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... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...

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Big News...
CAN
2006:RESULTATS ET CLASSEMENT DU GROUPE A
Victorieuse de la Côte d'Ivoire (3-1) au terme d'un match plein et accompli, l'Egypte se qualifie pour les quarts de finale de la Coupe d'Afrique des Nations. Cerise sur le gâteau, les Pharaons terminent premiers de leur groupe. Tenu en échec par la Libye (0-0), le Maroc est éliminé.
28/01/2006 |
Egypte |
3-1 |
Côte d Ivoire |
28/01/2006 |
Libye |
0-0 |
Maroc |
24/01/2006 |
Egypte |
0-0 |
Maroc |
24/01/2006 |
Libye |
1-2 |
Côte d Ivoire |
21/01/2006 |
Maroc |
0-1 |
Côte d Ivoire |
20/01/2006 |
Egypte |
3-0 |
Libye |
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***
Ny Fomba malagasy sur rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>
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La
Gazette 29/01/2006
Dynamitage de ponts en 2002 :Confirmation des peines
Rolly M.
La Cour d’appel a statué hier sur le sort les 24 militaires impliqués dans des vols de
2 525 kg de dynamite et divers explosifs militaires, en 2002, à la base aéronavale d’Ivato. Ainsi, à quelques nuances près, les peines, prononcées en première instance, ont été confirmées par la Cour : Jean Randrianantenainasolo (sergent-chef), Germain Simon Rasakaizarimanana (lieutnant-colonel), Roger Luc (capitaine) et Raymond Rakotosalama (lieutenant-colonel) ont été condamnés à 3 ans d’emprisonnement ferme tandis que Jean Emile Tsaranazy (général de brigade de l’Armée nationale) et Lucien Raymond (colonel) l’ont été à 5 ans, ferme avec mandat d’arrêt décerné à l’audience.
En ce qui concerne Raymond Michel Rakotobe (général retraité), la Cour a hier pris acte de son désistement d’appel. Bref, ayant déjà pu bénéficier des largesses de la dernière grâce présidentielle, cet étoilé de l’Armée est maintenant libre. Et pour Jenner Rakotoarison (militaire), la même Cour a pris acte de son décès pour déclarer que l’arrêt d’hier ne lui est pas opposable. Quant aux 17 autres militaires, leur relaxe au bénéfice du doute a également été confirmée.
A l’issue du prononcé de ce verdict, des familles des condamnés, notamment ceux qui continuent encore à croupir à la maison centrale d’Antanimora, ont crié au scandale : « les nôtres ont ainsi définitivement été condamnés pour avoir exécuté des ordres émanant de leurs chefs hiérarchiques qui, pourtant, n’ont même pas été poursuivis judiciairement dans cette affaire ». Rappelons, en effet, que, deux colonels de l’Armée, impliqués dans ce dossier pénal, ont révélé que ce serait des généraux qui auraient donné l’ordre à ces militaires de perpétrer ces vols de dynamites et autres explosifs à la base d’Ivato (voir « La Gazette » du 24 septembre). Mais curieusement, aucune poursuite judiciaire n’a été ouverte, jusqu’à ce jour, à leur encontre. Pis, les mêmes officiers ont aussi révélé que le dynamitage des ponts de Mamokomita (Maevatanana) et Zazafotsy (Ihosy) serait l’œuvre du camp Ratsiraka tandis que celui de Fatihita (Ambositra) serait celui du camp Ravalomanana. Par ailleurs, ils ont été fermes et catégoriques pour confirmer que seuls des militaires ont été capables d’opérer ces dynamitages (voir encore « La Gazette » du 24 septembre).
Quoi qu’il en soit, les familles des condamnés ont déclaré hier faire diligenter toutes les démarches utiles et nécessaires pour que des dossiers pénaux soient ouverts contre ces
généraux, indiqués comme étant les commanditaires de ces vols de dynamites et de ces destructions de ponts. En attendant, des civils, notamment les deux anciens députés d’Antsirabe I (des membres de l’Arema), continuent encore de croupir à Antanimora (condamnés chacun à 6 ans d’emprisonnement ferme), inculpés d’être les commanditaires du dynamitage du pont de Fatihita. Au fait, comment se fait-il que les dossiers pénaux de ces derniers, qui ont interjeté appel, n’ont pas encore été, presque deux années après le prononcé du verdict en premier ressort, enrôlés à une quelconque audience de la Cour d’appel ?
Express
de Mada 26/01/2006
UN CYCLONE MENACE - BOLOETSE RODE SUR LA CÔTE EST
Un cyclone, une fois sur le continent, crée souvent des inondations.
Une nouvelle perturbation cyclonique, se déplaçant en direction Sud-ouest avec une vitesse de 15 km à l'heure, a été localisée à 200 km à l'est de
Mahanoro.
 |
Attention danger. Boloetse, une tempête tropicale modérée est localisée au large de la côte Est de Madagascar depuis hier matin. Il s'agit du second météore pour la saison cyclonique 2005 - 2006.
"Le système a rempli les critères de baptême", annonce-t-on au service de la météorologie à
Ampandrianomby. Hier en début d'après-midi, son centre a été situé au large de
Vatomandry. Dans ce cadre, il dégage des rafales de vent de 80 km à l'heure et un vent moyen de 63 km à l'heure.
La tempête tropicale modérée fait cap vers le Sud-ouest avec une vitesse de 15 km à l'heure. Elle provoque de fortes précipitations et peut être accompagnée de coups de vent atteignant les 45 km à l'heure sur les régions entre Fénérive-Est et
Tolagnaro.
Vigilance.
Il suffit de quelques jours de précipitations pour que toute une région soit submergée.
"Par conséquent, les habitants de ces régions doivent être vigilants face aux crues des rivières. De même, les pêcheurs sont invités à ne pas sortir |
en mer ou à défaut, de faire attention car cette dernière risque d'être très forte", conseille une des responsables de la météorologie à
Ampandrianomby. Depuis hier, un avis d'avertissement a été lancé aux habitants de Fénérive-Est et de Toamasina I et
II. De leur côté, les districts de Brickaville, Vatomandry, Mahanoro, Antanambao
Manampotsy, Nosy Varika, Mananjary, Manakara, Vohipeno, Farafangana,
Vangaindrano, et Tolagnaro ont aussi reçu un avis de menace. En tout cas, la prudence est de mise. Néanmoins, les avis de danger imminent sont, pour le moment, levés.
Jusqu'à maintenant, la province d'Antananarivo est épargnée de tout danger. D'autant que des météorologues intervenus sur la radio nationale dans le journal de 19 heures ont annoncé que "les prévisions indiquent qu'avec un déplacement en direction du
 |
Sud-ouest, la tempête tropicale modérée Boloetse ne risquerait pas de toucher terre".
De plus, le bulletin hydrologique diffusé sur le site de l'Autorité pour la protection contre les inondations de la plaine d'Antananarivo
(Apipa) est rassurant. "Malgré les fortes précipitations draînées par la mini-tornade de samedi et les pluies d'hier, le niveau des eaux dans la plaine d'Antananarivo reste stationnaire", affirme-t-on auprès de cette structure.
Epargnée.
Les inondations, provoquées par les cyclones, ont des conséquences néfastes.
A l’échelle d’Anosizato, la rivière de l’Ikopa s'élève à 0,45 m. La cote d’alerte de menace de danger à cette station étant de 3 mètres. A l’échelle de
Bevomanga, le niveau de l’Ikopa est de 1,74 m. La Sisaony, quant à elle, s'élève à 0,23 m à
Ampitatafika. "A l’échelle d’Ambohidroa, le niveau de la Mamba est de 1,24 m. Ces rivières resteront
stationnaires dans les douze prochaines heures", apprend-on. |
Notons que vingt-six noms de cyclone ont été élaborés par les pays du bassin Sud-ouest de l'océan Indien pour cette saison cyclonique. Il s'agit d'une simple prévision. Autrement dit, les 26 cyclones ne frapperont pas forcément cette partie du globe. Ceci pour dire qu'il existe des cyclones morts-nés.
Les noms proposés sont Alvin, Boloetse, Carina, Diwa, Elia, Farda, Guduza, Eloi, Isabella, Jaone, Kundai, Lindsay, Marinda, Nadety, Otile, Pindile, Quincy, Rubare, Sebina, Timba, Usta, Velo, Wilby, Xanda, Yuri et Zoelle.
Ces appellations viennent des pays de l'océan Indien qui sont concernés, à savoir le Malawi, le Swaziland, la Mozambique, le Namibie, le Botswana, le Lesotho et les îles de l'océan Indien: Madagascar, Maurice, La Réunion, Comores et Seychelles.
Henintsoa Andriamiarisoa
Sobika
26/01/2006
Mathieu Razanakolona représentera Madagascar aux J.O de Turin ( Radio Canada)
Madagascar alignera un skieur alpin aux Jeux olympiques de Turin. De passage à Tout le monde en parle , dimanche soir, Mathieu Razanakolona deviendra le premier athlète malgache à participer à des Jeux d'hiver.
Nés d'une mère canadienne et d'un père malgache, Mathieu et son frère Philippe, deux mordus de ski depuis une dizaine d'années, entendent profiter des Jeux pour mettre sur pied un programme d'action humanitaire dans le pays de leurs ancêtres.
Cette participation aux Jeux olympiques leur permettra d'atteindre deux objectifs: les Jeux comme tels et le financement d'un projet de développement au Madagascar.
Après plusieurs mois d'entraînement au pays, les deux frères ont quitté le Québec pour l'Europe où ils prendront part à quelques épreuves internationales avant les Jeux: une Coupe du monde de slalom, à Schladming en Autriche, mardi, et d'autres courses FIS en Suisse et en Italie.
À Turin, Razanakolona prendra le départ du slalom et du slalom géant, les 20 et 25 février.
L'organisme qu'ils ont créé, rAzAlpin.org , leur permettra de financer des projets de développement durable en Afrique.
LaGazette
27/01/2006
Secteur privé: Le salaire minimum augmenté de 6 073 Ar
Franck Raharison
Le SMIG malgache (salaire minimum dans le secteur privé) vient d’être augmenté de 6 073,6 ariary. Il passe ainsi de 50 612,40 à 56 686 ariary. Le smicard perçoit donc mensuellement, à Madagascar, environ 21 euros… Une misère. Il aura, en tout cas, fallu ce communiqué des partenaires sociaux (patronat et syndicats), diffusé hier, pour faire resurgir une réalité que les pouvoirs publics n’aiment pas trop soulever. Ces chiffres montrent, en effet, l’extrême pauvreté de l’île où un simple ouvrier doit vivre avec moins de 1 900 ariary par jour… Rappelons que le salaire minimum chez les fonctionnaires, est de 521 000 fmg par mois.
Une telle situation incompréhensible, voire intolérable, illustre parfaitement l’état calamiteux dans lequel se trouve l’économie nationale, en particulier le secteur privé, l’incompris de tous les régimes qui se sont succédé. Un secteur, censé pourtant créer des richesses, mais qui vivote, faute d’avoir suffisamment une marge de manœuvre pour se développer. D’ailleurs, la plupart des employeurs peinent aujourd’hui à boucler le mois et commencent, à l’image des entreprises franches, à dégraisser leurs personnels. La précarité de l’emploi d’un côté, et faible pouvoir d’achat de l’autre, les travailleurs du privé, de manière général, sont les premiers à déchanter après l’avènement de ce régime. Depuis quatre ans, ils sont les laissés-pour-compte de la croissance, dont le taux variant selon les saisons et les humeurs, que le gouvernement s’attelle, à la moindre occasion, à le mettre en avant afin de justifier le bien-fondé de sa politique et d’affirmer que la santé économique du pays s’améliore. Ce qui n’est pas du tout le cas. La croissance économique de 5% (l’an dernier) ne s’est guère répercutée dans le panier de la ménagère. Bien au contraire. Le directeur des opérations de la Banque mondiale pour Madagascar, James Bond, vient justement de souligner, le 20 janvier, que « le niveau de vie des Malgaches fait du surplace… ». Aucune avancée, dit-il, depuis 1990. Ce qui explique notre lamentable classement, en termes de revenu par tête d’habitant : 155ème sur 171. Quand on sait que, dans notre pays, 45 ans après son indépendance, 72% de la population vivent encore en dessous du seuil de pauvreté, c’est à se désespérer. Autre remarque de James Bond : l’île Maurice, depuis 1970, a multiplié son PIB (produit intérieur brut) par 14,5. « N’oublions pas, a précisé M. Bond, que Maurice, en 1970, était plus pauvre que Madagascar ». Pire, malgré toutes ces difficultés que notre île rencontre, sa population (17 millions à l’heure actuelle) ne cesse, malheureusement, de croître de près de 3% par an, un taux trop élevé. Aussi, chaque année, l’on doit nourrir 500 000 personnes supplémentaires, soit environ la moitié de la population
d’Antananarivo-ville…
Que faire alors afin de pouvoir espérer relever le niveau de vie des Malgaches ? Pour l’instant, il n’y a pas de remède-miracle. Sauf si le gouvernement amorce, ici et maintenant, une politique volontariste dans les domaines susceptibles d’engendrer une forte croissance, dans lesquels le secteur privé doit tenir le premier rôle qui, d’ailleurs, doit être le sien. Ce qui n’est pas évident par les temps qui courent.
Lettre
de la SMAPRI (Mutuelle de Madagascar)
une
famille malgache victime d'une fuite de gaz à Avignon
Bonjour,
Vous avez sûrement appris par les média le décès de nos 4 compatriotes d'Avignon, suite à une fuite de gaz dans leur immeuble.
C'est une perte terrible pour la famille. Nous partageons leur peine et leur présentons toutes nos condoléances .
Je me permets, par la présente, de vous donner quelques informations sur cette actualité douloureuse qui frappe de plein fouet la communauté malgache en France :
-la famille va engager une poursuite contre les HLM, propriétaire gestionnaire de l'immeuble.
-la préparation du rapatriement des corps est en cours. Comme les victimes sont adhérentes à la Mutuelle de Madgascar (SMAPRI Madagascar), c'est la Mutuelle qui prend en charge le rapatriement des corps, paie un billet Paris Antananarivo (A/R) à un membre de la famille ( par victime ) et verse une somme forfaitaire par victime pour aider la famille à Madagascar afin que les enterrements puissent se faire dans la dignité.
Cordialement
Dera Ramandraivonona
Président de la SMAPRI Madagacar
Pour plus d'informations sur la Mutuelle de Madagascar, vous pouvez consulter son site
http://www.mutuelledemadagascar.com
Rapatriement
des corps des Malgaches victimes de fuite de gaz à Avignon (en France).
La
communauté malgache en France a été frappée de plein fouet par
l’accident dû à une fuite
de gaz dans un immeuble à
Avignon (France). Quatre personnes d’une même famille (les deux parents
et deux de leurs enfants) ont péri, cinq personnes hospitalisées dont
une dans un état toujours critique.
Cet
événement a suscité de vives émotions dans le milieu malgache en
France et déclenché un élan de solidarité dans la communauté malgache
d’Avignon.
Les
corps des victimes arriveront par le vol Air
Madagascar qui atterrira à Ivato
ce jeudi 26 janvier à 6 heures du matin. Ils seront acheminés sur
l’aéroport d’Antseranana ( Diégo Suarez) d’où sont
originaires les victimes.
Les
quatre personnes décédées sont membres de la Mutuelle de Madagascar
(devenue SMAPRI Section Madagascar depuis 2002). C’est la Mutuelle de
Madagascar qui s’occupe de toutes les formalités administratives pour
les déclarations et les transports des corps. Elle
prend entièrement en charge les frais de rapatriement des corps
d’Avignon jusqu’à l’aéroport d’Antseranana. La Mutuelle de
Madagascar paie aussi les billets (Aller/ Retour) de quatre personnes (une
personne par victime) désignées par la famille pour assister aux obsèques.
En outre, elle verse une allocation forfaitaire de 305 € par adulte et
de 125 € par enfant pour aider la famille aux dépenses sur place afin
que les enterrements puissent se faire dans les honneurs et dans la dignité.
Si
on n’est pas affilié à une telle mutuelle, les rapatriements de corps
de la France à Madagascar coûtent
très cher. La cotisation à la Mutuelle de Madagascar pour bénéficier
des prestations ci-dessus est de 16 €
par an pour une personne âgée de 21 à 40 ans. L’adhésion à
la Mutuelle de Madagascar
est un acte de prévision pour soi, une action
de solidarité et une grande aide pour les familles et les amis en
France et à Madagascar.
Pour
plus de plus de
renseignements, vous pourrez consulter le site de la Mutuelle de
Madagascar
http://www.mtuelledemadagascar.com
ou
écrire à son siège social : SMAPRI Section Madagascar
Tour
Montparnasse 40ème étage
75
755 PARIS CEDEX 15
adresse
e-mail : mutumada@numericable.fr
ou
téléphoner au 01 40 64 86 86 de 9 heures à 16h30 ou au 06 09 04 40 67
après 18h
« Ny
entan-jarai-mora zaka ». Telle
est la devise de la Mutuelle de Madagascar
Signé :
Dera RAMANDRAIVONONA
Président
de la Mutuelle de Madagascar
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'Grands' parlent d'idée
les 'médiocres'
parlent d'évènements
les 'misérables'
parlent contre les personnes..."
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Wanadoo.mg
27/01/2006
L’embellissement de la capitale selon le « plan vert » présenté à la RIF à Paris
Le « plan vert », qui consiste en l’embellissement de la capitale en général, a été présenté par la délégation de la commune urbaine d’Antananarivo conduite par le maire Patrick Ramiaramanana aux responsables de la Région Ile-de-France (RIF), dirigés par le directeur des Affaires internationales, Alain Le Saux, la semaine dernière.

Le jardin
d'Analakely (place du 13 mai) lors de son inauguration en 2004
© DTS |
Le projet comporte des actions paysagères, dont entre autres, des reboisements, le réaménagement des jardins publics, notamment sur l’avenue de
l’Indépendance, la mise en place des plantes d’ornement et la création d’un éco-musée de riz éventuellement sur la route digue.
Le projet, s’étalant sur plusieurs années, entre dans le cadre de la coopération entre la CUA et le RIF. Et il a été conçu comme un outil de développement durable de la capitale, a expliqué le maire Patrick Ramiaramanana face aux responsables de la RIF, lors de la présentation du projet. Ce dernier concerne les domaines culturels, la gestion des ressources, l’environnement et le social et a l’objectif de valoriser l’identité verte de la ville et préserver son image de cité
agri-urbaine. Et ce, à travers la mise en place d’une zone de protection du patrimoine architectural et paysager
(ZPPAUP), d’une pépinière municipale, la création de jardins pilotes et de vitrines cultures végétales, la lutte contre la pollution de l’air et l’érosion, l’appui au maraîchage urbain…
Noro Niaina ©Les Nouvelles |
Madagate.com
26/01/2006
grave crise alimentaire frappant Madagascar - 26/01/2006 @ 09h29 - Paris
Urgence Madagascar : Urgence alimentaire à Madagascar : Le Secours populaire français poursuit son appel aux dons pour venir en aide aux victimes de la grave crise alimentaire frappant Madagascar.
150 000 personnes sont actuellement touchées par cette crise alimentaire dans les districts de Vangaindrano et de Midongy à Madagascar (dans le Sud-Est de l'île).
Cette crise alimentaire est due en partie au retard des pluies qui rend la production de riz insuffisante. La population extrêmement pauvre survit en consommant des bananes et des « ofika » (tubercules trouvées dans les marais).
Les carences alimentaires expliquent la faible résistance aux maladies. La diarrhée est le plus souvent à l'origine des décès.
De récentes pluies vont favoriser la venue des patates douces pour améliorer le quotidien des consommateurs. Malgré cela, de nombreuses personnes doivent être aidées rapidement.
Le Secours populaire et son partenaire sur place « le comité de solidarité de Madagascar» ont distribué trois tonnes de riz lors d'une première mission dans les communes de Migondy du Sud (avec remise d'un carton de médicaments), de Ankazovelo et
d'Andranomanalina.
Une seconde mission est prévue au mois de février dans les communes de Soakobany, Lavaraty et Zara situées dans le District de Midongy du Sud.
Cette nouvelle mission sera tout aussi difficile que la première et durera trois semaines.
Les distributions se feront essentiellement à dos d'homme à partir de Midongy du Sud (quatre hommes doivent se relayer pour transporter un sac de riz). Les voies de communication en voiture sont inexistantes.
Il est urgent de soutenir cette population au plus vite. Vous pouvez envoyer vos dons au comité du SPF le plus proche de chez vous ou au :
Secours populaire français
« Urgence Madagascar »
BP 3303
75123 Paris cedex 3
Midi
Mada 26/01/206
MENAGE. Les Malgaches consomment peu. Suivant les catégories sociales, les pauvres consomment très peu et les nantis ont toujours le ventre plein.
Une consommation moyenne de 248.000 Ariary par individu par an.
En moyenne, le niveau de consommation totale par tête d’individu a été évalué à 1 240 000 Fmg (248 000 Ariary) en 2004. C’est ce qui ressort entre autres des conclusions de l’Enquête Prioritaire auprès des Ménages de 2004 (EPM 2004). Les techniciens de préciser que le niveau des consommations des ménages urbains est 1,5 fois plus élevé que celui des ruraux.
Didier Rambelo
Par rapport à la situation des populations des pays semblables à Madagascar, il faut reconnaître que bon nombre de Malgaches consomment moins que ce qui est considéré comme le seuil minimum acceptable. Avec Ar 248 000 de consommation par an, et même si un malgache consomme entièrement ce qu’il gagne, soit un peu moins de Ar 700 par jour, ceci ne suffit pas pour atteindre les 2100 calories par jour considérées comme étant le seuil minimum. Il faut savoir aussi, d’après l’EPM2004, que l’alimentation représente 70% des revenus des ménages malgaches.
Ecart
En ce qui concerne la distribution des masses de consommation, l’Instat, dans son étude révèle que, les plus pauvres consomment 6,6% de la masse de consommation alimentaire et 5,2% des consommations non alimentaires contre respectivement 45,7% et 60,1% pour les plus riches. Ce qui semble logique puisque la même enquête indique que 72,1% de la population vivent en dessous du seuil de pauvreté. Cependant, les techniciens parlent d’une diminution de ce taux de 8,6 points par rapport à 2002. Ces chiffres confirment encore une fois la distance qui sépare les deux extrémités des couches sociales.
Par ailleurs, concernant le bien être de la population, l’EPM2004 indique qu’un peu plus de huit ménages sur 10 se sentent en difficulté dans leur vie quotidienne. L’Instat affirme que 53% des ménages déclarent vivre en difficulté et 30% vivre avec attention. Moins de 1% se sentent à l’aise tandis que 17% se disent avoir un niveau de vie moyen. Cependant force est de noter que l’existence d’infrastructure est considérée par les ménages comme indicateur de bien être. Pris sous un angle prenant compte de la situation financière de la population, l’Instat de révéler que 54% des ménages malgaches sont vulnérables avec une situation financière déficitaire en 2004 ; 32% disposent d’un revenu très juste par rapport aux besoins tandis que 10% des ménages affirment avoir pu épargner une petite partie de leurs revenus.
La
Gazette 25/01/2006
Météo : Une tempête tropicale pointe son nez
R. H. M.
Hier à 15h, une tempête tropicale modérée se trouvait à 200 km du littoral centre-est, plus précisément au large de Mahanoro. D’après le service de la météorologie d’Ampandrianomby, elle se déplace vers le sud et sud-est à une vitesse de 15 km à l’heure.
Par contre, elle apporte un vent de plus de 60 km à l’heure et un coup de vent de 80 km à l’heure. La pêche est vivement déconseillée pour la partie Est de la Grande Ile car la mer sera agitée. Et comme il s’agit d’une tempête tropicale modérée, le service de la météorologie a lancé des avis d’avertissement pour les districts de Fénérive-Est, de Toamasina I et II. Par ailleurs, des avis de menace sont lancés pour Brickaville, Vatomandry, Mahanoro, Tanambao Manampotsy, Nosivarika, Mananjary, Manakara, Vohipeno, Farafangana, Vangaindrano, Taolagnaro et ses environs immédiats. En d’autres termes, les habitants de ces zones précitées devraient doubler de vigilance et les autorités locales devront prendre les mesures nécessaires. En effet, les vents accompagnés de pluies diluviennes peuvent provoquer des dégâts (chute d’arbre, rupture de câbles électriques, éboulements, montée des eaux, etc.).
Wanadoo.mg
26/01/2007
MARIAGE PRECOCE. Près de 4 femmes sur 10 mariées avant leurs 18 ans à Madagascar
Les filles sont les plus concernées. Dans la Grande Ile, il peut être la conséquence d’une culture fortement ancrée dans certaines localités.

Le taux de mariage précoce était de 39% à Madagascar entre 1986 et 2004, selon l'UNICEF
© DTS |
Entre 1986 et 2004, Madagascar enregistre un taux de mariage précoce de 39% dont 29% en milieu urbain et 42% en milieu rural, selon le rapport sur la situation des enfants dans le monde en 2006, de
l’UNICEF.
Par mariage précoce, on entend une entrée en union sous une forme de mariage officiel, d’une union de droit coutumier ou public reconnue comme étant un mariage, mais ceci concerne les moins de 18 ans.
Les filles sont ici les plus concernées. Le taux de 39% concernant Madagascar indique en fait, le pourcentage de femmes âgées de 20 à 24 ans qui se sont mariées ou ont vécu en concubinage avant leur 18ème anniversaire.
Il faut savoir que dans la convention relative aux droits de l’enfant, une personne est toujours considérée comme un enfant à l’âge de 18 ans, sauf dans les pays où les enfants deviennent majeurs plus jeunes.
Piège
Le mariage précoce peut être un véritable piège et ceci est davantage valable pour les filles. En effet, une fois mariée, la jeune fille entre dans une phase où elle devient et est |
considérée comme une femme, avec tout ce que cela comprend : les rapports sexuels, la maternité ainsi que tous les travaux ménagers associés au rôle d’une épouse, traditionnellement.
De ce fait, nombre de filles à peine adolescentes se retrouvent du jour au lendemain, des épouses assumant des rôles dont ni leur corps ni leur esprit n’est prêt à assumer. Si à Madagascar, les mariages précoces sont considérés comme étant plutôt « consentis », contrairement aux mariages forcés qui ont cours dans d’autres pays d’Afrique pour de nombreuses raisons (tradition, pauvreté, etc…), le consentement est parfois relatif.
Le facteur pauvreté entre ici en jeu, car dans les localités où les mariages précoces sont courants, les filles semblent trouver en ces mariages un moyen de s’assurer une sécurité financière, son mari ayant le devoir de la nourrir et de la faire vivre. Mais les réalités sont souvent tout autres. Le ménage nouvellement fondé n’est pas plus nanti que celui d’où est sortie la jeune fille et cette dernière est contrainte d’assumer nombre d’obligations qu’elle espérait éviter en se mariant.
Dans certaines régions de Madagascar, les filles ne sont plus « sous la responsabilité de leurs parents dès l’âge de 13 ou14 ans. Elles doivent survivre seules, ne vivent plus sous le toit familial et fréquentent les hommes qu’elles veulent.
Physique
Le mariage précoce peut être un réel danger physiquement, pour ces filles trop jeunes. Les grossesses et les accouchements, et davantage encore quand ceux-ci sont nombreux et peu espacés. Les risques de mortalité maternelle et néonatale se trouvent ici fortement élevés.
Les filles de moins de 15 ans ont cinq fois plus de risque de mourir en couches que les femmes de 20 à 29 ans. De même, les enfants de ces filles trop jeunes, mariées ou non, courent quelques risques. En effet, pour les bébés dont les mères ont moins de 18ans, les risques de mourir avant l’âge de 1 an sont de 60% plus élevés que pour les bébés de mère âgée de plus de 19 ans à leur naissance.
Hanitra Ramahatra ©Midi Madagasikara
allAfrika.com
27/01/2006
Textile : deux nouvelles unités de Ciel Textile en Inde et à Madagascar
L'Express (Port Louis)
Alain Barbé
Les unités Aquarelle à Maurice et à Madagascar produisent actuellement cinq millions de chemises par an.
Ciel Textile continue sa percée en Inde et à Madagascar. Deux nouvelles unités du groupe commenceront leurs opérations à Bangalore et à Ansirabe en mars et avril respectivement pour accroître leur production de chemises.
Laguna Clothing Ltd, joint venture entre Aquarelle Clothing Ltd et le groupe italien Tessitura Monti, sera la deuxième unité de Ciel Textile dans cette partie de l'Inde. Chacun des deux partenaires en détiendra 50 % de l'actionnariat.
Laguna Clothing Ltd démarrera avec la production de 25 000 chemises haut de gamme par mois. Il est prévu que cette production atteigne 40 000 pièces mensuellement d'ici la fin de l'année.
"Notre production va monter progressivement pour se stabiliser autour de 1,5 million et 2 millions de pièce par an en 2008", avance Eric Dorchies, directeur exécutif d'Aquarelle Clothing
Ltd.
Ce dernier est actuellement en Inde pour finaliser les préparatifs relatifs à l'extension des activités de Ciel Textile en Inde et l'ouverture de la deuxième unité à Bangalore. Les recrutements sont aussi en train d'être complétés.
La nouvelle unité utilisera les tissus de la compagnie italienne pour la confection des chemises. Tessitura Monti a déjà une unité de tissage, la Monti India, à Kolapur, en Inde. Créée en 1900, la compagnie italienne produit 21 millions de mètres de tissus et 1,7 million de kg de fils par an.
Toute la production de Laguna Clothing Ltd sera exportée vers l'Europe et les Etats-Unis. Les premières exportations seront faites en mai."Notre présence en Inde cadre avec la nouvelle stratégie du groupe Ciel. Les raisons de ce positionnement sont stratégiques. Nous voulons nous rapprocher des grands acheteurs qui se sont tous installés en Inde, le deuxième pôle mondial du textile-habillement après la Chine. Cela nous permet de mieux continuer à travailler avec nos clients", souligne Eric
Dorchies.
Stratégie de croissance
"Il y a aussi, ajoute-t-il, le fait que certaines matières premières sont disponibles en Inde et ne le sont pas à Maurice. Nous pouvons aussi produire une plus grande palette de produits. Notre stratégie de présence en Inde est avant tout une stratégie de croissance".
Comme Aquarelle India (la première unité de Ciel Textile en Inde) Laguna Clothing Ltd emploiera au début de ses opérations 250 personnes. Mais d'ici 2008, les effectifs des deux usines passeront à 3 000, soit 1 500 chacune, en vue de réaliser les capacités de production prévues.
Aquarelle India, qui produit des chemises de type "casual", a ouvert ses portes à Bangalore en juin 2005. Sa capacité de production est la même que Laguna Clothing
Ltd.
La deuxième unité d'Aquarelle Clothing Ltd à Madagascar commencera ses opérations à Ansirabe en avril. Elle emploiera 300 personnes pour démarrer. Mais d'ici l'année prochaine, cet effectif passera à presque 900, comme c'est déjà le cas pour la première unité à Antananarivo.
Les unités Aquarelle à Maurice et à Madagascar produisent actuellement cinq millions de pièces (chemises) par an. Leurs productions atteindront six millions annuellement en 2007.
Ciel Textile emploie, à travers ses différentes unités, 14 600 personnes à Maurice, en Inde et à Madagascar. Quelque 6 500 sont employées par Floréal Knitwear, 3 400 par Aquarelle et 3 000 par Tropic Knits. Le reste sont employés par Ferney Spinning Mills, Consolidated Dyers Ltd et Consolidated Fabrics
Ltd.
Wanadoo.mg
28/01/2006
Orchidées : Plus de 1000 espèces à Madagascar
L’orchidée, appelée quelquefois « hanitriniala » ou parfum de la forêt à Madagascar, est une plante décorative mais aussi une fleur rare qui suscite la passion.

On compte plus de 1000 éspèces d'orchidées à Madagascar
© DTS |
Il en existe plus de 1000 espèces dans la Grande
Ile, et sa protection est devenue un vrai combat pour les écologistes. Du grec « orchis » qui signifie testicule en référence à la forme des pseudobulbes de certaines orchidées terrestres, le nombre de ses espèces peut atteindre 25 000 à 30 000 sans compter les 100 000 hybrides horticoles créés depuis qu’il existe des méthodes de culture efficaces. Ce sont des plantes à fleurs ayant pratiquement colonisé tous les milieux, à l'exception des déserts.
Majoritairement d'origine tropicale, une meilleure connaissance de leur spécificité naturelle a démocratisé leur culture. Les orchidées comportent 3 familles distinctes: les « Apostasiacées », les « Cypripédiacées » et les « Orchidacées ». Leur croissance est soit sympodiale (pousses dans plusieurs directions), soit monopodiale (une seule pousse).
Une plante à la culture peu compliquée
Avec ses fleurs aux formes fantastiques, l'orchidée est fascinante, et elle n'est pas compliquée à cultiver. Bien soignées, certaines espèces peuvent vivre jusqu'à 20 ans !
Comment choisir une orchidée ?
Le choix est difficile puisqu'il existe entre 20 000 et 30 000 espèces, de forme et de couleurs très différentes, sans compter les hybrides. Trois espèces sont les plus faciles à cultiver et les plus spectaculaires, puisqu'elles ont des grandes fleurs qui restent épanouies très longtemps, de un à trois mois : les « phalaenopsis », qu'on peut cultiver en appartement, les « cattleyas » et les « cymbidium ».
Comment s'en occuper au quotidien ?
Une orchidée saine a de belles feuilles vernissées. Il faut la placer dans un endroit lumineux, mais évitez le soleil direct au risque de brûler les feuilles et de faire faner les fleurs. Un arrosage une fois
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tous les dix jours suffit, et utiliser pour cela une eau non calcaire comme une eau de pluie non polluée ou une eau de source. Il ne faut pas mouiller le cœur des feuilles, sinon il risque de pourrir.
Comment la soigner ?
Même fanée, il faut continuer à l'arroser parcimonieusement. Il vaut mieux ne pas couper les tiges, sauf si elles sont sèches, car elles refleurissent périodiquement. Il n'est pas nécessaire d'avoir un pot très profond, et on peut utiliser un compost "spécial orchidées", constitué de polystyrène et d'écorces de pin. Trop d'engrais asphyxie la plante. Enfin, attention aux insectes nuisibles comme les pucerons, acariens, cochenilles.... Utilisez, pour vous en débarrasser, des insecticides à dosage modéré.
Bodo Andrianarisoa ©Midi Madagasikara
Les
Nouvelles 28/01/2006
C’est… Giant : Exxon-Mobil, le roi du pétrole
s’installe à Madagascar
ExxonMobil, leader mondial du pétrole, s’installe à Madagascar
ExxonMobil est présente à Madagascar. Pas vraiment pour devancer les Chinois, mais pour s’assurer à leur façon des milliards de dollars recelés dans le sous-sol malgache. Avec de la nouvelle technologie d’exploration offshore, elle se remet, confiante, sur les traces de son prédécesseur, le pétrolier Amoco, reparti non convaincu, voilà maintenant une bonne vingtaine d’années.
ExxonMobil a élu domicile au Tour Zital (Ankorondrano) pour diriger ses activités d’exploration et de prospection de gisements de pétrole et de gaz naturel, au large des côtes nord-ouest du pays (Mahajanga, Cap Saint-André, Ambilobe et
Ampasindava).
L’inauguration de ce nouveau bureau a eu lieu, hier, en présence du président d’ExxonMobil Exploration Company, Tim Cejka, qui avait fait le déplacement depuis Houston (Texas).
La préparation du premier forage prendra un à deux ans. Cela dépendra des conditions géophysiques et géologiques des sites où seront implantées nos plate-formes. En tout cas, le forage du premier puits, une opération de 60 à 90 jours, nous aura coûté plus de 100 millions de dollars . Une mise en bouche...
Dans le cas où les découvertes s’avreraient assez intéressantes – pas comme ce qui fut le cas au début des années 80 à l’issue des travaux de recherche du pétrolier Amoco – pour qu’on juge nécessaire la poursuite des activités, la mise serait éminemment plus importante. De l’ordre de 3-4 milliards de dollars !
Interrogé sur le seuil de quantité (ou de prix) minimale à partir duquel l’exploitation à Madagascar serait intéressante , Drew Goodbread, PDG résident d’ExxonMobil à Madagascar, de noter : Il serait trop prématuré de statuer là-dessus. Il faut tenir compte d’un certain nombre de paramètres, en particulier, les coûts de forage et l’évolution du cours du baril .
AMOCO EN ECLAIREUR
Certes, nous avons jeté un coup d’œil aux anciens travaux de recherche entrepris dans le temps par Amoco. Mais, contrairement à ce pétrolier, nous allons nous focaliser sur l’exploration en eaux profondes, entre 1.000 et 3.000 mètres de profondeur. Le pétrole nous intéresse plus que le gaz naturel. Mais tout dépendra des conditions géologiques et géophysiques des sites de prospection , indique Drew
Goodbread.
Nous sommes venus avec une technologie innovatrice d’exploration offshore et de nouvelles méthodes pour appréhender les réalités physiques et géologiques de Madagascar. C’est un honneur d’avoir l’opportunité de travailler dans un pays où les dirigeants ont une vision du futur qui favorise l’investissement étranger , ajoute Tim
Cejka.
Un grand expert de l’exploration offshore sera dépêché sur place en mars. ExxonMobil annonce, par ailleurs, une série de recrutements pour les deux prochains mois en préparation de la campagne de forage.
Tim Cejka choisit une vision optimiste de la situation en invitant tout un chacun à croiser les doigts , contrairement à Drew Goodbread qui se garde de s’enflammer trop vite en reprenant à son compte le proverbe malgache Eo am-pandrasana no ahitana ny atiny (littéralement, c’est en tranchant qu’on découvre ce qu’il y a à l’intérieur). En adepte de la témérité à la malgache.
Mamy Lalaina Razafindrakoto
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