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a les yeux braqués sur Madagascar ...

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Maro ny vaovao azo aroso ho anareo eto amin’izao faran’ny herinandro
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Express
Mada 04/06/2005
CONFERENCE NATIONALE-L'OPPOSITION DECIDEE A ALLER JUSQU'AU BOUT
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Les dirrigeants des forces vices de 1991 se retrouvent en 2005 à Andoharanofotsy
Le sort en est jeté. A l'occasion de l'ouverture de la conférence nationale hier, l'ancien président Zafy Albert demande au participants de “ne jamais abandonner la lutte. Il faut achever l'œuvre déjà commencée”. A l'image du discours de l'homme au chapeau de paille qui résume le sentiment animant les tenants de la conférence nationale, malgré les péripéties
ici et là.
“Il ne faut pas s'arrêter tant qu'on n’atteint l'objectif fixé. Il ne faut pas également dévier de cet objectif”, lance le professeur Zafy Albert devant une foule acquise à la cause de la conférence nationale. La déclaration de l'homme au chapeau de paille sonne comme un message de réconfort à tous les participants de la conférence
nationale.
La déclaration de l'ancien chef de
l'Etat se veut être à l'image des participant. L'optimisme est de |
mise, lors de la première journée de la
conférence nationale hier. La confiance se lit sur les visages des participants et des organisateurs de l'événement,
malgré les imperfections d'organisation.
Il suffit d'entendre les estimations du nombre des participants livrées par les initiateurs du projet pour se rendre compte de cette confiance affichée. Les chiffres de 8 000, 12 000 voire 15 000 participants ont été avancés ici et là, même si cela s'avère un peu exagéré. “Ce chiffre va doubler d'ici la clôture”, pronostique même le sénateur Ramasy Adolphe, convaincu des problèmes rencontrés par tous ceux des provinces.
Mais l'absence de l'AVI et du MFM pourrait contrecarrer le projet de l'opposition. Tout le monde sait pourtant que l'absence de ces deux partis signifie de facto leur départ de la conférence nationale. Ce désistement écume du coup l'élargissement de l'horizon du sommet politique qui se veut être national. La présence de ces deux formations politiques garantit pourtant le débordement du cadre de l'opposition du projet.
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Point de non retour
“Le gouvernement d'union nationale n'est pas encore à l'ordre du jour. Cette structure n'est pas encore adaptée au contexte”, rattrape Zafy Albert. Cette déclaration du professeur pourrait être perçue comme un clin d'œil à ces partenaires,
encore en lice.
AVI et MFM ou pas, les tenants de la conférence ont intérêt à réussir leur coup. L'opposition semble atteindre le point de non retour. Les organisateurs de la conférence nationale ont l'obligation de résultats et ils sont condamnés à aller de l'avant. Tellement les surenchères, tant du côté de l'opposition que celui du gouvernement, ont atteint une proportion inimaginable.
On se souvient encore du défi lancé par le premier ministre Jacques Sylla aux députés à l'Assemblée nationale. “Allez-y, faîtes votre conférence nationale si vous êtes capables de réunir les |
10 000 personnes que vous avez annoncées”, titille le chef du gouvernement.
Une reculade de la part des organisateurs de la conférence nationale signifie la mort assurée de leur carrière politique, du moins sous le mandat du président Marc
Ravalomanana.
Le question qui se pose concerne maintenant l'orientation des options dans les résolutions mais aussi et surtout leurs concrétisations. Les organisateurs se réfugient derrière les participants pour éluder la question. “Ce sont eux qui vont définir les voies et moyens pour concrétiser les résolutions”, fait-on croire.
:Iloniaina A.
Midi
Mada 03/06/2005
VISITE PRESIDENTIELLE. Le Président malgache poursuit sa visite au Japon en rencontrant une vaste gamme de personnalités, de politique en économie.
Ravalomanana séduit les investisseurs japonais
Cent cinquante investisseurs japonais, issus de Japan External Trade Organization (JETRO), conduits par le président Osamu Watanabe, un peu l’équivalent des Chambres de commerce et d’Industrie, ont assisté hier après-midi, au Ark Mori Building, Tokyo, Japon, au séminaire sur les opportunités économiques à Madagascar, dirigé par le président de la République de Madagascar, Marc Ravalomanana. Une rencontre qui a duré une heure et demie, suivie d’une séance questions - réponses entre le Chef de l’Etat et les investisseurs japonais.
Val A
En un mot, il s’agissait pour le numéro Un malgache de séduire l’assistance. Il a ainsi présenté tous les atouts et reformes entamées par le gouvernement malgache afin d’attirer les investisseurs. Marc Ravalomanana a notamment cité la mise en place d’un climat propice, stabilité politique, reformes judiciaires, reformes douanières et fiscales, tout en mettant l’accent sur la confiance et la compréhension mutuelle entre Madagascar et ses partenaires. Le président de la République a également valorisé toutes les potentialités qui attendent d’être exploitées dans l’efficience : agriculture, pêche, agro-industrie, tourisme, etc.
Opportunités
Marc Ravalomanana a fait savoir à l’assistance que le statut géographique dont dispose Madagascar permettrait aux investisseurs de favoriser les échanges commerciaux entre l’Afrique et l’Asie. Avec les interventions du ministre des Affaires étrangères, le Gal Marcel Ranjeva, et de l’Ambassadeur malgache au Japon, Jocelyn Radifera, cette opportunité de rencontre avec les investisseurs japonais a été mise à profit pour faire sortir l’idée d’un « Madagascar, nouvelle terre et destination d’opportunités ». L’assistance, intéressée par certains secteurs ont notamment posé des questions relevant de leur domaine dont le textile, la pêche, le reboisement, etc. « Venez à Madagascar, nous n’allons pas vous décevoir », a conclu le président Ravalomanana, avant qu’une salve d’applaudissements n’ait envahi la salle. La semaine prochaine, des investisseurs viendront à Antananarivo pour des secteurs afin d’entamer les premières démarches.
Perspectives
Avant ce séminaire, le Chef de l’Etat malgache a été reçu par le Prince héritier, fils de l’Empereur du Japon, le Prince Naruhito. Une rencontre à huis clos avec celui qui va succéder à l’Empereur Akihito. Né le 23 février 1960, le Prince Naruhito est le président d’honneur de la Croix-Rouge du Japon. Diplômé de Merton College, Université d’Oxford, Grande-Bretagne, le Prince s’est spécialisé en Histoire. Il est marié à la Princesse Masako, diplômée en Economie de l’Université de Harvard, Etats-Unis. Le président de la République a déjeuné hier avec sept parlementaires japonais conduits par le Sénateur Muto. Un échange sur l’état des lieux des perspectives des relations entre les élus des deux pays. Hier toujours, Marc Ravalomanana a assisté à l’inauguration de la rénovation du local de notre ambassade au Japon, au 2-3-23, Moto-Azabu, Minato-Ku, Tokyo. Nous en reparlerons.
CONFERENCE NATIONALE. Les « pour » et les « contre » la tenue des assises d’Andoharanofotsy, auront campé jusqu’au bout sur leurs positions respectives.
Deux camps opposés !
Jour J pour la « conférence nationale unique 2005 » qui ne fait pas l’unanimité dans le microcosme. D’un côté, les « pour » et de l’autre, les « contre ». Deux camps opposés qui se renvoient à l’avance la balle, en cas d’éventuel débordement.
R.O.
« Ne touchez pas à Tana », préviennent les 7 députés Tim élus dans la capitale. « Tana appartient à tous les Malgaches. C’est la capitale du pays », répliquent les Alain Ramaroson, Charlotte Rafenomanjato, Max Rafransoa et tous les autres. « Nous sommes jaloux de Tana. De ses acquis et réalisations », déclarent les élus Tim. « Qu’est-ce qu’ils ont fait pour protéger Tana, durant les moments difficiles, pour ne rappeler que la crise 2002 durant laquelle la capitale manquait de tout, à cause des barrages anti-économiques ? », demande Alain Ramaroson. En lançant comme une boutade qu’il est « né en plein centre d’Analakely, au cœur de Tana ». Mais ce n’est pas pour autant qu’il en revendique le monopole puisque « la capitale n’appartient à personne. Fussent - ils des élus ».
Libertés
De toute façon, la conférence nationale ne se tiendra pas à Tana suite au veto du premier magistrat de la Ville, mais dans la propriété d’Alain Ramaroson à Andoharonofotsy où la commune a, par contre, donné son autorisation sous le numéro 217 COM/ADF. Les préparatifs battaient leur plein hier, dans le vaste domaine où l’on montait les estrades et les chapiteaux. Sans oublier les chaises, la sono, mais aussi et surtout le groupe électrogène. « En cas de délestage », expliquent les organisateurs qui rappellent insidieusement au passage que « le président du Conseil d’Administration de la Jirama n’est autre que le maire de Tana. Celui-là même qui a refusé d’héberger la conférence nationale, au mépris de l’article 10 de la Constitution qui garantit entre autres, « les libertés d’opinion et d’expression, de communication, de presse, d’association, de réunion, de circulation… ». A propos de la liberté de circulation, les bruits ont couru hier, que le pont de Tanjombato où il y a actuellement des travaux, serait fermé ce jour. « On ne pense pas que cela va être le cas, dans la mesure où l’atelier sur la mise à jour du DSRP à Iavoloha tombe, comme par hasard, le jour de l’ouverture de la conférence nationale », objecte-t-on, du côté d’Andoharanofotsy. Non sans faire remarquer que « lorsqu’il y a plus d’une coïncidence, ce n’est plus une coïncidence ». En effet, outre la date, les deux réunions se tiennent l’une et l’autre, dans l’Atsimondrano. Faut-il d’ailleurs rappeler, que pour les partisans du régime, « l’élaboration du DSRP tenait lieu de conférence nationale ». Un avis non partagé par les 3 « N » qui persistent et signent pour la tenue de ces assises. « Le pari sera tenu », assurait-on, hier, à la villa « Mon Plaisir » qui sera, pendant 3 jours, une auberge espagnole où les participants ne trouveront que ce qu’ils ont eux-mêmes apporté.
LITCHI. Madagascar a sa place sur le marché mondial et les opérateurs ne souhaitent qu’une chose : garder cette place de leader du marché mondial.
Vers une hausse des coûts de préparation de la campagne
Les professionnels de la filière litchi de Madagascar ne sont pas restés indifférents aux nouvelles réglementations de l’Union Européenne concernant les exportations de ce fruit qui fait depuis des années la réputation de la Grande Ile. A ce propos, les professionnels de la filière affirment que ces nouvelles exigences de l’Union européenne peuvent entraîner une hausse des coûts pour la préparation de la campagne.
Didier Rambelo
L’union européenne a en effet appliqué la règle de la traçabilité dans la filière litchi. Aussi, les pays d’origine de produits arrivés sur les marchés européens sont-ils identifiables. Cette règle, notent les opérateurs locaux, est déjà en vigueur depuis la dernière campagne. Mais l’autre réglementation, qui, pourrait causer quelques problèmes pour les exportateurs du pays, concerne l’exigence de l’UE selon laquelle, les palettes en bois, qui servent de semelles pour les cartons contenant les fruits doivent impérativement être traitées. «Nous ne sommes pas hostile à ce principe, mais la décision est tombée brusquement », devait déclarer un opérateur de la place. Et de poursuivre : nous ne savons même pas par quel produit nous devons traiter nos palettes. Et surtout, cela va augmenter les coûts de préparation de la campagne. Un facteur coût, qui suscite une question chez les professionnels de la filière : de quoi sera faite la campagne de litchi de cette année, une campagne dépendante également du prix sur le marché international.
Rappelons que le litchi de Madagascar se négociait à 0,8 euro le kilo lors de la campagne 2003-2004 et que le pays a pu expédier 17 000 tonnes de fruits de très bonne qualité vers les marchés européens. Les professionnels de la filière s’étaient dits satisfaits de la campagne précédente malgré le fait qu’ils n’ont pu écouler la production de la Grande Ile au prix qu’ils souhaitaient. Pour ce qui concerne cette année, les opérateurs préfèrent attendre la période de floraison des plants de litchi pour se prononcer.
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TIM
France
27/05/2005
Coopération-L'Italie efface la dette malgache
Source L' Express de Madagascar
Renforcement des relations déjà étroites entre les deux pays. C'est le point d'orgue des discours prononcés, hier, au Madagascar Hilton.Toast en l'honneur de la coopération entre Madagascar et l'Italie.
Des liens bien noués
Le montant des dettes malgaches effacées par la République d'Italie a été communiqué, hier, par Cinzia Catalfamo Akbaraly, Consul honoraire d'Italie, durant la célébration de la fête nationale italienne au Madagascar Hilton. C'est le 2 juin 1946 que le peuple italien a voté par référendum pour trancher "la question institutionnelle" du pays, par lequel les républicains ont vaincu les monarchistes. Tout au long de son discours, le Consul honoraire d'Italie a mis en exergue la coopération entre les deux pays sur le plan tant financier qu'humanitaire. Divers chiffres démontrant les aides allouées à l'Etat malgache ont été énoncés. Dernièrement, un don de riz d'un million euros a été octroyé, dont une partie de 400 000 euros est déjà reçue. L'Italie œuvre également dans la lutte contre les maladies infectieuses telles que le paludisme, la tuberculose et le sida, et cela par le biais du programme "Global fund". "Pour le gouvernement italien, l'aide publique au développement représente un instrument de politique étrangère" , précise-t-elle.
Etant un Etat très attaché à la religion catholique, l'Italie a commencé à s'impliquer à Madagascar en 1947, par l'intermédiaire des missionnaires jésuites. Et c'est dans ce cadre qu'ils interviennent jusqu'à maintenant dans divers secteurs, à savoir l'éducation, la santé et, bien sûr, les activités pastorales. De son côté, après avoir souhaité au chef d'Etat italien, à son gouvernement et à son peuple les vœux malgaches, Lala Ratsiharovala, qui assure l'intérim du ministre des Affaires étrangères, et représentant le Président Marc Ravalomanana, a confirmé le renforcement des relations entre la Grande île et l'Italie malgré la fermeture de l'ambassade en 2000. "Tout le peuple malgache vous en remercie infiniment", souligne-t-elle. Le souhait des deux pays penche vers la continuité et le renforcement de cette coopération afin que chaque pays puisse en bénéficier.
Sobika.com
02/06/2005
ACCORD DE CODE-SHARE ENTRE AIR MADAGASCAR ET THAI AIRWAYS
Bonnes perspectives de développement de la ligne Bangkok-Antananarivo
Le 31 Mai 2005, soit un an jour pour jour après le vol inaugural Antananarivo-Bangkok, le premier vol en code-share avec Thaï Airways a atterri à Ivato (TG7505/MD011). La signature de l’accord officialisant le partenariat entre Air Madagascar et Thaï Airways a eu lieu à Bangkok le 1er Juin 2005, lors d’une cérémonie durant laquelle la Compagnie malgache était représentée par son Directeur commercial Rakotomalala
Andriamialisoa.
Les vols sur l’axe Bangkok-Antananarivo-Bangkok seront désormais exploités conjointement par les deux compagnies, et un certain nombre de places sera désormais bloqué sur les avions d’Air Madagascar pour être vendu par Thaï
Airways.
La compagnie thaïlandaise est une très grande Compagnie à l’échelle mondiale, à la qualité de service universellement reconnue. Le fait qu’elle ait accepté de s’associer avec Air Madagascar démontre une fois de plus le retour de la crédibilité de la Compagnie malgache sur le plan international. Cette confiance de Thaï Airways a été obtenue après un audit rigoureux sur la fiabilité des équipages, de le flotte, de la sûreté et de la sécurité des vols d’Air Madagascar ainsi que de ses diverses procédures de handling (traitement au sol des avions).
Au-delà de l’aspect technique et sécuritaire que représente cette association avec Thaï Airways, il y a surtout une attente de retombées commerciales attendues. En effet, la ligne Bangkok-Antananarivo-Bangkok est désormais présente dans le système de vente de Thaï Airways, dont l’efficacité commerciale est prouvée dans le monde entier. Cela assure donc à cette liaison aérienne une visibilité et une présence mondiales, gage d’un développement de la ligne entre Antananarivo et Bangkok. La concrétisation de cet accord est un sujet de grande fierté pour Air Madagascar, car elle prouve sa valeur retrouvée, malgré des challenges qui restent à relever dans d’autres domaines.
Les autres perspectives de coopération avec Thaï Airways sont nombreuses. D’une part, il est envisageable que l’accord soit étendu au-delà d’Antananarivo sur notre réseau domestique, et d’autre part qu’il soit étendu au-delà de Bangkok sur les lignes opérées par Thaï Airways vers d’autres destinations asiatiques.
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