... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...

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All Together à Manambato !!! ...
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OUI, apprendre les langues en vacances ou joindre l'utile à l'agréable , ......c'est possible !
- Le 16 mai 2007, l’Assemblée générale des Nations Unies proclamait
2008 Année
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internationale des langues (AIL).
Or, depuis 2007 la langue de Shakespeare est devenue notre troisième langue officielle.
" Le malagasy est la langue nationale. Le malagasy, le français et l’anglais sont les langues officielles". (Titre premier- Les Principes Fondamentaux - Art. 4 - Loi Constitutionnelle N°2007 - 001 DU 27 Avril 2007 Portant révision de la Constitution).
- Le Camp Excell à Manambato sera alors une bonne expression des échanges entre nos jeunes malgaches de
l'Ile et de la diaspora, et, un lieu d'apprentissage de qualité en favorisant l'éducation bilingue et multilingue."
Bonjour Serge,
Je suis une de vos abonnés sur
"tetezamitakely" que je reçois à chaque parution .
Je me permets de vous écrire afin de vous demander de bien vouloir communiquer à la diaspora malgache de France la deuxième édition du CAMP EXCELL à Manambato du 1er au 10 Août prochain, organisé par l' Association EXCELL de Madagascar.
Tout d'abord, je souhaite vous présenter notre Association ,à but non lucratif dénommée
EXCELL, que je préside et dont l'objectif est d' oeuvrer pour l' échange entre les cultures afin de promouvoir le développement de la jeunesse , la découverte et la connaissance de l' autre.
Nous organisons diverses activités pour les jeunes , dont prochainement la 2 ème édition d'un " Summer Camp à l' américaine" baptisé CAMP EXCELL -Excellence in English Language and Leadership, entièrement en anglais, animé par des experts
américains ( parfaitement bilingueque anglais/français) que nous faisons venir des
USA.
Le But du Camp est de permettre à un groupe de jeunes sérieux et
motivés, spécialement sélectionnés et qualifiés pour
faire des progrès
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rapides en anglais et de pratiquer les principes de Leadership par le biais d' un programme sur mesure de sports,typiquement américains,
de musique, de conversation active, de lecture, de discussions, de sorties et excursions, et de service communautaire, le tout dans un cadre résidentiel qui permet le contact continu avec les experts et les autres jeunes.....
... Le
Dossier sur La Langue cliquez
ici >>
Le prochain CAMP EXCELL se déroulera du 1 au 10 Aout dans un complexe hotelier à Manambato - ( Canal des Pangalanes Côte Est ) , endroit très agréable avec son magnifique plage de sable blanc au bord du lac Rasoabe . ... Lire la suite
Cliquez-ici
Voahangy Ramananarinoro
d'Ambatomaro -Tana
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Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Voahangy
a
répondu à notre appel
pour publier des Edito maintenant à
qui le tour? On vous attend edito men et edito women.
Merci d'avance!
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Tribune Mada 18/05/2008
Tsaralalàna : Andry Rajoelina engueulé par le PM
- par Manjaka Hery
Le Premier ministre a engueulé en public le maire Andry Rajoelina hier après- midi à Tsaralalàna. « Vous voyez maintenant monsieur le maire l’effet de l’insuffisance des bouches d’incendie dans la capitale », tonne le chef du gouvernement contre le maire d’Antananarivo. Cette engueulade peu amicale s’est passé devant une centaine de personnes lors de l’incendie du service de l’assainissement et du génie sanitaire ou SAGS Tsaralalàna. Cette engueulade s’est passée devant la presse, au milieu de la rue de Tsaralalàna. Face à cette interpellation rugueuse, le maire, faisant le sage, s’est écrasé. Et pour cause, il a été le dernier des autorités à arriver sur les lieux. Donc après le Premier ministre et les membres du gouvernement. Ce qui fut un motif supplémentaire pour le PM de rabrouer le jeune édile.
Baptême du feu
Arrivée du PM et du ministre de la Santé. Un peu de présence d’esprit du Pm lui aurait pu éviter de jouer le gendarme. Car en réalité, la commune a eu des représentants en permanence sur place notamment le délégué au maire du 1er arrondissement, Rakotomavo Serge Elie
Haja. Quant au maire, il a été accompagné de son premier adjoint, Serge
Radert, et de son directeur de cabinet, Yannick Rabemanantsoa. Le premier adjoint s’est fait aussi discret en passant par la partie Ouest du quartier, le moins visible pour les journalistes. Ce qui n’est pas le cas de Yannick
Rabemanantsoa. Elle a suivi de bout en bout « son patron » qui, pour ainsi dire, poursuit son baptême du feu au-delà du raisonnable. Dernier arrivé, dernier parti, Andry Rajoelina a quitté Tsaralalàna après |

Le Premier ministre a engueulé en public le maire Andry Rajoelina hier après- midi à Tsaralalàna |
tout le monde. Une fois le général Charles Rabémananjara parti, le maire s’est entretenu avec les ministres « amicalement ».
Ce qui n’a pas empêché le ministre Jean Louis Robinson de taquiner la directrice de cabinet de maire, Yannick Rabemanantsoa : « il est vraiment dommage que nous n’avons pas de jour de fête comme les femmes pour se reposer ». C’est à prendre au troisième degré.
Express Mada 18/05/2008
Culture urbaine
: Un festival consacré au hip hop - Hernan Rivelo
La troisième édition du Festival hip-hop aura lieu du vendredi 23 au samedi 31 mai. Plusieurs manifestations sont programmées.
La culture hip-hop acquiert de la maturité. Au cours des deux années précédentes, l'association Brownsugar a offert aux adeptes la manifestation baptisée «Faites du hip-hop».
Cette année, pour sa troisième édition, le créneau devient le «Festival hip-hop». S'étalant du vendredi 23 au samedi 31 mai, il promet de découvrir la culture hip-hop dans tous ses aspects.
«Cette fois-ci, le hip-hop se rapprochera du public, et non le contraire». Telle est la devise du Festival Hip-hop, selon les membres de
Brownsugar.
Différentes manifestations sont prévues dans divers lieux de la capitale. De la musique ou de la danse en live avec des artistes émergents ou confirmés, du road show, de la scène ouverte de freestyle
dance, concerts, ateliers DJ et danse, slam, performance graffiti, cinéma et même une journée de rencontre de football étofferont la semaine.
Encadré :
Les moments forts |

Le « free style dance » fait partie de la culture hip hop. |
Vendredi 23 mai
Kudeta Urban Club - Carlton Anosy à 20 heures : Soirée R'n'b/Soul
Samedi 24 mai
Mahamasina, Tanjombato, Andoharanofotsy, Anosy, Ampefiloha, 67ha, Itaosy,
Antanimena, Ankadifotsy, Analakely, Mahamasina : Road Show
Jardin d'Ambohijatovo à 16 heures : Concert hip-hop/fusion
Lundi 26 et mardi 27 mai
CCAC : Atelier DJ vinyle
Mercredi 28 mai
Alliance française à 9heures : Atelier danse et slam
CCAC à 19 heures : Projection du film « Rize»
Jeudi 29 mai
Avenue de l'Indépendance à 14 heures : Performance graffiti
Le Bus à 20 heures : Slam DJ
Vendredi 30 mai
Avenue de l'Indépendance à 14 heures : Performance graffiti
Esplanade Analakely à 18 heures : Projection de film et des meilleurs clips locaux.
Samedi 31 mai
Jardin d'Ambohijatovo à 16 heures : Concert hip-hop
Le Bus Antanimena à 22 heures 30 : Soirée de clôture.
Tribune
Mada 17/05/2008
Crise alimentaire
: Madagascar ne sera pas épargné -
par Bozy
La Grande île figure dans la liste des pays qui sera touchée par le tsunami silencieux qu’est la crise alimentaire mondiale. Les institutions internationales notamment le FMI (Fonds Monétaire International) et la FAO incluent Madagascar dans la liste des trente premiers pays qui risquent fort d’affronter une grave crise alimentaire. Raison pour laquelle, le FMI a inclu Madagascar dans la liste des premiers pays africains, avec le Mali et le Cameroun, qui va bénéficier d’une augmentation de prêts. Cette rallonge est destinée à couvrir les coûts associés à la hausse des prix des denrées alimentaires selon le FMI. La Fao pour sa part indique dans ses dernières estimations que des crises alimentaires persistent dans 33 pays à travers le monde en dépit de l’amélioration des disponibilités alimentaires dans bon nombre de pays suite aux récoltes céréalières record ou abondantes rentrées en 2006.
A Madagascar, la situation de la sécurité alimentaire est délicate dans le Sud du fait de la sécheresse qui a sévi pendant la dernière campagne et du temps sec et des graves inondations en certains endroits au cours de la présente campagne.
En tout cas, dans cette perspective de crise alimentaire, il ne faut pas non plus négliger les conséquences des enclavements de certaines parties de l’île, surtout en période de pluies.
Dans le même ordre d’idée, il faut s’interroger sur la compréhension de la crise alimentaire par les autres populations des autres pays. Du côté des Américains moyens voire plus, il y a suffisamment de nourritures dans le monde ; c’est la distribution et les politiques qui font et entretiennent cette crise. Et c’est dommage voire criminel, avouent-ils.
Les
Nouvelles 17/05/2008
POOPY
: Un culte pour ses 25 ans de scène - Vavah
Rakotoarivonjy
Rien
sans Dieu ! Ce verset de la Bible est certainement devenu l'adage de
Poopy. C'est pourquoi, la diva qui fête sa 25ème année de scène, débutera
la célébration à la Fjkm Ankadifotsy , demain, à 18h.
«J'invite
mes proches, mes fans de toujours et surtout tous mes musiciens à
partager avec moi ce culte qui sera suivi d'un gala évangélique»,
lance l'artiste. Après ce moment de prière, Poopy entamera les dernières
préparations du grand concert qu'elle donnera à Antsahamanitra, le 25
mai.
Au-delà
de ces rendez-vous, l'artiste promet déjà des concerts pour les
grandes villes de Madagascar: Toliara, Toamasina, Arivonimamo, Antsirabe.
Il y aura également la sortie d'un coffret de double disque qui
s'intitulera «Miova Dika», en guise de stèle commémorative
En
25 ans de carrière, Poopy a eu à son compte 12 albums. Diva nationale,
elle est également une star internationale. Elle a été remarquée par
la prestigieuse maison de production BMG, Afrique du Sud, qui a propulsé
Whitney Houston au top avec son album « Bodyguard ». Avec l'appui de
cette maison de production, la chanteuse a sorti un album « Malagasy
Rainbow » et réalisé six clips.
Son
intégration dans le groupe Njila a été un passage incontournable dans
sa carrière d'artiste. Elle y est restée environ cinq ans, avant de décider
de poursuivre en solo, en 1990. La séparation a été la meilleure
solution car les membres du groupe ne partageaient plus les mêmes idées.
Par ailleurs, la plupart d'entre eux, y compris leur leader, ont quitté
le pays pour tenter leur chance en Europe.
Xinhuanet.com 16/05/2008
Réunion de la 16e Assemblée régionale Afrique de
l'APF à Madagascar -
Xinhua
La réunion de la 16ème assemblée régionale Afrique de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF) est entrée dans sa 2e journée (du 14 au 16 mai ) jeudi à Antanarivo (capitale de
Magadascar).
98 délégués venant de 15 pays africains francophones, dont Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Congo Brazaville, République Démocratique de Congo, Egypte, Gabon, Madagascar, Mali, Maroc, Niger, Sénégal, Tchad et le Togo ont participé à la réunion.
Les délégués doivent se pencher sur le processus de l'intégration africaine à la mondialisation, la situation politique et sociale sur le continent Africain, les migrations internationales, la lutte contre le sida en Afrique, l'avenir de diverses langues africaines et la perception de la francophonie en Afrique.
Victoire Lasseni Duboze, représentante de l'APF et à la fois sénateur de Gabon a lancé un appel pour la stabilité en Afrique, en disant que l'Afrique est riche de sa culture mixte, de son environnement et de son économie, mais souvent marquée par l'instabilité politique, la guerre et la pauvreté.
Le président de l'Assemblée nationale malgache, Jacques Sylla, a dit dans son discours lors de la cérémonie d'ouverture que l'assemblée est l'occasion pour montrer les valeurs de chaque pays africain ainsi que leur diversité.
Madagascar se profitera de la réunion pour développer la démocratie, montrer son respect des droits de l'homme et améliorer l'utilisation de la francophonie dans la grande île de l'océan Indien,a-t-il ajouté.
Les résultats de la réunion seront rapportés à la réunion des pays francophones qui aura lieu à Québec, Canada, en juillet de cette année.
Les délégués sont informés que le sommet des pays francophones aura lieu à Madagascar en 2010.
Il y a quatre assemblées parlémentaires francophones dans le monde, notamment l'assemblée régionale Afrique, l'assemblée régionale en Asie et Pacifique, l'assemblée régionale en Amérique assemblée régionale en Europe.
Gasik'Arts.Com
16/05/2008
Motivés ! …
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Gasik'Arts dans son nouveau format avec la nouvelle "Hita sy re, indraimbava" sur l'info-discussion de actus malagasy.
Une page se tourne pour Gasik’Arts. Nous changeons de station, nous changeons de format.
Un peu, nous avons douté. Beaucoup, vous nous avez encouragés. Passionnément, nous allons continuer. |
Avec optimisme, nous envisageons l’avenir : riche en émotions, intense en actions, passionnant en musique.
Notre devise du moment ? « Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l'opportunité dans chaque difficulté. »
Merci de tout cœur de nous suivre dans cette belle aventure ! |

avec Marie Jo
et Jacquis
Le dimanche en direct
de
15h00 à 16h
98.3 FM Toulouse
89.4 FM en Comminges
106.1 FM en Ariège
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Les
Nouvelles 16/05/2008
4.000
Chambres à construire: Réticence des promoteurs - Mialy Tiana
En vue du sommet de l'Union africaine de 2009, de nombreux avantages sont accordés aux promoteurs hôteliers et immobiliers pour qu'ils construisent des hôtels de trois étoiles ou plus pour héberger les illustres invités. Cependant, de nombreux autres facteurs - hausse des prix des matériaux de construction, taux de crédit élevé compte tenu du risque supporté par le banquier, faible taux d'occupation après l'événement…- font que les candidats ne se bousculent pas au portillon.
Alors que le gouvernement déploie des moyens fiscaux et administratifs pour inciter les opérateurs à construire des hôtels à plus de trois étoiles en vue du sommet de l'Union Africaine de 2009, les risques qui pèsent sur un tel projet tendent à décourager.
4 000 chambres de haut standing à construire. La rentabilité d'un tel projet hôtelier est douteuse, les entrepreneurs sont réticents bien que certains aient déposé leurs projets prêts à démarrer. En effet, pour une chambre à trois étoiles, la nuitée se paie entre 60 à 75 euros selon les normes internationales, soit 156 000 ariary au minimum. En matière immobilière, il faut investir 60 000 euros par chambre pour la construction clé en main d'un hôtel à trois étoiles dont la nuitée vaut 60
euros.
C'est la loi du millième, une règle universelle en matière de construction hôtelière. Ainsi, le prix d'une chambre d'hôtel à partir de trois étoiles doit correspondre au millième de son coût de construction tout compris. Ce sont les normes internationales conventionnelles (normes Accor) requises en matière de construction hôtelière pour chaque chambre, d'environ 12 m2 à 20 m2 .
Rentabilité mitigée
Pour un hôtel à 100 chambres aux normes Accor, il faut compter 6 000 000 euros (gros œuvre et second œuvre). Or, le séjour des visiteurs attendus pour ce sommet dure dix jours à peu près, soit seulement 600 euros par chambre au minimum. Avec un hôtel à 100 chambres à 600 euros, 60 000 euros reviennent à l'entrepreneur. Résultat : une seule chambre est amortie à l'occasion du sommet de l'Union africaine de 2009.
Et pire encore. Le prix des matériaux de construction en hausse depuis les six derniers mois, si on ne cite que la ferraille qui a augmenté de 50%, ternit les efforts et sacrifices du gouvernement pour soutenir les promoteurs hôteliers.
En outre, de tels tarifs ne sont pas à la portée de toutes les bourses, du moins en général. En temps normal, le taux d'occupation des hôtels aux normes ne dépasse pas les 70% l'année. Ainsi, les promoteurs immobiliers et hôteliers manifestent-ils leur doute : au-delà de l'événement de l'Union africaine qu'adviendra-t-il de ces chambres? Les investissements tarderont à fructifier.
Taux d'intérêt élevé
Enfin, le dernier obstacle est l'octroi de crédit. Pour de tels projets à risque, le taux d'intérêt prélevé par les établissements de crédit est très élevé. Si le taux directeur actuel fixé par la Banque centrale tourne autour de 16%, les financements accordés par les banques primaires pour les projets hôteliers peuvent atteindre les 20%. Un taux relativement élevé qui reflète à la fois la prise de risque et le contexte. Cela a pour conséquence de faire reculer les demandeurs de crédit.
Exonération douanière et facilitations administratives pour tout projet hôtelier de haut standing. Malgré de tels sacrifices sur les recettes fiscales, le compte des 4 000 chambres à créer d'ici 2009 semble mitigé. Jusqu'ici l'on ne touche pas encore le cap des 2 000 chambres. Une certaine réticence bien justifiée des entrepreneurs.
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allAfrica.com 18/05/2008
Madagascar: Les Malgaches découvrent le grappling
-L'Express de Madagascar- Andry Ratovo
Une grande première pour les accros du sport de contact. Le grappling débarque à Madagascar.
Sous la houlette de la Fédération malgache de lutte « l'Extrem Grappler », une compétition de haute intensité, mettra ce jour, sur le tatami du Palais des Sports, les pratiquants du jiu-jitsu brésilien, du yoseïkan-budo et des judokas.
Si les participants seront regroupés dans une poule unique dans la catégorie féminine, les hommes seront classés selon leur poids, de 55 kg jusqu'à 85 kg.
Le grappling peut être considéré comme un sport de combat consistant à attraper, à tenir, à contrôler son adversaire, debout et également au sol après une éventuelle projection. Il faut tenter de le faire abandonner grâce à des techniques de luxation et d'étranglement, sans donner le moindre coup.
Le grappling peut être pratiqué debout, il est alors appelé le stand-up grappling ou au sol et est connu sous le nom de ground grappling. C'est le combat au sol qui est le plus communément appelé
grappling.
Les systèmes de grappling les plus connus et les plus efficaces sont : le jiu-jitsu brésilien, le sambo, le judo, le freestyle wrestling (la lutte libre) et le shoot wrestling japonais. Dans ces disciplines, l'objectif est, soit d'obtenir le takedown (projection) et le contrôle au sol de son adversaire, soit de finaliser (faire abandonner) son adversaire avec un étranglement ou une clé.
Quelle que soit la discipline, il existe deux façons de pratiquer le grappling : avec ou sans kimono.
Tribune
Mada 17/05/2008 Consulat de France
: « Si vous m’entendez, veuillez renouveler votre appel » - par RAW
Un heureux changement a été observé au consulat de France concernant l’obtention de visa. Pour obtenir un rendez-vous à cet effet, il n’est apparemment plus nécessaire de faire la queue. Ces temps-ci, un appel téléphonique suffit pour ce faire. Mais ce numéro 089100 a ses revers. À peine le changement institué, ça commence malheureusement à sonner libre avec la litanie suivante « Si vous m’entendez, veuillez renouveler votre appel ». Et c’est pas vraiment donné avec le coût d’un appel à 1000
Ar.
Interrogé à ce propos, un employé du Consulat répond qu’il n’a jamais été le cas et que ce numéro fonctionne bien. Or, des clients économiques, des Français, continuent de se plaindre de ce numéro car cela fait trois jours de suite que le même message téléphonique leur sonne à l’oreille.
allAfrica.com 18/05/2008
Madagascar: La Tecktonik fait fureur auprès des jeunes
-L'Express de Madagascar- Hilda Hasinjo
L'entrée de la tecktonik à Madagascar s'est faite dans le plus grand vacarme. Dansant sur les tubes de Dennis Denassy, les jeunes malgaches ne résistent pas à cette nouvelle tendance mondiale.
Formidable... magique... nul... ringard... C'est un choix de réactions à la question : comment trouves-tu la tecktonik ?
Non, rien à voir avec la tectonique des plaques terrestres du regretté Wegener!
La tecktonik est une danse - techno et tonique comme son nom l'indique - apparue en France et devenue très populaire auprès de la jeunesse du monde entier. Débarquée depuis peu à Madagascar, elle est en train de s'imposer auprès des teenagers comme LA danse qui éclate vraiment. Son nom vient des soirées « tecktonik killer » organisées à la discothèque Metropolis de Rungis, près de Paris.
À partir de 2006, le mouvement tecktonik est devenu un véritable effet de mode, notamment du fait de la particularité de sa danse (on s'agite comme un électron libre) et du style vestimentaire qui lui est associé. Les accros de tecktonik se distinguent de la masse des danseurs du samedi soir par le port d'un T-shirt moulant et de pantalons mettant en valeur les formes... sans pour autant avoir l'air gay !
Et comment ça se danse, ce truc ?
Rien de plus simple, tati Hilda va vous expliquer ! Prenez votre aspiration et tournez les mains autour de la tête, tout en bougeant les bras de toutes les façons. Attention, faites des gestes tantôt brusques, tantôt lents, sans trop bouger les pieds sur un genre de musique plutôt hard style ou un peu techno (les vieux Daft Punk, par exemple). Si vous rencontrez des jeunes qui font ces gestes incroyables en boîte, pas de panique, ce sont des danseurs de tecktonik...
« Ce sont surtout les jeunes adeptes du Hip Hop qui font la tecktonik à Madagascar, explique José, un passionné de cette discipline. Cette danse très économe en espace est venue du fait que dans les boîtes, la foule t'empêche de faire de grands mouvements. Avec la tecktonik, tu ne prends pas beaucoup d'espace, mais tu t'éclates comme une bête. Tu bouges surtout la partie supérieure du corps en restant quasiment sur place». A l'étranger, dans les boîtes comme dans les rues, des concours sous forme de battle ( ou face à face) sont organisés pour mettre au défi les pratiquants. A Madagascar, aucun concours n'a été organisé jusqu'à l'heure. Mais vu la montée en flèche de cette danse, les contests ne devraient pas tarder.
Pour trouver les bons endroits où se pratique la tecktonik, utilisez votre flair et suivez ces mecs et ces nanas branchés au look teckto Vous y êtes !
Les Nouvelles 17/05/2008
Le sport par intérim
- Andry Rabeson
Patrick Ramiaramanana en a pris pour son grade après sa décision de dissoudre la fédération malgache de football. Loin d'être une tragédie attendue, le long chapitre sur le bras de fer entre la Fifa et
l'Etat malgache est ainsi clos. Le malheur des uns fait le bonheur des autres, car Ahmad et son équipe qui faisaient déjà figure d'anciens, il y a quelques mois, reprennent du service, ce qui n'est pas le cas de Patrick
Ramiaramanana. Comme les autres ministres qui se sont succédé à
Ambohijatovo, l'ancien maire de la capitale y a également effectué un petit tour mouvementé. Les regards se tournent maintenant vers Jean-Louis Robinson, le ministre par intérim. Paraît-il que le décret relatif à sa nomination temporaire à ce poste a été officialisé avant-hier ?
Si le titulaire a failli à sa mission, un remplaçant peut prendre le relais pour un bout de temps et tant qu'on y est, pourquoi pas pour une durée indéterminée ? Rien ne presse, le sport peut attendre. Comme si le sport malgache prenait l'avantage qu'il faille, pour gagner le match, jouer avec la montre. La fin de la rencontre importe peu, l'essentiel, c'est de remplacer même si le joker n'apporte aucun nouveau souffle à l'équipe. Faisons comme si…et jouons les protagonistes même si on est classé dans le rang des figurants. Ce n'est pas parce que la bande à Amhad est sortie de l'eau qu'après la pluie, il y aura du beau temps. Remplacer pour gagner…loin de nous cette vision.
Nommer un intérim ou plutôt accepter d'être l'intérim, qu'importe le temps que cela peut prendre et, en attendant le titulaire signifie que tout peut effectivement attendre. Le temps joue donc en notre faveur même si la situation des sports est plus qu'alarmante. Le foot attend maintenant la main tendue de la Fifa , mais pour la natation, la boxe, le handball…, ils espèrent qui ? Le ministre par intérim. Dans ce cas, il faut s'armer de patience.
A vrai dire, c'est le sport malgache lui-même qui est en intérim. Le Comité olympique malgache continue de bayer aux corneilles. Intouchable au risque de subir l'épée de Damoclès de l'instance internationale, cette entité a perdu sa langue. Pas de réaction, ni de déclaration, point et à la ligne. Décidément, qui fera attendre le sport malgache,
l'Etat, les présidents de la fédération, les athlètes, le public ou la Fifa ? Tout le monde se renvoie la balle, donc le sport peut attendre comme si l'intérim pouvait durer
indéfinitivement.
marches-tropicaux.com
16/05/2008
Chemin de fer • Madagascar
: Cinq nouvelles locomotives pour Madarail
La Banque mondiale et la Banque européenne d'investissement viennent de financer l'achat de cinq locomotives neuves pour la société
Madarail, qui va ainsi pouvoir augmenter de 50% sa production.
Cette acquisition marque une étape supplémentaire dans le développement des activités de la société ferroviaire, qui a obtenu en 2003 la concession de l'exploitation du réseau des chemins de fer pour 25 ans. Le coût total de $ 6 millions est financé à parts égales par la Banque mondiale et la Banque européenne d'investissement. Selon Théodore Rasolonjatovo, directeur de l'exploitation de
Madarail, « ces locomotives permettent d'envisager une croissance de 50 % de la production par rapport à l'année dernière ». En effet, ces machines permettent de tirer une charge de 450 tonnes et d'aller plus vite, d'où un rendement beaucoup plus élevé. « L'acquisition de nouvelles locomotives devra permettre à Madarail de collecter assez de recettes pour subvenir à toutes les dépenses d'exploitation, et donc devenir rentable » explique Patrick Claes, directeur général de Madarail. En outre, « l'impact est positif en termes énergétiques et environnementaux, car la quantité de carburant consommée ainsi que la pollution générée par tonne de marchandises est moins élevée sur le rail que sur la route. Pour la balance de paiements, cela est important dans la mesure où le pays importe ses carburants » explique Pierre Graftieaux, spécialiste des transports senior de la Banque mondiale à Madagascar.
Âgé de 58 ans, Gervais Rakotomamonjisoa est cheminot depuis 1970. La société Madarail l'a nommé responsable de la formation traction. « Pour l'employé ayant plus de 30 ans de service que je suis, l'arrivée de ces cinq machines conforte ma confiance dans l'avenir des chemins de fer à Madagascar. C'est important après la situation catastrophique d'il y a quelques années ». Gervais sait de quoi il parle : en 2002, le Réseau national des chemins de fer de Madagascar (RNCFM) s'est retrouvé dans l'incapacité de payer les salaires de ses employés pendant 7 mois.
Le RNCFM avait également des difficultés sur le plan matériel : en 2003, seule une locomotive sur sept marchait encore. La réhabilitation et le renforcement du parc figuraient donc au rang des priorités. Dès 2004, 12 locomotives étaient alors opérationnelles : sept locomotives avaient été achetées d'occasion au Portugal, et les cinq autres ont pu être réhabilitées à partir du parc du RNCFM. Toutefois, l'âge moyen de ces dernières était de 30 ans.
De 2003 à 2008, le parc de locomotives est passé d'une unité à 17, et celui des wagons de 20 à 260 unités. En 2008, le transport des marchandises conventionnelles (ciment, produits de première nécessité, etc.) et des conteneurs représentera 45 % de l'exploitation, celui des hydrocarbures 23 % et celui du chrome 32 %. Le réseau de 673 kilomètres exploité par Madarail relie des points stratégiques : Antananarivo, la ville très industrialisée d'Antsirabe, et surtout Toamasina qui est le plus gros port de Madagascar. Un autre axe, Moramanga-Lac Alaotra relie les sites d'extraction de chrome et un des plus importants greniers à riz de la Grande Île au reste du réseau.
L'emprunt accordé aux conditions concessionnelles offertes par l'Association internationale de développement (deux crédits sans intérêt, avec remboursement en 40 ans et un moratoire de 10 ans) ne coûtera à l'État malgache que 0,5 % de coûts administratifs demandés par la Banque mondiale. Robert Blake, chef-pays à Madagascar, explique les raisons du soutien accordé à
Madarail. « Sur le plan économique, le transport de marchandises par voies ferrées possède un véritable potentiel de croissance à Madagascar. Sur les cinq dernières années, les chiffres démontrent un développement impressionnant, avec un quintuplement du tonnage transporté de 2003 à 2007 ».
Le total de l'intervention de la Banque mondiale pour appuyer le redressement de Madarail est de $ 50 millions. Cela a permis de financer le renouvellement en tout ou partie de 175 km de voie et le confortement de 235 km de voies, de sept ponts, ainsi que l'achat de ces cinq nouvelles locomotives. La réhabilitation de la gare d'Andasibe est également prévue.
Source : Banque mondiale
Express Mada 16/05/2008
Foire internationale de Madagascar
: Une plate-forme d’échanges - Doda Andrianantenaina
Le monde économique en ébullition. La Foire internationale de Madagascar tient ses promesses, elle sert de plate-forme aux opérateurs locaux et étrangers.
Les opérateurs attendent beaucoup de la Foire internationale de Madagascar (FIM). La tenue de cette troisième édition de la FIM signifie l'aboutissement des projets d'investissements pour les opérateurs économiques locaux et étrangers.
«Nous espérons concrétiser des partenariats d'affaires avec les opérateurs malgaches, mais éventuellement avec les autres aussi», résume Pascal Plante, de la Chambre de commerce et d'industrie de La Réunion. «Nous sommes à la recherche de partenariats sur place pour représenter nos marques», avance Varghese George, export manager de
Altech, représentant la marque Sharp à Dubai.
Nouveaux créneaux
Douze pays étrangers participent à cette troisième édition de la FIM, contre six seulement l'année dernière. «Ce qui reflète la politique d'ouverture de l'économie malgache», déclare Michel Ramiaramanana de la société Première
Ligne, organisatrice de la FIM. Le nombre de participants a donc
doublé. La Tanzanie, Dubaï, la Chine et la |

Douze pays étrangers occupent des stands à la FIM 2008. |
Thailande
font partie des nouveaux venus.
Une partie des participants étrangers viennent à la FIM dans le but de dénicher de nouveaux créneaux de marchés dans le pays. «Nous proposons des technologies qui devraient permettre aux entreprises malgaches d'améliorer leur système de communication», commente Anna
Zeis, de la société allemande Rohde&Schwarz. De même pour l'entreprise mauricienne DCL, qui offre ses services en ingénierie informatique.
Les opérateurs locaux sont également attentifs à cette manifestation. «Nous nous positionnons déjà comme acteurs incontournables de la télécommunication dans l'avenir avec le Backbone», fait savoir Ron Allard, directeur général de Telma. La BFV-SG avance également, de son côté, sa volonté d'accompagner les éventuels investisseurs. «Nous avons des offres qui sont prévues pour accompagner les entreprises déja implantées mais aussi les nouvelles», déclare Marcel Lenguin, président directeur général de la banque.
Les Nouvelles 16/05/2008
Ampahibe : 50 enfants circoncis
- Noro Niaina
En ce début de la saison d'hiver, propice à la circoncision des enfants, la direction centrale du service de santé militaire entame sa campagne annuelle dans le cadre de cette action humanitaire. Hier matin, près de 50 enfants âgés de deux à cinq ans des fokontany
d'Ampahibe et d'Ampandrana ont été circoncis par les militaires, conduits par le colonel Johanesa
Rakotonirina, à l'esplanade du ministère de la Défense nationale à
Ampahibe. La circoncision a été effectuée à l'américaine et gracieusement. La présence du ministre Cecile Manorohanta lors de cette œuvre sociale témoigne à quel point le bien-être des enfants leur tient à cœur. En fait, il s'agit non seulement de valoriser la famille mais aussi de respecter la culture malgache pour que ces petits garçons deviennent des hommes, en tant qu'acteurs du développement.
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