre toute action de déstabilisation (Midi)

9. Déstabilisation et transfert d’argent - Ravalomanana met en garde des “Karana” (Express)

10. CN : une structure de transition avant le 26 juin(AllAfrica)

11. Jonah Randriambololona:L’ancien DG des impôts en prison ! (La Gazette)

12. 92 personnes arrêtées pour corruption  (Jeune Afrique)

13. Déclaration du patrimoine  : «Je ne ferais pas» dixit M. Ravalomanana (Tribune)

09/06/2005

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary
EURO(cmp) 12.367 FMG 
USD 10.054 FMG 
GBP 18.287 FMG 
CHF 8.053 FMG 
JPY 93,9 FMG 
ZAR 1.486,9 FMG 
HKD 1.291,95 FMG 

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Derniers Messages de nos Petites Annonces         + Savoir plus >>          Les Contacts  >>

1)je recherche désespérément une tortue herman à bas prix en loire atlantique merci    contact : Sandrine

2)-vend tortues de terre si vous voulez plus de renseignement contactez moi au 06.65.52.59.79 je suis sur la region de nantes    contact : Pennec

3)-En Famille ou entre ami(e)s - CABARET SPECIAL NOSTALGIE  Année 60 70 90 - Animé par Mahery , Nini , Mbola et Gégé - Villà Fenohasina Simpa Andranonahoatra Itaosy - 17 JUIN 2005 - A partir de 20h30 -  Renseignements et réservations au 032 02 673 29 - Parking gardé - Salade aux fromages et poulet roti offerts -  Points de vente de billets : SUPER MUSIC Analakely -     contact : Fety Be

4)-je cherche une tortue femelle de 3 à 7 ans. Merci de me contacter. marseille    contact : jo

5)- Je cherche urgent un petit studio pour ma fille qui va débarquer à Paris à la prochaine entrée universitaire. SVP est ce que vous pouvez nous aider à trouver . Est ce qu'il n'y a pas un appartement en co location pour les jeunes qui débarquent? contact : alain

6)Je vends des gousses de vanille noire arrivees en france , dédouanees.Livraison possible    contact : christobal

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Big News... la vie sauvage à Mada par Dreamworks  ... (ecranlarge.com)

Après les succès de Shrek 1&2 puis de Gang de requins, les studios Dreamworks Animation persistent et signent dans la 3D avec cette fois un quatuor d’animaux échappés d’un zoo : un zèbre, un hippopotame, un lion et une girafe qui vont découvrir la vie sauvage sur l’île de Madagascar. De nouvelles images du film viennent de faire leur apparition en attendant la sortie en salles, prévue en France pour le 22 juin 2005. - Stéphane Argentin - 


 *** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


TF1 09/06/2005

"Madagascar" a eu raison de "Star Wars" 

Après deux semaines de règne, le troisième épisode de la trilogie de George Lucas cède la première place du box office américain. Le film d'animation "Madagascar" en profite pour prendre les commandes.

Le nouveau film d'animation "Madagascar" a pris la tête du box-office nord-américain ce week-end, reléguant à la 3e place le dernier épisode de la Guerre des Etoiles, "La revanche des Sith". "Madagascar", produit par la société américaine "DreamWorks", a récolté environ 28,7 millions de dollars ce week-end, atteignant au total 101 millions de dollars de recettes depuis sa sortie la semaine dernière où il était arrivé en deuxième position. Le film raconte les péripéties délirantes d'un lion, d'une girafe et d'un hippopotame échappés de leur zoo en compagnie de pingouins psychotiques.
"The Longest Yard", réédition d'une comédie des années 1970 sur le football américain dans l'univers carcéral, prend la deuxième place avec environ 26,1 millions de dollars. "La revanche des Sith", en tête du box-office pendant deux semaines, a engrangé 26 millions de dollars, soit au total 308,8 millions de dollars depuis sa sortie aux Etats-Unis. Deux nouveaux films se placent en quatrième et cinquième positions : "De l'ombre à la lumière" qui relate la vie d'un boxeur pendant la Grande 

  dépression, avec Russell Crowe et Renée Zellweger (18,6 millions), suivi de "The Sisterhood of the Traveling Pants" (10,2 millions). "Les seigneurs de Dogtown" arrive à la sixième place (5,7 millions), suivi de "Sa mère ou moi" avec Jane Fonda et Jennifer Lopez (5,3 millions). Le film dramatique "Crash" occupe la huitième place (3,3 millions). Arrivent ensuite la comédie "Kicking and Screaming" (2,1 millions) et "Danny the Dog" avec Jet Li (889.576 dollars).


tribune 09/06/05
Salon de l’art culinaire : Du 9 au 11 septembre à Mahamasina 

Les salons se suivent mais ne se ressemblent pas. SACAF ou Salon de l’art culinaire et de l’agriculture en fête, telle est la dénomination de la manifestation qui sera organisée au palais des sports à Mahamasina du 9 au 11 septembre. L’initiative revient à l’ASHORT (Association des hôteliers et restaurateurs d’Antananarivo) et le Tranoben’ny Tantsaha ( Chambre d’agriculture) dans la Région d’Analamanga avec l’appui technique du Media Consulting. 
Le Comité d’organisation a tenu hier au Karibotel une conférence de presse pour présenter ce projet. 
Le SACAF, de quoi s’agit-il ? Louis Raveloarijaona, président de l’ASHORT répond à la question. “ C’est une nouvelle manifestation jamais organisée ailleurs, à Antananarivo en particulier. Elle mettra en valeur les produits agricoles, principales matières premières utilisées pour la 

gastronomie, le savoir-faire des professionnels des arts culinaires. 

En fait, c’est une exposition sur les produits agricoles, et les intrants, les produits de l’élevage, les produits halieutiques. Les ustensiles de cuisines et autres matériels nécessaires pour la transformation de ces produits. Il y aura également au cours de ces 3 journées une démonstration gastronomique, une présentation des plats typiquement malagasy, des plats européens, asiatiques, … “.
Le SACAF, c’est aussi une manifestation à caractère économico-touristique, une manifestation visant à promouvoir le tourisme, les sites touristico-agricoles. La qualité du menu, la gastronomie malagasy sont aussi entre autres des éléments qui favorisent ce secteur.
Rachelle Rakotoarivelo, vice-présidente de l’ASHORT en est bien convaincue quand elle a été interrogée par un journaliste.
Le Salon se sert également un espace de rencontre entre les agriculteurs, les éleveurs, les transformateurs de produits agricoles, de l’élevage et halieutique, les fournisseurs des équipements et service du secteur agricole, les prestataires de service dont les banques et les instituions financières mutualistes, les compagnies d’assurances, les opérateurs économiques oeuvrant dans le secteur primaire (agriculture, élevage, pêche). 200 stands seront prévus à cette première édition du SACAF. 


Nosintsika  08/06/2005

Madagascar félicité par le Fonds monétaire international  - AFP
La directrice générale adjointe du Fonds monétaire international (FMI), en visite à Madagascar, a félicité le président de la République malgache pour les "bonnes performances économiques" de son pays, a-t-on appris mardi soir de source officielle à Antananarivo. 
"Des progrès importants ont été accomplis à Madagascar au cours de ces dernières années. J'ai félicité le président Marc Ravalomanana pour avoir su mener à bien le programme économique appuyé par le Dispositif pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance (FRPC) du FMI", a déclaré Anne O. Krueger au cours d'une conférence de presse, à l'issue d'une visite de 24 heures à Madagascar. 
Dans le cadre du FRPC, accord qui a pris fin le 1er mars dernier, Madagascar a obtenu l'éligibilité à l'Initiative renforcée en faveur des pays pauvres très endettés (IPPTE). Il a alors bénéficié d'un important allègement de la dette, d'une valeur actualisée de 836 millions de dollars, de la part de l'ensemble de ses créanciers. 
"Madagascar a enregistré une croissance annuelle du produit intérieur brut (PIB) de plus de 5% depuis 2003", a noté Mme Krueger. "Mais un environnement macroéconomique stable, accompagné d'une faible inflation, constitue une condition préalable essentielle pour atteindre des taux de croissance plus élevés dont Madagascar a besoin", a-t-elle ajouté. 
En 2004, l'inflation a atteint 13,8% à Madagascar. En glissement de février 2004 à février 2005, elle atteignait 30,3%. 
Selon la mise à jour du document stratégique pour la réduction de la pauvreté (DSRP), effectuée début juin, le taux de pauvreté a augmenté entre 2003 à 2004, passant de 73,6% à 74,1% de la population. En 2002, ce taux avait culminé à 80,7%, en raison de la crise politico-militaire qui avait secoué le pays pendant le premier semestre. 
Un nouvel accord FRCP doit être discuté d'ici la fin de 2005 entre le FMI et Madagascar. 


Express Mada  10/06/2005

JACQUES SYLLA DURCIT LE TON - DES ARRESTATIONS DANS L'AIR
Le gouvernement durcit le ton, mais entretient le flou. L'équipe dirigée par le premier ministre Jacques Sylla déclare “ne plus tolérer aucun débordement” face aux “exigences” de l'opposition. Hésitation ou raison de sécurité, les mesures annoncées par le locataire de Mahazoarivo laissent pourtant accroire à un gouvernement encore au stade de l'intention.
“Nous procéderons à des arrestations du moment qu'il y aura volonté de déstabilisation. La tolérance n'est plus de mise”, prévient le premier ministre Jacques Sylla à l'issue de la réunion des responsables au sein de l'Organisation de conception mixte nationale (OMC/Nat).
Jusque là, il n'y a rien d'illogique dans la démarche entreprise par le gouvernement. Le président Marc Ravalomanana ne cache pas sa fermeté face aux “exigences” de l'opposition. Le chef de l'Etat martèle qu'il “ne cède pas aux revendications ni à la menace de l'opposition”. Cette dernière réclame, entre autres, la mise en place d'un régime de transition avant le 26 juin, du moins “dans un bref délai”. 
La réunion de la structure interministérielle pour la sécurité d'hier doit donc matérialiser la position adoptée par le chef de l'Etat. Après l'annonce présidentielle, le gouvernement a la capacité de tracer les contours des mesures à prendre contre les “menaces de déstabilisation”. Mais il semble abonder, pour l'instant, dans le sens du statu-quo. 
Le chef du gouvernement reste évasif sur l'énoncé et sur la concrétisation des mesures annoncées. “Nous procédons à l'arrestation en cas d'infractions”, affirme le premier ministre. “En tant que responsables, nous tenons compte de la situation et de la loi en cas de provocation”, nuance-t-il après, sans pour autant préciser les limites à ne pas franchi
r. 


La Gazette  09/06/2005

Trafic de tortue:Le colonel Velonjara nie tout !
L’affaire du trafic d’artane, de cannabis, et de tortue, qui ont été découvertes dans un avion militaire, le 2 février dernier à La Réunion, a été jugée hier devant le tribunal d’Anosy. 
D’emblée, le colonel Velonjara, celui qu’on accuse d’en être le commanditaire, a nié en bloc toutes les accusations portées à son encontre. Il se dit même être victime d’une dénonciation calomnieuse. D’ailleurs, aucune preuve n’a été trouvée et même la perquisition, qui a été effectuée à son domicile, n’a rien donné. Son avocat, Me Solomon Andriamahafaly, dans sa plaidoirie, a parlé de vice de procédure en ayant évoqué un abus d’autorité. Son client avait en effet été soumis à un ordre d’extraction et a été enquêté par des militaires sur ordre du chef d’Etat-Major, alors que l’affaire est du ressort du tribunal de droit commun. Cet avocat du colonel Velonjara a alors demandé à ce qu’on ne procède plus à un débat de fonds dans cette affaire. Il a ainsi sollicité un non-lieu. Quant à Mamisoa Rakotobe, accusé lui-aussi d’être l’instigateur de ce trafic, il se remet à la hiérarchie militaire en avançant que ceux qui ont été appréhendés, pour trafic à La Réunion, sont des plus gradés que lui et que, par conséquent, il ne pouvait pas se permettre de leur donner des ordres.Par ailleurs et pour les autres incriminés, le tribunal n’a pas retenu l’argument de défense, comme quoi le « rongony » saisi a servi à guérir la fièvre jaune. A noter que 12 militaires sont impliqués dans cette affaire. Mais, au moment où le verdict devait être prononcé hier dans la nuit, la juge a annoncé qu’elle avait oublié chez elle les textes afférents à cette affaire et que le jugement ne pourra donc être prononcé que ce jour. 
Recueillis par Tiana Rajaona


NO COMMENT        NO COMMENT       NO COMMENT      NO COMMENT

Les Sites Partenaires                                   ... News des Provinces

Cliquez sur TetezamitaKelycliquez...

  "Les 'Grands' parlent d'idée

  les 'médiocres' parlent d'évènements

  les 'misérables' parlent contre les personnes..."


AllAfrica.com  08/06/2005
Guvernement insurrectionnel : Albert Zafy, premier ministre pour la seconde fois ?
Midi Madagasikara (Antananarivo)- Val A.
Le forcing des 3 « N », l'ultimatum contre le régime nous rappellent des méthodes déjà connues.
Les pronostics des dirigeants actuels se sont donc confirmés. Les 3 « N » voudraient « une répartition de sièges » en réclamant la mise en place d'un gouvernement de transition lequel se muera plus vite en un gouvernement insurrectionnel car rejeté par le pouvoir en place, s'il venait à s'installer. Leurs pronostics se sont également avérés justes dans la mesure où l'objectif des 3 « N » serait de renverser le régime pour mettre à la place un autre pouvoir.
Ce style, les initiateurs de la conférence « nationale » d'Andoharanofotsy le connaissent bien. C'est l'histoire qui l'enseigne. Ils étaient presque tous derrière le mouvement de 1991. Ils étaient presque tous là quand le nom d'Albert Zafy et celui du Gal Jean Rakotoharison dit « Voaibe » ont été présentés, sur la Place du 13 mai, comme étant respectivement « Premier ministre » et « président de la République ». Un pouvoir insurrectionnel composé de ministres dont la plupart sont encore là, bien présents à la réunion sur le gazon du terrain Ramaroson à Andoharanofotsy. L'ancien président Albert Zafy est toujours là, au point de se demander s'il voudrait encore redevenir Premier ministre insurrectionnel pour la seconde fois, après avoir été à la tête de la Haute Autorité de l'Etat, président de la République légal, et député de Madagascar, élu à Antsiranana. Le Pasteur Andriamanjato, lui, n'a pas participé au gouvernement de la place du 13 mai, attendant sagement « son tour », en devenant par la suite, durant la transition, co-président du CRES, pour devenir ensuite président de l'Assemblée nationale quand tout était devenu légal et normal. En tout cas, même si les 3 « N » arrivent à mettre en place le gouvernement qu'ils réclament, ils ont une longue liste de « premiers ministrables », à leur image, tout à fait à leur honneur, dont les pasteurs Razafimahefa, Rafransoa et Andriamanjato, les parlementaires Voninahitsy, Faharo, Vaovao, Ramasy, et d'autres politiciens tels que Albert Zafy, Tabera Randriamanantsoa, Alain Ramaroson, Daniel Ramaromisa, etc. Les quelque 3000 participants à la réunion d'Andoharanofotsy ont l'embarras du choix.


Midi Mada  10/06/2005

JACQUES SYLLA. A l’approche de la fête nationale du 26 juin, le Premier ministre prévient contre toute action de déstabilisation. L’Etat sera ferme et sévère. Sans pitié envers les hors-la-loi !
Ceux qui ont l’intention d’enfreindre la loi sont maintenant prévenus. L’Etat sera sans pitié, et les fauteurs de troubles, qui qu’ils soient et quelles qu’en soient les raisons, seront de suite arrêtés et remis à la justice. C’est avec fermeté que le Premier ministre, Jacques Sylla, a fait cette déclaration hier, à Mahazoarivo. Et ce, suite à la réunion de l’organe mixte de conception sur la sécurité publique, pendant la fête nationale du 26 juin. 
Nirina R.

Si comme tous les ans, les mesures de sécurité sont renforcées à l’approche de la fête de l’indépendance, cette année, celles-ci auront cours dès maintenant et jusqu’à la fin du mois de juin. Aussi, les endroits à risque, tels que les prisons, les stations d’essence ou les stations de la JIRAMA, vont-ils être spécialement surveillés. Et les forces de l’ordre seront partout présentes. Et, en cas de provocation, des mesures seront également prises. Elles seront fonction des réalités.
Rappels
Ont été présents à cette réunion à Mahazoarivo, le chef du gouvernement, le ministre de la Défense Nationale, le Général Petera Behajaina, le ministre de la Justice, Lala Ratsiharovala, le ministre de l’Intérieur, le Général Soja, ainsi qu’un représentant du Secrétaire d’Etat chargé de la Sécurité Publique. En effet, est-il besoin de rappeler que lors des festivités de l’indépendance l’année dernière, des inconnus ont lancé trois grenades dans trois villes différentes du pays. Il s’agissait de Toliara, où un inconnu avait fait exploser une grenade au milieu de la foule rassemblée pour le feu d'artifice de la fête nationale, de Mahajanga où une grenade a elle aussi été lancée par un inconnu lors du défilé militaire, et de Fianarantsoa, où un autre projectile a été lancé contre la voiture d’un député. Et ces actes, que l’on a qualifiés à l’époque soit d’actes isolés soit de manœuvres de déstabilisation, ont fait plus d'une trentaine de blessés. D’autant qu’avant cela, le 15 juin 2004 exactement, un réserviste de l'armée avait lancé une grenade lors d'une manifestation.
« Mécontents »
Actuellement, les réactions des « mécontents » du pouvoir sont également à redouter, pour ne parler que de l’ultimatum du 4 juin des « 3N » sur le passage à une structure de transition et sur les modalités pour la concrétisation de cette résolution. Les étudiants majungais ont déjà lancé leur offensive, même si la présence de mercenaires non étudiants, provoquant des actes de vandalisme sur les lieux, a été montrée du doigt. Et nombre d’observateurs ont craint que la situation ne dégénère avec la levée de la franchise universitaire. Le Premier ministre a d’ailleurs voulu rassurer sur ce point. Le calme est revenu à Mahajanga, et les forces de l’ordre sont actuellement dans l’enceinte de l’université. 
Crime grave
En ce qui concerne le gouvernement de transition que le CRN, le RFN et la SPDUN veulent mettre en place, une question qui a été posée à Jacques Sylla par les journalistes, ce dernier de répondre que, pour lui, ce n’était encore qu’une rumeur. Car, personnellement, il n’a pas encore reçu de document en la matière. Mais en tout cas, le Premier ministre de souligner que vouloir mettre en place un tel gouvernement, si les preuves en sont établies, est un crime très grave qui sera sévèrement sanctionné. Quant au cas d’Olivier Péguy, ancien correspondant de RFI dans la Grande Ile, le chef de gouvernement de faire remarquer que Madagascar était un pays comme les autres et de ce fait, il peut prendre des décisions souveraines comme les autres sans avoir à les justifier. 


Express Mada  09/06/2005

Déstabilisation et transfert d’argent - Ravalomanana met en garde des “Karana”
C’est avant le conseil des ministres, hier à Ambohitsorohitra, que Marc Ravalomanana a fait quelques révélations pour le moins fracassantes. 
Coup de semonce pour “certains Karana”.Le président Marc Ravalomanana révèle leur participation dans le “financement d'actes de déstabilisation” à l'intérieur du pays. Au moment où la tension politique monte de jour en jour, le gouvernement organise sa riposte. 
Dans son intervention, en marge du conseil des ministres hier, le chef de l'Etat s'étale longuement sur le sujet afin de démontrer la véracité de ses allégations. Pour le président Marc Ravalomanana : “des opérateurs karana participent au transfert de fonds servant à la déstabilisation du pays”. 

Le Président de la République enfonce le clou en détaillant les “circuits empruntés par les fonds”. “Ceux-ci proviennent de quelques anciens dirigeants du pays. L'argent atterrit dans des comptes bancaires de certains opérateurs karana. Ces derniers se chargent ensuite de la distribution de l'argent une fois viré sur leurs comptes.”
Sur sa lancée, le locataire d'Ambohitsorohitra affirme avoir “identifié ces personnages”. “Ce sont des opérateurs karana de mèche avec le précédent régime. Des personnalités qui ont encore la nostalgie de cette époque révolue”, précise le chef l'Etat. 
La sommation du chef de l'Etat s'apparente à une dissuasion à l'endroit de “certains Karana”. “Attention! Nous vous avons à l'œil. Si cela continue, nous nous désengageons de la suite que cela pourrait prendre”, avertit le chef de l'Etat. 
Pour montrer que sa parole n'est pas le fruit de l'imagination, le président Marc Ravalomanana est allé jusqu'à dévoiler ses sources. “Il ne faut pas oublier que nous sommes en étroite collaboration avec des puissances étrangères comme la France ou l'Afrique du Sud pour obtenir ces informations”. 
Depuis un certain temps, les tenants du régime, le president de la République en premier, soutiennent l'existence d' “actes de déstabilisation” fomentés ici et là. Les dirigeants voient derrière ceux-ci la source des foyers de tension. 
Le premier ministre Jacques Sylla est clair sur la question après le mouvement de grève au campus universitaire d'Ankatso. Pas plus tard qu'hier, Soalahy, vice-président de l'Assemblée nationale, ne déroge pas à la règle à la suite du trouble estudiantin survenu à Mahajanga il y a deux jours. Le député élu dans la ville des Fleurs évoque le mouvement comme un acte “pour faire accroire à la communauté internationale l'existence d'instabilité”.
“Certains politiciens n'ont d'objectif que de ralentir les efforts pour le développement du pays”, confirme Marc Ravalomanana, en recevant James Bond à Faravohitra mardi. 
Dialogue au second plan
La sommation du chef de l'Etat, hier, s'inscrit dans cette logique gouvernementale: couper les vivres aux “déstabilisateurs”. La stratégie commence par la dissuasion des pourvoyeurs de fonds, à savoir “certains Karana”. L'opportunité de la déclaration est d'autant plus compréhensible qu'au même moment, l'opposition commence à s'organiser et à devenir “active”. 
“Si le chef de l'Etat se lance dans de telles affirmations, ce n'est pas un hasard. Il connaît parfaitement ses cibles”, se hasarde un “Karana”. “Je peux dire que la plupart d'entre nous ne se sentent pas visés par une telle accusation. Par contre, ceux qui se trouvent dans les viseurs présidentielles se reconnaîtront”, continue-t-il. 
L'opposition propose une autre lecture de la sommation présidentielle. “Le Président de la République montre ses limites. Il a déjà inventé toutes sortes d'histoires pour faire obstacle à l'opposition. Les arsenaux juridiques contre le blanchiment d'argent n'ont, par exemple, d'autre objectif que de nous dissuader. Après la tenue de la conférence nationale, il pense que nous avons reçu de fonds quelque part. Ce qui est tout à fait faux”. Le député de Maintirano n'a pas pu se retenir pour ajouter qu' “une telle initiative présidentielle démontre que c'est lui qui a besoin de formation et non l'opposition”. 
A l'approche de la fête nationale, date-butoir posée par l'opposition, le ton monte encore d'un cran. Des deux côtés, on semble privilégier l'action au détriment du dialogue. :
Iloniaina A.


AllAfrica.com  07/06/2005

Conférence nationale : une structure de transition avant le 26 juin
Midi Madagasikara (Antananarivo) - Nirina R.
Un comité exécutif de la résolution finale a été mis sur pied à Andoharanofotsy pour le passage à un « gouvernement transitoire ». 
On aurait pu s'attendre à ce que la résolution de la conférence nationale prévoit l'unification des partis de l'opposition et la désignation d'un candidat unique pour les élections présidentielles de 2007, mais cela n'avait pas été le cas. Samedi dernier, à la cérémonie de clôture de la conférence nationale à Andoharanofotsy, les participants paraissaient bien remontés et voulaient aller plus loin, sans plus attendre, pour changer le cours de l'histoire.
Ils revendiquaient la mise en place d'une structure de transition, qui aboutirait à un gouvernement transitoire, avant la fête nationale du 26 juin. Cette transition étant, selon eux, le seul moyen de remettre de l'ordre dans les affaires de l'Etat et de pallier à toutes les difficultés auxquelles le pays serait actuellement en proie. Et que, si l'Etat ne tenait pas compte de cette résolution, ils veilleront eux-mêmes à son institution « immédiate ».
Exécution
Toutefois, les ténors du CRN, RFN et SPDUN, auxquels s'est donc rallié le Mouvement des citoyens pour la sauvegarde de la République d'Alain Ramaroson, hôte des assises, n'ont pas encore dévoilé les tenants et aboutissants de cette décision. Annonce a seulement été faite sur l'existence, depuis samedi dernier, d'un comité exécutif pour l'application de la résolution finale de cette conférence nationale 2005. Celui-ci serait chargé d'éclaircir l'esprit des électeurs sur le sens d'une démocratie véritable, de la mise en place de comités régionaux de la résolution, de la sensibilisation de la communauté internationale sur le contenu de cette rencontre ainsi que de la négociation avec toutes les forces.
Aboutissement
A Andoharanofotsy, les discours successifs ont prôné, entre autres, l'amnistie pour l'affaire de 2002, une révision constitutionnelle, un équilibre des pouvoirs, l'indépendance de la justice, le code de la communication, un nouveau code électoral Le sénateur Ramasy Adolphe, quant à lui, n'y est pas allé par quatre chemins pour revendiquer le départ du Président Ravalomanana et de son gouvernement. Le député Voninahitsy Jean Eugène, pour sa part, a annoncé qu'il ne craignait ni l'arrestation ni l'emprisonnement, car cela ne pourrait que contribuer à l'aboutissement du mouvement. La question se pose alors sur l'interprétation de cette résolution par le régime et sur la lecture qu'en fera la population. Wait and see !


La Gazette 09/06/2005

Jonah Randriambololona:L’ancien DG des impôts en prison !
Une grande figure de la fiscalité malgache est en prison. Depuis hier plus précisément avec l’incarcération à Antanimora de Jonah Randriambololona qui d’après nos sources, serait inculpé de recel, de faux en écriture publique et de faux et usage de faux. Le mandat de dépôt a été prononcé par la chaîne pénale anti-corruption après les investigations de Bianco sur une affaire constatée à la société pharmaceutique Salama sise à Hazoberavina Tanjombato. 
Tout remonte au lendemain de la crise post-électorale de 2002. Dans la suite de l’alternance au pouvoir, un changement s’est également opéré au niveau de la direction de Salama, d’autant plus que cette société avait connu des problèmes. Pour des raisons inexpliquées mais sans doute connues, la société publique Salama était dans une situation telle que l’Etat avait du choisir entre la fermeture et la continuité, cette dernière étant retenue eu égard au rôle fondamental de fournisseur en médicaments et accessoires des établissements sanitaires publics du pays mais aussi de la volonté de l’Union européenne qui est le principal bailleur de fonds du projet. 
Fraîchement nommée, la nouvelle direction a alors décidé un audit de la société qui a été attribué au cabinet ECR. D’après nos sources, le rapport aurait mentionné l’existence d’arriérés fiscaux d’un montant total de 2,5 milliards Fmg. Contrairement cependant à la procédure qui se fait normalement dans toutes les entreprises, le rapport d’audit n’aurait pas fait l’objet d’une confrontation voire une enquête à l’interne au sein de l’entreprise. Du reste, fait-on remarquer, les services concernés contestent l’existence de ce manquement très grave en matière fiscal en disant pourvoir apporter les preuves nécessaires. 
A travers son conseil d’administration ou sa direction générale, Salama a, en tout cas, décidé de recourir aux services d’un conseiller fiscal pour résoudre le problème. Un des meilleurs fiscalistes sinon le plus grand du pays encore en exercice, Jonah Randriambololona est approché ou s’est fait approcher, c’est selon. 
« L’affaire » commence alors véritablement avec une histoire de 900 millions Fmg. D’après les bribes d’informations que nous avons recueillies, l’expertise de M. Randriambololona aurait permis de ramener les arriérés fiscaux de Salama ainsi que les pénalités correspondantes à ce montant de 900 millions. D’autres sources indiquent que cette somme représente en fait les honoraires d’un conseiller fiscal qui aurait réussi à éviter à l’entreprise de payer les 2,5 milliards d’arriérés fiscaux relevés par le cabinet ECR dans son rapport d’audit. 
L’inculpation de l’ancien patron du fisc privilégie la première hypothèse en accusant ce dernier de faux en écriture publique, de faux et usage de faux et de recel dans le sens qu’une fausse quittance de l’administration fiscale aurait été remise après le paiement en liquides des 900 millions. 
En tout cas, 3 personnes parmi la trentaine d’enquêtés sont mises en mandat de dépôt depuis hier en fin d’après-midi. Outre Jonah Randriambololona, deux autres dames sont incarcérées à Antanimora avant la comparution prévue le 21 juin prochain devant la chaîne pénale anti-corruption à Faravohitra, selon toujours nos sources. Et d’après leur inculpation, ces dernières seraient les principales instigatrices de la fausse quittance du fisc. Ce qui expliquerait l’inculpation de recel de M. Randriambololona. 
Cette remarque comme tout l’ensemble de l’article ne constituerait nullement une violation du secret de l’instruction ni d’un procès d’intention à l’endroit de qui que ce soit. A preuve, chacun se demandera pourquoi le paiement des 900 millions Fmg s’est fait en espèces contrairement à la pratique de Salama qui règle tout en chèque de banque. Pourquoi le DG et son DAF ont-ils pu transgresser la procédure en décidant de payer une telle somme en liquides ? 
D’après les mêmes sources, on s’étonnera également pourquoi l’«affaire Salama» a commencé, depuis l’année dernière, avec l’enquête de la Brigade de recherche de la gendarmerie de Fiadanana pour être instruite par le Parquet d’Anosy avant d’être confiée à Bianco. Suite à une plainte anonyme, dit-on. 
Cette affaire ne manquera, en tout cas, de dévier sur les relations de M. Randriambololona avec M. Ravalomanana, mais aussi du comportement du président avec ceux qui l’ont aidés. On rappelle que le premier était parti au secours du second quand ce dernier devait répondre, en 2001, d’un redressement fiscal d’environ 300 milliards Fmg. En récompense sans doute de l’effacement de cette importante dette fiscale, l’ancien consultant de Tiko qu’est Jonah Randriambololona, revient à la tête du fisc avant d’être évincé à cause des cigarettes « Plaza » pour devenir ensuite conseiller fiscal du président. Après, sa fille épouse le garde du corps du chef de l’Etat, Jean Marc Koumba dont la récente expulsion demeure jusqu’à présent un mystère. 
Bref, c’est une famille qui a dévoué corps et âme à M. Ravalomanana qui est aujourd’hui matraquée. Est-ce à dire que le président n’a aucun sens de la reconnaissance ? Est-ce qu’il ne veut protéger quiconque en cas de magouille ? Est-ce qu’il n’a nullement peur des éventuels chantages de la part de ceux qui partagent ses secrets ? 
SA


Jeune Afrique  06/06/2005

92 personnes arrêtées pour corruption - par XINHUA 
92 personnes ont été arrêtées, prises en flagrant délit de corruption, dont 38 sont déjà jugées, tel est le bilan de travail du Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) de Madagascar depuis sa prise de fonction l'année dernière, livré vendredi par son directeur général René Ramarozatovo. 
Pour M. Ramarozatovo, le BIANCO a pour mission de "lutter contre la corruption par l'application effective des lois, l'éducation et la prévention pour que Madagascar devienne une référence en matière de probité, d'équité et de prospérité à l'horizon 2015". 
Dans cette optique, a-t-il ajouté, trois mesures sont incontournables, entre autres, "le renforcement de la bonne gouvernance, l'instauration de l'Etat de droit et la protection des droits de l'homme".


Tribune 09/06/2005

Déclaration du patrimoine  : «Je ne ferais pas» dixit M. Ravalomanana 
Le président de la République Ravalomanana Marc reste intraitable. A la question d’un journaliste à propos de la déclaration de patrimoine, le chef de l’Etat a déclaré urbi et orbi hier qu’il ne fera pas la déclaration de ses biens, conformément au texte et loi en vigueur. Ce locataire d’Ambohitsorohitra a catégoriquement refusé de faire une déclaration car il a déjà fait une prestation de serment. Par ailleurs, le président Ravalomanana a signalé qu’il a ses propres entreprises. A cet effet, malgré les vives critiques de l’opposition sur ce traitement de faveur du chef de l’Etat, ce dernier n’a pas l’intention de fléchir. Bref, le numéro un malgache est “exonéré “ de cette mesure prise par le Bianco, permettant de lutter contre la corruption et dans le but d’assainir la gestion des affaires nationales. 
Cette décision du chef de l’Etat a quelque peu handicapé le Bianco dans l’accomplissement de ses missions. Car, qu’on le veuille ou non, certains hommes politiques ont déjà fait savoir qu’ils ne feront pas non plus leur déclaration tant que le patron d’Iavoloha est dispensé de cette mesure. Plus d’uns s’interrogent sur le bien-fondé de ce texte discriminatoire dont le chef de l’Etat bénéficie car il le met au-dessus de la loi de sorte que pour beaucoup il bénéficie d’une immunité absolue. Le principe universel de l’égalité de tous devant la loi n’est que complètement baffoué. Chose curieuse, les bailleurs de fonds ont brillé par leur mutisme total pour des raisons inconnues. Or, la présidence fait partie des institutions, gestionnaires de crédit dont le montant est évalué à plusieurs centaines de milliards de nos francs. A ce rythme, la transparence dans la gestion des affaires de l’Etat n’est qu’un simple slogan politique.
 Alphonse M. 

les infos du jour - Revenir vers le haut

Jubile JM-RAZANATEFY

23 juin au 5 juillet Expo de Tableau

+ de détails  cliquez ici  >>

SAMEDI 11 JUIN 

A GENEVE SUISSE A 20H

+ DJ Rodman
+ de détails  cliquez ici  >>

Vendredi 24 juin 2005 à 20h
Quartet Joel Rakotomamonjy

+ de détails  cliquez ici  >>

+ d'infos cliquez ici  >>

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Sommaire en haut de page)

   

 

 

Le site d'Animation ARR...Cliquez

Les détails, les photos, les archives et l'historique des évènements sur Mada sur
"MadaVôvô"
consultable sur
Tous les resultats des competitions  Rubrique Relaxation... Yoga & Sports... Velo... Football...  (click here)
RETOUR AUX INFOS DU JOUR

 Accueil du site ARR

Accueil du site Rainizafimanga

  Accueil du site d'Animation ARR