... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
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«Claude Monet et Giverny ...
»
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Jardin ! à la simple évocation de ce
mot, tous nos sens se mettent en éveil, notre esprit
vagabonde et erre parmi les fleurs, arbres et
arbustes, captant au passage mille et un parfums, prêtant
l’oreille aux doux chants des insectes et des
oiseaux, et sentant les chauds rayons de soleil qui
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irradient de lumière et de couleurs le paysage
idyllique qui s’offre à nos yeux.
Tels
sont les jardins de Giverny. http://www.fondation-monet.com/
"Il est indispensable de faire un pèlerinage à Giverny, dans ce
sanctuaire fleuri, pour mieux comprendre le Maître, pour mieux
saisir les sources de son inspiration et pour l'imaginer toujours
vivant parmi nous". Gerald
VAN DER KEMP.
Monet
est un peintre qui vécu entre 1840 et 1926. Sa vie commença
quand il s’installe à Giverny, « Je
suis
dans
le
ravissement,
Giverny
est
un
pays
splendide
pour
moi... ».
Il y rencontre beaucoup de
peintres dits impressionniste comme Cézanne, Renoir, Sisley ,
Pissarro, Matisse, John Singer Sargent. C’est dans sa maison de
Giverny qu’il peignit ces « séries » de peintures qui le
rendront célèbre.
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Epris soudainement d’amour pour l’art japonais après
avoir vu un vase japonais et bien qu’il ne soit jamais allé au
Japon, il exposera dans sa demeure plusieurs peintures japonaises.
Il créa un jardin d’eau japonais avec de sublimes fleurs importées
de là bas. Il y dessina plusieurs de ses dessins, notamment les
jeunes filles en barque et les Nymphéas. Cette maison peut être visitée et chacune
des personnes se laisse facilement emportée par la splendeur des
lieus. On peut se poser sur des bancs et admirer le magnifique
paysage aménagé par Monet et encore très bien entretenu par ses
descendants.
S'il
vous prend l’envie de ressentir les même sentiments que moi, allez-y
n’hésiter pas ! Voici ci-dessous l’adresse du site pour plus de
renseignement !
Bonne Visites !!
...suite ...
Cliquez-ici
|

... Le
Dossier Klikeo
eto
>> |
Aina Ratsimba-Rajohn de VSG
|
|
...
Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Lanto a répondu à notre appel
de publier des Editos, maintenant à
qui le tour? On vous attend edito men et edito women.Merci d'avance!
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Xinhuanet.com
21/07/2007
L'amnistie fiscale mise en oeuvre à Madagascar
- XINHUA
L'amnistie fiscale, annoncée par le président malgache Marc Ravalomanana à la veille de la fête de l'indépendance le 26 juin dernier a été officiellement mise en oeuvre dans l'île.
Le ministre malgache des Finances et du Budget, Benjamin Andriamparany Radavidson, a annoncé jeudi la mise en oeuvre de l'amnistie fiscale portant remise de pénalités et amendes relatives aux infractions douanières, fiscalesn et de rapatriement de devises des exportations, a rapporté vendredi le jouranl L'Express.
Dans son discours à la nation le 25 juin dernier, le président Ravalomanana a annoncé une amnistie aux individus et sociétés qui n'ont pas payé leurs impôts jusqu'au 26 juin cette année.
Le président Ravalomanana avait menacé vendredi dernier de rompre toute coopération avec le Fonds monétaire international ( FMI) si celui ci refuse d'appuyer son décret sur l'amnistie fiscale et essaie de susciter des obstacles à sa mise en oeuvre.
Juste après sa rencontre avec les sénateurs lors d'une session de travail, le FMI est parvenu à un compromis avec Madagascar concernant l'arrangement sur l'amnistie fiscale décidé par le président Marc Ravalomanana.
Express
Mada 20/07/2007
APRES SEPT MOIS DE CAVALE
: Pety Rakotoniaina arrêté à Ambanimaso
Fin de cavale pour Pety Rakotoniaina, ancien maire de Fianarantsoa, après sept mois de cache-cache avec les forces de l'ordre. Il devra maintenant répondre à plusieurs dossiers judiciaires.
Après sept mois de cavale, Pety Rakotoniaina a été appréhendé par les autorités. L'ancien maire de Fianarantsoa et président de l'association Tambatra doit maintenant s'expliquer devant la Justice, sur les actes qu'il a commis depuis 2002. D'autres dossiers l'attendent également. L'opposant risque gros.
Pety Rakotoniaina a été arrêté par les éléments des forces de l'ordre, hier vers 15 heures, selon une source auprès de la Gendarmerie. Il a été surpris à Ambanimaso, un village périphérique de la Commune urbaine de Fianarantsoa, sur la route menant vers Toliara.
Les circonstances exactes de l'arrestation restent encore confuses. Des responsables, aussi bien gouvernementaux que locaux, se montrent assez peu loquaces, pour fournir d'autres détails de l'arrestation. Mais le général Claude Ramananarivo, commandant de la Gendarmerie a laissé filtré quelques informations. "Pety Rakotoniaina a encore eu l'intention de fuir. Mais un tir de sommation a eu raison de sa détermination de s'en tirer", confie l'officier.
Pour leur part, les proches de Pety Rakotoniaina ne peuvent s'empêcher de donner leur version des faits. "Il s'est rendu car il ne supporte plus ce qu'endure sa famille. Sinon, comment expliquer sa présence en pleine ville de Fianarantsoa?", suppose Beza Seramila, un des hauts responsables du Tambatra.
Des dossiers en cascade
Dans un premier temps, Pety Rakotoniaina a été conduit à la Section de recherche de la Gendarmerie, à Fianarantsoa, après sa capture. Mais les autorités ont décidé de l'amener à Antananarivo
Pety Rakotoniaina a été recherché pour une affaire qui remonte en 2002, lorsqu'il avait quitté son poste de président de la délégation spéciale (PDS) de Fianarantsoa. Il est soupçonné de vol de voitures, faux et usages de faux.
Mais ses dossiers risqueront de s'alourdir au fur et à mesure de l'avancement de l'enquête. "Les motifs de sa recherche concernent le vol de voiture, mais ne touchent pas encore d'autres dossiers", prévenait Lucien Razakanirina, lorsque ce dernier était encore secrétaire d'Etat chargé de la sécurité publique.
L'ancien maire de Fianarantsoa devra, entre autres, répondre aux actes présumés commis par lui avant la tenue des élections présidentielles du 3 décembre 2006. Les autorités soupçonnent son implication dans une opération d'entrave au bon déroulement d'une élection, assortie d'outrage aux forces de l'ordre. Un haut responsable de la Gendarmerie n'exclut pas non plus une possible implication du président du Tambatra dans le coup de force du général Andrianafidisoa, les 17 et 18 novembre 2006.
Pour sa part, Beza Seramila est resté sur le dossier en cours et relativise ce qui arrive à son compagnon politique. "Que valent les présumés délits commis par Pety Rakotoniaina par rapport à ce que d'autres ont perpétré, ne serait-ce que les vols dans les Banques centrales, à Manakara ou à Toamasina?", s'insurge-t-il.
Une traque avec des gros moyens
La recherche de Pety Rakotoniaina, qui avait donné du fil à retordre aux forces de l 'ordre, constitue l'une des plus grosses opérations jamais montées par les autorités. Le gouvernement a recouru au système de prime, fixée à Ar.100 millions, pour obtenir des informations pouvant mener à l'arrestation de l'ancien maire de Fianarantsoa.
Le président Ravalomanana avait évoqué l'une des raisons de la nomination du général Charles Rabemananjara comme Premier ministre : la capture de Pety Rakotoniaina.
Les éléments des forces de l'ordre n'avaient même plus hésité à fouiller des domaines religieux, comme à Fandrandava, pour atteindre leur but.
Des initiatives qui avaient jeté un froid entre le gouvernement et l'Eglise catholique.
Iloniaina Alain
Nosintsika
20/07/2007
Coutumes - Le Festival Mazavaloha valorise le zébu
Du 26 au 29 juillet se déroulera à Tsiroanomandidy le Festival Mazavaloha, valorisant la tradition des zébus.
Le zébu, une richesse qui fait la renommée de la région Bongolava. Si Tsiroanomandidy est considéré comme l’un de plus grands marchés de boeufs à Madagascar, les contacts entre les différentes ethnies malgaches attirées par cette réputation, a certainement inclus une culture qui aurait dû faire la particularité de la région.
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Ainsi, le Festival Mazavaloha qui se déroulera à Tsiroanomandidy du 26 au 29 juillet prochain, se donne pour ambition d’immortaliser ce qui peut valoir de culture et de ressources économiques dans l’élévage de zébus.
Diverses manifestations sont programmées à cet effet. Le 27 juillet, un grand “carnaval de zébus” parcourra toute la ville, où l’on verra défiler des zébus “élégamment” habillés ou encore des charrettes ornées de toutes formes de décoration.
Le savika à l’honneur
Le
Corrida de la Brousse malgache >>
Le 28 et 29 juillet seront dédiés au savika, le “sport culturel” ou le “corrida malgache”, hérité des ancêtres.
Il alignera en compétition des “lutteurs” de trois régions réputées en la matière, à savoir le Bongolava, l’Imoron’i Mania et l’Itasy. Sans oublier les parties de kabary, l’art oratoire national, qui engagera aussi bien le sexe masculin que féminin. De même pour le purement sportif comme le football, et bien évidemment diverses animations musicales. |
La culture au service de la jeunesse, mais aussi à celui du développement dans tous les aspects. Pour la région du Bongolava regroupant 26 communes, et à l’origine de la manifestation, le Festival Mazavaloha sera aussi une occasion de toutes les rencontres pour la dynamisation de tous les acteurs et secteurs de développement.
Extrait L’Express de Madagascar - Edition n° 3753 du 16-07-2007
Midi
Mada 21/07/2007
TOLIARA. Comme par hasard, le Président de la République a annoncé sa décision de dissoudre la Chambre basse dans le fief de l’actuel numéro Un de cette Institution.
Ravalomanana annonce la dissolution de l’Assemblée nationale
- R.O.
« Le Président de la République peut prononcer la dissolution de l’Assemblée nationale dans les conditions prévues par l’article 98 ci-dessous. Dans ce cas, il est procédé à l’élection de nouveaux députés dans les conditions prévues par une loi organique. Il ne peut être procédé à une nouvelle dissolution dans les douze mois qui suivent cette élection ». Telles sont les dispositions de l’article 59 de la Constitution qui confirme en son article 98 que « le Président de la République peut dissoudre l’Assemblée nationale pour des causes déterminantes ».
Décret
Fort de ces deux articles qu’il a du reste cités, Marc Ravalomanana a annoncé hier, à Toliara, la dissolution prochaine de la Chambre basse. La deuxième du genre après celle de 2002. « Je prendrai le décret incessamment », a-t-il déclaré. Avant d’expliquer que cette dissolution est dictée par le souci de faire cadrer la représentation nationale avec la Constitution révisée et le MAP. « Tous les partis politiques ainsi que les simples citoyens pourront se présenter. A charge pour les électeurs d’élire les bons candidats », a-t-il fait savoir. Levant ainsi un pan de voile sur les éventuelles conditions d’éligibilité de la future loi organique qui abrogerait ou modifierait celle qui avait régi les législatives du 15 décembre 2002.
Ordonnances
Concernant la tenue des législatives anticipées, la Constitution amendée ne fixe pas de délai. Force est alors de se référer aux dispositions transitoires et diverses qui stipulent en son article 156 que « le Président de la République est habilité à légiférer par voie d’ordonnance en conseil des ministres, pour prendre les mesures d’ordre législatif nécessaires à la mise en place des Institutions ou Collectivités territoriales décentralisées prévues par la présente Constitution révisée ». L’alinéa 2 d’ajouter que « les Institutions et Collectivités territoriales décentralisées prévues par la présente Constitution révisée seront mises en place sous la responsabilité du gouvernement dans un délai de trente mois à compter de l’entrée en vigueur desdites ordonnances ».
Pouvoirs
Tout dépend donc de la volonté politique du Président de la République de prendre les ordonnances en question pour que le compte à rebours commence. S’il laisse le temps au temps, ce sera au mépris de « la séparation et l’équilibre des pouvoirs » consacrés par le préambule de la Constitution. Celle-là même qui dispose expressément en son article 157 que « l’Assemblée nationale exerce ses fonctions jusqu’au terme de son mandat actuel ». C’est-à-dire jusqu’en janvier 2008 si l’on prend pour date repère, la session spéciale du 21 janvier 2003. Le mandat de 5 ans ne prendrait même fin qu’en mai 2008 s’il courait à partir de la première session ordinaire qui avait débuté le 6 mai 2003.
Avis
Avec la dissolution de la Chambre basse, l’appareil législatif sera paralysé puisque « lorsque l’Assemblée nationale ne siège pas, le Sénat ne peut discuter que des questions dont le gouvernement l’a saisi pour avis, à l’exclusion de tout projet législatif ». D’ailleurs, le chef de l’Etat a tenu à rappeler hier, à Toliara, que le mandat des membres de la Chambre haute a déjà expiré, quand bien même l’article 158 disposerait que « le Sénat continue d’exercer ses fonctions jusqu’au renouvellement de ses membres tel que prévu par la présente Constitution révisée ». Y aurait-il également une hiérarchie des articles au nom de laquelle, les dispositions transitoires et diverses auraient moins de valeur par rapport aux autres titres ? La balle est dans le camp de la HCC, même si le Président de la République n’est pas obligé de demander son avis, à moins que ce ne soit déjà fait.
Urgence
En tout état de cause, le locataire d’Ambohitsorohitra n’est pas habilité à légiférer par voie d’ordonnance dans tous les domaines et encore moins indéfiniment, au regard de l’article 99 qui prévoit que « le Parlement, par un vote à la majorité absolue des membres composant chaque Assemblée, peut déléguer son pouvoir de légiférer au Président de la République pendant un temps limité et pour un objet déterminé. La délégation de pouvoir autorise le Président de la République à prendre, par ordonnance en conseil des ministres, des mesures de portée générale sur des matières relevant du domaine de la loi ». Mais pourrait-il avoir la majorité absolue au sein des deux Chambres dont l’une est dominée par l’Arema et l’autre composée d’élus …dépités par la dissolution ? Il, c’est évidemment le Président de la République qui peut aussi prendre par ordonnance des mesures relevant du domaine de la loi, mais seulement « en cas d’urgence ou de catastrophe ». Ce qui est loin d’être le cas à moins que cela ne urge pour Ambohitsorohitra qui aurait alors intérêt à s’abriter sous le parapluie
d’Ambohidahy.
Jeune
Afrique 19/07/2007
Le FMI parvient à un compromis avec Madagascar sur l'amnistie fiscale
- XINHUA
Le Fond monétaire international (FMI) est parvenu à un compromis avec Madagascar concernant l'arrangement sur l'amnistie fiscale annoncée par le président Marc Ravalomanana le mois dernier.
Le représentant résident du FMI à Madagascar, Van den Boogaerd, a fait savoir à la presse lundi que le FMI ne s'était jamais opposé à la décision de Ravalomanana annoncée la veille du jour de l'indépendence le 26 juin d'accorder une amnistie fiscale à tout ceux qui n'ont pas payé leurs impôts avant cette date.
Boogaerd a expliqué que la FMI n'a pas contesté le principe de l'amnistie fiscale, rapporte le journal malgache MIDI.
Le président Ravalomanana a menacé vendredi dernier de rompre toute coopération avec le FMI si celle-ci refuse d'appuyer son décret sur l'amnestie fiscale et d'essayer de susciter des obstacles à sa mise en oeuvre.
S'exprimant lors d'une session de travail du Sénat sur le processus de développement socio-économique du pays, le président Ravalomanana a laissé entendre qu'en cas d'objection du FMI, son gouvernement va essayer de trouver d'autres sources de financement.
En juillet 2006, le FMI a accordé 80 millions de dollars américain pour aider Madagascar à réduire la pauvreté et à développer le pays. Une rupture avec le FMI pourrait avoir de graves répercussions sur le budget de l'Etat et l'économie en général, et pourrait aussi entraîner d'éventuelle rupture avec d'autres bailleurs de fonds traditionnels, estiment des observateurs.
educationsansfrontieres.org
21/07/2007
P229 - Lyon, régularisation pour David
RAMIANDRY, étudiant malgache
David
RAMIANDRY, d’origine malgache est entré en France en 2001, à 16 ans. il est actuellement au centre de rétention de
Lyon.
En 2006, il a reçu un APRF confirmé à Nice en août 2006 .
Le 13 juillet 2007, il a été conduit au Centre de Rétention de Saint-Exupéry .
Le 15 juillet 2007, le Juge des Libertés a estimé illégal son transfert au Centre de rétention .
La Préfecture n’a pas accepté cette décision et fait appel .
Le 16 juillet 2007, cet appel est jugé .
Le 16 juillet 2007, l’APRF est contesté devant le Tribunal Administratif .
Le 17 juillet 2007 - le Tribunal Administratif confirme l’APRF .
- la Cour d’Appel donne raison à la Préfecture .
David RAMIANDRY risque donc l’expulsion à tout moment.
Or ce jeune homme est un exemple parfait d’intégration et « d’immigration choisie » !
La Préfecture, ainsi que le Président du Tribunal Administratif ont reconnu publiquement que cette intégration était incontestable ! |
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Au TA, étaient présents :
- le directeur ainsi que les membres de l’école de danse que fréquente David
- un professeur de David du lycée la Martinière .
Dans le cadre de sa formation professionnelle, David a effectué un stage dans l’association « Papyrus » où son très bon contact humain et ses capacités intellectuelles, son honnêteté ont été appréciés dans la gestion financière qu’il a conduite pour cette entreprise .
Il pratique avec succès le basket dans une équipe .
Il a fait du soutien scolaire .
Il a obtenu le 1er prix dans un concours d’affiche pour le Musée des Beaux –Arts de Lyon !
Quant à l’immigration choisie :
Depuis 2001, David a successivement réussi : le Brevet des Collèges, le Bac S, il vient de terminer avec succès la 1ère année du BTS
d’Assistant d’Ingénieur .
David est hébergé en famille ici, elle-même en situation régulière .
Ce jeune homme ne serait pas digne de vivre en France ?
Nous demandons la libération de David Ramiandry ainsi que sa régularisation.
Sobika.com 21/07/2007
David Ramiandry étudiant malgache menacé d'expulsion
Une centaine de personnes se sont rassemblées mercredi soir devant la préfecture du Rhône pour demander la libération de David
Ramiandry, un étudiant malgache de 23 ans menacé d'expulsion, a constaté un journaliste de l'AFP. Un représentant de la préfecture a déclaré à une délégation des manifestants que le jeune homme serait expulsé "dans les prochains jours", mais que la
préfecture ne ferait "pas de difficulté particulière" si le jeune Malgache demandait un visa pour revenir, a-t-on appris auprès de RUSF69. "Ils (la préfecture) ne se rendent pas compte qu'ils sont en train de
détruire sa vie et celle de sa copine, et qu'ils agissent avec une volonté d'expulsion aveugle, pour remplir des quotas", a déclaré à l'AFP Thomas Barrier, membre de RUSF69.
La manifestation festive, qui a débuté par un coup de téléphone au jeune
homme détenu en centre de rétention, s'est poursuivie par des démonstrations de basket et de salsa, deux des loisirs pratiqués par le jeune homme. David Ramiandry avait été arrêté vendredi à la suite d'un contrôle de police
et le tribunal administratif de Lyon a confirmé mardi son arrêté de reconduite à
la frontière, rendant son expulsion possible à tout moment.
PS : info sur http://aidezdavid.blogspot.com/
Les
Nouvelles 19/07/2007
Prix des reportages sur la biodiversité 2007
Le concours Biodiversity reporting awards (BDRA) prendra fin officiellement ce 31 juillet 2007. Les journalistes sont donc priés de remettre leurs articles datant de fin juillet 2006 à fin juillet 2007 au siège de Conservation international à
Ambohidahy.
Ces articles doivent avoir un rapport direct avec la biodiversité, mais traités sous différents angles (bio piraterie, politiques environnementales, éducation environnementale, menace sur les zones riches en biodiversité, phénomènes sociaux ayant des impacts environnementaux, industries minières, exploitation forestières, changement climatique et ses impacts sur la biodiversité, conflit sociaux à l'intérieur ou à l'extérieur des aires protégées, recherche et découverte, écotourisme, valeur économique de la biodiversité, importance de la conservation de la biodiversité, développement durable et conservation, collecte et commerce des produits forestiers…)
Rappelons que le premier prix comprend 2 millions d'ariary et une adhésion d'une année gratuite à la Fédération internationale des journalistes de l'environnement
(FIJE). Le second et le troisième gagneront respectivement un prix de 1,3 million et de 700 mille
ariary, majorant une adhésion d'une année gratuite à la fédération internationale des journalistes de l'environnement, ainsi qu'un certificat.
Pour information, les articles doivent être remis au plus tard le 8 août 2007. Les affiches de participation peuvent être retirées au siège de Conservation international à
Ambohidahy.
Ils devront soumettre l'article original dans son intégralité ou une copie lisible de l'article publié.
Egalement, tous les articles doivent être soumis en version électronique, émail ou disquette à Conservation international.
En tout cas, ce concours permet aux journalistes évoluant dans le monde de l'environnement, de rehausser le niveau des écrits dans ce domaine.
Faly Rajaonarison.

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casquette new era. prix: 6000ar fixe
contact: Rakoto
3)-
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contact: Danny Jean Laurence
4)-Français, résidant à Paris, charmant professeur de 41 ans, je souhaiterais rencontrer une jeune femme malgache habitant ou en vacances en région parisienne.
Je suis tendre et attentionné. Je voudrais rendre très heureuse celle qui par bonheur me fera confiance.
contact: Mickaël
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Xinhuanet.com
21/07/2007
Madagascar : arrestation du candidat Malgache à la présidentielle
-XINHUA
L'ancien candidat malgache à l'élection présidentiellem Pety Rakotoniainam a été arrêté jeudi après sept mois de cavale, a rapporté vendredi le journal L'Express.
Un responsable de la gendarmerie malgache a affirmé que Pety Rakotoniaina avait été capturé par les forces de l'ordre à Ambanimaso, un village au sud-est de la province de Fianarantsoa.
Pety Rakotoniainam avait pris part à l'éléction présidentielle de décembre dernier.
Ses proches ont déclaré qu'il voulait en fait se rendre aux autorités.
Sa femme, Ialy Rakotoniaina, avait été arrêtée le mois dernier, accusée d'être impliquée dans l'affaire de l'incendie de l'amphithéâtre à l'université de Fianarantsoa.
L'affaire de Pety Rakotoniainam remonte à 2002 lorsqu'il a été soupçonné de vol de voitures. les enquêteurs sont en train de poursuivre leurs enquêtes, rapporte le journal.
Il a été accusé d'avoir suscité des obstacles et des troubles au bon déroulement de l'éléction présidentielle de décembre dernier et d'outrages aux forces de l'ordre.
Le gouvernement a offert 100 millions d'Ariary (soit 500.000 dollars) à ceux qui fournissent des informations menant à sa capture.
Pety Rakotoniainam est un des leaders de l'opposition Mpitolona ho amin'ny Fanjakan'ny Majinika (Activists pour le Progrès de Madagascar). Il est aussi l'ancien maire de la province de Fianarantsoa.
wanadoo.mg 20/07/2007
Travail des enfants. Petits porteurs et vendeurs de sacs en plastique inondent Analakely
"Ty ny sachet, ariary zato dia
roanjato". Leur approche reste inchangée.
Ces petits vendeurs de sacs en plastique sont plus visibles le samedi à
Analakely. Ils se proposent également de porter les paniers des clients durant leurs emplettes et jusqu'à leurs voitures. Cette image, bien que déjà présente depuis toujours, est encore plus visible depuis plusieurs semaines.
Faut-il rappeler qu'environ 30% des enfants à Madagascar travaillent, et plus de 60% d'entre eux n'ont pas atteint l'âge légal d'entrée sur le marché du travail, fixé à 15 ans. Les formes les plus répandues du travail des enfants en juin, que la question a pu être débattue devant un public plus large.
Abordé à l'école, dans les associations ou encore lors des conférences, parfois dans certains cercles de métier, voire dans les structures confessionnelles, le thème du travail des enfants commence à interpeller les esprits. Mais pas encore suffisamment auprès des personnes les plus impliquées ("employeurs" d'enfants pour des travaux domestiques, parents d'enfants travailleurs, etc...) pour créer une véritable dynamique.
Pendant ce temps, dans les rues, la mendicité des enfants continue toujours de faire partie du paysage du centre d'Antananarivo et les marchés comptent toujours autant, sinon plus d'enfants travailleurs.
Hanitra R. ©Midi Madagasikara |

Ces jeunes filles souriantes face à l'appareil photo vendent tout pour gagner de l'argent
© DTS |
Express
Mada 21/07/2007
FRANCE - IMMIGRATION
: Un étudiant malgache menacé d'expulsion
Un étudiant malgache de 23 ans , répondant au nom de David Ramiandry, est menacé d'expulsion, selon l'Agence France presse (AFP).
David Ramiandry avait été arrêté, vendredi, à la suite d'un contrôle de police. Le tribunal administratif de Lyon a confirmé mardi son arrêté de reconduite à la frontière. Ce qui rend possible son expulsion.
Mais à entendre les autorités locales, le sort de David Ramiandry n'est pas encore tout à fait compromis. Il pourrait régulariser sa situation s'il demandait un visa pour revenir.
En attendant, une centaine de personnes a manifesté son soutien à l'étudiant malgache.
Iloniaina Alain
Les
Nouvelles 20/07/2007
Recrudescence alarmante de la cession de nationalité française
Obtenir une nationalité française afin de bénéficier de tous les avantages qui vont avec, ou tout simplement de pouvoir s'envoler vers l'Hexagone, fait rêver beaucoup de gens, quitte à avoir recours à des solutions aussi farfelues qu'illégales. Pas plus tard que mercredi, quatre personnes ont été écrouées à
Antanimora.
Courant décembre 2006, les sœurs Sarah et Sandra ont déposé leur demande de certificat de nationalité auprès du consulat de France. Les responsables du consulat, ayant découvert une certaine anomalie dans leurs dossiers, ont envoyé une note au service central des enquêtes spécialisées pour signaler une présomption de faux et usage de faux documents
d'état-civil.
Immédiatement, les policiers ont mené leur enquête en auditionnant les deux filles, ainsi que leur soi-disant père, un Malgache de nationalité française.
Ce dernier, lors de son interrogatoire, a déclaré être le père biologique, alors que les recherches effectuées par la police au niveau des instances administratives
(fokontany, mairie et district) ont affirmé le contraire. Il s'est avéré alors qu'il n'y avait aucune filiation entre les déclarants et le «faux père».
La troisième personne placée en détention provisoire, un jeune homme, a pris la même démarche pour acquérir la nationalité française, sauf que celle-ci a tout avoué dès la découverte de sa manigance. Il a reconnu avoir négocié sa nationalité avec un Français, d'origine malgache de
Morondava.
Déférés au parquet mercredi, les deux filles et leur «père», ainsi que le jeune homme, ont été placés en détention provisoire à la prison
d'Antanimora.
Mparany
Wanadoo.mg 19/07/2007
Dadagaby : 1er malgache "Trésor humain vivant" par l'UNESCO
Rakotomavo Gabriel, Dadagaby pour les mélomanes, a été consacré par l'UNESCO "Trésor Humain Vivant". Une reconnaissance internationale pour ce danseur traditionnel malgache qui a parcouru en 26 ans la Grande Ile du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest.
D'après la définition de l'UNESCO, les "Trésors humains vivants sont des personnes qui possèdent à un haut niveau les connaissances et les savoir-faire nécessaires pour interpréter ou recréer des éléments spécifiques du patrimoine culturel immatériel". Pour Charles Martin
Poty, directeur de la promotion culturelle et artistique du Ministère malgache de la Culture et des Loisirs, "un trésor humain vivant est une personne qui connaît parfaitement les us et coutumes, les traditions d'un pays ou d'une région". C'est ce titre de Trésor humain vivant que cet organisme international sur la science et l'éducation a décerné à Rakotomavo Gabriel de la troupe
Voninavoko, lors des journées mondiales sur Madagascar qui ont eu lieu au siège de
l'UNESCO-Paris les 28 et 29 juin derniers.
"Dadagaby mérite ce titre car il connaît parfaitement les rites, us et coutumes malgaches qu'il peut bien montrer dans ses oeuvres, ses danses", a précisé Anselme
Razafimandimby, DG de la culture et des loisirs.
D'après l'UNESCO, "Les États sélectionnent de telles personnes sur la base de leurs réalisations et de leur volonté à transmettre leurs connaissances et savoir-faire aux autres. La sélection se fonde également sur la valeur des traditions et expressions concernées en tant que témoignage du génie créateur humain, ainsi que sur leur enracinement dans les traditions culturelles et sociales, leur caractère représentatif pour une communauté donnée et le risque de les voir disparaître". |

Dadagaby et Fafah de Lamako à Paris lors des journées mondiales Madagascar les 28 et 29 juin 2007
© UNESCO |
Pour Dadagaby, la transmission de ces connaissances est déjà acquis avec la présence sur la scène française par exemple de Fafah, leader de la troupe de danse Lamako, qui pratique la danse folklorique malgache et dont la troupe composée de huit membres a accompagné le grand maître Dadagaby à Paris lors de ces journées spéciales Madagascar à l'UNESCO. Si on rappelle un peu l'histoire de ce grand artiste, car c'est un artiste pur et dur, sa carrière est exemplaire. Il a débuté dès son jeune âge dans le chant en tant que chanteur des Fampitaha, puis il est devenu joueur de violon dans la troupe de Hira gasy Rainidofa avant de devenir danseur de la troupe folklorique du feu Ravolana Fenomanana. Ce qui l'amena à la création de sa propre troupe Voninavoko en juin 1970 à Ampitatafika. L'on note que la troupe Voninavoko est actuellement à sa 6é génération de danseurs folkloriques, mais ça ne s'arrête pas là, car la relève est aussi assurée avec la troupe Zazamandimby, qui vont représenter la Grande Ile au Japon prochainement.
Dans sa vieillesse, car il a actuellement 72 ans, Dadagaby prône toujours le "vako-drazana malagasy 100% tsy misy fangarony" - de la folklore malgache sans équivoque et sans métissage avec d'autres danses, comme le soukous, le dombolo..... Un message et une grande leçon que Rakotomavo Gabriel laisse à ses pairs et collègues, car pour lui, les connaisseurs sauront toujours ce qu'est le vrai ! Bravo à ce créateur et compositeur qu'est Dadagaby !
Solofo Andrianjakarivelo ©DTS
Les
Nouvelles 19/07/2007
Surf : Madagascar, destination roots
Qui l'aurait cru ! Il y a à peine cinq ans, personne n'aurait imaginé qu'à Madagascar on peut surfer. Et pourtant, avec les milliers de plage dont on dispose, on représente un potentiel non négligeable de belles vagues, sur lesquelles les férus de surf peuvent glisser. Depuis quelques années, la destination est ouverte, mais beaucoup reste à faire.
Le surf trip, une définition sur mesure que donnent les spécialistes pour le tourisme qui s'adresse aux
surfers. Professionnels ou amateurs, ce sont des mordus de la vague qui veulent sans cesse explorer, découvrir et goûter de nouvelles sensations. Car le service qu'offre un tour-operator qui propose un circuit spécial où les activités tournent autour du surf est atypique. La clientèle est ciblée, et comme elle est généralement composée de
surfers, et donc de connaisseurs, il n'est pas évident de lui donner satisfaction.
A Madagascar, certaines agences de voyages et des tour- opérators commencent à proposer le circuit. Pour Mada Surfari Tour, c'est une destination qui met en avant le surf, avec tout de même un circuit classique qui constitue 60% des activités. «Nous proposons un circuit qui fait toute la partie sud, sud-ouest, en ciblant les plus belles vagues. On séjourne dans un catamaran, car les vagues se situent à 2 kilomètres au large. Cela permet aux touristes de découvrir le paysage, mais surtout de surfer. Car souvent, ce sont des surfers qui sont vraiment là pour surfer», explique FreD
Ralaimihaotra, responsable de l'agence.
Le circuit est donc atypique, et encore faut-il comprendre et connaître le surf pour être capable de satisfaire les besoins des
surfers. Car Madagascar est encore une destination hors du commun, un peu roots et surtout mystérieuse. Les surfers originaires de tous les pays : Australie, Finlande, Canada, France, Nouvelle-Zélande… veulent découvrir la Grande île qui reste un pays peu, voire pas connu, surtout dans ces pays anglophones.
La promotion pour l'instant est donc encore très peu développée. Il s'agit surtout de postes d'images et de promotion sur
internet, à travers les forums, et avec le partenariat avec des agences de voyages à l'étranger. En somme, c'est une promotion «de bouche à oreille» qui s'amplifie grâce à la venue des premiers surfers-touristes qui ont apprécié le séjour.
Cela explique pourquoi il est important de ne pas vendre sauvagement la destination surf à Madagascar, particulièrement si on ne connaît pas le produit. Les surfers sont connaisseurs et s'ils sont déçus de leur première expérience, ils ne reviendront sûrement pas. Acquérir les informations les plus basiques sur le surf est nécessaire, afin de proposer les plus belles vagues à des touristes qui ne demandent qu'à surfer.
Des structures à améliorer
Si Madagascar commence à compter parmi les destinations des surfers internationaux, rien n'est encore vraiment mis en place pour accueillir ces touristes atypiques. La sécurité étant une des plus grandes priorités de ces voyageurs, le pays ne peut pas encore vraiment répondre à ces besoins. La sécurité sur route d'abord, car l'itinéraire qui relie la capitale à Fort-Dauphin compte 8 heures de bitume, avec des conditions parfois très peu confortables, sans tenir compte des dangers qui peuvent survenir sur la route.
Il n'y a donc pas assez de structures et d'infrastructures d'accueil pour vraiment proposer un circuit intéressant. Les opérateurs touristiques de ce secteur paient pourtant une vignette touristique, et les catamarans obtiennent des autorisations délivrées par
l'APMF. Une structure administrative qui gère et qui montre que cette destination, même atypique, est pleine d'avenir.
Pourtant, le surf tend à devenir une mode dans le monde. C'est un peu le genre de tourisme qui attire les «m'as-tu vu» et les branchés qui veulent être en vogue. Une tendance qui devrait profiter aux pays qui ont encore beaucoup à présenter, comme Madagascar qui possède des milliers de kilomètres de plage, et donc de vagues à exploiter.
Car le surf est un produit touristique qui se développe et qui évolue. Si le cœur de l'aventure surf consiste à voyager, sans connaître son lendemain, avec le peu que l'on possède, mais à la rencontre des autres, de leurs cultures et de leur mode de vie, c'est une pratique qui tend à disparaître. Aujourd'hui, les surfers n'ont plus vraiment ce goût du risque de l'inconnu et du voyage, où la base reste le partage et l'amitié.
Actuellement, les surfers sont comme tous les autres touristes. Ils réservent une destination dans une agence de voyage, qui optimise leurs déplacements en leur conseillant la période idéale pour avoir les bonnes vagues. Il y en a même ceux qui, en deux clics sur
internet, obtiennent leur billet et tous les détails de leur séjour. Une évolution qui devrait profiter aux pays hôtes, car cela implique une structuration du système qui engendre des bénéfices.
Eviter l'exemple de l'Indonésie
Indonésie dans les années 70. C'est un pays comme un autre, mais les surfers en sont tombés amoureux. Inépuisable réserve de ressources naturelles et de cultures mystérieuses, c'est la terre d'aventures, qui cache dans son nid les plus belles vagues de l'océan Indien. Depuis plus de 30 ans, l'Indonésie est devenue la destination par excellence des surfers du monde entier, avec ses tubes géants et ses vagues puissantes et secrètes.
L'archipel compte plusieurs petites îles qui offrent des plages de rêve où se lâchent les passionnés du surf. Une opportunité qui s'est traduite dans l'économie du pays par un développement spectaculaire du tourisme. Et pourtant, les investisseurs restent des étrangers, en majorité des Australiens, qui placent leur argent dans les produits dérivés du surf. Les Indonésiens, eux, restent des employés, surexploités par leurs patrons.
A Madagascar, le scénario pourrait être le même, surtout si les investissements s'effectuent sauvagement. Le surfer patriote voudrait que son coin de paradis reste paradisiaque, ce qui risque de changer si l'on ne fait pas attention. Pas besoin de se ruer sur l'or donc, ni de trop se bousculer pour vendre au meilleur prix nos belles vagues. Garder l'image d'une destination roots est essentiel pour tirer un maximum d'avantages de nos plages.
Madagascar parmi les 40 plus belles destinations
La destination surftrip pour Madagascar n'est pas aussi développée que celle des autres pays. Mais sur le site www.destinationsurf.com, Madagascar n'est pas en reste. La Grande île figure parmi les 40 destinations conseillées, et bien détaillées. C'est au village de Lavanono que les spots secrets et mystérieux se livrent aux plus aventuriers des surfers. Un endroit génial pour découvrir des vagues vierges sur une destination Surf encore méconnue. Mais l'agence locale Mada Surfari tour-operator se charge aussi de faire découvrir les spots intéressants.
Dossier réalisé par Anjara N.
Tribune
20/07/2007
Amnistie fiscale
: C’est maintenant officiel
L’arrêté N° 11.826
/MFB du 17 juillet 2007 « portant remise des pénalités et amendes relatives aux infractions douanières, fiscales, et de rapatriements de devises nés des exportations de marchandises » a été annoncé officiellement, hier à Toliara, par le ministre Benjamin
Andriamparany, comme annoncée, l’amnistie ne concernera donc que les pénalités et les amendes. Par ailleurs, le grand argentier a annoncé par la même occasion l’inexistence de divergences entre le FMI et l’Etat malgache.
« A preuve », a-t-il souligné, « l’octroi d’une aide budgétaire de 40 millions de dollars de la Banque mondiale qui sera au menu du conseil d’administration de cette institution, le 31 juillet prochain, ainsi que de 15 millions de dollars de la Banque africaine de développement, au même titre ». A noter que ces aides n’auraient pu avoir lieu sans l’aval du FMI, ce qui prouve, si besoin est, qu’il n’existe pas de différends majeurs entre cette institution financière et l’Etat malgache.
« Sydonia++ »
Ces déclarations ont été faites lors de l’inauguration du nouveau logiciel «
Sydonia++» qui a été mis en place officiellement au sein de la recette des douanes de Toliara, hier. Il s’agit d’un logiciel dont l’emploi assurera la fluidité du trafic portuaire, ainsi que la facilitation des contrôles. Il permettra également une amélioration du taux de pression fiscale car son utilisation aura comme objectif de limiter les éventuelles corruptions
- Randria N.
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