Madavôvô 2005  

L'Année 2004 c'est l'année des Ouvertures..  ;   Joyeuses Fêtes de Noel à tous...

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Présentation au Roi du Maroc Sa Majesté le Roi Mohammed VI  des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana
Notons que la Présentation à Sa Majesté le Roi Mohammed VI des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana a précédé la visite présidentielle. Le programme de séjour présidentiel a été marqué, entre autres, par un entretien en tête-à-tête entre les deux chefs d’Etat, suivi d’une visite au Mausolée Mohammed V où le couple présidentiel a déposé des gerbes de fleurs sur les tombes de feu S.M. le Roi Mohammed V et feu S.M. le Roi Hassan II avant de signer le livre d’or....

1er aout 2005

L'impasse...

26 aout 2005

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09 sept 2005

Autopraclamation Ra8...

17 sept 2005

Etat de nécessité national...

30 sept 2005

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17 oct 2005

06 nov 2005

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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Sommaire Madavôvô: 03 decembre 2005

BigNews. Ronaldinho obtient le ballon d'or... 

1. Les conditions d'obtention d'un visa d'études pour la France (allAfrica)

2. la Jirama ratisse large et des abonnés fraudeurs sont détectés (Midi)

3. Ratsiraka nourrit plus de cent personnes (Midi)

4. Ronaldinho obtient le Ballon d'or, rêve de tous les footballeurs (Le Monde)

5.RUGBY. Les remous nés de la finale perdue à Paris (Midi)

6. Madagascar lance une campagne contre le sida(Xinhuanet)

7. No Comment.... No Comment...

8. Patrimoine - Les banques au chevet du Rova (Express)

9. « C’est faux de dire que Madagascar ne progresse pas » (Lagazette)

10. Madagascar et Maroc se disputent la Coupe d'Afrique à Gennevilliers (Le Monde)

11. AIMF : onze projets votés dont 2 pour Madagascar ! (allAfrica)

12. Rugby : Finale «Top Nine»     Pourquoi pas Paris ! (Tribune)

13. mortalité à Antananarivo sur le dernier quart du 20ème siècle (Nosintsika)

03/12/2005

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

Euro (pondéré) 2546 
US Dollar 2174.36 
Dollar canadien 1868.57 
YEN 17.99 
Franc suisse 1647.87 
Livre sterling 3755.23 
Rand 339.40 
Roupie mauricienne 70.71 
Couronne suédoise (100) 270.01 
DTS 3094.38 

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Derniers Messages de nos Petites Annonces         + Savoir plus >>          Les Contacts  >>

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3)-je vend une tortue grecque de 20an 2.8kg 22cm     si cela vs interesse contacter moi.                 contact : Damien

4)- vends huiles essentielles de cannelle (cinamomum camphora)               contact : fenoramah

5)- Je recherche une tortue de terre de 3 ans environ sur la région du languedoc roussillon prix raisonnable              contact : Vigroux

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


 

 

Big News... Ronaldinho obtient le ballon d'or... 

Les milliardaires du foot-business, ces nouveaux riches en crampons installés à Madrid, Londres, Milan ou Barcelone, font encore de beaux rêves. Et, surprise, des rêves où il n'est pas question d'argent. Il y est question du Ballon d'or, le plus convoité des trophées individuels du football, remis en fin d'automne, depuis cinquante ans, par le magazine France Football. Cette année, l'heureux vainqueur est le Brésilien Ronaldinho, récompensé, lundi 28 novembre, pour ses performances sous les maillots de son équipe nationale et du FC Barcelone.


*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


allAfrica.com   01/12/2005

Les conditions d'obtention d'un visa d'études pour la France sont dorénavant plus rigoureuses. En effet, les nouvelles mesures visant à une «meilleure intégration des immigrés» en France, prises avant-hier en comité interministériel français, concernent directement Madagascar.
Et pour cause, la Grande Ile fait partie des six pays, avec le Mexique, la Corée du Sud, le Liban, le Cameroun et la Turquie, où la sélection des étudiants qui vont poursuivre leurs études en France sera davantage renforcée. Le dispositif du CEF (Centre pour les Etudes en France) sera donc mis en place à Madagascar. Ainsi, tout étudiant désirant étudier dans l'Hexagone devra impérativement passer par ce centre où son cas sera minutieusement examiné. En tout cas, il devra répondre à quatre autres critères supplémentaires qui conditionnent la délivrance d'un visa par l'ambassade. «Il s'agit de son projet d'études, de son parcours académique et personnel, de ses compétences linguistiques et de l'état des relations bilatérales avec le pays d'origine», énumère-t-on sur le site de RFI.
En outre, les deux autres mesures de durcissement des contrôles de l'immigration sur le rapprochement familial et les mariages binationaux n'épargnent pas la Grande Ile. Beaucoup de familles malgaches sont concernées par ces nouvelles politiques d'«immigration choisie», décidées par le gouvernement de De Villepin. Une chose est sûre, les conditions de délivrance des visas pour la France seront de plus en plus strictes.

Vola Andriamanana  -  Midi Madagasikara (Antananarivo)


Midi 03/12/2005

Vols d’électricité. Pour retrouver sa santé financière, la Jirama ratisse large et des abonnés fraudeurs sont détectés - Plus de 300 compteurs trafiqués aux 67 Ha
L’opération ratissage menée depuis quelques jours par la Jirama a obtenu des résultats plutôt positifs. Mais ce ratissage est vraiment un coup dur pour les voleurs d’électricité. Rien que dans les quartiers des 67 Ha, plus de 300 compteurs trafiqués ont été découverts, durant cette première opération.
Edmond Rakotomalala 

Un résultat jugé satisfaisant pour l’équipe spécialement montée au sein de la Jirama pour faire cesser les vols de courant électrique. « Sur 3000 compteurs contrôlés, environ 10% ont présenté des anomalies, en l’occurrence l’absence de plombs », ont déclaré hier lors d’un point de presse, tenu dans le bureau de Fokontany 67 Ha Nord-Ouest, les premiers responsables de l’opération ratissage. Ces trafics concernent aussi bien des compteurs d’électricité que d’eau.
Sanctions pécuniaires
Des trafics, passibles évidemment de sanctions pécuniaires et, le cas échéant, pénales. Tout d’abord, les auteurs du trafic doivent faire l’objet d’un rappel de consommation. En l’occurrence, la Jirama calcule sur la base d’une formule unilatéralement établie par ses services, le montant qui devait être réellement payé par l’abonné si son compteur fonctionnait normalement. « Il nous est difficile de donner des chiffres exacts mais les rappels de paiement peuvent aller, selon les cas de 500.000 Fmg à 15 millions de Fmg », a-t-on rapporté hier. Sans compter le fait que dès la découverte de l’anomalie, la Jirama est en droit de couper immédiatement les fournitures en eau et en électricité du foyer concerné. « Ces sanctions sont applicables puisque dans le contrat de fourniture d’eau et d’électricité, les abonnés ont été avisés qu’ils sont également responsables de leur compteur ». Une manière pour la Jirama de rappeler que les abonnés doivent porter une attention particulière sur leur compteur et signaler à la Jirama, toutes anomalies. D’ailleurs, ces obligations sont clairement stipulées sur les fichiers abonnés fournis par la Jirama et accrochés sur les compteurs. Du moins pour ceux qui en ont puisque un certain nombre de logements ne disposent plus de ces fichiers depuis longtemps.
Clémence
La deuxième sanction est pénale. La Jirama se réserve en effet le droit d’ester en justice contre les trafiquants. C’est selon son appréciation. Mais d’habitude, l’affaire est bouclée, une fois que l’abonné délinquant accepte le rappel de consommation fixé par la Jirama. Concernant plus particulièrement l’actuelle opération de ratissage, la Jirama a décidé de faire preuve de clémence. « Nous allons surtout appliquer les sanctions pécuniaires, mais nous tenons également à éduquer les abonnés sur leurs droits et obligations », a-t-on rapporté hier. En précisant que la Jirama dispose de matériels et de systèmes permettant de détecter facilement les trafics, même s’ils ont été effectués par des professionnels. « Il y a des trafiquants qui arrivent à fabriquer des plombs, mais nous avons un cachet apposé sur les plombs avec une pince spécifique à la Jirama et qui nous permet de détecter les fraudes », ont avisé les responsables de la Jirama.
Une manière d’aviser les voleurs ou les candidats aux vols d’électricité que tôt ou tard, ils seront découverts. En effet, après les cités des 67 ha, le ratissage se poursuivra dans d’autres quartiers de la Capitale. Toute la région sera ratissée, a-t-on déclaré hier. L’objectif étant d’arriver à gagner 10% en plus sur les recettes mensuelles de 80 milliards de Fmg de la Jirama. Avis aux fraudeurs.


Midi  29/11/2005

Ratsiraka nourrit plus de cent personnes 
PARIS. L’ancien président ne peut finalement pas rentrer pour la saint Sylvestre. Plus de cent personnes vivent de sa charité en France.
Ratsiraka nourrit plus de cent personnes

Dans sa fuite en juillet 2002, l’ancien chef d’Etat ne pensait peut-être pas qu’il allait faire des émules. Car près de deux cents personnes ont suivi son geste. Laissant au pays familles et emplois. En trois ans, certains ont pu reconstituer leur foyer en les faisant venir en France. D’autres non. Le trait d’union de ces familles d’exilés volontaires reste la précarité. Beaucoup vivotent actuellement en terre française.
RCR

Cette situation dure depuis bientôt quatre ans. L’autre point commun est leur appartenance à la famille politique de l’ancien secrétaire général de l’Arema. Autrement dit, ils représentent la branche légitime du parti. Ils partagent un autre dénominateur commun. A savoir que leur sort ne laisse pas indifférent leur ancien patron. Ces gens-là étaient pour la plupart des fonctionnaires, des enseignants, des journalistes, des militaires voire de simples militants. A l’époque, ils avaient demandé le statut de réfugié. Une dizaine seulement ont acquis ce statut peu enviable mais qui donne droit à de nombreux avantages. Notamment celui de pouvoir travailler. Pour le reste, ils sont obligés de renouveler périodiquement leurs visas de séjour. En matière d’emploi, les petits boulots chassent le travail au noir. Ils vivent en tout cas dans un cercle vicieux sans fin.
Vie de pachas 
Pour soulager leur misère, l’ancien chef d’Etat a décidé de jouer l’abbé Pierre. Il a ouvert un registre à l’entrée de son appartement parisien. Ses partisans y défilent par dizaine chaque jour et y apposent leur signature contre une petite enveloppe de 20 ou 30 ou 50 ou 150 ou 200 euros en fonction des besoins. Un petit quelque chose pour éviter de dormir à jeun, pour acheter des médicaments, pour un déplacement urgent en vue d’un entretien d’embauche, pour la scolarité des enfants, pour le loyer, etc. La vie d’exilés volontaires n’est pas de tout repos. Sans parler du caractère humiliant de la situation pour des gens qui vivaient dans l’opulence ou presque au temps de la splendeur de la Révolution. Un passé relégué d’ailleurs au rang de souvenir. Faut-il souligner qu’aucun baron du régime défunt n’émarge ainsi chez l’ancien président. La plupart d’entre eux mènent une vie de pachas, grâce à l’argent volé aux contribuables malgaches. Ils circulent en grosse berline ou en 4x4, logent dans des banlieues riches, mangent dans des restaurants luxueux, envoient leurs enfants dans des écoles privées, dirigent leur propre société. Mais surtout financent les activités des opposants au pays. Ils laissent l’ancien chef d’Etat s’occuper seul du sort des simples militants.


Le Monde.fr 30/11/2005
Ronaldinho obtient le Ballon d'or, rêve de tous les footballeurs

B onne nouvelle : les milliardaires du foot-business, ces nouveaux riches en crampons installés à Madrid, Londres, Milan ou Barcelone, font encore de beaux rêves. Et, surprise, des rêves où il n'est pas question d'argent. Il y est question du Ballon d'or, le plus convoité des trophées individuels du football, remis en fin d'automne, depuis cinquante ans, par le magazine France Football. Cette année, l'heureux vainqueur est le Brésilien Ronaldinho, récompensé, lundi 28 novembre, pour ses performances sous les maillots de son équipe nationale et du FC Barcelone.

FASCINATION GRANDISSANTE
Paradoxe : le trophée semble exercer sur les joueurs une fascination grandissante. Comme si ces privilégiés souffraient encore d'un besoin de reconnaissance. Gérard Ernault raconte : "Une année, j'ai vu Roberto Carlos (le défenseur latéral brésilien du Real Madrid) pleurer en apprenant qu'il n'était pas choisi. Il n'a plus voulu parler à notre journal. Et j'ai dû m'expliquer une bonne heure avec Thierry Henry (souvent placé, jamais gagnant), chez qui plusieurs échecs successifs avaient fait naître une réelle frustration."
En 2000, un coup de tête sur un défenseur allemand, lors d'un match de Ligue des champions, avait coûté à Zinédine Zidane son deuxième Ballon d'or, après celui remporté deux ans plus tôt. "Il s'en voulait à mort, et j'ai vu ses frères l'engueuler en lui disant qu'il ne pouvait s'en prendre qu'à lui-même", se souvient Marie Gérard, responsable de la promotion de L'Equipe, à l'époque salariée d'Adidas.
En 2004, Andreï Chevtchenko, l'attaquant du Milan AC, a timidement demandé la faveur d'une deuxième remise du trophée, devant les siens, en Ukraine. Ronaldo, récompensé en 1997 et 2002, souhaitait que la direction de France Football lui fasse fabriquer trois autres exemplaires du Ballon d'or, pour les offrir à son père, à sa mère et au professeur Gérard Saillant, qui l'avait opéré avec succès quelques mois avant la Coupe du monde en Asie. "Nous avons refusé, explique Gérard Ernault, mais je sais qu'il a trouvé un artisan pour lui façonner trois répliques en miniature." Lothar Matthäus, le milieu de terrain allemand, a lui aussi décroché son téléphone dans l'espoir de récupérer une copie du précieux objet, décroché en 1990, l'année de la victoire de la Mannschaft au Mondial. Il avait perdu l'exemplaire original. Et ne s'en remettait pas.
Ces dernières semaines, le nom de Ronaldinho revenait avec insistance comme lauréat du 50e Ballon d'or. La presse espagnole jurait l'avoir aperçu, posant en tenant le trophée, à la mi-novembre, pour les besoins de la photo de "une" du prochain France Football. "Nous prenons pourtant un luxe de précautions pour réaliser cette opération dans le plus grand secret, explique Gérard Ernault. Le plus souvent, nous réservons une suite dans un palace."

Aux vainqueurs, il est demandé de garder leur langue, jusqu'à l'annonce officielle des résultats. A ce jour, il ne s'en est trouvé aucun pour lâcher le morceau. Sauf, peut-être, pendant leur sommeil. Un rêve. 
Alain Mercier 

PALMARÈS 
TRIPLES LAURÉATS
Johann Cruijff (1971, 1973, 1974),
Michel Platini (1983, 1984, 1985),
Marco Van Basten (1988, 1989, 1992).
DOUBLES LAURÉATS
Alfredo Di Stefano (1957, 1959),
Franz Beckenbauer (1972, 1976),
Kevin Keegan (1978, 1979),
Karl-Heinz Rummenigge (1980, 1981), Ronaldo (1997, 2002).
L'objet, un ballon grandeur nature posé sur un socle de pyrite, est façonné par l'un des plus vieux joailliers parisiens, la maison Melleriau. Chaque exemplaire est unique, gravé au nom du vainqueur. Il pèse 12 kg. Mais il n'est accompagné d'aucun chèque. Le prix est strictement honorifique. "Une affaire d'amour-propre et de notoriété, dans un milieu où plus rien n'est gratuit", résume Gérard Ernault, le directeur de la rédaction de France Football, président du jury — une cinquantaine de journalistes européens — depuis 1995.

La distinction n'aurait même aucun effet direct sur la valeur marchande de son lauréat. "Aucune incidence, j'en ai la certitude", assure Michel Platini, le seul vainqueur désigné trois fois de suite (1983, 1984, 1985). "Pas la moindre influence sur mon contrat", confirme le Danois Alan Simonsen, récompensé en 1977. Karl-Heinz Rummenigge, le buteur allemand, élu en 1981, veut croire que le Ballon d'or, en lui apportant une meilleure exposition, a facilité la signature de certains partenariats publicitaires. "Mais les stars d'aujourd'hui ont atteint un tel prix qu'il faut plus qu'un vote de journalistes pour faire grimper leur cote", commente un agent français.

Midi  30/11/2005

RUGBY. Les remous nés de la finale perdue à Paris continuent de faire des vagues. Pire, certains parlent de quitter le navire. Pour de bon…Johary Rakotondramboa parle aussi de partir !
Amer, le Secrétaire Général de la Fédération Malgache de rugby, Johary Rakotondramboa, l’est à son arrivée à Ivato, hier. « Je vais demander des éclaircissements à la Fédération à la suite des nombreux incidents survenus à Paris », se contente de dire cet homme qui entend d’abord réserver la primeur de ses déclarations à tous les membres de la FMR.
Clément Rabary
Les confidences de ses proches relatent son intention de déposer sa démission mais tant que cette formalité n’est pas faite à qui de droit, Johary Rakotondramboa gardera le silence par principe.
Un secret de Polichinelle en fait car on savait très bien qu’il a mal digéré la manière avec laquelle le Président Zo Andriantsilavo l’a écarté de toutes les démarches administratives préférant plutôt envoyer en première ligne sa conseillère, Tina Lalaina.
Bref, Johary Rakotondramboa ne servait pas à grand-chose à Paris où il s’est déplacé par ses propres moyens. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase a trait à l’invitation du ministre Tombo Ramandimbiarisoa et son épouse au dîner de gala de la Fédération française de rugby de vendredi soir. Il a pu récupérer le fameux carton auprès de son homologue français mais la conseillère est venue après pour tout chambouler en avançant comme argument le souhait du Président de la Confédération africaine à ce qu’on annule l’invitation du ministre malgache car le ministre marocain ne pouvait pas venir.
De cet incident, c’est l’autre conseiller, Roger Charpentier, qui a réagi en premier en donnant sa démission car il n’a pas accepté l’idée d’avoir été traité de la sorte, étant resté aux côtés de Johary Rakotondramboa, il a vécu en direct les coups portés contre ce dernier.
Après le DTN, Sylvain Bernardson, lui aussi écœuré par le fait qu’on lui a préféré à Tina Lalaina pour ce déplacement alors qu’il aurait pu servir les intérêts du rugby malgache, ne serait-ce que la relance de l’opération « Ecole de rugby », initiée par le ministère de la Jeunesse et des Sports, et Roger Charpentier qui n’accepte pas l’idée qu’un SG soit moins considéré qu’une conseillère, Johary Rakotondramboa semble être le prochain sur la liste. En tout cas, le président Zo Andriantsilavo est de plus en plus isolé et son intention de tenir un vote de confiance n’y changerait pas grand-chose. Et c’est dommage…


Xinhuanet.com 03/12/05
Madagascar lance une campagne contre le sida 
ANTANANARIVO, 1er décembre (XINHUANET) -- 650 collégiens et lycéens d'Antananarivo ont présenté jeudi dans la capitale leur plan d'action sur la prévention du VIH/sida, ce dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de la lutte contre le sida, a-t-on appris jeudi de source officielle. 
Ces élèves ont d'abord testé leur connaissance sur la pandémie et ont par la suite préparé leurs propres programmes et stratégies leur permettant de sensibiliser leur entourage sur les différentes précautions à prendre afin de repousser le virus et ainsi que la stigmatisation et la discrimination engendrées par la maladie. 
Cette présentation est le résultat de la concrétisation du plan national de mobilisation initié par le ministère de l'Education nationale et de la Recherche scientifique et auquel 110 collèges et 22 lycées participent à l'occasion de la campagne "Unissons- nous pour les enfants, contre le sida", dont les actions sont soutenus par l'UNICEF. Ce programme a pour but d'éveiller et appuyer la créativité de ces jeunes et aussi leur engagement dans la lutte pour freiner la propagation du VIH. Bien entendu, cette manoeuvre coïncide avec le lancement de la campagne nationale malgache pour cinq ans avec comme devise "Une génération sans sida à Madagascar". 
Elle intervient surtout dans le renforcement de la prévention de la transmission mère-enfant et mobilise les jeunes à toujours s'informer et informer leurs égaux dans le but de raffermir les actions de preventions.


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Express 03/12/2005
Patrimoine - Les banques au chevet du Rova
Dominique Tissier et la Bni-Cl contribuent à la reconstruction du Rova.
Par ce geste, la banque veut participer à la réhabilitation de l'une des vestiges les plus représentatives de la culture malgache. L'ensemble du personnel, les membres du comité exécutif et la banque en tant qu'institution viennent ainsi d'apporter leur contribution à une initiative d'envergure nationale. 
Lancé par le Président de la République, Marc Ravalomanana, lui-même à Brieville, le projet rencontre aujourd'hui une mobilisation de toutes les forces actives de la nation. Les estimations sur le budget nécéssaire à ces travaux seraient de sept millions de dollars américains. 
Doda Andrianantenaina 


La Gazette 03/12/2005
« C’est faux de dire que Madagascar ne progresse pas » - Narisoa Rajaonarivony : 
Ecrit par Tiana Rajaona 
De passage à Madagascar, notre ambassadeur à Washington, Narisoa Rajaonarivony, ne cache pas sa satisfaction de voir l’avancée de la démocratie et surtout le grand pas en avant de l’économie malgache.
* Quel jugement portez-vous sur Madagascar après ces quelques années d’absence ?
= "Je constate une nette amélioration, surtout au niveau de la propreté de la ville. Mais le plus important aussi je pense ce sont les nombreuses routes qui ont été construites depuis ces quelques années. Le progrès est donc, très visible surtout pour ceux qui ont quitté le pays du temps où rien n’a été fait. Mais je vois aussi que beaucoup de nouvelles constructions ont été érigées en quelques années. Contrairement aux accusations des membres de l’opposition, des réalisations ont été faites et elles sont quand même considérables. Je reconnais qu’il y a encore à faire mais ça demande du temps. Même du point de vue économique, on ne peut pas dire qu’on n’a pas progressé. Les gens travaillent, à preuve tous ces milliers de gens qui se ruent tous les matins dans les zones franches. Tout ça c’est grâce à notre adhésion à l’AGOA. 
Mais comme je l’ai dit tout à l’heure, il y a encore beaucoup à faire et les tenants du pouvoir font des pieds et des mains pour y arriver. Et c’est le plus important puisque sans une volonté réelle de progresser, nous ne pourrions jamais avancer. Je loue d’ailleurs la façon dont notre président mène la barque. Quand c’est lui qui prend l’initiative, il reste présent, la preuve, ce que nous sommes en train de vivre actuellement. Il a dit qu’il va reconstruire le Rova et il s’est déplacé sur place pour motiver davantage ceux qui veulent adhérer à sa cause". 
* Croyez-vous que le progrès est aussi perceptible au niveau de la démocratie ?
= "Mais bien sûr. Je lis de temps en temps les journaux locaux et apparemment, tout le monde peut dire ce qu’il veut. D’ailleurs, ce que nous devrions savoir aussi c’est que la démocratie ne nous permet pas de lancer des accusations gratuites dans le seul but de nuire". 
* Si les tenants du pouvoir sont aussi démocrates que vous le dites, pourquoi n’ont-ils pas laissé les membres de l’opposition tenir leur réunion de mardi dernier ?
= "Mais l’Etat leur en a déjà donné l’autorisation, ce sont eux qui n’ont pas aimé l’endroit indiqué. A mon avis donc, les membres de l’opposition ne font que chercher la petite bête. D’ailleurs, si l’Etat ne leur a pas donné son aval, c’est à cause de nos nombreux hôtes étrangers de ce jour-là. Donc, nous n’avons pas intérêt à ce qu’il y ait des pagailles en des moments pareils."
* A vous entendre, tout va donc pour le mieux pour Madagascar ?
Il suffit que tout le monde se donne la main et nous pourrons atteindre notre objectif, celui de faire développer le pays. 


Le Monde.fr 26/11/2005
Madagascar et Maroc se disputent la Coupe d'Afrique à Gennevilliers
Pour les Marocains et les Malgaches, il s'agit d'une occasion rêvée de donner un aperçu de la qualité de leur rugby. Cette année, la finale de la Coupe d'Afrique des nations à lieu en France.
La rencontre devait initialement se disputer en lever de rideau du match France - Afrique du Sud, samedi 26 novembre, au Stade de France. L'enceinte sera finalement moins prestigieuse. Selon Bernard Lapasset, le match, s'il avait eu lieu à Saint-Denis, aurait dû débuter à une "heure beaucoup trop avancée" — de façon à permettre aux équipes d'entretien de remettre la pelouse en conditions — "pour que le public soit déjà présent". Une solution de repli avait été trouvée avec le stade Jean-Bouin, mais cela aurait coûté "60 000 euros pour frais de location et de sécurité", regrette Abdelaziz Bougja, alors que le budget annuel de la Confédération africaine de rugby (CAR) est de 440 000 euros.
Les fédérations marocaine (8 300 licenciés) et malgache (11 350 licenciés) ne figurant pas parmi les plus riches du monde — les subventions annuelles versées par l'International Rugby Board aux fédérations africaines oscillent entre 15 000 et 120 000 euros, selon leur niveau —, la rencontre aura finalement lieu, samedi 26 novembre, à 15 heures, au stade Claude-Luboz de Gennevilliers (Hauts-de-Seine), 2 500 places.
Pour Bernard Lapasset, président de la Fédération française de rugby, cette finale représente "l'attachement de la France au développement du rugby en Afrique". Ce match sera, en tout cas, selon Abdelaziz Bougja, président de la jeune CAR, "la première finale francophone" de cette épreuve créée en 2001.
Si l'équipe marocaine est une habituée de ce stade de la compétition — elle a participé aux quatre finales précédentes et l'a emporté en 2003 —, c'est une première historique pour celle de Madagascar, qui s'est défait de l'équipe espoirs sud-africaine (33-30) lors de sa demi-finale.
Les 44 joueurs auront quand même l'honneur de fouler la pelouse du Stade de France : ils seront présentés au public avant le coup d'envoi de France - Afrique du Sud, au cours d'une cérémonie où la Coupe d'Afrique sera décernée à l'équipe gagnante. 
Jean-louis Aragon 


allAfrica.com 30/11/2005
AIMF : onze projets votés dont 2 pour Madagascar !   (Val A. Midi Mada)
Les débats sur la microfinance ont permis aux villes francophones d'étendre leurs activités à la recherche des financements.
Onze projets ont été votés au cours de la 25e AG de l'AIMF à Antananarivo. Dont deux pour Madagascar, à savoir, le renforcement du fonctionnement technique du Centre de Santé et de Maternité de Namontana Anosibe, et la réhabilitation d'une Ecole primaire et du stade municipal d'Antsiranana.
En outre, l'association a procédé à la révision de son budget. C'est ainsi que le budget de fonctionnement est réduit à 1,5 millions d'euros, tandis que le budget d'investissement atteindra les 3,6 millions d'euros. « L'AIMF doit se justifier en donnant la priorité à la coopération concrète. Et c'est pour cela que nous avons fait évoluer notre budget. Nous avons appris à chercher des financements, et nous avons diminué sensiblement nos dépenses de fonctionnement », a expliqué le président, Bertrand Delanoë. « La participation constructive des participants a permis de poser les premières pierres de ce que j'appellerai les « Banque des villes » qui doivent nous permettre d'intégrer au processus de développement, les populations les plus défavorisées », a, pour sa part, déclaré le maire d'Antananarivo, Patrick Ramiaramanana. En avril 2006, l'AIMF se réunira à Montréal sur le thème « Villes, savoir du développement local ». Quelques mois après, toujours en 2006, les membres se retrouveront à Bucarest pour le thème « Villes et Education citoyenne ». Rideau sur l'AG de Tana dont l'organisation fut une véritable réussite, qualifiée de « la meilleure », par le Maire de Paris.


Tribune 30/11/2005
Rugby : Finale «Top Nine»     Pourquoi pas Paris ! 
Le choix de la confédération africaine de rugby de faire disputer la finale d’une épreuve continentale en Europe anime la conversation de bon nombre de malgaches. De plus, la lourde défaite des Makis devant les Marocains à Paris soulève la passion et a fini par jeter de l’huile sur le feu.
Sur ce chapitre, une partie de la population ovalistique de la Grande île, malheureusement la majorité, ne veut se rendre à l’évidence quant à la supériorité technique, physique du Xv marocain. 
Une équipe qui était toujours présente aux cinq finales de toutes les éditions de la coupe d’Afrique des nations et qui avait déja glané le titre en 2003. Ce qui fait que les Lions de l’atlas possédent un statut de grands joueurs que les Makis en ont envie. 
Que cette finale soit tenue à Paris, à Mahamasina, à Marrakech, en Algérie ou même dans la boue du Malacam Antanimena, l’expérience de l’équipe nationale du Maroc, les talents de leurs joueurs aguerris à des rencontres de haut niveau auraient fait indéniablement la différence.
Soyons réalistes et logiques! les Marocains que les Makis avaient affronté en finale, n’ont rien à voir et incomparables aux universitaires ou espoirs de l’Afrique du sud éliminés in-extremis au tour précédent au stade de Mahamasina, 33-31. 
José et consorts en se qualifiant à cette finale, ont déja accompli leur part de responsabilité pour donner au rugby malgache sa notoriété sur le plan continental, reste aux dirigeants de l’élargir au niveau mondial.
C’est de ce côté que la partie malgache peut tirer profit du choix tant décrié de la C.A.R. (confédération africaine de rugby). «Le choix de la France pour disputer la Can 2005 n’est pas dû au hasard. La rencontre Maroc - Madagascar est à même de mettre toute la lumière sur l’évolution du rugby en Afrique» déclarait Abdelaziz Bougja, le président de la C.A.R. 
Un clin d’oeil adressé sans doute au président de l’international rugby board, présent à la finale, pour que l’instance suprême mondiale de la balle ovale augmente les subventions allouées aux fédérations Africaines. En effet, le rugby africain se limite simplement aux «Springboks» alors qu’il existe des nations, entre autres, Namibie, Maroc, Kenya, Madagascar, Sénegal... qui se démènent pour promouvoir la discipline. 
Il va sans dire qu’avec ce titre de vice-champion d’Afrique, Madagascar voit en hausse sa cote auprès de la fédération internationale et de facto sera, souhaitons-le, plus considéré en matière de «bourse». Si telle est la récompense à escompter, disputer la finale à Paris n’est pas la mer à boire


NOSINTSIKA  30/11/2005

mortalité à Antananarivo sur le dernier quart du 20ème siècle / flux migratoires France - Madagascar

Voici quelques résultats de statistiques ou de recherches démographiques se rapportant à Madagascar, avec quelques commentaires d'un adhérent Nosintsika, Nicolas Razafindratsima (ex-projet Madio)
1/ La mortalité à Antananarivo
Une étude de la mortalité à Antananarivo sur le dernier quart du 20ème siècle nous apprend que l'espérance de vie à la naissance y était de l'ordre de 60 ans en 2000, valeur proche de celle de 1976. Cette similitude de l'espérance de vie sur ces deux années ne signifie pas que rien n'a bougé entre ces deux dates, bien au contraire.
En fait l'espérance de vie a beaucoup diminué entre 1976 et 1986, cette dernière étant l'année la plus "noire" (l'espérance de vie à la naissance valait alors 44,7 ans chez les hommes, 53 ans chez les femmes).
Heureusement, il y a eu un "rattrapage" à la fin des années 1980, puis au cours des années 1990, ce qui fait qu'on a retrouvé les niveaux de 1976 à l'aube du 21ème siècle.
L'article contient une autre information importante, concernant les causes de décès.
On apprend qu'entre 1997 et 2000, les 3 principales causes de mortalité, à Antananarivo, pour tous les âges, étaient (en % de décès liés à la cause) :
- les maladies cardio-vasculaires (26,3% des décès chez les hommes, 33,2% chez les femmes),
- les maladies infectieuses (19,6% chez les hommes, 18,8% chez les femmes)
- et, enfin les maladies de l'appareil respiratoire (12% chez les hommes, 11,2% chez les femmes). 
Source : Waltisperger Dominique et Meslé France (2005) : "Crise économique et mortalité : le cas d'Antananarivo 1976-2000", Population, n° 3, 2005, pages 243-276. Le résumé de l'article, reproduit ci-après, est consultable sur http://www.ined.fr/publications/index.html
Au cours des quarante dernières années, le PIB de Madagascar sest réduit de plus de 30 %. La dégradation quasi constante des conditions de vie a été ponctuée de crises économiques particulièrement graves, en particulier au milieu des années 1980.
L'exploitation des registres de décès de la capitale, Antananarivo, permet d'y suivre l'évolution de la mortalité et des principales causes de décès depuis 1976. Au cours des vingt-cinq dernières années, la montée de la pauvreté a considérablement contrarié l'effet bénéfique des actions préventives de santé en provoquant l'émergence d'affections considérées comme éradiquées il y a plusieurs décennies (tuberculose, paludisme, choléra) sur des populations considérées jusque-là comme moins vulnérables (jeunes hommes adultes). L'effet de la crise de 1986 est particulièrement spectaculaire, notamment chez les enfants de 1-4 ans. Les choix politico-économiques de cette époque ont plongé le pays dans une situation de carence alimentaire telle qu'au total, plus de dix ans d'espérance de vie à la naissance ont été perdus en dix ans.
Dans les années les plus récentes, les progrès ont repris et l'espérance de vie a retrouvé tout récemment les niveaux du milieu des années 1970. Si les niveaux sont comparables, la répartition des causes de décès s'est nettement modifiée. Le poids des maladies aiguës et infantiles s'est réduit tandis que celui des maladies chroniques s'accroissait. L'avenir sanitaire de Madagascar reste cependant très incertain. Il n'est en effet pas sûr que la situation économique et politique actuelle permette à la fois de consolider la baisse encore fragile de la mortalité infectieuse et de freiner la montée des nouvelles pathologies.
2/ L'immigration entre la France et Madagascar
20.044 Français étaient immatriculés dans les consulats français de Madagascar en 2004. Ces chiffres officiels sur l'expatriation de ressortissants français montrent que Madagascar est le premier pays accueillant des Français en Afrique au Sud du Sahara, avant le Sénégal (15.235) et la Côte d'Ivoire (12.414), où le nombre de Français a beaucoup diminué suite aux événements de ces dernières années (-24,6% entre 2003 et 2004). A noter que le nombre de Français immatriculés à Madagascar "augmente fortement" ces dernières années : +7,1% entre 2003 et 2004, +4,7% entre 2002 et 2003. En 2004, Madagascar accueillait près de 20% des Français résidant en Afrique francophone (hors Maghreb).
Source : rapport consultable et téléchargeable sur http://www.expatries.diplomatie.gouv.fr/statistiques.htm
Le même site du ministère français des Affaires Etrangères affirme qu'il y a environ 80.000 Malgaches résidant en France (voir rubrique "Madagascar" puis "présentation de Madagascar").
Commentaire : Les différents chiffres ne sont, bien sûr, pas à prendre au pied de la lettre, l'élaboration des statistiques de migrations étant très difficile, en raison des problèmes de définitions (faut-il inclure les bi-nationaux, quel délai de résidence considérer, etc.), de couverture, etc. En particulier, si on peut à peu près se fier au nombre de Français immatriculés à leur Consulat, je suis assez sceptique sur le chiffre de 80.000 malgaches en France : d'autres sources indiquent un nombre de "Malgaches" bien moindre. Ce chiffre serait, à la limite une estimation haute. Mais c'est un sujet qu'il faudrait approfondir...
On peut néanmoins dire que les migrations entre la France et Madagascar ne sont pas à sens unique : si de nombreux Malgaches vivent en France, de nombreux Français aussi sont installés à Madagascar. Par ailleurs, si on croît aux ordres de grandeur des chiffres fournis par le ministère français des Affaires Etrangères, en rapportant les chiffres de migrants à la population du pays d'accueil (et sachant que la population malgache est 3,5 fois moins nombreuse que la population française), on trouve un ratio à peine plus élevé de Malgaches en France que de Français à Madagascar.
3/ L'adoption d'enfants malgaches en France
En 2003, 325 enfants malgaches ont été adoptés par une famille française. Madagascar est le 4eme pays "pourvoyeur" d'enfants pour l'adoption internationale vers la France, après Haïti (534), la Chine (361) et la Russie (333), mais avant le Viet-Nam (234) ou la Thailande (82). A noter que la France est le 2ème pays au monde pour le nombre d'enfants adoptés, après les Etats-Unis
Source : Juliette Halifax et Catherine Villeuneuve-Gokalp (2005) : "L'adoption en France : qui sont les adoptés, qui sont les adoptants ?", Population et Sociétés, n°417, novembre 2005, 4 pages. Consultable et téléchargeable sur http://www.ined.fr/publications/pop_et_soc/pes417/417.pdf
Question qu'on peut se poser : comment évoluera cette statistique après la nouvelle législation sur l'adoption d'enfants à Madagascar, adoptée cette année (sauf erreur de ma part) ?

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