Clikeo ny
2CV
mena |
Aujourd'hui
un cadeau..."
|
1)-Arrivage
Auto récent sur Mada Contact Naina ou Sam TEL 032 07 733 35 033 14 367 77 contact :
Charles
2)-quelqu'un
a-t-il des données concernant les paramètres de température? il serait tellement dommage que ces oeufs se perdent et nous privent du plaisir d'un jour pouvoir rendre des tortues radiées à leur environnement naturelle. contact :
Paul
3)-Vends
Robe Smoke malgache 1 A 14 ans différentes couleur
Quantité 2000 Prix 8 Euros contact : Ramanitriaina
4)-métis indo malgache cherche famille rabefarihy
contact : mad3
5)-bonjour,etudiant passionné recherche desesperement tortues d'hermann,prix a discuté ,qui est entre 4 et 15 ans. mrci de me rep au 0681632940.merci
6)-Je cherche des épices et de la vanille de madagascar.Faire offre. contact : Simone
7)-recherche pour affaire RASOANANDRASANA Enockline Directeur de KAROKA à Fort-Dauphin. Merci de donner les coordonnées completes
contact : Rio
|
|
... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
EXPRESS
30 septembre 2005
RECONSTRUCTION À PETIT FEU - LE ROVA RENAÎT DE SES CENDRES
 |
L’état de Manjakamiadana à l’heure actuelle.
Dix ans après l’incendie, la reconstruction de Manjakamiadana en marche.
Il aura fallu attendre une décennie pour qu’on se décide à reconstruire le Rova de
Manjakamiadana. Une décision non dénuée d’arrières-pensées politiques.
Des nouveaux signes pour la reconstruction du Rova de
Manjaka-miadana. Sans tambour ni trompette, le Comité national du patrimoine (CNP) envisage (enfin) le démarrage effectif des travaux de reconstruction du Rova d'Antananarivo. A la lecture des projets antérieurs, on peut estimer vers la fin de l'année 2007 la finition des travaux, si tout va bien.
Mejamirado Razafimihary, président du CNP, ne souhaite pas encore s'étaler sur les détails du projet. "Ce sera pour cette année", lâche-t-il, sans plus. Depuis quelques jours, le Comité chargé de la reconsctruction s'affaire pour boucler le dossier relatif à la désignation de l'entreprise chargée des travaux. L'heureuse élue sera connue le 5 octobre. La coïncidence de la |
date avec le dixième anniversaire de l'incendie du site, conforte la volonté de
marquer le démarrage des travaux.
Sauf changements, le Rova de Manjakamiadana devrait être reconstruit "dans son aspect originel", selon Yvette Rabetafika, notre ambassadeur auprès de l'Unesco. Elle a pourtant déjà prévenu qu'"une partie de l'édifice sera supprimée". La discrétion des responsables de cet organisme rattaché à la présidence ne permet pas de connaître les derniers changements du projet initial.
Aucune information officielle n'est également disponible, pour ce qui est du bugdet pour sa reconstruction. Si l'on se réfère aux chiffres de l'année dernière, celui-ci devrait atteindre 15 millions de dollars. Mais pour l'instant, "il n'y a pas encore grand-chose", avait révélé Yvette Rabetafika, notre ambassadeur auprès de l'Unesco, également membre du CNP.
"L'Unesco a promis 25 000 dollars", selon Yvette Rabetafika. Outre la "participation personnelle du chef de l'Etat", toutes nos ambassades sont également mises à contribution pour trouver des fonds.
Promesse présidentielle.
Les mains incendiaires de Manjakamiadana n’ont jamais été reconnues.
Depuis 1994, bon nombre de projets ont été brandis ou promis pour la reconstuction du
Rova. La plupart d'entre eux n'ont pourtant pas abouti. Lors de la visite du site en octobre 2004, le président
Ravalomanana, accompagné par James Wolfehnson, président de la Banque mondiale, a donné l'ordre de suspendre les travaux en cours et de "revoir le dossier" de
reconsctruction.
Désormais rattaché à la présidence depuis l'année dernière, quelques tergiversations ont suscité en cours de route des points d'interrogation quant à la concrétisation du projet. A cause du retard de l'officialisation du CNP, les membres de l'organisme se sont retrouvés dans une position inconfortable.
Annoncé par le chef de l'Etat depuis octobre 2004, le décret portant création du comité n'a été approuvé qu'en mars 2005. Il en est de même pour l'arrêté présidentiel portant nomination des membres de l'organisme. |
 |
La reconstruction du Rova pourrait faire l’objet d’une surenchère politique à l’approche des élections présidentielles.
 |
Cela n'a pas empêché les responsables d'effectuer quelques travaux "dans la discrétion". L'on apprend, entre autres, des "travaux préalables des techniciens" pour la concrétisation du projet. Avec tous les projets de reconstruction entamés depuis 1994, quelques monuments ont pu être restaurés. Il en est de même des travaux de reconstruction de
Mahitsielafanjaka, les tombeaux royaux et celui du temple sont déjà achevés. Il reste maintenant à parachever la reconsctruction de
Manjakamiadana, le plus grand édifice du site.
Iloniaina A. |
Geny
course mercredi 21/09/2005
 |
Le
Prix ARF...
LA CAPELLE / 1ère course (Trot) / Départ vers 13h50
PRIX FRANCOIS CAILLE - ARF
GRAND PRIX DE LA FEDERATION REGIONALE DU NORD - Course Européenne - Attelé - 32000 E
Tiercé Quarté+ Quinté+ Multi / 17 partants
2650m
Tentez
votre chance!...
jouez
sur le tuyau de LaComm':
17
(Morydiem)
...Les Partants Cliquez
ici >> |
allAfrica.com
21/09/2005
Rugby : les makis de Madagascar terrassent les Eléphants ivoiriens-
Midi Madagasikara (Antananarivo)
Cr
La coupe d'Afrique des nations a porté chance à un camp malgache euphorique et qui su admirablement endiguer la charge des géants d'en face.
A coeur vaillant rien d'impossible. Et c'étaient bien le cas, hier à Mahamasina, où les XV Makis de Madagascar souffrant visiblement de la comparaison avec le grand gabarit des Ivoiriens, ont choisi d'évoluer sur un autre registre en misant sur la vélocité des trois-quarts mais surtout du trait de génie d'un José Rakoto Harison qui reste incontestablement l'homme de ce match de la Coupe d'Afrique des Nations.
L'homme de la victoire aussi car au moment où tout le monde doutait encore sur la capacité des Makis à prendre en défaut les Eléphants de la Cote d'Ivoire, José Rakoto Harison a montré l'exemple en montrant qu'on pouvait très bien miser sur la vitesse pour battre ses adversaires.
Et après avoir ouvert le score sur un coup de pied de pénalité, il a réussi tour à tour deux essais tout aussi superbes à la 13ème et à la 23ème minute d'un match bien pris en main par le Réunionnais Fabrice Vitry. Dasn les deux cas, il s'est appuyé sur des colmpagfnons de club tels Razily Mboazafy et son frère Biby
Rakotoarisoa.
La mi-temps survint sur ce score confortable de 17 à 3 grâce notamment à la volonté de Jôda ou Dominol dont les placages ne laissent rien filter. Dieu sait pourrtant comment ils ont endurer devant les charges, têtes baissées, d'un Olivier Guebo ou d'un Guy Yapo, des vrais armoires à glace. Mais en se mettant à deux, les Makis parvinrent toujours à avoir le dernier mot.
La reprise a vu une nette domination des Ivoiriens qui revenaient au score en inscrivant un essai vite transformé par le buteur de service. S'ensuivit un moment de flottement dans le camp malgache car à 17 ) 10, la marge commence à devenir très dangereuse.
C'est le moment choisi pour les entraîneurs Berthin Rafalimanana et Jean Marc Louvet pour montrer leur capacité à réagir. Le temps de laisser entrer Mito Randriamamitiana et Ibrahim Randrianiaina et la belle machine malgache démarra au trois quart de tour.
José Rakoto , encore lui, fit une brèche avant de servir pour l'ultime passe ce missile d'Alain qu'on venait pourtant d'intégrer dans le lot en remplacement de Coco Hary
Nirina.
Et ce n'est pas tout car durant les arrêts de jeu, José refit le même exploit en servant, cette fois, Bien Mananjarasoa, portant ainsi le score final à 30 à 10. Le tout sur un air de fête comme Mahamasina n'a jamais vu.
Après avoir tant redouté sur l'issue du match, le public estimé à 25 000 âmes perçut le coup de sifflet final de l'arbitre comme une délivrance. Il y a de quoi...
Express
17/09/2005
Transport - Le bus à impériale sur nos routes
Le premier bus à impériale de Madagascar.
 |
Si les voyageurs qui font des longs trajets peuvent choisir auparavant entre les mini-bus ou les autocars baptisés
“boeing”, actuellement, l’entreprise “Vatsi” leur propose une autre possibilité qui est le “bus à impériale”.
Ce véhicule, avec un étage, équipé d’une cuisine et des toilettes, peut transporter 78 passagers.
“Pour le moment ces installations ne peuvent pas encore être fonctionnelles à cause des conditions du voyage mais elles le seront si on l’affecte pour faire des voyages touristiques”, explique Valérie
Ravelomanantsoa, propriétaire de l’entreprise Vatsi.
Ce moyen de transport assurera le ralliement de la capitale jusqu’à Toamasina et le frais est aussi de Ar 10 000. Il sera opérationnel à partir de la semaine prochaine.
“ C’est vrai que cet autocar nous rapporte plus à cause du nombre de passagers mais il ne faut pas aussi oublier que les charges sont plus lourdes. Tel est le cas des pneumatiques qui sont au nombre de dix au lieu de huit”, affirme Valérie
Ravelomanantsoa.
Pour pouvoir importer un véhicule, celui-ci doit faire l’objet d’une constatation faite par la Direction de la sécurité routière à la province d’embarquement. Le ministère des Transports et des travaux publics délivrera par la suite la licence d’exploitation si le procès-verbal le qualifie apte à circuler. “Les responsables prennent en compte surtout l’âge de la voiture”, précise Eric
Razafimandimby, directeur des Transports au sein du ministère. “Le problème de
|
tonnage n’existe en principe que pour les transports de marchandises. Si ce genre de véhicule est arrivé à Antananarivo, cela veut dire qu’il n’a pas de difficultés par rapport à son gabarit. Cet autocar est adapté à la conception des chaussées et des routes à Madagascar”, conclut-il.
Olivia Velonjanahary
|
Cliquez
sur TetezamitaKely |
"Les
'Grands' parlent d'idée
les 'médiocres'
parlent d'évènements
les 'misérables'
parlent contre les personnes..."
|
allAfrica.com
20/09/2005
Madagascar-France : la France veille sur ses intérêts-
Midi Madagasikara (Antananarivo)
20 Septembre 2005
Sujets de toutes les conversations et objets de fantasmes, les intérêts français à Madagascar en quelques exemples.
Présents dans des secteurs économiques stratégiques, les intérêts français sont aussi omniprésents dans les secteurs sociaux étatiques. Ce qui fait de ce pays, un acteur économique et politique de premier plan. Pourtant, plus on en parle, moins on sait ce qu'il en est réellement. Un petit synopsis pour se faire une idée de la puissance de frappe de l'hexagone dans la Grande Ile.
Ch. Rivo
Le plus visible témoin de la présence française dans l'île reste la finance. Sur six banques en activités, quatre sont françaises (aucune malgache) : Le Crédit Lyonnais, Société Générale, Bank of Africa et la Bmoi. Elles font chaque année un résultat net cumulé de près de 80 millions d'euro (moyenne) depuis 2002. Vient ensuite le transport aérien où Air Madagascar paraît vraiment petit par rapport à ses concurrents directs que sont Air France et Corsair. Ces deux compagnies battent la compagnie locale sur son propre terrain puisque sur le trajet Antananarivo-Paris (aller-retour), Air Madagascar n'assure que 4 fréquences sur onze par semaine (5 pour Air France et 2 pour Corsair). Air France détient 100% du trafic cargo sur cette même ligne à raison de trois voyages par semaine. Un Boeing 747 transporte 80 T de fret par voyage. Sur le plan du transport maritime, l'essentiel des rotations est assuré par la CGM (compagnie générale maritime). Cerise sur le gâteau, Air France participe au capital social d'Air Madagascar.
Leaders
Pour ce qui concerne l'énergie, le français Total détient le plus grand réseau de distribution ainsi que des parts dans la Logistique Pétrolière, société gérant les dépôts d'hydrocarbures dans toute l'île. Dans les télécommunications, Orange, la société française de téléphonie mobile, caracole en tête, dans ce secteur avec ses centaines de milliers d'abonnés. Et aussi en terme de couverture. De ce qui précède, un constat s'impose. A savoir que tout ce qui lie Madagascar à l'étranger passe par les sociétés françaises. Pareillement pour ce qui relie les quatre coins de l'île. Il s'agit du secteur très lucratif des travaux publics. Colas, première entreprise BTP à Madagascar et filiale du français Buygues, a raflé de nombreux contrats se chiffrant par centaines de millions d'euro. Elle est secondée par Sogea
Satom.
D'importants intérêts français sont aussi visibles dans la grande distribution (Jumbo Score), l'hôtellerie (Colbert), l'automobile (Madauto) pour ne citer que les branches où ils sont leaders sur le marché. Dans d'autres activités, les Français sont incontournables. Il s'agit notamment de la recherche (l'Institut Pasteur et l'Institut de recherche pour le développement).
Appui
Cette énumération ne peut qu'illustrer la prépondérance de la présence française si elle ne parle pas de la coopération d'Etat à Etat (66M-). Dans ce domaine, la France arrive en premier dans l'appui aux départements de la Défense, de l'Education et de la Santé. Elle apporte également son concours dans le budget de l'Etat à travers les aides budgétaires et à travers les interventions des partenaires multilatéraux. L'ensemble se chiffre à 135 M- dont 90M- de transferts publics français directs pour 2004. Pour résumer, «La France, 1er partenaire» n'est pas un vain mot. Mais jusque là, on s'en faisait une idée vague. En réalité, la France veille sur tous ses biens, privés ou publics. En cela, elle se sert de la politique et de la diplomatie.
Nosintsika
06/09/2005
Madagascar
uranium project gets green light -
Salut à tous,
Depuis un article assez pessimiste de l'Express il y a un an, apparemment rien dans la presse nationale à propos d'uranium.
Vous trouverez ci-dessous un article qui nous avait échappé il y a deux mois, évoquant l edémarrage d'une campagne d'exploration d'uranium, avec 20 % de participation nationale.
Un autre article de fevrier 2005 mentionne "OMNIS is granting the Company exclusive rights to conduct exploration, development and exploitation on mining permits controlled by the Company within four specified perimeters in Madagascar, namely, Tranomaro, Folakara, Faratsiho and Makay. "
Ce qui est encore une attribution de gré à gré sans tambours ni trompettes de toutes les phases, de l'exploration à l'exploitation : mode de fonctionnement que nous laissons à l'appréciation du lecteur (cf. notre contribution à propos de l'exploration petrolière
speculative).
@ + Les moderateurs Nosintsika
NOTES
DU PASSÉ- ExpressMada 2004-09-06
De nombreuses pegmatites uranifères, surtout dans la région
Antsirabe-Itasy, renferment des "niobotantalates d'urare ou
le minéral le plus commun est la bétafite" (Besairie,
"Gites minéraux de Madagascar"). "Ces pegmatites
qui ont fourni une production d'au moins une centaine de tonnes ne
présentent pas d'intérêt économique". Le bassin lacustre
d'Antsirabe renferme des réserves notables, mais il n'est pas
possible de séparer le minerai d'autunite des argiles. Le CEA mène
aussi des prospections dans les formations du karoo de l'ouest (Folakara),
mais elles ne conduisent pas à cette époque à des gisements.
Plus intéressants sont les gisements de thorianite du Sud. Ceux
d'ordre économique se trouvent dans la boucle du Mandrare, ils
ont en général une teneur constante en uranium et ceux à faible
teneur ne sont pas exploités. "Les gisements sont nombreux,
mais ne présentent pas de très gros volumes et les plus
importants sont épuisés en quelques années".
La production qui débute en 1953, atteint un total de 4 000
tonnes à la fin de 1963. Et comme les gisements alluvionnaires et
éluvionnaires sont rapidement épuisé.l'exploitation se fait en
carrière à ciel ouvert avec concassage et broyage.
Les études sont entreprises dans la région
Itasy-Antsirabe-Maroloto, et spécialement dans les zones de
bordure du massif granitique des Vavavato et de ses annexes. Une
prolongation du champ se poursuit dans la région du Vorondolo, à
35 km au Sud-sud-est d'Antsirabe. Il existe aussi des champs
pegmatitiques moins importants à Ankazobe, Haute-Betsiboka et
Tsaratanàna où l'on a surtout affaire à des pegmatites à Béryl.
De 1908 à 1925, les pegmatites de l'Itasy font l'objet d'une
assez importante exploitation avec production d'une centaine de
tonnes. Le CEA reprend ces exploitations de 1947 à 1950, mais on
ne connaît pas sa production.
Dans cette région, le meilleur type de gros amas et le mieux
connu est la pegmatite d'Ambatofotsy, situé à 18 km à l'ouest
de Soavinandriana, qui est exploité avant la première guerre
mondiale et qui fournit une vingtaine de tonnes de bétafite. Le
gisement est repris en 1948 par le CEA avec d'importants travaux
souterrains, constitués par 1 200 m de galeries et 390 m de
sondages.
Dans l'Androy, jusqu'au parallèle de Betroka, des prospections
privées sont menées à la même époque, et il apparaît que
l'intérêt économique se focalise dans la boucle du Mandrare (Androy
mandraréen). Cette prospection privée se poursuit toujours en
1960 et la production à la cuvette atteint 98 tonnes.
En 1955, le CEA poursuit les études au compteur avec fouilles et
sondages. Il met en exploitation quelques gisements alluvionnaires
avec bulldozer, pelle mécanique, lavage au jig..., et attaque les
gisements de Marosohy et Amboanemba. Les exploitants privés
conduisent des travaux parallèles avec petites laveries. La
production passe alors à 200 tonnes.
Les exploitations se poursuivent régulièrement les années
suivantes, et alluvions et éluvions sont rapidement épuisées.
Les gisements en place, de volume limité, s'épuisent aussi, mais
plus lentement, et les exploitations se déplacent. Amboanemba,
ouvert en fin 1955, est épuisé en 1958, et Ambondrakemba, ouvert
en 1958, est abandonné à 50 m de profondeur en 1963, Androtsabo,
ouvert en 1955, est, dix ans plus tard, en voie d'épuisement. Il
en est même d'Anjahamaronono.
Les principales exploitations, dans la première moitié des années
60, portent sur Marosohihy, Betafo, Amboasarikely, Ambandaniro,
Andoloabo, Betanimena. De nouvelles exploitations s'ouvrent au sud
de la Mananara, à Esatra et Ikatefo.
En 10 ans, la production de thorianite varie de 50 tonnes en 1953
à 480 tonnes en 1963, avec des pointes de 528 tonnes en 1958, 536
tonnes en 1959, 510 tonnes en 1960 et 534 tonnes en 1962.
Il est à préciser que les principaux minéraux uranifères
existant à Madagascar, sont la bétafite, l'euxénite, la
samarokite, l'ampangabeite et la fergusonite.
En outre, la thorianite fait partie de la minéralisation du
"système androyen" qui constitue le cortège minéralogique
très varié de la phlogopite (mica). La constitution géologique
comprend le groupe d'Ampandrandava, le groupe de Tranomaro et le
groupe de Taolagnaro.
Henri Besairie précise enfin qu'il n'y a généralement pas coïncidence
des gisements d'ordre économique de phlogopite et de thorianite :
"Les gros gisements de phlogopite ne renferment pas de
thorianite exploitable, mais des traces très dispersées.
Inversement, les gros gisements de thorianite ne renferment pas de
phlogopite exploitable, mais parfois quelques cristaux épars".
Pela Ravalitera
Published:
2005/07/11
Madagascar
uranium project gets green light
Canadian exploration company Pan African Mining has announced that
Madagascar's L'Office des Mines Nationales et des Industries
Strategiques (Omnis) has approved the company's formal exploration
programme and budget for uranium projects in Madagascar.
This was a prerequisite that formed part of a joint venture
agreement with Omnis and had to be concluded before work could
start.
Omnis is a government agency of the Malagasy State charged with
oversight and administration of the country's strategic resources
of uranium and hydrocarbons.
A preliminary agreement was entered into on January 25 with the
purpose of establishing a joint venture to explore, develop and
exploit four prospective uranium properties in Madagascar.
In accordance with the terms of the agreement, the company
organised a new operating subsidiary named PAM Atomique Sarl, of
which 20% is to be owned by the Malagasy State through Omnis and
80% by the company.
Approval of the exploration programme and budget was specified in
the agreement as a condition precedent to moving forward with the
joint venture's uranium exploration and development activities.
The programme and budget delineates success-contingent, staged
exploration programmes, with four stages required to reach the
point of a production decision on each of four perimeters, namely
Folakara, Faratsiho, Tranomaro and Makay.
Included within these perimeters are sites of historic uranium
production by a French agency, as well as known uranium
occurrences and in some cases historic uranium resources.
The exploration budget for each perimeter contemplates aggregate
expenditures of up to $3,92-million over four result-contingent
stages through preliminary feasibility.
Work in the various perimeters will commence on a staggered basis
following final Malagasy State ratification and approval of the
joint venture and granting of requisite environmental permits.
The company has also entered into a Convention of Cooperation,
dated June 25, 2005, with Omnis and L'Institut National des
Sciences et Techniques Nucleaires.
Under the Convention, the joint venture agrees to adhere to the
recommendations and standards of the International Atomic Energy
Agency in Vienna and the Malagasy State concerning control and
sale of radioactive materials.
February
03, 2005
Pan African Enters Into Uranium Joint
Venture in Madagascar
VANCOUVER, British Columbia--Feb. 03, 2005--PAN AFRICAN MINING
CORP. (the "Company") is delighted to announce that it
has entered into a preliminary agreement with L'Office des Mines
Nationales et des Industries Strategiques ("OMNIS"), for
the establishment of a joint venture with respect to exploration,
development and exploitation of certain prospective uranium
properties in Madagascar. OMNIS is a government agency of the
Malagasy State charged with oversight and administration of the
country's strategic resources of uranium and hydrocarbons.
In accordance with the terms of said agreement, the Company is
proceeding with organization of a new operating subsidiary in
Madagascar named PAM Atomique Sarl, which will be 20% owned by the
Malagasy State through OMNIS. Such ownership interest is reducible
under certain circumstances to a floor of not less than 10% in the
event OMNIS elects not to participate in funding of commercial
mining operations at the exploitation stage. The Company will
contribute the initial capital for exploration. The Company
presently conducts all of its operations in the country through
its existing subsidiary PAM Madagascar Sarl.
OMNIS is granting the Company exclusive rights to conduct
exploration, development and exploitation on mining permits
controlled by the Company within four specified perimeters in
Madagascar, namely, Tranomaro, Folakara, Faratsiho and Makay.
Within these perimeters, the Company presently controls some 9000
sq. km. in aggregate, although known uranium occurrences are
confined to a much smaller area. The underlying licenses will be
transferred to PAM Atomique Sarl as soon as practicable following
its organization. PAM Madagascar Sarl will continue to hold all
other mining permits covering gold, metals, precious stones and
industrial commodities.
Included within the license area of the four perimeters are sites
of historic uranium production by the French, as well as known
uranium occurrences and in some cases historic uranium resources.
The French Commissariat a l'Energie Atomique ("CEA")
exploited uranium from the regions of Folakara and Tranomaro
during the period from the late 1930's through the 1950's, until
market and political conditions caused a shift in French
production to other countries including Niger and Gabon. Among
well-known historic mining sites within the Company's license area
are the villages of Folakara C.E.A and Ambindrakely. Under the
agreement, OMNIS is providing the Company with access to its
database and archival information, as well as the assistance and
cooperation of its own geological team.
The Company views the historic mining sites and documented uranium
occurrences as highly prospective, and is presently developing a
plan of research focusing initially on these areas within the
controlled perimeters that have the proper geological setting and
are deemed to be most productive. The plan of research is subject
to review and approval by OMNIS prior to implementation. In
addition, the joint venture is subject to formal ratification and
approval by the Parliament of Madagascar, insofar as uranium is
specified to be a strategic resource under applicable law.
According to the Company's CEO, Irwin Olian, "We are excited
to work in partnership with OMNIS to explore and develop
Madagascar's uranium resources. By providing financial resources
from our strong international sources, state of the art
exploration technology, together with management and geological
support from our team of international and Malagasy professionals,
we are in a position to maximize the potential for success. This
success will accrue not only to the shareholders of Pan African,
but also to the benefit of all Madagascar, through creation of new
jobs, building of infrastructure in remote regions, financial
gains through ownership and royalties, and a potential long-term
source of energy for future Malagasy generations."
At the same time, the Company remains enthusiastic about its
ongoing gold and diamond exploration programs. Diamond drilling is
continuing on the Company's Mountain of Gold Project in the
Dabolava Region; and a new, comprehensive round of stream sampling
for our diamond program is scheduled to begin in certain key areas
after conclusion of the rainy season. We are looking forward to
the results of these exploration programs.
About Pan
African
The Company is an exploratory resource company with approximately
10,000 square kilometres of diversified mineral properties in
Madagascar. The Company is exploring these properties for gold,
uranium, precious stones, base metals and industrial commodities.
Its operations in Madagascar are carried out through its operating
subsidiary, PAM Madagascar Sarl. The Company has offices in
Vancouver, Canada and Antananarivo, Madagascar. More information
about the Company is available at www.panafrican.com
ON BEHALF OF THE BOARD OF DIRECTORS OF PAN AFRICAN MINING CORP.
Irwin A. Olian, President and CEO
The TSX Venture Exchange has not reviewed and does not accept
responsibility for the adequacy or accuracy of the content of the
information contained herein. The statements made in this press
release may contain certain forward-looking statements that
involve a number of risks and uncertainties. Actual events or
results may differ from the Company's expectations.
|