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... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...

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Big News...
Film - "Nenina", un mélodrame sur VCD
Film - "Nenina", un mélodrame sur VCD.
La jaquette du VCD de "Nenina".
"Nenina", le dernier bébé de Kambana Production, ne faillit pas à la règle. Ce film, écrit par Doan Tan Khan Cynthia et réalisé par Rivohanta Dinaniaina Tinasoa est disponible, depuis quelques jours, sur le marché.
En près de 70 minutes, "Nenina" raconte les déboires d'un jeune homme qui n'a vraiment pas de chance. Délinquant, atteint d'une maladie sexuellement transimissible qui l'aura rendu stérile, il a du mal à cacher son dégoût de la vie, et veut en finir tout de suite.
On l'aura deviné : "Nenina" fait dans le mélodrame, un genre assez négligé par les cinéastes locaux. Préparez vos mouchoirs !
Express Mada (Vavah Rakotoarivonjy )
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Ny Fomba malagasy sur rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>
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Lettre
de la SMAPRI (Mutuelle de Madagascar)
une
famille malgache victime d'une fuite de gaz à Avignon
Bonjour,
Vous avez sûrement appris par les média le décès de nos 4 compatriotes d'Avignon, suite à une fuite de gaz dans leur immeuble.
C'est une perte terrible pour la famille. Nous partageons leur peine et leur présentons toutes nos condoléances .
Je me permets, par la présente, de vous donner quelques informations sur cette actualité douloureuse qui frappe de plein fouet la communauté malgache en France :
-la famille va engager une poursuite contre les HLM, propriétaire gestionnaire de l'immeuble.
-la préparation du rapatriement des corps est en cours. Comme les victimes sont adhérentes à la Mutuelle de Madgascar (SMAPRI Madagascar), c'est la Mutuelle qui prend en charge le rapatriement des corps, paie un billet Paris Antananarivo (A/R) à un membre de la famille ( par victime ) et verse une somme forfaitaire par victime pour aider la famille à Madagascar afin que les enterrements puissent se faire dans la dignité.
Cordialement
Dera Ramandraivonona
Président de la SMAPRI Madagacar
Pour plus d'informations sur la Mutuelle de Madagascar, vous pouvez consulter son site
http://www.mutuelledemadagascar.com
Rapatriement
des corps des Malgaches victimes de fuite de gaz à Avignon (en France).
La
communauté malgache en France a été frappée de plein fouet par
l’accident dû à une fuite
de gaz dans un immeuble à
Avignon (France). Quatre personnes d’une même famille (les deux parents
et deux de leurs enfants) ont péri, cinq personnes hospitalisées dont
une dans un état toujours critique.
Cet
événement a suscité de vives émotions dans le milieu malgache en
France et déclenché un élan de solidarité dans la communauté malgache
d’Avignon.
Les
corps des victimes arriveront par le vol Air
Madagascar qui atterrira à Ivato
ce jeudi 26 janvier à 6 heures du matin. Ils seront acheminés sur
l’aéroport d’Antseranana ( Diégo Suarez) d’où sont
originaires les victimes.
Les
quatre personnes décédées sont membres de la Mutuelle de Madagascar
(devenue SMAPRI Section Madagascar depuis 2002). C’est la Mutuelle de
Madagascar qui s’occupe de toutes les formalités administratives pour
les déclarations et les transports des corps. Elle
prend entièrement en charge les frais de rapatriement des corps
d’Avignon jusqu’à l’aéroport d’Antseranana. La Mutuelle de
Madagascar paie aussi les billets (Aller/ Retour) de quatre personnes (une
personne par victime) désignées par la famille pour assister aux obsèques.
En outre, elle verse une allocation forfaitaire de 305 € par adulte et
de 125 € par enfant pour aider la famille aux dépenses sur place afin
que les enterrements puissent se faire dans les honneurs et dans la dignité.
Si
on n’est pas affilié à une telle mutuelle, les rapatriements de corps
de la France à Madagascar coûtent
très cher. La cotisation à la Mutuelle de Madagascar pour bénéficier
des prestations ci-dessus est de 16 €
par an pour une personne âgée de 21 à 40 ans. L’adhésion à
la Mutuelle de Madagascar
est un acte de prévision pour soi, une action
de solidarité et une grande aide pour les familles et les amis en
France et à Madagascar.
Pour
plus de plus de
renseignements, vous pourrez consulter le site de la Mutuelle de
Madagascar
http://www.mtuelledemadagascar.com
ou
écrire à son siège social : SMAPRI Section Madagascar
Tour
Montparnasse 40ème étage
75
755 PARIS CEDEX 15
adresse
e-mail : mutumada@numericable.fr
ou
téléphoner au 01 40 64 86 86 de 9 heures à 16h30 ou au 06 09 04 40 67
après 18h
« Ny
entan-jarai-mora zaka ». Telle
est la devise de la Mutuelle de Madagascar
Signé :
Dera RAMANDRAIVONONA
Président
de la Mutuelle de Madagascar
Eurosport.fr
21/01/2006
Football
CAN 2006 - L'Egypte frappe d'entrée
Pour le match d'ouverture de "sa" CAN, l'Egypte n'a laissé aucune chance à la Libye (3-0), vendredi, au Caire. Emmenés par l'ancien Marseillais Mido, les Pharaons ont confirmé leur potentiel offensifs avant les deux chocs face au Maroc et à la Côte d'Ivoire.
EGYPTE - LIBYE : 3-0
Buts : Mido (17e), Abo Trika (22e) et Ahmed Hassan (77e)
Wanadoo.mg
21/01/2006
" Taux de croissance et niveau de vie, c'est possible de les doubler, voire les tripler ", d'après James Bond
Madagascar, un des pays les pays les plus pauvres du monde se trouve à la 155e place sur 170 pays en matière de développement humain et de croissance, selon la Banque Mondiale.
Le secteur privé malgache ne peut investir que 200 millions de dollars par an
© DTS
Depuis 15 ans, le niveau de vie de la population a tellement diminué et les investissements stagnants. Il faut doubler les investissements.
PIB INSUFFISANT
" La richesse créée chaque année à Madagascar, appellée communément PIB, est de l'ordre de 5 milliards de dollars, soit 10.000 milliards d'ariary. Ce qui nous donne 300 dollars de revenu par habitant chaque année", a déclaré James Bond, directeur des opérations de la Banque Mondiale pour Madagascar, Les Comores et l'île Maurice, lors de l'ouverture d'un atelier sur le climat des investissements à Madagascar. Un constat amer par rapport au nombre de la population de la grande île, plus de 17 millions qui ne cesse de s'accroître de 2,8% par an et un taux de mortalité infantile de moins de 5ans de l'ordre de 94 pour milles.
Selon toujours le directeur des opérations de la banque mondiale, "depuis 15 ans, les investissements annuels en moyenne à Madagascar ne dépassent pas les 15% du PIB, soit 750 millions de dollars. La moitié assurée par le secteur privé et l'autre moitié par l'Etat." "C'est insuffisant, car il faudrait doubler" affirme toujours le représentant de cette institution de Bretton Woods.
"C'EST POSSIBLE DE DOUBLER LE REVENU"
" Il faudrait investir 30% du PIB annuel soit 750 millions de dollars de plus par an pour arriver à un niveau de vie de 1400 à 1500 dollars par habitat. Dans ce cas, on arrivera à 10% de croissance annuelle", continue James Bond.
L'Etat est prêt aux changements, souligne le premier ministre Jacques Sylla
© DTS
Mais trouver 750 millions de dollars annuellement pour arriver à des investissements de l'ordre de 30% du PIB est difficile. Les opérateurs nationaux n'arrivent qu'à investir annuellement 200 millions de dollars. "C'est pas très lourd 750 milions de dollars par an. Si chaque opérateur avance 1 millions de dollars chaque année, on y arrivera" reconnaît M. Barday, un des gros industriels de la place. Mais le problème reste quand même entier car la grande île ne compte qu'une centaine d'entreprise de production et dont la plupart a des difficultés financières.
Le reste doit donc venir des investissements directs étrangers (IDE). IDE qui, au total, ne faisaient que 45 millions de dollars en 2004, selon les statistiques du GUIDE. Mais 2006 est une année pré-électorale, et les observateurs sont peu pessimistes qu'elle sera une année d'investissement.
"Les investissements sont actuellement moroses. Les investisseurs aiment mieux attendre les résultats des élections pour venir", a fait remarquer un investisseur malgache.
L'Etat aussi a son rôle dans ce jeu : assurer un environnement stable aux investisseurs. Un rôle que le gouvernement va assumer. " l'Etat est prêt aux changements à travers l'amélioration des cadres reglémentaires, les mesures incitatives aux investissements, le changement de mentalité", rassure le chef du gouvernement Jacques Sylla. Le premier ministre qui rêve d'une " Madagascar, la plus belle des belles". Un rêve que l'on peut réaliser.
©DTS
Midi
Mada 18/01/2006
REVENUS. L’écart entre les plus riches et les plus pauvres a toujours été décrié partout. A Madagascar, il est flagrant. Mais il y a pire ailleurs.
Rapport entre riches et pauvres, 10 à 19 fois plus grand !
Pour avoir une idée de l’écart entre les revenus des Malgaches les plus riches et les plus pauvres à Madagascar, sachons que les 20% les plus riches disposent de 54% des revenus et les 40% les plus pauvres disposent de 13%.
Hanitra R.
Entre les deux, les ménages dont le revenu est jugé « assez faible » ou alors « moyen », n’indiquant pas une extrême pauvreté sans pour autant rouler sur l’or. En effet, d’après les statistiques du rapport sur le développement humain d’une part et celles relevées dans « La situation des enfants dans le monde en 2006 » (UNICEF), cet écart est tout à fait quantifiable. Et pour en établir un rapport plus précis, il ressort que les 10% les plus riches de Madagascar affichent un rapport de revenus de 10 à 19 fois plus grand que les 10% les plus pauvres. Dans l’ensemble, 61% des Malgaches vivent avec moins de 1 dollar par jour.
Impacts
Parmi les « 10% les plus riches » figurent ainsi les plus grosses fortunes de l’île et « les 10% les plus pauvres » sont ceux qui vivent dans la plus grande précarité, mais pas nécessairement des sans-abris. En fait, ces chiffres et pourcentages indiquent l’inégalité dans la répartition des revenus et ceci est perceptible au niveau du quotidien de la population. Au-delà des indicateurs purement économiques, l’ampleur de la situation se mesure dans chaque ménage, notamment en matière de nutrition, de santé, d’éducation et de logement, les conditions fondamentales pour permettre une évaluation du niveau de vie. Mais quels que soient les impacts de cet écart, ceux-ci sont plus palpables sur les enfants dont les plus pauvres n’ont pas accès aux divers éléments de leur survie. Mais la richesse autant que la pauvreté ne sont pas perçues de la même manière par les adultes et les enfants.
Il faut savoir que le cas de Madagascar est loin d’être isolé. La même situation, le même écart entre les plus riches et les plus pauvres, est vécue dans de nombreux pays du monde. C’est le cas notamment en Afrique australe, mais également en Amérique du Nord où le rapport entre les 10% les plus riches et les 10% les plus pauvres est le même qu’à Madagascar : 10 à 19 fois plus grand. Mais en Afrique du Sud, l’écart est encore plus flagrant : le rapport est au-delà de 60 fois plus grand. Au Japon, en France, en Egypte, il est de 0 à 9 fois plus grand.
Xinhuanet
16/01/2006
Madagascar: les forces de l'ordre déploieront cette année l'artillerie lourde
Les forces de l'ordre malgaches déployeront cette année l'artillerie lourde pour lutter contre l'insécurité, a-t-on appris lundi de source militaire.
les forces de l'ordre comptent sur la collaboration des communautés villageoises pour indiquer les localités sensibles aux actes de banditisme (zones rouges).
Par ailleurs, la lutte contre les incendies en milieu rural sera également intensifiée cette année. Chaque année, plusieurs maisons voire un village entier sont décimés par le feu.
Selon la même source, les "dahalo" (voleurs armés de zébus) ne pourront plus dormir sur leurs lauriers. La population en milieu rural n'en demande pas moins car, au même titre que la corruption, l'insécurité est un fléau qui handicape sérieusement la productivité et donc le développement.
Rappelons que les forces de l'ordre, mal équipées, n'ont que des armes légères maintenant tandis que les bandits sont bien équipés d'armes à Madagascar
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'Grands' parlent d'idée
les 'médiocres'
parlent d'évènements
les 'misérables'
parlent contre les personnes..."
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Tribune
18/01/2006
Drame
d’Avignon : Trois personnes toujours hospitalisées
L’accident de gaz dans un immeuble à Avignon la semaine dernière, avait fait plusieurs victimes dont des ressortissants malgaches. Selon nos informations, trois autres Malgaches sont toujours hospitalisés dont un enfant de 11 ans. Et d’après une source proche de la famille, un prêtre malgache fait partie des victimes; il se trouve dans un état jugé très critique. Se trouvant dans un état comateux depuis quelques jours, la vie de cet aumonier est en danger. Par contre l’état de santé des deux autres ressortissants s’améliorent au fil des jours.
Un représentant du consulat malgache à Marseille s’est déjà déplacé sur les lieux afin de constater de visu ce drame.
Pour l’instant, aucune information officielle n’a été avancée. Car, “ les enquêtes menées par les autorités françaises se poursuivent actuellement. Les résultats permettront d’établir les responsabilités de ce sinistre “, selon le ministère malgache des Affaires étrangères. Une source hospitalière a confirmé que l’autopsie des corps des victimes se fera ce jour. La police française accompagnée par des spécialistes a déjà effectué l’analyse des échantillons d’air dans la chambre des victimes. Le premier indice a confirmé la thèse d’intoxication par l’émission de gaz carbonique, suite à une défection du tuyau de chauffage de l’immeuble. A signaler qu’une vieille dame ( la mère de l’une des victimes ) a été admise à l’hôpital pour des raisons inconnues, quelques jours avant l’accident.
Une source auprès des familles des victimes a également signalé que les occupants de l’immeuble (HLM ) ont déjà informé les responsables de la commune quelques semaines avant le drame, la vétusté des installations de cet immeuble, mais en vain. C’est ainsi qu’elles ont déposé une plainte au tribunal. Une enquête sera bien évidemment ouverte sur cette affaire.
Alphonse M.
Jeune
Afrique 17/01/2006
Les prix des légumes augmentent de 25% à 50%
par XINHUA
Les prix des légumes ont connu une hausse de 25% à 50% depuis le début de cette année, selon la presse locale.
Cette tendance a notamment été observée depuis l'annonce de la hausse du salaire des fonctionnaires faite le 6 janvier par le président malgache Marc Ravalomanana.
Presque toutes les variétés de légumes ont connu une révision des prix sans raison apparente. Mais, ce sont les petits pois qui tiennent le record. Pour les pommes de terre, la hausse varie de 100 à 200 Ar (2 150 Ar équivalent à un dollar). Les carottes sont actuellement vendues à 1 200 Ar le kilo au lieu de 800 Ar au mois de décembre.
Même chose pour les choux vendus à 600 Ar il y a un mois, leur prix s'élève à 1 200 Ar à l'heure actuelle.
Les commerçants sont unanimes à admettre que cette fluctuation tarifaire provient des paysans producteurs. C'est une situation normale en cette période de soudure, affirment certains.
Une baisse des prix n'est à espérer que vers le mois d'avril.
Sobika.com
17/01/2006
Tennis
- Open d'Australie : Dally Randriantefy éliminée
Après avoir annoncé finalement son retour à la compétition sur le plan mondial, Dally qui étant 68eme joueuse mondiale était qualifiée d'office pour le premier tournoi du grand chelem de l'année, s'est faite éliminée par la modeste joueuse Akgul Amanmuradova au premier tour.
Cette défaire inopportune risque de démotiver un peu plus notre seule athlète mondiale dans une discipline majeur
Akgul Amanmuradova, Ouzbékistan, bat Dally Randriantefy , Madagascar, 6-3, 2-6, 6-1
Express
Mada 18/01/2006
REMANIEMENT ÉCARTÉ - RAVALOMANANA MAINTIENT SON ÉQUIPE
Marc Ravalomanana est catégorique sur le maintien du gouvernement Sylla.
Le président de la République a mis un terme aux supputations en affirmant de façon catégorique qu’il n’effectuera aucun changement dans le gouvernement.
Le président Ravalomanana a mis fin au suspens. Après une semai- ne marquée par
les folles rumeurs de remaniement, le chef de l'Etat a officialisé sa position du moment. Il n'y aura pas de grandes lessives au sein du
gouvernement.
"Je ne change pas d'équipe gouvernementale. Elle a atteint les objectifs que je lui ai assignés", a-t-il précisé en marge de la validation de la politique générale de l'Etat 2006 (PGE) à Iavoloha hier. "Ce qu'il faut faire, c'est quelques retouches en cas de besoin", a continué le locataire d'Ambohitsorohitra.
Pour montrer sa détermination à travailler avec le gouvernement actuel, le Président de la République a mis en exergue l'esprit qui a prévalu lors de l'élaboration de la PGE. "Contrairement à l'année dernière, la PGE 2006 a vu la participation de tous les responsables ministériels. Beaucoup de propositions ont rejailli lors des débats animés", a-t-il certifié pour montrer l'implication du gouvernement dans la conduite des affaires nationales.
Depuis deux semaines, des rumeurs ont circulé pour filtrer l'imminence d'un remaniement. Les bruits ont été amplifiés par certains mouvements aperçus à la présidence. A un moment donné, le nom d'un "futur" premier ministre a même été étalé sur la place publique, par médias interposés.
Ballon-sonde.
La déclaration présidentielle rassure les membres du gouvernement.
La déclaration du chef de l'Etat, lors de la présentation de vœux des corps constitués du 6 janvier, a été interprétée par certains observateurs comme un signe prémonitoire de changement de gouvernement. Le président Marc Ravalomanana a souligné son "insatisfaction", selon ses termes, des travaux réalisés.
Le verre à moitié vide ou à moitié plein, c'est selon. Le chef de l'Etat s'appuie sur les "réalisations des 80% des tâches confiées au gouvernement pour l'année dernière". La seule condition émise par l'ancien maire de la capitale est "l'adaptation de la vitesse des autres à la sienne", comme il l'a annoncé.
Lundi, Moxe Ramandimbilahatra a crevé le ballon de sonde dont le nom de(s) l'initiateur(s) reste(nt) inconnu(s). "Nous ne parlons même pas de remaniement au sein de la présidence", avait déclaré lundi le conseiller du Président de la République.
Avec la décision de maintenir le gouvernement à sa place, le chef de l'Etat a donc "choisi la stabilité", a analysé le député Laurent Ramaroson. Le secrétaire général de l'Avi "ne souhaite pas apporter plus de commentaires", à l'annonce du Président de la République. "Aucune retouche n'a été faite sur l'équipe en place", a-t-il continué.
A l'allure où vont les choses, le chef de l'Etat est parti avec ce gouvernement jusqu'à la fin de son mandat actuel, et pourquoi pas pour briguer un mandat supplémentaire. Il n'est pas exclu que chef de l'Etat privilégie la stabilité au lieu d'une équipe capable d'impulser une nouvelle dynamique au gouvernement.
"L'heure n'est plus aux discours ni aux instructions. Le temps est à l'action", a soutenu le président Marc Ravalomanana lors de sa visite à Antanifotsy, lundi. Il veut surtout éviter la période d'adaptation d'une éventuelle nouvelle équipe et les contraintes du ralentissement de la machine administrative pendant les périodes préélectorales.
Jacques Sylla, annoncé partant, reste plus que jamais à sa place.
Ce choix n'est pas sans conséquences sur le plan politique. "Le chef de l'Etat lui-même a concédé que seuls 80% des tâches confiées au gouvernement ont été réalisées. Avec l'option de la continuité, je trouve que, personnellement, le chef de l'Etat doit désormais assumer lui-même la responsabilité de la performance ou non de l'Exécutif. Il ne dispose plus de fusible", a commenté Olivier Rakotovazaha, membre du parti MFM. Du côté de l'opposition, la question ne l'intéresse même pas.
"Quelle que soit le changement du gouvernement, cela ne change rien", a déclaré Alain Ramaroson.
Iloniaina A.
Wanadoo.mg
17/01/2006
Le riz : notre chère nourriture !
"Sécheresse dans l'Alaotra : la production de riz menacée"...brrr. Rien que ce grand titre de
L'Express de Madagascar fait ronger les ongles aux malgaches qui se nourrissent essentiellement du riz. "La saison rizicole ne se présente pas bien dans la région de
l'Alaotra. L'absence de pluie dans ce grenier à riz de Madagascar commence à se faire sentir", écrit Iloniaina Alain. "Si cette situation perdure jusqu'au mois de Février, la saison rizicole dans la région risque de subir de sérieux désagréments", rapporte le journaliste suite à un entretien avec un technicien agricole de cette région. Une production rizicole de
l'Alaotra, qui, l'an dernier, a été victime d'une grande intempérie!
De son côté, La Gazette de la Grande île rapporte que "la récolte est bonne pour la plaine de
Betsimitatatra". "C'est le riz de première saison ou vary aloha que les riziculteurs collectent en ce moment à Ambohimanarina et ses environs...avec un rendement de 3 tonnes 500 kg à l'hectare", écrit Mbola R. Cette journaliste rapporte aussi dans la rubrique société "l'origine de la malnutrition" à Vangaindrano et Manantenina : inondations des rizières dues à des fortes précipitations.
Les Nouvelles rapporte la déclaration du Chef de l'Etat Marc Ravalomanana, lors de son déplacement à
Antanifotsy, hier. " Le président Ravalomanana à Antanifotsy demande aux paysans d'améliorer leur vie", titre Johanna
Randrianasolo.
"Que cette région soit la réference tant dans les domaines de la culture que de l'élevage", cite la journaliste dans son article. Et aussi la hausse du prix du lait aux paysans qui devrait passer de 400 ariary à 600 ariary le litre.
Madagascar Tribune écrit un grand article sur "le secteur informel" :
"L'Etat tolère l'informel pour de multiples raisons". Un secteur qui a pris de l'ampleur dans les années 80 suite à " l'incapacité de
l'Etat de répondre aux besoins fondamentaux de la population dans les domaines de l'emploi, la santé, du logement et de l'éducation ", écrit Andry
Raharison. Un secteur servant aussi à la population de survie.
Quant à Midi Madagasikara, il parle surtout de la Jirama. " Le délestage reste une menace malgré les 125 millions de dollars" met en titre Edmond
Rakotomalala; en rapportant les déclarations des responsables que "la Jirama aura de nouveau son équilibre financier en 2007 et renouera avec les bénéfices en 2008". La
Jirama, qui, en espace de six mois, a fait monter de 65% les tarifs mais dont les résultats financiers restent pratiquement les mêmes : une différence de 7 milliards
d'ariary par mois entre ses dépenses et sa recette.
©DTS
Nosintsika
21/01/2006
Productions
agricoles à Madagascar de 1960 à 2000
Salut à tous,
Nous vous proposons ci-dessous des statistiques sur la production nationale de riz et de manioc, de 1960 à 2000.
Brève analyse des chiffres :
- la surface cultivée, même si elle a augmentée en 40 ans, de 40% pour le riz, et de 100% pour le manioc, ne represente que moins de 3,5 % de la surface du pays.
- le rendement moyen ne sera passé en 40 ans que de 1,9 à 2,1 tonnes/ha pour le riz
- la production totale n'a pas été à la mesure de l'évolution démographique. La production par tête est passée en 40 ans
de 268,6 kg/an à 165,1 pour le riz.
Esperons que cette "stagnation/décadence" est en phase de retournement depuis 2001-2002.
@ +
Les moderateurs Nosintsika
Nota : les séries de chiffres sont toujours aussi difficiles à reproduire. Ici, l'ordre chronologique est de droite à gauche.
Et si vous voyez plus de 3 lignes en dessous de riz ou en dessous de manioc, reportez-vous au site internet mentionné
Tableau 5.7. Tendances agricoles à Madagascar
1996-00 1991-95 1986-90 1981-85 1976-80 1971-75 1966-70 1961-65
Riz
1191 1166 1142 1183 1147 1042 986 843 Superficie cultivée (1000 ha)
2,1 2,1 2,0 1,8 1,8 1,9 1,8 1,9 Rendement (tonnes/ha)
165,1 186,5 200,7 212,0 237,6 258,9 269,6 268,6 Production par tête (kg/an)
Manioc
355 346 338 323 249 195 178 165 Superficie cultivée (1000 ha)
6,7 6,8 6,7 6,0 6,2 6,3 6,4 6,1 Rendement (tonnes/ha)
157,2 179,5 200,7 198,0 178,4 164,5 172,0 172,8 Production par tête (kg/an)
Source : FAOSTAT in http://www.ilo.cornell.edu/images/th5.3.pdf
Sobika.Com
21/01/2006
l'ingénieur présumé malgache enlevé en irak est kenyan
NAIROBI, 20 janvier (XINHUANET) -- Le gouvernement kenyan a confirmé que deux ingérieurs avaient été enlevés en Irak, a rapporté vendredi le quotidien "Daily Nation".
Moses Munyau et George Noballa, tous deux employés par "Iraqna Telecommunications", succursale de la compagnie égyptienne " Orascom Telecommunications", ont été kidnappés mercredi dernier alors qu'il se rendaient à Bagdad.
"Ils se déplaçaient dans un convoi à Bagdad le 18 janvier lorsqu'ils ont été attaqués et enlevés", a fait savoir Wanjira Nyagah, un responsable du ministère des Affaires étrangères.
Le ministère a demandé à son ambassadeur de faire tout son possible pour garantir la libération des otages, a indiqué ce responsable, ajoutant que le gouvernement avait également contacté les autorités égyptiennes afin d'obtenir leur assistance.
Dix Irakiens qui escortaient le convoi ont été tués dans cette attaque.
Jusqu'ici, aucune demande de la part des rebelles n'a été signalée au gouvernement kenyan, ni à la compagnie "Orascom Telecommunications", selon la même source
Les
Nouvelles 21/01/2006
Roland Ratsiraka
se déclare candidat à l’élection de 2007
Le maire de Toamasina a-t-il décidé de suivre les traces de son oncle Didier Ratsiraka ? Il a, en effet, annoncé hier au Hilton Madagascar sa candidature à l’élection présidentielle de 2007. L’homme a livré les raisons d’une telle décision-surprise.
Roland Ratsiraka étonne plus d’un. Alors que les partis et les hommes politiques, tant du pouvoir que de l’opposition, n’affichent pas encore leur position et leur stratégie face aux élections à venir, c’est en compagnie de sa femme, Marcelle Ratsiraka, que le maire de Toamasina a annoncé hier au Madagascar Hilton sa candidature à la présidentielle de 2007. Plus étonnant encore puisqu’il devance le président de la République Marc Ravalomanana qui n’a pas encore fait, lui-même, d’annonce officielle sur ce point.
C’est suite aux demandes venant des différentes provinces et même celles de ma région natale, et après consultation des membres de la famille, que j’ai pris cette décision a-t-il ajouté. Il a annoncé que pour avoir une stabilité sociopolitique, il faut au pays un projet de société adéquat. Et Roland Ratsiraka de faire le profil d’un chef d’Etat : Il doit être sage, protecteur de tous les Malgaches, défenseur des valeurs morales, ancestrales et républicaines a-t-il souligné.
Le candidat-surprise a demandé à ce que le régime en place soit clair sur la date exacte des élections. On peut choisir la date de la présidentielle à partir des deux dates d’investitures du président de la République actuelle, soit le 21 février, soit le 6 mai. Mais le mieux serait le 21 février. Comme ça, on ne pourra pas m’accuser de cumul de fonction a-t-il expliqué.
Initiative trop prématurée ? Le maire de Toamasina a tenu en tout cas à affirmer qu’il faut oser . Pour le neveu de l’amiral Didier Ratsiraka, il faut faire face aux intimidations du régime actuel, non seulement envers les hommes politiques mais aussi les entrepreneurs et les simples citoyens .
Toutefois, Roland Ratsiraka n’a pas voulu donner d’informations supplémentaires sur son projet social, ni sur la stratégie avec laquelle, il va mener sa campagne électorale. Il a tout simplement annoncé qu’il va entreprendre un tour de Madagascar pour sensibiliser la population sur sa candidature. Il a précisé que son programme sera aaxé sur le développement de tous les Malgaches sans exception.
Par ailleurs, le maire de Toamasina n’a pas voulu préciser s’il se présente en tant que candidat libre ou avec le soutien d’un parti politique. Il a reconnu toutefois qu’il épouse les idées du 3FN sur un gouvernement de transition et la réconciliation nationale sans affirmer pour autant une alliance avec l’Arema, le parti créé par son oncle Didier Ratsiraka. Le parti dont il devrait faire logiquement parti.
Enfin, le maire de Toamasina n’a fait aucune allusion à d’éventuels démêlés judiciaires à venir, pourtant évoqués et avancés par son entourage comme expliquant sa candidature inattendue et précoce, pas plus qu’il n’a annoncé son départ, hier soir par le vol Air France, pour Paris.
Sitraka Razafimahefa
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