Archives 2002 - 2007

Le dernier MadaVôvô

Pubs &  bas de la page

Sommaire Madavôvô: 28 avril  2007

BigNews: Le Sport est Roi , ...

L'Edito: « L’ALOE VERA , une plante miraculeuse ! ... »

1. France Election : Les Stats (LCI)

2. France Election : Le pouvoir des femmes (RFI)

3. Jean Michel Rajaonarivony s'explique sur la révision constitutionnelle (Nouvelles)

4.« Lafrantsa reny malala » attire toujours de plus en plus de Malgaches. (Wanadoo)

5. Inauguration à la HCC : Ravalomanana a annoncé ses « Voan-dàlana »  (Tribune)

6. Ambohidahy - marquer l'indépendance de la Haute Cour (allAfrica)

7. No Comment.... No Comment...

8. Ségolène plébiscitée par les Français d’origine africaine (Nosintsika)

9. Ségolène Royal compte rassembler les forces de gauche à Madagascar (Nouvelles)

10. Droite - Gauche ! (Sobika)

11. Tabac, alcool et drogue. Le problème est réel. Campagne auprès des lycéens (allAfrica)

12. Cosafa Castle Cup : Nouveau Coach pour la Barea (Tribune)

13. Festival : Donia 2007 cède la place aux jeunes  (Express Mada)

14. Air Madagascar émettra des billets électroniques à partir du mois de mai (Nouvelles)

15. Poopy en concert le 6 mai (Tribune)

16. Des motos pour la police municipale (Nouvelles)

17. referendum / resultats officiels ... par regions ? (Nosintsika)

* Excellence in English Language an Leadership (Camp Excell)

 .. Le précédent MadaVôvô  25 avril 2007 >>

... Les Revues de presse plus bas !!!

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...

   ... Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina", Brigitte a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.              Merci d'avance!                     ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>    

RFI 26/04/2007

Le pouvoir des femmes
Jean-Marie Le Pen ne séduit pas les femmes. Seulement 8% ont voté pour le président du Front national contre 14% d’hommes, ce 22 avril. 31% des électrices de dimanche ont choisi Nicolas Sarkozy contre 30% d’hommes. 19% des femmes ont voté François Bayrou et 18% d’hommes. 
«La France présidente», slogan de Mme Royal, a son petit effet : 28% d’électrices ont voté pour la candidate socialiste contre 24% d’électeurs. 
Dans le détail, on s’aperçoit aussi qu’elles n’ont pas beaucoup apprécié Gérard Schivardi, puisqu’elles ne furent que 22% à voter pour lui contre 78% d’hommes. Étant plus nombreuses démographiquement, les femmes comptent plus au moment des élections.

Le Pouvoir de la Profession
Il n’y a pas de surprise : les patrons (48%) et les retraités (39%) votent majoritairement en faveur de Nicolas Sarkozy. François Bayrou obtient un bon équilibrage d’électeurs dans toutes les catégories professionnelles : 24% chez les patrons, 20% chez les retraités et 15% chez les employés et ouvriers.
Olivier Besancenot, qui est crédité de 2% d’électeurs parmi les patrons de l’industrie et du commerce, trouve surtout son électorat parmi les chômeurs (8%), les ouvriers (6%) et les employés (6%). Jean-Marie Le Pen, lui aussi, attire les voix des ouvriers (20%), des chômeurs (15%) et des employés (13%).

Les Nouvelles 28/04/2007

Jean Michel Rajaonarivony s'explique sur la révision constitutionnelle
Après avoir proclamé officiellement les résultats du scrutin référendaire du 4 avril dernier, le président de la Haute cour constitutionnelle, Jean Michel Rajaonarivony, a fait part dans son discours de clôture de l'audience solennelle d'hier, de quelques considérations de circonstance.
Il a ainsi indiqué : «… Le président de la République , garant du fonctionnement régulier des pouvoirs publics, détenteur du pouvoir d'arrêter en conseil des ministres la politique générale de l'Etat, a usé de ses prérogatives constitutionnelles pour soumettre à référendum la révision de la Constitution ». Il n'est pas inutile de souligner que la loi fondamentale, malgré sa suprématie, comme toute règle de droit, ne doit pas être figée, car elle a vocation à s'adapter aux exigences de l'évolution de la société. C'est dans cet esprit que le constituant a prévu la possibilité de sa révision. 
«Il n'est pas non plus superflu de soutenir qu'une révision de la Constitution doit être le produit de travaux de conceptualisation initiée de longue date sur la base de constat et d'analyse tendant à l'amélioration de la gouvernance, afin de mieux servir l'intérêt général. Qu'en outre, la révision se doit de respecter les principes reconnus comme étant intangibles ainsi que les valeurs spécifiques de la nation. Ces obligations nous semblent toutes, avoir été respectées.» 
«En tout cas, lorsque la majorité des électeurs s'est prononcée en faveur du «oui» lors du référendum du 4 avril 2007, référendum organisé conformément à l'ordonnancement juridique en vigueur, et qui s'est déroulé dans des conditions normales et respectant les critères communément admis en matière d'élection fiable et transparente, la Haute cour constitutionnelle, dans le cadre de ses compétences et attributions, ne peut que constater les résultats du scrutin, et valider en conséquence le choix de cette majorité, faute de suffrage bloquant prescrit par les textes.» 
«Quant aux pouvoirs publics, il leur appartient de mettre en œuvre les voies et moyens pour la réalisation de leur engagement pour un développement rapide et durable de chaque région, et pour l'amélioration du niveau de vie. 
Nous formulons le vœu qu'il en soit ainsi, et que soit effectif l'adage, vox populi, vox dei…». 
Recueillis par Miadana Andriamaro 

Wanadoo.mg 27/04/2007
« Lafrantsa reny malala » attire toujours de plus en plus de Malgaches.

 En premier lieu, la pratique du français facilite notre choix. Mais les immigrations ont été souvent dictées par plusieurs raisons. 
La première génération de la migration malgache va dans les années 1914 à 1970 où les départs étaient souvent dus aux besoins militaires de la France. Ensuite vint celle des étudiants exilés et des étudiants privilégiés jusque dans les années 1990. Ceux qui partent après cette vague appartiennent à la catégorie d’étudiants travailleurs pour la plupart. Mais notons que tout le monde n’est pas dans ces créneaux-là. Des Malgaches avec une nationalité française, ceux qui travaillent dans les grosses boîtes internationales, d’autres qui ont les moyens d’y vivre à long terme, des exilés politiques, il y en a pour tous les goûts. Certains rament, d’autres ont trouvé leur stabilité et d’autres réussissent. Et quand on parle de réussite, le critère du jour parle de la reconnaissance dans le milieu français. Les quelques portraits présentés ne donnent qu’un petit aperçu dans les milieux sportif, professionnel, estudiantin ou autres. Car nombreux sont les Malgaches qui réussissent en France. 
Rakotomalala Emilien 
Très connu dans le monde du basket-ball et du volley-ball, est depuis des années en France, précisément à Bordeaux où il travaille à la mairie dans le service éducation. Il est parmi ceux qui travaillent de concert avec la fédération malgache de basket-ball. Pour la présence d’Hervé Vatin, l’expert français qui donne des stages à Madagascar de temps en temps, Emilien n’y est pas du tout étranger. 
Rafilibera Jean-Claude 
Ingénieur, après l’Algérie, a décidé de rester en France avec sa famille. Actuellement, il est dans les entreprises de bâtiment sur Toulouse où réside une communauté malgache de 5000 à 6000 âmes. Selon lui, beaucoup de familles malgaches résident à Toulouse et la communauté a réussi à s’intégrer facilement, d’autant plus qu’il y a des soirées avec des artistes malgaches, une boîte de nuit malgache « l’Ile rouge » et beaucoup d’associations malgaches. « Je pense que c’est aux parents avant tout de faire le choix pour l’éducation de leurs enfants entre la France et Madagascar. Beaucoup optent pour un mariage des deux cultures mais avec une exigence sur la pratique de la langue maternelle». Leurs enfants, des garçons, parlent très bien le malgache. 
Caleb Andrianasitera 
L’initiateur des Rencontres Nationales Sportives avec l’Association des Etudiants d’Origine Malgache, était sur place en 1971. Il était un des relais des sportifs malgaches de l’époque et le reste toujours jusqu’à maintenant. Etudiant en statistiques, il a suivi sa route et est actuellement professeur de mathématiques à l’université de Cergy-Pontoise. 
Rahaingo ou Nana 
Journaliste de profession à Madagascar, travaille actuellement dans le transport à Marseille. Le transport, la logistique sont aussi son dada et il est dans une entreprise qui s’appelle ERL Ranarison sise à Marseille et qui emploie une quarantaine de Malgaches. Passionné de sport, il a fait aussi son chemin dans le basket-ball en s’initiant aux arts de l’arbitrage via une école d’arbitrage et possède actuellement un diplôme d’arbitre départemental. Il était le seul Malgache qui a arbitré lors des matches de la Rencontre nationale sportive et a ainsi réussi son arbitrage. 
©Midi Madagasikara 

Tribune 26/04/2007

Inauguration à la HCC : Ravalomanana a annoncé ses « Voan-dàlana » 
Le siège de la Haute Cour Constitutionnelle à Ambohidahy a été hier le lieu de rendez-vous des hauts dirigeants du pays, conduits par le président Marc Ravalomanana. L’occasion a été pour le chef de l’Etat qui vient d’effectuer une visite officielle en Allemagne d’énumérer ses « Voan-dàlana », comme les 33 millions d’Euros octroyés par la République d’Allemagne et les 60 millions d’Euros par l’Union européenne. Par ailleurs, le président de la République s’est publiquement vanté de la confiance « renforcée » de la communauté internationale envers Madagascar. Trois jours avant la proclamation par la Haute Cour Constitutionnelle du résultat officiel du référendum constitutionnel du 4 avril dernier, le locataire d’Ambohitsorohitra n’a pas manqué de flatter l’Indépendance de cette Institution. « Les regards du peuple malgache et de la communauté internationale sont en ce moment braqués sur vous, membres de la HCC. Prouvez que vous avez de l’expérience et que vous faites votre travail avec le "Fahamarinana" ». a-t-il martelé.
A signaler que ce nouveau bâtiment de la HCC qui a été inauguré hier et dont la construction a été financée par l’Union européenne accueillera vendredi prochain l’audience solennelle au cours de laquelle sera proclamé le résultat officiel du référendum du 4 avril dernier.
- Eugène R. 

allAfrica 26/04/2007
Madagascar: Ambohidahy - marquer l'indépendance de la Haute Cour -Midi Madagasikara - Dominique R.
46 ans après sa création, la Haute Cour Constitutionnelle dispose d'un local particulier pour proclamer ses résultats. Un bâtiment digne de cette Institution dont le coût s'élève à Ar.260.000.000.
Les travaux ont été exécutés par l'entreprise Fanomezana, et ont débuté le 18 novembre 2006. Il s'agit du fruit de la coopération entre l'Union Européenne et la République Malgache. La cérémonie d'hier a débuté par un culte oecuménique, et a été suivi de trois discours.
Dans son allocution, le Président Marc Ravalomanana a déclaré aux membres de la HCC que «ce nouveau bâtiment portera haut votre dignité. Et marquera notre indépendance, surtout la vôtre ». Et d'enchaîner que la communauté internationale nous accorde sa confiance, car l'ère de l'Etat de droit est entamée à Madagascar. Notons que sitôt de retour de sa visite officielle en pays germanique, le Chef de l'Etat a tenu à honorer de sa présence, l'inauguration de la salle d'audience de la HCC. Avec comme « voan-dalana » 34 millions d'euros de la part de l'Allemagne. .
Appui
Pour sa part, le chef de la délégation de la commission européenne à Madagascar, Jean Claude Boidin, a réitéré l'appui de cet organisme international au processus électoral dans le pays. Par ailleurs, il a déclaré que l'autonomie du CNE devrait être renforcée. Pour ce représentant de l'union européenne, « dans tous les pays du monde, c'est la mobilisation de la population et sa participation effective au débat et au vote qui donnent aux résultats d'une élection leur vraie légitimité ». Sur un tout autre plan, l'ambassadeur de l'Union Européenne d'annoncer une augmentation de 69 millions d'euros du IVème FED pour Madagascar.
Le président de la HCC, Jean Michel Rajaonarivony, a de son côté retracé l'historique et le rôle de cette Institution. L'ancien bâtiment a été construit en 1923 et a servi de résidence à l'administration coloniale. Huit présidents se sont succédés à la tête de cette Institution, depuis 1968, jusqu'à nos jours.
A noter la présence des chefs d'Institution à cette cérémonie inaugurale, en l'occurrence le président du sénat, Rajemison Rakotomaharo, le président de l'Assemblée nationale, Samuel Mahafaritsy et le chef du gouvernement Charles Rabemananjara. L'ancien Premier ministre Jacques Sylla a également répondu présent.

NO COMMENT        NO COMMENT       NO COMMENT      NO COMMENT

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Nosintsika 28/04/2007
Exclusif WEB du journal Marianne du 26 avril 07: Ségolène Royal pour les Français d’origine africaine
Echos du second tour des présidentielles françaises - www.marianne-en-ligne.fr 
Ségolène plébiscitée par les Français d’origine africaine - par Skander Houidi 
Si l’on en croit le sondage de l’Ifop réalisé du 7 au 9 mars pour l’hebdomadaire « Jeune Afrique », Ségolène Royal serait plébiscitée par les Français d’origine
africaine. Un signe du rejet du candidat UMP, qui a mis à mal le lent travail de charme opéré par la droite auprès de cet électorat, longtemps déçu du
socialisme. 
Pour établir ce sondage, l’Ifop s’est basé sur son Baromètre politique français (BFM) réalisé entre le 20 mars 2006 et le 19 février 2007 avec un panel de
21.776 personnes. Il ressortait de cette étude que les Français déclarant avoir un parent ou un grand-parent originaire d’un pays d’Afrique étaient au nombre de 806. Sur la base de ces données actualisées, l’Ifop aboutit à une population qui représente entre 3,5% et 4% de l’électorat français (avec presque 4 fois plus de personnes originaires du Maghreb que d’Afrique subsaharienne). Un poids électoral relatif, mais qui prend toute sa dimension dans une configuration de
premier tour assez serrée, si l’on en croit la plupart des instituts de sondage.
Au premier tour donc, sur l’échantillon de 526 personnes majeures, représentatif de la population française d’origine africaine inscrite sur les listes
électorales, ils seraient 57% (!) à vouloir voter pour… Ségolène Royal, contre 19% pour François Bayrou et 11% pour Nicolas Sarkozy. Les autres candidats
obtiennent un score inférieur à 5% ; Jean-Marie Le Pen recueille quant à lui 1% des intentions de vote. Enfin, 14% sont encore indécis.
La candidate socialiste réalise son meilleur score chez les jeunes (67% des 18-24 ans), François Bayrou chez les jeunes adultes (26% des 25-34 ans), et
Sarkozy chez les plus de 50 ans (20%). En termes de catégories sociales, l’électorat de la candidate socialiste apparaît homogène, avec néanmoins un déficit dans la catégorie des professions intermédiaires et dans une moindre mesure, celle des cadres et professions intellectuelles ; carence qui semble profiter directement au candidat centriste. Le candidat de l’UMP, lui, obtient son meilleur score (21%) chez les inactifs (hors retraités). Lorsque l’on évoque les thèmes de campagne, Royal convainc sur les problèmes de chômage et d’éducation. Bayrou incarne, lui, la lutte contre les discriminations, tandis que Sarkozy rassemble son électorat sur les questions de sécurité.
Pour le second tour, Royal écrase Sarkozy (85% contre 15%) et Bayrou (71% contre 29%). Dans le cas où les deux hommes s’affronteraient, Sarkozy serait là encore laminé (83% pour Bayrou).
Malgré les réserves techniques que nous pouvons lui opposer (faiblesse de l'échantillon, absence d'indication quant à la date d'inscription sur les listes électorales...), ce sondage semble souligner un renversement de tendance prévisible : alors que la droite labourait ce terrain électoral avec, depuis quelques années, une certaine réussite - une tâche facilitée par le rejet du PS par les déçus de la génération « Touche pas à mon pote » -, il semblerait que l'utilisation des termes « racaille », « kärcher » et « charter » aient ruiné tous ses efforts.
Pour plus d’informations : www.ifop2007.fr

Les Nouvelles 27/04/2007

Ségolène Royal compte rassembler les forces de gauche à Madagascar
Les partisans de Ségolène Royal font appel à un grand rassemblement autour de leur candidate pour le second tour.
L'association des Français à l'étranger (ADFE) à Madagascar, avec le comité de campagne de Ségolène Royal et le conseil Jean Jaurès ont organisé hier une conférence de presse à Ambohijatovo pour lancer cet appel au rassemblement. 
Ils ont apporté une clarification sur la politique de la candidate sur le plan national et sur le plan local au cours de sa campagne électorale. Selon Jean-Daniel Chaoui, président national de l'ADFE-Madagascar, et président du comité de campagne de Ségolène Royal : «Sur le plan national, cette campagne préfigure la formation d'un grand rassemblement de centre gauche autour de Ségolène Royal et de François Bayrou. La déclaration de Michel Rocard, renforcée par celle de Bernard Kouchner, préparait cette évolution». 
«Une clarification politique sur le plan local est aussi nécessaire puisque d'un côté, les forces de gauche et l'ADFE-Madagascar sont rassemblées autour de Ségolène Royal, de même que les forces centristes que nous attendons pour bientôt. De l'autre côté, sont regroupés les élus actuellement conseillers à l'Assemblée des Français de l'étranger, tous dirigeants de l'UFE-Madagascar et de l'UMP-Madagascar, qui soutiennent l'ancien ministre de l'intérieur et son projet». 
Les partisans de Ségolène Royal à Madagascar comptent prendre contact avec le comité de campagne de François Bayrou dès la fin de cette semaine. Par ailleurs, Ségolène Royal propose aux Français de l'étranger le droit d'élire des députés, si actuellement, ils ne peuvent élire que des sénateurs. Elle octroie en outre une réduction des frais de scolarité à 50%. 
Manohisoa 

Sobika 27/04/2007

Droite - Gauche !
Les grandes démocraties sont politiquement bipolarisées. Qu'ils s'appellent Droite / Gauche Démocrates/ Républicains, Travailliste/Conservateur, social démocrate/ libéraux, c'est deux visions opposées qui font cette dichotomie. Pour l'imager, si la vie était une course de 110 m haie ( les haies étant les obstacles de la vie ), pour la gauche-sociale-démocrate-travailliste, l'important est que tout le monde soit à l'arrivée. Pour la droite-républicain-libéraux-conservateur, l'important est que tout le monde soit sur la ligne de départ. 2 visions de la politique opposées donc. Mais pour nous la question est pourquoi n'existe t il pas de "gauche/droite" à Madagascar ? Parce qu'il n'existe pas deux visions idéologiques opposables. Il y a un pouvoir et une opposition mais pas un projet contre un autre projet. C'est ce qui fait qu'on est encore dans une immaturité politique et vous avez été nombreux à vous en rendre compte lors des dernières élections : aucun candidat n'a su proposer une vison alternative au MAP. Celui qui sortira du lot aujourd'hui politiquement sera celui qui viendra avec un projet de société opposable à celui du pouvoir en place. Et seulement alors, naitra un clivage droite/gauche, démocrate/républicain ect...pour le bienfait de la Démocratie et du développement à Mada.

allAfrica 26/04/2007
Madagascar: Tabac, alcool et drogue. Le problème est réel. Campagne auprès des lycéens
Chez les jeunes de Madagascar, la première cigarette est tentée entre l'âge de 11 et 15 ans, soit entre la sixième et la classe de troisième. En milieu rural, c'est le tabac à chiquer qui fait des ravages bien avant cet âge car le problème surgit dès l'enfance. Il n'est pas rare de voir chiquer des enfants de sept ans, voire moins.
Ce premier « essai » de plus en plus précoce témoigne de l'ampleur du problème de tabagisme chez les adolescents et les jeunes. Parfois chez les enfants. Depuis quelques années, divers organismes, gouvernementaux ou non, tentent de sonner la sonnette d'alarme, sans grands succès si l'on en juge par le nombre de jeunes fumeurs et les adeptes du tabac à chiquer dans les zones rurales. Au chapitre de l'alcool, les réalités ne sont guère mieux. L'ivresse est une expérience de plus en plus tentée par les jeunes de plus en plus tôt. Phénomène de groupe, curiosité et l'appréciation de la première expérience de l'ivresse sont les principales raisons qui incitent les jeunes à boire de l'alcool de manière assez régulière, notamment lors des sorties nocturnes du vendredi ou samedi soir, mais également lors des fêtes familiales.
Ainsi, avec le boom de la consommation d'alcool chez les jeunes et l'arrivée de nouvelles formes de drogue, autres que les « classiques » chanvres indiens dont ont longtemps entendu parler les jeunes Malgaches, l'office national de lutte antitabac organise en ce moment des séances de sensibilisation sur le tabac et les autres toxicomanies auprès des élèves du lycée JJ Rabearivelo. Depuis hier et durant toute cette semaine, des agents de l'office national de lutte antitabac rencontreront les jeunes de ce lycée tananarivien et débattront avec eux des effets dévastateurs du tabagisme, de l'abus de boissons alcoolisées et de la consommation de drogue. Le but en est de conscientiser ces lycéens des effets de la toxicomanie en vue d'un changement de comportement. Ce ne sera, certes, pas la première fois que ces jeunes auront entendu un discours selon lequel « fumer, boire de l'alcool et consommer de la drogue ont des effets néfastes » mais cette occasion sera peut-être celle d'entendre également leur avis sur la question et d'échanger des points de vue qui permettront de mener au mieux la campagne de sensibilisation pour aboutir à un résultat satisfaisant : le réel changement de comportement.
Midi Madagasikara (Antananarivo)-Hanitra R.

Tribune 26/04/2007
 Football • Cosafa Castle Cup : Nouveau Coach pour la Barea
Les Barea vont en guerre ! 
C’est demain que l’équipe nationale quittera le pays pour participer à l’édition 2007 du tournoi de la Cosafa Castle Cup à Maputo (Mozambique), les 28 et 29 avril. La liste des 18 joueurs sélectionnés, sur les 22 appelés, pour défendre la couleur nationale à cette compétition regroupant, à part Madagascar, Seychelles, Zimbabwe et Mozambique, a été communiquée hier au stade de Mahamasina. 
Une liste composée essentiellement des éléments ayant été alignés contre la Côte d’Ivoire aux éliminatoires de la Can 2008 à l’exception des expatriés Claudio et Marco ainsi que Rabefitia Pamphil. Ces derniers ont déclaré indisponible à cette expédition Mozambicaine et n’ont pas été appelés au regroupement. A priori les entraîneurs nationaux, Mika et Malabary, préférent jouer la carte de la continuité en donnant aux jeunes la chance de participer dans des grandes compétitions. 
Les rencontres à Maputo sont loin d’être la finalité mais entrent toujours dans le cadre de la préparation des Barea pour les 7e jeux des îles et au principal objectif fixé par la fédération, la qualification à la Can 2010.
A noter que Madagascar sera confronté à la première journée du tournoi au Zimbabwe et à la deuxième journée, en cas de victoire, contre le vainqueur de la rencontre entre Mozambique et Seychelles. 
De son côté de la fédération a profité de cette ultime séance d’entraînement pour offrir en guise de motivation 9.000.000 Ar. Une somme que les joueurs ont décidé de partager à part égal entre les 22 présélectionnés en regroupement depuis une semaine dans la capitale.
Un nouveau coach
La nouvelle tant attendue par le milieu du ballon rond est arrivée. C’est le président de la République en personne qui l’a annoncée hier à son retour d’Allemagne qu’il a déniché un certain Franz Berger pour entraîner l’équipe Nationale malagasy. Un nom peu connu dans le milieu malgache mais selon Marc Ravalomanana, le nouveau coach évoluait en tant que joueur sous la couleur du grand club Munichois à savoir le Bayern de Munich. C’est tout ce qu’on sait de cette trouvaille présidentielle étant donné que notre recherche sur internet s’est avérée infructueuse. Concernant son arrivée, un responsable du ministère des Sports, nous a affirmé que « l’Allemand » sera d’ici peu dans nos murs et « une cérémonie grandiose est prévue pour son accueil », selon toujours notre interlocuteur. Mais d’autres questions pertinentes restent jusqu’à présent sans réponse notamment, la durée de son contrat et l’entité payeur du salaire.
Par ailleurs, en outre les millions d’Euros obtenus de la République d’Allemagne, Marc Ravalomanana a aussi ramené de son périple des ballons de football destinés aux équipes nationales. Cette prise en main d’Ambohitsorohitra réjouit plus d’un. Le premier à manifester sa gratitude est le président de la fédération qui adresse ses remerciements au président de la République. « En tenant ses promesses, le président de la République conforte une fois de plus son statut de Raiaman-dReny » jubile Ahmad. 
 - Rata 

  Ny mampihavaka azy dia ny fampiharana ny teny anglisy rano iray mandritry ny fotoanan'ny camp rehetra miaraka @ Experts Amerikana ( nafarana avy any USA; , izay bilingue tanteraka) ary koa ny fianarana ny Leadership avy @ sport, sy kilalao isan-karazany izay efa voasedra @ fampiasana ny programme PLUS - Positive Learning Using Sports an'ny Dr Whetstone ( www.drbertwhetstone.com ) .

    Indro alefako aminareo ny andinidininy mombamomba io CAMP EXCELL io,. Ka raha toa ka misy tanora malagasy 16 - 24 ans mipetraka any an-dafy te hiverina hanao vacances aty kanefa sady te hampitombo ny fahalalany sady hizaha tany ihany koa ( zohin'Anjohibe, criques rouges etc ....) mandritry ny 10 andro dia mba ampitapitao any ity resaka ity fa mety mahasoa kanefa mahafinaritra. Ny fisoratana anarana dia hatao alohan'ny 30 Mai izao, ary misy sivana fa izay tanora mendrika indrindra no ekena hiaraka.
   Ny tenako moa no Directrice Nationale CAMP EXCELL, ka aza misalasala raha toa ka misy fanontaniana.       Klikeo-eto  
Dia misaotra indrindra @ fiaraha miasa, fantatro fa tia manabe tanora koa ianareo , ka izany no tsy nisalasalako nanoratra aminareo.
       Mandrapihaona ary samia tahian'Andriamanitra!
                     Voahangy

Express Mada 26/04/2007

Festival : Donia 2007 cède la place aux jeunes 
Le ton de l'actuelle édition a été donné lors d'une conférence de presse au Centre culturel Albert Camus. Le fameux festival de Nosy be prend une nouvelle dimension.
C'est confirmé. Donia 2007, le quatorzième du nom, se déroulera, comme toujours à Nosy-Be, du mercredi 23 au dimanche 27 mai. C'est-à-dire pour cinq jours de grande fête dans l'île aux parfums, celle qui a vu naître le festival en 1993. En 14 ans d'existence, Donia est devenu une véritable îcone, d'appartenance régionale devenue un festival de l'océan Indien. 
Pour cette année, ce créneau, qui a toujours misé sur la promotion touristique et culturelle de la Grande île et de l'océan Indien dans ce superbe archipel situé à environ 20 km de voyage en vedette depuis Ambanja, a choisi comme thème "Le parfum de la culture". Une vingtaine de formations musicales, essentiellement de Madagascar, de La Réunion, de Mayotte et de Maurice, seront au rendez-vous. 
Génération émergente
A l'affiche, du rap, du rock, du hiragasy, de la variété et de l'ethnomusique. C'est-à-dire autant de couleurs musicales pour célébrer cette fête de la vie. En tous cas, la promotion Donia 2007 a la ferme volonté d' esquiver la tendance un peu "oldy" de l'année dernière, où les dinausaures du créneau tels les Jaojoby et Dr Jb se trouvaient en tête d'affiche. 
Cette fois-ci, Donia cède la place d'honneur à des artistes de la jeune génération émergente. Fandrama le salegyman et Bagzana de kilalaky pour la clôture du dimanche 27 mai : c'est une bénédiction aux jeunes artistes de prendre le flambeau de la musique mafana, à la fois significative et symbolique à ce grand festival au pays du vieux rhum, du Dzamandzar. 
Sinon, il y aura tout, tels Name Six le petit rappeur, Vaiavy Chila, la reine du salegy, Majeur 7, le porte-fanion du horija-betsileo, Antsa Gasy Volazara, une formation de musique traditionnelle du Nord, Boana Bengy, une autre formation rap conduite par Shao Boana, Dah'Mama, la reine de l'antosy tsimihety, les groupes réunionnais Benjam et Po7, Green, un pionnier du rock tananarivien, Wawa, un autre grand prince du salegy, etc...
Donia, c'est la fête de tout le monde.
Hernan Rivelo

Les Nouvelles 26/04/2007

Air Madagascar émettra des billets électroniques à partir du mois de mai
La compagnie nationale de transport aérien Air Madagascar va se mettre à l'e-ticket ou billet électronique à partir de la mi-mai 2007 conformément aux exigences de l'International Air Transport Association (Iata), ou en français, Association du transport aérien international. 
Plus précisément, l'Iata oblige les compagnies aériennes qui lui sont affiliées d'utiliser l'e-ticket avant le mois de janvier 2008. Autrement dit, Air Madagascar est en avance par rapport à ces exigences si l'on tient compte de la date butoir. 
Toutefois, la mise en place de cette innovation se fera par phase. Le lancement au mois de mai sera d'abord effectif sur les lignes Paris, Marseille, Maurice et la Réunion. Ainsi , l'agence d'Antananarivo et les représentations d'Air Madagascar de Paris, la Réunion et de l'île Maurice seront les premières à délivrer les e-tickets. 
Sa mise en place se fera progressivement sur les grands axes intérieurs desservis par la compagnie. Les agences de voyage pourront émettre des billets électroniques à partir du mois d'août. 
Cette innovation technologique n'occasionnera pas un surcoût du prix de transport pour le client. Au contraire, le passage au billet électronique est non seulement un gage supplémentaire du standard international d'Air Madagascar mais atteste également le souci de la compagnie d'améliorer continuellement la qualité des services qu'elle offre à ses clients. 
Ranaivo Lala Honoré 

Tribune 27/04/2007

Poopy en concert le 6 mai 
Un avant-goût de la célébration de ses 25 ans de scène 
La chanteuse a habitué le public de la capitale à un concert unique à Antsahamanitra et un autre au Palais des sports et de la culture dans l’année. Le premier va se tenir le dimanche 06 mai prochain pour un avant-goût de la célébration de ses 25 ans de scène.
Il y eut le début au côté de ses compagnons d’antan : le groupe Njila. Puis, Poopy, car il s’agit d’elle, a décidé de s’envoler de ses propres ailes sous la direction de Naivo, qui deviendra son mari plus tard, et également Solofo Ranarivelo. Son premier titre « Ginagina » a été tout de suite sur les lèvres des petits que grands. Et s’ensuivirent les albums qui, à chaque sortie, ne faisaient que la pousser vers une carrière artistisque plus que confirmée. 
Voici maitenant plus de 20 ans que Poppy baigne dans le milieu du showbiz, avec les différentes sorties à l’étranger, de France aux Etats-Unis. 
L’année dernière, elle a sorti un album qui s’intitule « Satria tiako ». Et ce grand rendez-vous du 6 mai prochain entre évidemment dans le cadre de la promotion de ce nouvel opus. Mais une occasion également d’entendre les anciens tubes qui font toujours l’objet de demande spéciale la veille d’un tel concert. 
Le rendez-vous est donc pris pour les fans de Poopy le 6 mai 2007 à Antsahamanitra à partir de 14h 30. 
- Daddy R 

Les Nouvelles 27/04/2007

Des motos pour la police municipale
La police municipale de la capitale vient d'être dotée d'une dizaine de motocyclettes et d'un matériel de marquage au sol d'une valeur totale de 50 millions d'ariary. Le don a été offert par le groupe Rajabaly et a été remis hier à Mahamasina au président de la délégation spéciale de la ville d'Antananarivo, Hery Rafalimanana. À cette occasion, la société Cotona a aussi offert une trentaine de chemises aux policiers en guise d'encouragement pour que ces derniers puissent assumer leurs tâches dans le cadre de la sécurité de la circulation. 
Noro Niaina

Nosintsika 28/04/2007

referendum / resultats officiels ... par regions ?

La proclamation officielle des résultats du référendum du 4 avril 2007 relatif à la révision de la Constitution, a eu lieu, hier, en la nouvelle salle d’audience de la HCC.
Bien que les 22 regions aient maintenant une certaine legitimité constitutionnelle, nous n'avons pu trouver des résultats détaillés que par ... provinces.
Nous vous laissons le soin de détailler par provinces l'affirmation lue dans Tribune :
"A la lecture des résultas officiels du référendum du 4 avril dernier, il est à signaler que plus de 80% des électeurs n’ont pas voté pour la révision de la Constitution, soit 56% d’abstention et plus de 24% pour le « Non »."
L'occasion egalement de reproduire ci-dessous une chronique de NASOLO-VALIAVO Andriamihaja dans l'ExpressMada, relative aux différents modes de regroupement (ou de subdivision) du territoire et/ou de la population malagasy.
@ + Les moderateurs Nosintsika
http://www.aody.mg/politique.php?id=1386
Madagasikara
Inscrits : 7 380 926; votants : 3 227 172, taux de participation : 43,72%
Nombre de bureaux de vote : 17 586, Suffrages exprimés : 3 161 449, Blanc et nuls : 65 723
Eny (Oui) : 2 383 234 ou 75,38%
Tsia (Eny) : 778 215 ou 24,62%
Voici les résultats par province :

http://www.lexpressmada.com/index.php?p=display&id=5843
CHRONIQUE DE VANF : Le va-et-vient des provinces - Par NASOLO-VALIAVO Andriamihaja
Soixante ans après leur consécration, par le décret 46-2509 du 9 novembre 1946, les provinces disparaissent(1). Dans les va-et-vient de l’histoire, ce n’est pas la première fois qu’elles sont mises en veilleuse. La dernière fois, par la loi 94-001 du 26 avril 1995, Madagascar avait été "divisé" en 28 régions, 158 départements et 1295 communes. Quatre-vingts ans après leur création, par l’arrêté du 15 novembre 1927, les régions reviennent au premier plan. Il y a 110 ans, le général Gallieni recevait les pleins pouvoirs pour gérer Madagascar. Une carte de 1908, faisant le bilan des années Gallieni (28 septembre 1896 -15 mai 1905), montre de frappantes similitudes avec une carte administrative de 2007, détaillant les régions et mettant déjà en pointillés les provinces. Les "résurgences contemporaines" du passé ne s’arrêtent pas là.
C’est fort de cette culture que je lis, perplexe, le dernier communiqué du SeFaFi : "Faire de la cellule sociale de base, le fokonolona, un levier du développement à Madagascar, était l’axe central de la politique qu’aurait voulu engager le colonel Ratsimandrava en 1975. Après lui, beaucoup se sont réclamés du même concept, mais en lui donnant des significations totalement différentes. Rien qu’au niveau lexical, le passage du fokonolona au fokontany, réalisé sous prétexte de révolution socialiste …".
L’histoire de Madagascar ne débute pas qu’après certain 26 juin 1960. Le Premier Ministre Rainilaiarivony (1864-1895) avait déjà commencé à réhabiliter la première marche du "fokonolona" et Gallieni, après une première phase épidermique de contradiction à "l’hégémonie hova", finit par se raviser en étendant au reste de l’île ce concept merina. C’est ainsi qu’on rencontre bel et bien les mots de "fokonolona" et de "fokontany" dans une de ses lettres du 15 janvier 1902 : "conserver, en la consacrant législativement, l’organisation indigène actuelle, ne pas introduire des appelations nouvelles qui dérouteraient les populations de l’Emyrne habituées aux expressions de fokonolona, fokontany, mpiadidy, …" (2).
L’organisation administrative de Madagascar s’inscrit dans un va-et-vient lexical entre la province, la région, leurs districts. S’expliquant sur les régions, le Gouverneur Général Marcel Olivier (février 1924-février 1930) confia, le 17 octobre 1927 : "Les uns inclinaient vers la région économique, les autres vers la région ethnique… Aussi, je me suis borné, tout en tenant le plus grand compte du groupement ethnique et économique ainsi que des facilités de communication, à prendre surtout en considération les villes susceptibles de constituer un chef-lieu de région". Fixées à six en 1927, les régions deviendront huit (région de Fort-Dauphin détachée de Fianarantsoa et région de Morondava détachée de Tuléar) en 1930. Reprenant les limites géographiques des régions de 1927, mais supprimant celle de Diégo-Suarez répartie entre Majunga et Tamatave, la réforme de 1946 les baptisera du nouveau nom de province. C’est cette même configuration géographique, rétablissant cette fois la province de Diégo-Suarez, qui sera entérinée par le décret du 4 avril 1957, pris en application de la "loi-cadre".
1957-2007 : cinquante ans qui auront créé ce que Gaston Defferre, ministre de la France d’outre-mer et père de la "loi-cadre", évoqua devant l’assemblée provinciale de Fianarantsoa, le 10 mai 1957: indéniable unité du territoire, solidarité de ses différentes régions, personnalité des provinces.
(1) Au cours d’une conversation amicale, et tandis que je faisais déjà allusion à l’après-province, un ami me demande ingénument "quel était le score du Oui au prochain référendum ?"
(2) Michel Massiot, L’administration publique à Madagascar, Paris, LGDJ, 1971, p.150 note 164

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