Madavôvô 2006 

L'Année 2006 c'est l'année des Ouvertures..  ;   Joyeuses Fêtes de Noel à tous...

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Présentation au Roi du Maroc Sa Majesté le Roi Mohammed VI  des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana
Notons que la Présentation à Sa Majesté le Roi Mohammed VI des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana a précédé la visite présidentielle. Le programme de séjour présidentiel a été marqué, entre autres, par un entretien en tête-à-tête entre les deux chefs d’Etat, suivi d’une visite au Mausolée Mohammed V où le couple présidentiel a déposé des gerbes de fleurs sur les tombes de feu S.M. le Roi Mohammed V et feu S.M. le Roi Hassan II avant de signer le livre d’or....
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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Sommaire Madavôvô: 30 octobre  2006

BigNews. Le Sport est Roi ... 

Edito : "Sobika.com a 5 ans ! ... "

1. Le cacao malgache plus coopératif (Nosintsika)

2. Didier Ratsiraka : Complicité avec Marc Ravalomanana ?(LaGazette)

3.Taekwondo•Championnat France2006-Un Malgache sur la haute marche (Tribune)

4.La population malgache a quadruplé entre 1950 et 2000 (Wanadoo.mg)

5. Une femme... aux élections présidentielles à Madagascar (AngolaPress)

6. Le litchi de Mada:condamné à disparaître du marché international(Midi)

7. No Comment.... No Comment...

8.Exilés de Paris :vraiment à plaindre (Lagazette)

9.Tselatra: La foudre a encore frappé (LaGazette)

10.La Constitution permet trois mandats de 5 ans au président de la République (Les Nouvelles)

11.Diaspora réunionnaise à Madagascar: L’histoire reste mal connue (Tribune)

12. Le parc national d'Ankarafantsika continue à s'enfammer (Jeune Afrique)

13. Pierrot Rajaonarivelo. Manipulé ou exploité ? (Wanadoo.mg)

 

... Les Revues de presse plus bas !!!

30/10/2006

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.692.86 Ar 
USD 2.125.49 Ar 
GBP 4.020.04 Ar 
CHF 1.694.49 Ar 
JPY - Ar 
ZAR 282.27 Ar 
HKD 273.12 Ar 
Date Eur/Ar Date Eur/Ar
27/07 2731 30/09 2.697
28/05 2771 27/08 2722

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Derniers Messages de nos Petites Annonces         + Savoir plus >>          Les Contacts  >>

1)-  recherche un partenaire, avec la meme motivation et de creer un projet ensemble/  le but serai de developper un projet en commun - creer un projet: chacun apporte son savoir faire, ses competance, son capital,     contact Lucien

2)-Vend Ipod Nano 4Go jamais utilisé +kit complet+coque noir offert en cadeau le tout à 800.000 Ar ou 330 euro cont:+261331240607 ou+261331415660  Contact:  Tojo

3)-bonjour recherche investisseur pour pouvoir faire evoluer une entreprise qui tourne deja juste plus de stock ;tres lucratif clientele acquit . secteur de la distribution merci a vous salutations    Contact:  upmex import

4)-Venez profiter d'un endroit sympathique pour boire, manger ou organiser des fêtes non loin du site touristique historique culturel d'Ambohimanga à 20 km de Tana. Visitez le site www.cruscuits.com pour plus d'informations   Contact: Rahajaniaina

5)-Trano ahofa en cours de finition (dallage, loko, tuyauterie) raha misy proposition dia afaka miresaka Contact: Andrianasolo Renée

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Les Dossiers.

Théatre, La Peinture

Pourquoi insurection?

Big News... Le Sport est Roi,...

MADAGASCAR EN IMAGE            extraits de Madamaki.com


*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


L' Edito : « Sobika.com à 5 ans !! ...   » 

  Le week end du 6 Mai exactement, Sobika.com fêtait ses 5 ans d'existence sur internet. En effet, le 6 Mai 2001, sobika.com ouvrait sa première page web, alors hébergé sur ifrance.com et sous le nom bizarre "actutendance" ! Il s'en est passé des choses depuis, notre passion du web est devenue notre activité professionnelle à part entière mais notre plus grande fierté est d'avoir duré et de faire partie du quotidien de très nombreux internautes !

    Bien entendu, 5 ans ça se fête et nous vous donnons dejà rendez-vous cet automne pour s'éclater et danser toute  la nuit lors de la Grande Nuit Sobika spécial Vème anniversaire ! 

     Autre grande nouvelle, l'ouverture de Labootika.com le lundi 15 mai ! Ce nouveau site entièrement dédié au shopping malagasy remplacera la rubrique labootika de Sobika. Au menu de ce site, des nouveautés, des produits exclusifs et toujours notre rapidité de livraison pour mieux vous servir mais ce site e-commerce c'est aussi la volonté de montrer que Madagascar, c'est pas que des lémuriens et des baobabs !! Bref, notez donc dans votre agenda : Lundi 15 mai, (ré)ouverture de Labootika.com et à l'automne la Nuit Sobika 2006 !...   cliquez ici  >> 

 

                                  Niry Sobika 

... Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina", Niry Sobika a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance !      

                                                     Archive des Editos    (  ...  )          ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>


Nosintsika 30/10/2006
Le cacao malgache plus coopératif
Les paysans s'unissent pour contourner les intermédiaires et traiter avec les exportateurs.
«L es collecteurs trafiquaient les balances et mélangeaient nos récoltes. Maintenant, on contrôle mieux notre qualité et on gagne plus d'argent.» Ferdinand Jaomanoro est fier de présenter la coopérative de cacao Mandroso (En avant) qu'il préside. Installée à Ambalavelona, elle est la plus importante des onze coopératives récemment créées dans la région d'Ambanja, au nord du pays. Il montre caisses et claies de séchage, et garde précieusement les clés du local. «Nous sentons déjà les bénéfices», assure-t-il, satisfait d'avoir bouleversé le schéma de commercialisation d'un produit qui n'avait jamais été aussi en vogue à Madagascar. Tombozara, l'un des membres, a pu s'acheter un vélo ; d'autres une moto. Mais ce changement ne fait pas les affaires de tout le monde. «Chaque nuit, on se relaie pour surveiller notre cacao, raconte Ferdinand, onze personnes ont déjà été attaquées.» 
Incertitudes. Principaux suspects de ces intimidations, les collecteurs locaux, qui ont perdu un marché et dont le statut d'intermédiaire est menacé. En traitant directement avec l'exportateur, les petits paysans de la coopérative déstructurent le circuit de commercialisation. La part de telles associations est encore dérisoire, mais l'initiative inquiète autant qu'elle enthousiasme.
A 950 km de route au nord de la capitale Antananarivo, la zone produit la quasi-totalité des 4 000 tonnes de cacao malgache. Ces derniers mois, le prix d'achat a doublé de façon fulgurante. La mode du cacao malgache a fait passer sa valeur au-delà des cours mondiaux et certains gros clients vont acheter ailleurs. Dans ce contexte incertain, les pionniers des coopératives et leur option qualitative tirent, jusqu'ici, leur épingle du jeu. Question d'opportunisme ou de chance : juste après sa création en novembre 2004, la coopérative Mandroso reçoit la commande d'un important exportateur de la place, Ramanandraibe Exportation (Ramaex), à la recherche urgente de 250 tonnes «bio équitables» . Vendue prête au conditionnement, la marchandise sera achetée un tiers de plus que le prix du marché local. «Les paysans étaient dans leur droit. J'ai réussi à me convaincre qu'ils pouvaient représenter une source d'approvisionnement fiable cadrant bien avec notre nouvelle politique de qualité», explique Mamy Razakarivony, directeur de l'agence Ramaex d'Ambanja.
Les cultivateurs, qui s'arrêtaient traditionnellement à la phase d'écabossage, s'équipent pour assurer les étapes suivantes, fermentation, séchage et triage. Ils ne se précipitent plus pour refourguer leurs fèves immatures aux intermédiaires. Profitant de la structure de l'Association pour le développement agricole et artisanal du Sambirano et du soutien de l'Afdi (Agriculteurs français pour de développement international), ils s'organisent et prennent les décisions en commun.
«Etourderies». Leur cacao obtient un temps le label «bio équitable» délivré par Ecocert. Des carnets de collecte répertorient les contributions de chacun et assurent la traçabilité du produit. Les membres se démènent pour financer un animateur comptable chargé d'assurer une gestion complexe, parfois confiée à des illettrés et sujette aux «étourderies», selon Tombozara. On se fait confiance mutuellement, même si, à Ambalavelona, «ceux du lundi ne travaillent pas assez» , d'après le président, et si d'autres ont déjà été exclus.
Aujourd'hui, la coopérative, deuxième fournisseur en qualité, assure plus du quart de l'activité de Ramaex. On se presse de la rejoindre et de l'imiter. Elle est passée de 37 à 61 membres, et a fait des émules dans la région. Mais, si Mandroso a eu un temps d'avance et bénéficié d'un contexte favorable, la crise qui couve n'offre pas de garanties pour tout le monde. Alors que les prix ont doublé, la prime offerte aux coopératives ­ fixe et donc insensible à la valeur du marché ­ a perdu un peu de son attrait. L'augmentation des tarifs risque de détourner de nombreux clients du marché malgache.
Dans les nouvelles coopératives, en attente de contrat et accumulant les stocks, on peut se demander si l'on a bien fait de jouer la carte collective plutôt que de profiter du boom économique. Le nouveau système est encore fragile et la disparition des collecteurs n'est pas à l'ordre du jour. Ferdinand Jaomanomoro reste pourtant confiant car il est persuadé de connaître le secret. «L'important, c'est la qualité, c'est ça qui fait monter les prix.»

Par Pierre BLAISE - QUOTIDIEN - Madagascar correspondance 
http://www.liberation.fr/actualite/economie/198811.FR.php


La Gazette 30/10/206
Didier Ratsiraka : Complicité avec Marc Ravalomanana ? - Rolly M. 
Didier Ratsiraka, de son exil parisien, garde le mutisme. 
En effet, profitant de son statut l’interdisant de « commettre, à partir de la terre française, des actions visant à déstabiliser un pays ami de la France » (selon une déclaration de Jacques Chirac), l’amiral n’a plus fait des déclarations publiques sur les affaires nationales. Sa dernière intervention, sur une chaîne de télévision française (LCI), remonte au lendemain de sa condamnation (août 2004), par la Justice malgache, à 10 ans de travaux forcés pour détournement de deniers publics. 
Néanmoins, ses amis dans le pays ne semblent point chômer. En effet, comme par miracle, Ange Andrianarisoa et Simon Pierre, ces derniers temps, se mobilisent. Des interventions pour, essentiellement, égratigner Pierrot Rajaonarivelo. En clair, ces caciques de l’Arema, refont actuellement surface, et sont les porte-parole de Didier Ratsiraka. 
En face, Marc Ravalomanana épargne de toutes critiques Didier Ratsiraka. Tout laisse donc à penser que l’amiral ménage son prédécesseur. 


Tribune 26/10/2006
Taekwondo • Championnat de France 2006 - Un Malgache sur la haute marche - Rata
Une étoile malgache brille sous d’autres cieux. Ako Randrianisa, un jeune combattant malgache vient d’être sacré champion de France de la catégorie benjamine des moins de 34kg. Ce nom que bon nombre de ses compatriotes ignorent, fait actuellement la fierté de la ville d’Arcueil (France) et surtout de la section taekwondo du club de la cité, le Cosma. 
En effet, ce jeune malgache figure parmi les champions de France qui ont éclos sur les tatamis arcueillais. Le club de cette ville française a réussi à placer deux combattants sur le toit du taekwondo français et autant également sur la seconde marche du podium national. Ako Randrianisa est ainsi entre de bonnes mains, ce qui laisse entrevoir un avenir meilleur pour sa carrière sportive. Son palmarès étoffé qui fait pâlir d’envie plus d’uns conforte d’avantage cet optimisme. Jugez-en. Champion départemental du Val-de-Marne, champion île de France, médaillé de bronze à l’Open international de Montpellier et récemment champion de France. Des titres que Ako Randrianisa, malgré son jeune âge, ont déja mis dans son escarcelle.
A part ce prodige, quelques-uns de ses compatriotes font également le bonheur d’Arcueil. Il s’agit d’un autre combattant, Andriandalaorivony Tsiorisoa qui l’année dernière évoluait dans la catégorie des pupilles du Cosma et du footballeur Mitch Rasamoely. Ce dernier excelle en futsal dans l’équipe de Vision Nova, championne île de France de la catégorie sénior, et il est sélectionné tout comme ses deux coéquipiers du club pour jouer en équipe de France. Le sport, un support pour véhiculer l’image d’un pays et les sportifs comme véritable ambassadeurs, la notoriété de ces Malgaches constitue la preuve.   


Jeune Afrique 24/10/2006
La population malgache a quadruplé entre 1950 et 2000 - par XINHUA 
Au début du XXe siècle, Madagascar comptait moins de 2 millions d'habitants, contre 5 millions en 1958, 10 millions en 1985 et 16 millions en 2000, soit quadruple en 50 ans, selon la revue malgache "Tsingy". 
Différents facteurs expliquent cette évolution : la fécondité, la mortalité, la santé, la nuptialité, en accordant une place importante aux contextes politiques, économiques et sociaux. 
La première raison est la baisse du taux de mortalité des enfants et la diminution de la fé condité depuis 1997. Les chercheurs ont mis en avant un ensemble de facteurs contextuels qui dépasse la sphère économique. "Il semble que la transition démographique est amorcée à Madagascar mais que le processus sera d'autant plus long que le développement économique tarde à venir", toujours selon la revue. 
Madagascar figurait, jusqu'à ces dernières années, parmi les pays qui résistaient à la baisse de la fécondité. Le niveau de la fécondité avait relativement peu varié entre 1966 et la fin des années 1990. Estimé à 6,6 enfants par femme en 1966, le taux de fécondité n'a franchi le seuil de 6 enfants que très récemment, pour arriver à 5,2 enfants par femme. 


AngolaPress 25/10/2006

Une femme se présente aux élections présidentielles à Madagascar
Une deuxième présidente de la République en Afrique ? C`est ce qui pourrait arriver le 03 décembre, date des élections présidentielles à Madagascar, avec la candidature d`Elia Ravelomanantsoa.

Femme issue du secteur privé et de la société civile : À 46 ans, Elia Ravelomanantsoa est une femme déterminée.
Connue à Madagascar pour ses nombreuses actions humanitaires, entre autres avec le Ratary, dont elle est la fondatrice d`un des principaux clubs (le ROTARY IVANDRY), elle est surtout Présidente des Femmes Entrepreneurs de Madagascar (FEM), mais aussi vice présidente du Carrefour des Entrepreneurs Français, association qui regroupe près de 300 PME dans l`Océan Indien.
Issue du secteur privé ; Elle est présidente du groupe de communication SYNERGY-FCB, 1ère agence d`événementiel à Madagascar et qui fait parti du réseau FCB worldwide. Elle produit le salon E-bit des nouvelles technologies, le salon BtoB, ou encore depuis 15 ans le salon de la mode et de l`industrie du textile (à ce titre elle a grandement favorisé à l`époque la création des zones franches textile de Madagascar)
Du côté politique, elle possède un grand avantage : si elle a toujours fréquenté les milieux politiques en `back office` ou a fait partie du gouvernorat de Tananarive, elle bénéficie d`une image `vierge` aux yeux de la population, non entaché soit d`affaires, soit d`un passé politique marqué comme la plupart des 13 autres candidats, tous des hommes.
Pour ces élections, Elia Ravelomanantsoa n`a pas créé de parti, mais un `mouvement`; afin de mieux poser la rupture avec le pouvoir en place, et appelant « Toutes les forces, associations ou autres partis à s`y joindre pour soutenir le changement ».

Le réseau TOPI, le plus important réseau laïc de l`église chrétienne réformée a décidé de soutenir Elia - ce réseau regroupe plus de 4.000 églises réparties sur l`ensemble du territoire de Madagascar !
Le G5, l`association des natifs des 5 provinces de Madagascar, dont on attendait la décision, a décidé de se ranger derrière Elia Ravelomanantsoa et de soutenir sa candidature.
Le G5 est la seule association qui regroupe les cinq provinces de Madagascar. (Il y a 6 province à Madagascar : les 5 provinces côtières et celle de Tana - les hauts plateaux). On s`attendait plutôt à ce que cette association soutienne un côtier, mais pourtant leur choix s`est porté officiellement et publiquement sur Elia Ravelomanantsoa, originaire des hauts-plateaux.
Elia Ravelomanantsoa est la candidate qui a le plus d`articles à Madagascar : plus de 80 articles en un peu plus d`un mois ! !
Talonnant de près le président sortant Marc Ravalomanana dans les sondages, Elia Ravelomanantsoa pourrait bien devenir la deuxième femme présidente d`Afrique ! . . .


Midi Madagasikara 23 Octobre 2006
Le litchi de Madagascar est condamné à disparaître du marché international.

 La concurrence avec l'Afrique du Sud, entre autres, devient de plus en plus rude. Cependant, il n'y a que sept sur les 40 sociétés opérant dans cette filière, qui s'engagent à investir pour sa restructuration, en respectant les normes et la qualité internationales, en partenariat avec le MCA-Madagascar, a évoqué Faly Rasamimanana, président de la Plate-forme de Concertation sur le litchi de Madagascar.
L'objectif de cette restructuration consiste à délaisser la méthode de collecte sauvage, le respect de l'hygiène allant de la cueillette, en passant par le triage jusqu'au conditionnement du fruit. « Nous devons être en mesure de présenter notre produit, tout en identifiant son origine du moins au niveau des communes », a souligné Faly Rasaminanana. C'est pourquoi des points de vente pilote sont installés dans les régions Atsinanana et Analanjirofo et qui seront opérationnels dès l'ouverture de la campagne de collecte de litchi de cette année.
Il s'agit d'un lieu de contrôle officiel du produit provenant des planteurs, effectué par les autorités régionales, avant son acquisition par les collecteurs. Une telle action permettra de réduire l'écart de triage de produit destiné à l'exportation. Dans la foulée, les producteurs n'ont pas non plus besoin de commercialiser leur litchi au bord de la route, grâce à la mise en place de ces points de vente.
Obstacles au développement
Si certains opérateurs reconnaissent la nécessité du respect des normes et qualité du produit exportable, d'autres refusent carrément d'y procéder, alors que c'est l'image du produit de la Grande île qui est en jeu. Ce qui montre bel et bien que des opérateurs eux-mêmes font obstacle au développement de ce secteur malgré la ferme volonté de leurs pairs de les solliciter pour un intérêt commun, et ce, en raison d'un problème de mentalité, a dénoncé Faly Rasaminanana. Par ailleurs, il est à souligner qu'une plate-forme regroupant les importateurs et les exportateurs de litchi est installée en vue d'harmoniser les actions à entreprendre par les deux parties.
Il s'agit notamment de coordonner l'arrivée des bateaux transportant le produit au départ de Madagascar vers l'Europe et de les acheminer vers les différents ports afin d'éviter la chute brusque de son prix dû à son abondance à destination. L'an dernier, le prix du litchi chutait à 0,30 Euro, valeur FOB pour le deuxième bateau arrivé en Europe, alors que le coût du carton pour le conditionner valait 0,20 Euro. La différence évaluée à 280 Ariary ne permet pas d'acheter le litchi auprès des planteurs, qui coûtait 600 Ar/kg, a-t-on expliqué.

Navalona R.


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La Gazette 30/10/06
Exilés de Paris :vraiment à plaindre - Adelson RAZAFY 
Cet intellectuel racé, diplômé de la prestigieuse Ecole Polytechnique de Paris, avait tout naturellement rejoint le camp de l’amiral lors de la crise de 2002, et compte parmi ceux qui ont fui le pays en catastrophe, en juillet 2002. Aucune poursuite judiciaire particulière n’a été lancée à son endroit, mais de crainte d’être arrêté et interné à son retour au pays, il préfère stationner en France parmi les « exilés ». 
Lors du décès de sa mère, et comme son père n’est plus de ce monde, José Andrianoelison aurait dû accourir au pays pour assumer ses charges et rendre un dernier hommage à celle qui lui a donné le jour. Mais étiqueté, suite à l’affaire de 2002 et figurant peut-être sur une liste noire, il a opté pour la prudence et a dû, la mort dans l’âme, faire une croix sur le voyage d’Antananarivo. Rappelons d’ailleurs le cas d’Azaly Ben Marofo, contrôleur général de Police et ministre de la Sécurité publique de l’amiral qui fut fort désagréablement surpris en mettant le pied au pays en 2003. Croyant à l’apaisement alors qu’il s’était réfugié aux Comores, il revint au pays de son propre chef mais fut à sa descente d’avion accueilli par des éléments de la Gendarmerie nationale. Interrogé dans un premier temps à la Police des frontières, il fut interné à la caserne de Gendarmerie de Betongolo pour complément d’enquête. Inculpé finalement d’atteinte à la sûreté de l’Etat, il fut condamné et jeté à la prison d’Antanimora. En raison de son état de santé, il eut le plus grand mal à supporter les conditions d’incarcération dans cette maison d’arrêt de triste réputation. Il s’adressa donc au chef d’Etat, Marc Ravalomanana, même si une telle démarche a dû en coûter à sa fierté, et fut le premier bénéficiaire de la grâce présidentielle, instaurée à l’intention des condamnés de 2002. 
L’exemple d’Azaly Ben Marofo a horrifié les exilés de Paris et les dissuade jusqu’à maintenant de revenir au pays. Ce n’est d’ailleurs pas tout le remue-ménage fait récemment autour de l’arrivée de Pierrot Rajaonarivelo qui pourrait les exhorter à prendre le chemin du retour.
On plaindra ces exilés qui ne peuvent retourner au pays pour assumer leurs ultimes devoirs filiaux. On signalera qu’en cas de décès et si l’un des enfants du disparu réside à l’étranger, la famille retarde volontairement l’inhumation afin de permettre à l’absent de rallier le pays. La situation actuelle ne permet pas d’honorer les devoirs familiaux envers un proche décédé, et engendre des conditions contraires aux coutumes et aux traditions malgaches. José Andrianoelison n’est d’ailleurs pas le seul à faillir à ses obligations pour la raison déjà citée. L’ex-Premier ministre, Tantely Andrianarivo, ne put enterrer ni sa belle-mère ni son père morts au pays, il en va de même de l’ex-ministre de l’Aménagement du Territoire, Herivelona Ramanantsoa, qui a perdu un frère, avocat à Fianarantsoa, de Céline Ratsiraka dont la sœur Yolande Velonjara est décédée, de l’ex-ministre de l’Intérieur, Ampy Portos, dont la mère et le frère cadet sont passés de vie à trépas, etc.
Si par malheur l’un des exilés de Paris meurt, le transfert au pays de sa dépouille sera probablement refusé par les autorités actuelles. Car l’inimitié est tellement tenace qu’elle perdure au-delà de la mort… On donnera raison à ceux qui prônent la réconciliation et l’amnistie, car un tel phénomène est tout à fait contraire aux valeurs malgaches, fondées sur le « fihavanana ». S’il faut autoriser les exilés à remplir leurs devoirs familiaux en cas de décès d’un proche, ce sont surtout les rancoeurs et les amertumes de 2002 qu’il faut… enterrer. 


La Gazette 30/10/06
Tselatra: La foudre a encore frappé - Faly R. 
La foudre s’est abattue à Mandriambero Ambohidratrimo, vendredi dernier avec le concert du groupe Tselatra qui s’est tenu au SK Melody. Les fans ont encore répondu à leur appel et ils étaient nombreux à venir assister à l’événement. Malheureusement, cela n’a pas duré longtemps comme ils espéraient car le show s’est terminé vers deux heures du matin. 
« Bandy Kely » et les autres morceaux se sont succédé avec succès et la foule était plus que satisfaite dans l’ensemble car il faut dire qu’Eric sait comment chauffer l’ambiance dans une salle bourrée de monde. 
Par ailleurs, il faut également souligner que le groupe se produira encore à Antsahamanitra ce dimanche avec Bismak, qui n’est autre qu’Annick, la chanteuse et guitariste du groupe Dillie. 
Ce sera également un rendez-vous à ne pas manquer car ce n’est pas tous les jours qu’Annick, qui réside actuellement en France, passe quelques jours dans la grande Ile. Mais ceci est encore une toute autre histoire que nous n’allons pas manquer de vous en parler ultérieurement.


Les Nouvelles 28/10/2006

La Constitution permet trois mandats de 5 ans au président de la République
La Constitution prévoit trois mandats pour le président de la République
Deux ou trois mandats pour le chef de l’Etat ? Cette question divise les politiciens, surtout ceux qui veulent participer à l’élection présidentielle. Jean Eric Rakotoarisoa, un constitutionnaliste, avance que c’est la Constitution elle-même qui établit cette règle. Certains candidats n’écartent pas les dangers qui pourraient en découler. 
L’article 45 de la Constitution de septembre 1992, révisé le 8 avril 1998, concernant le mandat du président de la République est généralement méconnu du grand public alors qu’il peut avoir son importance lors des débats sur les présidentielles. Selon Jean Eric Rakotoarisoa, spécialiste de Droit constituionnel, lors d’une interview accordée à Mandresy Nivoarimalala sur la Radio Alliance 92, «le mandat du président de la république est renouvelable deux fois (…) ce qui fait au total 15 ans puisqu'on a un mandat de cinq ans. Effectivement il y a des confusions à l'heure actuelle sur certains cas pour un seul mandat renouvelable. Initialement dans la Constitution de la 3ème République, en 1992, c'était un mandat de cinq ans renouvelable. Et depuis la révision constitutionnelle de 1998, c'est deux mandats renouvelables».
En clair, cet article souligne que le chef de l’Etat est rééligible deux fois pour un mandat de cinq ans. C’est-à-dire que, dans l’hypothèse où il est élu une fois, il peut se présenter à la course à la présidentielle deux fois de plus. 
Voici ce que disent les textes : «le Président de la République est élu au suffrage universel direct pour un mandat de cinq ans ; il est rééligible deux fois». La version malgache est plus explicite : «Fidina hiasa dimy taona amin'ny alàlan'ny latsabato ataon'ny daholobe ny Filohan'ny Repoblika ; aorian'izay dia mbola azo fidina indroa izy».
Effusion de sang 
Si ce passage de la Constitution favorise plutôt les tenants du pouvoir, il suscite la méfiance chez les autres prétendants à la magistrature suprême. James Ratsima, proche de Daniel Rajakoba, parle d’un danger. «Je crois que deux mandats sont suffisants. Au troisième, il y a un risque d’usure du pouvoir de la part de celui qui le détient. La dérive à la dictature n’est pas à écarter», a argumenté le politicien. «Ce n’est pas étonnant qu’aux Etats-Unis, la plus grande démocratie du monde, le mandat sont limité à deux ans», a-t-il ajouté. 
La réaction de Jean Lahiniriko, autre candidat à la présidentielle, ne s’éloigne pas de cette idée. «Trois mandats, c’est trop. La République s’exprime non seulement par la continuité mais aussi par l’alternance. L’expérience nous a montré que lorsque un président de la République reste trop longtemps à son poste, cela se termine par une effusion de sang», a argumenté l’ancien président de l’Assemblée nationale.
L’article 45 de la Constitution ne suscite pas autant de réactions chez les tenants du pouvoir. D’ailleurs, ils déclarent que le régime se focalise avant tout sur le deuxième mandat du président de la République actuel. «Aucun indice ne montre que le chef de l’Etat veut faire un troisième mandat au cas où il serait élu pour un deuxième. Les différentes politiques initiées par Marc Ravalomanana, comme le Madagascar action plan (Map), se terminent avant la fin de son deuxième mandat. Je crois que cette décision dépendra de la conjoncture», s’est exprimé Harinaivo Randrianatoandro, un membre du bureau du parti présidentiel Tiako i Madagasikara (Tim).
Seul Didier Ratsiraka a pu rester plus de quinze ans au poste de président de République. Zafy Albert, désigné comme le père de la troisième République, n’a fait que quatre ans. Devenu chef de l’Etat en 1992, il fut par la suite «empêché» en 1996. Certaines sources prétendent que c’est l’article 45 de la Constitution qui était la source de conflits entre Didier Ratsiraka et Pierrot Rajaonarivelo, secrétaire national de l’Arema, conduisant à l’implosion du parti et à la crise de 2002. Ce qui, quelque part, pourrait confirmer les arguments des candidats au 3 décembre qui semblent être unanimes sur les inconvénients des trois mandats du chef de l’Etat.
Sitraka Razafimahefa


Tribune 26/10/2006
Diaspora réunionnaise à Madagascar: L’histoire reste mal connue 
Réunionnais à Madagascar, quelle aventure diront certains. Pourtant, depuis le 19e siècle, des générations de Réunionnais sont allées vivre sur la Grande Île, par choix, en quête de l’eldorado, ou par affiliation conjugale. 
Aujourd’hui encore, l’histoire de la diaspora réunionnaise à Madagascar reste mal connue. Peut-être que son témoignage débusquera tous les préjugés, et qu’enfin revive le lien entre nos deux pays. 
À la SMER, Société mutuelle d’entraide des Réunionnais, Harry Langlois, né à Tana, aide les nouveaux arrivants à s’intégrer plus facilement. Pour lui, il est impératif que les Réunionnais reconsidèrent leur point de vue sur la Grande Ile et sur le peuple malgache. Les amertumes du passé ne doivent pas ternir les relations nouvelles entre Madagascar et La Réunion. Cette association qu’il gère a été constituée le 29 janvier 1947, sous le nom d’association d’entraide des Réunionnais de Madagascar. Aujourd’hui, cette association gère un patrimoine immobilier conséquent, principalement sur Antananarivo, mais également dans les provinces. Le bâtiment qui accueille ses bureaux se situe face à la rue de La Réunion, jouxtant les locaux de l’antenne de la Région Réunion à Madagascar. Il date de la fin des années 1950. L’histoire des Réunionnais de Madagascar passe forcément par ces murs. Dans ses premières années d’existence, la SMER était une maison de transit, notamment pour les Réunionnais de la Sakay. On pouvait s’y restaurer. Repas créole. Une salle de fêtes se situait au premier étage de la bâtisse. Sûr que des grands de la chanson réunionnaise y sont passés. Bal séga, animations diverses. C’était le bon temps. Lors des événements de 1972, la SMER s’occupera de l’évacuation des Réunionnais de la Sakay. Maison de transit toujours, mais pour un vaste programme de retour à La Réunion. Rares sont ceux qui s’expriment sur cet épisode douloureux. Harry Langlois n’en touchera mots. Il précise cependant que c’était corvéable, et que la situation de l’association en sera toute chamboulée. Pour faire vivre son patrimoine, la SMER deviendra pendant longtemps l’internat du lycée français. A la fin des années 1990, François Caillé y installa ses affaires. Ainsi, malgré les événements, cette association a su garder la tête haute, et son patrimoine reste notable. Elle dispose notamment d’un centre de loisirs, le Club du Car, proposant sport divers, comme l’équitation, le tennis, la natation, etc. où les Réunionnais notamment disposent d’un cadre convivial pour se retrouver. Aujourd’hui encore, le Réunionnais qui s’installe à Madagascar peut y trouver conseil, et assistance sociale si besoin est. « Depuis 2006, les assistés sont enregistrés à une mutuelle pour l’accès aux soins », précisait Harry Langlois. Mais depuis longtemps, l’association se charge de la distribution de vivres et du remboursement des médicaments, notamment pour les Réunionnais et descendants de Réunionnais. Certains ont été abandonnés par leur famille. C’est à qui un père réunionnais qui abandonnait femme et enfants, pour retrouver le confort franco-réunionnais. C’est à qui une mère repartie vivre au pays, « oubliant » un enfant resté sur l’île rouge. Bref ! La SMER apporte assistance à ces femmes de Réunionnais et à leurs enfants. Par ailleurs, elle initie un projet éducatif, pour l’enseignement du français. L’accès à l’éducation est encore incertain à Madagascar, surtout lorsque le niveau de vie reste bas. 
Des projets, il y en a. Les Réunionnais qui souhaitent s’installer à Madagascar pour affaires ou par affiliations conjugales ne doivent pas faire l’impasse sur cette opportunité. Harry Langlois appelle tous les « ressortissants » réunionnais à prendre contact avec l’association qu’il dirige. L’adhésion ne coûte que 10 000 ariary l’an, soit à peine 4 euros. Elle regroupe des Réunionnais et descendants de Réunionnais, éparpillés dans l’île, à Antananarivo, à Antsiranana, à Toliara, à Fianarantsoa, à Toamasina... Bref, un peu partout dans l’île. 
Journal « Témoignages » (23 octobre 2006) 


Jeune Afrique 23/10/2006
Le parc national d'Ankarafantsika continue à s'enfammer - par XINHUA 
Le parc national d'Ankarafantsika situé dans le nord-ouest de Madagascar continue de s'enfammer depuis le 28 septembre dernier jusqu'à ce jour, a rapporté samedi la presse malgache. 
Site touristique par excellence, le parc d' Ankarafantsika risque de perdre sa notoriété. Malgré la lutte acharnée menée par les agents de l'Association nationale pour la gestion des aires protégées (Angap) et la communauté locale, appuyés par des éléments de la gendarmerie et de l'Armée malgache, le feu continue. 
Dépassés par la situation, les responsables de l'Angap comptent appeler un renfort auprès du président de la délégation spéciale (gouverneur) de la province de Mahajanga (nord-ouest). L'envoi des militaires sur les lieux s'avère nécessaire pour préserver les ressources naturelles que recèle ce parc national. 
Le 9 octobre, 900 ha de superficie ont ét é brûlés. 95% sont des forêts secondaires et 5% de la savane. Le 14 octobre, 1 600 ha environ ont été détruits. Le pire est de constater que le feu commence à envahir les forêts primaires. A la même date, 240 ha ont été touchés, selon la presse. 
L'origine de ce incendie n'est pas encore dé terminée. 


Wanadoo.mg 24/10/2006
Pierrot Rajaonarivelo. Manipulé ou exploité ?
Après avoir été rejetée par la Huate Cour Constitutionnelle (HCC) la candidature de Pierrot Rajaonarivelo continue d'alimenter les discussions au sein du microcosme politique. 
Certains observateurs commencent à se demander jusqu'où iront ceux qui entourent l'ancien vice-premier ministre ? 
Tout le monde sait que les décisions de la HCC sont sans appel et se demande à quoi sert ce tapage. Est-ce une "façon légale" d'augmenter les honoraires d'un client totalement dépassé par les événements alors qu'on ne l'a pas du tout aidé lors de la présentatiojn de son dossier de candidature à la HCC sans la légalisation de la signature du prétendant par le chef du district. Quand on veut réunir des personnes en leur faisant parcourir des centaines de milliers de kilomètres de leurs lieux de domicile avec comme promesse 1 million d'Ariary et plus et que celles-ci ne reçoivent que 5000 Ariary et sans titre de transport pour le retour on est en droit de se demander où a atterri l'argent du sponsor, c'est-à-dire l'intéressé lui-même qui alimente "à fond la caisse" des faiseurs de rumeurs et autres inventeurs de faits médiatisés. 
Enfin voilà des candidats qui attendent jusqu'à la dernière minute pour déposer leurs dossiers à la HCC. Le secret de polichinelle n'est-il pas deviné sur celui qui paie la caution et les fonds pour les prochaines campagnes ? 
Pierrot Rajaonarivelo est-il manipulé, exploité voire spolié par un entourage avide qui le guide vers l'impasse et quand il sera complètement essoré, ce même entourage n'héistera pas à l'abandonner comme une vieille chaussette. 
Mais une chose est sûre: la "victime" est consentante. 
Gérard Christian   ©Le Quotidien 


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