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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Les Titres de MadaVôvô du 20 avril  2008  

BigNews: Le Sport est Roi... 

L'Edito: «  Ne pas se tromper dans ses choix ... »

1. Les Indiens sont partout !  (africaintelligence.fr )

2.Crise alimentaire: Le Sud-Est menacé ? (nouvelles)

3. La Banque mondiale approuve un prêt de 40 millions de dollars à Madagascar (xinhua)

4. Les enfants de Césaire (nouvelles)

5. Lancement officiel du site web de THB : Bienvenue sur le www.star-thb.com (tribune)

6. Riz : Madagascar redoute l’avenir (lexpress)

*. No Comment.... No Comment...     ... Lire la 2ème Page de MadaVôvô   ( ... )    Cliquez ici  >>

7. Yannick Noah chantera “Saga Africa” (express)  ( ... )

8. Le Cardinal Barbarin, Archevêque de Lyon, à Madagascar pour les 50 ans du monastère Maromby  (wikio) ( ... )

9. Rossy est bel et bien là : « Concert maintenu pour le 27 Avril 2008 ! » (tribune)  ( ... )

10. 40 millions de dollars pour le Projet de pôles intégrés de croissance à Madagascar (wikio)  ( ... )

11. Artiste Malgache: Interview de Mara Carson (wikio)  ( ... )

12. Petits produits chinois partout à Mada (chinafrique)  ( ... )

... Le précédent MadaVôvô  17 avril 2008  >>   ( ...  )

20/04/2008

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.621.33 Ar 
USD 1.649.38 Ar 
GBP 3.294.88 Ar 
CHF 1.615.85 Ar 
JPY 15.91 Ar 
ZAR 213.20. Ar 
HKD 211.63 Ar  
Date Eur/Ar Date Eur/Ar
29/02 2752 31/03 2630
07/05/07 2472 28/05/06 2771

(Revues de presse plus bas !!! ... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


 

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MADAGASCAR EN IMAGE            extraits de Madamaki.com / Voyage-bons-plans.com / ahaona-madagascar.com


*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >> 


 « Ne pas se tromper dans ses choix ... »

      Ce texte mérite qu'on lui accorde un peu de temps mais surtout d'y réfléchir.
     La vie actuelle veut que l'on accorde souvent trop d'importance au matériel, donc au superficiel et non à la valeur réelle des choses qui n'ont pas de prix ...  

      Quand la vie vous semble ardue, quand le découragement vous acharne et qu’il ne semble pas y avoir assez d’heures dans une 

journée pour tout faire, rappelez-vous du pot de mayonnaise et des deux tasses de café...

         Avant son cours de philosophie, un professeur est debout en avant de la classe avec quelques objets devant lui. Lorsque le cours commence, il prend doucement un très grand pot de mayonnaise vide et commence à le remplir avec des balles de golf. Ensuite, il demande aux étudiants si le pot est plein.

     Ils sont tous d'accord pour dire que le pot est plein. Le professeur prend alors une boîte de cailloux et les verse dans le pot. Il secoue le pot doucement. Les cailloux roulent dans les espaces laissés entre les balles de golf. Ensuite, il redemande aux étudiants si le pot est plein. 
     Ils sont tous d'accord pour dire que le pot est plein. Le professeur prend ensuite une boîte de sable et verse le sable dans le pot. Évidemment, le sable remplit tout l'espace restant. Il demande une autre fois si le pot est plein.

     Les étudiants répondent unanimement que le pot est plein. Le professeur prend ensuite deux tasses de café cachées sous son bureau et les verse complètement dans le pot et le café remplit tous l’espace laissé par le sable. Les étudiants rient.

       Maintenant, dit le professeur, lorsque les rires s'estompent, je veux que vous imaginiez que ce pot représente votre vie

Les balles de golf représentent les choses importantes : votre famille, vos enfants, votre santé, vos ami(e)s et vos passions favorites. Si vous perdiez tout le reste, sauf ces choses, votre vie resterait remplie.
Les cailloux représentent les autres choses importantes à vos yeux comme votre emploi, votre maison et votre auto.

Le sable représente tout le reste des petites choses.

       " Si vous placez le sable en premier dans le pot, continue le professeur, alors, il n'y aura plus de place pour les cailloux ni pour les balles de golf. C'est la même chose dans la vie. Si vous dépensez toute votre énergie sur les petites choses, vous n'aurez jamais de place dans votre vie pour les choses que vous trouvez importantes."       

... pour Plus de Réflexions !... Cliquez-ici 

      Portez attention aux moments critiques de votre bonheur. Jouez avec vos enfants. Prenez le temps d'aller voir votre médecin pour votre examen général. Invitez votre amoureux(se) au restaurant. Jouez un autre 18 trous. Il sera toujours temps de nettoyer la maison et de réparer le broyeur.

        " Prenez soin de vos balles de golf en premier. Les choses ayant vraiment de l'importance. Réévaluez vos priorités. Le reste étant seulement du sable."
     
Un des étudiants lève la main et demande : Qu'est-ce que le café représente?
Le professeur répond en souriant :" Je suis heureux que vous me posiez la question. Le café est là seulement pour vous rappeler que peu importe comment votre vie semble remplie, il y a toujours de la place pour déguster deux bons cafés avec un(e) ami(e)."    
 ... Lire la suite Cliquez-ici 

              Nenitoa Rasoa  dans  les  Yvelines

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Nenitoa Rasoa a  répondu à notre appel  pour publier des Edito maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.               Merci d'avance!        ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>         ... Lister  tous les Editos     


africaintelligence.fr 20/04/2008
Les Indiens sont partout ! 
Plusieurs firmes à capitaux indiens viennent de faire leur apparition dans divers secteurs économiques.
Tandis que Sony Malagasy Mining dirigée par M. Srinivasam recherche des labradorites, qu'Essar Group a un permis pétrolier dans l'ouest de Madagascar et que Varun Industries vient de s'associer dans l'agriculture avec le groupe Tiko du président Marc Ravalomanana, deux autres firmes indiennes viennent d'être créées à Antananarivo. La société Infrastructure Development Corporation of Madagascar (IDCM) est spécialisée dans la construction d'infrastructures routières, portuaires et aéroportuaires, secteur où elle va défier la compagnie française Colas habituée à détenir 70% du marché malgache de ce type de travaux. Les cogérants d'IDCM, Kumar Mehta et Rajshekhar Ray, sont associés au Malgache Tiana Rajeriarison, un jeune ingénieur en BTP. IDCM s'intéresse à la future extension de l'aéroport international d'Ivato.
Une autre firme à capitaux indiens a vu le jour dans les mines : la Madagascar General Corporation (MGC) dont le gérant est l'Indien Kumar Manjeeri. Celui-ci est déjà propriétaire d'Holy Mining, société créée à Antananarivo l'an dernier pour rechercher des pierres industrielles. Avec MGC, Manjeeri et sa partenaire malgache Joëlle Andrianaivoarimira vont se lancer dans l'exploration de l'or.


Les Nouvelles 19/04/2008

CRISE ALIMENTAIRE Le Sud-Est menacé ? - Noro Niaina

Aucune information n'a filtré jusqu'ici concernant la situation nutritionnelle dans les districts de Midongy du Sud et de Befotaka, région du Sud-Est. Et ce, après les graves inondations rendant impraticables des infrastructures routières menant vers les communes rurales. Une situation déplorable qui ne facilite pas l'acheminement des vivres et le risque d'insécurité alimentaire plane parmi les populations vulnérables. Le stock de vivres ainsi que le centre de récupération nutritionnelle sont déjà disponibles en cas d'urgence nutritionnelle, ont rassuré le Pam et l'ONN, en attendant les résultats de l'évaluation la semaine prochaine.

Le risque d'insécurité alimentaire dans les districts de Midongy du Sud et de Befotaka, dans la région Sud-Est existe. Et ce, suite aux dégâts occasionnés par les intempéries touchant les infrastructures routières enclavant certaines communes rurales. Une situation qui ne facilite pas l'acheminement des vivres.

La région Sud -Est n'a pas été épargnée par le passage du cyclone «Ivan». Elle figure parmi les zones les plus touchées par de graves inondations ayant engendré des pertes agricoles considérables surtout dans le district de Midongy du Sud où 90% des rizières et des surfaces cultivées ont été inondées. D'après le rapport d'évaluation multisectorielle émis par le bureau national de gestion des risques et catastrophes (BNGRC), le 20 mars dernier, l'insécurité alimentaire menace la région notamment les districts de Midongy du Sud et de Befotaka. Tout cela, sans parler de la détérioration des infrastructures routières qui a entraîné l'enclavement de la région ne facilitant pas l'acheminement des vivres vers les communes, comme la route nationale reliant Midongy du Sud à Vangaindrano. Seules trois communes sur cinq sont accessibles par voie fluviale. Il en est de même pour la route menant vers le district de Befotaka qui est impraticable et les communes périphériques restent isolées.

Stock de vivres suffisant

Pour le moment, aucune information n'a filtré concernant la situation nutritionnelle de la population des zones enclavées de ces deux sites concernés. Hier, l'Office national de nutrition (ONN) et le Programme alimentaire mondial (Pam) se sont abstenus de donner l'état de la situation tant que l'équipe d'évaluateurs en matière de sécurité alimentaire, qui s'est rendue sur place durant dix jours n'est pas revenue dans la capitale.

Le cas semblerait être avéré eu égard aux déclarations du coordonnateur national de l'ONN, Ambinintsoa Raveloharison qui signale que «le ministère de la Santé , l'ONN, l'Unicef, le Pam, le BNGRC et le CPC sont déjà prêts à intervenir en cas d'urgence nutritionnelle». Le Pam, pour sa part, a aussi déjà prépositionné 140 tonnes de vivres à Vangaindrano qui semblent suffisants car pouvant couvrir les besoins alimentaires des populations victimes de malnutrition.

Rien d'alarmant

Par contre, un animateur du Pam qui se charge de la région du Sud-Est, Karin Najar, joint par téléphone a confirmé que «il n'y a aucun signe visible d'insécurité alimentaire à Midongy du Sud. Il se pourrait que ce problème touche les communes rurales enclavées dont les routes demeurent impraticables, ne facilitant pas l'acheminement des vivres et l'évaluation des dégâts». Ce qui amène à dire que la situation semble encore floue concernant l'insécurité alimentaire dans le Sud-Est. Bref, le pire n'est pas encore à craindre jusqu'à ce que les résultats de l'évaluation soient disponibles. Tous les organismes partenaires se préparent à une éventuelle pération au cas où les besoins d'assistance alimentaire se confirment afin d'éviter la crise alimentaire qui a menacé la région du Sud-Est en 2007…


Xinhuanet.com 18/04/2008
La Banque mondiale approuve un prêt de 40 millions de dollars à Madagascar - WASHINGTON,  (Xinhua) 

La Banque mondiale a approuvé jeudi l'octroi de 40 millions de dollars à Madagascar pour soutenir son projet économique "Pôle intégrés de Croissance" (PIC). 
Ce financement devrait contribuer à la réalisation des activités prévues dans le cadre du PIC et financées jusqu'ici par l'ONU, selon un communiqué de la Banque mondiale. 
Le projet PIC a pour objectif de susciter une croissance économique à base sociale élargie dans des pôles identifiés en appuyant des secteurs porteurs. Sa mise en oeuvre a commencé en septembre 2005. 


Les Nouvelles 19/04/2008
Les enfants de Césaire - Mialisoa Randriamampianina 

« Nègre, nègre, depuis le fond du ciel immémorial ». C'est ainsi qu'Aimé Césaire se qualifiait. Et dans la bouche de ce poète qui nous a quitté jeudi, le mot « nègre » n'avait plus ce relent de basse provocation raciste qui s'employait jadis et qui s'emploie encore aujourd'hui malheureusement. Dans une « Lettre à l'aîné de la tribu », hommage au poète de la négritude, l'écrivain Emmanuel Dongala remercie Césaire : « Ce mot 'nègre' qu'on te lançait, que dis-je, qu'on nous lançait comme une insulte, comme une provocation, tu l'as ramassé, tu l'as positivé et tu l'as flanqué fièrement à la figure de ceux qui le proféraient. » Car pour Césaire, l'aîné de la tribu, être nègre, c'était « la conscience d'être noir, simple reconnaissance d'un fait qui implique acceptation, prise en charge de son destin de noir, de son histoire et de sa culture ». Jacques Rabemananjara, écrivain et homme d'Etat malgache a compris très tôt cet appel et partagea cette vision, en empreignant à son tour ses œuvres, comparables sans nul doute à celles de Césaire, d'une fière « malgachitude ». 
La plume de Césaire a été celle qui a redonné au peuple noir sa dignité et a été l'inspiration des combats pour les droits et l'émancipation de l'homme. Maintenant encore, on ne parle pas de l'Afrique noire et des hommes libres, sans parler d'Aimé Césaire. Avec sa disparition, le monde littéraire et celui des humanistes se posent la même question : l'œuvre de ce géant a-t-elle été saluée comme elle le mérite ? 
L'écriture du « grand mapou » a été et restera l'une des meilleures références de la littérature francophone, comme de rares écrivains ont pu le faire. Césaire avait le don de «manier la langue française comme il n'est pas aujourd'hui un blanc pour la manier », disait l'écrivain André Breton.
C'est, cependant, un talent qui ne sera pas salué à sa juste valeur : Césaire n'a jamais fait son entrée à l'Académie française, contrairement à son frère d'arme, l'ancien président Léopold Sedar Senghor, premier Africain à siéger dans cette illustre institution. D'autres auteurs africains, comme l'écrivain et philosophe sénégalais Cheikh Hamidou Kane, « regrette qu'il n'ait pas été honoré, consacré, salué comme il le méritait au plan international (…), avec un prix Nobel, de la paix ou de la littérature”. Un honneur qui aurait été taillé à la mesure de l'homme.  
Mais il y a peut-être plus grand honneur à lui rendre, en reprenant le flambeau désormais passé aux nouvelles générations. Et, ce même si d'autres n'y croient pas… Car bien sûr, certains ne manqueront pas de rappeler le déséquilibre entre le poète engagé et l'homme politique qu'il était. Entre cet écrivain qui revendiquait la liberté du peuple noir et une voie politique qui ne corroborait pas toujours son engagement littéraire. 
"Prenez ma poésie comme une revanche sur ma politique !" clamait Aimé Césaire. Et peut-être est-ce la bonne manière pour le comprendre, dans ce siècle de la mondialisation et des identités diluées. Le chemin des héritiers de Césaire, c'est sans doute celui de la fierté d'une identité et d'une culture. Et surtout, la compréhension que le combat du poète était pour la décolonisation des cultures. Les générations qui l'auront compris, celles-là seront les enfants de Césaire. 

© AFP Franck Fife : Installation de portrait d'Aimé Césaire le 17 avril 2008 à Fort-de-France

""Ce qu'on retiendra, c'est le chant de la négritude et la lutte contre le colonialisme", affirme le président sénégalais Abdoulaye Wade à propos d'Aimé Césaire, concédant se sentir plus proche du poète antillais que de l'autre "père" de la négritude, Léopold Sedar Senghor. 
"Cet homme a consacré sa vie à la lutte pour le peuple noir, à la lutte pour l'indépendance de l'Afrique, à la promotion des valeurs de la négritude", a-t-il indiqué jeudi soir à deux journalistes, dont l'AFP, rappelant avoir rencontré la première fois Aimé Césaire à la Sorbonne à Paris en 1956.


Tribune 18/04/2008
Lancement officiel du site web de THB : Bienvenue sur le www.star-thb.com - par Daddy R. 
Cette année 2008, « Three Horses Beer », plus connu sous l’appelation « THB », la bière de Madagascar, fête ses 50 ans. En un demi- siècle, cette blonde bien Malgache a parcouru un long chemin. C’est pourquoi un site web a été créé pour faire connaître davantage cette « blonde » au cyber café TEKNET Isoraka, hier.
THB est cette bière qui a fait le tour de Madagascar pour être choisi parmi 18 recettes en tant que celle qui rassemble le mieux les Malgaches. Ses ingrédients sont tirés des richesses des quatre coins de l’île, et dont le goût a été récompensés plusieurs fois par le concours « Monde Sélection de Bruxelles ». Une bière avec laquelle les Malgaches trouvent un sacré plaisir à être ensemble sous son fameux slogan… « Soa Ny Fiarahantsika ».
Toutes ces valeurs, les Malgaches en sont fières. C’est pourquoi une plate-forme a été créée pour eux, qu’ils soient à Madagascar ou ailleurs, afin de les rassembler d’une autre manière et sous une autre forme du « Soa Ny Fiarahantsika ».
www.star-thb.com
Ce site web est dédié à toutes personnes ayant atteint la majorité, notamment les consommateurs, qui pourront consulter en image les spots qui ont existé et qui ont été diffusés à Madagascar à travers la rubrique « PUBS THB ».
Mais les connaisseurs pourront faire encore plus connaissance avec THB, comment cette fameuse bière a évolué dans le temps et comment elle est fabriquée dans la rubrique « THB 50ans ».
De leur côté, les expatriés pourront suivre de loin tous les « EVENEMENTS THB » qui se déroulent dans les quatre coins de Madagascar. A savoir, le « THB Tour » ou encore « La fête de la bière », et bien d’autres manifestations qui font la renommée de cette boisson tant prisée des « amateurs ». Les collectionneurs et les étrangers qui sont tombés amoureux de la THB auront également leur part car ils auront accès à toute la « GAMME THB » et suivre de près la sortie de nouvelle collection.
Les professionnels découvriront, comment importer la THB à travers la rubrique « THB EXPORT » ou encore connaître les distributeurs agréés de la THB à l’étranger. Et bien sûr, tous peuvent s’exprimer et faire des échanges dans le « FORUM ».
« Un pays n’existe pas s’il ne possède pas sa bière et une compagnie aérienne. Eventuellement, il est bien qu’il possède également une équipe de football et l’arme nucléaire mais ce qui compte surtout c’est la bière », a déclaré Frank Zappa.
En 50ans, les Malgaches se sont appropriés la THB en tant que leur bière.1958 -2008 : « Ho soa hatrany ny fiarahantsika ! ».


lexpress.mu 19/04/2008
Riz : Madagascar redoute l’avenir - Nad SIVARAMEN

La Grande île ne dispose que d’un stock de cinq mois de riz pour subvenir à ses propres besoins. Du coup, elle doit importer cette denrée à un prix déterminé par le cours mondial, un prix que le Malgache risque de ne plus pouvoir payer. Aidée par la communauté internationale, elle tente donc sa «révolution verte» afin d’atteindre l’autosuffisance. 
Les Malgaches sont certainement les plus grands mangeurs de riz de la région. S’il n’y a pas encore de crise alimentaire dans la Grande île, malgré le récent cyclone qui a détruit nombre de cultures agricoles, c’est parce que nous sommes en pleine période de récolte et que les stocks d’hier ne sont pas encore épuisés. 
Par ailleurs, si les légumes et d’autres denrées alimentaires sont actuellement hors de prix pour des millions de Malgaches, ces derniers se contentent néanmoins de leur nourriture de base, qui est le riz, qu’ils consomment traditionnellement trois fois par jour. Environ dix kilos de riz par mois et par personne, soit plus de 20 % du budget personnel... Avec les familles élargies et les habitudes alimentaires propres à Madagascar, la situation s’annonce ainsi difficile pour l’avenir. 
L’Observatoire du Riz de Madagascar, créé justement pour veiller à l’équilibre précaire du riz sur le vaste territoire de près de 20 millions d’âmes, note qu’il n’y a pas encore une hausse démesurée du prix, comme c’est le cas sur le marché mondial. 
Son directeur, Patrick Rasolofo, fait ressortir que «la Grande île est aujourd’hui l’un des rares pays gros 

Malgré la présence de plusieurs rizières, ici celle d’Antsirabe, la Grande île n’arrive pas à atteindre l’autosuffisance en riz. 

consommateurs de riz qui affiche encore des prix bas». Selon les statistiques de l’Observatoire, publiés avant-hier, pour le mois d’avril, le prix au niveau national d’un kilo de riz malgache est d’environ 1 000 ariary (environ Rs 15). 
Toutefois, des nuages s’amoncellent à l’horizon. Ces prix relativement bas ne pourront être affichés que pour une période de cinq mois au maximum, c’est-à-dire jusqu’à l’épuisement des stocks nationaux. La situation va toutefois se corser. Car Madagascar, malgré ses rizières, n’arrive pas à nourrir la population, et n’est donc pas autosuffisante. La Grande île, souvent considérée comme un grenier potentiel pour la région de l’océan Indien, se retrouve elle-même en train d’importer la précieuse denrée. 
«C’est justement en raison des stocks importés, outre la présente récolte, que le présent prix reste encore abordable pour la population malgache», relève l’Observatoire du Riz, conscient qu’il va falloir écouler le riz à un prix qu’on ne peut fixer à présent. D’où les craintes pour l’avenir. 

«Outre le riz, 
Madagascar s’inquiète 
de la flambée des prix 
des autres denrées 
importées. Avec un 
salaire moyen très 
faible sur l’échelle 
mondiale, le Malgache 
‘lambda’ a de quoi 
s’inquiéter. »

Madagascar doit encore importer quelque 10 % de ses besoins en riz, soit plus de 200 000 tonnes, alors même que les principaux producteurs comme l’Inde, le Vietnam, la Thaïlande et l’Egypte ont décidé de stopper l’exportation. 
Pour atteindre l’autosuffisance – s’il n’y a pas de cyclones ou d’inondations – la Grande île doit produire jusqu’a 260 000 tonnes de paddy (NdlR riz non décortiqué) supplémentaires. «La sensibilisation dans le cadre de la révolution verte s’intensifie», explique ainsi Marius Ratolojanahary, ministre malgache de l’Agriculture dans un entretien à l’express de Madagascar. Il faut savoir qu’après le passage du cyclone Ivan et la crise alimentaire, Madagascar a fait de la «révolution verte» une obligation d’Etat. Le gouvernement malgache bénéficie de l’aide de la communauté internationale à cet effet (voir hors-texte). Dans cet optique, le ministère de l’Agriculture veut donner un nouveau souffle à la production alimentaire dans plusieurs régions de la Grande île, comme Sava, Diana, Sofia, Betsiboka, Menabe. Ces régions ont été choisies parce qu’elles peuvent encore pratiquer une deuxième, voire une troisième culture de riz en une année. Les paysans de ces régions reçoivent qui plus est des cours de formation, des semences et des équipements. 

Madagascar doit encore importer quelque 10 % de ses besoins en riz, soit plus de 200 000 tonnes, alors même que les principaux producteurs comme l’Inde, le Vietnam, la Thaïlande et l’Egypte ont décidé de stopper l’exportation. 
Pour atteindre l’autosuffisance – s’il n’y a pas de cyclones ou d’inondations – la Grande île doit produire jusqu’a 260 000 tonnes de paddy (NdlR riz non décortiqué) supplémentaires. «La sensibilisation dans le cadre de la révolution verte s’intensifie», explique ainsi Marius Ratolojanahary, ministre malgache de l’Agriculture dans un entretien à l’express de Madagascar. Il faut savoir qu’après le passage du cyclone Ivan et la crise alimentaire, Madagascar a fait de la «révolution verte» une obligation d’Etat. Le gouvernement malgache bénéficie de l’aide de la communauté internationale à cet effet (voir hors-texte). Dans cet optique, le ministère de l’Agriculture veut donner un nouveau souffle à la production alimentaire dans plusieurs régions de la Grande île, comme Sava, Diana, Sofia, Betsiboka, Menabe. Ces régions ont été choisies parce qu’elles peuvent encore pratiquer une deuxième, voire une troisième culture de riz en une année. Les paysans de ces régions reçoivent qui plus est des cours de formation, des semences et des équipements. 
Outre le riz, Madagascar s’inquiète de la flambée des prix des autres denrées importées. Avec un salaire moyen très faible sur l’échelle mondiale, le Malgache lambda a de quoi s’inquiéter. 
Déjà, le prix des légumes est en hausse sur les marchés de la Grande île. Le kilo de pommes de terre se vend actuellement à 900 ariary contre 500 auparavant. Le kilo d’oignon est passé de 400 à 800 ariary. En outre, le poivron, dont plus de la moitié de la production totale a été détruite par le cyclone, s’achète à 1 000 ariary contre 600 avant. Cette tendance à la hausse a commencé au mois de janvier. Et l’effet spirale n’est pas près de s’arrêter. D’où l’importance que Madagascar et ses bailleurs de fonds attachent à la culture de riz. 
La Grande île a un grand potentiel que ses voisines de l’océan Indien n’ont pas. Avec l’expertise internationale, toute la région pourrait bénéficier de sa production de riz et autres denrées de base. Comme quoi, la crise alimentaire a ceci de positif : elle a provoqué une prise de conscience internationale sur la nécessité de reconsidérer la place prioritaire qu’auraient dû occuper les cultures alimentaires dans le développement des pays de la région... 
MAIN TENDUE : Aide internationale 
■ Les émeutes de la faim se multiplient à travers le monde. Le rapporteur de l’ONU sur la question alimentaire parle d’une «hécatombe annoncée» et accuse les producteurs de biocarburants de «crime contre l’humanité». La Banque mondiale tire la sonnette d’alarme. Et George Bush a ordonné cette semaine le déblocage d’environ 200 millions de dollars d’aide d’urgence. Madagascar est parmi les pays beneficiaires. «On va vers une très longue période d’émeutes, de conflits, des vagues de déstabilisation régionale incontrôlable, marquée au fer rouge du désespoir des populations les plus vulnérables», prédit Jean Ziegler, de l’ONU, dans un entretien à «Libération». 

En réaction, les Etats-Unis ont consenti à une aide «supplémentaire» pour faire face «aux besoins imprévus en matière d’aide alimentaire en Afrique et ailleurs». La Grande île est ainsi parmi la trentaine de pays identifiés par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture pour obtenir une aide urgente face à cette situation de crise. Par ailleurs, les inspecteurs du Fonds monétaire international (FMI) effectuent leur deuxième visite de l’année à Madagascar. Une mission qui s’insère dans le cadre du Programme de Facilité pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance (FRPC). Ce programme triennal s’etale de 2006 à 2009. La délégation du FMI, reçue par le président Marc Ravalomanana, s’est par ailleurs félicitée de la situation macroéconomique à Madagascar. «Les résultats sont très positifs même si le passage des cyclones ont occasionné de nouveaux «challenges» tels que les questions des besoins immédiats des sinistrés», souligne le chef de mision du FMI, selon un communique de la presidence malgache. 
SITUATION PRECAIRE : Mauvaise récolte dans l’Est 
■ Les premiers bilans de l’après-Ivan sont lourds dans l’Est. Pour la région d’Analanjirofo, grand producteur de litchi, de girofle et de riz, les pertes sont estimées à près de 70 % de la production normale. Les districts de Sainte-Marie, Vavatenina, Fenoarivo Atsinanana, Saonierana Ivongo et une partie de Mananara nord sont les plus affectés. Cette situation risque, dans les prochains mois, de peser lourd sur le quotidien de la population car la plupart de paysans vivent de ces cultures. Analanjirofo produit chaque année quelque 60 tonnes de litchi, 30 000 tonnes de girofle et 180 000 tonnes de riz. Seuls 30 % de la recolte a pu être sauvée cette année. 

Les marchés font grise mine alors que les prix de certaines denrées sont déjà hors de portée pour certains Malgaches. 

Dans le tourisme, l’autre source importante de revenu de la région, l’heure est actuellement aux réparations. Selon les derniers bilans, 90 % des infrastructures d’accueil demandent à être rétablies. Les opérateurs touristiques ont encore quelques semaines pour tout remettre en ordre avant l’arrivée, au mois de juin de la haute saison. 
Les marchés font grise mine alors que les prix de certaines denrées sont déjà hors de portée pour certains Malgaches. 


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Express Mada 19/04/2008
Yannick Noah chantera “Saga Africa” - Juliano Randrianja
Après un bref passage dans la Grande île en 1977, Yannick Noah nous revient avec « Un autre voyage ». Le chanteur promet un super concert au Palais des Sports.

Les fans de la musique métisse pourront se régaler. Avant de terminer sa tournée internationale à l'île de La Réunion, Yannick Noah se trouve dans nos murs depuis hier pour faire bouger les Malgaches avec la «Saga Africa».
«Je viens tout juste d'arriver, mais je sais que les fans de la musique métisse attendent depuis longtemps ce rendez-vous. Je leur promets un super concert pour que mon passage ici ne reste pas inaperçu», affirme l'ex tennisman. 
La «Saga Africa» sera chantée, en plus de l'interprétation des autres tubes des années 90. Le concert durera deux heures et demie, c'est-à-dire 25 à 28 titres au répertoire de cette soirée chaude avec Yannick Noah.
Une tonne de matériel 
Le chanteur s'est réveillé à 4 heures du matin pour rejoindre la Grande île. Malgré une petite panne technique en vol, la personnalité préférée des Français est arrivée à bon port à Ivato, hier vers 15 heures 30. 
Quoique un peu fatigué, ce rendez-vous avec le public malgache reste le plus important pour le chanteur.  chansons et un grand show en perspective.

«Je suis venu pour des vacances à Madagascar il y a trente ans. Maintenant, je vais changer un peu de registre pour faire plaisir aux mélomanes».

Yannick Noah en conversation avec Sammy Rastafanahy à son arrivée à Ivato. 

25 chansons et un grand show en perspective

Après avoir déposé la raquette, le micro est devenu le meilleur instrument de prédilection de Yannick Noah. Ce revirement n'a déçu personne : ni ses fans ni lui-même. 
Côté organisation du concert de demain soir, les 35 membres de l'équipe du chanteur sont aussi arrivés hier soir pour préparer ce grand show. 
Rayan, le lauréat de «Music challenge», concours organisé par Viva télévision, chantera avec Yannick Noah au cours de ce grand rendez-vous. Mille places restent disponibles au Palais des sports, et seront vendues au Centre culturel Albert Camus pour les retardaires.


wikio.fr 18/04/2008
Le Cardinal Barbarin, Archevêque de Lyon, à Madagascar pour les cinquante ans du monastère cistercien de Maromby - Antananarivo (Agence Fides)
Son Eminence le Cardinal Philippe Barbarin (voir photo), Archevêque de Lyon, a répondu avec joie à l’invitation du monastère cistercien de Maromby, à Madagascar, de présider le 50e anniversaire de la fondation et de célébrer l’ordination sacerdotale d’un moine. 
Accompagné du P. Bernard Badaud, Archidiacre et Vicaire épiscopale pour les migrants, et de Bruno Millevoye, Vicaire épiscopal pour la pastorale familiale et sociale, le Cardinal Barbarin est arrivé à Madagascar le 13 avril où il a rencontré Son Exc. Mgr Augustine Kasujja, Nonce apostolique, et les évêques d’Antananarivo, de Fenoarivo Atsinanana, d’Ambositra et de Fianarantsoa. 
Au cours de sa visite qui se conclut le 21 avril, le Cardinal Archevêque de Lyon rencontrera le Président de l’Assemblée Nationale malgache, Jacques Sylla, et la communauté française locale, et effectuera une visite à la léproserie de Marana, confiée aux Sœurs de Saint Joseph de Cluny.
Le monastère cistercien de Maromby a été fondé en 1958. Sa communauté est composée de 36 membres : 35 malgaches et Frère Baudouin Mativa, l’un des fondateurs. Le monastère accueille 70 jeunes qui se préparent à devenir moines cisterciens. De Maromby quelques moines sont partis fonder un nouveau monastère dans les îles Seychelles, dans un lieu adapté à l’élevage et à l’agriculture, leurs principales activités de subsistance.

Le Cardinal Barbarin a d’étroits liens d’amitiés avec Madagascar, où il avait été envoyé comme prêtre Fidei Donum et professeur de Théologie au Grand séminaire de Fianarantsoa, de 1994 à 1998. C’est son premier voyage dans le pays depuis qu’il a été créé Cardinal par la Pape Jean-Paul II en 2003. 


Tribune 18/04/2008

Rossy est bel et bien là : « Concert maintenu pour le 27 Avril 2008 ! » - par Daddy R. 

Entre temps, les répétitions vont bon train ! Arrivée sur le sol malgache hier vers 5h 30 du matin, Rossy est tout de suite intervenu en direct sur l’émission « Kidaona maraina ». A part l’ annonce de son arrivée, il a tenu à préciser qu’il a signé un contrat avec Média Consulting et qu’il est présent sur place dans l’obligation d’assumer son engagement. Ceci dit, Rossy n’est pas encore prêt de baisser les bras face à la décision prise par le mInistère de la Culture et des Loisirs, interdisant sa tournée au pays natal.
« Je suis prêt à accepter l’interdiction des deux dates prévues, le 20 Avril, vu la tenue de l’élection sénatoriale et le 01 Mai, vu que la date coincide avec la fête du travail », a t-il affirmé. « Par contre, je ne vois pas l’inconvénient si je me produit le 27 Avril, étant donné que toutes les autorisations y afférentes sont déjà en règle », a t-il continué.
« Suite aux réserves verbales du ministère de la Culture et des des Sports, concernant les inopportunités de la tenue du concert prévu pour le 20 Avril à Antsonjombe, le groupe Rossy a accepté de reporter pour le 27 Avril 2008 son unique concert dans la capitale afin d’assumer son engagement envers Média Consulting, producteur de la tournée « Ino vaovao » à Madagascar », affirme le communiqué qui est parvenu à la rédaction de tous les quotidiens, tard dans le soir. Suite à toutes les polémiques quant à l’annulation ainsi que le report du concert de Rossy à Madagascar, son arrivée sur place va mettre toutes choses au clair. De plus, le Président de la République, lui -même, a annoncé que Rossy est comme tant d’autres artistes qui est libre de prendre sa décision quant à la tenue ou l’annulation de sa représentation à Madagascar.
Politique et art
La venue de l’artiste au pays pourrait apporter plus d’explication quant à la raison ainsi que les motifs de l’annulation prises par le ministère. De plus, il vaut mieux régler les choses sur place que de se lancer des piques et exciter l’opinion de part et d’autres. « Je suis ici pour assurer ma prestation à Antsonjombe et mon engagement, en tant qu’artiste, mais pas en tant qu’« outils » utilisés par les politiciens ou pour inciter la population à se retourner contre le pouvoir actuel », a-t-il précisé, lors d’une brève rencontre avec la presse, hier.

Viendra ou viendra pas. Une arrivée imminente et une tournée tant attendue par le public malgache. Rossy est là pour tous ses concerts 

 
A noter que Rossy est venu avec toute une équipe de professionnels, en matière de « showbiz » et d’art pour confirmer ce dévouement à faire quelque chose de « meilleur » au pays, comme il l’a promis lors de son dernier passage à Madagascar. « Nous sommes impatients de faire découvrir au public malgache ce que nous avons préparé depuis bien longtemps », a lancé Karlito, ce métis polonais-malgache, régisseur de Rossy depuis 10 ans maintenant. Quoi qu’il en soit, il faut faire la part des choses car politique et art ne riment pas souvent ensemble.
Sauf, dans des cas extrêmes, comme lors des campagnes de propagande où les artistes sont juste des « moyens » pour draîner du monde. D’ailleurs, l’on se demande, pourquoi d’autres manifestations dans des lieux publiques vont se tenir durant le week-end du 27 Avril et pas celui d’Antsonjombe ? En attendant la suite !


wikio.fr 18/04/2008
La Banque mondiale approuve une enveloppe supplémentaire de 40 millions de dollars pour le Projet de pôles intégrés de croissance à Madagascar 
Ce financement appuiera un projet en cours performant 
Communiqué de presse n°:2008/275/AFR / Contacts À Washington : Aby Toure (202) 473 8302 / akonate@worldbank.org  - À Antananarivo : Erick Rabemananoro (261-20) 22 56000 erabemananoro@worldbank.org
Le Conseil des administrateurs du Groupe de la Banque mondiale a approuvé aujourd’hui l’octroi d’un financement additionnel d’un montant de 40 millions de dollars à la République de Madagascar pour le Projet de pôles intégrés de croissance.
Le financement additionnel proposé permettra de mener à leur terme des activités initialement prévues par ce projet dont le financement restait à ce jour insuffisant. Il portera en particulier sur trois domaines clés :
i) renforcement du cadre dans lequel les entreprises opèrent, en particulier pour favoriser le développement des micro, petites et moyennes entreprises dans les diverses régions du pays ;
ii) amélioration des routes, des ports et des infrastructures urbaines et communautaires, et mise en valeur de ressources énergétiques propres ;
iii) amélioration de l’exécution du projet et renforcement des institutions locales
Ce projet a pour objectif général de contribuer à créer un climat économique propre à stimuler et à promouvoir la croissance économique dans trois pôles régionaux des régions d’Antananarivo-Antsirabe, Nosy Be et Taolagnaro (Fort Dauphin). Il est entré en vigueur en septembre 2005 et sa clôture est prévue pour le 31 décembre 2010. Le montant du crédit initial était égal à la contre-valeur de 129,8 millions de dollars.
« Les résultats du projet sont satisfaisants, tant du point de vue de la réalisation des objectifs de développement que du déroulement de l’exécution » affirme Ganesh Rasagam, chef de l’équipe de la Banque mondiale chargée du projet.
Ce projet bénéficie de l’appui direct du secteur privé, en particulier de l’investisseur minier Rio Tinto/QIT Minerals Madagascar (QMM) à Fort Dauphin. D’autres partenaires y participent également, à la fois de façon directe et indirecte : le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’Union européenne, le Millennium Challenge Account, la Banque africaine de développement et l’Agence française de développement.
« Cette aptitude à mobiliser des partenariats, ainsi que l’adhésion des plus hautes sphères gouvernementales et leur volonté de réaliser les objectifs du projet sont de réels atouts » a souligné Robert Blake, chef-pays de la Banque mondiale pour Madagascar.


wikio.fr 19/04/2008
Artiste Malgache: Interview de Mara Carson

Bonjour Mara Carson. 
Pourrais tu nous parler un peu de toi? un bref historique ? vous êtes combien dans le groupe. 

Mon vrai nom c'est CARSON Rock Rangers. On me connaît surtout sous le nom CARSON. A mes débuts j'étais un guitariste classique de formation bien qu’avant cela j'ai appris le folk. J'adorais Bob Dylan, Joan Baez, Gordon Ligthfoot, Donovan, Pete Seeger, Jonny Michelle, etc…Après je me suis mis à apprécier la guitare en écoutant Atahualpa Yupanki , Eduardo Falu. J'ai pris goût pour la guitare classique avec Alirio Diaz, Ségovia, John Williams, Julian Bream et bien d'autres. J'avais l'habitude d'écouter à l'époque une émission consacrée à la guitare classique animée par Robert Jean Vidal à la RFI. Mais ce qui m'a boosté à aller un peu plus de l'avant c'est en écoutant un morceau de Torroba Frederico, je crois. Un morceau qu'avait joué Ségovia lorsqu'il avait 30 ans et que ce dernier a réarrangé un demi-siècle après. En fait je n'ai rien compris de l'arrangement rejoué par le même musicien 50 après. Du coup, je me suis dit qu'il fallait que je m'applique à travailler l'harmonie et le solfège. C'est ce que je fis. Et c'est en allant dans ce sens que je me suis entiché de la musique du Brésilien Heitor Villa-Lobos qui tire ses lettres de noblesses chez les prolétaires. Bien sûr, il s'inspirait de Bach dans la forme mais dans le fond on sentait que ce n'était 

guère de la musique issue du milieu occidental mais plutôt un genre d'une autre contrée: le brésil. Pareille aussi pour le cubain Léo Brouwer qui non seulement était un compositeur mais aussi un excellent guitariste comme, son aînée, Villa Lobos.Après il y eut Antonio Lauro avec ses valses Vénézuéliennes et Augustin Barrios. C'est à force de les écouter que j'ai évolué. Je me suis mis ensuite à m'intérésser aussi à la musique malgache dans les années 78. L'année d'après je fus parmi les sélectionnés pour une émission télévisée nommée Fafy de Tsilavina Ralaindimby. Je jouais mes airs inspirés de la musique malgache avec ma seule guitare classique. C'était purement instrumental. J'ai essayé de représenter un peu toute l'île de Madagascar avec les airs en Hommage à Rakotozafy, le Marovany du sud, le Ba Gasy des Hautes terres, le Rija chez les Betsileo, le Salegy, et autres. Ce ne fut après que l'on a crée le groupe CARSON ou tarika CARSON. En fait cette idée est venue du fait qu'avant les personnes comme Erick Manana (Lolo sy ny tariny), Jonny Raffa (Tselonina), Ramala (Tsiakoraka), Tovo ( Generaly).Carson jouaient ensemble. Même cas aussi pour Paul Bert (Rossy) et moi à ses débuts. Chacun est parti de son côté. Erick est parti avec Lolo ; Jonny avec Tsialonina, Ramala rejoignit le groupe Tsiakoraka, Tovo travailla avec Generaly. Aussi, le groupe Carson sont ceux qui sont restés. Par ailleurs, qui était assez proche de ma personne. A l'origine on était sept. Le premier morceau que l'on a enregistré à l'époque fut un morceau de guitare trio avec César, Mimil et moi. On a rajouté par la suite un morceau chanté Rahatrizay. Pour moi c'était un test qui a beaucoup réussi car les auditeurs aimaient la chanson. Du coup, on a enregistré Oram-pahavaratra , Izao Reitsy. On a obtenu le lauréat avec ces morceaux. Après il y a eu Satriko ry tiana, Manina anao. Même succès. La même année un de mes chanteurs partait poursuivre ses études en France. L'année d'après un deuxième musicien émigra vers la Suisse. Le 25 décembre 1985 décéda le lead vocal à la suite d'un tetanos dans une région fianaroise. Les autres se sont mariés et n'avaient plus assez de temps à consacrer à la cause. C'est à ce moment là qu j'ai fait la rencontre avec Mbasalala, le leader du groupe Salala. Il était venu pour que je lui fasse un arrangement des ses compositions car il avait une émission avec Tsilavina Ralaindimby. D'ailleurs c'est sur avis de ce dernier qu'il est venu frapper à ma porte….A suivre sur le site http://mara-carson.net/.
Mara CARSON. Le pseudo Mara est un nom astrologique de naissance. Je l'ai porté surtout lorsque j'ai commencé à jouer en Europe. CARSON tout court sonne un peu américain. Du coup, j'ai choisi ce nom astrologique.
On est combien dans le groupe ?
Je possède trois fiches techniques
a) Mara CARSON 
b Mara CARSON Quator
c) Mara CARSON Quintet

Un nouvel album vient de sortir, quel est le titre ? 
Comment s'est passée cette réalisation ? Ou a été réalisé cet album. 
En fait ce n'est pas tellement un nouvel album car je l'avais réalisé en 2001. Le titre de l'Album : Beratro. Beratro veut dire Espace. C'est dans l'espace qu'il y création. Sans espace, créer s'avère difficile. Pas d'espace pas de vie. La réalisation s'est bien passée grâce au concours de l'ingénieur du son Simon Rasetaniaina et bien sûr de la contribution des musiciens comme Nicolas, Andry, Fred, Gorce Patrick. L'Album a été réalisé à Paris. La prise on l'a fait au Frigo. Par contre, le mastering on l'a fait à Vitry –sur-seine. 
Note: Vous pouvez ecouter l'album sur Radio Vazo Gasy 
A quel genre de public s'adresse cet album ?
A tout public aimant la musique.
Quelques chansons dans ce dernier album sont en a capella et le genre musical est typique de Madagascar, c'est un choix ou c'est le courant qui passe le mieux pour le moment ?
Ravi de vous entendre dire que ma musique est typique de madagascar. Comme je l'avais dit auparavant, je m'intéresse de très près à la culture malgache, entre autre, la musique traditionnelle. Et j'y travaille toujours jusqu'à présent.La musique malgache est assez riche dans son ensemble. Il faut le faire connaître davantage. C'est ce que je fais. Mon rôle c'est d'être devant pour montrer des choses et non de courir après ce que désirent les gens et suivre le cours des choses. 

Qu'est ce qui serait un problème pour que les œuvres musicales puissent percer et être mieux connues?
La persévérance, la personnalité et l'originalité. Tout est là. Il ne suffit pas de sortir un album car untel en a aussi sorti. Il faut toujours se poser la question le plus de ce qu'on apporte dans ce que l'on fait sinon on tombe dans la mièvrerie.
Qu'en est il des problème matériels ou financiers pour un artiste Malgache ?
Tout le monde à des problèmes. Surtout ce que vous évoquez. Justement, il faut trouver la parade :. « C'est comme aimer ou mourir personne ne peut le faire pour vous ». Si on est vraiment concerné, je pense qu'on trouvera toujours la solution.
Combien d'album à votre actif depuis ? 
Plusieurs. Je n'ai pas compté.
Des tournées prévues ?
Je suis sur un projet d'enregistrement en ce moment. Surfez sur mon site. Vous aurez sans doute des nouvelles bientôt.
Votre programme prochainement ?
Pour le moment, je vaque à mes occupations quotidiennes, de professeur de guitare à la MGC de COLOMBES, ACADOMIA MUSIC, ASSOCIATION VIE. de NANTERRE. A la rentrée prochaine, à part ces cours, j'assumerai le rôle de directeur d'orchestre à la MJC.
Je vous tiens au courant.

Merci d'avoir répondu à nos questions.
Je vous en prie. Bien à vous. 
Mara CARSO

Propos recueillis par: Guy Rakotoarisoa (c) Radio Vazo Gasy 2008


Emadex.com 17/04/2008

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