Madavôvô 2005  

L'Année 2005 c'est l'année des Ouvertures..  ;   Joyeuses Fêtes de Noel à tous...

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Présentation au Roi du Maroc Sa Majesté le Roi Mohammed VI  des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana
Notons que la Présentation à Sa Majesté le Roi Mohammed VI des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana a précédé la visite présidentielle. Le programme de séjour présidentiel a été marqué, entre autres, par un entretien en tête-à-tête entre les deux chefs d’Etat, suivi d’une visite au Mausolée Mohammed V où le couple présidentiel a déposé des gerbes de fleurs sur les tombes de feu S.M. le Roi Mohammed V et feu S.M. le Roi Hassan II avant de signer le livre d’or....
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Raharaha Zaraniaina.... ;  Cacao de Mada... ;  Rassembleurs et Dynamiques... ;  Savoir vivre sur le web...  ;  200 Milliards pour le secteur public... ;  Air mad renforce sa flotte... ;

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Sommaire Madavôvô: 15 decembre 2005

BigNews. Mathieu Raz Skie pour Mada au JO de Turin... 

1.Editorial : Nous sommes comme vous (MaTV)

2. Mada est le 1er producteur de céréales dans la région de l'OI ( XINHUA)

3. Ratsiraka. Ses partisans l’attendent comme un Père Noël (Midi)

4. Le FMI annule la dette contractée par Madagascar (Xinhuanet)

5. Médias : Monde de la presse - Toujours sous la menace (Tribune)

6. No Comment.... No Comment...

7. La FAO accorde une assistance d'urgence contre la grippe aviaire à Mada( XINHUA)

8. Visa à l’ambassade de France:Les queues, c’est fini ! (La Gazette)

9. Marché du carbone Madagascar, sans fonds ni projet (Xinhuanet)

10. Affaire «dentisterie illégale»Confusion entre extractions et soins dentaires ! (Tribune)

11. Madagascar ratifie 10 conventions internationales contre le terrorisme (Jeune Afrique)

12. Un million d’ha d’aires protégées nouvelles avant la fin de l’année (Les Nouvelles)

                                                                  ... Les Revues de presse plus bas !!!

15/12/2005

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

Euro (pondéré) 2565 
US Dollar 2135.51 
Dollar canadien 1863.28 
YEN 18.00 
Franc suisse 1664.53 
Livre sterling 3779.85 
Rand 338.97 
Roupie mauricienne 69.90 
Couronne suédoise (100) 272.08 
DTS 3060.08 

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Derniers Messages de nos Petites Annonces         + Savoir plus >>          Les Contacts  >>

1)-J'habite dans le sud de la france. Mon désire serai de rencontrer une femme malgache pour faire un bout de chemin ensemble. Profil: Age de 35 a 48 ans libre  un peu sportive,1m60 a 1m70 entre 50 et 68kg tendre douce et honnete. ...   contact : Jean Jacques  COUZ

2)-je suis a la recherche e tortues pour ma petite soeur de 11 ans elle des figurines elle a tout en faites il lui manquerai qu'une tortues de n'importe quelle age et race j'habite a cournonsec si vous voulais vous séparer de votre tortues car je n'ai pas d'argent de poche penser a ma petite soeur merci d'avance c'est pour son cadeau de noel !!!!!!!!!!!!     contact : romane
3)-jvend fourgon iveco 2.8l td année déc 02, sur l'ile de la réunion. Bon état. prix: 10500?. a déb .cote argus métropole 12500?. contact : tedesco

-bonjour je suis a la recherche d'une jeune tortue de terre?                contact : Jerome

4)- vends huiles essentielles de cannelle (cinamomum camphora)           contact : fenoramah

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


 

Big News... Mathieu Raz Skie pour Mada au JO de Turin...      ...suite   Cliquez ici >>

Skier pour un pays Développer pour un peuple
Un skieur malgache aux Jeux Olympiques 2006 de Turin. Une première qui voit le jour grâce à la volonté de deux frères, nés d’une mère canadienne et d’un père malgache. Mathieu et Philippe, deux mordus de ski depuis 15 ans, sont restés tous deux proches de leur pays d’origine, où ils n’ont pourtant jamais vécus : l’Ile rouge. Aujourd’hui, les deux jeunes canado-malgache, 41 ans à peine à eux deux, ont décidé de lier leur origine à leur passion en lançant le projet « Ski Madagascar ». (Afrik.com)


*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


MaTV 13/12/2005
EDITORIAL : NOUS SOMMES COMME VOUS
Lorsqu’on parle de droit de la presse, il nous vient à l’esprit irrémédiablement, le droit de l’information, la liberté d’expression, l’indépendance et l’absence de censure et la dépénalisation. Ces grands mots qui, concédons-le, n’existeront pas sans le droit à… l’existence. 
Oui, le droit d’exister. Cela veut dire le droit de se nourrir et de se vêtir, sa personne et sa petite famille. Car la presse n’est pas seulement une information que l’on jette en pâture, que l’on admire ou que l’on conteste. Derrière ce journal que vous lisez ou ce présentateur de journaux télévisés que vous aimez ou cette animatrice de radio que vous détestez, c’est des bouches à nourrir. Journalistes, reporters, photographes, informaticiens, agents administratifs et commerciaux, monteurs, régisseurs, cameramen, coursiers, maquilleuses et coiffeuses…Bref tout un monde concerné par ce qui concerne également les lecteurs, les téléspectateurs et les auditeurs. La grande famille de la presse qui tiendra une grande réunion au Cite, cette semaine, aura l’occasion de l’affirmer. 
Vous avez des problèmes avec le prix du riz ? Avec les carburants ? Avec le délestage ? Avec l’effritement du pouvoir d’achat ? Avec vos enfants ? Avec les politiciens ? Nous aussi, diront les journalistes et les patrons de presse. Nous sommes comme tout le monde. Mais au bout de la chaîne, la réalité est tout autre. Vous avez un ogre dont l’appétit est insatiable, l’Etat avec ses impôts sur les annonces publicitaires, sur le papier journal et autres matériels importés… 
Face à une conjoncture difficile, l’Etat a les moyens d’aider la presse. Il lui suffit de la laisser jouer son rôle de service public sans la surcharger de taxes. Il lui faut la volonté de le faire sans même demander des médias, en échange, autre chose. On se comprend, n’est-ce pas ? 


Jeune Afrique 14/12/2005

Madagascar est le 1er producteur de céréales dans la région de l'océan Indien  par XINHUA 
Madagascar est le plus important producteur de céréales, en quantité et en diversité, dans la région de l'océan Indien. 
Les derniers chiffres affichent une production de plus de 3 millions de tonnes de riz, 200 000 tonnes de maïs et 9 000 tonnes de blé à Madagascar. Maurice produit principalement du maïs. Les seychelles ne produisent quasiment pas de céréales. 
Le blé qui constitue une des matières premières principales dans l'industrie céréalière de la Commission de l'océan Indien ( COI) est totalement importé de pays hors COI. Seul Madagascar en produit mais reste majoritairement importateur. Le pain et la pâtisserie prennent de plus en plus de place dans la consommation des ménages, cela rend la région fortement dépendante de ses importations. 
Le riz qui est le produit le plus consommé au niveau régional est aussi importé, malgré une forte production à Madagascar, mais insuffisante pour les besoins alimentaires du pays. En général les îles principales de la COI ont au moins une minoterie pour couvrir une partie des besoins des entreprises locales (boulangerie, pâtisserie ...). 
Sur le plan régional, les principaux échanges à l'exportation sont: le riz de Madagascar vers les Comores, le maïs de Madagascar vers la Réunion ainsi que la farine de la Réunion et de Maurice vers Madagascar et les Comores. Aussi, l'exportation hors COI est presque nulle. 
Actuellement, le développement de la production de céréales est encore confronté à d'énormes problèmes. En effet, l'enclavement des zones de production céréalières dû au délabrement général des routes, le faible niveau d'équipements agricoles et d'utilisation d'intrants ne permettent pas une production à la hauteur des potentialités. 
Selon les enquêtes, les perspectives se situeraient essentiellement dans le développement de la production régionale ( essentiellement à Madagascar), visant à réduire la dépendance vis- à-vis de l'importation hors COI.


Midi Mada 14/12/2005
RATSIRAKA. Ses partisans l’attendent comme un Père Noël. Le retour de l’ancien chef d’Etat rencontre des difficultés diplomatiques et juridiques.
L’impossible extradition !

3 ans après sa condamnation à 10 ans de travaux forcés, Ratsiraka court toujours les rues parisiennes. Le plus tranquillement du monde, il fait son jogging matinal, fait acheter ses tickets de Pmu, reçoit ses visiteurs. Sans être inquiété. La police française met à sa disposition un léger détachement pour assurer sa sécurité : un officier et deux agents.
RCR

Autant dire que l’ancien chef d’Etat jouit d’une retraite paisible alors qu’il devrait théoriquement exécuter sa peine de prison ferme à Tsiafahy. Voilà en tout cas un pied de nez à la gouvernance du pays. Un affront à la justice et accessoirement aux magistrats. En effet, le gouvernement devrait logiquement lancer une demande d’extradition au pays hôte après avoir orchestré lui-même le simulacre de procès qui a condamné l’ancien président. Madagascar et la France étant liés par des accords de coopération. Le même gouvernement avait aussi commis un avocat pour défendre Didier Ratsiraka. Pour manifester le mépris qu’il affiche envers la justice et ceux qui l’ont manipulé, le "condamné" n’avait même pas fait appel de ce jugement. Il savait déjà à l’époque que la "chose jugée" n’aura aucune autorité. En fait, son extradition sera impossible. 
Justice aux ordres
La condamnation avait donc visiblement un objectif purement politique. Comme jadis, l’arrivée d’un nouveau roi est toujours suivie d’une immense purge et de vagues d’exil des anciens dirigeants. Les autorités savaient en effet pertinemment dès le début qu’elles n’allaient pas mettre à exécution la peine prononcée par une justice aux ordres. Par ailleurs, le pays d’accueil ne livrera jamais son hôte. A moins d’un revirement majeur. On en est loin aujourd’hui. Du coup, ceux qui sont sous le coup d’une peine judiciaire peuvent dormir tranquilles. Au moins jusqu’à la prochaine alternance. Et aussi à condition qu’ils vivent à l’étranger. A l’instar de Tantely Andrianarivo, Maharante Jean de Dieu, Gara Jean Robert, etc. Cette situation va à l’encontre du discours officiel. Elle montre que l’état de droit n’existe pas et que la bonne gouvernance est un vœu pieux. Pire, que la justice est manipulable à toutes fins utiles, notamment à des fins bassement politiques. Ce piètre état des lieux, 4 ans après le "dingana lehibe", semble ramener le pays 2 siècles en arrière. 


Xinhuanet 14/12/2005

Le FMI annule la dette contractée par Madagascar 
ANTANANARIVO, 13 décembre (XINHUANET) -- Le Fonds monétaire international (FMI) a confirmé l'annulation, début 2006, de la dette contractée auprès de lui par Madagascar et 37 autres pays pauvres, a-t-on appris mardi de source officielle. 
Cette annulation concerne 4,8 milliards de dollars. En confirmant l'annulation totale, le FMI devient le premier des trois organismes multilatéraux à concrétiser la décision prise en juillet dernier lors du sommet du G8 en Ecosse. Pour financer le coût de cette opération, le FMI a prévu d'utiliser, outre le fonds spécial créé grâce aux donations de 43 pays, les bénéfices de la vente d'une partie de ses réserves d'or entre 1999 et 2000. 
Rappelons qu'une délégation du FMI se trouve à l'heure actuelle à Madagascar pour examiner l'évolution des indicateurs macroéconomiques en vue d'une part de cette annulation totale et d'autre part de la poursuite des liens de coopération tissés entre le FMI et la société nationale malgache d'eau et d'électricité Jirama. 
2006 s'ouvrira sous de meilleurs auspices pour Madagascar. L'accord du FMI couvre les créances contractées auprès de l'organisation à la fin 2004. 
Parmi les autres pays bénéficiaires de cette décision du FMI figurent entre autres, le Bénin, la Bolivie, le Burkina Faso, la Zambie, l'Ouganda, le Cambodge, le Tadjikistan, l'Ethiopie, le Ghana, le Honduras, le Guyana, le Sénégal, le Nicaragua, le Rwanda, le Niger et le Mali. 
Il importe toutefois de noter que cette annulation de dette ne représente qu'environ 5% du montant total des plus de 56 milliards de dollars d'effacement prévu


Tribune 13/12/2005
Médias : Monde de la presse 
Toujours sous la menace 
De retour au pays vendredi dernier, après un long périple, le chef de l’Etat malgache Ravalomanana Marc a de nouveau réitéré sa menace à peine voilée à l’endroit des médias locaux. 
Bien que le ton ait baissé d’intensité, le locataire d’Ambohitsorohitra a toujours mis en garde les gens de la presse, tout en proposant des cours et des stages de formation aux journalistes. Il a de nouveau brandi l’appareil judiciaire comme un rouleau compresseur dans le but de professionnaliser les journalistes à son avis mais de les faire taire sinon de les rendre plus dociles clament certains concernés. 
En fait, du point de vue de quelques journalistes, l’objectif de l’opération est d’intimider les journalistes et d’influencer les patrons de presse pour qu’ils n’aient plus le courage de publier les dossiers accablants et les dérives du régime actuel. 
Des réunions importantes...
Devant cette menace permanente, les journalistes ainsi que les patrons de presse ne restent pas les bras croisés. En effet, le 15 décembre prochain, le Groupement des Editeurs de Presse d’Information de Madagascar (GEPIM), sous l’égide de Rahaga Ramaholimihaso, organisera un séminaire à l’endroit des journalistes sur le droit de la presse. Sur convocation de l’ordre des journalistes de Madagascar, les gens de la presse donneront rendez-vous à la Bibliothèque Nationale ce samedi. Ces deux réunions capitales seront une occasion pour le monde de la presse malgache de discuter la situation qui prévaut actuellement. Depuis la levée de la censure en 1989, la presse malgache n’a jamais été aussi menacée qu’à l’heure actuelle. Raison pour laquelle, pour l’intérêt général de la profession ainsi que le droit à l’information des citoyens, les journalistes et les patrons de presse se sont engagés à combattre toute forme de censure ou de menace et toutes entraves à l’exercice de leur métier. A noter que les associations et groupements de jourlaistes internationaux ont été déjà saisis de la menace qui pèse sur les médias malgaches. Toutefois pour apaiser la tension, le Collectif des associations des journalistes malgaches a demandé une audience auprès du président de la République. Mais, pour l’instant, cette demande n’a connu aucune suite. On verra la suite...
Alphonse M.


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Jeune Afrique 14/12/2005

La FAO accorde une assistance d'urgence contre la grippe aviaire à Madagascar  par XINHUA 
Le gouvernement malgache et l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) ont signé mercredi à Antananarivo un document de projet intitulé "Assistance d'urgence contre la grippe aviaire". 
Cette démarche fait preuve du fait que l'Etat malgache est sensible à ce risque, et prend les précautions qui s'imposent. 
A Madagascar, la majorité des foyers en milieu rural pratique l'élevage des volailles, élevage qui constitue une source de revenu d'appoint, et qui n'est guère organisé. Jusqu'ici, les mesures de prévention déjà mises en place par le gouvernement sont d'ordre juridique et sanitaire. En 2004, un décret porte sur l'interdiction des importations de volailles et de produits issus des espèces sensibles au virus de la grippe aviaire à partir des pays infectés. 
Il y a également l'obligation de désinfecter les conteneurs au niveau des ports de débarquement en 2004, le contrôle des entrées frauduleuses des volailles et produits issus des espèces sensibles au niveau des ports et des aéroports, la dénaturation des produits prohibés et des déchets alimentaires et des eaux grasses provenant des bateaux et des avions. En 2005, le renforcement des dispositions de contrôle vétérinaire, la mise en place d'un comité de pilotage de lutte contre la pandémie, l'élaboration d'un plan de lutte contre la pandémie et l'élaboration d'un plan d'urgence vétérinaire ont été initiés. 
Rappelons qu'aucun cas de grippe aviaire n'a été signalé à Madagascar jusqu'ici. 


La Gazette 14/12/2005

Visa à l’ambassade de France:Les queues, c’est fini ! 
Surprise hier dans les salles de rédaction en apprenant qu’à partir du 2 janvier 2006, le consulat de France à Antananarivo recevra les demandes de visa uniquement sur rendez-vous. C’est donc la fin des longues queues qui serpentent devant l’ambassade de France, à Ambatomena, scène vieille de plusieurs décennies déjà et qui est devenue familière à la population tananarivienne. Les services du consulat de France, apprend-on, ont réaménagé la disposition des salles et la nature du mobilier afin d’accueillir la nouvelle formule. 


AllAfrika.com  14/12/2005

Marché du carbone Madagascar, sans fonds ni projet
William Ras.   -   Midi Madagasikara (Antananarivo)
Selon les termes définis par le Protocole de Kyoto, les pays en développement peuvent réclamer des compensations financières sinon technologiques liées au commerce de carbone.
Mais les participants à la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques ne sont pas parvenus à définir les structures qui régissent le déblocage de fonds et les aides d'adaptation aux changements climatiques destinées aux pays moins avancés. Ainsi, les pays pauvres devront patienter, avant de voir se concrétiser les retombées du commerce de carbone.
L'absence du ministre malgache de l'Environnement, des Eaux et Forêts lors de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques signifierait-elle que les enjeux du Mécanisme de développement propre (MDP) et le marché des droits d'émission de carbone sont méconnus ou désintéressent les autorités de ce pays ?
Ils étaient 48 ministres et autres fonctionnaires gouvernementaux de haut rang - des décideurs politiques - de 180 pays à participer à ce sommet que les spécialistes qualifient d'historique, en matière de changement climatique.
Le rapport du séminaire international sur le MDP en avril, à Montréal, montre que le Bénin, l'Egypte, le Mali et le Maroc sont les seuls pays francophones en développement à avoir des projets en cours de validation, lesquels leur permettront de profiter du marché du carbone.
Madagascar fait partie des 14 pays en développement qui ont pu mettre en place une Autorité nationale désignée - en l'occurrence son ministère de l'Environnement, des Eaux et Forêts - qui coordonne les activités des institutions impliquées dans ce commerce. Cette structure est nécessaire pour procéder aux étapes ultimes des projets. L'Etat malgache projette de soumettre ses projets fin juin 2006.
Reboisement
Le marché du carbone est né du Protocole de Kyoto, entré en vigueur depuis le 16 février 2005. Il consiste à pouvoir commercialiser le droit d'émission de gaz carbonique (CO2) entre divers pays. Les fonds d'achats de carbone sont utilisés pour financer des projets de recyclage de déchets carboniques pour générer de l'énergie « propre ». Ils permettent aux pays bénéficiaires - les pays pauvres notamment - de s'adapter aux changements climatiques et de soutenir leurs plans de développement durable. Plusieurs pays dits moins avancés s'empressent de monter des projets afin de profiter de ces fonds destinés au transfert de technologies et d'industrialisation conformes au MDP.
Le domaine de prédilection de Madagascar est le reboisement. Dans son discours lors de cette conférence, l'ambassadeur de Madagascar au Canada et chef de la délégation malgache, SEM Florent Rakotoarisoa a fait savoir que la Grande Ile étendra ses aires protégées de 6 millions d'hectares d'ici à 2010.
Selon Germain Randriasandratana, point focal national de la convention-cadre des Nations Unies sur le changement climatique, la reforestation de la région de Zahamena Mantadia, est un projet bien avancé et qui a reçu l'appui des bailleurs de fonds. En outre, 9 autres projets sont en cours d'élaboration dont la culture de cannes à sucre dans la région de Farafangana, en vue de produire de l'éthanol. Cet alcool est un combustible non polluant, considéré comme une alternative aux hydrocarbures.
Problème
Dans la pratique, le MDP et le commerce de carbone sont beaucoup plus compliqués. A l'instar de Madagascar, les pays en développement espèrent le déblocage des fonds d'adaptation aux changements climatiques et des fonds aux pays les moins avancés.
Compte tenu de la diversité des fonds, le déblocage est devenu complexe. Les participants à la conférence ne sont pas parvenus à un accord total sur les modalités opérationnelles et les procédures de ces fonds d'adaptation sous le Protocole de Kyoto. Ce qui pose problème.
Dans l'immédiat, ces fonds constituent le principal enjeu de cette conférence pour les pays moins avancés, du moins pour Madagascar. Ils auraient apporté une bouffée d'oxygène et une dose de motivation à un pays préoccupé à survivre face aux ravages de la pauvreté. Ils auraient servi à financer l'élaboration de divers projets. Un des problèmes auxquels les autorités font face est justement de trouver les fonds nécessaires pour monter et ficeler les projets. S'il est vrai que le reboisement est lucratif, ce ne sera que dans un futur relativement lointain, quand les plants auront généré des espaces verts pour absorber du CO2.
Madagascar est encore en train de chercher sa voie, en matière d'énergie renouvelable. L'inaccessibilité à cette dernière, à cause de son coût, contraint la majorité de la population à utiliser le charbon de bois comme principal combustible. Cette pratique, ainsi que la culture sur brûlis, détériorent les forêts, en contrariété avec les efforts de reboisement et de protection de l'environnement.


Jeune Afrique 14/12/2005

Madagascar ratifie 10 conventions internationales contre le terrorisme  par XINHUA 
Madagascar est bien avancé dans la lutte contre le terrorisme avec la ratification jusqu'ici de 10 conventions internationales contre le terrorisme, a-t-on appris lundi de source officielle. 
Entre autres, on peut citer les conventions et protocoles contre le terrorisme et la criminalité transnationale organisée, la convention pour la capture illicite d'aéronefs, la convention pour la répression d'actes illicites dirigés contre la sécurité de l'aviation civile ... 
Sont en cours de ratification la convention internationale contre la prise d'otage, la convention sur la protection physique des matières nucléaires, la conventoin sur la prévention et la répression des infractions contre les personnes jouissant d'une protection internationale ainsi que la convention internationale pour la répression des actes de terrorisme nucléaire.


Tribune 14/12/2005

Affaire «dentisterie illégale»   Confusion entre extractions et soins dentaires ! 
L’affaire de cinq individus poursuivis par l’ordre des Odonto-Stomatologistes d’exercer illégalement la profession dentaire continue à nourrir les conversations tant chez les citoyens lambda que sur le milieu avéré. A rappeler que lors du procès de lundi dernier au palais de la justice à Anosy, les 3 médecins généralistes impliqués dans l’affaire “dentisterie illicite” ont catégoriquement nié l’accusation en se basant qu’aucune loi en vigueur stipule l’interdiction de la pratique des extractions dentaires chez les médecins généralistes. Présent devant la barre pour soutenir ses collègues, le représentant de l’Ordre des Médecins a mis le point sur la différence entre la pratique des extractions dentaires à celle de l’art dentaire bien qu’ils figurent tous deux dans le domaine de la stomatologie. Pour lui, les soins et l’exercice de l’art dentaire sont, certes, une profession réservée au corps des chirurgiens-dentistes mais les prescriptions du code de Santé Publique Malgache sont bien explicites au sujet de l’exercice illégal de l’art dentaire.
Une partie d’activité
Selon l’alinéa 1er de l’article 40 de l’Ordonnance n°62-072 du 12 octobre 1962 portant exercice illégal de l’art dentaire, est qualifiée avoir exercé illicitement la profession dentaire “toute personne qui, non munie du diplôme malgache ou français de docteur en médecine ou du diplôme de médecin de l’école de médecine de Tananarive ou de chirurgien-dentiste, prend part habituellement ou par direction suivie à la pratique de l’art dentaire”. Lors du procès , la plaidoierie de la défense a rappelé une partie du cursus des étudiants en médecine généraliste dont le stage est obligatoire auprès du Service Stomatologique avant qu’ils prêtent serment devant le buste d’Hyprocrate. Durant leur passage au Service Stomatologique, ils ont appris ce qu’il faut savoir sur les extractions dentaires et des généralités relatives à l’art dentaire. En cas de nécessité, il est déjà une tradition de voir un médecin généraliste pratiquer une partie des activités réservées à la profession d’infirmerie et de sage femme comme les petites chirurgies et l’accouchement. 
Interdépendance
De même, une partie du domaine réservé aux seules soins des spécialistes à l’exemple de chirurgien-dentiste n’échape pas à l’exercice légal des médecins généralistes. Ce qui permet à ces derniers d’exercer les extractions dentaires si l’orthopédie, détartrage, prothésite qui font partie de l’art dentaire sont exclusivement réservés au spécialiste qu’est le chirugien-dentiste. Tandis que la circoncision et l’extraction dentaire sont considérés comme des petites chirurgies. Actuellement, le domaine de la santé publique enregistre quatre grands ordres de corporation: Ordre des infirmiers, Ordre des sage-femmes, Ordre des médecins et Ordre des odonto-stomatologistes, qui se déclarent chacun être jaloux de leurs domaines spécifiques. Vu pourtant l’interdépendance voire l’imbrication de domaine sd’intervention de ces quatre corporations, on imagine mal que chacun d’entre eux ait constamment esté autre corporation “opposée” en justice à chaque moindre dépassement de plate-bande. En tout cas, à propos de cette affaire de “dentisterie illégale”, la justice prononcera son verdict le mardi 20 decembre prochain, ne serait-ce que pour lever la confusion entre l’extraction et l’art dentaire, chez le public. 
Adrien R.


Les Nouvelles 13/12/2005
Un million d’ha d’aires protégées nouvelles avant la fin de l’année
La création d’un million d’hectares d’aires protégées vers la fin de cette année est sur la bonne voie
La réalisation de l’objectif de la Vision de Durban, qui est de tripler la surface des aires protégées à six millions d’hectares, dont un million d’hectares seront acquis vers la fin de cette année est sur une bonne voie. C’est ce qu’a déclaré le directeur général de l’Angap, Guy Suzon Ramangason, en expliquant le déroulement de la procédure pour la création des aires protégées à Madagascar.
La procédure est basée sur un Système des aires protégées malgaches ou Sapm incluant le réseau national des aires protégées (Rnap) et les nouvelles aires protégées. Les textes relatifs à ce système et à la création des aires protégées ont déjà été remis entre les mains du gouvernement et seront soumis au Conseil pour être adoptés après la sortie d’un décret ministériel, qui sera tant attendue dans les prochains jours, a affirmé le ministre Charles Sylvain Rabotoarison afin d’avancer vers la prochaine étape qu’est la catégorisation des aires protégées. À cet effet, les aires protégées figurant dans le un million d’hectares seront par la suite déclarées avant la fin de cette année. 
Sur ce sujet, des noms sont déjà connus figurant dans le réseau national des aires protégées comme les aires protégées marines et côtières (APMC) de Sahamalaza et de Nosy Hara, la forêt Mikea, Anjozorobe, Marolambo-Fandriana-Ambositra en négociation, Daraina, la surface forestière de Makira située entre Maroantsetra et Antalaha, Menabe, le récif corralien de Toliara en étude… La création des aires protégées nécessite des formalités comportant les dossiers de délimitation du site, ce qui veut dire qu’aucun site ne doit jamais porter un nom car la dénomination est régie par le Code des aires protégées (Coap).
Selon toujours ce premier responsable de l’Angap, des formalités doivent être effectuées dans la procédure de la création des aires protégées, allant de la conception du projet de conservation et de la gestion des ressources naturelles, jusqu’à la délimitation du site en question en consultation avec les communes et fokontany. Les dossiers seront par la suite soumis à l’Etat pour être validés conformément au décret ministériel de l’Environnement, des eaux et forêts, de l’Energie et mines et de l’Agriculture et de l’élevage ainsi que du service des Domaines pour la gestion temporaire du site en question. «Les directives de la gestion temporaire sont claires et bien définies sur le droit d’usage et l’exploitation du site jusqu’à la sortie du décret définitif», a bien souligné le DG Guy Suzon Ramangason. 
Quant à la catégorisation des aires protégées, elle est faite par l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN). Il y figure six dénominations dont Madagascar possède trois à savoir les Réserves nationales intégrées (RNI) comme celles de Masoala, Tsaratanana et autres ; les parcs nationaux destinés au développement de l’écotourisme, et les réserves spéciales qui occupent moins de surface, nécessitant un aménagement et une restauration pour protéger les espèces. Les trois autres catégorisations concernent les monuments liés à la culture du site comme ceux d’Ambondrombe, Ankarana et autres ainsi que le paysage naturel. 
Bref, cette extension de la superficie des aires protégées constitue un énorme acquis pour la conservation. Elle supposera différentes approches allant des petits sites pour la protection d’habitats ou d’espèces rares aux grands blocs forestiers pour le maintien des processus génétiques ou la migration de la faune. En plus, elle devrait assurer un essor de l’écotourisme et la création d’emplois tout en renforçant la protection de la biodiversité et le maintien des processus écologiques
Noro Niaina

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SAMEDI 26 NOV 2005 à 15h

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Augustin ANDRIAMANANORO
Réalisateur Multimédia


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