Clikeo ny
2CV
mena |
Aujourd'hui
un cadeau..."
|
1)-je recherche 2 tortues radiata bb je suis dans le sud de la france
contact : jean (13)
2)-Cherche emplacement sécurisé stockage contener 40 pieds TANA ou environ ex: Ivato à/c du 26 juin et ceci pour 1 mois faire offre et laisser coordonnées Merci
contact : Yves
3)-recherche tortue terrestre .j en recherche depuis tres longtemps et c devenu un desir d en posseder au moins une merci si vous pouvez satisfaire a ma demande
contact : Coupé
4)-je recherche désespérément une tortue herman à bas prix en loire atlantique merci contact :
Sandrine
5)-vend
tortues de terre si vous voulez plus de renseignement
contactez moi au 06.65.52.59.79 je suis sur la region de
nantes contact : Pennec
6)-En
Famille ou entre ami(e)s - CABARET SPECIAL NOSTALGIE
Année 60 70 90 - Animé par Mahery , Nini , Mbola et Gégé
- Villà Fenohasina Simpa Andranonahoatra Itaosy - 17 JUIN
2005 - A partir de 20h30 - Renseignements et réservations
au 032 02 673 29 - Parking gardé - Salade aux fromages et
poulet roti offerts - Points de vente de billets :
SUPER MUSIC Analakely -
contact : Fety Be
|
|
... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...

|
Big News...
la
vie sauvage à Mada
par Dreamworks
... (ecranlarge.com)
Après les succès de Shrek 1&2 puis de Gang de requins, les studios Dreamworks Animation persistent et signent dans la 3D avec cette fois un quatuor d’animaux échappés d’un zoo : un zèbre, un hippopotame, un lion et une girafe qui vont découvrir la vie sauvage sur l’île de Madagascar. De nouvelles images du film viennent de faire leur apparition en attendant la sortie en salles, prévue en France pour le 22 juin 2005.
- Stéphane Argentin
-
***
Ny Fomba malagasy sur rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>
|
Tribune
15 juin 05
Tennis: Tournoi Wimbledon
: Dally se prépare au Pays-bas
En vue de la troisième épreuve du grand chelem, Wimbledon, Dally Randriantefy affûte ses armes au tournoi Wta Bois le Duc. Certes, le plateau à ce tournoi est moins relevé que celui de East Bourne où les Amélie Mauresmo, Elena Lichovtseva, ou Kim Clijsters ont choisi pour mieux préparer leur prochaine sortie, mais avec la présence de l’armada russe: Elena Dementieva, Nadia Petrova et Dinara Safina, ce tournoi néerlandais n’est pas totalement vidé de son sens. Pour son premier match, la Malgache affronte ce jour l’Argentine Gisela Dulko. Qu’importe la qualité des participantes, l’essentiel pour la numéro un Africaine est de pouvoir collecter les points utiles afin d’améliorer son classement mondial. Actuellement, à la 45e position au classement Wta toujours dominé par
l’Américaine Lindsay Davenport, soit un gain de trois places malgré une quinzaine de France ratée, Dally Randriantefy a déja atteint son meilleur classement en une décennie de compétition dans le circuit professionnel. Toutefois, avec les tournois à venir elle compte avant de raccrocher définitivement les raquettes, du moins en haut niveau, de graviter de ses propres moyens et efforts les quelques marches qui la séparent des trente meilleures joueuses mondiales.
Gazety.malagasy
13 juin 2005
La capitale malgache la 2ème ville la plus polluée du monde
Antananarivo est la deuxième ville la plus polluée du monde après Mexico, révèle une étude effectuée par un institut supérieur de la technologie nucléaire.
Cette conclusion est tirée de l’évalution de l’insalubrité de l’air due à la fumée d’échappement des véhicules qui passent dans un tunnel de la capitale, a indiqué Dama, directeur de l’environnement auprès du ministère malgache de l’Environnement, des Eaux et des Forêts, lors d’une conférence-débat sur la pollution urbaine et la gestion des déchets tenue jeudi à Antananarivo.
La pollution industrielle est significative dans la capitale. Généralement, l’extention de la ville vers la périphérie où des industries sont déjà implantées complique la prévention de la pollution. Les industriels pensent qu’ils sont les premiers venus sur les lieux, mais ils ne tiennent pas compte des riverains qui subissent les méfaits de leurs déchets : il s’agit d’une attitude que ce reponsasble ministériel dénonce en indiquant que chaque unité industrielle est responsable de la polution qu’elle génère.
Xinhua
la gazette 13/06/05
Général Soja:« C’est un suicide collectif »
A Mahazoarivo comme à Anosy, la mise en place, par l’opposition, d’un régime de transition, est redoutée. Selon le général en retraite Soja, ministre de la Réforme administrative et de l’Intérieur, samedi dernier « cette initiative est un suicide collectif pour les Malgaches ».
Le ministre a pensé que ce n’est plus le moment de revivre les années 1991 et 2002. « J’ai connu personnellement les expériences de la transition de 1991, et il ne faut plus en revenir la dessus ! », a –t-il déclaré, tout en insistant sur l’importance des efforts déployés par le régime actuel pour que Madagascar soit un Etat moderne.
Commandant de la gendarmerie en février 1975, après l’assassinat du colonel Richard Ratsimandrava, il aurait dû être l’adversaire du capitaine de frégate Didier Ratsiraka lors de l’élection du président du Conseil suprême de la Révolution. On ignore réellement ce qui s’est passé, mais ce fut Didier Ratsiraka qui a gagné. Il s’est alors éclipsé de la scène politique.
Commissaire général du Comité de Développement du Sud, du temps de Pr Zafy Albert, le général Soja s’est encore réfugié dans le silence après le retour de Didier Ratsiraka au pouvoir en 1997. Ce fut en 2002, après le limogeage de Thierry Raveloson qu’on entend parler de lui. D’abord PDS du faritany de Toliara, il fut ensuite nommé ministre de l’Intérieur à la place de Seth Rambeloalijaona en 2004.
J.R.
|
Cliquez
sur TetezamitaKely |
"Les
'Grands' parlent d'idée
les 'médiocres'
parlent d'évènements
les 'misérables'
parlent contre les personnes..."
|
XINHUANET.com
15/06/2005
Le commerce bilatéral
Madagascar-La Réunion représente moins de 2% du commerce extérieur
ANTANANARIVO, 13 juin (XINHUANET) -- Pour chacun des deux pays, Madagascar et La Réunion, le commerce bilatéral représente moins de 2% du commerce extérieur et les échanges sont déficitaires pour la France, a-t-on appris lundi de source officielle.
Les fruits et légumes figurent parmi les premières cibles. Madagascar entend puiser par sa part ce marché réunionnais, qui reste grandement ouvert aux produits malgaches. En effet, les échanges commerciaux entre les deux pays se sont élevés en 2004 à 22 millions d'euros, en légère hausse par rapport à 2002 (+2,7%) mais en baisse (-4,7%) par rapport à 2003 du fait de la baisse des exportations malgaches.
Les produits de la pêche et de l'agriculture (légumes, crustacés, poissons congelés) représentent environ les deux tiers des exportations malgaches vers La Réunion.
En revanche, les importations malgache de La Réunion sont beaucoup moins structurées et varient d'une année sur l'autre ( voitures d'occasion, produits pétroliers, métaux recyclés ...). Les échanges commerciaux entre La Réunion et Madagascar se soldent par un déficit pour les exportations réunionnaises.
Les échanges commerciaux entre La Réunion et Madagascar représentent 1,79% du commerce total de La Réunion et 7,8% des exportations et 1,27 des importations. Ainsi, bien que la France soit le premier partenaire économique de Madagascar, (1/4 des importations malgaches et 1/3 exportations), les échanges entre les deux entités sont donc très faibles et restent à développer.
Les chiffres sont également très faibles du côté malgache. Les exportations vers La Réunion représentent 2% des exportations totales du pays et les importations environ 0,25% du montant total.
Express 13/06/2005
REUNIS A LONDRES - LE G8 ANNULE LA DETTE MALGACHE
 |
L’Américain John Snow et le Britannique Gordon Brown parmi les décideurs du G8.
Une autre bouffée d'oxygène. Les ministres des Finances des huit pays les plus industrialisés (G8) réunis à Londres samedi, viennent de répondre favorablement à la demande des Etats-Unis et du Royaume-Uni. Madagascar, avec dix-sept autres pays d'Afrique et d'Amérique latine, a bénéficié de l'effacement de ses dettes multilatérales à 100%. L'initiative s'inscrit dans les efforts que ces grands pays déploient pour atteindre les objectifs du Millénaire fixés lors du sommet d' Ecosse en 2000.
“Ces pays déclarés éligibles sont membres de l'Initiative pays pauvres très endettés
(Ippte), c'est-à-dire qui se sont efforcés depuis plusieurs années d'obtenir la réduction de leurs dettes”, explique Gordon Brown, ministre des Finances britannique lors de l'annonce officielle de la nouvelle. Concernant Madagascar, |
l'éligibilité dans
l'Ippte était déjà effective en octobre 2004, avec l'atteinte du point d'achèvement et qui a abouti à l'effacement de près de 90% de ses dettes vis-à-vis du Club de Paris.
Au cas par cas
“D'après cet accord, on doit comprendre que le reste des dettes malgaches après l'atteinte du point d'achèvement va être totalement effacé”, explique un économiste. Pour l'instant, aucune confirmation n'a été obtenue du côté du ministère de l'Economie, des finances et du budget (Mefb).
Faute de chiffres officiels, il est difficile d'estimer l'impact de cette décision pour Madagascar. Cependant , des informations diffusées dans un journal de la place font état, au titre de l'accord multilatéral, d'un montant de près de 1,5 milliard dollars, après l'effacement de 0,7 milliard par le Club de Paris X (CPX) dans le cadre de d'initiative pour les pays pauvres très endettés (Ippte).
Trois institutions financières sont concernées par cet effacement dans un cadre multilatéral: la Banque mondiale, le Fonds monétaire international (Fmi) et la Banque africaine de développement (Bad).
“Nous allons étudier chaque pays au cas par cas”, a déclaré Samir Jahjah, représentant permanent du Fonds monétaire international à Madagascar. Côté hommes politiques, les réactions restent prudentes pour l'instant. “Nous attendons encore plus de détails avant de nous prononcer”, ont répondu certains que nous avons pu joindre au téléphone.
55 milliards
 |
“C'est une bonne chose pour le pays. Je pense qu'il est temps maintenant de se consacrer à des choses concrètes comme l'éducation, la santé, etc.”, estime quant à lui Norbert Lala
Ratsirahonana, président national du parti Avi. “Moi-même, j'avais déjà initié des discussions qui vont dans ce sens du temps où j'étais Premier ministre. Et si les choses ont abouti aujourd'hui, c'est tant mieux pour le pays”, continue-t-il.
L'annonce officielle de la nouvelle a été faite dès l'après-midi du samedi, lors d'une conférence de presse par le ministre des Finances britannique Gordon Brown. Au total, le montant des dettes à effacer s'élève à 55 milliards dollars et se répartit entre 38 pays. 18 d'entre eux, dont 15 en Afrique et |
3 en Amérique latine, sont concernés dans un premier temps. Avec Madagascar, il y a le Bénin, la Bolivie, le Burkina
Faso, l'Éthiopie, le Ghana, la Guyane, le Honduras, le Mali, la Mauritanie, le Mozambique, le Nicaragua, le Niger, le Rwanda, le Sénégal, la Tanzanie, l'Ouganda et la Zambie.
“Neuf autres pays pourront également bénéficier d'une annulation de dettes dans les douze à dix-huit prochains mois, et les derniers pays, après avoir rempli les critères nécessaires dans le cadre de l'Ippte”, affirme Gordon Brown.
Sur les 55 milliards annoncés, 6 milliards sont dus au Fmi, 44 à la Banque mondiale et 5 à la Bad.
Les actionnaires de ces institutions devront approuver ces mesures lors d'assemblées générales en septembre. “Cet effort des grands argentiers est un moment historique”, estime le secrétaire américain au Trésor John
Snow. :
Mahefa Rakotomalala
Nosintsika
13/06/2005
Aux déclarations tonitruantes des dirigeants du G8
(qui parle d'annulation "historique" de la dette des pays pauvres - dont Mada), vont se joindre les déclarations de satisfaction usuelles lors de l'obtention d'une annulation d'une partie des dettes du pays.
Vous trouverez ci-dessous d'autres sons de cloche, modérées pour certains, plus revendicatives pour d'autres, histoire pour chacun de pouvoir faire sa propre balance.
Les moderateurs Nosintsika
Un premier pas seulement
Annuler la dette ne suffit pas. Il faut repenser l'aide au développement.
Par Christian LOSSON lundi 13 juin 2005 (Liberation - 06:00)
Surenchère et superlatifs. Pour les pays du G8, c'est «historique» (selon Washington). Pour les pays visés tout de suite par l'annulation de la dette, «on dirait un conte de fées» (dixit le ministre zambien des Finances). Pour de vieilles icônes de la lutte antipauvreté, «280 millions d'Africains se réveilleront demain sans devoir le moindre penny de ce fardeau de la dette» (Bob Live Aid Geldof). Des excès pour saluer un accord qui ne constitue qu'une première haie surmontée dans la course contre la montre de la dette. Après tout, seuls 35 milliards de dollars ont été rayés à ce jour après la promesse d'en effacer 100 milliards, il y a six ans.
«Compassionnelle». «Le deal est surtout le moyen pour les leaders du G8 de sauver la face», confie un responsable de l'ONG britannique Oxfam. Blair y verra le moyen de se refaire une image écornée par la guerre en Irak. Bush jouera sur sa politique néoconservatrice mais «compassionnelle». Chirac, lui, rêvera de rebondir sur une fracture mondiale au sujet de laquelle il n'a plus, seul, le ministère du verbe. L'Elysée peut bien rappeler que l'impulsion diplomatique «antidette» est venue du G7 de Lyon, en 1996. Mais le moteur de la mobilisation citoyenne vient d'outre-Manche, d'où, pour ne prendre qu'un exemple, le réseau Jubilee a totalisé, dès 2000, plus de 24 millions de pétitions pour une annulation de la dette. Qui n'en est qu'à son prologue.
Même Gordon Brown, ministre des Finances britannique, le reconnaît, qui parle de point de départ, de starting-point. Un turning-point (un virage) peut-être , pour des pays comme le Mozambique, qui vont pouvoir «consacrer davantage de ressources à l'éducation, à la santé, aux infrastructures», rappelle le ministre des Finances. Tenter, à l'instar du Sénégal, de «faire face à la lutte contre la pauvreté». Et ne plus consacrer, à l'image de la Zambie, quatre fois plus d'argent à régler sa dette qu'à l'éducation ou à la santé.
Mais, pour les plus démunis, le changement sera cosmétique. Parce que, si les premiers pas de l'annulation de la dette sont une condition nécessaire pour briser l'étau de la pauvreté, ils ne sont pas suffisants. De nombreux handicaps entravent le développement des marginalisés de la mondialisation 54 pays sont plus pauvres qu'en 1990, selon l'ONU. A commencer par les subventions agricoles. Une vache européenne reçoit chaque année une aide européenne 120 fois supérieure à celle que glane un Africain subsaharien. Et le cap d'un doublement des budgets d'aide au développement à 100 milliards de dollars par an (pour remplir les objectifs fixés par l'ONU de réduire de moitié, d'ici à 2015, le cap des 3 milliards de personnes vivant avec moins de 1 dollar par jour) n'est pas près d'être franchi.
Transparence. Au-delà de la question emblématique de la dette, c'est la conception de l'aide au développement qu'il s'agit de revoir. Une aide dont, selon l'ONG Action Aid, 60 % seraient absorbés par la bureaucratie et les salaires des consultants. Une aide qui sert encore trop à décrocher des contrats pour les entreprises des pays «prêteurs». Une aide où, à l'inverse de ce qu'on demande aux pays du Sud, il n'y a aucun compte à rendre et où la transparence est à sens unique. Bien sûr, le cercle vicieux de la pauvreté a une foultitude de facteurs. Mais rien d'une fatalité. Il suffit d'écouter Nelson Mandela : «Comme l'esclavage ou l'apartheid, la pauvreté n'est pas naturelle ; elle est faite par l'homme et peut être éradiquée par les actions des êtres humains.
|