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sur le site d'ANIMATION ARR ...RRRRR ! 

http://a.ratsimbarajohn.free.fr/

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar et ses élections...


nosintsika - vaovao avy @ lafy valon'ny Nosy  24/03/2003

La « MUBA PLUS » abusée

De pauvres petits artisans malgaches financent les riches de Madaswiss La foire MUBA à Bâle en Suisse, ne s'est pas seulement soldée par une diminution marquante de visiteurs mais aussi par une grande perte pour plusieurs artisans venant de Madagascar qui ont engloutit leur maigre épargne et dont beaucoup, pour y participer se sont endettés.

Dans un pays ouvert et libéral comme la Suisse, il n'est point interdit de fonder une association, de lui donner un nom quelconque. Ainsi en se prétendant être une association Suisse, celle ci espère jouir pleinement de l'avantage politique pour se profiler dans un pays tiers.

Lors de la légalisation notarielle de MADASWISS (M-S) en juillet 2002, on notait la déroute des milices privés, formés par la France, fidèles au dictateur Ratsiraka. En même temps, la Suisse a reçu une grande sympathie à Madagascar. En effet, la Suisse était le premier pays au monde qui a officiellement reconnu la défaite aux élections du dictateur corrompu.

Autour du comité de direction et du patronage d'honneur de M-S siègent une majorité de personnes naives et inconnues mais il semble qu'il y a aussi des fidèles de l'ancien dictateur et des proches du gouvernement français.

Le président est un journaliste francais résidant à Genève et il semblerait entretenir de très bonne relation avec le Quai d'Orsay. L'adresse postale est une sous adresse de la société douteuse EMA-INVEST qui d'une manière caricaturale laissait exposer des pacotilles de souvenirs à Genève dans le but de rechercher des investisseurs pour Madagascar mais sans grand succès.

Avec une naivité inouie, le représentant de la Suisse à Madagascar a nommé la nouvelle association (M-S) pour représenter Madagascar à la MUBA et malheureusement, il fait également partie du comité d'honneur de M-S.

Des tierces personnes ont conseillé le directeur de M-S de chercher des donateurs pour aider Madagascar, pays hôte, car celui-ci est un pays des plus démunis de la planète et surtout après les destructions commises par l'ancien dictateur, le pays aurait de la peine à collecter la somme nécessaire pour participer à la MUBA. Mais une recherche de donateurs exige qu'on présente un bilan comptable ouvert des affaires.

Ainsi, il était plus simple d'opérer à Madagascar, car là-bas, personne ne peut se renseigner sur les pratiques de la nouvelle association M-S et d'un côté la Suisse jouit d'une confiance quasie infinie. La M-S demandait à chaque participant environ 17 millions de FMG (environ 4000 FCH) pour les frais d'avion, de séjours et de location de places de stand. Le transport de 50 kg de marchandises y était compris. Les autres coûts supplémentaires étaient à la charge des participants. Des organisations humanitaires suisses ont dû également payer une location élevée de stands.

Les exposants étaient appâtés à Madagascar par une projection d'un film vidéo sur la Muba très prometteurs de gain. A la suite de laquelle les exposants-artisans ont espéré pouvoir couvrir leurs côuts par la vente effective réalisée à la MUBA, alors ils ont commencé à gratter à leur misérable épargne, font des emprunts et des dettes à des proches et familles.

Ainsi, on ne présentait donc pas à la MUBA le savoir faire du métier artisanal malgache mais plutôt on laissait exposer les personnes qui ont réussi à collecter le maximum d'emprunts à leur entourage!

Dans sa grande naiveté, le ministère du tourisme malgache a soutenu avec un grand élan l'action globale de M-S, croyant pouvoir remercier la Suisse du bon service rendu lors de la dernière crise.

Pour conclure, la chance de vendre durant la MUBA s'est soldée par un fiasco et on peut se demander, après la faillite amère de ces artisans et la conséquence déplorable infligée à la fortune de leurs proches, si la Suisse continue toujours de jouir de sa fabuleuse image.

W. Matzinger, Baar/Suisse

Docteur en économie(Dr.oec.publ.)Traduction libre de l'Allemand de « Lesenbrief Missbrauchte « MUBA PLUS » »

Extrait de tribune du 21-03-2003

FOIRE DE BÂLE (SUISSE) LA « MUBA PLUS » ABUSÉE

Contrairement à ce qu'on a toujours compris quant aux résultats ou aux perspectives de tout déplacement à l'extérieur dans le

cadre de telle ou telle manifestation, de pauvres petits artisans malgaches financent les riches de Madaswiss.

"La foire MUBA à Bâle en Suisse, ne s'est pas seulement soldée par une diminution marquante de visiteurs mais aussi par une grande

perte pour plusieurs artisans venant de Madagascar qui ont englouti leur maigre épargne et dont beaucoup, pour y participer, se sont endettés.

Dans un pays ouvert et libéral comme la Suisse, il n'est point interdit de fonder une association, de lui donner un nom quelconque.

Ainsi en se prétendant être une association Suisse, celle-ci espère jouir pleinement de l'avantage politique pour se profiler dans un pays tiers.

Lors de la légalisation notariale de MADASWISS (M-S) en juillet 2002, on notait la déroute des milices privés, formés par la France,

fidèles au dictateur Ratsiraka. En même temps, la Suisse a reçu une grande sympathie à Madagascar. En effet, la Suisse était le premier pays au monde qui a officiellement reconnu la défaite aux élections du dictateur corrompu.

Autour du comité de direction et du patronage d'honneur de M-S siège une majorité de personnes naïves et inconnues mais il semble

qu'il y a aussi des fidèles de l'ancien dictateur et des proches du gouvernement français. Le président est un journaliste français résidant à Genève et il semblerait entretenir de très bonne relation avec le Quai d'Orsay.

L'adresse postale est une sous adresse de la société douteuse EMA-INVEST qui, d'une manière caricaturale, laissait exposer des pacotilles de souvenirs à Genève dans le but de rechercher des investisseurs pour Madagascar mais sans grand succès.

Avec une naïveté inouïe, le représentant de la Suisse à Madagascar a nommé la nouvelle association (M-S) pour représenter Madagascar à la MUBA et malheureusement, il fait également partie du comité d'honneur de M-S. Des tierces personnes ont conseillé le directeur de M-S de chercher des donateurs pour aider Madagascar, pays hôte, car celui-ci est un pays des plus démunis de la planète et surtout après les destructions commises par l'ancien dictateur, le pays aurait de la peine à collecter la somme nécessaire pour

participer à la MUBA. Mais une recherche de donateurs exige qu'on présente un bilan comptable ouvert des affaires.

Ainsi, il était plus simple d'opérer à Madagascar, car là-bas, personne ne peut se renseigner sur les pratiques de la nouvelle

association M-S et d'un côté la Suisse jouit d'une confiance quasi infinie .La M-S demandait à chaque participant environ 17 millions de FMG (environ 4000 FCH) pour les frais d'avion, de séjours et de location de places de stand. Le transport de 50 kg de marchandises y était compris. Les autres coûts supplémentaires étaient à la charge des participants. Des organisations humanitaires suisses ont dû

également payer une location élevée de stands.

Les exposants étaient appâtés à Madagascar par une projection d'un film vidéo sur la Muba très prometteuse de gain. A la suite de

laquelle les exposants-artisans ont espéré pouvoir couvrir leurs coûts par la vente effective réalisée à la MUBA, alors ils ont commencé à gratter à leur misérable épargne, ont fait des emprunts et des dettes à des proches et familles.

Ainsi, on ne présentait donc pas à la MUBA le savoir- faire du métier artisanal malgache mais plutôt on laissait exposer les personnes qui ont réussi à collecter le maximum d'emprunts à leur entourage !

Dans sa grande naïveté, le ministère du Tourisme malgache a soutenu avec un grand élan l'action globale de M-S, croyant pouvoir

remercier la Suisse du bon service rendu lors de la dernière crise.

Pour conclure, la chance de vendre durant la MUBA s'est soldée par un fiasco et on peut se demander, après la faillite amère de

ces artisans et la conséquence déplorable infligée à la fortune de leurs proches, si la Suisse continue toujours de jouir de sa fabuleuse image".

. NB

La "MUBA PLUS" a donné gratuitement un espace de 500 m2 à Madagascar pour 10 jours.

24 artisans malgaches ont participé.

Par artisan: les frais de voyages s'élèvent à 1300 FCH l'hébergement de 10 jours en auberge de jeunesse + transport vers la foire à

300 FCH (30FCH/jour).

La location de stand réclamé par Madaswiss est de 1900 FCH (7 millions de Fmg)

Les rencontres professionnelles promises n'ont pas eu lieu. Certains artisans ont eu leurs marchandises un jour avant la fermeture de la

foire Plusieurs ONG suisses ont également payé la location des stands largement en dessous de ce qu'on a demandé aux artisans ( entre 1000 et 1500).

W.Matzinger,Baar/Suisse

Docteur en économie (Dr.oec.publ.)

Traduction libre de l'Allemand de "Lesenbrief Missbrauchte "MUBA PLUS""

Article paru dans Madatsara SOCIETE

Foire Muba Plus Bâle: Les Facéties de France Louis

D'aucun a été étonné (malgaches comme suisses), tout au cours de cette Foire Muba Plus 2003 de Bâle, de l'omniprésence de France Louis Tsialiva. La question sur toutes les lèvres est : qui est ce Monsieur ?

* Opportunités

Dans les années 80-90, il est à la tête d'une agence de communication, « Mamicom », implantée à Diego. Agence que nombre de nos

confrères connaissent et qui s'étend pour devenir « Mamicom International » avec un partenariat privilégié avec le port de Toamasina. En parallèle il gère éphémèrement l'hôtel « Escale » près d'Arrachart. Puis, subitement, France Louis disparaît carrément de la circulation. Il fut un temps oü des encarts comportaient des textes le cherchant désespérément... France Louis n'a jamais été considéré comme un homme politique mais est connu pour être un excellent orateur ayant un bagou indéniable, qui sait saisir les opportunités.

* Tim

Comme par miracle, il refait surface à travers l'association Madaswiss qui a déposé ses statuts officiels le 13 juillet 2002 : Bien

après la crise, et conséquemment au fait que c'est la Confédération helvétique qui a été le premier pays à avoir reconnu Marc Ravalomanana. Du coup, France Louis se met sous l'étiquette Tim. Le but de Madaswiss est de « participer à un développement équlibré de l'ensemble des régions de Madagascar, avec toutes celles et ceux qui partagent les mêmes valeurs de démocratie, de transparence, d'égalité des chances et d'ouverture au monde moderne ». C'est ainsi que France Louis reprend du poil de la bête en mettant sur pieds un projet ambition, à Diego : « Le Jardin de la Baie Sarl» : Justement, il est à la recherche de fonds et de « Business Angels » (littéralement anges des affaires) :

* Conseiller...

Car ce jardin couvre deux hectares environ sur lesquels est prévu « La Résidence Louisiane » : Il s'agit d'une somptueuse villa

avec dépendances à développer. Puis, sans aucun texte officiel le nommant - mais est-ce obligatoire ?-, il est considéré comme conseiller du ministre Ntsay Christian avant de devenir, toujours sans texte précis, conseiller technique du ministre Roger Mahazoasy. Dans le cadre de la préparation de cette foire Muba Plus de Bâle, il fait encore et logiquement partie des onze membres la « Task

Force » qu'il reniera, pourtant, une fois sur place, pour des raisons organisationnelles assez obscures.

* Madaswiss

Ci-après, une explication de Dominique Flaux, président de Madaswiss : « Madaswiss a reçu en novembre 2002 un mandat de la Task

Force que nous avons assumé de A à Z. Il s'agissait, grosso modo, de réunir des participants suisses à la Muba Plus, de monter un restaurant malgache et de coordonner l'organisation avec nos amis de Bâle. Au delà de ces mandats, au fil des derniers jours de l'organisation, la Task Force, conduite par M. Haga Rasolofoniaina, nous a demandé des coups de main pour un certain nombre de

travaux et de frais à avancer. Il nous a alors assuré, et assuré à notre ambassade, qu'un virement serait fait en temps pour couvrir

les dépenses qu'il nous demandait d'effectuer en son nom. Nous avons, en toute confiance pris pour cette Task Force des engagements pour plus de 40 000 CHF que son Chef est, à ce jour, incapable de couvrir » (20 février 2003).

* Passeport de service

Ce que M.Flaux ne sait pas, c'est que le 12 février, les ministres du Tourisme et celui du Commerce et de l'Industrialisation

avaient signé un engagement et que le 18 février, au centre des médias de la foire, le chargé d'affaires a.i., Dominik Langenacher, nous a confirmé que le budget attendu avait été débloqué. Du coup, France Louis prend de la hauteur vis-à-vis de cette Task Force. Il monte tellement haut que le 14 février 2003, jour de l'ouverture de la foire, il envoie aux quotidiens malgaches un texte qu'il a écrit lui-même. Seul l'Express de Madagascar l'a publié le 17 février.

Extraits : « A cette occasion, M. France Louis Tsialiva représentait les autorités malgaches, tandis que M. Dominique Flaux représentait l'association "Madaswiss" en sa qualité de président ». Le fait d'avoir voyagé avec un passeport de service lui a peut-être donné l'idée de se considérer comme un homme du et de pouvoir ?

* Photo

Dès lors, on se perd en conjoncture sur les fonctions exactes de France Louis Pierre Tsialiva. Car selon ses propres dires : « C'est

grâce à lui que le président Marc Ravalomanana a pu entrer en Suisse oü j'ai un visa permanent ». Effectivement France Louis, lors d'Ema Invest, (le secrétaire général de la fondation Ema étant Dominique Flaux), faisait en sorte d'être pris en photo à proximité

du président malgache. Même chose lorsque le chancelier de Bâle, Herr Hauser, est venu, sans prévenir, à la causerie faisant suite à la

journée spéciale Madagascar du 18 février dernier. A moins que France Louis veut être l'exemple physique de la bonne relation entre le secteur privé et le secteur public ?

Jeannot RAMAMBAZAFY.

Muba plus : un fiasco total pour les artisans Malagasy 34, cartons de marchandises abandonnés à Genève 

Midi Madagasikara (Antananarivo) 21 Mars 2003 Publié sur le web le 21 Mars 2003

Edmond Rakotomalala

A l'heure des bilans, on assiste plutôt à un sombre tableau pour la participation malgache au Salon Muba Plus de Bâle (Suisse). Les artisans malgaches étaient surtout venus dans l'espoir de trouver de nouveaux débouchés mais aussi pour profiter de ce voyage à Andafy en vue de réaliser des bénéfices. Mais la plupart d'entre eux sont rentrés à Madagascar avec des pertes.

D'immenses pertes parce que certains d'entre eux ont dû s'endetter ou vendre des biens pour participer à cette foire qui a fait l'objet d'un tam-tam médiatique sur ses avantages en matière de possibilités de vente. En réalité, ces petits artisans ont assisté à une mévente sans précédent. Une mévente dont ils ne sont en aucun cas responsables. En effet, les organisateurs de la participation malgache à cette foire n'étaient visiblement pas à la hauteur.

Catastrophe

« On nous avait encouragés à venir, et nous remercions même l'Administration malgache d'avoir facilité notre participation à travers différentes actions.

Malheureusement, du côté des organisateurs de notre participation en Suisse, c'était plutôt la catastrophe », a déclaré un participant. Le problème trouve son origine dans le fait qu'aucune information précise n'avait été transmise aux participants avant la foire. « Si on avait su d'avance que Muba Plus est, en fait, une foire d'échantillonnage, on n'aurait pas emmené des tonnes de marchandises ».

En tout cas, le bilan est catastrophique pour les artisans. Il y a encore trente-quatre cartons de marchandises qui ont dû être laissés sur place.

Heureusement que l'ambassade de Madagascar à Genève a accepté de stocker ces marchandises à titre gratuit. En attendant les solutions pour les vendre dans d'autres marchés.

Il s'est trouvé, par ailleurs, que les rencontres professionnelles annoncées par l'association Madaswiss n'ont pas eu lieu. Et pourtant, les artisans étaient aussi venus pour ces rencontres qui ouvrent toujours la voie à des opportunités de marché. Par ailleurs, s'il y avait eu ces rencontres professionnelles, on aurait pu trouver des solutions pour les marchandises non écoulées.

Frais

Rappelons que Muba Plus a donné gratuitement un espace de 500 m' à Madagascar pour dix jours. Vingt-quatre artisans malgaches ont participé à cette foire. Avec les promesses faites par les organisateurs, ces petits artisans malgaches n'ont pas hésité à faire face aux frais de participation qui ne sont pas à la portée des petites bourses : 1300 francs suisses pour les frais de transport, 30 francs suisses par jour pendant 10 jours pour l'hébergement et les déplacement de l'auberge de jeunesse à la foire. La location des stands réclamée par Madaswiss est de 1900 francs suisses, alors que plusieurs ONG suisses ont payé la location entre 1000 et 1500 francs suisses.

Fiasco total, donc, pour les artisans malgaches dans cette foire Muba Plus. Mais ce problème n'est pas le premier puisque à chaque participation de Madagascar dans les grandes manifestations commerciales internationales, c'est toujours le fiasco. En effet, il se trouve toujours que les organisateurs sur place, cabinet ou association, veulent se faire des bénéfices au détriment des participants

Heureusement qu'en ce qui concerne la promotion de l'image de Madagascar à l'extérieur, cette participation fut quand même une réussite. Le Pavillon Madagascar a attiré beaucoup de visiteurs et beaucoup de visiteurs internationaux connaissent maintenant Madagascar. Mais en attendant les effets encore inconnus de cette promotion, de pauvres artisans malgaches ont, au lieu de faire des bénéfices, augmenté leurs dettes. Matière à réflexion.

Edition 2003 du Salon EMA INVEST-Le président Ravalomanana : 

«Nous soutenons pleinement le Nepad»

e Soleil (Dakar) 30 Janvier 2003 Publié sur le web le 31 Janvier 2003

El Hadji Gorgui Ndoye - Correspondant a Geneve

Le président malgache, Marc Ravalomanana, a ouvert officiellement, ce 28 janvier, le quatrième Salon des marchés émergents à Genève. Ce salon, qui constitue un point de convergences de plus de trois mille investisseurs et hommes d'affaires de tous les continents, a été l'occasion pour le président malgache de faire un vibrant plaidoyer pour le Nepad : «Nous soutenons, a-t-il dit, pleinement le Nepad, car il instaure notamment la démocratie et la bonne gouvernance.

C'est à la suite du discours de bienvenue de notre confrère et président fondateur de Ema Invest, le journaliste Guy Mettan, qui a dit lui-même : «Contre vents et marées, nous tenons bon depuis 1998. Cette année correspond à une chute générale de l'investissement sauf en Chine qui bénéficie d'un investissement positif. Mais, soutient-il, pour sortir du marasme, les capitaux doivent être mobilisés pour les PME des pays émergents».

Pour sa part, le représentant du Gouvernement de l'Etat de Genève, M. Carlo Lamprecht, après des mots de bienvenue, a tenu à remercier les organisateurs du Salon de leur abnégation ; et à ses invités, il a souhaité de «trouver satisfaction pour leur venue à Genève».

En effet, la ville de Genève devrait constituer, dans les relations Nord Sud, un lieu privilégié de financement des projets de développement, vu sa position géographique, sa multiculturalité et son importance au niveau des relations internationales.

Paru le : 29 janvier 2003 dans le courrier (Suisse)

Menu Sélection: Le nouvel homme fort de Madagascar veut séduire les investisseurs étrangers.

Ravalomanana, héraut du «potentiel malgache» En visite en Suisse, le nouveau président de Madagascar, Marc Ravalomanana,

présente un programme radical pour doper la relance économique de son pays, un des plus pauvres du monde: attirer les investisseurs étrangers, renforcer les zones franches et encourager les entreprises privées. Une avance à marche forcée, s'inquiète la presse malgache.

PROPOS RECUEILLIS PAR GILLES LABARTHE

EMA Invest, un «Davos des pays émergeants»?

«Pays pauvres cherchent investisseurs». C'est le titre en clair de la quatrième édition de l'EMA Invest, le Salon international de

l'investissement et des nouveaux marchés qui ouvre aujourd'hui ses portes à Palexpo (Genève). Du 28 au 31 janvier, 2500 hommes d'affaires y côtoieront les représentants de 40 pays autour de stands d'information, d'ateliers et de conférences. A la base, une idée originale: «Privilégier les nouveaux secteurs économiques sans tenir compte de leur origine géographique», rappelle le secrétaire général de la fondation EMA Invest, Dominique Flaux.

Et développer en Suisse un lieu unique de rencontre entre projets de développement et investisseurs, une plate-forme internationale où les entreprises du Sud pourraient facilement accéder aux marchés des pays du Nord.

Une manière d'en finir avec les étiquettes rébarbatives des pays sous-développés ou enlisés dans des conflits internes. Une conviction, «le développement des pays pauvres passe par l'économie locale, les petites et moyennes entreprises», commente Guy Mettan, ancien rédacteur en chef de la Tribune de Genève et président d'EMA Invest.

Parmi les invités d'honneur, le nouveau président de Madagascar Marc Ravalomanana, mais aussi le très controversé Denis Sassou Nguesso, maître du Congo-Brazaville, ou encore Bernard Kouchner, et David Syz, secrétaire d'Etat à l'économie suisse. Au programme, la manifestation se concentrera sur les réalités économiques méconnues des pays d'Afrique centrale, avant de présenter Madagascar comme nouvel arrivant sur le marché mondial. A proximité de stands abritant des organisations humanitaires, on y abordera

aussi le thème provocateur de «L'aide contre le développement», pour mentionner la présence parfois incongrue de centaines d'ONG internationales qui distribuent de l'aide gratuite dans les pays émergents et tuent dans l'ouf les activités d'entreprises régionales.

Le prix du billet d'entrée pour un délégué du Sud: un peu plus de 1000 francs suisses. La surface d'exposition, elle, tourne autour de 500 francs le mètre carré. C'est cher payé pour parler de développement alternatif. Les projets modestes ou à petit budget seront donc exclus. EMA Invest bénéficie du soutien d'organisations internationales - comme la Banque mondiale - du Financial Times, de Genève place financière ou d'ABB. Une sorte de «petit Davos pour l'Afrique», résume un communiqué d'ATTAC-Genève. En ajoutant que

le continent noir «est sans doute le continent qui paie depuis longtemps le prix le plus lourd pour son insertion forcée à l'économie capitaliste mondialisée». GLe

Eco-tourisme Pour PME et petits investisseurs : JARDIN DE LA BAIE

La baie de Diego Suarez à l' extrême nord de l' île de Madagascar dans l' Océan indien est connue pour être l' une des plus belles baies du monde, la deuxième selon les grands spécialistes internationaux après celle de Rio de Janeiro. Sur 6 hectares et demi d' un site exceptionnel avec une vue imprenable sur cette magnifique baie a été conçu et est en train d' être réalisé le projet du complexe hôtelier et touristique du " Jardin de la Baie Trois centres d' intérêt distincts mais complémentaires les uns des autres constituent ce projet : un jardin botanique privé, une maison d' hôte tout confort et un établissement hôtelier de haut standing international. Sur 3 hectares sur la partie sud et sud-est du terrain faisant face à la célèbre Montagne des Français, le jardin botanique est déjà en cours de réalisation

depuis l' année 2000. Des milliers de jeunes plants endémiques de la région et du pays achetés auprès de pépiniéristes institutionnels comme le S.N.G.F. ou Silo National des Graines Forestières à Antananarivo ou la GTZ ( Organisme allemand d' aide au Développement ) à Antsiranana ou collectés par " ranching " ont déjà été transplantés à la faveur des deux dernières saisons des pluies. Ce jardin conçu pour devenir un véritable parc didactique est doublement destiné à être ouvert aux enfants de la région pour leur sensibilisation aux problèmes de dégradation de leur environnement et aux touristes étrangers pour leur faire découvrir la richesse et la biodiversité de la région septentrionale malgache et de toute la Grande Ile.

Sa réalisation a été confiée par le promoteur à la Société d' Exploitation du Jardin de la baie ou en abrégé JARDIN DE LA BAIE s.a.r.l. Sur une deuxième partie offrant un double point de vue sur la Montagne des Français et la Baie, sur deux hectares environ, est aussi déjà en cours de construction la maison d' hôte appelée " Résidence Louisiane " consistant en une somptueuse villa avec dépendances à développer ultérieurement en " apparthôtels " pour recevoir dans un contexte plus " familial " ceux qui auront choisi spécialement cette formule de séjour pour se dépayser calme et chaleureux. Et enfin sur la dernière partie située face à la baie, sur deux autres hectares environ, est prévu d' être implanté le PACHYPODIUM HOTEL, avec restaurants exotiques, bungalows de standing mais aux architectures " locales " et bien intégrées dans le paysage originel du site, entre des pachypodium, des adansonia, et autres espèces endémiques rares sans oublier les indispensables piscine et court de tennis

Besoins en savoir-faire: Le promoteur du projet, France Louis Tsialiva, 44 ans, spécialiste en Marketing management , propriétaire d' un cabinet de conseil en marketing et communication, MAMICOM s.a.r.l., qui a pignon sur rue sur la place et dans tout le pays, est engagé dans la promotion touristique de la région du nord de la Grande Ile dont il est originaire, depuis l' année 1994 où il racheta l' établissement hôtelier HOTEL ESCALE et créa la SOMEHO s.a.r.l. comme structure spéciale chargée de le gérer. Par la

suite, il développa MADCROSS s.a.r.l. pour en faire un tour opérateur spécialisé dans la découverte de Diégo Suarez et de ses environs.

Besoins commerciaux: Le promoteur est à la recherche pour MADCROSS s.a.r.l. de Business Angels susceptibles d' apporter éventuellement des moyens financiers pour le développement , mais surtout leurs connaissances en management touristique et leurs carnets d'adresses pour la commercialisation de circuits touristiques déjà existants et pour JARDIN DE LA BAIE s.a.r.l. et SOMEHO s.a.r.l. d' investisseurs privés qui pourront être intéressés séparément ou globalement par la réalisation des composantes jardin

botanique et établissement hôtelier de haut standing international ( PACHYPODIUM HOTEL ) du projet.

Les Sites Partenaires                                   ... News des Provinces

...Et en passant par TetezamitaKely

...Les 8 Familles et leurs voeux 2003

  (vu sur le site www.rainizafimanga.com)

  "Les 'Grands' parlent d'idée

  les 'médiocres' parlent d'évènements

  les 'misérables' parlent contre les personnes..."


EXPRESS MADA vendredi 21 mars 2003
EXPRESSION: Soyons pauvres et taisons nous !
Partout ailleurs dans le monde, même s'il ne s'agit que de groupuscules "folkloriques", on a manifesté, plus souvent contre la guerre que pour, dans la plupart des pays où les manifestations publiques sont permises. 
Ce n'est pourtant pas prendre ou non parti contre les Etats-Unis que de vouloir s'opposer à la loi du plus fort, à souhaiter, espérer que l'Organisation des Nations Unies puissent jouer pleinement son rôle pour garantir la paix du monde contre tous les excès des puissants. 
Ce n'est pas le sort de Saddam Hussein qui se joue aujourd'hui dans une guerre dont il n'est d'ailleurs qu'un prétexte, puisque tout le monde sait que ce sont les réserves pétrolières du pays qui sont convoitées par les Etats-Unis de George W. Bush, c'est l'avenir du droit international contre les ambitions d'un seul pays, fut-il le plus fort. C'est cette pulsion politique, anormale, qu'il fallait arrêter et que seule, aujourd'hui encore, les Nations Unies peuvent contenir et limiter. 
Si effectivement les petits pays comme le nôtre ne sont pas directement concernés par le sort des Irakiens et de leur dictateur, en revanche ils le sont, précisément sous la bannière des Nations Unies qui leur donnent une voix, théoriquement égale aux autres, pour préférer la voix négociée à celle d'un Pearl Harbour. 
Si la guerre est une aubaine pour les industries de l'armement, pour faire avancer les technologies meutrières et tester, mieux qu'en laboratoires ou dans un désert du Nevada, l'efficacité de nouvelles armes, si c'est aussi une chance pour ceux qui ont du pétrole de voir ses prix flamber, c'est un désastre économique, et donc humain, pour tous les autres pays, sans doute les plus nombreux , qui n'ont d'espoir de sortir un jour de leur pauvreté que si précisément la paix règne dans le monde. 
Malheureusement, cette paix est compromise pour une durée indéterminée, même si Saddam Hussein était physiquement éliminé aujourd'hui ou demain, parce que cette guerre revêt une dimension religieuse : on sait quand ça commence, on ne sait jamais quand ça s'arrête. 
En attendant, soyons pauvres et taisons nous !
POLITIQUE: Sénat - OIT : une disposition réciproque à améliorer l'environnement du travail 
Une visite de courtoisie, mais qui a été une occasion pour les deux personnalités de faire un tour d'horizon de la coopération bilatérale. Dayina Mayenga a ainsi indiqué qu'elle a déjà opéré à Madagascar, et annoncé sa détermination à œuvrer encore plus pour l'amélioration de l'environnement du travail. Elle insiste toutefois sur le fait que les résultats de la collaboration entre les deux parties dépendront de la volonté politique, car l'Oit ou le Bit (Bureau international du travail) ne sont que des organes exécutifs purement techniques. 
Rajemison Rakotomaharo a rappelé pour sa part la contribution de l'Oit à l'amélioration des relations qui existent entre le patronat, les travailleurs et l'administration. On indique que la coopération de Madagascar avec l'Oit existe déjà depuis trois décennies.
Teza - Prévoir un programme économique d'urgence
Ainsi, commentant les derniers événements qui se sont passés à Toliara, le Teza estime que la meilleure manifestation de la démocratie est la liberté d'expression ou d'opinion, mais cette liberté suppose aussi un strict respect de la légalité. Néanmoins, le Teza revendique des enquêtes approfondies concernant ces événements de Toliara, notamment en ce qui concerne le refus d'autoriser la manifestation prévue par le Kmmr, les violences et arrestations qui ont eu cours. Des enquêtes devraient aussi être menées pour les récents événements à l'université d'Ankatso… 
A propos de la prochaine conférence nationale pour la préparation du Document de stratégie pour la réduction de la pauvreté (Dsrp), le Teza pense que les actions prévues dans ce document devraient tenir compte des suggestions émises par les communes. A partir de ces propositions, on pourrait définir des régions économiques auxquelles on donnera tous les moyens matériels et financiers pour le développement des actions envisagées. 
Mais, face au grand événement mondial qui se déroule actuellement en Irak, le Teza propose qu'un programme économique d'urgence soit d'ores et déjà prévu, "car le conflit actuel entre les Etats-Unis et l'Irak aura des conséquences sur l'économie mondiale, et ce programme d'urgence suppléera au Dsrp en attendant que ce document puisse être effectivement appliqué…"
Revue de détails à la Gendarmerie 
Avant le demarrage du projet Mada 005, une mission militaire française évalue actuellement sur le terrain, le projet Fac 98 qui a couvert 5 ans de coopération militaire et de défense entre1998 et 2002. Le colonel Roy Amedée de la Direction générale de la Gendarmerie française, le capitaine de frégate Benoît Coppin et le commissaire Jolivet du ministère français des Affaires etrangères sont allés avant-hier jusqu'au petit village de Manaratsandry, Marovoay. Le projet Fac 98 a permis à la Gendarmerie malgache d'y implanter une brigade fluviale. Suivant les clauses de clauses du projet de coopération, une opération d'audit-évaluation est menée sur le terrain pour permettre de réorienter ou de renforcer les actions futures. Fac 98 a beaucoup apporté à la Gendarmerie nationale et la mission effectuera une véritable revue de détails dans les casernes. Les petits avions "Joker" qui ont beaucoup servi lors de l'invasion acridienne lui avaient été, à l'origine, destinés. Plus perfectionné, l'avionnet "Tetra" arrivé en 2002, sera receptionné. La maintenance et l'entretien seront du ressort des Forces aéronavales qui peuvent l'utiliser mais en cas de besoin, la gendarmerie sera prioritaire. La mission visitera des groupements, des compagnies ou des brigades dans les provinces. Fac 98 avait permis d'acquérir 70 kits de transmission prefectionnés, disséminés sur toute l'étendue du territoire, des voitures ou des bicyclettes. "Tout a été comptabilisé, la Gendarmerie n'a rien à cacher, au contraire". Un officier de maintenance revèle que "dès reception, les véhicules, s'ils sont d'occasion, sont retapés, repeints bref remis à neuf dans les quinze jours". Il ajoute avec un sourire que "ce sont des petits riens qui encouragent la encourage Mada 005 a été signé entre le général Mamizara, ministre de la Défense nationale et Mme Boivineau, ambassadeur de France. Le projet avait été finalisé lors d'une visite du général De Vaissière.:
Service de sécurité - Séminaire américain pour la Dgidie 
Des instructeurs du département d'Etat américain viennent d'achever un séminaire de deux semaines dans le but d'améliorer la capacité de Madagascar à assembler et apprécier les informations obtenues par les services de sécurité. Le séminaire était destiné au personnel de la Dgidie et vise à améliorer la capacité de l'organisation : analyser et comprendre les problèmes auxquels Madagascar doit faire facen tel que le terrorisme international, le trafic de drogues et d'autres activités illicites. 
Grâce à cette nouvelle connaissance, la Dgidie sera plus apte à donner des conseils aux leaders et au gouvernement malgaches sur les actions à entreprendre. Ceci aidera aussi le gouvernement à utiliser ses ressources comme il faut afin de protéger la Constitution et les citoyens de Madagascar contre ce qui menace son indépendance.
Epidémie de pneumonie atypique 
Des dispositions ont été entreprises au sein du ministère de la Santé afin d'éviter l'entrée de l'épidémie de pneumonie à Madagascar, qui sévit dans le monde entier actuellement, notamment en Asie, Europe et en Amérique. Ces propos émanent du ministre de la Santé le Pr Andry Rasamindrakotroka hier, à l'issue de sa rencontre avec la Conseillère chargée de suivi-enfant au sein de l'Unicef à New York Begkoyin, en mission à Madagascar du 18 au 28 mars. Une note d'avis de vigilance a été communiquée par le Service de santé aux frontières pour une alerte sanitaire et un dispositif de prévention, vu la menace à l'échelle mondiale de l'épidémie de pneumonie atypique déclarée depuis fin février en Asie du Sud-Est. 
Ainsi, cette note est destinée à tous les responsables médicaux chargés de la prévention sanitaire aux ports et aéroports, aux frontières de Madagascar, pour une vigilance à la surveillance, aux dépistages et interventions immédiates afin d'enrayer tous risques de propagation du germe à l'intérieur du territoire. Madagascar est comme l'essentiel de tous les pays du monde ouverts au trafic international, donc le pays n'est pas épargné des risques d'entrée du germe rapporté par d'éventuels voyageurs débarquants et portant la maladie. Il a été recommandé à tous les responsables des directions provinciales de santé et des districts sanitaires des ports et/ou aéroports internationaux de veiller à toutes les mesures à entreprendre. Il s'agit de recueillir auprès des commandants de navires ou d'aéronefs si durant le voyage un ou des passagers présentent des signes inquiétants de maladie; d'observer discrètement tous ceux qui débarquent des navires ou aéronefs lors de leur défilé de descente avant la sortie des contrôles de Police. S'il est démontré qu'un voyageur a une contamination effective, il bénéficie de soins spécifiques appropriés en isolement sanitaire provisoire jusqu'à l'élimination des risques de transmission la maladie à d'autres. 
La baisse du taux de mortalité maternelle et infantile a été également discutée lors de cette rencontre, où la priorité au traitement ainsi qu'à la prévention sera au programme du département de la santé défini dans le Business plan.: 
Selon le ministre Marcel Ranjeva 
Une exposition consacrée à la coopération Madagascar-Francophonie a été été inaugurée hier à la Bibliothèque nationale. La manifestation a été inauguré par le ministre des Affaires étrangères Marcel Ranjeva et Mme Boivineau, ambassadeur de France. De nombreux membres du gouvernement et représentants diplomatiques et d'institutions internationales ont honoré l'évènement. 
Dans son allocution le chef de la diplomatie malgache a affirmé que "le renforcement de la coopération au sein de la communauté francophone constitue une grande opportunité de réussir l'indispensable réorientation des actions du gouvernement malgache pour le développement rapide et durable". La coopération de l'Organisation internationale de la Francophonie touchent principalement aux domaines de l' éducation-formation, la promotion des valeurs démocratiques ou la consolidation de l'État de droit. La promotion de la langue française s'inscrit dans une politique de promotion des langues nationales ou des partenaires. Le mouvement francophone est née le 20 mars 1970 de l'initiative des 3 hommes d'État africains, à savoir Léopold Sédar Sengo, Habib Bourguiba et Hamani Diori, animés par le désir de maintenir une coopération mutuellement avantageuse avec la France. L'Acct (Agence de coopération culturelle et technique) devient en 1997 l'Agence intergouvernementale de la Francophonie. Elle est l'unique opérateur de la Francophonie. Une conférence-débat "La Francophonie et le développement rapide" au ministère des Affaires étrangères est prévue. 
"L'ESSENTIEL EST DE GAGNER LA PAIX ET PLUS DE SECURITÉ DANS LE MONDE" 
De retour du 7ème sommet des pays du Comesa tenu à Khartoum, le général Marcel Ranjeva, ministre des Affaires etrangères, réagit à la deuxième guerre du Golfe pour réaffirmer l'appartenance de Madagascar à l'Organisation des Nations unies et sa fidelité à la Charte. "Madagascar, membre de l'Onu, respecte la Charte des Nations unies et nous pensons que l'essentiel c'est de gagner la paix et plus de sécurité dans le monde".

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Six heures pour le peuple Malgache

SAMEDI   22   Mars   2003

Au 17, rue de l’Avre 75015  PARIS – métro : La Motte-Piquet-Grenelle

Sur le thème :  Madagascar, un an après 

Programme :

            - 16 h   Panneaux d’exposition photos-découpures de presse ; films vidéo,…

            - 18 h    Conférence débat : - Rétrospective de la crise de 2002

- Situation actuelle et perspectives : propositions d’actions pour soutenir le peuple malgache.

Table-librairie sur Madagascar et la Françafrique

Buffet avec des spécialités malgaches

 

Cette journée est organisée par le CSPMD, créé en juin 2002, au plus fort de la longue crise qui a suivi l’élection présidentielle de décembre 2001 et suite à l’appel de l’AEOM  pour soutenir le peuple malgache en danger du fait des agissements criminels de l’ancien président Didier Ratsiraka et de ses partisans.

On se souvient que, en réponse au désaveu électoral infligé par la majorité des Malgaches le 16 décembre 2001, le président sortant Didier Ratsiraka, déterminé à se maintenir au pouvoir, n’avait pas hésité à commanditer des actes des plus répréhensibles envers son peuple et son pays : utilisation de mercenaires surarmés pour terroriser la population et exercer des violences sur elle, sévices, tortures, assassinats, destruction de biens publics, dynamitage des ponts et pylônes électriques, incitation à la haine tribale, actes de sécessions de certaines provinces, etc. En véritable chef de guerre, l’amiral Ratsiraka a usé des moyens les plus barbares pour asphyxier la vie économique du pays et pour saigner à mort les populations, en un mot, pour perpétrer un génocide caractérisé.

Ces crimes ont eu les pires répercussions sur la vie du pays et jusqu’à longtemps encore. Ils s’inscrivent dans la politique de l’ancien président qui, en 25 ans de pouvoir, a institutionnalisé la prédation, le détournement des deniers publics pour assouvir ses intérêts personnels et de ses proches fidèles, et pour servir ceux de ses souteneurs, notamment les intérêts français.

Ce dictateur et ses acolytes ont fui le pays, en juillet 2002, et trouvé asile en France pour services rendus. La fuite de l’ancien président Didier Ratsiraka, couverte par les autorités françaises, et la reconnaissance internationale des nouvelles autorités n’ont pas fini de mettre en danger le peuple malgache. La capacité de nuisance de Ratsiraka, bien qu’amoindrie, est loin d’être neutralisée.

 

Le CSPMD est solidaire de tous ceux qui oeuvrent pour que les crimes de l’amiral Ratsiraka et de ses collaborateurs, notamment ceux commis pendant la crise de 2002, ne restent pas impunis. Cela non pas par pure vengeance, mais surtout pour que l’impunité, à l’avenir, ne devienne une habitude, ni à Madagascar, ni dans tout autre pays.

Dans cette lutte contre l’impunité, joignons nos efforts pour un soutien actif et multiforme à tous ceux qui se battent, notamment à Madagascar, dans des conditions difficiles, afin que Didier Ratsiraka soit traduit devant une juridiction internationale au cas où la justice malgache ne serait pas habilitée à le juger sur place ou si la France refusait l’extradition.

Dans ce sens, soutenons l’action de Sos aux victimes du non droit de l’ancienne députée Mathilde Rabary qui a déposé une plainte auprès de la Commission des droits de l’homme des Nations unies à Genève selon la procédure 1503.

Soutenons le combat de l’Association des victimes qui vient de se créer à Madagascar pour déposer auprès de la justice malgache les plaintes et les témoignages des victimes de toutes les régions de l’île, afin d’enclencher les procédures de jugement de Didier Ratsiraka. Elle a lancé un appel international d’aide financière pour continuer d’agir au service des victimes. Pour plus d’informations, contacter : aeom@ras.eu.org et www.aeom.sgdg.org ; ou CSPMD, 17 rue de l’Avre, Paris 15e 

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