Madavôvô 2005  

L'Année 2004 c'est l'année des Ouvertures..  ;   Joyeuses Fêtes de Noel à tous...

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Angraecum Sesquipedale ou Etoile de Madagascar et aussi connu sous le nom de -étoile de Noël- ou -étoile d_orchid de Bethlehem-
L_Angraecum sesquipedale aux trois fleurs blanches est célèbre pour son éperon de 35 cm où vient butiner un papillon nommé Xanthopan morgani doté d_une longue trompe qu_il ne déroule qu_à proximité de cette orchidée...

 

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26 fev 2005

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Les observateurs etrangers ...

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09 avril 2005

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25 avril 2005

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Katita champion

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Raharaha Zaraniaina.... ;  Cacao de Mada... ;  Rassembleurs et Dynamiques... ;  Savoir vivre sur le web...  ;  200 Milliards pour le secteur public... ;  Air mad renforce sa flotte... ;

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Sommaire Madavôvô: 26 mai 2005

BigNews. - Une Nature Unique au Monde ... 

1. Entreprise : Ravalomanana, imperturbable (Tribune)          

2. Médecins Sans Frontières interpelle les pouvoirs publics !  (Madagate)

3. Le correspondant de RFI contraint de quitter Madagascar (Matinternet)

4. Face au Sénat L’équipe gouvernementale rassure (MBS)

5. La vanille va mal - Le cours mondial dégringole (Express)

6. Expulsion O.P...retour de manivelle de la part des autorités françaises(Midi).

7. No Comment.... No Comment...

8. Antananarivo : la ville des mille a reçu le prix metropolis 2005  (AllAfrica)

9. Conférence nationale : le maire dit non à la politique politicienne !  (AllAfrica)

10. Les médias malgaches se caractérisent par une liberté, une ... (Malango)

11. Médecins sans Frontières quittent Madagascar  (Jeune Afrique)

12. Olivier Peguy indésirable - Le correspondant de RFI deguerpi (Express Mada)

13. Le Prophète et le Président de Raharimanana (Echo du Capricorne)

14. Les conclusions de MSF (Nosintsika)

15. Communiqué de Olivier Péguy  (Sobika)

16. Football : l’Ajesaia pour une structure plus professionnelle ! (Wanadoo.mg)

23/05/2005

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary
Euro (pondéré) 2472 
US Dollar 1952.08 
Dollar canadien 1548.72 
YEN 18.09 
Franc suisse 1589.38 
Livre sterling 3581.38 
Rand 304.06 
Roupie mauricienne 67.08 
Couronne suédoise (100) 267.91 
DTS 2910.34 

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Derniers Messages de nos Petites Annonces         + Savoir plus >>          Les Contacts  >>

1)-A vendre terrain de 70ha sis à Ambatolampy, à vocation agricole,adduction d'eau facile par puits,électricité à 500m,possibilité de morcellement ou intéresser par projet de partenatiat pour exploitation. ...  contact : Ravelo

2)- Cherche tortues hermann femmelle pas trop cher prés de bayonne  contact : Fairn

3)-Médeçin cherche copine malgache pour amité et plus si entente  contact: Lateur

4)-recherche famille rabefarihy     contact : mad93

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Big News... Une nature unique au monde... 

La richesse et la diversité sont les deux représentants de la nature Malgache autant pour sa faune et sa flore que pour ses paysages : du fourré épineux des zones sub-arides, à la luxuriante forêt humide de l’est mais aussi par les forêts sèches de l’ouest, les mangroves, les lacs et rivières sans oublier les vastes zones transformées par l’homme, sortes de déserts herbeux parfois égayés par les rizières aux creux des vallées humides.
La culture de Madagascar est comme sa nature : riche et diversifiée. 
L’insularité ajoutée à un niveau de communication très limité sur de grands espaces a permis à certaines populations très isolées de préserver à travers le temps une culture propre malgré les colonisations successives. 
Aujourd’hui encore, 80de la population est rurale et le lien de la terre est très fort autant en terme d’agriculture que par son caractère sacré. 
La culture orale reste une dominante dans la vie quotidienne des malgaches. En ce qui concerne la langue, la musique, la cuisine, l’artisanat, Madagascar renferme des trésors à découvrir lors de cette opération unique destinée à promouvoir une île en plein essor.

 *** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


Tribune 25/05/2005
Entreprise : Ravalomanana, imperturbable 
Interrogé par les journalistes quant à ce soupçon qui pèse sur un chef d'Etat propriétaire de sociétés multiples et à la tête d'un grand groupe agro-industriel, l'ambassadeur, chef de la Délégation de la Commission européenne. Jean-Claude Boidin a été clair: il n'y a aucun mal à cela; d'ailleurs nombreux sont aujourd'hui les chefs d'Etat qui, avant de siéger à la magistrature suprême étaient déjà de gros industriels ou de propriétaires de sociétés. Le président Bush en est un exemple. Sylvio Berlusconi en est un autre. Cela ne les empêche pas de développer leur pays dans les normes. Au cas où des soupçons quant à des interférences entre affaires de l'Etat et affaires privées s'avéraient en raison d'abus de position dominante ou autre, il est du devoir des services et des commissions de contrôle ou d'enquêtes en charge de mettre tout cela au clair de faire la part des choses a-t-on compris. 
En tout cas, l'inexistence pour l'instant de la loi sur la concurrence ne peut que favoriser ou laisser le champ libre à des supputations et soupçons en tout genre à l'encontre du groupe Tiko Sa. Le mutisme du secteur privé n'arrange pas non plus les choses. A beaucoup d'égards, le secteur industriel local n'a toujours pas l'ambition des industriels mauriciens. A considérer une remarque d'un confrère, les industriels locaux n'ont pas l'esprit combattant ni conquérant. Les produits industriels malgaches ne couvrent même pas la totalité du territoire ni les besoins locaux. Quelque part, c'est la myopie qui ne peut que mener à la mort lente. Une autre remarque c'est que les industriels locaux nous ont habitué à leurs plaintes; c'est à croire qu'ils n'osent pas affronter le marché tandis que les commerçants ne se sont jamais plaints. 
Dans cet atmosphère, le processus d'intégration régionale est perçu comme inquiétant car on n'a pas de produits compétitifs à mettre sur le marché et on voit partout des loups qui sont prêts à s'accaparer de tout ce qui bouge. Allusion aux nouvelles sociétés du groupe Tiko. Alma est dans la ligne de mire. Jusqu'à présent, Alma n'a soumissionné à aucun appel d'offres de l'Union européenne, déclare Jean-Claude Boidin.
En d'autres termes, pendant que les uns et les autres sont en train de se lamenter et de se plaindre ou de tergiverser sur les méthodes et la déontologie, le président poursuit sa politique. Les invitations à la Vitrine de Madagascar conduites par le chef de l'Etat continuent de plus belle. Tous espèrent maintenant qu'avec de telles initiatives présidentielles, le monde rural ne peut que décoller et produire suffisamment pour le marché. Reste les modalités de réalisations.
Culturel : Théâtre: Le prophète et le président : Succès sans conteste ! 
La pièce ‘Le prophète et le président’ de Raharimanana, mise en scène par l’auteur est actuellement à l’affiche du théâtre des Déchargeurs à Paris dans le 1er arrondissement.

Partie pour 30 représentations jusqu’au 25 juin, la première semaine de la pièce de Raharimanana a reçu un accueil chaleureux du public ! L’assistance comptait bon nombre d’étudiants, de sympathisants de l’auteur et d’acteurs de la communauté malgache. La première s’est déroulée en présence de la directrice artistique du théâtre «Les Déchargeurs». Elle a découvert avec une grande satisfaction le ton de la pièce et son univers. 
L’auteur et metteur en scène était bien sûr lui-même présent. Lui aussi appréciait pour la première fois une représentation publique de sa pièce, qui rappelons-le a été interdite à Madagascar en 1989. A l’issue de la représentation il a déclaré tout souriant : «je peux enfin la considérer comme achevée».
Résonance contemporaine
Mondialisation, perte des repères, radicalisation des discours religieux, intégrismes en tous genres, la société actuelle s’interroge sur sa capacité à comprendre le monde. La pièce, écrite en 1989 à Madagascar -portion de terre insignifiante sur l’échiquier international- se révèle aujourd’hui visionnaire. Les politiques ont endossé le discours des multinationaux, les religieux ont investi la scène politique. 
Raharimanana entame depuis 1989 un travail de mémoire significatif. Il nous livre des textes puisant dans l’imaginaire malgache et qui dépassent largement les frontières de l’île. La langue de Raharimanana est celle du récit à haute voix. Il évoque son île-continent, non comme un triomphe des sables d’or et des criques magiques, mais comme le lieu de la souffrance, de la misère et des passions, une identité inachevée, coupée dans son élan par la colonisation et l’indépendance bradée à des dirigeants sans scrupules. 
Les comédiens
Raharimanana s’est accordé une grande liberté dans la distribution des rôles, le prophète est ainsi joué par une femme, française. Le président, joué par un comédien malgache époustouflant, avec ses tresses et ses petites lunettes, affiche une performance décontractée…Liberté dans la forte présence de l’illustration musicale avec l’interprétation en Live du musicien Faffa , liberté dans les chants avec la chanteuse malgache Angela.Liberté dans la scénographie.
Soif du pouvoir
Raharimanana aime le paradoxe : tout cela se passe dans un endroit particulièrement fermé : un asile psychiatrique, où sont enfermés les deux fous ‘Le prophète et le président’, assoiffés de pouvoir…Un asile. Deux fous. Le Prophète et le Président. Les deux personnages vont pousser à l’extrême leurs folies et leurs soifs du pouvoir, assassinent les seuls gardiens affectés à cet endroit et délivrent les autres fous afin de régner sur eux. Satire cruelle, l’on se demande où se situe la barrière séparant la folie du monde extérieur de la folie des aliénés. Le prophète a un discours qui rappelle les liens du peuple au religieux tantôt comme un salut, tantôt comme une servitude, voire un aveuglement qui évolue en fonction des événements extérieurs tandis que le Président, jonglant entre les discours de la démocratie et de la mondialisation, ne songe qu’à manipuler l’opinion et préserver son pouvoir. 
Performances individuelles, musique de haute qualité, chants émouvants, tels sont les retours recueillis auprès du public de toute la première semaine.


Madagate  23/05/2005

Médecins Sans Frontières interpelle les pouvoirs publics ! 
SANTÉ. Après 12 ans d’assistance auprès des enfants de rue et 10 ans d’aide aux mineurs en détention, Médecins Sans Frontières interpelle les pouvoirs publics ! 
MSF cesse ses activités
MSF(Médecins sans Frontières) vient de cesser toutes ses activités dans le pays. Depuis quelques semaines, MSF a fermé ses différents centres de soins à Tana. Les équipes de l’association ont également arrêté leur tournées de nuit auprès des enfants et familles vivant dans les rues de la capitale.
Vola A.

«L’association ne va pas pour autant quitter définitivement Madagascar. Le bureau reste là, mais la structure est mise en veilleuse jusqu’à une prochaine urgence. Vous savez, MSF intervient surtout sur une urgence médicale. En tout cas, on est actuellement en train de réfléchir sur l’ouverture d’autres projets à Madagascar, notamment dans le domaine de la nutrition. Peut-être que tout sera fixé au cours de la prochaine assemblée générale de MSF en juin », a confié Brigitte Doppler, responsable de MSF à Madagascar.
Pauvreté
Après 18 ans de présence dans la capitale, MSF a donc fermé son programme auprès des sans-abri qui vivent sous des cartons et des sachets en plastique dans les rues. « Nos objectifs sont en partie atteints. En effet, nous avons démontré que ces personnes vivant dans la rue connaissent de véritables problèmes de santé et pas seulement des problèmes économiques et sociaux, et qu’il était possible de les soigner. Aujourd’hui elles ne sont plus stigmatisées et devraient pouvoir être accueillies dans le dispositif médical commun au même titre que le reste de la population », estime Grazielle Godain, directrice adjointe des opérations de MSF.
Plusieurs autres raisons sont également évoquées par Brigitte Doppler pour expliquer cette fermeture du programme de MSF à Madagascar. «La caractéristique très particulière de la situation des enfants de rue (violence, discrimination, précarité, absence d’état-civil…) observée lors de notre première intervention, il y a quelques années, ne l’est plus maintenant. Aujourd’hui, les enfants de rue et les habitants les plus pauvres des bas quartiers sont dans la même situation de pauvreté. Actuellement, les gens n’ont pas accès aux soins parce qu’ils sont pauvres, mais non plus parce qu’ils vivent dans la rue comme c’était le cas auparavant. C’est donc un problème de fond, qui relève des pouvoirs publics malgaches et des bailleurs de fonds. Ce n’est plus du ressort de MSF. En outre, nous avons arrêté nos activités car il y a suffisamment d’organisations et d’associations qui oeuvrent dans le même domaine à Madagascar. Et ce, alors qu’au niveau international, MSF doit faire face à des problèmes d’attributions de ressources », a tenu à souligner ce responsable.
Limites
Ainsi, MSF cesse ses interventions puisqu’elle estime avoir touché les limites de son action. Pendant ses quelques années de présence dans le pays, les équipes de cette association ont effectué environ 15.000 consultations et ont pris en charge 300 hospitalisations par an. Ses activités ne se sont pas limitées à l’assistance médicale aux enfants de rue, elles se sont étendues sur d’autres domaines, notamment le soutien socio-juridique aux enfants mineurs placés en institutions ou en détention.
MSF tire donc sa révérence en constatant toutefois plusieurs points qui restent encore critiques à Madagascar. Il s’agit, entre autres, du problème d’accès aux soins pour les plus démunis et de la difficulté pour obtenir un état civil (qui est synonyme d’identité). C’est dire que beaucoup reste à faire dans le pays !
[ Posté par : midi-madagasikara.mg | 


MATINTERNET   23/05/2005

Le correspondant de RFI contraint de quitter Madagascar  (Presse Canadienne )
Olivier Péguy, correspondant de Radio France Internationale (RFI) depuis janvier 2001 à Madagascar, a quitté le pays dimanche soir, contraint et forcé par une décision administrative lui interdisant de travailler dans le pays. 
Dans un communiqué remis à la presse juste avant son départ, M. Péguy, petit-fils de l'écrivain et poète français Charles, explique que "par écrit, les autorités malgaches ont émis un avis défavorable au renouvellement de mon autorisation de travail", sans laquelle il est impossible d'obtenir un visa de séjour de longue durée à Madagascar. 
Aucune explication sur le motif de cette expulsion, malgré les interventions de l'ambassade de France à Antananarivo, du ministère français des affaires étrangères et de la direction générale de RFI, à Paris, n'a été rendue publique ou officialisée par le gouvernement malgache. 
Menacé de mort au début de l'année 2002, lors de la crise post-électorale pour l'élection à la présidence de Marc Ravalomanana, Olivier Péguy avait d quitter le pays pour deux mois. Depuis, son visa de séjour d'une durée de deux ans avait été régulièrement renouvelé. 
Cette décision inexpliquée du gouvernement malgache intervient deux mois avant le voyage officiel que le président français Jacques Chirac doit effectuer à Madagascar en juillet prochain. 


MBS 23/05/2005
Quotidien d'information de langue française
Face au Sénat L’équipe gouvernementale rassure 
Hier durant le face-à-face entre le Sénat et le Gouvernement, 130 questions ont été posées par 62 Sénateurs. L’équipe de Me Jacques Sylla a assuré en donnant des réponses claires et nettes. Sur le plan politique en particulier, le Premier Ministre et les membres du gouvernement ont maîtrisé les sujets.
Toutes les questions ont eu des réponses. Les débats se sont déroulés dans le respect mutuel. 
Suspension des soldes
Le Chef du Gouvernement a rappelé l’avis de la Haute Cour Constitutionnelle à propos de la suspension des soldes des fonctionnaires grévistes. La Constitution garantit et limite à la fois le droit de grève pour les fonctionnaires. Les autorités sont habilitées à prendre des mesures particulières si l’intérêt général est remis en question. La grève ne donne pas droit à rémunération. 
Le matériel de guerre n’existe pas
Le Premier Ministre a démenti l’importation d’armes lourdes qui seraient déposées dans les locaux de Magro à Toamasina, contrairement à ce qu’a relaté un quotidien. 
Il a été catégorique : “Ces armes n’ont jamais existé. Ceux qui prétendent le contraire devraient apporter des preuves”.
Respect de la légalité
Concernant les manifestations dans les universités, le locataire de Mahazoarivo a indiqué que le gouvernement respecte et reconnaît le droit de faire la grève. Cependant, il désapprouve et sanctionne les méthodes violentes (barrages, jets de pierres...) et allant à l’encontre des législations. D’où les arrestations des fauteurs de troubles. Autrement dit, le gouvernement ne prend des mesures de sécurité qu’au cas où les revendications ne se dérouleraient pas dans la légalité. Le Premier Ministre a réitéré que certains politiciens utilisent les étudiants pour assouvir leurs ambitions. Les agents de renseignements sont à pied d’oeuvre pour les démasquer et pour rassembler les preuves. On ne doit pas alors s’étonner si arrestations il y aura.
auteur : Recueillis par Fano R. 


Express Mada  20/05/2005

LA VANILLE VA MAL - LE COURS MONDIAL DÉGRINGOLE
La préparation de la vanille pour l’exportation exige beaucoup de main-d’œuvre.
L'avenir de la vanille malgache est critique. Les opérateurs tirent la sonnette d'alarme, la situation est grave.

La situation ne s'améliore pas pour la vanille malgache. Enclenchée depuis la dernière campagne, la fluctuation du prix de la vanille sur le marché mondial n'est pas à l'avantage des producteurs malgaches. Madagascar, premier producteur mondial de vanille, souffre de la baisse de la consommation au niveau mondial. “La demande a été très faible face à l'offre”, tenait à expliquer le président du groupement national des exportateurs de vanille (Gnev), Claude Andréas. La production mondiale en vanille est estimée actuellement à 2 400 tonnes face à une demande tournant autour de 1 000 tonnes. 
Le contexte était pourtant excellente il y a quelques années. Le prix du kilo de vanille était négocié à 450 dollars. Une opportunité que les producteurs malgaches n'ont pas voulu laisser passer. Plusieurs sites de production se sont créés depuis la campagne 2003-2004. Madagascar a fourni en 2003 les 62,30 % des 2284 tonnes d'importation mondiale.
A cette situation s'ajoute l'arrivée d'autres exportateurs sur le marché mondial comme l'Indonésie, la Papouasie, l'Inde, l'Ouganda, les Comores. Lors de la campagne 2004-2005, le cours de la vanille a chuté à 50 dollars, surtout expliqué par la surproduction. 

Pour Madagascar, la quantité de vanille invendue, lors de la dernière campagne, est estimée à 500 tonnes. Une quantité qui s'ajoutera à la production de la campagne 2005-2006 qui est évaluée à 1 000 tonnes. Le cours actuel de la vanille tourne aux environs de 45 dollars le kilo. La vanille malgache va mal. 
Organisation interne. L’or vert se trouve dans une mauvaise passe.
Les différents acteurs de la filière vanille ont décidé depuis l'année dernière de s'organiser, d'une part pour conserver la place de la Grande Ile au niveau mondial et d'autre part, pour faire face à d'éventuelles crises sociales. Les principaux acteurs de la filière vanille de Madagascar sont estimés à 80 000 familles de planteurs dont la majeure partie est recensée dans la région de Sambava, Vohémar, Andapa et Antalaha (Sava). Des chiffres de 2003 font état d'environ 32 exportateurs dont 5 seulement exportent plus de 100 tonnes. 
Depuis l'année dernière, Sambava a accueilli l'atelier sur la vanille. Au mois d'octobre se sont tenues des assises internationales organisées par le Groupement des entreprises de la Sava (Ges). Les 17 et 18 mai s'est tenu un atelier sur la vanille. Des dates ont été avancées pour le début de la campagne dans les zones d'exploitation. De nouvelles résolutions ont été prises, mais la préservation de la qualité reste une préoccupation pour les différents acteurs de la filière. 
Les ateliers de concertation ont été organisés pour permettre aux opérateurs de s'organiser en vue de cet objectif. Mais les ateliers se suivent sans pour autant trouver une issue de secours valable pour la filière. D'un autre côté, le pouvoir central peine à porter assistance à l'une des filières les plus porteuses de l'économie malgache. La vanille figure parmi les principales sources de recettes d'exportation avec les produits halieutiques. 
Préserver la qualité. L’excellente qualité de la vanille malgache n’est plus à démontrer.
“Il est nécessaire pour les acteurs de la filière de s'organiser”, martèle le président du Gnev. “Nous devons tout faire pour préserver la qualité de la vanille de Madagascar , il faut profiter et conserver cette place de leader”, poursuit Claude Andréas. Une seule option se présente : l'optimisation de la qualité des produits exportés. 
Bon nombre d'exportateurs ne respectent pas encore les nouvelles dispositions prises. Certains commencent la campagne bien avant la date prévue, d'autres mélangent toujours les vanilles d'exportation avec des vanilles hors normes. La convention de traçabilité exigée par les Etats de l'Union européenne servira à renforcer le respect de la qualité dans la production. 
Depuis le début de l'année 2005, la vanille, en tant que produit d'exportation, est soumise à un régime strict en matière de qualité. “Il est nécessaire de mettre la vanille malgache aux normes”, souligne Claude Andréas. Les pays d'Europe constituent les principaux importateurs du produit malgache. “Il y a des normes européennes auxquelles nous devons nous conformer”, tient à remarquer le président du Gnev.
“Nous devons mettre en place un système de normalisation qui nous permettra de mieux nous positionner sur le marché mondial”, poursuit-il. Les Européens exigent une réglementation stricte sur la traçabilité des denrées alimentaires, dont la vanille, et ceci selon la loi 178-2002. 

Doda A. 


Midi Mada 24/05/2005

RFI. L’expulsion déguisée d’Olivier Peguy expose les Gasy à un éventuel retour de manivelle de la part des autorités françaises, en matière de visas.
Risque de mesures de rétorsion ?
« Je pars la tête haute », disait Olivier Peguy dans son communiqué de …dernière heure. Mais contrairement au correspondant de RFI, bon nombre de nationaux – y compris les journalistes - risquent de revenir la tête basse de la France ou de son consulat à Ambatomena.
R.O.

Et pour cause, les autorités françaises pourraient fort bien ou mal (c’est selon), rendre la monnaie de leur ariary aux Malgaches. Et ce, en vertu également de leur pouvoir discrétionnaire et souverain. Et qu’on n’a pas non plus à motiver Place Beauvau ni au Quai d’Orsay. Un parallélisme des formes de bon ou de mauvais aloi – c’est fonction de la position où l’on se trouve – dont les Malgaches demandeurs de visa ou d’un permis de séjour en France, risquent d’en faire les frais. Qui plus est, avec les nouvelles dispositions prises par Dominique de Villepin en matière d’immigration. 
Précédents
D’aucuns pensent, à tort ou à raison, que d’éventuelles mesures de rétorsion de la part de la France seraient injustifiées sinon disproportionnées, en ce sens que l’acte pris ou que les autorités malgaches se sont plutôt abstenues de prendre, en l’occurrence, l’autorisation d’emploi indispensable au renouvellement de son permis de séjour, concerne uniquement Olivier Peguy et non plusieurs membres de la communauté française dans la Grande Ile. Seulement, un journaliste expulsé pourrait en valoir cent ou mille au regard de la France où il y a eu des précédents avec la mésaventure toute récente de Georges Malbrunot et Christian Chesnot puis celle toujours en suspense de Florence Aubenas, qui mobilisent et mettent en émoi l’opinion ainsi que les pouvoirs publics. Quand bien même Tana ne serait pas Bagdad, avec l’expulsion d’Olivier Peguy qui n’en est pas une, dixit le « Fanjakana », quoique le résultat soit le même, le pays, à tout le moins le régime, aura mauvaise presse.
« Déni de démocratie »
En tout cas, cette expulsion qui ne dit pas son …NON, sera immanquablement interprétée comme une tentative de museler ou de contrôler – c’est bonnet blanc, blanc bonnet – les médias. Pire, il n’est pas exclu que les échos du départ forcé du correspondant de RFI dépassent les frontières de l’Hexagone. On se souvient que, dans son message adressé le 3 mai, à l’occasion de la Journée Mondiale de la Presse, le secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan a assimilé « les entraves à la liberté de la presse comme un déni de démocratie ». De toute façon, même si des mesures de représailles sont peu probables de la part des autorités françaises dont les interventions furent vaines, des excès ou esprit de revanche ne sont pas à exclure de la part de certains responsables ou agents. En France comme à Madagascar où l’affaire Olivier Peguy ne plaide pas, mais pas du tout, en faveur de la réciprocité, en matière de visas, si ce n’est peut-être dans le sens du refus.


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ALL AFRICA.COM  26/05/2005

Antananarivo : la ville des mille a reçu le prix metropolis 2005    (Hanitra R.)
Antananarivo. La ville des mille a reçu le prix metropolis 2005 pour la réalisation du projet de réaménagement d'anosibe et de ses environs. « le monde constate le changement », dixit le maire.
Lauréate du Prix Metropolis ou le « Metropolis Award 2005 », la ville d'Antananarivo- Renivohitra peut être fière d'être, cette année, la première ville au monde dont l'effort de changement a été récompensé. Ce prix est, en effet, destiné à récompenser un projet exceptionnel dans les domaines de l'environnement, de l'éducation, de la santé, de l'habitat, des transports et de la création d'emplois.
Pour Tanà, c'est le projet d'aménagement de tout Anosibe qui lui a valu les mérites de ce prix. Le maire Patrick Ramiaramanana vient de le recevoir à Berlin. Déjà de retour, il n'a pas manqué, hier, lors de la cérémonie d'ouverture de la « Vitrine sur les 27 fkt » dans le Vème arrondissement, de manifester sa joie et de partager sa fierté avec la population. « Le monde commence à constater les bons changements qui s'opèrent à Madagascar », a-t-il confié. Après Tana, le second prix a été décerné à Séoul et le 3ème à Istanbul. Signalons également l'élection de Patrick Ramiaramanana au poste de vice-président régional Afrique au sein du Conseil d'Administration de Metropolis. Le réseau des villes Metropolis, rappelons-le, rassemble les grandes métropoles et les capitales à travers le monde. Il représente ainsi plus de 80 villes de plus d'un million d'habitants.
Mahamasina et Andohalo
L'occasion d'hier, a été saisie par le premier magistrat de la ville, de rappeler les actuels et prochains challenges qui l'attendent. « Tana arbore un nouveau visage aujourd'hui. Des jardins embellis ou créés, des kilomètres de ruelles, des CBS, blocs sanitaires, bassins et bornes fontaines créés ou réhabilités, des marchés réhabilités et remis en ordre, etc. La population en est la première bénéficiaire. Mais d'autres travaux attendent. Il faudrait, cependant, que tous les acteurs y mettent du leur et commencent ce qui peut l'être sans attendre les autres. Les appuis peuvent ainsi arriver plus facilement ». Une manière pour le maire de rappeler que les projets de développement ne sont pas uniquement une affaire de la commune ou de l'Etat mais de tout usager et futur bénéficiaire. Sur ce chapitre, l'embouteillage légendaire de l'axe Analamahitsy - Ambohitrarahaba a été cité en exemple. La remise en état de la rue menant d'Androhibe à Antanandrano en est une possible solution. Usagers, riverains, responsables de quartier et autres savent donc à quoi s'en tenir. Au chapitre des futurs travaux, Mahamasina sera réaménagé. Outre les terrains de jeux sportifs, les espaces de loisirs seront créés. De même, le jardin d'Andohalo sera réhabilité.
Conférence nationale : le maire dit non à la politique politicienne !   (Val A.)
Si on lui demande l'autorisation pour l'utilisation des places et autres endroits sous la direction de la CUA, Patrick Ramiaramanana refusera. 
« Antananarivo n'est pas le théâtre de la politique politicienne. Nous sommes à l'heure du développement et non à ces balivernes politiques ». C'est ce qu'a répondu le maire de la ville, Patrick Ramiaramanana, à la question de savoir s'il donnerait ou non autorisation à l'utilisation des places et endroits sous la responsabilité de la Commune urbaine d'Antananarivo, au cas où les initiateurs de la conférence nationale la lui demanderaient.
Pour le Premier magistrat de la capitale de Madagascar, « le débat politique a son lieu tout indiqué, notamment le Parlement, dont l'Assemblée nationale ». « Nous venons de suivre hier (ndlr : avant-hier) les débats à Tsimbazaza. C'était la traduction réelle d'une véritable démocratie », a-t-il déclaré, avant d'ajouter que « les acquis en matière de développement pour notre capitale ont valu pour la ville l'estime de plusieurs nations développées. C'est dans cette optique que nous, responsables, avec l'appui des habitants d'Antananarivo, avons le devoir de les préserver. Notre responsabilité, c'est de garantir le développement, pour la ville et ses habitants, et non le contraire ». Cette « estime » dont Patrick Ramiaramanana parle s'est traduite par la consécration de la capitale lors du 8e Congrès mondial de Metropolis à Berlin du 11 au 15 mai derniers. En effet, « Antananarivo a été élue meilleure ville sur 19, lauréate ainsi du Prix Metropolis Award 2005, pour avoir réalisé une performance en matière de changement notamment en ce qui concerne la réhabilitation sociale, environnementale, et éducative sur l'aménagement d'Anosibe ». Séoul a été élue en seconde position et Istanbul en troisième place. Cette « estime » est illustrée également par la confiance accordée à Patrick Ramiaramanana, élu vice-Président Régional Afrique au sein du Metropolis. Celui-ci rassemble les grandes métropoles et les capitales de plus de un million d'habitants à travers le monde dont Paris, Sydney, Istanbul, Pretoria, Bamako, Dakar, etc. L'objectif principal est d'améliorer la qualité de vie des habitants de ces cités par un échange d'expériences, un transfert de savoirs et une coopération dans tous les domaines. Cette « estime » s'est renforcée au cours de la récente réunion, à Pretoria, à laquelle assistait le maire, organisée par « Cités et Gouvernements Locaux Unis d'Afrique », où Antananarivo a été pris en exemple pour sa performance quant à la mise en oeuvre des partenariats entre locaux, gouvernements et dirigeants de ville. Le principal objectif étant d'intégrer la gestion de ville et tous ses paramètres au sein de la grande structure de l'Union africaine. Enfin, cette « estime » dont jouit la capitale de Madagascar sur le plan international se traduit également par la tenue du Congrès du Métropolis à Antananarivo en 2007. Autant de gages pour la capitale et on comprend fort bien pourquoi le Maire et ses collaborateurs tiennent à préserver une telle image face à l'assaut des politiciens dont les objectifs sont tout autre.


Malango.net   26/05/2005
La presse et les médias : Madagascar : Les médias malgaches se caractérisent par une liberté, une variété et une vitalité certaines.
La libéralisation du secteur de l’information est effective et remonte à la fin des années 80. A la fin de 2003, l’Ordre des journalistes comptait 694 journalistes (contre 468 fin 2002) et l’on recense en mars 2004 229 stations de radio (dont 26 publiques, 9 dites « de convention gouvernementale », 120 privées, 29 en cours de régularisation et 45 irrégulières) et 27 chaînes de télévision (dont 6 publiques, 16 privées et 5 en cours de régularisation), huit journaux quotidiens (dont cinq paraissant partiellement en français et le sixième entièrement en français), plusieurs hebdomadaires, mensuels ou périodiques. La culture informatique progresse rapidement, avec 13 000 internautes dans le pays (estimation début 2003) et une progression estimée de 2 000 internautes supplémentaires chaque année (en 2004, il y aurait un internaute sur 100 habitants à Madagascar, soit dix fois moins que la moyenne mondiale). La presse est libre à Madagascar, il n’y a pas de censure officielle ni d’organe étatique de régulation. Une réflexion est en cours pour proposer un cadre éthique de travail à la profession (Code de la Communication). 


MIDI  MADA  25/05/2005
TRANSPORT AERIEN. Plus de fréquences de vols pour les compagnies aériennes, plus de sièges pour les touristes, la haute saison s’annonce faste. 
Tarifs en baisse au départ de Paris 
Une bonne nouvelle pour les touristes qui veulent venir à Madagascar au départ de Paris. Les Compagnies aériennes ont baissé leur tarif en cette entame de la haute saison touristique. L’on apprend alors de certains responsables de compagnies aériennes que les touristes déboursent actuellement près de 500 Euros pour venir dans la Grande île. 
Didier Rambelo

Puisque ce marché obéit désormais à la loi de l’offre et de la demande, l’ACM (Aviation civile de Madagascar) acceptant le déséquilibre entre la compagnie aérienne nationale et les sociétés étrangères de transport aérien dans la Grande Ile, free sky aidant, les opérateurs ont donc pu baisser leur tarif. 
Supplémentaires
Cette baisse des tarifs est rendue possible grâce à des ajouts de fréquences supplémentaires opérées par les compagnies aériennes, notamment Air France, assurant maintenant cinq vols hebdomadaires et Corsair, bien connue pour son apport touristique et qui, à partir du 22 juin prochain, assurera un vol de plus par semaine. Durant la haute saison donc, avec les quatre fréquences hebdomadaires d’Air Mad. Madagascar sera relié à la Capitale parisienne par onze vols toutes les semaines. 
Selon les explications du représentant de Corsair à Madagascar, Vincent Désobry, ces fréquences supplémentaires ont été apportées, d’une part, pour accompagner la politique de développement du tourisme dans le pays et d’autre part, pour répondre à une demande de plus en plus croissante des touristes français qui manifestent un intérêt à venir dans cette île. Ce responsable de noter que l’une des manières les plus efficaces pour promouvoir la destination Madagascar est d’augmenter la capacité de sièges des compagnies aériennes.
500 000 touristes 
Avec onze vols par semaine, auxquels on ajoute les vols régionaux d’Air Mad et les nouvelles liaisons vers Milan et Bangkok, les compagnies aériennes travaillant à Madagascar offrent dans leur ensemble environ 300 000 sièges pour une année. On est encore loin des objectifs de 500 000 touristes de l’an 2007. Il faut cependant reconnaître que les compagnies aériennes ne ménagent pas leurs efforts pour tirer vers le haut le tourisme malgache. 
Mais bien sûr, le développement de ce secteur n’est pas l’affaire des seuls transporteurs aériens. Certes, ces derniers se félicitent des efforts entrepris par les autorités locales mais les autres opérateurs du secteur doivent également s’impliquer. Concernant la destination, les professionnels suggèrent la réorganisation des axes touristiques. Parallèlement, les infrastructures hôtelières devront suivre le rythme. Attendre et voir. 


JEUNE AFRIQUE  23/05/2005

Médecins sans Frontières quittent Madagascar 
ANTANANARIVO, 21 mai (XINHUANET) -- Médecins sans Frontières (MSF) , l'association humanitaire française présente à Madagascar depuis 1987, met fin à son programme "Enfants des rues d'Antananarivo" et quitte ce pays où elle ne peut plus faire face à la paupérisation croissante, a-t-on appris samedi auprès de cette association. 
"Depuis 1993, notre travail consistait à donner l'accès gratuit aux soins pour les enfants et leurs familles qui vivaient dans la rue. Or, aujourd'hui, 70% des habitants de la capitale sont pauvres. La différence entre les familles pauvres qui vivaient dans la rue et les autres s'estompe. Nous ne pouvons plus faire face et nous ne sommes plus pertinents", a expliqué samedi à la presse Brigitte Doppler, responsable de la mission MSF de Madagascar. 
Avec un budget de 250 000 euros, le programme MSF avait permis de distribuer 7 400 cartes d'accès gratuit aux soins pour les enfants et leurs familles et d'effectuer 15 000 consultations et 3 000 hospitalisations par an. 
"Ces dernières années, la détérioration de la situation socio- économique à Madagascar a renforcé la paupérisation, en particulier à Antananarivo. Il s'agit aujourd'hui de lutte contre la pauvreté. Il n'est ni dans le mandat, ni dans les compétences de MSF de se substituer aux autorités et de prendre en charge l'accè aux soins de l'ensemble de la population pauvre d'une ville ", indique Graziella Godain, directrice adjointe des opérations de MSF, sur le site Internet de MSF. 
Quelque 10 000 sans-abri et déshérités vivent dans les rues d'Antananarivo, capitale de 1,4 million d'habitants, malgré la politique de "ville propre" lancée en 2003 par le maire. En 2004, l'inflation a atteint 28%. 
Le prix du riz, aliment de base des Malgaches, a progressé de près de 60%. 
L'ariary, la monnaie nationale, s'est déprécié de 70% entre décembre 2003 et décembre 2004. 
MSF est arrivé à Madagascar en 1987, pour un programme d'urgence dans le grand sud qui a duré cinq ans, en réponse à une grave crise alimentaire liée à la sécheresse. Outre ce programme pour les enfants des rues, ouvert en 1993, MSF a conduit des programmes dans les prisons malgaches et contre la mulnutrition dans la capitale. Fin 


EXPRESS MADA   23/05/2005

OLIVIER PÉGUY INDÉSIRABLE - LE CORRESPONDANT DE RFI DÉGUERPIT
Olivier Peguy a pris l’avion hier soir après avoir servi quatre années comme correspondant de Radio France Internationale
Drôle de départ pour le correspondant de la RFI. Olivier Péguy abandonne “à contrecoeur” son poste à Antananarivo.
Silence radio à Radio France internationale (RFI). Olivier Péguy, journaliste français correspondant de la station métropolitaine quitte hier le pays “à contrecoeur”. Le non-renouvellement par le gouvernement de l'autorisation d'emploi du journaliste provoque ce départ précipité. 

“Le gouvernement donne par écrit, un avis défavorable au renouvellement de mon autorisation d'emploi. C'est la raison pour laquelle je ne travaille plus depuis bientôt six semaines”, explique Olivier Péguy dans un communiqué. Sans ce document, ce dernier est obligé de partir à cause de l'absence d'autorisation d'emploi du gouvernement. 
“Ce document fait partie des papiers administratifs au permis de séjour pour les étrangers. Or, mon permis de séjour a expiré. Je me vois donc contraint de quitter le territoire, pour ne pas me trouver en situation irrégulière”, souligne le journaliste. 
Le journaliste français “ignore” pourtant les raisons qui ont motivé l'administration à agir ainsi. 
Olivier Péguy anticipe pourtant qu' “il n'y a pas de mesure d'expulsion à son encontre”. Pourtant, le cheminement de l'affaire ressemble fort à une invitation au départ du journaliste qui ne dit pas son nom. 
Selon l'intéressé, des interventions à différents niveaux ont été entamées pour trouver une solution à son cas. Celles-ci sont restées vaines. L'ambassade de France, l'ambassade d'Allemagne en passant par la direction de RFI à Paris ou les responsables de la Deutsche Welle à Berlin n'ont pas pu infléchir 

le gouvernement dans sa décision, souveraineté nationale oblige. Le journaliste français ne souhaite pourtant pas ajouter d'autres commentaires sur l'affaire. 
Le journaliste part pourtant “la tête haute” et sans regret. “J'assume tout ce que j'ai pu dire et écrire, en dépit des critiques qui ont été formulées notamment lors des événements de 2002. Et s'il fallait le refaire, je ne changerais pas une seule virgule à mes sujets de reportage. Je n'ai fait que mon métier de journaliste, le plus honnêtement possible”.
Conséquences.

Devant ses confrères de la presse, le journaliste de RFI n’a pas tenu à faire des déclarations.
En tout cas, le départ d'Olivier Péguy n'est pas pour arranger l'image du régime aux yeux de la communauté internationale. D'autant qu'une telle affaire ne pouvait pas plus mal tomber, dans ce climat politique soumis à de fortes perturbations internes.
Ce sortant de l'Ecole supérieure de journalisme de Lille arrive comme pigiste à Madagascar au fort moment de la crise post-électorale de 2002. Tour à tour, les protagonistes de l'époque fustigent la couverture du journaliste de la RFI de l'événement. A l'époque, la lutte pour attirer les faveurs de l'opinion internationale battait son plein. Le canal offert par RFI fait partie des plateaux pour la conquête de la communauté internationale. 
Ironie du sort, le correspondant de la station française quitte Madagascar au moment où le pays s'apprête à passer une turbulence politique. Le bras de fer entre le gouvernement et l'opposition constitue un baril de poudre qui peut exploser à tout moment. La tenue de la conférence nationale initiée par 

l'opposition pourrait devenir une fâcheuse parenthèse au pouvoir du président Marc Ravalomanana. Côté diplomatique, les conséquences de ce départ sont encore incalculables. Ce qui est sûr, ce qu'il n'augure pas de bonne chose avant la visite officielle du président français à Madagascar. Sauf changement de dernière minute, Jacques Chirac devra assister au sommet de la Commission de l'océan Indien, prévu au mois de juillet. A moins que le gouvernement trouve une parade pour “motiver” sa décision.
1 500 sujets sur Madagascar en 4 ans.

De nombreux amis ont tenu à saluer Olivier Péguy, hier soir à Ivato.
Olivier Péguy arrive à Madagascar en janvier 2002 en qualité de journaliste. En quatre ans de présence dans la Grande île, il a réalisé plus de 1500 sujets qui touchent tous les domaines. 
Pendant son séjour au pays, le journaliste de la RFI collabore également avec d'autres stations étrangères dont RFO La Réunion, TV5, France Inter ou encore Deutsche Welle. 
Ce diplômé de l'Institut supérieur de journalisme de Lille et de l'Institut d'Etudes politiques a fait du chemin avant de débarquer dans la Grande île. Olivier Péguy a déjà servi à la Radio Suisse Romande et au Qatar Broadcasting. Il a également servi aux RFO, RFI et LCI. Services, RFO, RFI, 

 Avec le départ de son correspondant, la RFI n'a pas encore réagi. L'on ne sait pas si la station va envoyer d'autre journaliste pour couvrir les actualités malgaches. Depuis mi-avril, les événements concernant Madagascar n'ont plus passé sur les ondes du RFI.

Iloniaina A. 


Echo du Capricorne  20/05/2005

Le Prophète et le Président de Raharimanana

LA SOIF DU POUVOIR
Un asile. Deux fous. Le Prophète et le Président. Les deux personnages vont pousser à l’extrême leurs folies et leurs soifs du pouvoir, assassinent les seuls gardiens affectés à cet endroit et délivrent les autres fous afin de régner sur eux. Satire cruelle, l’on se demande où se situe la barrière séparant la folie du monde extérieur de la folie des aliénés. Le prophète a un discours qui rappelle les liens du peuple au religieux tantôt comme un salut, tantôt comme une servitude, voire un aveuglement qui évolue en fonction des événements extérieurs tandis que le Président, jonglant entre les discours de la démocratie et de la mondialisation, ne songe qu’à manipuler l’opinion et préserver son pouvoir. 

Le 28 juillet 1999, lors du premier passage de l'écrivain Raharimanana sur l'émission Echo du Capricorne, il déclare à propos de la pièce "Le prophète et le président" qu'il a écrite en 1989: 

" J'avais l'impression qu'à madagascar, on avait deux discours : un discours sur la religion, incarné par une certaine personnalité politique existante, et également un discours politique. Donc le président c'est quelqu'un... que je ne citerai pas, et le prophète, de même. Ces deux personnages, je l'ai ai mis dans un asile. (...) ils 

 essayent par tous les moyens d'avoir le pouvoir sur les autres fous. Ces derniers représentent ceux qui écoutent leurs discours et ceux qui se font piéger par ces discours sur la religion et la politique !

Voilà ce que je raconte dans cette pièce, dans cette farce."

entretien retranscrit intégralement sur sle site www.echoscapricorne.org

A partir du 17 mai au 25 juin 2005 au théatre des Déchargeurs, une grande première à Paris : 30 représentations de la pièce 'Le prophète et le président' écrite et mise en scène par l'écrivain Raharimanana ! ....       + Savoir plus >>


Nosintsika  16/05/2005

Les conclusions de MSF 

Article glané sur les indications de http://gazety.malagasy.org 
Les conclusions de MSF sont peut-être à analyser avec en filigrane les actions de nos politiques et technocrates contre la pauvreté :
"ces dernières années, la détérioration de la situation socio-économique à Madagascar a renforcé la paupérisation, en particulier à Tananarive. Aujourd'hui 70% de la population de la capitale vit en dessous du seuil de pauvreté. La différence entre les familles pauvres qui vivaient dans la rue et les autres s'estompe. Si les gens n'ont plus accès aux soins, c'est parce qu'ils sont pauvres et non plus parce qu'ils vivent dans la rue et sont discriminés. Or la prise en charge médico-sanitaire de la population pauvre est une question d'ordre politique, économique et sociale, qui relève des pouvoirs publics. Il s'agit aujourd'hui de lutte contre la pauvreté ..."
@ + Les moderateurs Nosintsika

Les raisons d'une fermeture
Après dix ans de présence continue à Madagascar, nous fermons notre programme auprès des enfants en situation difficile à Tananarive, la capitale. Graziella Godain, directrice adjointe des opérations, explique les raisons de cette fermeture. » 
QUELLES SONT LES RAISONS DE LA FERMETURE DU PROGRAMME DE MSF AUPRÈS DES ENFANTS EN SITUATION DIFFICILE À TANANARIVE ? 

Tout d'abord nous fermons car nous avons rempli une partie des objectifs que nous nous étions assignés il y a dix ans, en ouvrant ce programme auprès d'une population spécifique, celle des enfants et des familles vivant dans les rues de Tananarive, la capitale malgache. Ensuite, notre programme ne touche plus aujourd'hui cette population spécifique mais une population plus large, dont la caractéristique est de vivre dans la pauvreté.
Cette évolution est un des effets de la politique "d'assainissement" menée depuis 2002 par les autorités de Tananarive, qui a consisté à chasser du centre ville les personnes en situation précaire vivant dans la rue pour les " réinsérer " dans des sites ruraux. Nombre de ces familles, refusant d'être déplacées ou ne voyant pas leurs conditions de vie s'améliorer sur les sites prévus à cet effet, sont revenues assez vite en ville, poussées par le manque de nourriture, le manque d'argent, ou des problèmes de santé.
Les sans-abris restés en ville s'efforcent d'éviter les harcèlements de la police municipale et sont de ce fait moins visibles dans la rue. Mais leur sort ne s'est pas vraiment amélioré, puisqu'ils n'ont au mieux pour tout abri provisoire que des cartons ou des sachets en plastique.
De plus, ces dernières années, la détérioration de la situation socio-économique à Madagascar a renforcé la paupérisation, en particulier à Tananarive. Aujourd'hui 70% de la population de la capitale vit en dessous du seuil de pauvreté. La différence entre les familles pauvres qui vivaient dans la rue et les autres s'estompe. Si les gens n'ont plus accès aux soins, c'est parce qu'ils sont pauvres et non plus parce qu'ils vivent dans la rue et sont discriminés. Or la prise en charge médico-sanitaire de la population pauvre est une question d'ordre politique, économique et sociale, qui relève des pouvoirs publics. Il s'agit aujourd'hui de lutte contre la pauvreté... Il n'est ni dans le mandat, ni dans les compétences d'une organisation humanitaire comme Médecins Sans Frontières de se substituer aux autorités et de prendre en charge l'accès aux soins de l'ensemble la population pauvre d'une ville.
» VOUS AVEZ DÉJÀ ÉTÉ CONFRONTÉS À CE TYPE DE PROBLÉMATIQUE SUR D'AUTRES MISSIONS, POURQUOI REMETTRE EN QUESTION LE RÔLE DE MSF AUJOURD'HUI DANS CES CONTEXTES ?
En effet, dans les dix ou quinze dernières années, MSF a mis en place des projets visant à améliorer l'accès aux soins des plus pauvres, en participant aux réformes des systèmes de santé publics. Ce fut le cas par exemple au Yémen et en Guinée. Malheureusement, ces expériences ont été des échecs et nous ont montré que nous étions incapables, en tant qu'organisation humanitaire privée, de peser d'une quelconque manière sur l'amélioration de l'accès aux soins.
» QUELS ÉTAIENT LES OBJECTIFS DU PROGRAMME DE MSF ? ONT-ILS ÉTÉ REMPLIS ?
Nous nous étions donné comme objectifs généraux de limiter la mise en danger d'une population exclue et stigmatisée dans les espaces de violence que sont la rue et les institutions fermées, et de rétablir cette population dans le droit commun, en particulier en matière d'accès aux soins.
Nous avons démontré que ces personnes vivant dans la rue connaissaient de véritables problèmes de santé, et pas seulement des problèmes économiques et sociaux, et qu'il était possible de les soigner. Aujourd'hui, elles ne sont plus particulièrement stigmatisées et devraient pouvoir être accueillies dans le dispositif médical commun au même titre que le reste de la population malgache.
Nous avons participé à la relance des procédures d'acquisition d'un état-civil pour toutes ces personnes qui vivaient sans identité, donc sans pouvoir exercer leurs droits.
Enfin, en collaboration avec les pouvoirs publics, nous avons oeuvré à l'amélioration des conditions de vie dans les centres de détention pour mineurs, voire à la fermeture des plus maltraitants. En identifiant les dysfonctionnements du système judiciaire à l'encontre des mineurs, nous avons pu faire diminuer le nombre de détentions arbitraires et ainsi soulager les effectifs des centres et des prisons.
» QUELS SONT LES POINTS QUI RESTENT CRITIQUES ?
En pratique, les personnes indigentes ont encore beaucoup de mal à avoir accès gratuitement aux soins de santé primaire dans le système de santé public. Si les consultations sont gratuites, les médicaments restent indisponibles ou trop coûteux pour les plus pauvres.
Mais le problème le plus aigu reste celui de l'accès aux soins d'urgence médicale ou chirurgicale dans les hôpitaux. En l'absence d'un système public de gratuité des soins d'hospitalisation pour les indigents, les personnes qui, jusqu'ici étaient prises en charge par MSF, n'ont aujourd'hui aucune alternative. Pas plus d'ailleurs que les 70% de la population de Tananarive qui vivent dans la pauvreté et n'ont pas les moyens de payer les médicaments, les examens complémentaires et les repas qui restent à leur charge en cas d'hospitalisation.
Malgré une nette amélioration ces dernières années, les procédures d'obtention des états-civils restent encore trop complexes. Les mairies de quartier ne les prennent pas suffisamment en charge et se reposent trop sur les associations. C'est pourtant le rôle des pouvoirs publics d'enregistrer gratuitement les citoyens dès leur naissance.
Enfin, un certain nombre de garde-fous doivent être mis en place pour que le dispositif légal, qui protège désormais les mineurs délinquants, soit réellement fonctionnel. Il ne faudrait pas que les placements arbitraires reprennent et engorgent de nouveau les prisons.
» EST-CE QUE MSF ENVISAGE DE CONTINUER À INTERVENIR À MADAGASCAR ?
Comme partout ailleurs, MSF continuera à intervenir dans la mesure du possible lors de situations de catastrophes naturelles ou d'épidémies qui pourront surgir à Madagascar, car cette activité est au coeur de notre mission humanitaire. Nos expériences passées nous permettent aujourd'hui de mieux comprendre la dimension médico-nutritionnelle de ces situations et de pouvoir y répondre. Le fait d'avoir ou pas un programme ouvert en permanence à Madagascar ne change rien à notre volonté de venir en aide aux populations malgaches en cas de crise majeure.


SOBIKA 23/05/2005

Communiqué de Olivier Péguy 
Par ce communiqué, je vous informe de mon départ imminent (ce dimanche soir) de Madagascar.
Après 4 ans de séjour ici, je procédais depuis quelques mois au renouvellement de mes papiers administratifs, conformément aux procédures en vigueur. Or, pour une raison qui ne m'a pas été précisée, les autorités ont donné par écrit, un avis défavorable 
au renouvellement de mon autorisation d'emploi. C'est la raison pour laquelle je ne travaille plus depuis  bientôt six semaines.
Les efforts entrepris notamment par l'Ambassade de France, par la direction de RFI à Paris, par l'Ambassade d'Allemagne et par les responsables de la Deutsche Welle à Berlin, pour amener les autorités malgaches à revenir sur leur décision, sont restés vains.
L'autorisation d'emploi est un des documents indispensables au permis de séjour pour les étrangers. Or, mon permis de séjour a expiré. Je me vois donc contraint de quitter le territoire, pour ne pas me trouver en situation irrégulière. Je quitte le sol malgache ce dimanche 22 mai au soir.
En l'état actuel des choses, je ne souhaite pas apporter de commentaires par rapport à la situation dans laquelle je me trouve. Ce communiqué contient tout ce que j'ai à dire pour le moment.
Je remercie celles et ceux, Malagasy et étrangers, qui, à leur niveau, ont essayé de plaider en ma faveur, pour éviter d'en arriver là. Je salue celles et ceux que j'ai eu le plaisir de côtoyer dans l'exercice de ma profession. J'aurais souhaité que cela dure plus longtemps !
Je pars, la tête haute.
Olivier Péguy


Wanadoo.mg    24/05/2005

Football : l’Ajesaia pour une structure plus professionnelle !
"L’Ajesaia fonctionnera désormais avec un vrai centre de formation digne de ce nom". La déclaration est du manager général de ce club, Mamisoa Ratsimanetrimanana, au cours d’une réception qui s’est tenue à l’espace Vatomanga, samedi dernier. 
Une rencontre qui a permis à l’Ajesaia de convier ses amis et ses bienfaiteurs autour d’une table et sous les airs de Fiesta Music. Une ambiance de fête, en somme, mais mise à profit pour parler de l’avenir de cette formation qui rentre d’un déplacement victorieux au Mondial Pupilles de Plomelin, un événement planétaire. 
Logiquement en effet, cette retentissante victoire a servi de déclic pour une reconnaissance tant par l’Etat que pour les nombreux mécènes locaux et étrangers.
C’est d’ailleurs en réponse à ces aides massives que l’Ajesaia entend remodeler ses structures pour qu’elles puissent avoir une touche plus professionnelle. « Nous allons commencer par ouvrir un centre de formation payant », révèle Mamisoa Ratsimanetrimanana qui rajoute qu’en attendant, l’équipe restera fidèle à sa politique, notamment en ce qui concerne le tournoi national Ajesaia qui va se tenir, cette année, à Ambatondrazaka, et qui va permettre aux techniciens de détecter d’autres talents à l’image de Kassa Voavy, le meilleur butteur de Plomelin qui nous vient de Maintirano. 
« Nous avons, certes, de bons techniciens mais dans le cadre d’un partenariat, un entraîneur étranger viendra étoffer le staff technique du club », confie pour sa part le Président du club, Jasmina Ravelonarivo. 
En clair, l’Ajesaia entend bien se mobiliser pour améliorer ses résultats. Mais elle ne pourrait pas assumer seule cette lourde responsabilité. Un soutien conjugué du ministère de la Jeunesse et des Sports et de la Fédération Malgache de Football serait d’ailleurs le bienvenu. Du moins si on ambitionne toujours de sauver ce qui peut encore l’être. 
Clément RABARY 
©Midi-Madagasikara 

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