LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...

... Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Shoan  a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.Merci d'avance!                ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>                                       ... Lister  tous les Editos

Le Monde 02/08/2007

Nouveau record historique du prix du baril de pétrole à New York -LEMONDE.FR avec AFP et Reuters 
Le brut léger américain s'est hissé mercredi à 78,77 dollars le baril après l'annonce d'une baisse plus forte que prévu des stocks aux Etats-Unis. Le précédent record datait du 14 juillet 2006, en pleine offensive israélienne au Liban.

Après l'annonce d'une baisse plus forte qu'attendu des stocks de brut aux Etats-Unis, les cours du pétrole ont atteint un niveau historique sur le marché américain, mercredi 1er août. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le cours du baril de "light sweet crude", le brut léger américain, principale référence du marché, pour livraison en septembre, s'est hissé à 78,77 dollars, dépassant ainsi le record enregistré un an et demi plus tôt en pleine offensive militaire israélienne au Liban (à 78,40 dollars, le 14 juillet 2006). Les prix avaient déjà flambé mardi en prévision de l'annonce d'une diminution des stocks. Mais les chiffres publiés mercredi par le département américain à l'énergie sont beaucoup plus importants que prévu : les stocks de brut ont diminué de 6,5

millions de barils pour revenir à 344,5 millions alors que les analystes tablaient sur une baisse de 700 000 (selon les analystes de Reuters), à 1,13 million de barils (selon l'AFP). 
Au cours des deux derniers mois, les prix du pétrole ont grimpé de plus de douze dollars à Londres comme à New York. Mercredi, au même moment, le brent à Londres était cependant en baisse, perdant 60 cents, à 76,45 dollars.

Jeune Afrique 31/07/07

Madagascar classe son "allée des baobabs" pour la protéger  - AFP 

Le gouvernement malgache a décrété samedi "zone de protection temporaire" l'"Allée des baobabs", haut site touristique de Madagascar qui s'étend sur 320 hectares dans le sud-ouest de la Grande Ile.  "C'est un signal fort pour impliquer les riverains (dans la gestion) durable de leurs ressources naturelles, qui peuvent devenir un levier de développement", a expliqué à l'AFP le ministre malgache de l'Environnement, Bernard Koto, lors de la cérémonie de signature du décret de classement, tenue sur le lieu même du site, à une vingtaine de kilomètres de Morondava (700 km au sud-ouest d'Antananarivo).

"On ne peut imaginer une valorisation efficace et pérenne du site sans la participation des communautés, qui sont les acteurs et les bénéficiaires de cette conservation", a-t-il ajouté. 
Le site inclut la vingtaine d'arbres alignés sur l'allée des baobabs et devrait ensuite être classé "monument naturel". 
Ce nouveau statut va permettre à l'organisation non gouvernementale malgache Fanamby ("Le défi") de gérer le site, afin de lutter contre la pauvreté tout en protégeant les baobabs. 
"Il y a quelques années, les paysans ont commencé à faire des rizières dans la zone", selon Paul Raonintsoa, directeur régional de Fanamby. "Si les baobabs aiment l'humidité, ils n'ont pas besoin d'avoir les pieds dans l'eau", a-t-il ajouté, expliquant qu'un arbre est tombé il y a deux ans. 
L'objectif est désormais que les rizières se développent plus loin du site mais aussi d'apporter de nouvelles ressources aux paysans grâce au tourisme. 
Le site est l'un des plus visité de Madagascar. Six des huit variétés de baobabs recensées dans le monde sont endémiques à Madagascar. 

Wanadoo.mg 01/08/07

JIOI 2007. Toamasina se prépare à accueillir la flamme des Jeux 
C'est l'effervescence actuellement à Toamasina. 

En effet, la ville du Grand Port se prépare à accueillir la flamme des Jeux 7e édition, ce samedi 4 août 2007. Un comité ad hoc dirigé par le Chef de région Julien Andriamorasata, le Pds Gervais Rakotomanana et le Directeur interrégional de la Jeunesse et des Sports Laurent Rabarivelo, a été mis sur pied pour organiser les préparatifs d'accueil. 

Recueillis par Alain Rakotomavo  ©Le Quotidien 

Xinhuanet.com 31/07/2007

Des centaines de taudis démolis à Antananarivo - (XINHUA) 

Dans le cadre d'une vaste opération d'assainissement, des centaines de taudis ont été détruits dans la capitale malgache d'Antananarivo, rapporte samedi le journal en langue française Midi. 
L'action a commencé par ordre de la Commune Urbaine d'Antananarivo (CUA) pour maintenir la propreté de la ville en perspective de la tenue des 7èmes Jeux des Iles de l'Océan Indien, prévus du 9 au 19 octobre. 
Des responsables de la CUA étaient sur place avec des éléments de la police, des responsables du Ministère de la Santé et du bureau municipal d'hygiène lorsque la démolition a commencé. 
Des responsable de la CUA ont déclaré que ces taudis ont été construits illicitement et il n'y a donc aucune sécurité dans la zone. 
La CUA veut montrer au monde extérieur l'image de propreté et de beauté de la ville montagneuse et la détermination du gouvernement au développement économique du pays. 
Elle a fourni deux camions pour transporter les affaires et les matériels des personnes concernées à un autre endroit où elles vont se réfugier pendant trois mois jusqu'à ce qu'elles trouvent un endroit pour s'installer. 
Il y a des lois qui interdisent les constructions illicites et il est du devoir des autorités concernées de les appliquer, a précisé un responsable de la CUA. 
Cette opération d'assainissement continuera dans les prochains jours. 

Jeune Afrique 31/07/2007

196 athlètes mauriciens aux Jeux des îles de l'océan Indien - PANAPRESS 
Maurice va aligner 196 athlètes à la septième édition des Jeux des îles de l'océan Indien (JIOI), prévus à Madagascar du 9 au 19 août prochains, a appris dimanche la PANA de source sportive. 
Selon un officiel, ces athlètes prendront part aux disciplines suivantes: athlétisme, basket-ball, boxe, cyclisme, football, judo, karaté, pétanque, natation, tennis de table, taekwondo, tennis, volley-ball, lutte et haltérophilie. 
Ces jeux, qui constituent la plus importante manifestation sportive de la région de l'océan Indien, réunissent outre Maurice, les Comores, Madagascar, Mayotte, La Réunion et les Seychelles. 

NO COMMENT        NO COMMENT       NO COMMENT      NO COMMENT

Les Sites Partenaires                                   ... News des Provinces

L'Année 2006 c'était l'année des Ouvertures..  ;   Joyeuses Fêtes de Noel à tous et Bonne Année 2007 ...

allAfrica 31/07/07
Madagascar: Les baleines arrivent à Sainte-Marie - L'Express de Madagascar - Mahefa Rakotomalala
Fidèles au rendez-vous. Depuis le début du mois de juillet, les scientifiques signalent déjà la présence des baleines à bosse au large de l'île Sainte-Marie. Ces cétacés y font régulièrement une halte en cette période de l'année. L'évènement qui coincide avec la période des vacances en Europe constitue une attraction touristique inégalée.
Depuis six ans, un festival baptisé "Festival des Baleines Zagnaharibe", est organisé à Sainte-Marie. Pour cette année, il se tiendra du 23 au 26 août. Le festival des Baleines vise la promotion touristique, culturelle et environnementale de l'île Sainte Marie.
De par l'intérêt que les touristes portent à l'évènement, il occupe une place de plus en plus importante dans l'économie locale et nationale.
Cette fois, le "Zagnaharibe" affiche une ambition nouvelle, celle d'affirmer son importance au niveau international. "Le Zagnaharibe a acquis suffisament d'expérience pour passer à l'étape supérieure : celle du développement de sa notoriété internationale", a affirmé Cynthia Mejanirina Randriamikatra, Executive Manager de l'agence de communication Progecom, organisateur de l'évènement, avec l'association des natifs de l'île.

Les Nouvelles 31/07/2007

Madagascar à l'heure du nucléaire : l'exploration de l'uranium reprend

L'on savait l'uranium malgache exploité du temps de la colonisation, mais les retombées n'ont jamais été palpables pour le contribuable. Désormais, l'exploration du minerai radioactif reprend dans les sites délaissés par les Français, même si ce sont toujours des étrangers qui financent les opérations. Cependant, il y a bon espoir de voir des usines nucléaires se dresser sur l'île dans un avenir proche. Il y a de l'uranium dans notre île. Des experts étrangers vont tenter d'évaluer précisément ces potentiels et de nombreux permis d'exploration ont été attribués. Aucune exploitation n'est encore prévue … pour le moment !  Signature d'une convention sur l'exploration d'uranium entre l'Office malgache national d'industries stratégiques (Omnis) et Red Island Resources, société australienne, hier à l'hôtel Colbert. 14.000 carrés miniers sont concernés, soit environ 5.200 km2 de surface explorée, dans le bassin de Morondava (région Menabe) jusqu'à Benenitra.  David Paull, directeur de Red Island Resources, envisage d'engager 4 millions de dollars US d'investissement pour 18 mois d'exploration, si la loi prévoit un minimum de 1 million de dollars US. Un investissement encore faible par rapport aux 17 jusqu'à 200 millions de dollars US engagés dans un seul gisement du Mozambique ou du Congo, rappelle le représentant de la société dans nos murs, Montaharoson Rakotoandriana. A Madagascar, cette société a en prime le droit de demander en priorité des permis miniers d'exploitation de cuivre ou d'or, aussi présents dans ces sols.  Le texte exige aussi la création d'une société d'exploration à l'attribution du permis, dont 20% du capital est détenu par l'Omnis, sans que cela ne coûte un ariary au contribuable. Une manière pour l'Etat de garder une balle dans son camp et quelques avantages tout de même, vu que les fruits de tous les investissements, ainsi que les risques, sont pris par les investisseurs étrangers

Le Sud et l'Est à l'honneur
«Cette convention signée avec les Australiens est la septième du genre, portant exclusivement sur l'exploration des zones à fort potentiel uranifère», explique Augustin Rakotoson, directeur des recherches minières à l'Omnis. Les autres sites concernés sont ceux délaissés par les Français à l'indépendance. Amboasary Nord et Vinanikarena (Antsirabe) au sud de l'île, et Folatara, près du gisement pétrolifère de Tsimiroro, à l'Est. 
«Durant la colonisation, ces sites ont produit près de 1.000 tonnes d'uranium métal, prêt à être utilisé dans des centrales nucléaires. Mais cette production était totalement officieuse.» confie un technicien de l'Omnis. Aujourd'hui, ils ont été repris en grande partie par la Pan African Mining, une société canadienne déjà connue pour ces gros investissements dans la recherche minière. Des Anglais, des Sud Coréens et des Israéliens sont aussi dans la course à l'uranium.
Des centrales nucléaires dans l'île
Pour l'exploitation des gisements relevés par les radars, il faudra encore attendre plusieurs années. Cependant, l'on entrevoit déjà la possibilité d'exploiter l'énergie nucléaire sur place. Même si la demande mondiale, l'Inde et la Chine en tête, engloutira sûrement une grande partie de la production. «Une possibilité d'autant plus grande que les prix ont flambé en trois ans, passant de 3 dollars US la livre (environ un demi kilo) d'uranium concentré à 300 dollars US.» renchérit le représentant de l'Omnis. 
De quoi justifier les millions de dollars d'investissement qu'il faut compter pour normaliser l'exploitation de l'uranium. «Au stade de minerai et lorsqu'il est enfoui sous la terre, le taux de radioactivité de l'uranium est très faible, mais lorsque les forages commencent, surtout dans les mines à ciel ouvert, la radioactivité peut être multipliée par 2 voire par 50.» prévient David Paull, directeur de Red Island Resources. Des précautions doivent être prises dès la phase d'exploration, sous la surveillance de l'Institut national des sciences et techniques nucléaires. 
Mirana Rasamimanana

Express Mada 31/07/2007

Ravalomanana à la recherche d'une nouvelle majorité - Iloniaina Alain
Le président Ravalomanana dissout l'Assemblée nationale et organise des élections législatives anticipées le 23 septembre. Malgré des pouvoirs réduits de l'Assemblée nationale, et des députés qui la compose, le scrutin permettra de recomposer l'échiquier politique.
Le chef de l'Etat a expliqué la dissolution de l'Assemblée nationale et la tenue des législatives anticipées par rapport à la Constitution révisée. Il a évoqué la "continuité des institutions" et l'adaptation des institutions à la Loi fondamentale révisée. Il a également soulevé la recherche d'une nouvelle "représentativité territoriale", selon ses termes.
En usant des prérogatives qui lui sont conférées par la Constitution, le Président de la République a choisi d'anticiper les élections législatives. Il espère ainsi trouver une nouvelle majorité à l'Assemblée nationale afin de disposer de parlementaires capables de l'appuyer dans la conquête des autres postes électifs. Plusieurs élections devraient avoir lieu dans les prochains mois à venir, à savoir les sénatoriales, les régionales et les communales afin de prouver la stabilité du régime.
Pour sa part, l'opposition trouve un moyen légal de prendre sa revanche sur le pouvoir, après deux échecs, lors des présidentielles anticipées et au référendum constitutionnel. En l'absence d'un statut légal, l'opposition aura à coeur de bien figurer lors du scrutin afin d'entrer dans une institution étatique pour pouvoir mieux contrer le régime. "L'objectif est maintenant d'arriver à empêcher le parti présidentiel d'obtenir la majorité", a soutenu l'ancien député Julien Reboza, secrétaire général du parti socialiste et démocratique pour l'union à Madagascar (PSDUM).
Elections locales
Certes, le président Ravalomanana avait obtenu deux victoires - élections présidentielles et référendum constitutionnel - en l'espace de six mois, mais l'ancien député Auguste Ramaromisy prévient contre les euphories. "Ces élections avaient des envergures nationales. Mais la physionomie du scrutin
change dans la mesure où la bataille va se dérouler au niveau local", a soutenu l'ancien parlementaire élu à Vohémar.
Contrairement aux législatives anticipées du 2002, le président Ravalomanana doit adapter sa stratégie à un nouveau contexte. A l'époque, le chef de l'Etat avait bénéficié de l'élan populaire de la crise post-électorale de 2001 et l'absence d'adversaire sur le terrain - l'avant-garde pour la rénovation malgache (Arema) avait boycotté le scrutin - pour obtenir une majorité confortable à l'Assemblée nationale.
Cette fois-ci, le président Ravalomanana devra également composer avec le parti Tiako i Madagasikara (Tim) affaibli par des luttes intestines. Le chef de l'Etat avait déjà plus ou moins écarté le parti lors des présidentielles du 3 décembre 2006 et le référendum constitutionnel du 4 avril, mais cette fois-ci, certains éléments du Tim risquent de ne plus le soutenir.
En contrepartie, le chef de l'Etat devrait arriver à consolider ses assises, loin de sa base, à Antananarivo en s'appuyant sur les membres du gouvernement. Ces derniers, lors de la campagne référendaire, avaient pesé de tout leur poids pour faire triompher le "Oui".
Effet de surprise
En provoquant les législatives anticipées, le chef de l'Etat joue sur l'effet de surprise pour prendre de court ses adversaires. Entre la date de l'annonce de la décision et celle de la tenue des nouvelles élections, les candidats ne disposent "que" de deux mois pour se préparer. "En procédant à la dissolution de l'Assemblée nationale, le président Ravalomanana coupe également le peu de moyens des parlementaires qui souhaitent encore rempiler", a remarqué le député Auguste Ramaromisy, ancien parlementaire élu issu du Tiako i Madagasikara (Tim).
Malgré cela, l'opposition n'a pas pu cacher sa satisfaction de la tenue des législatives anticipées. Après une expérience balbutiante lors du référendum, la plate-forme du "Non" espère rectifier le tir afin d'optimiser ses chances de victoire. Pour ce faire et en dépit d'un manque de moyens financiers et matériels, l'opposition espère titiller le pouvoir. Elle s'active pour conclure une alliance visant à présenter des candidats uniques dans chaque circonscription. "Maintenant, il faut taire les divergences de points de vue pour aller chercher la victoire", a espéré Julien Reboza.
La position des Eglises va également peser sur les résultats du scrutin. Contrairement à ce qui s'est passé en 2002, les quatre églises au sein du Conseil oecuménique des Eglises chrétiennes (FFKM) ne soutiennent plus d'une manière claire le pouvoir. Les récentes déclarations de l'Eglise catholique pour "tirer la sonnette d'alarme", selon Mgr Odon Razanakolona, archevêque d'Antananarivo, risquent, par exemple, d'influencer le vote des fidèles.

Midi Mada 01/08/07

JOSEPH YOLAND. Même s’il ne s’est pas embarqué au port de Nosy-Be où il aurait été vite repéré, le sénateur a apparemment réussi à mettre les voiles. Vers une demande d’extradition ? - RO
Il n’est pas à son bureau sis au rez-de-chaussée du Palais du Sénat à Anosikely. Ni à son restaurant qui a pignon sur rue à Tsimbazaza où on ne l’a plus revu. Depuis sa dernière conférence de presse, le sénateur Joseph Yoland dit Momy reste introuvable. Tout autant qu’il est injoignable sur son portable dont le numéro se termine par 77.
Frontières
Pour n’avoir pas répondu jusqu’ici à la convocation du juge d’instruction de Nosy-Be, il s’expose du coup à un mandat d’amener voire à un mandat d’arrêt. Comme la Justice ne sait pas, pas encore, où il se trouve, il n’est pas évident que le mandat d’amener puisse être exécuté. Reste alors le mandat d’arrêt qui peut être national si l’intéressé est encore dans le pays ou international s’il a déjà pris le large. Au cas où le sénateur aurait déjà quitté le territoire, se posent encore deux hypothèses : ou bien il a franchi clandestinement les frontières malgaches considérées comme de véritables passoires, ou bien on a laissé partir Momy qui menaçait du reste de faire tomber avec lui des têtes haut placées. En tout cas, même en l’absence de procédure, la police des frontières aurait dû être avisée de son cas.
Principe
S’il est avéré que l’intéressé se trouve à l’étranger, plus précisément sur le territoire français, fut-il d’Outre-mer, il ne reste alors plus pour les autorités judiciaires qu’à lancer un mandat d’arrêt international, quand bien même il risquerait de rester inopérant dans le cas d’espèce. Et pour cause, si Joseph Yoland a vraiment la nationalité française, il est de tradition, sinon un principe en droit international, de ne pas extrader ses propres nationaux. A moins que l’entraide judiciaire prévue dans les accords de coopération franco-malgache de 1973 n’en dispose autrement. Les règles spéciales faisant alors exception à la règle générale de non extradition. Mais reste à savoir s’il y aura vraiment une demande d’extradition comme les justiciables l’attendent toujours pour le détournement de 12 milliards à la Banque centrale de Manakara. A moins que le principal inculpé dans l’affaire n’ait également une nationalité étrangère.

Pour ceux qui ne partent pas ou qui ne peuvent pas partir en Vacances ... ou pendant vos Vacances !

Dans tous les départements de l'hexagone... "La Culture est un Luxe, Partageons la ! "

Cultures, Loisirs et Sports avec Cultures du Cœur partenaire de l'ARF   Cliquez-ici

... La Culture a toute sa place sur rainizafimanga.com...    Profitez des Spectacles gratuits et Passez de Bonnes vacances sans accidents !   

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Sommaire en haut de page)

 Accueil du site ARR

Accueil du site Rainizafimanga