LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Niry a  répondu à notre appel  pour publier des Edito maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.               Merci d'avance!        ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>         ... Lister  tous les Editos     

wto.org 27/05/2008

Une forte croissance, que pourrait contribuer à alimenter un régime commercial plus prévisible
EXAMENS DES POLITIQUES COMMERCIALES: MADAGASCAR 
Depuis 2002, l'économie de Madagascar a enregistré une croissance réelle soutenue, avec un taux moyen annuel de 6,2 pour cent, attribuable notamment aux réformes de libéralisation des échanges, et tirée surtout par l'expansion des activités industrielles, de la construction, et des services financiers, de télécommunications et de transport, selon un rapport du Secrétariat de l'OMC sur la politique et les pratiques commerciales de Madagascar.
Ces résultats seraient améliorés par un régime commercial plus transparent, crédible et prévisible, que Madagascar pourrait instaurer en renforçant ses engagements multilatéraux, à travers l'extension de ses consolidations tarifaires à un plus grand nombre de produits non agricoles, la réduction des taux consolidés et le renforcement de ses engagements au titre de l'AGCS. Une réforme du système fiscal, visant à respecter le principe du traitement national, rendrait le régime commercial malgache plus cohérent.
Une telle amélioration de l'environnement aiderait Madagascar à attirer les capitaux nécessaires à l'exploitation de ses vastes potentialités, et à mieux tirer profit de sa participation au système commercial multilatéral. La communauté internationale pourrait davantage aider Madagascar dans ses efforts de réforme en répondant favorablement à ses demandes d'assistance technique. 
Le rapport du Secrétariat de l'OMC ainsi qu'une déclaration de politique générale du gouvernement malgache serviront de base au deuxième examen de la politique commerciale de Madagascar auquel l'Organe d'examen des politiques commerciales de l'OMC procédera les 2 et 4 avril 2008. 
COMMUNIQUÉ DE PRESSE: PRESSE/TPRB/297

Les Nouvelles 27/05/2008

TENTATIVE D'INCURSION À LA TVM : Le GSIS en alerte - Mparany

déstabilisation. Quoi qu'il en soit, il ne faut pas la prendre à la légère. Un tel renseignement doit être toujours pris au sérieux», a déclaré hier un haut responsable de la gendarmerie. 
Ainsi, cette déclaration semble-t-elle confirmer l'existence de la tentative d'incursion. Le fait qu'elle coïncide étrangement avec le départ à l'extérieur du président ne fait que la confirmer. D'autant plus que, depuis ce week-end, des éléments du Groupe de sécurité et d'intervention spéciales (Gsis), l'une des unités spécialisées de la gendarmerie, sont en «alerte cantonnement» à la circonscription de la gendarmerie nationale (CIRGN) d'Ankadilalàna.
Du déjà-vu 
Cette tentative, si réellement il y a, a un goût de déjà-vu. Monja Jaona, le leader nationaliste du Monima, a déjà tenté de prendre d'assaut la RNM , vu qu'à l'époque, elle était la seule station radio ayant une couverture nationale. En 1990, Liva Ramahazomanana, "pasionaria" de la déstabilisation et à la tête d'un petit commando, a réussi un coup d'éclat retentissant en prenant de force le contrôle de la station RNM à Anosy. 
Par ailleurs, laissant entendre que les officiers généraux ne sont pas assez dupes pour tenter une entreprise aussi périlleuse, les membres de l'opposition pensent qu'il ne s'agit ni plus ni moins que d'un simple subterfuge de la part des autorités visant à détourner l'opinion publique. 

Tribune Mada 26/05/2008
Yokohama : « African Fair 2008 » : Des produits malagasy y seront exposés -par Herimanda R. 
Jus de fruit, the, cafe, épice, vin, huiles essentielles de vanilles, extrait de vanille, confitures, produits artisanaux, vêtement, pierre precieuse, haricot, cornes de zebus, plantes, ... La liste n’est pas exhaustive. Ce sont les produits malagasy qui seront exposé lors d’une manifestation dénommée "African Fair 2008" qui sera organisée a Yokohama, Japon, du 28 mai au 1er juin, dans le cadre de la Ticad IV.
En fait, nous ne sommes pas le seul pays à y participer. Beaucoup des pays africains souscrivent a cet événement économique et présenteront leurs produits. A vrai dire, les produits africains sont peu connus par les Japonais. Ils ne sont pas tellement présent sur le marché au Japon.
"L’objectif de cette manifestation consiste, non seulement à promouvoir l’exportation des produits africains au Japon, mais aussi de présenter le contexte, l’environnement et les potentialités touristiques des pays africains", a fait savoir un des responsables du ministère japonais du Commerce. "African Fair 2008" a pour ambition d’offrir aux exposants des opportunités de rencontre avec les opérateurs économiques japonais. Les entreprises japonaises occuperont également des stands. Elles travaillent dans différents domaines, à savoir l’énergie solaire, le développement des ressources naturelles et les infrastructures.
Toujours dans le cadre de la Ticad IV, un autre événement majeur sera aussi organisé. Il s’agit de l’ "African symposium". L’analyse des dernières tendances de l’Afrique, les possibilités pour aider les structures économiques trop dépendantes des matières premières seront parmi les thème abordés.
Depuis ce mois de mai, la ville d’Yokohama vit déjà des ambiances de la fête africaine. Différentes manifestations artistiques et culturelles sont programmées. Chaque pays africain est présent a l’école primaire japonaise et dans les stations. Pour Madagascar, c’est l’Ecole de Zanbu et la station metro de Mitsuzawa-Kamicho. Un tel projet connu sous le nom "One scholl, one country" vise à faire connaitre le continent africain.
Herimanda R. (Kyoto, Japan)

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Les Nouvelles 28/05/2008
IMMUNITÉ PARLEMENTAIRE : Le débat est relancé - Miadana Andriamaro 
Interpellé dimanche dernier à son domicile d'Itaosy dans le cadre de son procès contre un opérateur économique de sa circonscription, le député de Mananara Nord, Boniface Zakahely, vient d'être jeté en prison. Pour de bon cette fois car sa condamnation est devenue définitive, la cour de Cassation ayant rejeté son recours. Néanmoins, cette condamnation relance le débat sur l'interprétation de l'immunité parlementaire dans la mesure où elle intervient en pleine session.
Le recours en cassation intenté par le député de Mananara Nord contre l'arrêt de la cour d'Appel de Toamasina qui l'a condamné à 30 mois d'emprisonnement ferme semble apparemment avoir été rejeté. Ce qui a obligé le ministère de la Justice à ordonner son arrestation le 25 mai dernier en vue de l'exécution de cet arrêt de condamnation laquelle est donc devenue définitive. 

Cette affaire remonte à 2002 et porte sur un différend qui a opposé le député à un opérateur économique de sa circonscription. Boniface Zakahely est inculpé de coups et blessures volontaires mais, au départ du procès, il s'était également porté plaignant et a accusé son adversaire du même motif d'inculpation.  Pendant un certain temps et notamment durant les deux premiers mandats du député, l'affaire était restée plus ou moins aux oubliettes. Mais elle a ressurgi contre toute attente ouvrant de ce fait le débat sur l'immunité des élus, notamment en cette période de pleine session ordinaire du Parlement (Sénat et Assemblée nationale).  Au moment des faits, Boniface Zakahely venait tout juste d'entamer son deuxième mandat et jouissait d'une certaine protection spéciale que lui conférait la Constitution de l'époque, à savoir une sorte d'immunité absolue appelée aussi irresponsabilité…  article 70 de la Constitution actuelle édicte une même protection des députés mais précise formellement que l'immunité ne concerne que les actes liés à l'exercice du mandat du parlementaire et notamment pour les opinions et votes qu'il émet dans l'exercice de ses fonctions.  Le même article 70 ajoute cependant : « Aucun député ne peut, pendant la durée des sessions, être arrêté, en matière criminelle ou correctionnelle, qu'avec l'autorisation de l'Assemblée, sauf s'il a été surpris comme auteur, coauteur ou complice d'un crime ou d'un délit au moment des faits… »  Il semble patent que l'acte accompli par l'intéressé à l'époque tombe sous le coup de cette disposition constitutionnelle, vu

qu'il n'a rien d'une opinion ni d'un vote exprimé dans le cadre de sa fonction de député et donc hors du cadre du mandat parlementaire, et que dans ces conditions, il n'y a pas lieu de faire jouer la carte de l'immunité. 
Dans la plupart des cas, la mise en œuvre de cette immunité relève de la compétence exclusive des autorités judiciaires, les instances parlementaires se refusant à toute interprétation en la matière.
Recours non suspensifs - Manohisoa 
Des exemples sont connus comme ce fut le cas des anciens députés Herihajaina Randrianirina et Jean Eugène Voninahitsy, lesquels sont encore actuellement en train de purger leurs condamnations respectives en prison. Au moment des actes qu'ils ont accomplis et qui leur ont valu ces condamnations, ces deux anciens députés étaient en plein exercice de leur mandat mais ils n'ont pu, comme Boniface Zakahely, prétendre au bénéfice de l'immunité parlementaire. 
Sur un autre plan , il faut quand même relever qu'en matière correctionnelle et surtout criminelle, les recours ne sont généralement pas suspensifs de l'exécution des décisions rendues par les différentes instances judiciaires. 
Mais au cas où la Cour suprême décide de casser les décisions qui lui sont soumises, le requérant peut prétendre à la levée de sa condamnation et des poursuites à son encontre. Il devrait dans ce cas être remis en liberté sauf autre disposition mentionnée expressément dans l'arrêt de cassation. 
Ce qui n'a pas visiblement été le cas pour le recours formulé par Boniface Zakahely dont la condamnation est devenue définitive. Une condamnation qui le prive de droit et de fait de son mandat parlementaire. Il sera d'office remplacé par son premier suppléant, Charles Alain Rasolofomanana, une fois que la Haute cour constitutionnelle aura constaté la vacance du siège.
Exécution d'une décision de justice
Le cas de Boniface Zakahely brouille les cartes. Ce député a été arrêté durant la période de la session parlementaire. Alors que la décision prise à son encontre permettant cette arrestation a été prononcée quelques mois avant l'ouverture de la législature. C'est sur ce point que la question des observateurs se pose. 
L'exécution de la décision prise par la cour d'appel a été faite tardivement ce qui crée une polémique autour du sujet. Logiquement si l'arrestation de Boniface Zakahely a été faite juste après le verdict, ce député n'aurait pas eu la chance de se porter candidat lors du remake des élections communales dans sa circonscription. Pour les observateurs, la non –exécution de cette décision dans l'immédiat implique que la justice suspende son application. 
Pourtant, le fait qui se présente c'est que la décision a été exécutée durant la période de la législature qui donne droit aux parlementaires à la protection contre toute arrestation en vertu de leur immunité. Ainsi, les députés et les sénateurs ne peuvent pas être arrêtés durant les sessions, à moins qu'il y ait eu autorisation préalable de tous les parlementaires pour ce faire. 
La question se pose alors de savoir si cette immunité parlementaire pourrait être invoquée par ce député. Deux hypothèses doivent être analysées. Si l'on tient compte du moment de l'exécution de l'arrestation, l'immunité devrait s'appliquer. Par contre, si on se réfère à la date du verdict, Boniface Zakahely ne peut pas s'en prévaloir. 
Raharinaivo Andrianantoandro trouve que la seconde hypothèse est plus plausible. L'arrestation est en effet l'application de la décision du juge. Autrement dit, si le verdict n'a pas été prononcé, l'arrestation n'aurait pas dû avoir lieu. C'est la date de la prise de la décision donc qui devrait être prise en compte. Or, «La décision a été prise en dehors de la session mais c'est l'arrestation qui constitue la conséquence, qui s'est déroulée lors de la session. L'immunité ne tient donc pas», a-t-il expliqué. 
Néanmoins, le fait que cette arrestation soit exécutée en période de session intrigue les observateurs. Bruno Betiana, par exemple, fait constater qu'il s'agit d'une arrestation d'ordre politique.

Jeune afrique 28/05/2008
la Bank of Africa offre des bourses d'études aux étudiants malgaches - Xinhua

La Bank of Africa (BOA- Madagascar) a accepté de fournir des bourses d'études aux étudiants dans la capitale de Madagascar. 
BOA-Madagascar va fournir une somme de 47.500 Ariary (30 dollars) par mois pour chacun des 212 meilleurs étudiants de l'université d'Antananarivo selon un accord signé mardi à Antananarivo par la banque et l'université. 
La bourse sera allouée aux étudiants pour les deux prochaines années académiques. 

Les Nouvelles 28/05/2008
JIRAMA : Grève générale des employés de la capitale - Loïc Henintsoa 
Tous les employés de la Jirama à Antananarivo feront la grève ce jour en signe de solidarité avec les agents technico-commerciaux de la direction d'Antananarivo 1 et 2. Cette annonce a été faite par les délégués du personnel hier. La suspension des activités durera 24 heures et les initiateurs de la grève ont affirmé que leur manifestation n'aura pas de répercussion sur l'approvisionnement en eau et en électricité. La décision de justice concernant le différend entre la direction de la Jirama et les agents technico-commerciaux devrait sortir cette semaine. Ainsi, la grève généralisée d'aujourd'hui qui aura lieu à Soanierana est le signe de la solidarité des autres employés de la boîte envers ces agents d'après les délégués du personnel. A noter au passage que deux hausses des tarifs à hauteur de 15% sont prévues cette année déclarent les responsables au sein de cette société d'Etat. 

express Mada 27/05/2008
Après le spectacle à Antsonjombe : Jean Louis Robinson félicite Rossy - Iloniaina Alain

Une rencontre d’explications. Jean Louis Robinson, ministre des Sports, de la culture et des loisirs par intérim, a reçu, hier, le chanteur Rossy. C'était au lendemain du succès monstre du concert de l'artiste à Antsonjombe.  La rencontre, qui a duré près d'une demi-heure, a eu lieu à Ambohidahy, au ministère de la Santé. Jean Louis Robinson a tenu à féliciter Rahasimanana Paul Bert dit Rossy, après le succès de ce dernier dimanche. La visite s'est déroulée dans une ambiance amicale.  Le geste du ministre des Sports s'apparente à une opération de charme, pour se faire pardonner certains errements lors de la préparation des tournées de Rossy. Le concert de l'artiste engagé, prévu à l’origine pour le 20 avril, avait été annulé puis reporté, tout comme les autres rendez-vous artistiques envisagés dans plusieurs villes en provinces.  Deux bombes désamorcées D'ailleurs, la présence d'autres responsables du ministère à la rencontre, comme Charles Morin Pôty, directeur de la Culture, au rendez-vous n'est pas fortuit. L'équipe, sous la houlette de l'ancien ministre Patrick Ramiaramanana, était au centre des polémiques nées des décisions conduisant, dans un premier temps, à modifier la date du concert à Antsonjombe.

Rossy.

D'où la nécessité d'une séance d'explications pour pouvoir partir sur des bases nouvelles quant aux relations entre l'artiste et les autorités. Avec un tel geste, le gouvernement veut marquer le coup pour effacer toute mésentente. Il évite également de froisser le 40 000 fans de Rossy, présents à Antsonjombe, dimanche.
Mine de rien, l'Exécutif a réussi à désamorcer deux bombes qui risquaient d'exploser à tout moment, du temps de Patrick Ramiaramanana, ancien ministre des Sports. 
Outre le cas de Rossy, le gouvernement est également arrivé à sortir des bourbiers de la dissolution de la Fédération malgache de football. L'arrêt de la Chambre administrative, réhabilitant l'instance nationale du sport-roi, lui permet d'éviter la foudre des férus du ballon rond.

Liberte-algerie.com 26/05/2008
Placée sous le signe du défit de l'excellence - Les 3es olympiades des métiers lancées à Annaba - Par : HAFIZA M.
Parmi ses 536 élèves, le centre de formation de la wilaya de Annaba dispense des stages de formation à 60 élèves originaires de différents pays étrangers, don le Sahara occidental, le Congo, le Niger, le Nigeria, le Yémen et Madagascar. Une fois leurs diplômes acquis, ces derniers pourront enseigner, à leur tour, diverses spécialités professionnelles dans leurs pays respectifs. 
À l’instar des wilayas de Blida, Tipasa, Sétif, Ouargla et Sidi Bel-Abbès, Annaba abrite depuis vendredi et ce, jusqu’au 28 mai prochain, les éliminatoires régionales des 3es olympiades des métiers. Une manifestation professionnelle d’envergure organisée par la direction de la formation professionnelle de Annaba et des différentes wilayas de l’Est concernées. Placée sous le signe du défi de l’excellence dans l’apprentissage des métiers, cette manifestation, très attendue par les jeunes apprentis et leurs éducateurs, aura lieu dans la salle omnisports du boulodrome, où sera lancée une compétition très serrée entre 342 candidats, venant de 9 wilayas de l’est du pays. Pas moins de 28 spécialités seront représentées, allant de la maintenance informatique au froid et à la climatisation, en passant par la menuiserie, la production mécanique, la maçonnerie, la coiffure… Les sujets proposés par le staff de l’ingeneering de l’IFP seront tirés au sort dans chaque spécialité, et les candidats surveillés, à chaque étape des réalisations, par les formateurs. À noter cette année que l’identification des candidats sera codée. Le nom des élèves ne sera pas mentionné sur les fiches de notation afin d’éviter, comme le précisera Mme Boudjellal, chef de service à la direction de la formation professionnelle, suite à “des plaintes émises parfois par les élèves, relatives à certaines complaisances qui auraient entaché les compétitions ultérieures”. Parmi les spécialités exercées, c’est la ferronnerie d’art qui est la plus représentée avec 27 candidats, suivie de la construction en maçonnerie niveau 2 avec 26 apprentis et de la pâtisserie niveau 2 avec 22 élèves. Les peintres vitriers et les agents de maintenance en informatique sont les moins nombreux, avec, respectivement, 3 et 4 candidats. 
Dans le registre de la formation, ajoutons que le centre de formation de Annaba accueille actuellement parmi ses 536 élèves des deux sexes 60 élèves étrangers en provenance du Sahara occidental, du Congo, du Niger, du Nigeria, du Yémen et de Madagascar. Ces derniers suivent des stages de formation afin d’acquérir des diplômes leur permettant d’enseigner à leur tour les diverses spécialités professionnelles dans leurs pays respectifs. Pour ce qui est du secteur du bâtiment, Mme Boudjellal a déclaré que les écoles de formation de Annaba encouragent tout particulièrement les jeunes à choisir cette spécialité très demandée sur le marché de l’emploi.
“Nous avons pris plusieurs initiatives dans ce domaine, dont la plus marquante est celle de la formation actuelle de 180 détenus de la prison de l’Allelick qui apprennent les métiers du bâtiment. Une fois libérés, ces jeunes auront déjà un diplôme en poche.” “Pour ceux qui n’ont pas fini leur formation, nous prenons automatiquement attache avec les centres de formation des wilayas concernées pour permettre à l’ex-détenu de finir sa formation”, ajoute-t-elle. L’attraction pour les métiers du bâtiment, généralement considérée à tort par les jeunes en âge de choisir une profession comme un “métier sale et dévalorisant”, a même été tentée au niveau des ouvriers des entreprises de construction.
“Nous avons proposé au promoteurs d’assurer la formation des enfants des employés dans leurs entreprises. Mais, malheureusement, à ce niveau, nous n’avons eu que très peu de candidats”, conclut notre interlocutrice.

"Les 'Grands' parlent d'idée   les 'médiocres' parlent d'évènements   les 'misérables' parlent contre les personnes..."	Clikeo ny 2CV mena	"Hier c'est une  histoire Demain est un mystère Aujourd'hui un cadeau..."

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