Madavôvô 2005  

L'Année 2004 c'est l'année des Ouvertures..  ;   Joyeuses Fêtes de Noel à tous...

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Le président Mugabe, le jour de l'élection présidentielle de 2002. | REUTERS/HOWARD BURDITT
Urbi et Orbi, un pelerin au coeur d'un quart de siècle d'histoire

 

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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Sommaire Madavôvô: 25 avril 2005

BigNews. - Un Parfum de Madagascar sur St Sulpice.            

1.Edito LaComm': Un parfum de Mada sur St Germain des près

2. Ifaty devient le village des tortues (Express)

3. Les rues de Tana” inspirent Fy Ratsifasoamanana (les Nouvelles)

4. Le calme est revenu à l'Université d'Antananarivo (Jeune Afrique)

5. Le ministère de l'Education soupçonne des dessous politiques ... (Jeune Afrique)

6. Les rues de Tanà  .... vues par le scénographe Fy Ratsifasoamanana (Madanight)

7. No Comment.... No Comment...

8. L'opposition ne se cache plus d'être derrière le mouvement estudiantin (Les Nouvelles)

9. Arrestation des étudiants : Largement commentée à Paris (Tribune)

10. Riziculture : Baisse progressive du prix  (Wanadoo.mg)

11.«Millenium Challenge Corporation - MCC» a sélectionné 16 pays (Nosintsika)

23/04/2005

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary
Euro (pondéré) 2519 
US Dollar 1926.75 
Dollar canadien 1553.89 
YEN 17.94 
Franc suisse 1632.15 
Livre sterling 3677.59 
Rand 316.22 
Roupie mauricienne 66.55 
Couronne suédoise (100) 274.00 
DTS 2925.71 

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Derniers Messages de nos Petites Annonces         + Savoir plus >>          Les Contacts  >>

1)- Je vends des gousses de vanille noire de madagascar,tres bonne qualité,100kg disponibles en france (dedouanés)       contact : Tania

2)- Future étudiante à Paris 12 cherche appart ou studio en colocation à patir de Sept 2005. Voudrai avoir info sur coût vie Paris.Merci! contact : Rasandiriaka

3)- Je suis à la recherche d'un couple de tortue de terre, j'ai un grand jardin et plein d'mour à leur offrir.  contact : Nathalie

4)- je recherche une tortue de terre hermann pour mes deux filles, la notre s' est echapee et nous en recherchons desesperement une a prix interressant mes filles l'attende avec impatience merci d'avance      contact : herve

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Big News... Un Parfum de Madagascar sur St Germain des Près.

 "Au large de l'Afrique, s'étire Madagascar, vaste terre ancrée au confluent des continents. Au gré d'une mosaïque exceptionnelle de paysages et de climats, la grande île "rouge" n'en finit pas de surprendre. Durant 10 jours, vous pourrez découvrir Madagascar et ses surprises."                

Organisé par Air Madagascar , inauguré par Mr Le Maire du VIè Arrondissement de Paris  , du 15 au 24 Avril - Place Saint Sulpice ( Paris 6ème- Metro St Sulpice & Metro Mabillon) en savoir+ ci dessous    ... Reportage photo >>   


 *** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


L'Edito LaComm' ARF 17/04/2005

UN PARFUM DE MADAGASCAR  SUR SAINT GERMAIN DES PRES

Du moyen âge en passant par les années 20 et jusqu'à nos jours, Saint Germain des près, ou quartier Latin fut un lieu de toute sortes rencontres : Estudiantines, culturelles, musicales et littéraires.

Aussi peut on penser que le "Village de Madagascar, a trouvé la place idéale pour s'installer.Les visiteurs prenaient plaisir à déambuler de stand en stand rêvant de voyages pleins de senteurs sous un ciel bleu et un soleil radieux et cela au son mélodieux de la valiha. 

        Mondy

Un village de Madagascar avec ses 40 stands sur la Place St Sulpice, une belle opportunité pour la promotion de la grande Ile Rouge.

.. des conférences-débats, des concerts, des soirées associées, des expositions photos, des projections de films, des concerts de musique traditionnelle, des défilés de mode et des conférences sur la protection de la faune et de la flore malgache.

                                                          .... Reportage photo >>  


Express Mada 25/04/2005

Faune et flore - Ifaty devient le village des tortues
La menace planant sur les tortues semble s’estomper.

Les tortues, qui sont parmi les plus vieux vertébrés de la planète et qui sont aujourd’hui menacées par l’homme, ont désormais leur village à Ifaty-Mangily près de Toliara, une localité qui se situe sur la RN9 à 25 km au nord de Toliara dans la commune de Belalanda. Samedi, Ifaty-Mangily a été la capitale de l’écotourisme avec l’inauguration d’une station d’observation et de sauvegarde des tortues, dénommée “Village des tortues” ou “Tanànan’i Sokake”.
Quand on parle d’Ifaty-Mangily on pense déjà au tourisme balnéaire sinon aux villages des pêcheurs et on pense également au “Bal poussière” ou “tsom-demboke”, un spectacle singulier qui attire le plus grand nombre de touristes dans cette localité. Aujourd’hui, c’est la simultanéité et la dimension relationnelle entre le tourisme et l’environnement qui pourrait davantage envoûter les visiteurs dans ce site qui s’est vu renforcer, car le village des tortues a ouvert ses portes samedi, avec ses quelque 907 tortues recensées, à la grande joie des conservateurs du patrimoine naturel, des étudiants et surtout des touristes.

Fondée il y a sept ans par Bernard Devaux, alias “Papa tortue”, secrétaire général et fondateur de la Soptom (Station d’observation et protection des tortues du Monde) en France, en collaboration avec l’Ase ou l’Association de la sauvegarde de l’environnement de Toliara, dirigée par le Pr Daniel Ramampiherika et le Zoo d’Amneville, cette station est opérationnelle et ouverte au public depuis le 12 mars. 
Pourquoi la Sost ? 
Fruit d’une parfaite collaboration entre la France et Madagascar, avec un financement d’environ 30 000 euros octroyé par la Soptom, le village des tortues ou Tanànan’i Sokake qui s’étend sur 7 ha est un centre d’accueil, de soins et d’élevage des tortues. Elle a pour objectif d’accueillir les tortues, objets de trafic et saisies par les douanes, les gendarmes, l’Angap, les services des eaux et forêts. Dont, celles qui ont été appréhendées par les autorités compétentes à La Réunion, à Itampolo et à Betioky-sud et tout dernièrement à Ampanihy-ouest Actuellement, elles sont au nombre de 907 et se catégorisent en deux espèces : la grosse tortue étoilée “Sokake” ou “Astrochelys radiata” qui peut peser jusqu’à 10 kg (leur viande est très prisée par les Vezo) et la petite tortue araignée appelée “Soakapila” ou “Pyxis arachnoïde”.
“Notre but est d’informer et de sensibiliser les Malgaches (de tous les âges) et les touristes à la biologie et la protection des tortues de Madagascar, de protéger les milieux naturels et renforcer la population des tortues dans la nature”, devait remarquer Bernard Devaux.
Et Daniel Ramampiherika de souligner l’importance de cette station car elle permet, dit-il, de développer l’écotourisme et l’économie régionale, et d’assurer le dévelop- pement durable.
La Sost est, de ce fait, un centre d’observation et de traitement car à peine débarquée au village, chaque tortue est marquée, pesée et placée dans des enclos de quarantaine pour l’examen de son état sanitaire afin d’éviter la transmission des maladies. Il existe ainsi dans cette villa plusieurs enclos de quarantaine cachés du public, permettant d’adapter et de surveiller les tortues avant de les placer avec celles de l’élevage réservé au public puisque la Sost est un centre d’élevage et de reproduction.
Pas un zoo.
La Sost n’est pas un zoo, a fait remarquer Bernard Devaux, car au bout de quelques années, les tortues seront relâchées progressivement dans la nature, pas n'importe où, mais dans des réserves, de façon à redonner de la vigueur à leurs populations parce que “notre but n’est pas seulement de collectionner ces animaux, mais de les protéger loin des trafiquants de tous bords”. Car au lieu de partir pour des animaleries occidentales et asiatiques, elles resteront a Madagascar et seront remises dans leurs milieux naturels plus tard.
Les opérateurs touristiques de cette région ne peuvent que se réjouir de la présence de ce village de tortues. Ils pourront intégrer dans leurs catalogues un nouveau produit touristique à proposer à leurs clients. En effet, Ifaty-Mangily et ses environs disposent déjà d’un potentiel touristique remarquablement riche qu’elle doit principalement à la diversité de ses paysages, à la variété et la générosité de sa faune et de sa flore, ainsi qu'aux richesses culturelles et artistiques locales qui sont très favorables à l’écotourisme
Entre les belles plages et les sables fins ainsi que la qualité et la richesse des fonds marins, s’ajoute aujourd’hui le village des tortues ou Tanànan’i sokake" : les touristes auront largement le choix.
Francis Ramanantsoa:


Les Nouvelles  22/04/2005
CULTURE : “Les rues de Tana” inspirent Fy Ratsifasoamanana 
La performance de Fy Ratsifasoamanana, qui s'est réalisée hier dans les locaux de l'AFT (Alliance française d'Antananarivo), a laissé l'assistance bouche bée. Pour certains, l'incompréhension entraîne des questions. Pour d'autres, c'est le génie de l'artiste qui a abasourdi. En tout cas, on se souviendra de cette performance.
Fy Ratsifasoamanana est établi à l'étranger depuis cinq ans. A la Réunion d'abord, où il a suivi des études en art plastique et en scénographie, puis en France, à Lyon, où il étudie à l'Ecole nationale des arts et du théâtre. Il est actuellement de passage au pays où il réalise une série de performances qui sont reliées les unes aux autres. Ce soir, il sera à l'AFT à 18h 30 pour une autre réalisation.
«Si je devais donner un titre à cette performance, je dirais : «Les rues de Tana m'inspirent». Les bouteilles font allusion à la population qui s'entremêle. Mais aussi aux embouteillages, aux personnes, aux déchets aussi quelque part...» C'est en ces mots que Fy résume cette démonstration. Et de préciser que «c'est une performance et non un spectacle, elle peut durer cinq minutes, comme elle peut se rallonger jusqu'à cinq heures (rires) oui, oui, c'est possible !».
Dans un premier regard, il n'y avait rien à comprendre. Car l'art a son lot de mystères que le commun des mortels ignore. S'il naît des pulsions du cœur, comme l'amour, on peut en dégager une similarité. Car si à partir du moment où l'on se pose des tas de questions, quand on s'aventure à essayer de leur trouver des réponses, mais qu'on n'y arrive pas, on est amoureux(se). Dans le même sens, si cette performance fait poser des questions sans réponses, on peut être sûr qu'on l'a aimé.
De toute façon, l'art s'apprécie, spontanément. D'ailleurs, tout était improvisé. Autant pour Fy dans ses installations, ses peintures et sa scénographie, pour Voahangy et Valérie Berger qui ont effectué des figures de danse contemporaine, pour Rôla Gamana et Andry Kely qui ont joué des instruments de musique, que pour Rachel Bothin qui a lu quelques passages de textes, extraits de «Arbre anthropophage» de Jean-Luc Raharimanana.
Un des passages de cet écrivain a été repris par Fy. «Azafady», et les «Fady», une valeur qui fait la richesse de la tradition malgache. C'est aussi une lame à double tranchant. Car trop de «Fady» pourrait empêcher l'évolution. Encore, l'art est sans frontières ! Car parfois, ces «Fady» sont exagérés. Au point qu'on se censure pour des détails insignifiants. «Fady», ou interdits, du coup, c'est interdit de s'affirmer en tant que personnalité. C'est interdit d'exprimer son art dans la rue. «C'est malheureux. Dès qu'on sort un peu de l'ordinaire, ne serait-ce que dans l'apparence physique, dans l'habillement, tout devient interdit. Pire, si on peint, ou qu'on fasse de la musique dans la rue» déplore-t-il. 
Pour l'artiste, c'est le frottement qui découle de l'union de diverses disciplines artistiques qui offre l'originalité et l'envergure de cette performance. Ce soir, Loa, Angela, Vida et Hagamainty viendront en renfort. La musique, la littérature, l'art plastique, la danse et le stylisme seront donc tous représentés.
Anjara N  
( paru le 8/4/2005 ) 


Jeune Afrique 22/04/2005

Le calme est revenu à l'Université d'Antananarivo   par XINHUA
L'accalmie semble revenir à l'Universiaté d'Antananarivo suite à une grève estudiantine, a-t- on constaté sur place vendredi. 
Les étudiants ont préféré stationner dans l'enceinte du campus universitaire. Les forces de l'ordre étaient présents jeudi à l'intérieur même du campus. Les 16 étudiants arrêtés mercredi ont été relâchés et un autre, placé sous mandat de dépôt, est toujours détenu. 

La grève estudiantine a connu une grande effervescence depuis le début de la semaine. Mardi, les salles de classe ont été prises d'assaut et tous les cours ajournés. La situation a été maîtrisée jusqu'en début d'après-midi. Les manifestants ont tenté d'atteindre la primature mais en arrivant à la sortie de l'Université, les éléments des forces de l'ordre sont intervenus et ont procédé aux arrestations. Deux étudiants ont été appréhendés dont un placé sous mandat de dépôt, mercredi matin, tandis que le second a bénéficié d'une liberté provisoire. 
Les forces de l'ordre ont lancé mercredi des bombes lacrymogènes pour disperser les manifestants, lesquels ont riposté par des jets de pierre. Vers 16h, les hommes au casque lourd sont entrés dans le campus pour épingler les meneurs qui ont réussi à rassembler les étudiants. Après les affrontements, 16 étudiants ont été arrêtés et quatre blessés dont deux policiers. 
Pour le ministre de l'Education nationale et de la Recherche scientifique, Haja Nirina Razafinjatovo, il a déclaré après ces affrontements que "ma porte reste ouverte aux étudiants, elle l'est toujours si le besoin se fait sentir" tout en répétant la politisation du mouvement de manifestation. 
Maintenant, la grève estudiantine fait place aux négociations entre les étudiants et les autorités concernées. 
Le ministère de l'Education soupçonne des dessous politiques derrière la grève estudiantine   par XINHUA
Le ministère malgache de l'Education nationale et de la Recherche scientifique a déclaré que la manifestation des étudiants revêt un caractère politique, a rapporté jeudi la presse malgache. 
Dans leurs déclarations faites après la manifestation qui a eu lieu mercredi à l'Université d'Antananarivo et au cours de laquelle un affrontement entre les étudiants manifestants et les forces de l'ordre s'est soldé par 4 blessés, deux étudiants et deux policiers, et 17 arrestations. 
Le secrétaire général et le directeur de cabinet du ministère, Fanantenandrainy Randimbivololona et Henri Ranjeva, n'ont pas dissimulé leurs soupçons sur une présence des politiciens derrière ces troubles. Pour ces deux responsables, les quatre revendications brandies par les étudiants sont infondées. 
La première revendication porte sur l'abrogation du décret relatif à l'encadrement et la direction des mémoires de thèse. " L'application de ce décret a déjà été suspendue même si la mise en place d'un cadre réglementaire pour régir ce système s'avère nécessaire", a indiqué M. Ranjeva. 
La deuxième est le fameux système Licence-master-doctorat (LMD) ."Puisqu'il s'agit d'un changement de structure, la mise en place de ce système devra passer par plusieurs étapes", explique le directeur de cabinet. 
Les étudiants parlent aussi de la coupure de l'électricité et de l'installation de compteurs prépayés dans les cités universitaires. "Le ministère n'a jamais décrété dans ce sens", a affirme le secrétaire général. "Ce sont des rumeurs propagées pour semer le trouble", a-t-il ajouté. 
La quatrième et dernière revendication porte sur la bourse des étudiants de la faculté de droit, d'économie, de gestion et de sociologie (DEGS). "Ce problème est déjà résolu parce que le doyen de cette faculté a jéjà reçu lundi le chèque destiné au paiement des bourses", a-t-il précisé. 
Le doyen de la faculté DEGS a annoncé mardi que le paiement aura lieu dans 72 heures, a-t-il conclu. 


Madanight  22/04/2005

Les rues de Tanà  .... vues par le scénographe Fy Ratsifasoamanana

A Tanà, le public n’a pas l’habitude ni l’occasion de vivre des expériences artistiques avant-gardistes surtout avec un artiste malgache. Malgré tout le talent de l’artiste scénographe Fy Ratsifasoamanana, le message ne passe pas encore. Le public n’est pas enthousiaste devant ce qui est inédit en matière d’art. Ce qui est vraiment dommage puisque le spectacle valait le déplacement. 
Programmé en deux jours, le spectacle de l’artiste Fy Ratsifasoamanana n’a pas eu un écho favorable puisque la deuxième journée n’a pas réuni beaucoup du monde. Ce qui n’est pas aussi mal car l’espace de la salle de l’AFT est occupé par la mise en scène pour ne laisser finalement que peu de place aux spectateurs. Par ailleurs, ces derniers ont été invités à s’immiscer dans le spectacle, soit à interagir avec les artistes, soit à regarder de près ce qui se passe en se faufilant dans les allées qui ont été imaginées par Fy et ses amis. Le déroulement du show n’est pas défini à l’avance. L’improvisation est de mise, les artistes faisant appel à leur imagination pour chaque instant. 

Pieds nus, de noir vêtu et coiffé d’un foulard blanc, Fy arpente les « rues » qui ont été dessinées sur l’espace qui lui sert de scène. Les stylistes Hagamainty, Loa et Vida ont eu droit à une « Lalana » qui leur est dédiée tandis que Angela trône sur une « Kianja » qui porte son nom. Ils ont partagé des faits très divers inspiré de la vie quotidienne mais en total décalage.

 Les artistes ne se contentent pas d’être regardés, ils communiquent avec le public. Hagamainty a partagé sa philosophie sur l’eau qui est source de vie et de création. Le liquide peut être matérialisé pour en faire une robe, ou devenir concept et s’inscrire sur les pages d’un livre. L’ambiance dans la Rue Vida a été moins bonne enfant. En ayant l’apparence d’une momie, la mort arpente les rues. Les défunts reviennent-ils en ville ? Loa s’est plongé dans la poésie alors que Angela a montré grâce et féminité sur sa Place. L’écrivain Jean Luc Raharimanana a été virtuellement présent grâce à quelques textes. La musique contribue aussi à créer de l’ambiance sur la scène. Sous la houlette du poly-instrumentaliste Rôla Gamana, les musiciens produisent des sonorités aussi riches que variées. 
La prestation de Fy consiste à jouer aux peintres. Des toiles vierges et des récipients contenant de la peinture se trouvent éparpillés sur la scène. Au départ, le spectateur ne voit qu’un artiste aux allures d’un danseur qui gribouille sans aucune application apparente. Le résultat est saisissant puisque les tableaux ont vraiment l’apparence d’une ouvre d’art. Fy est un artiste qui produit et se produit en public. Il a choisi des bouteilles d’eau minérale pour délimiter des rues. Ces maisons s’écroulent facilement quand on n’y trouve plus la vie, c’est-à-dire l’eau. L’artiste a une vision originale de la vie dans les rues de Tanà. 
Fy est un artiste créateur qui a fait les écoles de l’art mais qui demeure un autodidacte privilégiant beaucoup l’improvisation. Après des études en arts plastiques et en scénographie à l’île de La Réunion, il a intégré l’Ecole nationale des arts et du théâtre à Lyon. L’artiste est venu se ressourcer au pays avant d’intégrer une autre école prestigieuse à Paris.

 Fy exerce le métier de scénographe. Ce créateur d’ambiance agence les espaces que ce soit pour une performance scénique ou juste dans le cadre d’un événement. Son expression artistique demeure pour l’instant inaccessible pour ses compatriotes. Face à l’incompréhension, le spectateur trouve plus de questions que de réponses dans la mise en scène du spectacle. 
Toutes les photos des rues de Tana vues par Fy Ratsifasoamanana


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  les 'médiocres' parlent d'évènements

  les 'misérables' parlent contre les personnes..."


Les Nouvelles  22/04/2005

L'opposition ne se cache plus d'être derrière le mouvement estudiantin
Les “trois entités” et l'Etat se rejettent l'initiative de la manipulation politique des étudiants
L'augmentation du taux des bourses d'études et la suspension par le ministère des dispositions réglementaires relatives à l'encadrement des travaux de recherche n'auront servi à rien. Le Seces, ayant été pris de court par le gouvernement, n'a pu rallier les étudiants à sa cause et a dû reprendre le chemin des cours, mais c'était pour mieux laisser le champ libre aux politiques. Et si ces derniers assurent ne pas avoir été à l'initiative des récentes manifestations des étudiants et accusent même l'Etat de les avoir fomentées, ils sont prêts à récupérer le mouvement. Une cellule de crise a été mise en place et prendra les choses en main.
Les trois entités organisatrices de la conférence nationale unique mettent les choses au point. Répondant aux accusations de manipulation des étudiants qui leur sont imputées, elles passent à la contre-offensive. Ne se contentant pas de se défendre d'être derrière la grève, elles n'hésitent pas à supposer que c'est l'Etat qui l'a fomentée afin de créer un climat de tension et de pouvoir empêcher ensuite l'organisation de leur “grande rencontre”. “Certaines personnes colportent des rumeurs en vue de dénigrer la conférence nationale unique et vont jusqu'à comploter pour en empêcher la tenue”, a déclaré le pasteur Richard Andriamanjato, co-président du comité d'organisation de la conférence nationale unique et porte-parole autorisé de l'assemblée générale au cours d'un point de presse organisé par les “trois entités”, hier au Panorama. 

“C'EST PAS NOUS, C'EST EUX”
Et le RPSD d'être un peu plus clair en recommandant la méfiance au peuple car “il s'agit de perturbations fomentées par l'Etat pour que la conférence nationale qui devrait bientôt se tenir ne puisse pas avoir lieu”. Une thèse que soutiennent “officieusement” plusieurs autres membres des “trois entités”. Certains d'entre eux prédisent déjà que “pour préserver la sécurité publique, un arrêté d'interdiction de toute manifestation publique ne soit bientôt publié, avec pour cible principale la conférence nationale unique prévue du 2 au 4 juin”. 
L'Etat, de son côté, par le biais du ministre de l'Education nationale et du secrétaire d'Etat chargé de la Sécurité publique, continue de dénoncer “une manipulation politique des étudiants”, d'autant, a souligné Hajanirina Razafinjatovo, moins arrogant que lorsqu'il fustige les syndicats d'enseignants, que “je n'ai jamais fermé la porte aux étudiants”. La suspension des dispositions réglementaires relatives à l'encadrement des travaux de recherche et l'augmentation du taux des bourses d'études ont été décidées de concert avec des “représentants” d'étudiants, les présidents des associations pédagogiques en l'occurrence.
MAUVAISE IMAGE
La répression du mouvement dont l'Etat et l'opposition se rejettent l'initiative, en tous les cas, donne l'occasion aux trois entités de dénoncer “l'usage de la force, la bestialité, les violences dont le régime Ravalomanana a l'habitude”. “Comme cela s'est passé dans les autres villes”, a souligné Albert Zafy, présent pour la première fois à une AG des “trois entités”. Autant de critiques qui justifient, non seulement l'organisation d'une conférence nationale, mais la réclamation de la démission des dirigeants et la mise en place d'un gouvernement de transition, un thème qui ne manquera pas d'être évoqué lors de la conférence nationale. 
Le communiqué va même plus loin en protestant “contre la violation des droits de l'enfant, de la franchise universitaire et de la Constitution”. Pour l'opposition, en perpétrant des “barbaries” (selon l'Arema) sur “des mineurs de 19 à 20 ans parce que étant des étudiants” (selon Maître Olala), qui réclament le respect de leurs droits de grands “enfants”, le pouvoir donne l'image d'une autorité “sanguinaire”, d'après le RPSD, “dictatoriale”, d'après le seul porte-parole officiel du point de presse d'hier.
Lova Rabary


Tribune 22/04/2005

Arrestation des étudiants : Largement commentée à Paris -
La crise universitaire a eu des échos à l’extérieur. En effet, l’arrestation des étudiants qui ont manifesté pour protester contre l’application du décret portant sur les obligations de service des enseignant chercheurs et l’amélioration de leurs conditions de vie, a été commentée dans la capitale française. Grâce à l’internet, la diaspora malgache ainsi que quelques ressortissants français sont informés à temps de tout ce qui se passe dans la Grande île. Plus d’uns s’interrogent sur cette intervention musclée des forces de l’ordre alors que les étudiants manifestaient dans la rue ce jour là. A qui profite le crime, car aux yeux des observateurs, cette bavure des forces de l’ordre est en train de ternir l’image du régime Ravalomanana, consideré comme démocrate et en faveur de la pluralité des idées.
Bref, la répression des mouvements des étudiants a alimenté les débats des observateurs politiques à Paris ainsi que ceux qui connaissent la Grande île, notamment au moment du mouvement populaire de 2002. Après la suspension des soldes des magistrats et enseignants grévistes, on se demande si on a encore le droit à la grève, selon la constitution ou est-elle devenue un délit ? Visiblement, les opposants ne peuvent rester les bras croisés au moment où les grandes puissances ont mis comme condition, la transparence de la gestion des affaires de l’Etat et la démocratie à l’aide au développement. Reste à savoir si la Grande île a rempli ou non les conditions. En tout cas, l’équipe de Ravalomanana Marc vient de décrocher une aide de 110 millions de dollars des USA pour lutter contre la pauvreté. La population attend avec impatience l’impact de l’annulation de dettes et l’arrivée des nouveaux dollars dans la caisse de l’Etat. Wait and see !


Wanadoo.mg   22/04/2005

Riziculture : Baisse progressive du prix
Le prix du riz aux consommateurs a connu, au cours des derniers jours, une baisse notoire après des mois de vraie-fausse pénurie sur l’ensemble du territoire.
Le marché de gros de la capitale, Anosibe, est l’endroit idéal pour connaître le cours du riz sur le marché local. Si, quelaues semaines auparavant, le prix du riz local dépassait encore les 1000 Ariary, les prix actuels varient autour de 700 et 800 Ariary. 
Après la période de récolte en effet, le ministère de l’agriculture teble, pour cette saison, sur une production de paddy estimée à 2,7 millions de tonnes. Ce qui pourrait, estime-t-on, suffire pour une autosuffisance en riz cette année dans la Grande Ile. Une autosuffisance qui n’exclut toutefois pas de possibles importations effectuées par des commerçants locaux.
©MATERA 


NOSINTSIKA   23/04/2005

MILLENIUM CHALLENGE CORPORATION SELECTIONNE LES PAYS ELIGIBLES POUR L'EXERCICE BUDGETAIRE 2005
Millenium Challenge Corporation - MCC est une institution gouvernementale des Etats-Unis. Conçue pour travailler avec certains des pays les plus pauvres au monde, MCC est basée sur le principe que l'aide est plus efficace quand elle renforce la politique socio-économique saine qui favorise la croissance économique et réduit la pauvreté par le biais de la croissance économique.
Le conseil d'administration du «Millenium Challenge Corporation - MCC» a sélectionné 16 pays éligibles pour bénéficier de l'aide du «Millenium Challenge Corporation-MCC» pour l'exercice budgétaire 2005, et 12 pays pour jouir du «Threshold Programme Funding».
En résumant la réunion du lundi 8 novembre 2004, le secrétaire d'Etat et président du « MCC », Colin Powell a souligné l'adaptation du «MCC» dans le cadre de la sécurité des Etats-Unis. «Laissez-moi vous dire que les défis globaux et régionaux de la sécurité, auxquels nous faisons face actuellement, exigent que nous soyons créateurs dans notre manière de traiter ces questions et dans la recherche de solutions innovatrices pour les aborder, et le «MCC» est l'une de ces solutions innovatrices».
Cette année, les pays éligibles du «MCA» sont l'Arménie, le Bénin, la Géorgie, le Ghana, le Honduras, Lesotho, Madagascar, le Mali, la Mongolie, le Maroc, le Mozambique, le Nicaragua, le Sénégal, le Sri Lanka et Vanuatu. Le Maroc est éligible pour la première fois alors que le reste fut sélectionné au cours de l'exercice budgétaire 2004. Dans sa résolution, le ...      savoir plus  
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les infos du jour - Revenir vers le haut

Concert "25° anniversaire Chorale Fiderana FPMA-Paris" 
samedi 30 avril 2005

+ d'infos cliquez ici  >> 

Leur première tournée en France 

Spectacle - Soirée dansante (PARIS) 

cliquez...
Le samedi 23 avril à partir de 21 h 30 
Salle des fêtes     7 rue Galois     78 310 MAUREPAS

+ d'infos cliquez ici  >> 

 

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Sommaire en haut de page)

   

 

 

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