... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...

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The pursuit oh happiness ...
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Many things are similar here in France and in other country even
France is a developed country.
The author believes that what distinguishes Malagasy people is that
every time he talks about what is happening in Madagascar, he finds that what the Malagasy is
special, not like what others are doing.
Then you hear from him: what sets us apart, especially during an exchange with a
stranger.
The author notes that there are not many things
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that distinguish the
Malagasy way of life with a French one for
example. The reason is that
we have copied a lot of things from French people. Clothing, seem, fashion and way of
thinking.
Such as a documentary television has reported, the Thai people are
very original in his religion, his food, his funeral traditions,
wedding. We ask ourselves the same question as without their
language,
what really sets the Malagasy. Here in France, for example, everyone
recognizes an African, an Arab.
And if you have the opportunity to visit their house or
apartment, you will find that you are no longer
in France because it is truly original interior, the expression of their
personality.
With regard to national way of life, developed country face similar
problems than poor one.
Because everyone is facing common
requirements, for example, wages, safety, the cost of living,
education.
Certainly, in terms of living standards, a large gap exists. Developed countries have a big purchasing power but they do not have the
happiness resulting from the possession of a lot of beautiful things. Both have with them their poor class, the
homeless, and the collector of garbage.
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And in fact, they also have their upper class, their roguish their belief and their
atheist.
As believe a large number of people, the author feels the same way
that the source of happiness is not the ownership of beautiful things in
number. In rich country, they are not satisfied with what they have
amassed,
and those in poor countries who dream and want to take the moon.
In
fact, it must be said, the pursuit of happiness is a quest that
should be the subject of another forum. For sure! ... Lire la suite
Cliquez-ici
Haja Rakotoarison from Montréal Canada
(Président Emadex.com )
(Traduction
L'Edito "Mitady ravin-ahitra ..." par l'auteur(fr) et Haja
Rakotoarison d'Emadex (gb ))
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Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Armand
sy Haja a
répondu à notre appel
pour publier des Edito maintenant à
qui le tour? On vous attend edito men et edito women.
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Express Mada 26/04/2008
Athlétisme : Berlioz exclu des J.O.
- Soafara
Ralaimidona
La Fédération malgache d’athlétisme a exclu le champion du 110 m haies, Joseph Berlioz Randriamihaja, des Jeux olympiques 2008. Ce dernier ayant préféré disputer les championnats de France à la place des championnats d’Afrique.
Le hurdler Joseph Berlioz Randriamihaja ne sera pas engagé dans l'épreuve de 110 m haies aux 29e Jeux olympiques de Pékin (Chine) du 8 au 24 août. Telle est la résolution prise par la Fédération malgache d'athlétisme
(FMA), hier à Alarobia, à la suite de la fermeté de Berlioz Randriamihaja de vouloir honorer son engagement vis-à-vis de son club français, le Stade
Sottevillais.
Il préfère participer au premier tour des championnats de France, à partir du 4 mai, et tourne le dos aux championnats d'Afrique d'Addis-Abeba 2008 (Éthiopie) qui se déroule à la même période, du 29 avril au 4 mai.
Une décision que Christian James Razafimahefa n'apprécie pas en tant que président responsable de la
FMA. «C'est le devoir de la fédération de faire participer ses meilleurs athlètes aux championnats continentaux. De son côté, tout athlète se doit de défendre l'intérêt de son pays et, en toutes circonstances, l'intérêt du pays doit primer sur celui de son club. Berlioz ne participera pas non plus au championnat du monde 2009 à Berlin puisque les championnats d'Afrique doivent servir de tournoi qualificatif», assène le président de la
FMA. |

La médaille d’or des VIIe Jeux des îles en 2007 est peut-être la dernière gagnée par Joseph Berlioz Randriamihaja pour Madagascar. |
Christian Razafimahefa applique ainsi la position du Comité exécutif, prise lors de sa réunion extraordinaire du 11 avril à Mahajanga, dans le but de préserver l'avenir de l'athlétisme.
Il regrette que Berlioz ait pris cette décision, lui qui est la seule médaille à laquelle Madagascar puisse prétendre.
Il est, en effet, le premier athlète à obtenir la qualification aux Jeux olympiques avant le boxeur Soloniaina Razanadrakoto. C'était en août, durant le dernier championnat de France, où il s'est paré d'argent avec un temps de 13''58 derrière Ladji Doucouré, qui a remporté la course de peu en 13''55.
Berlioz rate ainsi sa troisième participation aux Jeux olympiques après ceux de Sydney 2000 et d'Athènes 2004. «Je ne reviendrai plus sur ma décision, car je dois servir mon club du Stade Sottevillais pour nourrir ma famille. J'ai porté haut le fanion malgache sur la scène internationale depuis 1999, mais jusqu'à maintenant, on ne m'accorde aucune considération. Je suis au pays depuis le mois de novembre et pourtant, personne ne se soucie de savoir comment je vis quotidiennement. Et c'est juste à la veille du championnat d'Afrique qu'on me sollicite», regrette-t-il.
Berlioz rappelle un fait similaire en 2004 qui n'avait pas abouti à une sanction de la
FMA. «Je n'avais pas participé aux championnats d'Afrique en RD Congo, mais j'avais pu disputer les J.O. d'Athènes».
Fin du grand amour
Déçu et désemparé, Berlioz compte sur une réaction du ministère des Sports. En attendant, il est sorti de ses gonds. «C'est toujours l'intérêt personnel qui prime à la FMA, jamais celui des athlètes. Il faut que je pense à ma vie et à ma famille, et je disputerais ce championnat d'Afrique si les dates ne coïncident pas. Je dois aussi être honnête vis-à vis de mon club qui me paie», insiste-t-il.
La guerre est ainsi déclarée entre Berlioz et Christian Razafimahefa. Le grand amour entre les deux hommes né en 1997 fait bel et bien partie du passé. Berlioz était l'athlète débutant du HTTA Antsiranana. Il s'est révélé aux 3e Jeux de la francophonie la même année, à Tana, avant de truster une médaille d'argent aux 7e Jeux africains de 1999 à Johannesburg. Depuis, Berlioz s'est illustré régulièrement dans les rendez-vous internationaux.
Il est aussi connu pour ne pas être un enfant de chœur et ne rate aucune occasion pour se faire entendre, souvent avec le soutien de Christian
Razafimahefa. «Je ne peux qu'accepter le fait. Certes, je ne participerai pas aux Jeux, mais je ne sais pas comment va réagir le ministère des Sports qui a déjà contribué à ma préparation», ajoute-t-il.
Outre cette sanction, la Fédération décide de suspendre également toute collaboration avec le club Stade Sottevillais à partir de la saison 2008-2009. Une collaboration qui a débuté en 1992. «Le club Stade Sottevillais a fait preuve d'un manque manifeste de respect à l'égard des intérêts de Madagascar. Le club a mentionné dans sa lettre que la présence de Berlioz et sa performance sont bénéfiques au club qui, sans doute, sera mieux classé et gagnera plus d'argent», explique Christian
Razafimahefa.
Encadré: Fer de lance du sport malgache
A 33 ans, Berlioz, spécialiste en 110 m haies, évoluant au club Stade Sottevillais de France, a porté haut le fanion malgache. Il s'est emparé de la médaille d'or à sa première participation aux championnats d'Afrique à Alger en 2000, puis médaillé d'argent à ceux de Tunis en 2002 et à ceux de Maurice en 2006.
Il a fait parler de lui aux Jeux africains de 1999, ratant de peu la première marche du podium. Il a encore ramené une médaille d'or de la même compétition disputée à Abudja en 2003. L'année dernière, il s'est paré d'une médaille d'argent aux Jeux d'Alger.
Berlioz a déjà quatre fois disputé le sommet mondial, au Canada (2001), à Paris (2003), en Thaïlande (2005) et au Japon (2007), et deux fois les Jeux olympiques à Sydney en 2000 et à Athènes en 2004.
vacancespratiques.net 25/04/2008
Madagascar à Marseille
Les 23 et 24 Mai prochains, Air Madagascar sera partenaire de la manifestation «Harena» organisée par la Fnac Voyages de Marseille. Pendant 2 jours, les Marseillais seront conviés à venir découvrir toute la richesse de Madagascar à travers des expositions permanentes et des animations ponctuelles : expositions de peinture et de photographie, théâtre et cinéma malgache, démonstrations de danses traditionnelles, sans oublier un cocktail aux saveurs typiquement malgaches en présence du Consul de Madagascar.
Moov.mg 26/04/2008
Chirurgie esthétique. Demandes de plus en plus nombreuses à Madagascar
- Hanitra R.
Les possibilités commencent à exister dans le pays en la matière. La chirurgie réparatrice, quant à elle, est accessible aux plus vulnérables par le biais de l’humanitaire.
C’est certain, la chirurgie purement esthétique est un luxe que peu de Malgaches peuvent s’offrir. Et pourtant, les demandes commencent à se faire de plus en plus nombreuses et les médecins qui pratiquent certaines interventions, dans le domaine de la chirurgie esthétique, existent déjà dans au moins deux cliniques privées. C’est la liposuccion qui est la plus pratiquée.
Réparatrice
Quant à la chirurgie réparatrice comme celle des fentes labio-palatines ou bec-de-lièvre, le coût des opérations n’est pas non plus très abordable pour le malgache moyen. Dans ce domaine, l’existence de missions humanitaires et autres programmes destinés aux plus vulnérables, a permis à des centaines, voire des milliers de personnes, dont une majorité d’enfants issus de familles modestes, d’avoir accès à ce genre d’opération et de retrouver une vie normale. Parmi ces programmes figure entre autres l’opération Smile qui, à chaque session, fait l’objet d’un véritable engouement pour les patients.
Coûts
Ailleurs, la chirurgie esthétique ne fait plus partie des rêves inaccessibles. Bien qu’encore onéreuses pour la plupart, les opérations sur le visage, les yeux, le ventre, les cuisses, les bras, sont courantes. Augmentation ou réduction mammaires, liftings du visage, du cou, des bras et cuisses ou encore du ventre, rhinoplastie (chirurgie |

Augmentation ou réduction mammaire
© http://www.tsr.ch |
du nez), génioplastie (chirurgie du menton),
etc… sont des interventions aujourd’hui très accessibles aux personnes de la classe moyenne. Quant aux prix, à titre indicatif, une liposuccion peut coûter entre 1 800 et 3 800
euros, une augmentation mammaire entre 3 000 et 3 500 euros et un lifting du visage entre 4 000 et 5 000
euros.
Outre l’Europe et l’Amérique du Nord, plusieurs pays d’Afrique du Nord offrent des formules combinant le tourisme à la chirurgie esthétique à un prix très attractif, devenues très en vogue depuis quelques années et ciblant surtout les clientèles occidentales.
A noter enfin la tenue, la semaine prochaine, d’un symposium sur la chirurgie esthétique, organisé par la Société Française de Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique à Antananarivo et à Nosy-Be.
Midi Mada 25/04/2008
Franc succès pour Chinatown in Tanà
- R.Edmond
La première foire des produits made in China, au Palais des Sports, a enregistré 12 000 visiteurs à l’ouverture.
Pour un coup d’essai, Média Consulting a réalisé un véritable coup de maître puisque Chinatown in Tanà, la foire des produits chinois qui a débuté hier au Palais des Sports, a connu un immense succès. La longue queue constatée à l’entrée du Palais, surtout dans l’après-midi, témoigne de l’engouement du public.
Inévitablement, les produits chinois de Behoririka sont présents au Palais puisqu’une partie des exposants sont des distributeurs d’effets vestimentaires made in China d’Antananarivo. La seule différence c’est que ce sont plutôt les grandes marques chinoises, ou encore les marques européennes fabriquées en Chine et exportées vers des grands pays du monde qui y sont proposées avec des prix qui défient toute concurrence. A l’instar de ces complets homme Boss ou Giorgio Armani proposé à 90 000
Ar.
Grande puissance
Mais Chinatown in Tanà constitue également un événement où l’on peut voir la Chine sous une autre couture. En l’occurrence, une grande puissance économique capable d’offrir au reste du monde des voitures et des motos de bonne qualité à petit prix. A 800 000 Ar par exemple, on peut s’offrir un scooter neuf. Côté voiture, les visiteurs sont charmés le Changhuan CEO, une 4X2 à la forme d’une BMW X5 et vendu à seulement 60 millions
Ar. « C’est une voiture qui fait partie du haut de gamme chinois et qui connaît un énorme succès en Europe » selon un responsable d’Interauto, un des concessionnaires automobiles distribuant des marques chinoises présents au Palais des Sports. Il en est de même pour Ocean Trade et Socimex qui proposent différentes marques chinoises de plus en plus connues des consommateurs malgaches comme les utilitaires JMC à moins de 20 millions
Ar.
Grandes marques
L’alimentaire est également de la partie. Les pâtes alimentaires chinoises se vendent comme des petits pains. Un restaurant chinois avec d’authentiques cuisiniers venus de Chine propose de la vraie cuisine chinoise. Il y a aussi la médecine traditionnelle chinoise comme l’acupuncture et le stand de massage où le public peut se faire soigner en direct au Palais des Sports. Les jouets chinois sont aussi de la partie. En ce qui concerne les produits de l’audiovisuel et de l’électroménager, Baolai, partenaire de la manifestation offre au public les grandes marques comme Changhong, Jeyoo, So Good… Et avec de la promotion en plus puisque Ren Yuje le D.G de Baolai vient de rentrer d’une mission en Chine où il a ramené beaucoup de nouveautés. Celtel Madagascar, sponsor officiel, attend également ses clients avec ses nouveaux produits.
Selon Jaobarison Randrianarivony, DG de Média Consulting, Chinatown in Tanà a enregistré hier pas moins de 12 000 visiteurs. Chinatown in Tanà se poursuit au Palais des sports en non stop de 9 heures à 19 heures.
Nosintsika 25/04/2008
Médecins de campagne : de jeunes Malgaches relèvent le défi
- Mamy Andriatiana
(Syfia Madagascar) Bon nombre de médecins malgaches préfèrent encore le chômage à l’installation en brousse. Ces dernières années, une cinquantaine de jeunes diplômés a cependant choisi de se fixer dans les campagnes. Les débuts sont difficiles, mais, épaulés au quotidien par leur communauté d’adoption, ils ne regrettent pas leur choix. Tout le monde y gagne
La discussion est vive et joyeuse. Sous l'ombre d'une véranda, à
Manakambahiny, à une centaine de kilomètres au nord-est de la capitale malgache Antananarivo, Ridiara Randriamparany anime les échanges avec les habitants du quartier. Après cinq mois d'activités, l'heure est au bilan pour ce médecin de campagne nouvellement installé. "Le médecin le plus proche de nous était à trois heures de marche. Maintenant, nous l'avons parmi nous. Comment ne pas en être fier !", se réjouit le chef du village, Jean-François Raharizafy. "Les soins sont d'une qualité incomparable !", poursuit un notable. Une ovation ponctue chaque intervention. À l'issue de la réunion, l’assemblée projette de construire, à sa charge, un grand bâtiment pour accueillir plus de malades.
Aux yeux de Ridiara, la trentaine, fraîchement diplômé de la Faculté de médecine d'Antananarivo et de sa femme, également médecin, le bilan est aussi largement positif. "Le cabinet s'autofinance", se félicite Ridiara qui gagne ici en moyenne 900 000 Ariary (350 €) par mois, soit trois fois plus que ses confrères du public. Le principe de son centre communautaire est simple et rentable : proposer des soins à bas prix pour accueillir plus de patients et réaliser ainsi plus de bénéfices.
"Chaudement entourée"
Mais se fixer en brousse est loin d’être évident pour tout le monde… À Madagascar, plus d’un médecin sur trois est au chômage. Si, en ville, on rencontre une formation médicale tous les 300 mètres environ, en brousse il faut souvent parcourir 25 voire 50 km... "Les médecins refusent de s’installer en brousse à cause du manque d’infrastructures et de sécurité et du faible pouvoir d'achat des bénéficiaires", explique le Dr Germain Rakotonaivo, du service de santé de district
d'Anjozorobe.
Pour Nida Raheliarinivo, jeune médecin installée depuis presque quatre ans dans le moyen ouest, les premiers mois ont été très éprouvants. "J’étais seule, brusquement confrontée à une réalité différente : voie inaccessible par voiture, pas d’électricité ni de téléphone, aucun point de vente…", se souvient-elle. "Chaudement entourée", Nida a tenu bon. La communauté locale a pris en charge la réhabilitation de sa maison et de son cabinet. Et la direction régionale de la santé l’a intégrée gratuitement dans son circuit de supervision et de suivi. Santé Sud, une ONG française de professionnels de la santé, l’a également accompagnée. "Les nouveaux médecins reçoivent gratuitement le matériel nécessaire au démarrage (kit médical, petite chirurgie, etc.) puis ils volent de leurs propres ailes", précise le directeur national de l’association, Dr Clément
Razakarison.
Une cinquantaine de généralistes comme Ridiara et Nida sont actuellement en poste dans les anciennes provinces d’Antananarivo et de Toliara. D’ici 2009, trente nouvelles installations sont prévues. Polyvalents, les docteurs consultent, s’occupent des accouchements, extraient des dents, pansent des plaies…Ils sont aussi très actifs au niveau de la vaccination et de l’éducation sanitaire.
Soins et médicaments à la portée de tous
Depuis 2004, date d’installation des premiers médecins de campagne, la qualité des soins s'est, par endroits, nettement améliorée. Dans la région de Bongolava, au moyen ouest, le ratio médecin-population est passé de 8 000 à 6 000 personnes. Grâce à leurs médecins qui se fournissent en génériques auprès de grossistes importateurs locaux, les patients reçoivent désormais des médicaments pour 1 €. Le docteur Germain reconnaît volontiers l'apport de ces cabinets communautaires. "Le soin et la vaccination se rapprochent davantage de la population", se félicite-t-il.
Mais, que se passera-t-il quand Santé Sud pliera bagage ? "Je continuerai à travailler en brousse", assure Nida. La question n’est de toute façon pas encore d’actualité. Après la phase d’expérimentation qui s’achève en 2009, le programme de l’ONG devrait en effet prendre une envergure nationale. Afin de fixer à leurs postes les médecins de brousse, le ministère de la Santé a par ailleurs lancé, en février 2008, un autre projet pilote sur trois régions. Une évaluation sera réalisée à la fin de l’année. De leur côté, les médecins se sont regroupés au sein de l'Association des médecins de campagne de Madagascar (Amcmad), qui a ses propres ressources et soutient moralement, matériellement et financièrement ses membres.
Autant d’initiatives intéressantes et peu coûteuses, puisque, d’après l’association française, la mise en place pour cinq ans d’un médecin en brousse coûte en tout et pour tout 1€ à chaque membre de la communauté, quelle que soit la taille de celle-ci.
Tout le monde semble en tout cas avancer dans la même direction. Une satisfaction, sans doute, pour Myriame Rasoaranto, directrice générale de la protection sociale au ministère de la Santé, qui plaide pour "la synergie des actions et le développement intégré" : "il faut concentrer les efforts sur une localité et y installer toutes les infrastructures requises (piste rurale, poste de gendarmerie, école, téléphone, marché)..."
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Midi Mada 26/04/2008
Un Malgache se noie, son corps a été repêché dans la Seine
- Aina R.
PARIS. Disparition tragique d’un étudiant malgache. Un appel à la solidarité est lancé pour le rapatriement de son corps.
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Un étudiant malgache, répondant au nom de Tahirisoa
Julliard, habitant à Cachan (Ile-de-France), a disparu d’une manière tragique dans la nuit du vendredi 4 avril 2008. Le malheureux, en effet, s’est noyé dans la Seine. Son corps n’a été retrouvé par les pompiers que 15 jours plus tard, plus précisément le samedi 19 avril dernier. Les faits. Le jour du 4 avril,
Tahirisoa, accompagné de ses trois amis malgaches, se promenait sur les bords de la Seine, quand soudain il glissa et tomba dans le fleuve. Alertés, les pompiers arrivent sur les lieux du drame et entreprennent des recherches, en vain. Vers deux heures du matin, les éléments de la police ont procédé à la reconstitution des faits avec les trois Malgaches qui accompagnaient la victime le jour du drame et trois autres personnes, en tant que témoins. Puis ils ont été auditionnés dans les locaux de la police. Le résultat de cette enquête préliminaire a démontré que Tahirisoa a marché sur un endroit glissant et dangereux. Ainsi, il a été établi qu’il a glissé et s’est ensuite noyé. Son corps n’a été repêché que 15 jours plus tard.
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Appel
Le corps de Tahirisoa Julliard, étudiant en informatique à l’université de Créteil, arrivera à Madagascar le mercredi 30 avril prochain. Pourtant, l’association
Filongoa, qui se charge du rapatriement de son corps, connaît des difficultés surtout financières. Jusqu’à présent, l’association n’a pu récolter que 1600
euros, alors que le coût total du rapatriement, de Paris à Tuléar, s’élève à 5 500
euros. De ce fait, un appel à la solidarité est lancé pour faire face à |

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ces dépenses et pour aider sa famille. Les cotisations pourront être remises en mains propres aux contacts suivants : Paulin Talimahitsy (91) 06 63 97 53 10 – Faniaha Dimby B. (92 Nord) 06 61 85 13 05 – Valérie (Foyer Cachan) 06 37 78 73 10. Ou par chèques à libeller au nom de « Association Filongoa », à envoyer au 31, rue de la Gaîté – 91100 Athis Mon. Pour une gestion facile et transparente, toutes les aides obtenues seront centralisées sur le compte de l’association
Filongoa.
Un cahier de recettes est disponible sur le site www.filongoa.com pour que chacun puisse exercer son droit de regard sur le détail des cotisations versées.
Jeune Afrique 26/04/2008
L'armée malgache forme des paysans pour améliorer la sécurité alimentaire
- MADAGASCAR - AFP
Madagascar, qui peine à assurer sa sécurité alimentaire en raison de la faible superficie de terres cultivées, est engagée dans une politique volontariste de mise en cultures qui passe, entre autres, par un service militaire hors norme où les appelés deviennent paysans.
Le Service militaire d'action au développement (SMAD), qui n'a d'autre équivalent en Afrique qu'à Djibouti, offre aux appelés, après trois mois de "remise à niveau citoyenne", une formation agricole de neuf mois et surtout des terres, à raison de 5 hectares par personne.
Seuls deux des 60 millions d'hectares de la Grande Ile sont cultivés et nombre des parcelles sont tournées vers l'autosubsistance, leur taille moyenne étant de 0,87 ha.
Madagascar est un des pays les plus grands consommateurs de riz au monde et doit notamment importer environ 200.000 tonnes de riz par an pour répondre à sa demande intérieure.
Le président Marc Ravalomanana a affiché début janvier son objectif "de doubler la production (agricole) en 2009 et de la tripler à l'horizon 2012".
Regard fier et chaussures bien cirées, 60 jeunes volontaires du SMAD assistent à la levée du drapeau malgache puis rentrent au pas vers le dortoir où, selon une discipline toute militaire, ils ont cinq minutes, montre en main, pour troquer l'uniforme contre leurs habits de cultivateur.
"Je travaillais dans une carrière de pierre, mais je suis entré au SMAD pour améliorer mes conditions de vie grâce à l'agriculture", explique Jean Sébastien
Tahinzanahary, un jeune en train de travailler la terre sous le regard attentif d'un homme en treillis.
Au terme des 12 mois, la promotion sera installée sur 300 ha de terre appartenant à
l'Etat et qui leur sera cédée à raison de 5 ha chacun.
"La formation militaire sert à inculquer aux jeunes l'esprit de discipline, d'autodiscipline même, et à leur donner de la force physique", assure le capitaine Fregis
Be, qui dirige le régiment de Soavina, près d'Ambositra (210 km au sud d'Antananarivo).
"Mais ces jeunes ont surtout une chance incroyable car la plupart sont des fils de paysans qui n'avaient pas assez de terre", poursuit-il.
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AFP Gregoire Pourtier : Un militaire malgache instruit des paysans
pour la cukture du riz à Soavina (Madagascar), en avril 2008 |
La première promotion est ainsi déjà établie à quelques dizaines de kilomètres de
Soavina, à Bemanta, dans ce qui était il y a encore quelques mois un no man's land.
Il a fallu construire une piste de 9 km pour accéder à ce site où il n'existait rien.
"On a érigé un barrage en béton à 2 km d'ici, et du canal principal sont dérivés 3,3 km de canaux secondaires", raconte le lieutenant-colonel
Rasamanana, en charge de la mise en valeur du terrain.
"Après la formation, nous allons continuer à collaborer, sans doute en créant une coopérative", prévoit Heriniana
Rakotonomenjanahary.
Si la première récolte de Bemanta ne devrait pas être miraculeuse, le projet semble tenir ses objectifs en terme sociaux.
"Nous avons créé une communauté de toutes pièces, et comme dans toute société, il y a des
hics. Mais portés par leur objectif commun, les jeunes se sont rapprochés. Ils comptent déjà construire des églises, un marché, une école", rapporte le colonel Jean Ernest
Randriampeno.
Depuis le lancement du programme par décret ministériel le 5 septembre 2006, deux sites ont démarré et, à terme, chaque région devrait disposer d'un SMAD rural.
D'autres centres devraient aussi ouvrir dans huit grandes villes pour former des électriciens, plombiers, maçons et même des informaticiens.
Quand chacune des 22 régions du pays disposera de son SMAD rural, à l'horizon 2012, ce seront 6.600 hectares supplémentaires qui seront valorisés chaque année.
Les Nouvelles 26/04/2008
SENATORIALES : La HCC officialise les résultats officieux du MIRA
- Miadana Andriamaro
A part un certain nombre de voix obtenues par chaque candidat et un pourcentage de suffrages exprimés, les résultats provisoires qui ont été publiés par le ministère de l'Intérieur et de la réforme administrative (Mira) concernant les sénatoriales du 20 avril dernier, ont été officialisés hier par la Haute cour constitutionnelle
(HCC).
Contrairement aux élections précédentes, notamment communales et régionales, et conformément aux dispositions de l'article 112 de la Constitution , la HCC est la seule juridiction habilitée à statuer sur «le contentieux des opérations de référendum, de l'élection du président de la République et des élections des députés».
Certes, cette disposition ne mentionne pas expressément le cas des élections des sénateurs, mais l'article 82 de la Constitution stipule que les dispositions des articles 68 à 76 concernant l'Assemblée nationale sont applicables au Sénat.
Cette compétence de la Cour est confortée par l'article 33 de l'ordonnance n°2008-002 du 27 février 2008.
Au total, sept requêtes ont été déposées concernant ces élections. Pour ce qui est de la forme, elles ont été déclarées recevables, mais malheureusement non fondées quant au fond. Elles proviennent notamment de candidats ou de leurs représentants respectifs dans les régions
d'Amoron'i Mania, de Vatovavy-Fitovinany, de Sava et de l'Anosy.
Deux femmes pour vingt hommes
Ainsi et sans surprise, la HCC s'en est plus ou moins remise aux résultats officieux du Mira avec quelques ajustements au niveau des chiffres.
Sur les 22 élus, la gente féminine n'aura pas toutefois été assez largement représentée. Elles ne sont finalement que deux à faire face à leurs pairs masculins contre une dizaine auparavant. Ce sont respectivement les sénateurs
d'Alaotra Mangoro, Emiline Ramarosoa et de l'Atsimo-Andrefana, Dina née Fotomanantena Jeanna
Raziangy.
On pense en attendant que, dans la mesure où le président de la République Marc Ravalomanana a déjà eu l'occasion d'encourager la participation féminine dans la conduite des affaires nationales, il va peut-être tenir compte de ces résultats et nommer plus de femmes que d'hommes dans le quota qui lui est réservé pour compléter l'effectif des nouveaux sénateurs.
D'ailleurs, cette participation ou présence féminine dans les hautes instances du pouvoir a aussi été recommandée lors de différentes assises internationales, entre autres au niveau de la SADC où Madagascar entend jouer un rôle plus ou moins prépondérant en vue de son développement socioéconomique rapide et durable.
En attendant, une autre grande question préoccupe l'ensemble des observateurs. Quand bien même, on a affaire à une… affaire interne du Tim en ce qui concerne l'élection du nouveau président du Sénat et celle des autres membres du bureau permanent, les choses risquent de changer au dernier moment.
Jusqu'ici, Rajemison Rakotomaharo (président sortant) reste le favori dans la course. Il ne siègera pas toutefois à la présidence de la cérémonie d'ouverture de la prochaine session parlementaire, celle-ci étant à la fois spéciale et ordinaire et dirigée par le doyen d'âge (président de séance) et le benjamin (secrétaire).
Midi
Mada 25/04/2008 IVATO:
Trois femmes en possession de 300.000 euros interpellées - Aina R.
Une importante somme a été découverte lors des fouilles de bagage.
Mardi dernier, les éléments de la police de l’air et des frontières de l’aéroport international d’Ivato ont découvert des devises irrégulières sur trois individus. Ainsi, lors d’une fouille d’usage des bagages à main des passagers, ils ont trouvé 300 000 euros (environ 750 millions d’ariary), en espèce dans le sac d’une dame. Accompagnée de deux amies, la dame faisait partie des voyageurs à destination de Paris. Elle a tenté d’emmener cet argent clandestinement. Selon un responsable de la police : « cette importante somme n’a pas été déclarée au service des douanes. Normalement, les devises dépassant la barre des 50 000 euros doivent passer d’un pays à un autre par transaction bancaire ».
Arrangement
Interpellés, les trois individus ont été emmenés au poste de police afin d’être auditionnés. Un examen qui a sûrement permis d’en savoir plus sur leur identité, le motif de leur voyage, ainsi que la provenance et la destination de cette importante somme. Autant de zones d’ombre qui rendent étrange cette affaire qui a fait grand bruit à
Ivato. D’après leurs déclarations, l’argent appartient à une société dont elles sont les représentantes. Après des « arrangements » avec les agents de la douane, elles ont obtenu une autorisation en bonne et due forme, et ont pu partir avec l’argent.
Quoi qu’il en soit, des questions se posent. Comment ces personnes ont pu obtenir cette autorisation de sortie ? Pourquoi ces personnes n’ont pas été arrêtées alors qu’elles ont tenté de transporter clandestinement une importante somme d’argent vers l’extérieur ?
Par ailleurs, l’interpellation de ces trois femmes n’a pas perturbé le départ du vol à destination de Paris.
Les Nouvelles 25/04/2008
SANTE :Bientôt un hôpital égypto-malgache - Noro Niaina
La région d'Analamanga aura une nouvelle infrastructure sanitaire, l'hôpital Egypto-malgache. Sa réalisation a fait l'objet d'une signature de protocole d'accord entre l'ambassadeur de la république de l'Egypte, Magued Fouad, et le ministre de la Santé , du planning familial et de la protection sociale, le Dr Jean Louis Robinson, hier à Anosy. Le projet a été conçu grâce à l'appui financier du fonds égyptien pour la coopération technique avec l'Afrique en matière de santé. Sa contribution est de fournir les équipements nécessaires pour les interventions chirurgicales, le diagnostic et le traitement des malades et d'envoyer des consultants médicaux. Pour sa part, le rôle du ministère de tutelle consiste à déployer le personnel médical pour assurer le fonctionnement de cet hôpital et à faciliter l'accès aux services de soins de santé pour satisfaire les besoins de la population.
Les Nouvelles 25/04/2008
BFV-SOCIÉTÉ GÉNÉRALE : Lancement de l'épargne "Exponance" - Ranaivo Lala Honoré
La BFV-Société générale a présenté hier son nouveau produit d'épargne dénommé "Exponance" spécialement dédié aux particuliers. Il se différencie essentiellement des autres produits d'épargne par son taux progressif suivant la durée du dépôt. La progression du taux est considérée semestriellement. Pour le premier semestre de souscription, le taux servi est de 4%. Il atteindra le taux maximal de 12% au bout de six semestres. Et à partir du septième semestre, le taux sera ramené au taux normal de 4,5% des comptes d'épargne.
D'après le PDG de la banque, Marcel Lenguin, c'est un nouveau produit qui connaît un franc succès. Après un mois de lancement, en toute discrétion, plus de 1,5 milliard d'ariary ont été récoltés. Ce qui permettra à la banque de distribuer encore plus de crédits. Si en 2003, la BFV SG a distribué 3.500 crédits à la consommation, en 2007, ce nombre s'est situé entre 27.000 et 28.000 crédits accordés. Le lancement de ce nouveau produit intervient dans le cadre de la célébration, cette année, du 10ème anniversaire de la BFV SG. Il a ajouté que d'autres produits seront encore lancés cette année.
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Communiqué
Shoan 25/04/2008
Madaplus
partenaire du Salon Terre des Tropiques
Pour
la première fois, un journal malgache est partenaire de la foire de
Paris qui se déroulera à Paris Expo, Porte de Versailles du 30
avril au 12 mai 2008. La Foire de Paris, aujourd’hui, c’est 18
salons, 3 400 exposants, les 8 halls de la Porte de Versailles occupés
et en moyenne 670 000 visiteurs par an !
Le
salon Terre des Tropiques rassemblera plus de 150 exposants des îles,
avec des produits gastronomiques, de l ’artisanat, des idées de séjours
touristiques, etc. Escale majeure de la foire de Paris, ce salon est
le plus important en Europe dédié aux îles tropicales et à |
l’outre-mer.
Comme chaque année, l’Océan Indien sera fortement représenté
(Madagascar : 18 exposants, La Réunion : 19 exposants,
...) Madaplus y sera distribué gratuitement.
Madaplus partenaire du Festival Tropiques en Fête
Coeur
battant du salon, le festival qui fête cette année sa 7ème
édition, propose 50 concerts gratuits permettant aux destinations
tropicales de faire valoir leurs atouts culturels. Madagascar sera
présent par l’intermédiaire de Damily,
figure emblématique du tsapiky,
qui se produira le samedi 10 mai à 12h45, la Réunion par Ka
Li Sa Dans’ (danse folklorique) - 6 mai à 12h45 et l’Ile
Maurice par Lindsay
Charnier (jazz) - 12 mai à 16h15
Madaplus améliore sa visibilité
Visibilité
journal : Madaplus sera distribué à l’occasion de cette
foire.
Visibilité
internet : le site internet de Madaplus sera accessible
directement à partir de celui de la foire de Paris (420 000
connexions sur avril/mai 2007) sur les pages Salon, Temps forts et
Partenaire du salon Terre des Tropiques jusqu’au 30 août 2008
ainsi que sur le site destiné au festival.
Pour
plus d’infos : www.madaplus.fr
Contact :
Vola Rasoamanana / Tel :
06 11 10 28 98 / E-mail : vrasoa@madaplus.fr
Madaplus remercie la Foire de Paris pour
ce partenariat |

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