Archives 2002 - 2007

Le dernier MadaVôvô

Pubs &  bas de la page

Sommaire Madavôvô: 16 mai  2007

BigNews: Le Sport est Roi , ...

L'Edito: « Bio ou Les produits biologiques de Madagascar ... »

1.Journée mondiale des oiseaux migrateurs (Tribune)

2.Le lac Bedo du Menabe central devient 6ème site Ramsar (Les Nouvelles)

3.La certification bio, principal atout de la vanille malgache (Nouvelles)

4. Des vagues de 10 mètres attendues (Clicanoo)
5.Plus de 400 étudiants fianarois investissent l'Assemblée nationale (Nouvelles)

6. Antsapraise: Concert Tournage en DVD  Live (Madagate)

7. Pety Rakotoniaina : Déjà à l’extérieur ? (Tribune)

8. No Comment.... No Comment...

9. Diplomatie : La France et l’expulsion du père Urfer (Tribune)

10. Trafics d'enfants ! Faites attention aux enfants! (Wanadoo)

11. Expulsion du Père Urfer : L’ambassadeur de France interpelle (Tribune)

12. 13 Mai, 35 ans après (Nouvelles)

13.Vente de boissons alcooliques:beaucoup de violations du « couvre feu » (Midi)

14. Lila Ratsifandrihamanana, ambassadrice de l'U.A auprès de l'ONU (Sobika)

15. Alain Le Roy : “ La France adoptera la continuité avec Madagascar ” (Express)

16.Elue Miss Madagascar Magazine: Ramamonjisoa Elianne. (Madamaki)

 .. Le précédent MadaVôvô  12 mai 2007 >>

... Les Revues de presse plus bas !!!

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...

... Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina", Stéphanie a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.Merci d'avance!          ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>   

 Les Nouvelles 14/05/2007

La certification bio, principal atout de la vanille malgache
La pureté de son arôme et sa haute teneur en vanilline cristallisée (plus de 2%) font déjà la renommée de la vanille malgache. Mais pour faire valoir ces arguments sur le marché international, rien ne vaut la certification. C'est le moyen utilisé par la coopération suisse pour vendre exclusivement la vanille de Mananara nord auprès d'un chocolatier suisse. 
Le label biologique n'est attribué qu'aux produits qui n'ont subi aucune manipulation génétique, greffes y compris. De plus il doit être préservé des germes, traité selon des normes sanitaires minimales, sans pour autant enlever l'originalité du traitement traditionnel. L'Ecocert, organisme malgache de certification, a donné ce label bio à la vanille de Mananara. 
A ceci s'ajoute un label de commerce équitable. Après avoir rassemblé 700 familles de producteurs en association formelle, il a fallu leur assurer d'être capable de discuter des prix de vente à l'exportation avec les étrangers. «Les producteurs doivent pouvoir prétendre à des prix de vente qui leur assurent une vie décente. A l'heure actuelle, ce prix tourne autour de 52 dollars US le kilo de vanille préparée, et 5,5 dollars le kilo de vanille verte» confie un animateur du projet.
Mirana Rasamimanana

Les Nouvelles 16/05/2007

Le lac Bedo du Menabe central devient 6ème site Ramsar
« Faire connaître au monde entier, les richesses en biodiversité de Madagascar, dont le lac Bedo ». C'est une des particularités des sites Ramsar, annoncée par le ministre Bernard Koto, lors de la cérémonie de consécration du lac Bedo, 6ème site Ramsar, dans la commune rurale de Beroboka.
En effet, les zones humides de Bedo sont maintenant inscrites sur la liste de Ramsar, occupant actuellement la 1686ème place, soit plus de 145 millions d'hectares. Elles répondent aux critères suivants : un site d'accueil de certaines espèces d'oiseaux migrateurs et d'oiseaux menacés, un abri de 34 espèces d'oiseaux des zones humides ainsi que d'une population végétale, et aussi de poissons indigènes qui commencent à devenir rares. 
L'initiative revient à l'équipe de Durrell Wildlife Conservation Trust (DWCT), dont le nouveau directeur, Leo Niskaken, était présent aux côtés des personnalités, dimanche dernier, dans la commune rurale de Beroboka. Le lac Bedo a été consacré 6ème site Ramsar après Tsimanampetsotse, Manambolomaty, Tsarasaotra, Torotorofotsy et lac Alaotra. Un événement qui coïncide avec la clôture de la célébration de la Journée mondiale dédiée aux oiseaux migrateurs, intitulée «Les oiseaux migrateurs et le changement climatique». 
Spécificités du site
Le lac Bedo se trouve dans la région du Menabe central qui se trouve entre la rivière Morondava et le fleuve Tsiribihina. On y trouve trois types de zone humide, dont le lac, les marais et le bassin-versant du lac qui fournit des eaux de ruissellement durant la saison des pluies. Ce complexe est une unité écologique aquatique ayant un écosystème particulier dans la région du Menabe Central. Le site abrite trois espèces d'oiseaux menacés dont la sarcelle de Bernier, le héron de Humblot et le Gravelot de Madagascar. C'est aussi un site d'accueil pour les oiseaux migrateurs comme les flamants roses et les flamants nains. La rivière Mandroatsy et les marais constituent l'habitat naturel des grandes tortues d'eau douce de Madagascar et des crocodiles de Nil, ainsi que des tortues à queue plate Pyxis et le Sifaka. La flore est également caractérisée par la présence en grande partie des plantes typha angustifolia (vondro), représentant une valeur économique importante pour les riverains, et aussi des baobab andasonia. 
En tout, le plan d'aménagement et de gestion de la forêt de Menabe central et des zones humides de Bedo en tant qu'aires protégées correspond à la déclaration de Durban. Selon le ministre Bernard Koto, plus de deux millions d'hectares d'aires protégées ont été nouvellement créés. La cérémonie à Beroboka consistait également dans le transfert de gestion du site Ramsar à la communauté de base «Fiombonan' Analabe Soa Miray». Tout cela, afin d'améliorer les conditions de vie de la population et vaincre la pauvreté.
Noro Niaina

Clicanoo.com 15/05/2007
Des vagues de 10 mètres attendues - Frédérique Seigle
L’avis de houle, émis par Météo France samedi, n’a pas évité le drame. Le sud et l’ouest ont été durement touchés par une houle australe due à une tempête en cours dans l’extrême sud de l’océan Indien. Tandis que les recherches se poursuivent pour retrouver les deux marins disparus en mer et que les plaisanciers font l’état des lieux des dégâts occasionnés, La Réunion doit se préparer à subir le même sort ce soir.

  Ecormier, prévisionniste à Météo France. Les houlographes placés en mer ont enregistré des vagues allant jusqu’à plus de onze mètres à Saint-Pierre. Météo France avait émis samedi un avis de houle, l’avis de “forte houle” n’existant pas. Mais l’avis n’a pas suffi à alerter les marins, pourtant habitués à consulter les conditions météorologiques avant de prendre la mer. Comment alors prévenir de tels risques ? La préfecture bûche sur une solution. Pour compléter sa panoplie de plans d’urgence, le préfet aura bientôt à sa disposition un “plan événement météorologique dangereux”. Ce énième plan permettra d’agir en cas de vents forts, pluies abondantes et houles importantes, c’est-à-dire tous les événements météorologiques qui ne sont pas pris en compte dans les plans déjà existants. Ce plan devrait permettre notamment d’acheminer plus rapidement l’information et encouragera les municipalités concernées à prendre des mesures de restrictions d’accès au bord de mer. Mais, comme le souligne Didier Perocheau, directeur de cabinet du préfet, “on ne peut pas interdire à quelqu’un de se mettre à la mer. La navigation maritime repose sur des principes de responsabilités.” Malheureusement, le plan ne pourra pas être testé pour le prochain épisode de houle qui doit avoir lieu ce soir. La préfecture recommande la plus grande prudence.
- Des vagues de 8 à 10 mètres attendues
La forte houle qui déferle sur le secteur sud-ouest de l’île depuis samedi après-midi est générée par une profonde dépression circulant au niveau des 40e sud. Les valeurs observées ont été de l’ordre de 2 à 4 mètres en moyenne en cours de journée du samedi, atteignant ensuite en cours de nuit les 5 à 6 mètres, les vagues les plus hautes dépassant alors les dix mètres. La valeur maximale observée a été de 11 mètres samedi à 23 heures à Saint-Pierre. La houle s’est apaisée hier mais devrait redoubler d’intensité aujourd’hui au fil de la journée. En fin d’après-midi, les vagues pourraient atteindre des valeurs de 8 à 10 mètres dans la nuit avec des périodes de 18 secondes. La période est le temps qui s’écoule entre deux vagues. Plus la période est importante et plus les vagues sont puissantes. Une période de 18 secondes sur des vagues de dix mètres peut avoir des conséquences désastreuses comme celles de samedi soir.

Les Nouvelles 14/04/2007

Plus de 400 étudiants fianarois investissent l'Assemblée nationale
Aux grands maux les grands remèdes. Les autorités semblent avoir opté pour cet adage en prenant les mesures adéquates concernant l'université d'Andrainjato, où le litige opposant les étudiants du «Grand Sud» à ceux du «Triangle du Nord» est à l'origine de l'arrivée surprise de 410 étudiants, venus assiéger la cour de l'Assemblée nationale au petit matin du samedi. La nouvelle a vite fait de parvenir aux mains de la haute sphère politique et, à travers une réunion le jour même sous la houlette du ministre de la Défense nationale, le général Peter Behajaina et diverses hautes personnalités, les mesures prises sont censées mettre fin au litige où nos dirigeants soupçonnent une manipulation politique en vue de déstabiliser le régime.
Il aura fallu l'intervention d'en haut pour que le problème des étudiants d'Andrainjato soit résolu. Après le passage des 410 étudiants du «Triangle du Nord» à l'Assemblée nationale samedi, les autorités compétentes ont clairement signifié qu'elles prennent en main la situation pour mettre un terme, une fois pour toutes, aux rumeurs et autre récupération politique derrière ces manifestations.
Malgré l'intervention des parents d'étudiants (antsiranais) consistant en l'apport des 5 zébus réclamés par les étudiants du «Grand Sud» (Fianarantsoa - Sud-Est - Antananarivo) en guise d'arrangement de l'affaire, la situation n'était pas revenue à la normale au campus d'Andrainjato durant le week-end, bien au contraire. La rumeur d'une «chasse à l'homme» concernant les 5 étudiants fautifs a fait son chemin dans la capitale betsileo. Mais les 5 étudiants ne seront jamais livrés «à qui de droit», et on suppose même qu'ils seraient parmi les 410 étudiants originaires du «Triangle du Nord» (Mahajanga – Antsiranana – Toamasina) qui, dans leur crainte, ont préféré quitter la ville. Ils ont débarqué à Antananarivo au petit matin du samedi, où ils ont campé dans la cour de l'Assemblée nationale à Tsimbazaza, pour y trouver la solution idoine à leur cas… 
Ils ne se sont pas trompés d'adresse, puisqu'une réunion improvisée a été organisée le jour même, sous la houlette du ministre de la Défense nationale, le général Peter Behajaina, en présence des chefs de région Vatovavy Fitovinany et Atsimo Atsinanana, de divers responsables de l'enseignement supérieur, des députés, des sénateurs, et évidemment des représentants des étudiants. 
La déclaration du ministre de la Défense nationale sur les ondes de la RNM dans le journal parlé de 12h30 en date du 13 mai résume les initiatives prises par les autorités en vue de mettre un terme à ce problème que des politiciens véreux auraient profité (date du 13 mai oblige !) pour inciter les étudiants à la révolte. Ci-après en traduction libre la déclaration du ministre Peter Behajaina : 
«Devant les récents événements qu'ont vécus les étudiants de l'université de Fianarantsoa, les différents responsables nationaux, députés et sénateurs des diverses régions de l'île, les responsables gouvernementaux, les chefs de région Vatovavy Fitovinany et Atsimo Atsinanana, plusieurs responsables de l'enseignement supérieur (…) ont pris la résolution suivante pour rétablir la situation au campus d'Andrainjato : des représentants du gouvernement se rendront sur place en vue de renforcer la sécurité et partant d'assurer la réintégration des étudiants partis pour les raisons que l'on sait. En attendant, les autorités prennent en charge le retour et la sécurité des étudiants désireux de revenir à Fianarantsoa. Le retour de ceux qui souhaitent rentrer (définitivement) chez leurs parents sera également pris en charge par l'Etat». 
Une forte délégation de «revenants» a fait cap sur Fianarantsoa dans la soirée même du samedi à bord de véhicules payés aux frais de l'Etat. Déjà quelques députés ont tenu à les accompagner, histoire de les rassurer, mais surtout en vue de marquer par leur présence la «réconciliation» qui aura lieu une fois qu'ils seront sur place. 
Par ailleurs, les autorités soupçonnent une manipulation des étudiants de la part de deux politiciens véreux qui, selon elles, auraient géré le mouvement en faisant en sorte qu'il se rapproche, sinon intègre la date du 13 mai, histoire de rappeler les événements de 1972. Une enquête est déjà en cours et, au fur et à mesure de son avancement, l'interpellation des deux personnes ne saurait tarder.
Ra-Elia

Madagate 15/05/2007

Antsapraise: Concert Tournage en DVD  Live

Ce jeudi 17 mai, jour de l'ascension..Des voix s'élèveront aux cieux 
La frénésie pour la musique Gospel ne se dément pas : nous avons de plus en plus de concerts dans les plus grandes salles, le Zénith, le pavillon Baltard, le Casino de Paris, les cathédrales, églises ou temples.
CRIS DE FOI ... EFFETS DE VOIX ...

Le succès du Gospel est-il un effet de mode, une expression de foi renouvelée, une méthode d’évangélisation ou une musique identitaire ? Une expression de la foi qui entre en résonance avec les attentes spirituelles d’aujourd’hui ? Les plus beaux sujets nécessitent le meilleur de la technologie…  Paillettes et Strass ? ... Disons plutôt … « déco et jeux de lumières apocalyptiques » Ce que nous réserve Madagate.com Production le 17 mai 2007 à 18 heures, à l'Espace Saint-Pierre de NEUILLY-SUR SEINE s’annonce vraiment exceptionnel !

Steadycamer, chef opérateur, cadreurs de choc, directeur de photographie, accessoiristes, techniciens et ingénieur du son, etc … tout le monde y mettra du sien pour orchestrer image, son et lumières avec les moyens modernes du LIVE TV. 
Un concert unique et inédit mettra en scène des stars de différentes nationalités à l’occasion de l’Ascension. Intitulé « Puissance de La louange au Cieux ouverts, Open Heavens, Power of Worship » filmé en direct et immortalisé sur DVD en Live. La multiculture est de mise avec ces artistes de talent de divers continents.  ... + de détails sur www.madagate.com

Tribune 15/05/2007
Pety Rakotoniaina : Déjà à l’extérieur ? - Alphonse M. 
La tête de l’ancien maire de Fianarantsoa a été mise à prix par le gouvernement pour une somme de Ar. 100 millions. Une semaine après la décision du conseil des ministres, l’enfant terrible de Fianarantsoa reste introuvable, malgré le déploiement des éléments des forces spéciales dans la province de Fianarantsoa, depuis le début de la semaine dernière. 
D’après un quotidien de la place, M. Pety est sous la protection des anciens militaires bien armés. Une source proche des forces armées a affirmé que ce fugitif a été déjà localisé. L’ancien secrétaire d’Etat chargé de la Sécurité publique a annoncé à plusieurs reprises que l’arrestation de Pety est imminente. Mais, il est toujours en cavale depuis le milieu du mois de décembre de l’année dernière. 
Faute d’une information fiable et crédible, les supputations vont bon train. Des rumeurs ont circulé ces derniers temps que l’ancien maire de la capitale Betsileo avait déjà quitté la Grande Ile depuis belle lurette. Rappelons qu’il a envoyé un communiqué en provenance du Danemark, mais personne ne peut confirmer l’authenticité de ce fax. Faut-il rappeler que cette affaire de l’ancien maire de Fianarantsoa a provoqué une malaise entre la communauté catholique et les gens du pouvoir.  

NO COMMENT        NO COMMENT       NO COMMENT      NO COMMENT

Les Sites Partenaires                                   ... News des Provinces

Tribune 15/05/2007
Diplomatie : La France et l’expulsion du père Urfer 
La position de la France concernant l’expulsion du Père Sylvain URFER a été exprimée publiquement hier par le porte-parole officiel du ministère français des Affaires Etrangères et transmise à la presse par le Service de Presse de l’Ambassade de France.
« La France regrette cette décision d’expulsion, qui n’a été motivée par aucune infraction à la législation malgache et qui frappe un religieux présent à Madagascar depuis plus de trente ans et très proche de la population. La France rappelle à cet égard son attachement à la liberté d’expression à Madagascar ; comme ailleurs dans le monde ».
Bref, la France officielle semble connaître les motifs réels de l’expulsion. Si l’on décrypte le communiqué, on peut en effet déceler que la France sait très exactement que le père Urfer n’a commis aucune infraction mais que son « délit » est d’avoir exprimé une opinion qui n’a pas plu aux dirigeants.

Wanadoo.mg 15/05/2007
TRAFIC D’ENFANTS !
Faites attention aux enfants! Le trafic existe bel et bien. La brigade des moeurs a mis la main sur un réseau de trafiquantes dans le quartier d’Andohatapenaka- Itaosy. 
Inimaginables, 10 enfants de quatre à treize ans ont été retrouvés dans différentes maisons aux alentours. Le trafic ne date pas d’aujourd’hui. A une certaine époque, il a concerné des centres d’orphelinat douteux. Le trafic est juteux. C’est la raison pour laquelle il intéresse beaucoup de gens sans scrupules. Un enfant se vendrait à l’étranger à plus de 5 000 euros. 
C’est le corps sans vie d’un enfant disparu retrouvé dans les marécages dans ce quartier qui a mis la puce à l’oreille de la police des moeurs sur cette affaire. La descente qu’elle a effectuée a été payante. En mettant la main sur une des trafiquantes, elle a vite fait de remonter la filière, de délation en délation. Et de retrouver au bout de huit femmes une dizaine d’enfants. 
En reste –il encore ? Jusqu’où pourrait aller ce réseau de trafic d’enfants ? Des gros bonnets pourraient, en tout cas, être compromis dans cette affaire. Toujours est –il que la leçon vaut d’être retenue. Il faut faire attention aux enfants. Les formes d’exploitation des enfants sont variées et on les retrouve dans la plupart des régions du monde. L’abus à l’égard des enfants le plus connu est le commerce sexuel et la prostitution enfantine, mais ce n’est pas le seul. Le travail clandestin, l’exploitation domestique proche de l’esclavage, l’adoption illégale et l’escroquerie aux prestations sociales en sont d’autres aspects. Des enfants sont adoptés illégalement un peut partout dans le monde. L’adoption internationale illégale rapporte beaucoup d’argent aux trafiquants. Il faut que les autorités renforcent la répression sur le trafic d’enfants sinon, il y aura toujours bon an mal an des disparitions d’enfants inexpliquées dans notre pays. Au regard des statistiques, 51 enfants ont disparu cette année. Où sont-ils passés ? D’autres réseaux existent-ils encore ? Toujours est –il que ce coup de filet de la police des mœurs est remarquable. Elle n’a pas seulement mis la main sur des trafiquantes mais a également dévoilé un trafic qui pourrait ne pas s’arrêter au rapt d’enfants car il y a aussi les fausses déclarations en tout genre pour permettre à ces enfants d’être vendus ou adoptés à l’étranger à bon prix. 
Zo Rakotoseheno  ©Midi Madagasikara

Tribune 14/05/2007

Expulsion du Père Urfer : L’ambassadeur de France interpelle 
L’expulsion du Père Sylvain Urfer pourrait affecter les relations entre Madagascar et la France ? Plus d’un s’interrogent sur les conséquences de la décision du ministère de l’Intérieur d’expulser ce prêtre d’origine française qui a vécu 33 ans à Madagascar. Frappé d’une mesure administrative d’annulation de visa de séjour et d’interdiction d’entrée dans le territoire malgache, le curé de la paroisse de l’église catholique d’Anosibe a quitté la Grande Ile le samedi matin à bord du vol régulier de la compagnie aérienne Air France. Pour l’instant toutes les autorités ont choisi le mutisme total. Personne n’a évoqué les motifs exacts de cette expulsion de ce prêtre au service des pauvres. 
Toutefois, en marge de la conférence sur le MAP (Madagascar Action Plan) qui s’est tenue au ministère des Affaires étrangères sis à Anosy, l’ambassadeur de France à Madagascar Alain Leroy a publiquement interpellé le patron de ce département. 
Selon notre source, ce diplomate a requis des motifs officiels justifiant l’expulsion de ce ressortissant français. Ces derniers temps, plusieurs personnes de nationalité française sont devenues de « personna non grata » à Madagascar. Le ministre des Affaires étrangères, le général Marcel Ranjeva n’a pas répondu à la question de cet ambassadeur dans la salle de réunion, mais il l’a reçu en audience dans son bureau après la conférence, audience dont nulle information n’a filtré jusqu’à maintenant. 
Un traitement indigne
A noter que les amis, les religieux et religieuses ainsi que les fidèles de sa paroisse, venus nombreux à l’aéroport international d’Ivato pour témoigner de leur solidarité envers ce prêtre, n’ont pas pu rencontrer Père Urfer. Il a été directement embarqué dans l’avion qui l’a ramené vers la capitale française. Ce geste des autorités a provoqué l’ire au sein du cercle de ses amis. Quelques uns n’ont pas retenu leurs larmes devant ce traitement digne d’un bandit de grand chemin. Cette affaire va certainement empoisonné les relations déjà tendues entre la communauté catholique et le régime en place. Néanmoins, un haut responsable de l’ECAR (Eglise catholique romaine), présent lors d’une cérémonie à tanjombato, a publiquement épousé cette décision du gouvernement, car d’après lui, « ce père Urfer devrait-être expulsé depuis belle lurette ». Toutefois, il n’a pas évoqué les raisons justifiant une telle déclaration.
- Alphonse M. 

Les Nouvelles 14/05/2007

13 Mai, 35 ans après

En mémoire du 13 Mai 1972, quelques militants du moment ont déposé une gerbe sur cette place hier dans la matinée. La cérémonie n'a pas vu la présence d'officiels et a été célébrée par les anciens meneurs comme Me Willy Razafinjatovo dit Olala, des membres de la révolution Orange, des personnalités politiques connues comme Gaston Ramaroson et autres. En trente cinq ans, les militants du temps n'ont pas encore oublié.

Prisca R.

Midi Mada 14/05/2007

VENTE DE BOISSONS ALCOOLIQUES: Encore beaucoup de violations du « couvre feu » de 21h 
« Pour nous, il n’y a pas d’heure limite, nous pouvons toujours trouver à boire si on le veut vraiment ». Les clients sortant de cet « épi-bar » des 67ha à 22h ne semblent pas concernés par la mesure d’interdiction de vendre des boissons alcooliques au-delà de 21h. Les détaillants en boissons alcooliques ne sont plus, en effet, autorisés à servir les clients au-delà de cette heure. 
Hanitra R.
La mesure nouvellement rappelée au public fait depuis quelques temps, l’objet d’une campagne d’information. Les épiceries dans les quartiers d’Antananarivo poursuivant encore leurs ventes au-delà de 21h, font l’objet d’un avertissement et à la seconde infraction, les sanctions entrent aussitôt en vigueur. Mais au vu des quelques cas observés le week-end dernier, nombreuses étaient les épiceries « nocturnes » qui servaient rhum, bières et whisky à leurs clients adeptes du vendredi - et samedi – magnifiques ! 
Contourner la loi
Quelques épiceries des 67ha et d’Ankadimbahoaka ont, par exemple, été vues servir les clients à 21h30, voire plus tard. D’autres épiceries du centre ville réputées pour leur service de nuit, en revanche, semblent, du moins en apparence, cesser leurs ventes à l’heure indiquée sans pour autant fermer boutique. En effet, ces épiceries continuent de recevoir les clients au-delà de 21h, mais disent ne vendre que des boissons hygiéniques, cigarettes, amuse-bouches et autres. Et leurs clients de signifier indirectement qu’il est toujours possible de « contourner la loi » (sic). Peut-être de la même manière ou pas, que d’autres villes qui ont déjà fait l’expérience de réglementations similaires, mais en tout cas, pour contourner la loi dans ces pays, les clients des bistrots achètent leur « dose » avant l’heure fatidique et alignent plusieurs verres, chopes ou bouteilles sur le comptoir. Ils continuent ainsi de boire jusque tard dans la nuit. S’il est tout à fait vrai que les patrons des pubs ne servent plus à boire après l’heure indiquée par la loi, ce n’est pas pour autant que les clients sortent sobres du bistrot ! 

Sobika.com 15/05/2007

15 MAI 2007 : Lila Ratsifandrihamanana, ambassadrice de l'Union Africaine auprès de l'ONU 
Elle a été ministre des affaires étrangères, ambassadrice au Sénégal, et aujourd'hui elle représente très officiellement l'Union Africaine à l'ONU ! Une carrière politique et diplomatique qui s'internationalise, mais c'est aussi une fierté pour Madagascar de voir un de ses ressortissants parler au nom de toute l'Afrique aux Nations Unies ! Nous l'avons rencontré, à New York, dans son bureau pour une interview. 
"En une seule journée, j'ai 7 conférences, sans compter les réunions et les meetings !" 

Bonjour Mme L'Ambassadrice. Merci de nous accorder cet entretien dans votre agenda très serré. Depuis quand êtes vous à ce poste à New York ?  Bonjour à tous les lecteurs de Sobika.com. Je suis ambassadrice de l'Union Africaine auprès de l'ONU depuis décembre 2006.  Vous étiez Ambassadrice de Madagascar au Sénégal depuis 2002 avant cette nomination. Comment avez vous obtenu ce poste ?  Les dirigeants de l'Union Africaine me connaissent depuis longtemps ( Lila Ratsifandrihamana était Ministre des Affaires étrangères avant d'être nommée par Ravalomanana Ambassadrice au Sénégal ). Le Président de l'Union Africaine le professeur Alpha Oumar Konare ( photo ci contre ) me connait bien et cherchait à mettre des ambassadeurs permanents dans les diverses représentations internationales ( Union europénne, Onu...) en lieu et place des chargés d'affaires actuels. J'ai donc soumis mon dossier et il a ainsi choisi des personnalités africaines qui ont toutes occupées un poste ministériel puisque l''ambassadeur de l'Union Africaine à Bruxelles ( Union Européenne ) est l'ancien Ministre des affaires étrangères du Tchad.  Vous êtes donc officiellement la personne qui représente les intérêts de l'Afrique à l'ONU ?  Oui c'est cela !

Qu'a dit le Président Ravalomana en apprenant votre nomination à ce poste ? 
Tout d'abord ma nomination ne pouvait être validée sans l'accord du conseil des ministres du gouvernement malgache. Celui ci l'a accepté sans problème. Quant au président, j'ai trouvé qu'il avait l'air enthousiaste à l'idée qu'un malgache représente l'Afrique auprès d'une grande institution internationale. C'est important pour Madagascar d'avoir des représentants malgaches dans les instances internationales. Il y a une autre personnalité malgache qui travaille à l'ONU. Micheline Ravololonarisoa qui est la chef de section afrique de l'UNIFEM 
En quoi consiste votre mission concrètement ? 
Elle se décompose en 3 volets. Le premier volet est d'être l'observateur pour l'UA aux Nations Unies. Je dois suivre toutes les activités des organes de l'ONU comme les assemblées générales, les réunions du conseil de sécurité les diverses conférences ou l'Afrique est impliquée et faire des rapports pour l'Union Africaine. Le cas du Conseil de sécurité est très important car l'Afrique est impliquée dans plusieurs conflits comme le Darfour, l'Ethiopie Erythrée, la Cote d'Ivoire ect...) . De ce point de vue , notre mission permanente qui est composée de 11 personnes représente un pont entre Addis Abeba où siège l'Union Africaine et New York, siège de l'ONU. Comme je suis l'unique ambassadeur, vous imaginez la charge de travail que cela représente car l'ONU est un organe très complexe avec de nombreuses commissions et sous commissions auxquelles je dois assister et rendre compte car l'Union Africaine cela représente 53 pays . 1 Exemple, pour l'Ecosoc ( conférences économiques et sociales ), en une seule journée, j'ai 7 conférences, sans compter les réunions et les meetings ! 

Vous devez être au fait de l'actualité internationale, mais suivez vous toujours l'actualité malgache ? 
Oui bien sûr, l'actualité malgache me tient toujours à coeur et je la suis régulièrement grace à internet
N'avez vous pas l'ambition de revenir à la politique malgache ? 
Pour l'instant non. Je me consacre entièrement à cette mission. Etre l'Ambassadrice de ll'Union Africaine, la première à occuper ce poste car c'est un nouveau poste, ici à New York auprès des Nations Unies, c'est déjà un bel accomplissement dans ma carrière
Mme Lila Ratsifandrihamanana, je vous remercie pour cette interview
Propos recueillis par Niry à New York le 7 Mai 2007 

Express Mada 15/05/2007
Alain Le Roy : “ La France adoptera la continuité avec Madagascar ” 
Selon Alain Le Roy, ambassadeur de France, l’arrivée de Nicolas Sarkozy à la tête de l’Etat français ne va pas bouleverser les relations entre la France et Madagascar. Le départ du président Jacques Chirac, qui a des relations personnelles avec Madagascar, ne constituera pas de rupture dans les relations entre les deux pays.
• L’élection de M. Sarkozy à la tête de l’Etat français constituera-t-il une rupture ou une continuité dans les relations entre France et Madagascar ?
- Je crois que, là-dessus, c’est clairement la continuité. Le président Nicolas Sarkozy a parlé de rupture, mais essentiellement en politique intérieure et en politique économique et sociale. Sa politique à l’égard de l’Afrique, de l’océan Indien et de Madagascar, c’est la continuité, sous forme d’un partenariat rénové. Et le soir même de son élection il a insisté sur son intérêt pour le développement de l’Afrique. Et nous avons noté avec plaisir que le président Marc Ravalomanana, dans sa lettre de félicitations, a émis le souhait de développer encore les relations avec la France, prouvant une volonté de poursuivre et d’approfondir le partenariat.
• Pourriez vous dresser le contour de ce que sera la qualité des relations entre les deux pays à partir de maintenant ?
- C’est vrai qu’il y avait une relation personnelle entre le président Chirac et l’Afrique et avec Madagascar. Il est vrai aussi que le président Sarkozy est d’une autre génération. Il a 52 ans. Il connaît déjà bien l’Afrique mais il a encore à nouer des relations personnelles comme le président Chirac, par sa longue expérience, en avait eues. Mais en tout cas, les relations entre la France et Madagascar sont déjà posées. Le Président Chirac a souvent déclaré que les relations entre les deux pays étaient désormais au beau fixe. C’est également l’expression qu’a employé le Président Ravalomanana. Il y avait eu le malentendu en 2002, mais je sais que celui-ci est aujourd’ hui totalement dissipé. Je crois que chacun a compris que ce partenariat était d’intérêt mutuel. La France est solidaire avec Madagascar et Madagascar sait que la France est, à l’évidence, son meilleur avocat, de façon durable, dans le monde. C’est vrai au sein de l’Union européenne, à la Banque mondiale, au FMI, à l’ONU: la France y pousse et défend en permanence les intérêts de Madagascar. 
Il y avait eu le malentendu en 2002, mais je sais que celui-ci est aujourd‚hui totalement dissipé. 
• Justement, comment alors interpréter le lancement international du MAP par le président Ravalomanana en Allemagne, sans passer par la France ?
- Le président Ravalomanana avait prévu de longue date une visite officielle en Allemagne, suite à l’invitation du président Köhler. C’est donc bien naturel qu’il ait commencé la tournée pour le MAP en Allemagne. Nous nous réjouissons de l’intérêt renouvelé de l’Allemagne pour Madagascar; comme vous le savez, Allemagne et France sont deux pays frères qui ont parfaitement l’habitude de travailler ensemble. Bien sûr, il y aura une présentation du MAP à Paris, et j’espère dans beaucoup d’autres pays.
• M. Sarkozy évoque l’Union méditerranéenne entre l’Europe et l’Afrique. Est-ce que cela se fera au détriment d’autres pays comme Madagascar ?
- L’Union méditerranéenne devrait concerner plusieurs pays, ceux du pourtour de la Méditerranée, et donc ne pas concerner Madagascar. En revanche, il y a plusieurs autres cercles comme celui qui réunit Union européenne et Afrique, Océan indien compris. 
• Qu’avez-vous à dire d’un projet de rapprochement entre les deux pays évoqué par les partisans de M. Sarkozy à Madagascar ? 
- Nous avons bien noté, dans la lettre du président Ravalomanana, son souhait pour que les coopérations entre Madagascar et la France se développent. Ceci étant, nous ne souhaitons pas une relation exclusive avec Madagascar; c’est dans l’intérêt de Madagascar d’avoir des relations avec de très nombreux pays. Cela ne dérange pas la France, bien au contraire. 
• L’annonce d’une nouvelle politique de rapprochement entre les deux pays évoquée par les partisans de M. Sarkozy signifie-t-elle une révision de la coopération entre les deux pays ? 
- Je ne crois pas qu’il y aura des changements majeurs. Les accords de coopération, d’une valeur de 250 millions d’euros, que nous avons signés l’année dernière, sont valables jusqu’en 2010. Après 2010, il y aura peut-être des modifications. 
• Des membres de l’UMP citent la co-définition d’une politique de coopération entre la France et les pays africains ?
- C’est vrai que le président Sarkozy parle de ce qu’il appelle l’immigration maîtrisée. Cela concerne surtout l’Afrique de l’Ouest et concerne peu Madagascar. En ce qui concerne Madagascar, il n’y a pas de vrai problème d’immigration vers la France. Il y a 100 000 Malgaches qui vivent en France et sont parfaitement intégrés; c’est l’intérêt de nos deux pays.
C’est dans l’intérêt de Madagascar d’avoir des relations avec de très nombreux pays. Cela ne dérange pas la France.
• Madagascar n’est pas concernée par ce choix ? 
- Il n’y a pas de problème sérieux de gestion des flux migratoires avec Madagascar. 
• Mais l’élection de l’ancien ministre de l’Intérieur français suscite des inquiétudes au niveau des immigrés. Ont-ils raison d’avoir ce sentiment ?
- Je rappelle qu’avec Madagascar, il n’y a pas de problème sérieux d’immigration. La France est très contente d’accueillir les Malgaches sur son territoire. Il y a 21 000 demandes de visa par an dont 18 000 acceptées très facilement. Je crois que, là-dessus, il ne devrait pas y avoir d’inquiétude particulière. Il va y avoir de la continuité dans les relations entre les deux pays y compris en terme d’immigration. 
• Madagascar n’est donc pas aussi concernée par le nouveau système de co-gestion des visas par les deux gouvernements ? 
- Pour le moment, à ma connaissance, la politique des visas à l’égard de Madagascar ne va pas changer. 
• En matière de relations politiques, le traitement du dossier des exilés malgaches suite aux événements de 2002 connaîtra-t-il une évolution ? 
- En 2002, pour assurer le calme et la stabilité à Madagascar, la France a accepté de donner des visas à ces personnes. A ma connaissance, il n’y aura pas de changement. Aucun projet pour modifier la situation actuelle ne pointe à l’horizon. 
• La France utilise les bulletins multiples lors des élections alors qu’elle, par l’intermédiaire de l’Union européenne, prône l’utilisation des bulletins uniques. Pourquoi ?
- C’est vrai que dans le monde entier, le bulletin unique c’est la norme. Au niveau de l’Union africaine et de la Sadc, c’est également le cas. Il y a quelques exceptions en la matière, dont la France. Mais la France a une très longue tradition démocratique. Il n’y a jamais eu de contestation là-dessus. Si jamais il y avait des contestations lors des élections, alors on viendrait sans doute au bulletin unique.
Propos recueillis par
Iloniaina Alain

Madamaki 15/05/2007

Elue Miss Madagascar Magazine: Ramamonjisoa Elianne. 

L'élection de Miss Madagascar Magazine a eu lieu le vendredi 11 mai 2007, à l'Hôtel Mercure Timing de Villejuif, dans le Val de Marne. La soirée s'est déroulée à merveille, elle a débuté aux alentours de 21h30 avec un dîner, suivi des défilés des candidates (en tenue de ville et tenue confectionnée avec des matières nobles ), prestations d’artistes-musiciens, défilé de mode orchestré par la célèbre styliste malgache TACHOU. Tout cela dans la convivialité. La reine de la soirée, Ramamonjisoa Elianne (Nanou), âgée de 25 ans, 1,68m, étudiante en Master 2 en école de commerce international, a séduit les membres du jury par son charme, son sourire et son aisance à évoluer en public. La miss a eu pour 1ère dauphine Vonifanja Ramaolimihaso, 21 ans, 1,70m, étudiante en en 2ème année de licence en économie et de gestion. La deuxième dauphine, elle vient de la Picardie et se nomme Sariaka Ravoninahindraibe, 18 ans, 1,63m, elle est en 1ère année de classe préparatoire des grandes écoles.  Le tout orchestré de main de maître par l’animatrice Andrianina et de la créatrice Jane. Nono madamaki ;) !

Les Reportages de LaComm' 

... La Culture malgache a toute sa place sur rainizafimanga.com...     Le Dossier "Monet aux Pixels"  cliquez ici  >>>

les infos du jour - Revenir vers le haut

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Sommaire en haut de page)

Archives 2002 - 2005

Envoyer à un ami >>

 Accueil du site ARR

Accueil du site Rainizafimanga