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Big News...
Madagascar: un vol transportant le président a été dérouté...
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tsrinfo.ch 18/11/2006
ANTANANARIVO - Une fusillade sur une base militaire et le déroutage d'un vol transportant le président Ravalomanana ont provoqué la confusion à Madagascar. Ces incidents interviennent à deux semaines de l'élection présidentielle dans ce pays hanté par les violences post-électorales de 2002.
Selon un haut responsable du commandement de la gendarmerie nationale, un membre des forces de l'ordre a été tué lors d'échanges de tirs avec les hommes du général Randrianafidisoa, dit "général Fidy", qui s'étaient repliés vendredi à la base aéronavale
d'Ivato (Bani), à proximité de l'aéroport. Un autre membre des forces de l'ordre a été blessé.
Selon cette source, l'armée et la police nationale ont donné l'assaut à la base et les troupes du général Fidy auraient ensuite quitté les lieux. Mais de son côté, le général Fidy a assuré que seul un membre des forces régulières avait été blessé - et non tué - et qu'il contrôlait toujours la base avec quelque 300 mutins.
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Cet incident est intervenu au lendemain d'une déclaration du général
Fidy, qui a appelé "tous les militaires" de l'armée malgache à le rejoindre pour pousser à la démission le président Marc
Ravalomanana, candidat à sa réélection à la présidentielle du 3 décembre.
Au moins deux vols ont été déroutés après cette confusion, dont l'avion de ligne arrivant de Paris et transportant le président Ravalomanana qui a d'abord atterri à Mahajanga (nord-ouest) avant de rejoindre Antananarivo, la capitale de l'île.
Au total, 14 candidats -dont le président sortant- sont en lice pour la présidentielle. La campagne officielle a débuté le 12 novembre.
A l'issue du dernier scrutin présidentiel le 16 décembre 2001, Madagascar a vécu une crise politique de plusieurs mois: des affrontements entre partisans de M. Ravalomanana et de son prédécesseur Didier Ratsiraka ont fait des dizaines de morts.
Le général Fidy avait activement contribué à installer M. Ravalomanana au pouvoir. Le général avait déposé sa candidature à la présidentielle mais son dossier avait été invalidé en octobre dernier. Cet incident est le deuxième ayant troublé la période pré-électorale à Madagascar.
(ATS)
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MADAGASCAR
EN
IMAGE
extraits
de Madamaki.com
***
Ny Fomba malagasy sur rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>
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Le
Colysee
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L'Edito:«
La
Culture et les Voyages ... »
0629- 04/11/2006
Toute culture naît du mélange, de la rencontre, des chocs. A l'inverse, c'est de l'isolement que meurent les civilisations : Octavio Paz (écrivain mexicain)
La culture est salvatrice, parce qu'elle est irremplaçable pour ouvrir les esprits, les rendre plus tolérants et aussi les distraire.
( Nicolas Laugero )
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... Rome, ville éternelle ! Quel sentiment peut-on éprouver quand
on passe devant le colisée, le palatin, le forum impérial, comment peut-on imaginer que la Basilique saint Pierre fut construite en cent ans mais quand on y pénètre, on comprend au vu de sa splendeur pourquoi un siècle fut nécessaire pour sa construction. Comment ne pas rester coi devant la belle fontaine de
Trevi, et d'admirer les chefs d'œuvre des architectes et sculpteurs si bien que machinalement, on y jette une pièce pour faire le vœu de revenir à Rome. Nos yeux sont émerveillés devant les places : la piazza
Navonna, la piazza di
Spagna avec sa fontaine du triton, la piazza del popolo et son obélisque au-dessus de laquelle les jardins et terrasses du
pincio nous offre une vue imprenable de la cité éternelle.
Quant à la cuisine, l'estomac crie famine à force d'attendre le plat qu'on désire manger : Panini à la
porchetta romana, bruschetta, aubergines et autres légumes gratinés au
parmesan,risotto, sans oublier les pâtes et les pizza de toutes sortes, et au dessert, une glace italienne ! Quel régal !
Un voyage à Rome est un pas que nous faisons dans l'histoire, on est pris entre l'admiration et la tristesse, on admire la grandeur de Rome (conquêtes, construction, art), mais on ne peut s'empêcher de s'attrister sur les moyens que les empereurs ont utilises pour maintenir leur
suprématie...
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de publier des Editos, maintenant à
qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance !
L'Edito
de Sobika.com 17/11/2006
Le cercle des candidats disparus
13 candidats, c'est beaucoup. Ca devrait faire beaucoup de bruits normalement ! Mais sur ces 13 candidats combien sont réellement de vrais candidats : entre 6 et 8. Un petit nombre de candidats officiels a par contre bien officieusement quitté l'arène pour créer le cercle des candidats disparus ! Une élection, c'est ce qu'il y a de plus sérieux. Ce n'est pas une décision simple comme aller faire ses courses chez Géant Score par exemple ! Soit on y va, soit on n'y va pas, mais on ne fait pas de mi figue mi raisin car cela donne une image folklorique de Madagascar. Si c'est pour faire de
l'esbrouffe et faire mousser son nom, histoire d'exister quelques jours dans sa vie et d'avoir quelques lignes dans les journaux, ok, c'est gagné, mais ce n'est pas ce que les gens, les citoyens, attendent de prétendus candidats officiels, sans compter que de ces candidats, aucune idée, aucun programme, aucune suggestion n'en est sorti. Chers candidats disparus, Il ne faut pas se voir si haut quand on n'a pas les ailes nous y emmener !
NouvelObs.com 19/11/2006
Un général dissident appelle au renversement du président de Madagascar
- AP | 18.11.06 | 21:55
JOHANNESBURG (AP) -- Tensions à Madagascar, à deux semaines de l'élection présidentielle. Le général dissident Randrianafidisoa, dit "Fidy", a appelé l'armée à prendre le pouvoir. Selon un responsable de l'ambassade des Etats-unis, rien n'indique cependant que les militaires aient pris le contrôle du pays.
"Fidy" a appelé vendredi l'armée à renverser le gouvernement "anticonstitutionnel" du président Marc Ravalomanana. Samedi, un avion ramenant le chef de l'Etat d'un déplacement en Europe a dû être dérouté en raison d'une fusillade sur une base près de la capitale Antananarivo. Une personne a été tuée, selon des informations de la presse.
Le chef de l'armée Rahonenantsoa Mampianina a confirmé dans une interview samedi soir qu'une personne a été tuée, sans fournir d'explications.
Selon une responsable de l'ambassade américaine, Ellen Irvine, la ville était calme et on ne signalait pas de signes de putsch. A Paris, le ministère français des Affaires étrangères a rapporté que le trafic aérien est revenu à la normale. "Fidy" avait tenté de se présenter à l'élection présidentielle mais sa candidature a été refusée. AP
Tribune
18/11/2006
Un groupe d’officiers annonce
: La mise en place d’un Directoire militaire
La tension politique monte de plusieurs crans. Un groupe d'officiers supérieurs et officiers généraux, sous l'égide du Gal Andrianafidisoa a annoncé, hier la mise en place très prochainement d'un Directoire militaire pour sauver le pays et qui sera suivi d'un gouvernement de transition. Du côté du gouvernement, c'est le silence total.
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La situation politique a connu une autre tournure depuis hier. Vers 11 heures 30 minutes, le général Andrianafidisoa en tenue militaire, suivi de quelques officiers supérieurs a fait son entrée au ministère de la Défense sis à
Ampahibe. Les discussions ont duré presque une trentaine de minutes. En fait, ce groupe d’officiers a voulu informer le locataire des lieux sur leur décision de mettre en place un Directoire militaire afin d’éviter des troubles et la guerre civile qui menace le pays. Après leur coup au ministère de la Défense, ces militaires ont brièvement rencontré quelques journalistes au Cercle Mess de
Betongolo.
Depuis, les choses se sont précipitées, les militaires ont pris la direction
d’Ivato. Ils se sont introduits au camp de la Base Aéro-Navale
d’Ivato (BANI) sans rencontrer aucune résistance ni une opposition quelconque. Vers 17 heures, le général
Fidy, en présence de ses compagnons de lutte a tenu une deuxième conférence de presse. Devant près d’une dizaine de journalistes, cet enfant terrible du mouvement 2002 a fait une déclaration tonitruante à propos d’une prise de responsabilité des militaires face à l’entêtement des autorités malgaches. Le forcing du gouvernement d’organiser l’élection présidentielle en date du 3 décembre constitue un danger pour le pays, a averti le général
Fidy. Raison pour laquelle, les militaires ont décidé de prendre leur responsabilité, selon les propres termes du conférencier. Un Directoire |
militaire regroupant les divers corps de l’armée et de la gendarmerie ainsi que de la police nationale sera mis en place très bientôt. Ce Directoire sera remplacé par un gouvernement de transition afin d’organiser la réconciliation nationale. L’actuelle Assemblée sera dissoute et une Assemblée constituante sera instituée pour la révision de la Constitution.
Acquis à la cause
Désormais, les militaires mutins se sont retranchés à la base aéro-navale d’Ivato. C’est leur Quartier Général (Q.G) nous a informé le numéro un de ce mouvement. « Je suis un officier de marine et nous sommes chez nous », a-t-il signalé. En tout cas, il a avancé que les trois camps, à savoir la BANI, la BATAC (Base Aéro-Tactique) et le Régiment des Forces d’Interventions (RFI) sont acquis à la cause. Toutefois, le général Fidy a lancé un appel à tous les militaires, gendarmes et policiers ainsi qu’aux simples citoyens d’accorder le violon pour sauver le pays du danger.
Apparemment, l’entrée du général Fidy et son équipe dans la caserne n’a pas provoqué un mouvement de panique. Le calme règne dans le camp. On dirait que tous les militaires sont déjà au courant de l’arrivée de ces officiers supérieurs. On n’a pas constaté aucun mouvement de troupes ni des gestes suspects de la part des occupants du lieu.
Eviter l’affrontement
Interrogé sur les suites de l’opération, le général de division Fidy a tenu à signaler qu’il ne s’agit pas d’un coup d’Etat, mais d’une prise de responsabilité face aux problèmes du pays. « Nous évitons l’affrontement et l’effusion du sang », devait-il indiquer. Toutefois, si quelqu’un a l’intention d’utiliser des armes, nous sommes prêts, a averti ce général. L’opération n’aura pas de casse, selon notre planning, a-t-il continué, mais si la situation l’exige, nous sommes obligés de recourir aux armes.
Mais force est de constater que la situation semble délicate. Les hauts responsables de l’armée ainsi que les autorités locales ont tenu une réunion d’urgence hier afin d’analyser la situation et de prendre les mesures qui s’imposent. On s’achemine vers un affrontement militaro-militaire. Visiblement, l’heure est grave et nécessite un arbitrage afin d’éviter le bain de sang.
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Général Razakarimanana • « Je suis le premier étonné »
Nous avons contacté le candidat Général Ferdinand Razakarimanana, avant même que l’autre Général Randrianafidisoa, ait lu sa déclaration de prise du pouvoir. Pour lui, l’histoire des tracts et des rumeurs faisant état de sa (éventuelle) participation dans un coup d’Etat est une pire lubie. « Je ne suis au courant de rien. Je n’étais ni à Ampahibe, ni à Ivato. De plus, prendre un pouvoir, c’est quelque chose qui relève d’une situation grave dans la nation. Et quand bien même j’ai eu vent de l’affaire, je n’aurai pas pour autant attaché une certaine importance ».
- Alphonse M
Express
Mada 17/11/2006
Us et coutumes
: Les jeunes filles d'Ivohibe fuient le “tsenan'ampela ”
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Une pratique traditionnelle chez les Bara
d’Ivohibe fait fuir la nouvelle génération de la commune rurale. Nombreuses sont les jeunes filles qui émigrent vers d'autres région pour en réchapper.
De telle pratique est une aberration. “Il est dur pour une jeune fille qui veut réussir sa vie de respecter et de suivre la culture
bara”. La déclaration émane de Ravakasoa Larissa Herinjanahary. Cette jeune fille, âgée de 18 ans, se sent chanceuse d’avoir pu émigrer de sa commune rurale d’origine,
Ivohibe. En effet, les jeunes filles y sont considérées comme des boeufs que l'on peut acheter au
“tsenan’ampela”, textuellement marché des filles.
Elle raconte avec horreur et dégoût le pouvoir des propriétaires de zébus en payant les jeunes filles pour qu'elles passent la nuit avec eux.
La pratique se passe les samedis, jours de marché aux boeufs. Les jeunes filles vont de leur propre gré ou sont envoyées par leurs parents, afin de trouver des hommes riches pour se faire de l’argent.
“Elles se tiennent dans une place, appelée Tsirimbelo, où elles y passent leur nuit en compagnie d’un homme selon un prix convenu au préalable. |
Les jeunes gens bara à la recherche d'épouses arborent ce type de coiffure. |
Les jeunes demoiselles bara venant des villages environnants
d’Ivohibe-centre sont les plus encouragées. Elles sont reconnaissables par leurs coiffures, à savoir les cheveux tressés et divisés en deux, “volo dokodoko”, et décorés de barrettes. Elles sont vêtues de “lamba””, décrit Ravakasoa Herinjanahary. De fait, elle se souvient de quelques-unes qu’elle a croisées en chemin.
L'éducation comme solution
La plupart d’entre elles se sentent adultes après avoir fréquenté le
Tsenan'Ampela. Mais, le regard de Larissa s’assombrit en pensant à une amie d’enfance qu’elle a perdue à l’occasion. “Elle avait 16 ans. N'’ayant pas réussi au
CEPE, elle a commencé à aller au Tsenan’Ampela. Elle est passée d’un homme à un autre. Par la suite, elle est tombée enceinte. Pire même, elle est devenue folle”, précise Ravakasoa Larissa.
Tous ces évènements se trouvent derrière elle maintenant. Car ses parents, au courant de la pratique, l'ont envoyé à
Ambositra, chez des proches, après qu’elle ait obtenue le diplôme de BEPC.
“Nombreuses jeunes filles d’Ivohibe fuient les lieux pour suivre les études à Ihosy ou à Fianarantsoa. Pour ne pas être confrontées à ces pratiques qui perdurent, elles renient les traditions des Bara
bory.”, note-t-elle avec amertume.
Selon Larissa et ses amis, le Tsenan’Ampela est un des endroits où les droits des mineures sont bafouées. “Nous devons changer tout cela. Les parents et les autorités doivent prendre l’initiative afin d'y remédier”, souligne Ravakasoa Larissa
Herinjanahary. Elle conclue en affirmant que l’éducation est la meilleure issue. Or, Ivohibe ne dispose pas encore de lycée.
Fanja Saholiarisoa |
Ravakasoa Larissa Herinjanahary souhaite que l’exploitation traditionnelle des jeunes filles à Ivohibe disparaisse un jour. |
Midi
Mada 15/11/2006
ANTSIRABE
: Une nouvelle clinique MM ouverte jour et nuit
Un nouvel établissement hospitalier vient d’ouvrir ses portes en plein centre de la Ville d’Eaux. Il s’agit de la filiale de la clinique et maternité MM (Mpitsabo Mikambana) d’Antananarivo. Cette nouvelle structure sanitaire, ouverte jour et nuit (24h/24), dispose de tous les services.
Vola A.
Des services d’ambulance au laboratoire d’analyses, en passant par les urgences, la réanimation, la médecine générale, la chirurgie, la traumatologie, la gynéco-obstétrique, l’ORL, la radiologie, l’ECG, l’échographie, l’endoscopie digestive et les visites à domicile. Un service dentaire sera également implanté incessamment. En outre, l’hôpital pourrait aussi organiser les évacuations sanitaires nationales et internationales. L’ouverture de cette clinique MM a été possible grâce à la collaboration de plusieurs professionnels de la santé, des associations humanitaires, comme « Madagaskar-Hilfe Projekt » de Berlin, d’Allemagne et de France, avec la contribution de la GTZ et de la Chambre de Commerce de Hambourg. La création d’une telle infrastructure contribuera sûrement à l’amélioration de la santé publique.
Wanadoo.mg
14/11/2006
CAMPAGNE ELECTORALE. 4 candidats émergent !
Carton plein pour 5 candidats hier. Les autres seront- ils des partants ou des non- partants ? Il reste 20 jours pour se faire une idée.
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Les 4 candidats qui ont demarré aux chapeaux de roues la campagne électorale
© DTS |
Marc Ravalomanana, Roland Ratsiraka, Lahiniriko Jean et Norbert
Ratsirahonana. Ce sont les 4 candidats sur 14 au 1er tour de l’élection présidentielle du 3 décembre à avoir osé braver hier les électeurs d’Antananarivo. A Fianarantsoa et
Ikalamavony, Pety Rakotoniaina a aussi fait un malheur.
Dans les cinq meetings programmés ce dimanche, la foule des partisans a répondu massivement aux invitations de leurs champions respectifs. Ce qui témoigne de l’intérêt qu’elle porte à ce scrutin. Ce qui augure aussi de lendemains chargés de débats contradictoires. Ces débats sont d’ailleurs très attendus durant cette campagne. Chaque candidat a souligné la nécessité du respect de la légalité, des règles du jeu et de l’adversaire. Les cinq ont appelé leurs partisans à ne pas répondre aux provocations et à ne pas croire aux promesses mirobolantes. Ils ont aussi décliné leurs programmes respectifs, certains avec gourmandise, d’autres avec parcimonie. Roland Ratsiraka, Norbert Ratsirahonana font partie de la 1ère catégorie, Lahiniriko et Ravalomanana de la seconde. En |
ce qui relève des moyens, Marc Ravalomanana se trouve au-dessus du lot sans que les autres en soient
dépourvus. Ratsirahonana, Lahiniriko, Roland Ratsiraka et Elia Ravelomanantsoa font montre aussi d’une certaine aisance. Pour sa part, Herizo Razafimahaleo a préféré jouer dans le registre où il excelle. A savoir le débat d’idées.
Concernant les autres candidats notamment ceux qui prônent une nouvelle plate-forme de défense de la Constitution et de la loi, ils se sont réunis dans l’après- midi d’hier, en banlieue de la capitale. Ils ont peaufiné leur stratégie en vue de faire reporter le premier tour de scrutin prévu le 3 décembre prochain.
RCR ©Midi Madagasikara
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Les
Nouvelles 18/11/2006
Le
général Randrianafidisoa sollicite le ralliement de l’armée à sa
cause
Le général Fidy se fait menaçant
Où veut en venir le général Randrianafidisoa (Fidy) ? C’est la grande
question qui s’est posée hier après quelques agitations au niveau de
certaines casernes des Forces armées.
Vers 15h, un attroupement d’une cinquantaine de personnes a eu lieu
devant la chapelle militaire de Betongolo. C’étaient tous des
militaires et quelques réservistes. D’après leurs propres confidences,
ils attendaient l’arrivée du général Fidy qui les a expressément
convoqués ou réunis pour une cause d’une extrême urgence.
Effectivement, le général en question a débarqué sur les lieux peu de
temps après. Il s’est entretenu brièvement avec ses «éléments»
avant de tenter une sorte de forcing du ministère de la Défense
nationale. Des tracts ont été distribués, sinon éparpillés, appelant
globalement tous les déçus (militaires et civils) des pratiques du régime
actuel à rallier le mouvement qui se préparait.
Selon la teneur dudit tract, il est question d’un soulèvement sinon
d’une mutinerie, voire d’un complot contre le pouvoir en place.
Mais cette première tentative de Randrianafidisoa n’a pas visiblement
produit l’effet escompté car les occupants de Betongolo se sont plus ou
moins complu à observer et écouter. Ce qui a amené ce dernier à
rallier illico presto la caserne de la Base aéronavale d’Ivato (Bani) où,
selon ses propres dires, il vient d’établir son quartier général.
C’était vers 17h.
Interrogé par téléphone sur ses réelles visées, le général Fidy
nous a déclaré (traduction libre) : «Je suis là (à la Bani) et
j’attends que tous les militaires et tous ceux qui se sentent déçus
des pratiques de ce pouvoir viennent renforcer notre cause, car trop
c’est trop».
Prêt à la
riposte
Randrianafidisoa est déjà apparemment informé de l’existence d’un
mandat d’arrêt à son encontre. Mais il s’empresse de préciser : «Je
sais qu’on cherche à m’arrêter. Mais que le Procureur qui a signé
ce mandat d’arrêt choisisse bien les éléments qu’il a désignés
pour son exécution. Car s’ils touchent un seul de mes cheveux, nous
riposterons et mes gars ne se laisseront pas non plus faire»
Que dire de ce comportement du général Fidy ? Il est patent que depuis
son limogeage de la direction générale de l’Omnis, ses relations avec
Marc Ravalomanana n’étaient plus au beau fixe.
Mais les choses ont pris une autre tournure lorsqu’il a décidé de se
porter candidat à l’élection présidentielle du 3 décembre. En tout
cas, le refus de sa candidature par la Haute cour constitutionnelle (HCC)
semble lui avoir donné des idées comme quoi il allait entreprendre
certaines actions pour manifester sa présence et sa «force». C’est
peut-être dans ce sens qu’il remue ciel et terre depuis hier.
Cependant, jusqu’ici, les agissements du général Fidy n’ont pas
encore abouti à un véritable coup d’Etat tel que mentionné dans les
tracts. Par contre, il laisse entrevoir une véritable détermination à
aller jusqu’au bout de sa contestation des pratiques actuelles du
pouvoir.
Pour la petite histoire, d’après les confidences des éléments de la sécurité
de la Haute cour constitutionnelle (HCC), lorsque le général Fidy y est
venu pour remettre le reçu attestant le paiement de sa caution, lequel a
été refusé par la Cour au motif que le délai imparti a expiré, il
aurait déclaré : «Dans ces conditions, les tanks vont probablement
sortir. Je vais utiliser mes 125 millions pour les carburants»
Les gesticulations d’hier étaient-elles la concrétisation de cette déclaration
?
Miadana Andriamaro
Matinternet
17/11/2006
Ben Stiller lève le voile sur le scénario de «Madagascar 2»
- Marc Gadoury [AgenceNews]
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En entrevue avec le site
ComingSoon.net, l'acteur Ben Stiller a révélé qu'il allait bientôt travailler sur le film d'animation «Madagascar 2» dont la sortie est prévue le 7 novembre 2008.
«Nous allons débuter l'enregistrement très bientôt» a déclaré l'interprète
d'Alex, le lion.
Stiller a également levé le voile sur une partie du scénario.
«Je crois que tous les animaux reprendront la route vers New York à bord de cette avion qui se trouvait dans les arbres mais ils s'écraseront sur le continent africain et Alex sera réuni à nouveau avec sa vraie famille» explique l'acteur.
Stiller pourra être vu prochainement dans le film «Night at the Museum» dont la sortie est prévue le 20 décembre
prochain. |
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La
Gazette 18/11/2006
Armée : annonce d'un coup
d'Etat
Sombre et inquiétante atmosphère de putsch militaire hier depuis midi, à Antananarivo. Une douzaine d'officiers de l'Armée en treillis, sous la houlette du général Randrianafidisoa, ont annoncé devant la presse la mise sur pied d'un Directoire militaire qui prend en main les affaires de l'Etat, la formation d'un gouvernement de transition et la constitution d'une Assemblée constituante qui prend la place de l'Assemblée nationale et du Sénat. Déclaration confuse car ces opérations ne prennent pas effet immédiatement mais ont été citées…au futur. Après la lecture de ce communiqué au cercle mess de Betongolo, les "mutins" ont pris la direction d'Ivato où ils se sont retranchés à la caserne de la Base Aéronavale d'Ivato (BANI).
Tribune
18/11/2006
Un coup d’Etat … dans l’air ?
La situation politique se détériore. Hier, des bruits ont circulé dans quelques quartiers de la capitale, dans les environs du Ministère de la Défense nationale, à Ampahibe, selon lesquels des officiers généraux bien connus dans la vie politique de la nation auraient l’intention de faire un coup d’Etat.
Des tracts faisant état de la prise du pouvoir des Forces Armées ont été diffusés. Il a été également écrit dans ces tracts que M. Ravalomanana Marc n’est plus le Président de la République et le pouvoir est actuellement entre les mains des Forces Armées conduites par le Général Andrianafidisoa. Dans ce cadre, un appel aurait été lancé pour que le public vienne à Ampahibe dans le but d’assister à cette prise de pouvoir par les militaires. Un groupe d’individus et des « curieux » étaient venus à Ampahibe, pour voir l’exécution de ce qui a été écrit dans le tract. Mais ce n’était pas encore effectif !
Comme il fallait s’y attendre, le Ministère de la Défense Nationale a pris les mesures de sécurité qui s’imposent pour éviter tout débordement dans ce lieu stratégique. Hier, vers 11 h, le Général Randrianafidisoa serait passé au Ministère de la Défense Nationale (MDN). Il aurait voulu parler avec le Ministre Petera Behajaina mais ce dernier effectue actuellement une mission à l’étranger. A cette occasion, il y avait une cérémonie de passation de Commandement à la Direction de l’Intendance de l’Armée, à Soanierana, où les grands responsables au sein du MDN y ont été retenus. Le Général Fidy devait alors quitter Ampahibe pour joindre la BANI (Base Aéronavale d’Ivato) où cet officier général, accompagné de quelques officiers supérieurs, a organisé une conférence de presse pour annoncer l’instauration d’un Directoire Militaire, dans l'après-midi.
La situation est inquiétante. Ces tracts diffusés ici et là et l’annonce du Général Fidy concernant la mise en place prochaine de la Directoire Militaire perturbent l’opinion publique en cette période de campagne électorale.
- Nivo T. A
Wanadoo.mg
17/11/2006
JIOI de 2007 à Madagascar. 17 ans après !
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La mascotte des 7e Jeux des Iles de l'Océan Indien de 2007
© COJI |
Madagascar, 17 ans après, hébergera la 7è édition des Jeux des Iles de l'Océan Indien. En effet, c'était en 1990 que pour la Grande Ile accueillait pour la première fois des jeux, la 3è édition. Cette année là, elle avait remporté le plus grand nombre de médailles d'Or.
L'année prochaine, du 9 au 19 août 2007, ces jeux - la "fête de la fraternité" - des îles de l'Océan Indien reviennent fouler le sol malgache pour la deuxième fois. L'optimisme règne. Zoom sur les Jioi de 79 à nos jours.
L'initiative des jeux revenait aux Réunionnais. Une idée très ancienne car datait vraisemblablement de 1949. La prise en compte officielle par une organisation structurée était par contre beaucoup plus récente.
Le 28 juillet 1974, date de sa création, le Cros (Comité régional olympique et sportif de la Réunion), inscrit dans ses objectifs la recherche des moyens d'organiser des Jeux de l'Océan Indien. A vrai dire aucun des participants de cette assemblée générale constitutive n'a une vision précise de la chose, mais l'idée semble séduire et motiver. Tranquillement, le Cros se pencha sur ce projet et constitua une commission chargée de définir les conditions dans lesquelles le concept pourrait prendre corps. Et, le 25 août 1979, à La Réunion, au Stade Olympique de St Paul, construit dans le cadre des Jeux, la flamme des Jeux est allumée. Le rêve de toute une région devenait réalité.
1ers jeux des Iles de l'Océan Indien : 1979 à la Réunion
680 athlètes et 313 dirigeants défilent et s'apprêtent à s'affronter, pour l'honneur du sport. 5 îles répondent à l'appel. Il s'agit des Comores, des Maldives, de Maurice, des Seychelles et de la Réunion. Madagascar n'était pas encore prête à ce moment là. Une délégation de la France est aussi présente, mais y participe hors-concours. |
13 disciplines étaient au programme : athlétisme,
badminton,boxe, basket-ball, cyclisme, football, haltérophilie, natation, rugby, tennis, tennis de table, voile et volley-ball.
Tableau final des médailles
1/ Réunion: 68 Or, 56 Argent, 42 Bronze (166 médailles au total)
2/ Maurice: 31 Or, 44 Argent, 38 Bronze (113 médailles au total)
3/ Seychelles: 11 Or, 8 Argent, 11 Bronze (30 médailles au total)
4/ Comores: 1 Or, 1 Argent, 7 Bronze (9 médailles au total)
2e jeux des Iles de l'Océan Indien: 1985 à Maurice
L'engagement de Maurice, d'organiser les 2è Jeux des Iles de l'Océan Indien, a été pris à une période charnière de l'histoire du pays. Mis en hibernation, trois ans durant, le projet refait surface à l'arrivée au pouvoir d'une nouvelle équipe gouvernementale. Le projet revient donc sur le tapis en janvier 1983. Rendez-vous est donné pour 1985.
Le choix des disciplines est finalisé. Ainsi, on retrouve l'athlétisme, le badminton, le basket-ball, la boxe, le cyclisme, le football, l'haltérophilie, le judo, la natation, le tennis, le tennis de table, le volley-ball et la voile. Le 24 août 1985, Sem Seewoorsagur Ramgoolam, Gouverneur Général de Maurice, déclare ouvert les Jeux. 971 athlètes et 216 entraîneurs ou encadreurs, 21 juges et arbitres, 48 para médicaux et 38 dirigeants, sont engagés dans les Jeux.
Tableau final des médailles
1/ Réunion: 49 or, 45 argent, 32 bronze avec un total de 126 médailles
2/ Maurice: 36 or, 38 argent, 52 bronze pour un total de 126 médailles
3/ Madagascar : 29 or, 27 argent, 34 bronze pour 90 médailles au total
4/ Seychelles 6 or, 9 argent, 9 bronze (24 médailles)
5/ Maldives 1 argent
6/ Comores 7 bronze
3e Jeux des Iles de l'Océan Indien : 1990 à Madagascar
Prévus se tenir en 1989, les Jeux se déroulèrent finalement lieu un an plus tard. 14 disciplines à savoir l'athlétisme,le badminton, le basket-ball, la boxe, le cyclisme, le football, l'haltérophilie, le judo, la lutte, la natation, la pétanque, le tennis, le tennis de table et le volley-ball avaient réuni quelques 1250 athlètes. La cérémonie d'ouverture s'est tenue au stade de Mahamasina...Les épreuves de natation à
Toamasina.
Tableau final des médailles
1/ Madagascar: 56 or, 52 argent, 47 bronze avec un total de 155 médailles
2/ Réunion 47 or, 46 argent, 47 bronze pour 140 médailles
3/ Maurice 43 or, 46 argent, 47 bronze pour 136 médailles
4/ Seychelles 5 or, 4 argent, 11 bronze (20)
5/ Comores et Maldives 0
4è Jeux des Iles de l'Océan Indien: 1993 aux Seychelles
Rendez-vous est pris pour 1993, soit trois ans après les Jeux de Madagascar. Les Seychelles se devaient non seulement de réhabiliter les installations existantes, mais aussi en créer d'autres. Ainsi, sortirent de terre le Stade de Roche Caïman, une enceinte de 10.000 places, pou le football; la piscine olympique de Roche Caïman avec un bassin de 50m pour 8 couloirs; la Palais des Sports, pour le volley-ball et le basket-ball (2000 places); le tennis club de Roche Caïman; le Gymnase de Roche Caïman pour le judo et le tennis de table et le Gymnase de Victoria pour la boxe. Le Centre de Conférence de Victoria (l'haltérophilie) et le stade Popiler pour l'athlétisme ont été réhabilités.
Tableau final des médailles
1/ Réunion: 64 or, 57 argent, 34 bronze pour u total de 155 médailles
2/ Maurice 51 or, 45 argent, 50 bronze soit 146 médailles
3/ Madagascar 30 or, 33 argent, 41 bronze soit 104 médailles
4/ Seychelles 19 or, 24 argent, 32 bronze soit 75 médailles
5/ Comores 1 argent, 2 bronze soit 3 médailles
6/ Maldives 1 argent
5e jeux des Iles de l'Océan Indien en 1998 à La Réunion
La Réunion reprend le flambeau. Les Jeux ont été reportés pour 1998, car en 1997 Madagascar organisait les Jeux de la Francophonie. Le Coji, Comité d'organisation des Jeux, est constitué juin 1995.
Tableau final des médailles
1/ Réunion 73 or, 65 argent, 50 bronze soit 187 médailles
2/ Maurice 49 or, 44 argent, 61 bronze soit 154 médailles
3/ Madagascar 41 or, 39 argent, 50 bronze, soit 128 médailles
4/ Seychelles 13 or, 22 argent, 34 bronze soit 61 médailles
5/ Comores 1 argent, 6 bronze soit 7 médailles
6/ Maldives 1 argent, 1 bronze soit 2 médailles
6e Jeux des Iles de l'Océan Indien: 2003 à Maurice
La sixième et dernière édition qui a eu lieu à Maurice du 29 août au 7 septembre 2003 a vu la participation de six pays à savoir le pays hôte, les Comores, Madagascar, les Maldives, les Seychelles et la France, représentée uniquement par des Réunionnais et pour la première fois, les
Mahorais.
Les disciplines mises en compétition étaient l'athlétisme, le badminton, le basket-ball, la boxe, le cyclisme, le judo, le football, l'haltérophilie, la natation, le tennis, le tennis de table, la voile et le volley-ball. Le Handisport, présent depuis les jeux de 1998 à La Réunion, était réservé aux épreuves d'athlétisme avec le 1500m fauteuil homme, le 800m fauteuil femme, le 200 m non voyant.
Tableau final des médailles
1/ France Océan Indien 68 or, 49 argent, 65 bronze avec un total de 182 médailles
2/ Maurice 57 or, 76 argent, 52 bronze soit 185 médailles
3/ Seychelles 43 or, 40 argent, 32 bronze soit 115 médailles
4/ Madagascar 27 or, 30 argent, 51 bronze soit 108 médailles
5/ Comores 1 or, 1 argent, 9 bronze soit 11 médailles
6/ Maldives 0 médaille
Recueillis par Alain Rakotomavo ©Le Quotidien
Express
Mada 15/11/2006
Groupe Nanahary
: Nanah fête ses 40 ans de scène en France
Pour les moins jeunes, Nanah s’identifie à la chanson “Mamindrà fo amiko”, un des titres phares du répertoire de negro spiritual de
Nanahary.
Créé dans les années 60, le groupe aura fait et fera chanter plusieurs générations.
Nanah, depuis toujours, a été la seule chanteuse de la formation. Avec elle, les quatre frères,
Ephrahim, Mamy, Pierre et Jacques, ont été les compléments vocaux ou instrumentaux harmonisés, rassemblés sous le nom de Groupe
Nanahary.
L'éclatement de la formation est advenu au décès d'Ephrahim et Mamy. Pierre ne chante plus. Jacques assure le flambeau de la continuité en insufflant son professionalisme à ses fils et neveux, pour créer Nanahary Junior.
Nanah, partie en France, y chante encore occasionellement. Pour célébrer ses 40 ans de scène, elle s'offre et offre le plaisir à tous le Malgaches résidant en France de la voir se produire sur la scène, dans les salons du Hilton Orly Airport Smart. Pour la circonstance, elle voit les choses en grand.
En vocal, elle sera accompagnée par Henri Ratsimbazafy, Lalao
Rabeson, Jacques Nanahary, Claudia |
Le groupe
Nanahary, lors d'une tournée à Paris en 1980 |
Vallon, Abel
Andriarimalala, Henri Rakotomalala, Baby John, Nary Railovy Abegan. Du beau monde de la variété malgache qui aura pour fond la chorale anglicane malgache. Aux instruments, King Blaise et son trio, Joël
Rakotomamonjy, Frank Raholison, Gérard Rakotoarivony, Hery et Patrice
Ranohatra.
Des invités seront attendus, mais c'est une surprise.
Si l'invitation précise que les places sont limitées, c'est parce que les organisateurs ont pressenti le succès de cette prestation.
Renée Raza
Wanadoo.mg
14/11/2006
INTERNET. L’ADSL dans les six provinces en 2007
Le haut débit ne relève plus du domaine du rêve pour les internautes malgaches qu’il s’agisse de particuliers ou d’entreprise.
|
Des ordinateurs devant une carte présentant l'accès à l'Internet à Madagascar
© DTS |
La démocratisation de
l’Internet se poursuit pour la société DTS-Wanadoo. L’on apprend du Directeur Commercial de l’entreprise, Charles
Cantin, que l’Internet à haut débit sera disponible dans les six provinces de Madagascar avant la fin du premier semestre de l’année 2007. «Toutes les villes importantes de Madagascar seront reliées à haut débit», ce responsable de déclarer. Le développement de la technologie ADSL dans tout le pays constitue donc une des priorités pour DTS-Wanadoo dans les prochains mois.
Cybercafés
Dans le cadre toujours de cette promotion de l’Internet, l’on apprend du Directeur Commercial, Charles
Cantin, que Dts envisage d’apporter une grande révolution au niveau de la perception des cybercafés dans le pays. «Nous allons installer un cybercafé dans chaque grande ville de Madagascar et Antananarivo en accueillera peut-être deux ou trois», Charles Cantin de révéler. L’objectif de l’entreprise, poursuit-il, est d’offrir
l’Internet à haut débit au grand public. «DTS installera au minimum dix cybercafés», ce responsable de préciser. Celui-ci avait également fait savoir qu’il est possible que Dts-Wanadoo s’associe à des infrastructures déjà en place.
Les cybercafés de DTS ne se limiteront pas aux services fournis jusque-là dans ces types d’endroit. Le Directeur Commercial de confier que ces lieux seront animés en permanence et que les visiteurs peuvent bénéficier de formation sur
l’Internet, son utilisation ou pourquoi pas un concours de conception de site
web. Des jeux et des concours y seront également organisés régulièrement.
Par ailleurs, l’on apprend de ce responsable que Dts-Wanadoo améliore également sa qualité de service auprès de la clientèle entreprise grâce à DTS Business Services.
Didier Rambelo ©Midi Madagasikara |
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Reportages de l'été 2006 de
LaComm'
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