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Les Titres de MadaVôvô du 15 juillet 2008  

BigNews: Le Sport est Roi ...   

L'Edito: « Malgachisation???...  »

1.Nouvel ambassadeur : Rajemison reçoit les instructions du président (express)

2. OCÉAN INDIEN: Nouveau fief des Narcotrafiquants (nouvelles)

3. Madagascar: La route nationale 44 en passe d'être bitumée (allafrica)

4. Gasy d’Andafy : Une ingénieure tuée par 2 camions (tribune)

5. Rugby - Can 2009 - Les Makis face aux Botswanais (express)

6.Madagascar: Le retour du Malgache à l'école (allAfrica)

*. No Comment.... No Comment... 

7. Victoire écrasante et première place pour les Makis (midi) 

8.“Visa” sandoka amidy 6 tapitrisa Ariary (midi) 

9. Rendez-vous dans 20 ans (nouvelles)

10. Vacances : Les petits boulots qui rapportent (express) 

11. Developpement-Madagascar:La ruée vers des bornes fontaines qui ne satisfont pas (ips) 

12.BNI MADAGASCAR : Ouverture de sa 25ème agence à Behoririka (nouvelles)  

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15/07/2008

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.487.61 Ar 
USD 1.579.63 Ar 
GBP 3.124.34 Ar 
CHF 1.537.95 Ar 
JPY 14.76 Ar 
ZAR 203.42 Ar 
HKD 202.43 Ar
Date Eur/Ar Date Eur/Ar
30/06 2494 31/05 2513
07/05/07 min:2472 28/05/06 max:2771

(Revues de presse plus bas !!! ... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


 

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MADAGASCAR EN IMAGE            extraits de Madamaki.com / Voyage-bons-plans.com / ahaona-madagascar.com


*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >> 


 « Malgachisation ??? ...   »

     «Durant les cinq premières années du primaire, toutes les matières seront enseignées en malgache. Le français et l'anglais continueront aussi à figurer au programme (...) L'enseignement en français ne sera pratiqué que vers la sixième année», a annoncé cette semaine la ministre malgache de l'Education, Stangéline Rambolamanana. Pour l'heure, les réactions sont partagées. Il y a des partisans de la réforme et ceux qui s'y opposent. 

             S'il est vrai que le malgache demeure la langue la plus accessible à la population, la peur d'une fracture linguistique taraude certains parents de la Grande île. Les inquiétudes prévalent surtout parmi la génération qui a vu - et qui voit toujours - les ravages de la politique de la «malgachisation» des années 70, quand l'apprentissage des langues «coloniales» avait été sciemment négligé.        

     L'Etat a décidé que l'enseignement en primaire se ferait en malgache obligatoirement dans les écoles publiques.

     Posons tout de suite les bases de notre opinion : nous sommes à 200% d'accord ! On appelle cela la "malgachisation" . Ce terme de "malgachisation" est péjoratif car il présuppose un retour en arrière comme si cela était contraire à une certaine modernité alors que c'est simplement une mise en conformité entre la langue nationale parlée et la langue d'éducation. 

     On apprend mieux quand on apprend dans sa langue de tous les jours c'est naturel ! Pour que cette malgachisation soit réussie, il ne faut pas qu'elle se fasse en 'opposition aux autres langues. Il y a des concepts qui sont intraduisibles en malgaches dans des matières scientifiques : ex la racine carré ou la géometrie dans l'espace. 

            A ce moment là, il faut savoir faire cohabiter deux langues : l'une pour expliquer ( le malgache ) l'autre pour définir ( ici le francais mais on aurait pu prendre l'anglais dans un exemple dans l'informatique ). Une malgachisation réussie c'est cela, un enrichissement mutuel ! Mais la limite à la malgachisation est économique : tant que Madagascar dépendra de l'extèrieur, le malagasy se heurtera toujours aux langues étrangères comme le français et l'anglais. 

   

       Tant qu'il n'existera pas une demande intèrieure à pouvoir d'achat raisonnable, la plupart des médias payant seront en langues   étrangères ( journaux magazines etc , quand un média est gratuit, le malgache s'impose naturellement comme avec les radios par exemple ) Tant que les patrons des grandes entreprises locales seront  ... Lire la suite Cliquez-ici 

         Niry de Sobika.com

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Niry a  répondu à notre appel  pour publier des Edito maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.               Merci d'avance!        ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>         ... Lister  tous les Editos     


Express Mada 14/07/2008
Nouvel ambassadeur : Rajemison reçoit les instructions du président  - Fano Rakotondrazaka

Rajemison Rakotomaharo, nouvel ambassadeur malgache auprès de la Confédération helvétique et représentant permanent de Madagascar auprès de l'Office des Nations unies à Genève, a quitté la Grande île pour rejoindre la Suisse, samedi. Il a fait ses adieux au président de la République, Marc Ravalomanana, au palais d'État d'Ambohitsorohitra avant son départ. La rencontre n'a duré qu'une quinzaine de minutes. 
L'ancien président du Sénat s'est dit fortement résolu à raffermir les relations bilatérales entre Madagascar et la Suisse, notamment à travers la mobilisation d'investisseurs économiques potentiels. «La consigne est de promouvoir les relations, ainsi que de mobiliser les investisseurs afin qu'ils viennent à Madagascar», a-t-il expliqué à l'issue de l'audience avec le président de la République. 
Faisant allusion à la diplomatie tournée vers l'économie, Rajemison Rakotomaharo démontre l'importance de sa mission en évoquant, entre autres, que l'Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (Onudi) a son siège en Suisse. 

L'ambassadeur considère son expérience à la tête du Sénat comme un atout dans l'exercice de sa nouvelle double fonction. «J'ai déjà de l'expérience sur les relations avec les institutions des Nations Unies, tant à Madagascar qu'à 

Poignée de main entre le président de la République (à g.) et l’ancien président du Sénat, samedi à Ambohitsorohitra.

l'étranger», a-t-il soulevé en rappellant sa participation, à plusieurs reprises, à la réunion de l'Union interparlementaire à Genève. Marc Ravalomanana a donné des instructions claires lors de l'entrevue avec Rajemison Rakotomaharo à Ambohitsorohitra. 
«Ces fonctions de représentation devront drainer davantage d'investisseurs suisses à Madagascar. Mais sutout, elles seront profitables au renforcement de la représentantion de la Grande île au sein des Nations Unies et de leurs organismes spécialisés», a-t-il souligné.


Les Nouvelles 14/07/2008

OCÉAN INDIEN: Nouveau fief des Narcotrafiquants  - Mparany

Madagascar, tout comme les grandes villes des îles de l'océan Indien, est devenu un point de transit des drogues dans la région. L'arrestation à l'aéroport international d'Ivato d'une «mule» et de ses deux complices qui ont essayé de faire passer environ 150 grammes de cocaïne vers l'île Maurice en est une preuve tangible. A Madagascar, malgré la lutte menée par les autorités, la perméabilité des côtes et l'insuffisance de moyens font du pays un point de transit idéal pour les narcotrafiquants.

Le trafic de drogues dans la zone océan Indien prend des proportions alarmantes. Vendredi, une sexagénaire malgache qui a essayé de faire passer 150 grammes de cocaïne vers l'île Maurice a été interpellée à l'aéroport international d'Ivato.

Le service central des stupéfiants et de substances psychotropes a mis à jour un trafic portant sur 6 kilos de cocaïne qui ont pu être transférés à l'île Maurice. Deux autres femmes ont également été arrêtées dans le cadre de cette affaire. D'après la police, le succès de l'opération est imputable à la collaboration des limiers de la police de l'air et des frontières de l'aéroport international d'Ivato.

Dissimulées dans des sandales

A la tête de cette filière se trouve un ressortissant tanzanien qui, de source sécuritaire, est toujours recherché. Le plan ourdi par ce Tanzanien est bien agencé. Il organise des voyages à des jeunes filles malgaches de classe défavorisée pour les Seychelles. Après un bref transit sur l'île, il les envoie en Afrique du Sud ou en Tanzanie pour ramener, par la suite, de la poudre blanche à Madagascar. A ces dernières après de trouver d'autres «mules» pour transporter et dispatcher «les marchandises» dans la zone océan Indien.

Vendredi, le pot aux roses a été découvert après le passage de la «mule» devant le scanner. La quantité de cocaïne saisie aurait savamment été cachée dans ses sandales. L'enquête a permis de mettre la main sur ses deux complices.

De sources concordantes, l'on a appris que les autorités malgaches seraient en train de négocier avec l'ambassade des Etats-Unis aux fins de mettre la main sur le Tanzanien qui tire les ficelles dans l'affaire et qui se terre actuellement dans son pays.

Danger imminent dans la zone océan Indien

Selon une étude récemment publiée, la demande d'héroïne et de cocaïne a grimpé en flèche dans les pays tels que le Mozambique, le Kenya, la Tanzanie , et augmente progressivement en Afrique du Sud, à Madagascar, à Maurice et dans l'île de la Réunion.

Aussi, la région de l'océan Indien est-elle devenue une zone de transit idéale, pour ne pas dire une plaque tournante, pour le trafic de drogue au niveau mondial. L'arrestation dernièrement des boxeurs tanzaniens à Maurice et celle d'un militaire américain en sont des exemples illustratifs.


allAfrica.com 12/07/2008
Madagascar: La route nationale 44 en passe d'être bitumée - L'Express de Madagascar - Lantoniaina Razafindramiadana
La Société sino-malgache de travaux publics (SMATP) apporte la dernière touche aux travaux de réhabilitation de la route nationale 44, reliant Moramanga à Vohidiala. Selon Stephen Ranarisoa, directeur des travaux, la réception définitive de l'infrastructure devra se faire à la fin du mois.
« La SMATP a honoré son engagement, le chantier est en cours de finition », confie-t-il.
Des essais de bitumage seront menés sur les portions de route recouvertes de pierre, poursuit-il.
Du côté du ministère de tutelle, le directeur de cabinet a déclaré que le bitumage de l'ensemble de la voie dépendra du coût et des financements disponibles. Le coût initial des travaux s'élevaient à 11 milliards ariary.
Un montant additionnel de 1,2 milliard ariary a été apporté pour la réalisation de l'ouvrage. Le délai contractuel des travaux a été de dix-huit mois, auxquels se sont ajoutés les douze mois de garantie pour traiter les points noirs.


Tribune Mada 12/07/2008
Gasy d’Andafy : Une ingénieure tuée par 2 camions -  par Franck Raj, Rata 

Il n’y a pas que chez nous que la route tue… Ony Tiana Ravelojaona fut une ingénieure au Centre national de recherche scientifique. Mais elle a perdu la vie, sous les yeux de sa fille dans une terrible collision avec deux poids-lourds, sur une autoroute française. Elle habite avec les siens dans l’Hexagone depuis quelques temps. Elle est âgée de 44 ans. Désormais, il faut parler de cette brillante chercheuse malgache au passé. Fauchée par deux poids lourds avec sa fille, elle a perdu la vie le vendredi 4 juillet à 20 heures locales. La vie paisible et surtout la joie de cette mère de famille se sont transformées subitement en cauchemar.
Pression effroyable 
Ce jour-là, elle était accompagnée par sa fille de 19 ans. Celle-ci vient de décrocher son bacc, couronnement de ses années dans le primaire et secondaire. Elles roulaient sur une Opel Zafira sur l’A6, une autoroute se trouvant au niveau de Chilly-Mazarin dans la région parisienne. Soudain, leur véhicule se trouve coincé par on ne sait quelle « diablerie » entre deux énormes poids-lourds. Avec la vitesse recommandée sur une autoroute, il est inutile d’entrer dans les détails pour décrire la pression mais aussi l’effroyable choc subi par la berline, froissée comme un vulgaire tas de taule au milieu de deux mastodontes fous. Ony Tiana Ravelojaona, la conductrice fut tuée sur le coup. Sa fille était atteinte à la hanche et dut être immédiatement hospitalisée. Elle 

serait hors de danger. Précisément, le rapatriement de la dépouille mortelle ne devrait s’effectuer qu’après la sortie d’hôpital de la jeune fille.


Express Mada 12/07/2008
Rugby - Can 2009 - Les Makis face aux Botswanais - Soafara Ralaimidona

Le match promet d'être très disputé à Mahamasina. Le ministre des Sports en donnant sa bénédiction, a promis une récompense en cas de victoire.
Les amoureux du ballon ovale seront choyés cet après-midi à Mahamasina. « Les Makis leur garantissent un beau spectacle face à l'équipe nationale botswanaise », a confié l'entraîneur national Camille Ratsima, hier, au Palais des sports Mahamasina.
Pour la deuxième fois, ces deux grosses pointures du rugby africain se retrouvent au même endroit pour le compte à la fois des phases éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations 2009 et de la Coupe du Monde 2011, en Nouvelle-Zélande. 
Les retrouvailles, arbitrées par un trio réunionnais, promettent d'être passionnantes étant donné que les deux équipes se connaissent bien. Les Makis avaient déjà battu les Botswanais à domicile sur un score large de 31 à 11, en 2002. 
Rééditer l’exploit
Et les cinq rescapés à savoir José Harison, Mboazafy Noé (Razily), Nirina Jacquis Bayard, Vonjiniaina Andriamananjara (Jôda) et Berchon Botomila (Lego), comptent rééditer leur exploit. « Certes les Botswanais sont venus avec une nouvelle composition mais ce changement n'a rien d'inquiétant », déclare Lego.
Un avis qu'il partage avec Camille Ratsima après une observation générale de l'équipe adverse, hier, au stade de Mahamasina. 
« Ce n'est pas pour me vanter mais la victoire est fort possible cet après-midi » continue-t-il.


allAfrica 11/07/2008
Madagascar: Le retour du Malgache à l'école - Nad Sivaramen - L'Express (Port Louis)
Poussée par la Banque mondiale, Madagascar a décidé de revoir de fond en comble son système d'éducation au niveau du primaire.
A une extension de la durée de l'enseignement, vient s'ajouter le retour du malgache comme médium d'enseignement. Ce changement de politique entraîne une série de réformes, de la recherche académique pour harmoniser les terminologies malgaches à la formation des enseignants.
«Durant les cinq premières années du primaire, toutes les matières seront enseignées en malgache. Le français et l'anglais continueront aussi à figurer au programme (...) L'enseignement en français ne sera pratiqué que vers la sixième année», a annoncé cette semaine la ministre malgache de l'Education, Stangéline Rambolamanana. Pour l'heure, les réactions sont partagées. Il y a des partisans de la réforme et ceux qui s'y opposent. S'il est vrai que le malgache demeure la langue la plus accessible à la population, la peur d'une fracture linguistique taraude certains parents de la Grande île. Les inquiétudes prévalent surtout parmi la génération qui a vu - et qui voit toujours - les ravages de la politique de la «malgachisation» des années 70, quand l'apprentissage des langues «coloniales» avait été sciemment négligé.
Aujourd'hui encore, ceux qui se rendent dans la Grande île sont surpris par la maîtrise quasi-parfaite du français par les aînés de Tana, alors que les jeunes, qui s'envoient des sms en malgache, ont du mal à s'exprimer dans la langue de Molière. Entre ces deux générations, la politique a laissé son empreinte. Et ce de manière frappante.
Pour notre confrère Sylvain Ranjalahy, rédacteur en chef de l'Express de Madagascar, le mot «malgachisation» reste synonyme de «désastre, de catastrophes naturelles pour toute une génération. (...) La révolution de 1972 a plus détruit que conforter l'identité malgache.» Son souci ne demeure pas uniquement le français - «qui n'est pas la langue la plus parlée au monde» - mais la mauvaise conjugaison des langues, qui pourrait créer un appauvrissement de toutes les langues, y compris le malgache.
Les pédagogues et les enseignants se sentent, pour l'heure, exclus de la reforme, qui se dévoile petit a petit. Ceux qui seront pourtant les moteurs du changement futur sont mis à l'écart. Les erreurs du passe reviennent sans cesse sur le tapis.
A Maurice, ceux qui sont contre l'inclusion du créole dans les écoles se réfèrent souvent a la triste expérience malgache... Aujourd'hui, pourtant, la leçon pourrait venir de Madagascar. Si les autorités arrivent à faire la part des choses, à trouver le bon dosage. Et surtout s'il n'y a aucune rancoeur ou tentative délibérée de tuer, une fois encore, une langue qui ne nous est plus, tout a fait, étrangère dans la région...

 

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Les Voeux  Rainizafimanga

2008 2008

Midi Mada 14/07/2008

Victoire écrasante et première place pour les Makis  - Simon Randriamalala
Rugby- CAN 2009/ Coupe du Monde 2011. Mission accomplie pour les XV Makis de Madagascar qui n’ont fait qu’une bouchée des Zèbres botswanais, samedi à Mahamasina.
Première rencontre amplement réussie pour les XV Makis de Madagascar, samedi après-midi à Mahamasina. L’équipe nationale malgache de rugby a effectivement remporté haut la main son premier match comptant pour les éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations 2009, en écrasant son homologue botswanais sur un score sans appel de 45 à 15.
Et par la même occasion, Madagascar, finaliste de la dernière édition de la CAN, se hisse à la première place du groupe grâce à un précieux point de bonus pour avoir inscrit cinq essais lors de la rencontre contre les Zèbres du Botswana. Autrement dit, les Makis de Madagascar ont relégué les Cranes ougandais, tenants du titre à la deuxième place, devant les Botswanais qui sont déjà écartés de la course après deux défaites.
Sonnez la charge !
Sans complexe, les Botswanais ont sonné les premiers la charge et ont même échoué à deux doigts de marquer le premier essai de la rencontre, alors que le match venait juste de commencer, il y a deux minutes. Mais, ils se sont contentés d’ouvrir le score par les trois points marqués sur coup de pied de pénalité. La réplique malgache ne se fait pas attendre, car José égalise, une minute plus tard, avant qu’Ibrahim, le joueur d’Anosibe, ne signe le premier essai. Intraitables sur les touches, les visiteurs ont insolemment repris l’avantage (08-10) en inscrivant à leur tour le premier essai. 
Une situation qui ne dure pas longtemps au grand plaisir du public qui a assisté par la suite à deux autres réalisations de José et un essai de Tsiliva à la fin de la première période. Ce qui a permis aux Malgaches de creuser les écarts par 21 à 10, à la pause.
Roue libre
A ce moment-là, la victoire était déjà plus ou moins dans la poche. Il suffit de bien gérer les avantages et de tenter de marquer d’autres essais pour le bonus. Et Camille Ratsima a sorti son joker, dénommé Sidoni « Biby » qui allait apporter à l’équipe plus qu’un nouveau souffle. L’entrée en jeu de Biby qui a permis aux Makis de passer à la vitesse supérieure, a effectivement semé la panique au sein des Zèbres. 
Même si ces derniers ont bien entamé la seconde période en réalisant un essai d’entrée, cela n’a pas vraiment impressionné les Makis qui, durant cette période, s’offraient trois autres essais et un coup de pied de pénalité transformé portant ainsi le score final à 45-15.
Mais cette belle et nette victoire des Malgaches suppose une bataille plus difficile pour la suite, dans la mesure où les Ougandais sont maintenant avertis de la forme resplendissante des Makis. Alors, les XV Makis de Madagascar ont intérêt à se préparer sérieusement et à toute éventualité lors de leur tournée à Kampala, dans trois semaines. 


Midi Mada 14/07/2008

“Visa” sandoka amidy 6 tapitrisa Ariary  - D.R
TANA. Sonia sandoka an’ny tomponandraikitra ambony no ao anatin’ilay antontan-taratasy. Enina tapitrisa Ariary no sandan’ny “Visa” iray. Ny Sinoa no tena betsaka “mividy” azy. 
“Visa” na taratasy fahazoan-dalana mipetraka mandritra ny fotoana voafetra eo amin’ny firenena. Efa vitan’ny sasany ihany koa ny manao hosoka an’izany amin’izao fotoana. Enina tapitrisa Ariary ny sandany. Sinoa no farany nahatratrarana an’izany teto an-drenivohitra. Nentina teny amin’ny Fampanoavana io farany ny zoma lasa teo ary samy nidoboka am-ponja izy sy ilay Malagasy niray tsikombakomba taminy. Raha ny fantatra dia hatramin’ny taona 2015 no manan-danja ilay “visa” sandoka namboarin’izy ireo. Amin’ny faran’ny volana novambra 2015, raha araka ny vaovao voamarina teo anivon’ny mpitandro ny filaminana. 
Sonia sy fitomboka
Ny tena nahatalanjona tamin’ity raharaha ity dia ny fisian’ny sonian’ny tomponandraikitra ambony teo amin’ny firenena, miaraka amin’ny fitombokany ao anatin’ilay taratasy. Izany hoe vitan’ireo mpanao ratsy hatramin’ny mangala-tsonia sy manao ny fitomboka sandoka mba hanatontosany ny asa ratsiny. Io tompon’andraikitra ambony io rahateo no nitory iretsy farany amin’ity raharaha ity. Fantatra ihany koa fa mbola nisy Sinoa enina hafa tafiditra tao anatin’ity raharaha ity ary samy nosamborina. Manazava ireo toe-javatra ireo fa misy ny teratany vahiny mialokaloka sy tsy manara-dalàna eto amintsika. Tsy vitsy ihany koa ireo manao pasipaoro sandoka mba hidirana sy hivoahana eto. 
Pasipaoro “biométrique”
Raha tsy hitanisa afa-ts’ireo teratany Irakianina roa izay tonga teto amintsika miaraka amin’ny pasipaoro irakianina raha pasipaoro malaizianina kosa no nampiasain’ireo mba hivoahana teto amintsika. Na izany aza anefa dia tsikaritra fa nampihena an’izany fironana izany ihany ny fampiasana ny pasipaoro “biométrique” izay toa lasa sarotra kokoa ny manao hosoka azy noho izy mila teknolojia avo lenta. Avy etsy Behoririka, raha araka ny fantatra, ny ankamaroan’ireo Sinoa voasambotra tamin’ity hosoka “Visa” ity. 


Les Nouvelles 12/07/2008

Rendez-vous dans 20 ans  - Tsiry Andrianina
Puisque les Iraniens ont tiré des missiles dans le Golfe jeudi, le prix du brut léger américain a fait hier un grand bond et se situe bien au-delà des 147 dollars. Mais, à l'instar des attentats-suicides qui font chaque jour des victimes en Irak, la flambée des prix du pétrole semble ne susciter aucun intérêt. Du moins pour les Malgaches dont l'attention est focalisée sur la nouvelle réforme du système éducatif annoncée par Marc Ravalomanana. 
Nul n'est besoin d'être prophète pour savoir que le malgache comme langue d'enseignement, plus que le cycle primaire rallongé à sept ans, allait soulever des débats passionnés. On en parle dans les quotidiens. Des radios invitent des spécialistes pour les interpeller sur la question. Et même la ministre Stangeline Ralambomanana a dû intervenir pour préciser que le malgache comme langue d'enseignement ne signifie pas malgachisation. Trop subtile comme explication au point de faire dire à certains auditeurs que, la nuit, tous les chats sont gris. 
Effectivement, cette décision du gouvernement est tombée comme un pavé dans la marre, sans crier gare, et l'annonce de la reprise du service national pour les boursiers de l'Etat, non obligatoire soit-il, ne fait que renforcer davantage l'image d'un passé peu reluisant que d'aucuns ne souhaiteraient se rappeler. 
L'éducation n'est pas le foot. Dans cette discipline, si une équipe perd une compétition importante, il est courant de changer (ou de faire démissionner) l'entraîneur sans qu'on ne s'attarde sur les raisons de l'échec. Il arrive parfois qu'on remanie la composition de l'équipe si c'est nécessaire, mais il est rare qu'on se penche sérieusement sur le système. Personne n'en meurt. L'éducation, en revanche, est toute une vie et la vie de la Nation en dépend. Si aujourd'hui nous manquons de techniciens et de spécialistes, n'est-ce pas parce que, quelques années plus tôt, le régime socialiste s'est précipité à mettre en place un système éducatif ambigu et sans acuité ? Forcément une bonne partie de la population active actuelle n'est pas à la hauteur des attentes des entreprises. Il n'est pas étonnant que de grosses sociétés comme Sherrit fassent appel à une main-d'œuvre expatriée pour combler le vide local en la matière. 
L'histoire se répètera-t-elle dans 20 ans ? Rien ne l'indique mais tout se décide, ici et maintenant. 


Express Mada 12/07/2008

Le baby sitting

Vacances : Les petits boulots qui rapportent  - Hilda Hasinjo
Enfin, les dures journées d'école sont terminées, et les vacances pointent leur nez. Quoi de meilleur que du temps libre rémunéré, que tu restes dans ta ville ou que tu partes pour quelques temps. Eh oui, les vacances sont les moments idéals pour se faire un peu d'argent de poche en s'adonnant à des activités lucratives temporaires. Pour te donner quelques idées, voici un extrait d'une très longue liste des petits boulots bien payés.

Beaucoup de jeunes optent pour le baby sitting par le fait qu'ils gagnent de l'argent tout en s'amusant. La plupart du temps, les vacanciers et les parents contraints de travailler voulant du temps libre et dont les enfants sont en vacances, sont ceux qui 

recourent aux baby sitters. Il suffit alors d'aimer les enfants et ne pas avoir de problème dans la manipulation des couches sales.
Pour ce petit boulot, tu pourrais éventuellement bénéficier d'un déplacement pour le cas d'une famille en vacances. Ce job te rapportera au minimum Ar 5 000 la journée avec d'autres avantages en perspective.

Le merchandising
Beaucoup de sociétés de distribution recrutent actuellement des jeunes chargés d'étaler les produits dans les rayons des grandes surfaces et des grands magasins. C'est ton boulot si tu choisis de postuler en tant que merchandiser. 
Le travail nécessite une grande mobilité et un corps robuste insensible à la fatigue. Mais ne t'en fais pas, les déplacements sont payés par la société qui t'engage, de même la restauration.
Les rémunérations sont assez motivantes, elles atteignent les 100 000 ariary par mois.
L'animation de vente
Elle consiste à représenter des produits des grandes sociétés. Dans la pratique, elle s'exerce dans les rues ou dans les grands magasins. 
Ce job est recommandé pour les jeunes qui possèdent un dynamisme inébranlable et qui ont une excellente présentation. 
Si tu es timide, mieux vaut envisager autre chose. Car être animateur(trice) de vente implique accoster les passants et les convaincre d'acheter ton produit. 
Ces derniers temps, les grandes entreprises, telles que les opérateurs de téléphonie et les sociétés de distribution de produits cosmétiques, ont opté pour cette nouvelle approche de vente. Raison pour laquelle les recrutements sont nombreux et en vogue.
Question argent, l'animation de vente est le boulot qui rapporte le plus. La rémunération varie de 10 000 à 20 000 ariary selon les sociétés et les heures de travail.

Les diverses livraisons à domicile
Livrer du pizza, des colis et courriers. Ces petits boulots te vont à merveille si tu disposes d'un moyen de locomotion, comme une moto ou un scooter, et si tu connais tous les coins de la ville. Tu peux donc frapper aux portes de ces pizzerias, ou encore de ces magasins qui font de la livraison à domicile. 
En général, les frais de transport sont à la charge de l'employeur, outre le salaire qui atteint Ar 10 000 la journée.

Les services dans les restaurants
Si tu as une expérience en restauration, ou si tu as déjà essayé de servir des repas familiaux, sans faire tomber ni assiette ni cuillère, alors le métier de serveur ou de serveuse convient pendant tes jours de vacances. 
Sinon, toujours dans ces restaurants de rêve, tu peux intégrer l'équipe des plongeurs. Surtout, n'imagine pas qu'être plongeur est un travail minable. Il faut dire qu'il rapporte assez bien, allant jusqu'à 60 000 ariary par mois avec un horaire te permettant de faire autre chose à côté.


ipsinternational.org 12/07/2008
Developpement-Madagascar:La ruée vers des bornes fontaines qui ne satisfont pas - Fanja Saholiarisoa ((IPS)

L'eau potable est une ressource rare à Madagascar. Le manque d'eau et d'assainissement dans la grande île, y compris dans la capitale malgache Antananarivo, nécessite des investissements financiers importants pour améliorer le faible taux actuel de desserte. 
Les habitants du quartier de Tsaramasay-Ankazomanga dans la ville d'Antananarivo se réveillent tôt le matin avant 5 heures, heure prévue pour l'ouverture de la borne fontaine, la seule qui approvisionne les habitants. Tous les jours, une longue queue se forme dans ce quartier, parmi les quartiers les plus pauvres de la capitale. 
La famille de Rasojarison, un commerçant ambulant, a de la peine à bénéficier d'un seau de 10 litres d'eau. "C'est difficile pour nous de nous adapter aux horaires fixés par le chef quartier. Chercher de l'eau devient une tâche pénible au quotidien malgré la cotisation mensuelle de 500 Ariary (Ar, environ 0,3 dollar) qu'on doit payer", déclare à IPS, Emile Rasojarison qui rate toujours les horaires car il doit aller travailler. 
Selon Rasojarison, c'est le matin qu'il remplit deux seaux qu'il dépose chez lui. Pour le reste de la journée, il cherche chez les voisins en cas de besoin en eau supplémentaire, où il essaie d'en trouver là où il va vendre. 
Dans ce quartier, la borne fontaine s'ouvre de 5h à 8h le matin, de 12h à 14h à midi et de 17h à 18h30 le soir : un emploi du temps inadapté à cette population défavorisée. 
Un autre problème pour Rasojarison et sa famille : le manque d'infrastructures sanitaires dans le quartier de Tsaramasay-Ankazomanga qui compte 4000 habitants. "Nous ne disposons pas de latrines, faute de moyens. Nous devons payer une somme pour faire nos besoins dans une toilette publique, la seule pour toute une population", ajoute Jeannine Rasoarimalala, l'épouse de Rasojarison. 
De son côté, la population d'Ankorondrano-Andranomahery se plaint de la mauvaise gestion de la borne fontaine. "Les horaires d'ouverture ne sont pas applicables pour mon emploi du temps", souligne Séraphine Rafenomanana, une lavandière qui travaille au jour le jour en faisant la lessive du quartier. 
Malgré ses 50 ans, cette dame doit se courber tous les jours pour laver et subvenir aux besoins de sa famille de six enfants. "Notre quartier manque désespérément de lavoirs. Nous, les lavandières, avons pris la peine de se cotiser, mais les responsables annoncent que les terrains manquent pour un quelconque projet de construction (de lavoirs). Ce qui nous prend au dépourvu", déplore-t-elle. 
Le problème d'accès à l'eau et à l'assainissement sévit déjà dans les milieux urbains à Madagascar. Selon les chiffres officiels, 66 pour cent des habitants en milieu urbain ont accès à l'eau potable, contre seulement 14 pour cent en milieu rural. 
Le calvaire des paysans est énorme dans la commune d'Ankadivorobe située à 100 kilomètres à l'est d'Antananarivo et compte quelque 60.000 habitants. Le quartier de Soalandy, avec ses 6.000 résidents environ, n'a pas de borne fontaine, et seuls les puits constituent une source d'eau pour ses habitants. 
"Durant la période sèche, nous avons de difficulté à remplir un seau d'eau. Nous devons suivre des canaux et y puiser de l'eau qui n'est pas sûre pour la consommation", se lamente Félicie Felana Ravaomanalina, une paysanne de Soalandy. Ce sont des canaux d'irrigation érigés par des paysans pour leur riziculture. 
Elle relève néanmoins que l'eau et l'assainissement restent des sujets de convoitise des hommes politiques durant leur propagande électorale sans que leur promesse soit honorée. 
La population de Manjakandriana, une ville située à l'est de Antananarivo, souffre également de manque d'eau, notamment en automne (août-octobre). "Malgré une cotisation de Ar 2.000 (1,2 dollar) par mois, nous avons du mal à nous rafraîchir à cause de la vétusté des infrastructures liées à l'eau", déclare à IPS, Fanjanirina Ravoarinelina, une vendeuse de légumes dans cette ville. 
Pour faire la lessive, elle doit aller vers des rivières les plus proches car les lavoirs publics n'y existent pas. 
Selon Patrick Razakamananifidy, secrétaire général du ministère de l'Energie et des Mines le réseau de distribution d'eau est insuffisant pour Madagascar, et notamment dans la capitale. Un projet financé par l'Union européenne, dénommé 'Water II' d'une valeur de 47 millions de dollars, est en cours pour améliorer ce réseau qui peut satisfaire 500.000 bénéficiaires. 
En outre, ajoute-t-il, Madagascar manque de personnel pour assurer la gestion de l'eau et l'assainissement. Et si les bornes fontaines sont gérées par des organisations non gouvernementales ou les communes, elles ne disposent pas assez d'expérience pour une gestion correcte de ces infrastructures. 
Besoin de financement 
Les priorités de Madagascar sont bien définies pour l'assainissement dans le Madagascar action plan (MAP), un document-cadre réalisé par le gouvernement pour la réduction de la pauvreté sur cinq ans (2007-2012). Mais l'investissement pour atteindre les objectifs reste limité. 
Le groupe de la Banque africaine de développement (BAD) vient d'allouer un prêt de 97 millions de dollars à Madagascar dans le cadre de son appui budgétaire dont une partie sera destinée à l'eau et à l'assainissement. Ce financement, qui arrive à point nommé, couvrira pour une période de 30 mois à partir de juillet 2008, selon un communiqué de la BAD daté du 2 juillet. 
"Ce financement permettra à Madagascar d'accélérer son programme national d'accès à l'eau et à l'assainissement qui a pour objectif de couvrir 7,6 millions d'habitants dans les milieux urbain et rural confondus", explique Raharimanantsoa, directeur de l'eau au ministère de l'Energie et Mines. 
La population malgache espère un redressement de la situation dans le secteur de l'eau et de l'assainissement. "Nous espérons finalement que chaque ménage accèdera à un minimum d'eau potable", déclare Rasojarison qui ne rêve que de cela. 
La direction malgache de l'eau est en train de rédiger un calendrier qui sera soumis bientôt à la BAD avant le déblocage des fonds, indique Raharimanantsoa. 
"Les 22 régions (du pays) sont actuellement encouragées à fixer des objectifs chiffrés pour obtenir des résultats vérifiables", souligne Herivelo Rakotondrainibe, coordinateur national du Comité Wash, un programme national pour l'amélioration de l'hygiène, de l'eau et de l'assainissement. 
Selon lui, les régions doivent elles-mêmes inclure, dans un document régional de développement, les besoins de la population en termes d'eau et d'assainissement. (FIN/2008) 


Les Nouvelles 11/07/2008
BNI MADAGASCAR : Ouverture de sa 25ème agence à Behoririka - Ranaivo Lala Honoré
La BNI Madagascar a inauguré hier sa 25ème agence dans le quartier commercial de Behoririka, en présence de ses hôtes de marque dont le ministre de l'Economie, du commerce et de l'industrie, Ivohasina Razafimahefa. A cette occasion, le directeur général de la banque a annoncé que la BNI Madagascar poursuit l'élargissement de son réseau afin d'offrir une proximité de services et davantage de confort à sa clientèle. 
Opérationnelle depuis quelques semaines, cette nouvelle agence est conçue selon les normes du groupe Crédit agricole. Elle va permettre à des milliers de personnes, de bénéficier des services de la banque en toute sécurité. Elle permettra à la BNI Madagascar d'être plus proche de la multitude d'entreprises et de centres commerciaux qui y sont implantés. Il faut rappeler que le réseau de guichets automatiques de banque de la BNI Madagascar peut être utilisé par tous les détenteurs de la carte MasterCard. 

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