Le site d'info Madagate

Le site d'info RFI

Le site d'info Sobika

Cliquez pour aggrandir...

Cliquez sur la carte... Historique politique

Le site d'info Jeune Afrique

Le site d'info MaTV online

Le site d'info Le Monde
A la conquete de la Democratie...

A la conquête de la Democratie Cliquez... 

Histoire des barrages anti-economique...

Les ponts et les barrages Cliquez... 

Le site d'info Tiako-Madagascar -Ravalomanana

Le site d'info Ratsiraka2001

Le site d'info Express Madagascar

Le site d'info Midi Madagascar

Le site d'info Tribune de Madagascar

Le site d'info Rajakoba

Cliquez... Les Archives ...

Archives

Wanted...Coutiti

18 sept 2002

Wanted...Coutiti 700Million

21 sept 2002

Coutiti apréhendé...

24 sept 2002

Laissons faire la justice...

11 oct 2002

legislative pour decembre...

17 oct 2002

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent 17 octobre 2002

Nouveau News Vaovao

Le site ARR

En attendant une prochaine rencontre... où on pourra se dire bonjour main dans la main ou prendre un petit thé ensemble... n'est ce pas?

"le petit Tetezamita kely" vous invite à visiter le site des Rainizafimanga  www.rainizafimanga.com

Toutes les nouvelles de la famille y sont annoncées au fur et à mesure qu'elles arrivent à LaComm'  

(cf page d'Accueil)   -naissances, mariages, décès, anniversaires-... avec mise à jour sur les pages html de l'arbre généalogique.

Les reportages photos pendants les vacances.... Barbecue, PiqueNique, Madagascar.... 

(cliquez sur Les Reportages photos 2000 à 2002 de LaComm'  )

ou vous ouvrir sur  sur le site d'ANIMATION ARR ...RRRRR ! 

http://a.ratsimbarajohn.free.fr/

Rien que...  des Animations, de la Relaxation, et... du RIRE, 

 

Augustin ANDRIAMANANORO
Réalisateur Multimédia
Ste IMAGES & PRODUCTIONS
Tél. : 06 13 19 92 38

Les news sur le site ARRRRR...

Retour aux infos du jour

Les infos du jour

 

(patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX                                    ...  De nos correspondants à Mada

LE JIR - ARTICLE DU 16/10/02
Madagascar : élections législatives le 15 décembre
Les élections législatives anticipées qui auront lieu le 15 décembre à Madagascar sont cruciales pour le nouveau président Marc Ravalomanana, qui ne dispose d'aucun siège dans l'actuelle Assemblée nationale. C'est également un important test de popularité depuis son arrivée au pouvoir à l'issue d'un bras de fer long de six mois avec son prédécesseur Didier Ratsiraka, actuellement réfugié en France, et dont le parti dispose, au moins théoriquement, de 66 des 150 sièges de l'Assemblée.
 
Le 15 décembre, les électeurs malgaches devront au final répondre à une question simple : veulent-ils donner au président Ravalomanana une majorité pour gouverner pendant les cinq prochaines années ?
Coïncidence ou non, c'est le 15 décembre, un an quasiment jour pour jour après le premier tour de l'élection présidentielle mouvementée du 16 décembre 2001, dont la contestation des résultats a plongé le pays dans la crise, que ce scrutin capital aura lieu.
C'est sans aucun parti que M. Ravalomanana, élu maire de la capitale, Antananarivo, en novembre 1999, a remporté de longue lutte cette élection présidentielle, à l'issue d'une crise politique, sociale et économique sans précédent dans les annales politiques du pays.
De son "fan club" "Tiako'i Madagasikara" (TIM) - "J'aime Madagascar" - qui prit une ampleur populaire nationale pour chasser le président Ratsiraka au terme de 25 ans de pouvoir absolu, le président Marc Ravalomanana a fait aujourd'hui un vrai parti.
Il en a confié le secrétariat national à son Premier ministre, l'avocat Jacques Sylla, tout en créant six présidences provinciales dirigées par des proches.
L'enjeu est donc de transformer cette popularité, qui lui a permis de remporter la présidence de la République, en majorité politique à l'Assemblée nationale, afin d'assurer une stabilité politique au pays.
Cette indispensable stabilité est réclamée par les bailleurs de fonds de la Grande Ile pour débloquer les premières tranches des 2,4 milliards de dollars promis en juillet à Paris par la communauté financière internationale, réunie au sein d'un "Club des amis de Madagascar".
Les 150 députés de l'actuelle assemblée, dont la dissolution a été annoncée pour le 16 octobre, ont été élus en mai 1998 sous le régime de l'ex-président Ratsiraka.
Et c'est l'Arema - "L'avant garde de la rénovation malgache" -, le parti de M. Ratsiraka, qui détient actuellement la majorité au Palais de Tsimbazaza, siège de la chambre basse, avec 66 députés sur 150.
Estimant que cela lui serait favorable, le président Ravalomanana a modifié le mode de scrutin et augmenté le nombre de députés de 150 à 160.
Le scrutin majoritaire uninominal à un tour retenu est, selon les spécialistes, plus favorable aux grandes formations politiques d'assise nationale que le scrutin de liste à représentation proportionnelle en vigueur en 1998 qui avait propulsé au Palais de Tsimbazaza 35 députés "indépendants".
Quant à l'augmentation du nombre de députés, elle est conforme au souhait des élus qui avaient même voté une loi pour qu'il y en ait 187. Mais la Haute cour constitutionnelle a jugé, dans un récent arrêt, ce dispositif anticonstitutionnel

Les Sites Partenaires                                   ... News des Provinces

Express mada Aujourd'hui jeudi 17 octobre 2002
Législatives : le Ffkm fera valoir son devoir de sensibilisation mais restera "au-dessus de la mêlee"
La réception donnée par la Nonciature mercredi à Ivandry, à l'occasion du 24e anniversaire du pontificat de Jean-Paul II, a été choisie par les dirigeants du Conseil chrétien des Eglises à Madagascar (Ffkm) pour briser un silence de plusieurs mois et commenter l'évolution des affaires nationales. Lors d'un bref point de presse, les chefs d'église ont notamment évoqué les actions entreprises dans le cadre de la pacification du territoire et les suites judiciaires qui en ont résulté, pour indiquer qu'il fallait "faire confiance à la justice, qui statue en toute indépendance". Le président du Ffkm, Sa Grâce Rémi Joseph Rabenirina, devait faire part également
de l'intention du conseil de participer activement à l'observation du scrutin législatif du 15 décembre prochain, ainsi qu'il l'avait fait du reste lors de la dernière élection présidentielle. Une participation qui sera largement tributaire des moyens mis à sa disposition, mais qui se cantonnera, de toute façon, à la sensibilisation des citoyens électeurs - "afin qu'ils puissent distinguer le bon grain de l'ivraie" -, les dirigeants d'église précisant par ailleurs que le Ffkm se gardera de cautionner des candidats ou un parti en particulier.
Aucun candidat aux élections
Longtemps resté dans l'observation, du moins au cours de ces derniers mois, le Conseil chrétien des églises de Madagascar (Ffkm) refait surface et apporte sa vision sinon sa position par rapport à la vie politique du pays. C'était hier à Ivandry, plus précisément à la représentation de la Nonciature qui offrait une réception à l'occasion du 24eme anniversaire du pontificat de Jean Paul II. Plusieurs personnalités y étaient conviées, parmi lesquelles donc les chefs d'Eglises du Ffkm.
RENFORCER L'UNITÉ NATIONALE
D'emblée, ces chefs d'églises, par la voix de Sa Grâce Rémi Joseph Rabenirina, président de l'Eglise anglicane de Madagascar et actuel président du Ffkm, précisent qu'en la conjoncture actuelle, il s'agit en premier lieu de sauvegarder sinon de renforcer l'unité nationale… face à certaines menées qui risquent de nuire à cette solidarité. Une solidarité et une unité nationales qui se sont affirmées de façon éclatante lors des moments de crise qui ont prévalu au pays : la plupart des Malgaches ont uni leurs efforts pour défendre et faire valoir la vérité de leur choix pour un réel changement dans la gestion des affaires nationales. Rémi Joseph Rabenirina explique: "… L'objectif est que tous les Malgaches s'associent dans la poursuite d'un objectif commun, celui de la transparence et de la vérité dans la gestion des affaires nationales. A cet égard, les Eglises ont le devoir de sensibiliser tous les citoyens-chrétiens, comme nous l'avons fait lors des dernières présidentielles, à bien faire leur choix aux prochaines législatives. Le Ffkm ne soutient aucun candidat ni aucun parti, et d'ailleurs la Constitution est formelle à cet égard, mais il se fait l'obligation d'attirer l'attention des électeurs sur le fait que le pays a besoin de dirigeants honnêtes, intègres et surtout croyant en Dieu qui est le seul Guide de toutes nos actions. Aussi, nous faisons appel aux uns et aux autres à bien distinguer le bon grain de l'ivraie, et nous pensons que les Malgaches sauront prendre leurs responsabilités à cet effet… En attendant, nous disons qu'il est grand temps de taire les ambitions politiques plus ou moins déplacées, et que tout chacun se penche sur les actions de développement socio-économique de ce pays…"
LAISSER LA JUSTICE TRAVAILLER
Au-delà de cette question des élections, ces chefs du Ffkm ont également donné leur avis sur la marche actuelle des affaires nationales en général, et particulièrement en ce qui concerne les actions de pacification du territoire menées par le pouvoir. Actions qui ont vu une arrestation plus ou moins massive de certaines personnes soupçonnées d'avoir soutenu ou favorisé le développement des actes terroristes de l'époque. Sur ce point, les chefs d'Eglises ont été très explicites: "Ce n'est pas le Ffkm qui a ordonné ces arrestations ni demandé la libération de certains individus actuellement détenus dans les prisons dans le cadre de ces opérations de pacification. Cela relève du seul pouvoir exécutif et nous n'avons aucun droit de nous y immixer. En tout cas, nous pensons que ce pouvoir a certainement ses raisons de procéder à ces arrestations, mais c'est à la justice d'y statuer. Et nous croyons fermement en l'indépendance totale de cette justice pour établir et faire ressortir toutes les vértités sur ces affaires…"
Sur un autre plan et concernant toujours les nouvelles élections législatives, le Ffkm annonce qu'il est plus que jamais déterminé à participer à l'observation de ces consultations populaires à travers le "Andrimaso-Ffkm". Son souhait est de pouvoir bénéficier d'un financement plus conséquent… en conformité avec ses objectifs pour une véritable sincérité du scrutin.

Midi de Madagascar 17/10/02
LEGISLATIVES   " Tournons la page complètement ",
déclare le FFKM  
 
Première intervention, hier, du FFKM(Conseil chrétien des Eglises) à propos du contexte politique actuel, après les6 mois de crise et l'installation des échelons du pouvoir. Son président actuel,Sa Grâce Rabenirina, et les trois autres prélats, à savoir le CardinalRazafindratandra, les Pasteurs Razafimahefa et Rabenorolahy, ont tenu à répondreaux questions que les journalistes leur ont posées hier, en marge de lacérémonie de célébration du 24eanniversaire du pontificat de SaSainteté le Pape Jean Paul II, à la Nonciature d'Ivandry.
Val A.      
 Concernant les législatives anticipées, première question des journalistes, le président Rabenirina a déclaré : " Les Malgaches ont décidé de tourner la page. Alors, il faut la tourner complètement. Ils ont choisi une nouvelle voie. Le rôle de l'Eglise est de prôner et d'appeler à la solidarité de tous les Malgaches. Il n'y a pas de miracle, mais il est possible de progresser ". Pour lui, la crise que le pays vient de vivre a permis aux Malgaches de se situer dans la vie de la nation. " L'Eglise prêche la solidarité. D'autres parlent de réconciliation nationale, devenue une ritournelle. Mais on devrait reconnaître ceux qui oeuvrent vraiment pour la solidarité, et distinguer ceux qui exhortent le contraire. Gare à celui ou à ceux qui choisiront mal leurs députés ! ", a fait remarquer l'actuel numéro un du Ffkm. Selon lui, la crise a également permis de connaître la véritable position de chacun, sa conception, ses principes. " Sachez voter ! ", a-t-il conclu.
Fervent chrétien
Sur ce plan justement, le Ffkm réédite le profil qu'il a défini pour un président de la République quelques mois avant le scrutin du 16 décembre 2001. Un député est quelqu'un qui a peur de Dieu, fervent chrétien, épris de " Fahamarinana ", honnête, juste, patriote, homme de dialogue, courageux et audacieux pour une prise de décision, adepte de la défense des droits de l'homme, respectueux envers la loi, affublé d'aptitude à réaliser son programme, ayant la volonté et la capacité de développer rapidement Madagascar, contre la corruption et le détournement des richesses du pays, etc. Ce profil-là, le Ffkm l'a publié la dernière semaine du mois d'août de l'année dernière. " Comme on a fait avant la présidentielle de l'année dernière, l'Eglise s'efforce d'exprimer sa vision. C'est son devoir ", a précisé le Pasteur Edmond Razafimahefa.
Arrestations
Les prélats du Ffkm confirment que l'Eglise ne propose pas des candidats en son nom. Mais tout chrétien est issu de l'ensemble. " Si une idée ou un programme émerge, il est possible que l'Eglise le soutienne ", a souligné Rémi Rabenirina. A propos du Code électoral, notamment celui élaboré à l'initiative du Ffkm, le Cardinal Razafindratandra a expliqué qu'il n'appartenait pas à l'Eglise d'adopter les textes. Ce dernier a fait une rétrospective des événements, notamment la prise de position du Ffkm à l'époque. " Je vous rappelle que le Ffkm s'est engagé à défendre le choix du peuple. Il a exigé un nouveau décompte ", a-t-il rappelé. Interrogé sur la position de l'Eglise sur l'arrestations des personnes impliquées dans les événements de la crise, le Ffkm a souligné qu'il ne lui appartenait pas de s'immiscer dans les affaires de l'Etat. Tout en indiquant que si les autorités ont procédé à des arrestations, c'est qu'il y a une raison.
Cohésion
Quant à Benjamin Rabenorolahy, il a bien résumé la " position " du Conseil chrétien des Eglises. " Le profil est clairement défini. Soyons logiques avec le programme que nous avions défendu : le " Fahamasinana " et le " Fahamarinana ". Ne répondant pas à ces vertus, un candidat ne pourra pas se mettre au diapason avec le développement rapide qu'on prône. Il ne s'agit pas d'un simple profil, il s'agit de penser à la cohésion entre ce profil et les objectifs à atteindre ", a-t-il indiqué. Bref, le Ffkm estime que le peuple malgache est mûr et apte à prendre en mains sa destinée. A condition qu'il sache choisir ses représentants à l'Assemblée nationale. 
  Ordre de poursuite contre Pety Rakotoniaina
Demandé par le général Sambiheviny    
               La rivalité entre le PDS de Fianarantsoa, Pety Rakotoniaina et leCommandant en chef de la gendarmerie, le général Sambiheviny, a pris une autretournure. C'est la guerre ouverte entre les deux personnalités ! L'une accusantl'autre d'avoir usé de ses fonctions pour faire pression sur la populationlocale, ou encore de s'adonner à des activités peu catholiques. Pour l'instant,chaque partie essaie de défendre sa position. Mais ce qui est sûr, c'est que les événements vont se précipiter,dans les prochains jours, pour départager les deux protagonistes.   
Rda  
         Face aux attaques perpétrées par le PDS de Fianarantsoa, envers sa personne, le général Sambiheviny a demandé un ordre de poursuite contre Pety Rakotoniaina. " J'ai envoyé un colonel pour faire des enquêtes sur les agissements du PDS Pety Rakotoniaina. J'ai des preuves matérielles suffisantes et accablantes, à son encontre ", a-t-il annoncé. Selon le premier responsable de l'EMMO national, le Président de la Délégation Spéciale de Fianarantsoa, " s'est approprié illicitement des biens appartenant à autrui ". Avant d'enchaîner que Pety a opté pour la tactique bien connue qui veut que " la meilleure défense c'est l'attaque ", en multipliant les interventions sur les médias, le plus souvent, pour se justifier.
Choisir
    " Il faut choisir entre Pety et Sambiheviny ", affirme pour sa part, le Secrétaire Général du MFM, Germain Rakotonirainy, hier au cours d'une conférence de presse, au Karibo hôtel. Selon ce dernier, le général Sambiheviny a écarté les militaires dans l'opération " Vahoro ". Pire encore, le numéro deux du MFM accuse cet officier général, en possession d'une carte rouge de marchands de bestiaux, de s'adonner à des trafics de bœufs. Selon toujours Germain Rakotonirainy, le président de la Délégation Spéciale de la province autonome de Fianarantsoa, Pety Rakotoniaina semble être la cible préférée des uns actuellement. " Tant que Pety est-là, il n'y a rien à faire. On cherche tous les moyens pour faire sauter le PDS ", a indiqué le SG du MFM. Tout en signalant au passage que si Pety est toujours à sa place, ce sera difficile pour un autre parti de s'implanter dans la province autonome de Fianarantsoa.

TRIBUNE du 14/10/2002
GOUVERNEMENT SYLLA   MENACÉ DE DESTITUTION
   Le gouvernement de Jacques Sylla fait face, ce jour, à une menace de destitution. A 48 heures de la dissolution de l'Assemblée nationale, en effet, les députés se livrent dans le courant de la journée à un vote de censure dont le but est de renverser le gouvernement. Combat d'arrière-garde engagé à l'ultime instant certes, mais qui a quand même quelque chance d'aboutir. Le vote de ce jour couronne, en tout cas, une procédure conforme aux dispositions de la Constitution : la motion de censure est signée par 76 députés, c'est-à-dire plus que la moitié réquise, tandis que le document déposé vendredi débouche obligatoirement dans les 48 heures (c'est-à-dire aujourd'hui) à un vote. La démarche apparemment remplit toutes les conditions légales et constitutionnelles, et si le scrutin qui s'ensuit est positif, son résultat certainement validé par la Haute Cour Constitutionnelle (HCC). La question que tous se posent : les députés frondeurs parviendront-ils à recueillir lors du vote les deux tiers des suffrages (soit 100 voix), et faire tomber ainsi le gouvernement Sylla ? Réponse des observateurs : une telle issue est du domaine du possible.
   
POUVOIR PERSONNEL
Parmi les raisons qui motivent l'entreprise, les députés rebelles invoquent surtout l'incompétence de certains membres du gouvernement. En fait, à la base de cette opération éminemment politique, il y a une large part de frustration personnelle, de dépit et d'amertume. D'autant qu'il est quand même inconvenant de sanctionner par la destitution un gouvernement installé il y a quatre mois, et qui n'a pas encore pu donner toute la mesure de ses possibilités.
  La manœuvre, en effet, est conduite non pas par les députés Arema, qui ont déjà annoncé n'avoir aucune intention de nuire au régime, mais par le Collectif des députés pro-Ravalomanana (environ 60). Ceux-là mêmes qui, au plus fort de la crise, ont réactivé une Assemblée nationale tétanisée, et en ont fait un instrument agissant pour la légitimation du pouvoir de Marc Ravalomanana. Aujourd'hui, ils nourrissent beaucoup de rancœurs. D'abord, parce qu'ils auraient aimé terminer leur mandat, mais ont été pris de court par la mesure de dissolution sans avoir jamais été consultés sur la question.
  Ensuite, parce que Marc Ravalomanana aligne contre eux aux législatives des candidats du TIM qui compromettent leur réélection, alors qu'étant donné leur "état de service", ils pensent ne pas mériter un tel geste hostile. Ils espéraient même entrer en lice avec le label de candidat unique de la mouvance présidentielle, chacun dans sa circonscription. Ces derniers mois d'ailleurs, ils estiment déceler chez Marc Ravalomanana une tendance orientée de plus en plus vers l'autoritarisme et le pouvoir personnel. Ils citent à ce sujet certains épisodes lors desquels le chef de l'Etat fait cavalier seul, n'ayant aucun égard pour l'Assemblée et méprisant même son avis : l'achat du Boeing 737 présidentiel d'un coût de 11 milliards de dollars, la suppression des taxes surles produits textiles et les outillages de confection, l'utilisation de l'assistance financière de 2,477 milliards de dollars, etc.
  On mentionnera quà Nosy Be, l'autre semaine, selon Marc Ravalomanana, il n'avait qu'à annoncer publiquement la mesure pour qu'elle entre immédiatement en vigueur, sans qu'il ait besoin de demander l'aval de l'Assemblée. C'est peut-être cette annonce sur les tissus et la confection qui a provoqué la... déchirure.
Adelson RAZAFY

A LA CROISEE DES CHEMINS...

Un message tombé sur la BAL ARF

----- Original Message ----- 
From: Mahagagamada@aol.com 
To: rainizafimangaFR@hotmail.com 
Sent: Thursday, October 17, 2002 1:57 AM
Subject: Misy havanay mifanapaka @ ny arbre généalogique nareo - Helisoa O.

Tompoko,

mamangy, 

mahafinaritra ny mijery Fianakaviam-be malagasy toy izao aty am-pielezana.
Misy zavatra kely mba tiako marihina dia misy HAVANAY mifanapaka amin'ny arbre généalogique nareo.
Jereo eo amin'ny Terak'I. RATSIFANDRIAHAMANANA - Misy Zafiny Radaody Ralarosy nanambady ANDRIAMASY izay FIANAKAVIAM-BE koa.

Famille ANDRIAMASY dia nanana olo-malaza ary mbola manana hatramin'izao ka anisan'ireny
i Dokotera ANDRIAMASY tao Analakely tao aorianan'ny niasany elabe tany TOLIARA.
Ny vadiny no COUSINE GERMAINE NY RENIBE NAY : Terakin'ny Andriana ANDRIANAIVOLAMBO izy ( ANDRIANDRANANDO avy ao Betsizaraina/Ambohibe 
Ilafy ).
Maro ireo ANDRIAMASY : Cousins sy Cousines n' ny maman-nay no ao Antananarivo,
ary Mpitsabo ( toy Eugène ANDRIAMASY chirurgien - dentiste ao Antsahavola ) sy Ingénieurs Informatiques daholo no ankamaroany.

Tsy haritra kely ny ahy.

Mametraka ny veloma finaritra.

HELISOA OLGA

 

Les détails, les photos, les archives et l'historique des évènements sur Mada sur
"MadaVôvô"
consultable sur

Encore des adresses sur les actualités de Mada

 

[Lakroan'i Madagasikara]-[MadaNews ]-[Havana-News ]-[Canal Madagascar]-[Echos du Capricorne]

[Les depêches sur Nomade ]-[Les nouvelles de Ravinala  ]-[Radio Madagascar ]-[New Magazine]-[Clicanoo]

[L'agence Reuters sur Yahoo ]-[L'agenda de Moramora]-[L'agenda de Nathalie Rabe]-[L'agenda de Croissance ]

 

RETOUR AUX INFOS DU JOUR

 Accueil du site ARR

Accueil du site Rainizafimanga

Le site ARRRRR...

LES ARCHIVES "MadaVôvô"

Archive Janv 

Archive Droit de savoir mois de février...

Archive Fév

Archive Droit de savoir 1ère quinzaine mars...

Archive 1/2Mars(1)

Archive droit de savoir 2ème moitié de mars

Archive 

1/2 Mars(2)

Archive droit de savoir Avril

Archive Avril

Archive Droit de savoir Mai...

Archive Mai

  Archive Droit de savoir Juin...

Archive Juin

Archive Droit de savoir juillet...

Archive juillet

Archive Droit de savoir aout...

  Archive aout

 

 

  Fermer