Madavôvô 2007

L'Année 2006 c'était l'année des Ouvertures..  ;   Joyeuses Fêtes de Noel à tous et Bonne Année 2007 ...

voir
Présentation au Roi du Maroc Sa Majesté le Roi Mohammed VI  des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana
Notons que la Présentation à Sa Majesté le Roi Mohammed VI des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana a précédé la visite présidentielle. Le programme de séjour présidentiel a été marqué, entre autres, par un entretien en tête-à-tête entre les deux chefs d’Etat, suivi d’une visite au Mausolée Mohammed V où le couple présidentiel a déposé des gerbes de fleurs sur les tombes de feu S.M. le Roi Mohammed V et feu S.M. le Roi Hassan II avant de signer le livre d’or....
Les derniers MadaVôvô

19  fev 2007

L'impasse...

21  fev 2007

les contre-manifestation Ra8...

25  fev 2007

Autopraclamation Ra8...

1er mar 2007

Etat de nécessité national...

4  mar 2007

8  mar 2007

12 mar 2007

14 mar 2007

18 mar 2007

Les observateurs etrangers ...

21 mar  2007

Ampy Portos...

demarrage economique...

Et encore...

Et encore...

Cliquez... Les Archives ...

Archives 2002 - 2007

Le dernier MadaVôvô

La Page Sommaire MadaVôvô

Cliquez... Les Archives ...

Pubs &  bas de la page

Raharaha Zaraniaina.... ;  Cacao de Mada... ;  Rassembleurs et Dynamiques... ;  Savoir vivre sur le web...  ;  200 Milliards pour le secteur public... ;  Air mad renforce sa flotte... ;

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Sommaire Madavôvô: 21 mars  2007

BigNews: Le Sport est Roi , ...

L'Edito: "La tradition orale... Contes et Légendes malgaches… Angano !"

1. Le nouvel an malgache célébré en catimini (wanadoo)

2. Début de la campagne pour le référendum constitutionnel (jeune Afrique)

3. Madagascar: 12 tués et 14.000 sinistrés après le passage d'un cyclone (levif.de)

4. Madagascar: Gouvernement - 11 SG nommés hier (allAfrica)

5. Loisirs :“Duo”, la nouvelle option de Parabole Madagascar (Express)

6. contre la pauvreté: La Bad soutient et encourage les efforts malgaches (Quotidien)

7. Succès au salon mondial du tourisme à Paris pour les  malgaches (Express)

8. No Comment.... No Comment...

9. Mada fait passer l'anglais au rang de langue officielle, (courrierinternational)

10. Est-il bon d'investir au pays ? Dans quels secteurs investir à Mada? (Mada-Actu)

11. Miteny Gasy ve ianao ? (Quotidien)

12. Un livre sur la Dynastie des “Andafiavaratra” (Quotidien)

13. 29 Mars 1947 : La naissance du MDRM (Tribune)

14. 29 Mars 1947 (suite) : Les grandes tendances du M.D.R.M (Tribune)

15. Mada: Les Barea devant les « Eléphanteaux » de l'Académie Guillou !(allAfrica)

... Le précédent MadaVôvô  18 mar 2007  >>

... Les Revues de presse plus bas !!!

21/03/2007

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.610.51 Ar 
USD 1.963.76 Ar 
GBP 3.817.45 Ar 
CHF 1.619.86 Ar 
JPY - Ar 
ZAR 264.03 Ar 
HKD 251.35 A r
Date Eur/Ar Date Eur/Ar
28/02 2640 30/01 2.649
08/03 2610 28/05 2771

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Les News du monde en permanence L'actu internationale en temps réel

Derniers Messages de nos Petites Annonces         + Savoir plus >>          Les Contacts  >>

1)-Salut je suis un beau JH Mauricien de 27ans, je cherche a rencontrer une belle JF serieuse et ambitieuse pour amitie et plus. Merci bien et A+ J'espere   Contact: David

2)-Bonjour, zaho dia mipetraka aty à tamatave ary mitady trano aho maika dia maika      Contact: Adeline

3)-za d vehivavy 30 taona mitady asa ka afaka aho manomboka ny alatsinainy ka atrami'ny zoma     Contact: ravonilambo

4)-cherche petite maison 3chambres jardin a antananarivo madagascar prix raisonnable     Contact: touze.elisabeth

5)-Je cherche un emploi (ex agent de la Galana Raffinerie Toamasina) dans notre pays ou à l'extérieur,contact tél: 261330708003     Contact: Albert Razafinjato

6)-je recherche un studio ou une chambre meublé pour deux personne du 15/03/2007 au 12/06/2007     Contact:  LE BOURHIS

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


 

Tous les Dossiers

de Culture & Voyages  Klick >>

des + de MadaVôvô  Klick >>

Big News... Le Sport est Roi ...        Les infos sportives du monde en permanence  >>

MADAGASCAR EN IMAGE            extraits de Madamaki.com / Voyage-bons-plans.com


*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


Edito: "La tradition orale... Contes et Légendes malgaches…. Angano!  "

       Nombreux sont les Contes que nos Ancêtres ont laissés. La tradition orale (également culture orale, patrimoine oral ou encore patrimoine immatériel pour l'Unesco) est une façon de préserver et de transmettre l'histoire, la loi et la littérature de génération en génération dans une civilisation qui n'a pas de système d'écriture ou qui, dans certaines circonstances, choisit de ne pas l'utiliser. La tradition orale est souvent considérée comme faisant partie du folklore d'un peuple. 

     Trimobe et Rafara: Une petite fille, abandonnée dans les bois par ses deux méchantes sœurs, rencontre le monstre Trimobe, qui lui dit : " Tu seras ma fille Rafara." Il l’emmène chez lui, l’enferme dans son antre et la gave de nourriture. " Son projet est de la déguster lorsqu’elle sera bien grasse et bien dodue"... Les jours passent. Une nuit, une petite souris, affamée, demande de la nourriture à Rafara qui n’écoutant que son bon cœur, accède à son désir. La souris lui offre alors un bâton, une pierre et un œuf en lui recommandant de s’enfuir au plus vite. Le monstre se lance à la poursuite de  (...suite  Klikeo eto )

    Cet exposé est concentré sur la littérature orale malgache composée de : Hainteny- Ohabolana- Kabary-Ankamatatra - Angano. Grâce au développement de l’éducation, ces expressions peuvent être étudiées de nos jours dans la version écrite.
Comme le nom l’indique, le conte raconte et narre . Il est donc essentiellement oral et se transmet en tant que tel.
Ils expriment la vision du monde telle que les générations du passé souhaitent la transmettre aux générations à venir.
 

Citons les auteurs suivants ayant fait l’effort de collecte et de synthèse de ces contes :Charles Renel - Benoît Rakotomavo- Rabearison - Rainandriamampandry- Clarisse Ratsifandrihamanana- Lars Dahle- John Sims - Dr Randriamorazaka.          

           1)- Le conte veut ainsi transmettre ou faire connaître une « morale » , cf. la morale de la fable par exemple : « Sahona sy Lambo » ou « la grenouille et le sanglier » (...  Klikeo eto )

          2)- Il transmet également la philosophie de la structure sociale telle que les aînés souhaitent la perpétuer :
                   - Place des parents
                   - Rôle de la famille 

                   - Attitude et comportement :
                               * vis à vis des autorités
           

                                 * vis à vis de l’environnement
                               * vis à vis du monde animal
            3)- Mais surtout il souligne la philosophie en tant que structure de l’esprit, donc la distinction entre le bien et le mal, le bon et le méchant, le beau et le laid.  cf . l’exemple de « Farakely sy Itrimobe » (... 
Klikeo eto )
            4)- En revanche la métaphysique n’est pas expressément « lisible » à travers les angano, en tant que transmission de l’existence ou non de  Dieu ou en un Créateur comme le croient les malgaches d’une manière générale. L’existence du Créateur est sous-entendu, mais ne constitue pas un débat en prosélytisme. C’est un fait.      cf. l’exemple de «
Ratany sy Ralanitra »   (... 
Klikeo eto )

Angano, Angano, Arira, Arira, tsy izaho no mavandy fa ny olo-be taloha.       


                           
Angéline Ranaivoarinosy (Peta) de Feucherolles (78)    ... la suite  Cliquez-ici 

 ... Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina", Manantsoa  a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.              Merci d'avance!                     ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>          ... Les Autres Anganos Cliquez-ici 


wanadoo.mg 21/03/2007
Le nouvel an malgache célébré en catimini
Comme chaque année, depuis un certain temps, un nombre d’irréductible tient à fêter le nouvel an malgache selon le calendrier lunaire. « Rohy ara-kolontsaina », c’est le thème cette année de l’Asaramanitra. 
Après l’évènement au Rova d’Ambohimanga lundi, l’espace culturel Rarihasina accueille également jusqu’à demain plusieurs manifestations pour marquer cette date. Vazimba Produktion, Compagnie Rary et Isa Atelier Galerie sont main dans la main pour mener à bien les activités. 
Une projection du film « Tabataba », du réalisateur Raymond Rajaonarivelo, qui relate les événements de 1947 a ainsi inauguré lundi la célébration. Un collectif d’artistes conduit par le groupe Tarika Sammy, Ricky et Bakomanga se relaie également sur le parvis du Rarihasina, décoré pour l’occasion, pour assurer l’animation et attirer la foule. Il y a également des spectacles de danse avec la Compagnie Rary, et la troupe Addam’s, sans oublier l’exposition d’arts plastiques à laquelle prennent part, entre autres, Ihary Vaomanohy, Soari Manjato, RFaral et Hemerson. 
Des débats sur les différents aspects de l’art et de la culture malgache figurent aussi au programme comme les séances de conte avec Marthe Rasoanantenaina. L’objectif du collectif étant de sensibiliser les jeunes, plus aptes peut-être à avoir une vision plus modernisée de la culture malgache qui risque de disparaître complètement face à une mondialisation culturelle galopante où l’exception est une impérieuse nécessité. 
©Andrianoromalala 


Jeuneafrique.com 21/03/2007
Début de la campagne pour le référendum constitutionnel 
La campagne officielle pour le référendum sur la révision de la Constitution prévu le 4 avril à Madagascar s'est ouverte mardi. 
La révision de la Constitution prévoit la suppression des six provinces autonomes, permettant de faire disparaître un intermédiaire entre l'Etat et les régions pour faciliter la mise en oeuvre d'un plan de développement. Elle propose un renforcement des pouvoirs du président, qui pourra légiférer par ordonnance "en cas d'urgence ou de catastrophe". 
Le projet prévoit d'introduire l'anglais comme langue officielle du pays et de faire disparaître de la Constitution le terme d'Etat laïque. 
Les électeurs malgaches devront répondre par oui ou non à la question: "Acceptez-vous ce projet de révision de la Constitution pour le développement rapide et durable par région, afin d'améliorer le niveau de vie des Malgaches?". 
En présence du président Marc Ravalomanana, réélu en décembre, et de plusieurs membres du gouvernement, le parti présidentiel TIM (J'aime Madagascar) a lancé mardi la campagne par une messe oecuménique au siège du parti à Antananarivo. 
"Grâce à nos bureaux exécutifs partout dans le pays, nous allons faire une campagne d'explication sur le terrain", a déclaré à l'AFP le président du TIM, Razoarimihaja Solofonantenaina, à l'issue de la réunion où de nombreux posters bleus, la couleur du oui, étaient distribués aux militants. 
Du côté des opposants à la révision constitutionnelle, qui ont choisi la couleur jaune, un "comité national pour le non" s'est constitué lundi, selon Pierre Houlder, secrétaire national par intérim d'un des partis malgaches d'opposition, l'Arema (Avant-garde pour la rénovation de Madagascar, formation de l'ancien président Didier Ratsiraka). 
Selon lui, ce comité réunit une douzaine de partis d'opposition et au moins deux anciens candidats à l'élection présidentielle, Jean Lahiniriko et Herizo Razafimahaleo, qui ont été désignés "coordinateurs de l'action". 
Les partisans du oui et du non se partageront équitablement 40 minutes d'antenne par jour à la radio et à la télévision nationales, selon une décision du Conseil national électoral (CNE). 
"La campagne officielle du référendum finira la veille du scrutin, le 3 avril à 07H00 (04H00 GMT)", a déclaré à l'AFP Théodore Randriamahenina, en charge de l'organisation du scrutin au ministère de l'Intérieur. 
La Constitution malgache date de l'indépendance en 1960, et la dernière révision de 1998. 

MADAGASCAR - 20 mars 2007 - AFP 


LeVif.de 20/03/2007
Madagascar: 12 tués et 14.000 sinistrés après le passage d'un cyclone
ANTANANARIVO 19/03 (BELGA) = Douze personnes ont été tuées à Madagascar par le cyclone Indlala qui a frappé le nord de l'île en fin de semaine dernière, et 14.000 se retrouvent sans abri, selon un nouveau bilan annoncé lundi par les autorités malgaches. Un précédent bilan, donné samedi, faisait état de deux morts et d'au moins 2.850 sinistrés. Le porte-hélicoptères "Jeanne d'Arc", bateau école de la Marine nationale française, est arrivé au large d'Antalaha lundi afin de participer aux secours. Le navire a notamment à bord 300 tentes, 2.500 couvertures et des groupes électrogènes. Indlaha est le sixième cyclone -et aussi le plus meurtrier- à traverser Madagascar depuis le début de la saison cyclonique début décembre 2006. (NLE) ./.
Bron: Belga (Belga Feed) 


allAfrica.com 21/03/2007

Madagascar: Gouvernement - 11 SG nommés hier
Le conseil des ministres réuni de bon matin, hier, a procédé à la nomination de onze (11) secrétaires généraux de ministères. Quelques surprises côtoient des confirmations. La reconduction du secrétaire général du ministère de l'Intérieur Gervais Rakotonirina fait partie de la continuité. Il en est de même pour le SG du ministère des Finances et du budget Razakariasa, celui du ministère des Sports Randrianarisoa Jean Gabriel. Ranaivo José Martial devient SG du ministère de la Décentralisation.
Il était auparavant directeur de la Décentralisation à la présidence. Le général de division Rakotondrabevala Marcel est pour sa part, confirmé au poste de SG du ministère de la Défense nationale. Les surprises sont à voir du côté du ministère de la Justice où Rakotoson Harotsilavo accède au poste de secrétaire général. Pareillement au ministère des Affaires Etrangères où Mboara Randrianarimanana, ancien journaliste et chroniqueur de la revue Jureco, est promu secrétaire général.
Il était conseiller technique de Ranjeva Marcel depuis cinq ans. Ralainirina Paul Richard, Rasolofoniainaharison Lauréat, Rakotobe Tovondriaka, Randrianarison Ridjanirainy et Rakotoson Philibert atterrissent comme SG respectivement aux ministères de la Santé, du Travail, de l'Environnement, de l'Education nationale et de l'Agriculture.
Huit (8) départements restent dépourvus de nouveaux SG : Défense nationale, Sécurité publique, Travaux publics, Transports et Tourisme, Mines, Energie, Culture et Communication. Une réorganisation de la présidence de la République ainsi que des Archives nationales a également été adoptée au cours du même conseil.

Midi Madagasikara (Antananarivo) - Rc


Express Mada 20/03/2007
Loisirs :“Duo”, la nouvelle option de Parabole Madagascar 
Finie la guerre de la télécommande en famille. Parabole Madagascar crée l'option “duo” qui consiste à avoir deux décodeurs pour les deux postes téleviseurs à la maison. Ainsi, si papa et maman désirent regarder un bon film à deux dans leur chambre, les enfants pourront zapper sans problème sur les chaînes sportives et les bandes dessinées au salon.
“Nous avons décidé d'introduire l'option "duo" à Madagascar, justement pour éviter le problème de choix des programmes télévisés entre les membres de la famille. Dans ce sens, on espère pouvoir mieux servir notre clientèle qui compte actuellement 3500 abonnés dans tout Madagascar et 65000 dans l'océan Indien. Madagascar est le troisième pays à avoir adopté cette option, après la Réunion et Maurice”, explique Tiana Ramananjoelina, responsable du département Gestion des abonnés.
L'option “duo” coûte un surplus d'Ar 80 000 par rapport au programme classique. Pour le lancement, les frais d'accès à la prestation, ainsi que le quotient des matériels sont gratuits. Un coffret comprenant deux décodeurs pré-programmés est à la disposition du grand public auprès des 25 distributeurs de Parabole Madagascar de toute l'île.
Fanja Saholiarisoa


Le Quotidien 20/03/2007
Lutte contre la pauvreté: La Bad soutient et encourage les efforts malgaches
Donald Kaberuka, Président du Groupe de la Banque africaine de développement, a été reçu hier par le Président de la Ré-publique de Madagascar, Marc Ravalomanana au Palais d’Etat d’Iavoloha. Après un tête à tête entre les deux personnalités, le Président de la Bad a procédé à la signature du livre d’or de la Présidence avant d’honorer un dîner offert par l’Etat malagasy.
Au cours de ce dîner, le Président Marc Ravalomanana, en signalant la célébration de plus de 30 ans de partenariat entre Madagascar et la Bad, a déclaré : “au cours de ces trois dernières décennies, vous nous avez aidé à relever de nombreux défis majeurs relatifs à notre développement”.
“Je vais être franc. Etant donné les ressources dont nous disposons dans le monde aujourd’hui - ressources technologiques, financières ainsi que les informations - il n’y a aucune raison pour qu’un pays soit pauvre. En tant que Président d’un pauvre pays, je n’accepterai pas une telle condition. Par conséquent, mon engagement est de transformer Madagascar”, a -déclaré le Chef de l’Etat.
Le Président de la République de Madagascar de souligner : 
“Nous sommes confrontés à des défis majeurs, mais ils sont très passionnants. Nous voulons progresser rapidement. Et nous souhaitons que la Banque Africaine de Développement nous aide à progresser rapidement. Aidez-nous à tenir nos engagements et à atteindre nos objectifs”.
Dans la même foulée, le Président Marc Ravalomanana a énuméré les huit engagements du Map avant de préciser : “Je vous ai expliqué ces engagements parce que je veux que vous sachiez à quel point nous sommes sérieux. Notre mode opératoire à Madagascar n’est plus “business as usual”. Etant donné notre vision, je voudrais inviter la Banque Africaine de Développement, non seulement à continuer à soutenir Madagascar, mais aussi à accroître son soutien. Nous avons besoin de ce partenariat, et nous y attachons une grande importance”.
Dans sa brève intervention, le Président Donald Kaberuka, après avoir mis en relief les résultats de ces trente ans de partenariat, a déclaré : “Nous sommes derrière vous. Nous encourageons les efforts de votre gouvernement. Nous vous avions soutenu et nous allons continuer à vous soutenir”. Il a ainsi invité solennellement le Président de Madagas-car à participer aux prochaines Asse-mblées annuelles de la Banque et du Fonds Africain de Déve-loppement qui se tiendront à Shanghai (Chine) en mai 2007. Avant d’être reçu par le Président malagasy, M. Donald KAberuka a assisté à une séance d’ information sur le Madagascar Action Plan (Map) au siège du National Leadership Institute of Madaga-scar (Nlim), une séance dirigée par le Chief of Staff par intérim de la Présidence, Ivohasina Ra-zafimahefa.
Tous les Chefs d’Institutions et les membres du gouvernement ont pris part au dîner offert en l’honneur du Prési-dent de la Bad.


Express Mada 19/03/2007

Optimisme au salon mondial de Paris 
Succès au salon mondial du tourisme à Paris pour les exposants malgaches. Une quinzaine de tours opérateurs et agences de voyages proposent la destination Madagascar.
Une présence significative des opérateurs malagasy au salon mondial du tourisme de Paris. La relance du secteur tourisme est bel et bien engagée pour la Grande île. "Nous sommes complètement submergés par l'affluence du public", confie la présidente de l'Office régionale du tourisme de Toliara, à l'ouverture du Salon mondial du tourisme de Paris (SMT) vendredi. 
Les stands qui vendent la destination Madagascar subissent effectivement une affluence particulière durant la première journée. "C'est une confirmation de l'engouement du public français pour Madagascar", reconnait Vola Raveloson, directeur exécutif de l'Office national du tourisme de Madagascar. "Les efforts de promotion entrepris commencent à produire des résultats", continue-t-elle.
En 2006, Madagascar s'est lancé dans une vaste campagne de promotion avec une contribution financière de l'Agence française de développement et du Business and market 
expansion (Bamex).
Il s'agissait alors de renforcer la promotion de la destination Madagascar sur le marché français via des spots publicitaires sur les principales chaînes locales. Notons que cette campagne de promotion en terre française s'insère dans un vaste programme comprenant l’ouverture d’un bureau d’information touristique à Paris, une politique de formation des agents de voyages ou encore le relookage de son site internet.
Relais en France
Les offices, national et régionaux, de Madagascar se sont mis ensemble pour cette 35ème édition du SMT. "Nous voulons donner à nos revendeurs la place qu'ils méritent en tant que promoteurs de la destination Madagascar", remarque Joel Randriamandranto. 
La présence d'une quinzaine de tours opérateurs et d'agences de voyages proposant la Grande île témoigne de cette nouvelle approche. Ceux qui vendent la destination Madagascar en France sont également confiants.
"La stablilité politique et la quiétude de l'environnement social et économique actuelle sont en faveur de Madagascar", explique Blandine Andriambololo Nivo, gérante du Comptoir de Madagascar à Paris. Elle reconnait d'ailleurs que le succès d'une destination repose en grande partie sur ces deux paramètres. 
Danièle Bonneton de l'agence Aurige du groupe Meltour avoue aussi que la destination est sur une pente ascendante mais souffre d'une absence de relais permanent efficace en France.
Les prescripteurs de voyages confiants 
“Nous sommes très optimistes sur l’avenir de la destination Madagascar”. Les tours opérateurs et agences de voyages qui commercialisent la destination Madagascar en France affichent un réel optimisme sur le potentiel de la Grande île en matière de tourisme. “Nous avons une prévision très optimiste pour cette année”, confie Blandine Andriambololo Nivo, gérante du Comptoir de Madagascar à Paris, lors de la 32ème édition du Salon mondial du tourisme, qui s'est tenu depuis jeudi dans la capitale française. “Une nette progression est constatée aujourd’hui sur le produit”, continue-t-elle.
Malgré la fragilité du produit touristique par rapport aux facteurs exogènes, la destination Madagascar devra tenir face à la concurrence. “Les visiteurs qui reviennent de la Grande île sont tous satisfaits de leurs séjours”, affirme Danielle Bonneton de l’agence Aurige du groupe Meltour.
“C’est un bon point pour Madagascar”, poursuit-elle. Les professionnels avancent pourtant que des problèmes persistent. “Le cas du transport aérien reste dans l’actualité”, avoue Danièle Bonneton. Une situation confirmée par Blandine Andriambololo Nivo. “Nous avons des réservations en attente pour les mois de juillet et août”, déclare-t-elle. Le salon mondial du tourisme s'est achevé hier dimanche.
Doda Andrianantenaina


NO COMMENT        NO COMMENT       NO COMMENT      NO COMMENT

Les Sites Partenaires                                   ... News des Provinces

Cliquez sur TetezamitaKely

cliquez...

  "Les 'Grands' parlent d'idée

  les 'médiocres' parlent d'évènements

  les 'misérables' parlent contre les personnes..."

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Clikeo ny 2CV mena


Courrierinternationale.com 21/03/2007

MADAGASCAR : • La Grande Île modère sa francophonie 
Le projet de révision de la Constitution de Madagascar fait passer l'anglais au rang de langue officielle, à égalité avec le malagasy et le français. Dubitatif, le journal Madagascar Tribune défend la place de la langue malgache. 
Dans le texte de révision de la Constitution de la République de Madagascar soumis à référendum le 4 avril 2007, il est mentionné que le malgache est la langue nationale. Quant aux langues officielles, au malagasy et au français on a ajouté l'anglais [jusqu'à présent, les seules langues officielles sont le malgache et le français mais ne figurent pas dans la Constitution]. Visiblement, le régime actuel perpétue la méfiance presque générale de l'opinion publique concernant la capacité de notre langue à promouvoir aussi bien l'éducation que le développement. 
Depuis la faillite de la politique de malgachisation de la IIe République socialiste de Didier Ratsiraka, le malgache a mauvaise presse en tant que langue d'enseignement. D'ailleurs, c'est une des raisons du foisonnement des écoles privées "d'expression française". Mais force est de constater que l'échec de cette politique n'est pas lié à l'incapacité du malgache à favoriser l'apprentissage. Il est plutôt à chercher dans une gestion trop précipitée et dans une politique d'enseignement catastrophique. Malgré cela, la langue malgache n'est pas a priori réservée à un usage uniquement vernaculaire. 
L'avènement du régime Ravalomanana [en 2002, à la suite d'une longue crise politique et institutionnelle] a inauguré une nouvelle ère en matière de politique de langues. Plus d'un ont remarqué que le président préfère de loin utiliser la langue de Shakespeare plutôt que celle de Molière. Il n'y a rien d'étonnant au fait que, sur les étiquettes des produits vita malagasy [fabriqué à Madagascar] de TIKO, l'empire agro-alimentaire de Ravalomanana, ne figurent que des notices en… anglais. 
Il est évident que l'Etat malgache doit promouvoir l'étude de la langue anglaise qui reste la première langue internationale. Elle est nécessaire pour affermir les relations du pays avec l'étranger dans le cadre de la mondialisation. 
Mais cela ne doit pas masquer le fait que plus de 80 % des Malgaches utilisent uniquement leur langue maternelle aussi bien au quotidien que dans leur milieu professionnel. Que des textes législatifs ou réglementaires nécessaires dans la gestion de l'Etat soient publiés en anglais n'est pas a priori une mauvaise chose. Au contraire. Mais la question se pose au niveau de leur efficacité. Les étrangers seront bien servis, mais est-ce que les Malgaches sont prêts à lire des directives en anglais ? Le bon sens indique que l'usage de ces trois langues de manière simultanée risque de perturber les usagers de l'administration. 
En effet, il ne faut pas oublier que, si l'anglais devient l'une de nos langues officielles, cela suppose que les textes officiels soient traduits en anglais. Des frais supplémentaires seront engendrés par ce travail (traduction, prix du papier…). Et si finalement personne ne lit ces textes – à cause d'une barrière linguistique –, ce sera un gaspillage des deniers publics alors que l'Etat manque de ressources financières pour le développement du pays. N'est-il pas temps de penser, en ce temps de disette économique, à promouvoir d'abord notre langue pour qu'elle soit aussi celle du business et celle du développement ? 
Alexandre L.     Madagascar Tribune 


Madagascar-actuel.info  19/03/2007

Est-il bon d'investir au pays ? Dans quels secteurs investir à Madagascar ?
Si vous êtes un compatriote désireux de rentrer au pays et d’y monter une affaire, ou si vous êtes un entrepreneur qui est particulièrement attiré par la grande île, cet article va essayer de faire une petite vue d’ensemble sur les secteurs lucratifs à Madagascar.
La situation économique
La valeur de la monnaie locale : l’Ariary est plus ou moins stable ces derniers temps. Un euro équivaut toujours à environ 2500 Ariary, ce qui fait qu’on peut facilement monter quelque chose au pays sans amener énormément de fonds de l’étranger, en plus de pouvoir vivre décemment. 
Les secteurs d’activité
Pays pauvre oblige, il est peut-être plus rapidement et plus facilement rentable d’investir dans la satisfaction des besoins primaires et d’entrée de gamme : alimentation, habillement, transport, communication, éducation (de base), …
Avec le « boum » actuel de la communication (le développement des téléphones portables, de l’internet, etc). Il peut être intéressant de « chercher » dans ce domaine un nouvel angle d’attaque pour aborder un marché en pleine croissance. Actuellement, toutes les propositions se ressemblent et on fait plus une bataille de prix que d’offres et d’innovations.
En plus, la qualité de service de certains prestataires laissent à désirer, et la grogne commence à monter chez les consommateurs, qui paient cher mais n’ont pas la satisfaction en retour. Encore une voie libre pour un investisseur courageux qui est en mesure de fournir la qualité au meilleur prix.
Le tourisme
De nombreux prestataires se plaignent du prix du billet qui – d’après eux – rebute les touristes venant de l’extérieur. Mais il est indéniable que le tourisme est encore une « voie libre » pour les investisseurs, certains sites très prisés et de qualité ne possèdent que très peu de moyens pour accueillir les touristes, inexistence ou insuffisance d’hôtels, de prestataires, etc.
D’autres sites qui ont du potentiel restent méconnus et inexploités.
Et il y a aussi le tourisme « local », les Malgaches semblent vouloir voyager de plus en plus (au moins à l’intérieur du pays) et se déplacent de plus en plus fréquemment. Il n’y a qu’à voir la masse énorme de population qui écume les routes lors des périodes festives. Encore une opportunité pour ceux qui sauront l’exploiter.


Le Quotidien 20/03/2007
Miteny Gasy ve ianao ?
La semaine de la francophonie débute et les Malagasy se demandent toujours ce qu’elle signifie réellement. Uniquement savoir le français (lu, écrit, parlé) et / ou le comprendre. Ou serait-ce autre chose encore, style de vie, de conception, de philosophie ; la définition “officielle” étant : ayant en commun l’usage du français, partiel ou en totalité, sans question de niveau, de pourcentage de mots d’origine française utilisé dans une phrase, attitude/comportement typiquement francophone qui normalement devrait accompagner cet usage. 
D’aucuns persiflent lorsque les jeunes, et moins jeunes aussi, font un subtil mélange, des deux langues (malagasy et frantsay), pour s’exprimer. Ils sont même véritablement vilipendés linguistiquement et surtout lapidés intellectuellement par les puristes de ce métissage involontaire. Lesquels puristes ne se rendant même pas compte qu’eux-mêmes font soit du franglais malgachisé, soit de la malgachisation phonétique usitée depuis l’ouverture du pays aux étrangers. Donc, période bien en avant de la colonisation. 
Que le pays décidera alors tantôt de trois langues officielles n’est que le juste reflet et légitime conséquence de cette ouverture entamée depuis plus d’un siècle et qui s’avère impérieuse aujourd’hui pour se mettre à niveau. De quoi ? A chacun sa réponse. Mais un fait est sûr, pour s’enrichir et pour rester une langue dite : “vivante”, celle-ci doit s’accomoder des différents apports des autres, tel le français avec le franglais (parking) ou l’inverse (journal). De cet ordre, sobika a bien été francisé pour désigner un panier, et que même “lavaka” est passé dans le jargon international pour dénommer l’érosion terrestre. 
Partant, les associations de linguistes ne cessent de s’activer pour remettre au goût du jour le kabary ou d’autres organismes pour la défense de la langue malagasy. Plus, certains poussent le “tamboho” à essayer/promouvoir le tout gasy, pendant du tout français et/ou du all english. en tous les cas, le mélange des trois aident au rapprochement et à la compréhension des peuples habitant l’île. La semaine de la francophonie devient alors un rendez-vous de défense / d’activation / d’occasion de régénérescence de la langue, permettant de garder et/ou de se rappeler ce qui n’est pas inutile (izay tsy hita izay maharatsy azy).
Le pays se doit alors de mentionner les deux langues les plus usitées dans le monde s’il souhaite vraiment participer au concert économique des Nations. La Chine, outre ses 5 000 caractères, mentionne bien sur ses produits d’exportation des indications en anglais, Madagascar devra donc y insérer le malagasy et au choix l’une des deux et/ou les deux à la fois, mais impérativement la langue nationale doit y figurer. 
Manière semblant anodine, en comparant les indications sur les emballages, il est possible d’obtenir la traduction exacte de ce qui pourrait être considéré par beaucoup comme du “chinois”. Et promouvoir / faire connaître ainsi la langue nationale. “Vita” entrera dans le lexique international au même titre que “fabriqué ou made”, s’il est une volonté de vraiment le faire. 
Vive la francophonie = mbola miteny gasy ve ianao ? Juste un mot. 
Eddy M.


Le Quotidien 21/03/2007
Un livre sur la Dynastie des “Andafiavaratra”
Un nouveau livre sur une partie de l’histoire de Mada-gascar - “Les Généraux Andafi-avaratra et la France au XIXe siècle à Madagascar” - est sorti.
Le livre retrace le chemin qui avait mené les Andafiava-ratra vers la gloire au XIXe siècle à Madagascar, et analyse les raisons pour lesquelles leurs illustres Généraux avaient échoué à empêcher la capitulation de l’armée Hova en septembre 1895.
Il revisite la contribution des Officiers britanniques 
au service de la Couronne Hova, tels le Général Digby Willoughby et le Colonel Robert Shervinton, quant à la défense de l’indépendance de l’île de Madagascar au XIXe siècle. Parallèlement, le livre propose une explica-tion à propos des raisons qui avaient forcé la Grande-Bretagne à abandonner Mada-gascar au profit de la France, à travers les accords de Salisbury de 1890. Il analyse le différend Franco-Hova au cours du XIXe siècle, avec, comme toile de fond, les révolutions de Palais qui avaient agité la monarchie Hova depuis 1787, et les intérêts coloniaux français à Madagascar. Ainsi, le livre retrace les évènements militaires qui avaient fait basculer l’issue des guerres Franco-Hova de 1883-1885 et 1895. Il expose les raisons pour lesquelles l’armée royale Hova avait capitulé le 30 septembre 1895, alors que les familles s’alignèrent dans les cimetières de France pour enterrer les milliers de soldats français qui avaient succombé lors de l’expédition militaire “marche ou crève” menée par le Général Duchesne. Comme tout manuscrit sur le XIXe siècle, il resterait ainsi incomplet s’il ignore la traite d’esclaves, le livre dévoile comment et pourquoi Madagascar fut l’un des centres de gravité du phénomène à l’échelle de la planète, au même titre que Delagoa Bay (ou la baie de Maputo en Mozambique).
En effet, les négriers de toute sorte et sans scrupules, y venaient afin de s’approvisionner en marchandises de nature humaine qu’ils livraient dans les quatre coins du monde, souvent au nom des puissants états impériaux de l’hémisphère nord.
Enfin, le livre dresse des perspectives historiques quant à la nature des relations inter-ethniques à Madagascar, tout en faisant un clin d’œil aux évènements politiques de 2002 qui avaient menacé la Nation moderne malgache dans ses fondements, en tant qu’entité indivisible.
Apparemment, le livre de Jean-Luc Andrian ouvrira une nouvelle perspective sur la connaissance de l’histoire de Madagascar, bien que l’usage de termes comme “Hova”, “Andriana”, risque aussi d’ouvrir des polémi-ques qui peuvent être positifs pour l’avenir de notre pays. 

Recueillis par Gérard C.


Tribune 19/03/2007

29 Mars 1947 : La naissance du MDRM 
Cette année, Madagascar célébrera la 60e anniversaire de l’Insurrection de 1947-1948. Et comme à l’accoutumée depuis 1967(*), l’Etat veut marquer l’événement d’une pierre blanche. Et à cette occasion Madagascar Tribune vous propose une série de dossiers relative à cette lutte.
Quartier Latin, centre intellectuel parisien, dans un restaurant situé sur la colline Sainte-Geneviève, quelques Malgaches discutent et décident de créer un parti politique. Ils l’appellent Mouvement Démocratique de la Rénovation Malgaches. On était le 11 février 1946. Sans le savoir, ils viennent de fonder la structure politique qui va fortement marquer l’évolution politique de Madagascar.
Mais cette formation du MDRM n’était pas possible sans le vent de la Décolonisation qui a commencé à souffler sur les colonies européennes asiatiques et africaines. La France, elle-même, confrontée aux événements de la Seconde Guerre mondiale, a décidé de changer de politique coloniale dont le symbole fort est la Conférence de Brazzaville en 1944. La Métropole décidait alors d’associer ses colonies à la gestion de leur territoire.
Naissance parisienne
Pour concrétiser cette nouvelle politique, il a été décidé d’organiser des élections dans les Territoires sous dépendance. Ainsi, en octobre 1945, les électeurs malgaches ont été appelés aux urnes pour élire leurs représentants qui siégeront au Palais-Bourbon. Ils y envoyaient Raseta et Ravoahangy.
Mais les missions de ces derniers n’étaient pas faciles. Ils se butaient à l’hostilité de la plupart des organisations métropolitaines (partis politiques, syndicats…). D’où l’idée de créer une structure qui leur donnera la légitimité qui démentira l’accusation selon laquelle seuls les Merina sont nationalistes. De là est née l’idée de créer le MDRM.
Implantation à Madagascar
L’implantation du M.D.R.M. dans la Grande Ile s’est effectuée en plusieurs étapes. Elle commence au moment de la formation du Comité électoral qui a soutenu Ravoahangy et Raseta.
En effet, après les élections et étant donné la victoire de ses deux candidats, le Comité cherchait le moyen de mieux soutenir ses élus et leurs actions par des propagandes actives et des envois de fonds à Paris. Ainsi, il décide de créer les syndicats des auteurs et de la presse libre dont les actions sont destinées à faire une campagne de propagande en faveur de l’indépendance. 
Mais face aux succès de ces syndicats et consciente de leurs véritables objectifs, l’administration coloniale décidait de réagir en les interdisant et en condamnant leurs principaux responsables à des peines d’amende (mai 1945). Dépourvus de structure de lutte, les partisans des députés voyaient dans la création du M.D.R.M. la solution idéale et inespérée pour combattre l’oppression coloniale.
Ainsi, l’ancien Comité électoral de deux élus reçoit en avril 1946 le mandat des créateurs de M.D.R.M. de l’implanter, d’abord à Tananarive, en vue des élections de 1946. Et le 18 juin 1946, le parti s’implante officiellement et légalement à Madagascar. 
(à suivre)
(*) : Avant cette date, aucune manifestation commémorant cette date n’était autorisée, hormis de simples recueillements.
- Alexandre L 


Tribune 21/03/2007
29 Mars 1947 (suite) : Les grandes tendances du M.D.R.M. 
Créé en 1946, le MDRM en tant que structure de lutte présente en son sein plusieurs tendances qui souvent s’opposent entre elle. Parmi elles, il y a ceux qu’on peut qualifier d’aile modérée. 
Après la création du M.D.R.M., les députés malgaches deviennent partisans d’une autodétermination sans rupture brusque ni institutionnelle avec la France. Et lors des législatives de juin 1946, ils insistent de plus en plus dans leurs discours et leurs propagandes sur les «acquis» de la première Constituante : suppression des institutions les plus impopulaires, réformes sociales…Certes, l’indépendance reste le but ultime, mais l’insistance sur ce sujet diminue en importance .
Politique modéré
Cette modération est, sans doute, due à l’influence de certaines catégories de personnes, en particulier les intellectuels. En effet, le parti a toujours essayé de séduire cette couche sociale, nécessaire pour faire aboutir sa politique nettement électoraliste. Confronté à un collège électoral restreint regroupant en majorité des personnes jouissant des conditions socioculturelles marquées par une francophile non dissimulée, sa revendication s’est modérée.
Ainsi, le MDRM et leurs amis nationalistes ont intérêt à ménager et à tenir compte des préoccupations de ce groupe élitiste car leurs voix sont nécessaires pendant les prochaines élections d’autant plus que le parti devient vers la deuxième partie de l’année 1946 un parti figé dans un programme politique électoraliste voire plébiscitaire.
Les députés pensent encore que les victoires électorales légitimeront la revendication de l’indépendance comme elles la garantissent. Ils sont ainsi prêts à tout faire pour obtenir la plus de voix possible quitte à faire des concessions qui risquent de faire des mécontents. 
Compromis avec les autorités coloniales
Cette position prônant la continuation des relations franco-malgaches dans une même structure est celle des dirigeants du M.D.R.M. et de certaines sections comme celles de Tananarive. Ainsi, ils sont tentés de faire des compromis avec les autorités coloniales quitte à accepter l’idée de l’Union Française au prix de fléchir leur tempérament et leur volonté d’avoir une indépendance totale et immédiate. Le Haut-commissaire de Coppet emprunte même son avion à Ravoahangy pour qu’il entreprenne une tournée pour inciter les gens à travailler et à rester calme.
D’ailleurs, il semble que le goût du pouvoir que la fonction de député leur confère, aurait un peu terni l’ardeur des parlementaires pour la révendication de l’indépendance. C’est également dans ce sens qu’il faut comprendre l’attitude de l’administration française qui veut amener les députés et leurs partisans vers une « collaboration raisonnée » .
Ainsi la sphère dirigeante du M.D.R.M. se rapproche de plus en plus du pouvoir colonial en se déconnectant petit à petit de l’ensemble de l’appareil du parti. Ses prises de position et ses réactions ne sont plus, dans la plupart du temps, en fonction des intérêts du mouvement nationaliste mais suivant ceux de la strate dirigeante ou de la catégorie sociale de la majorité de ses membres. 
En tout cas, c’est ce que laissent transparaître les recherches historiques mais que d’autres sources authentiques révélées dimanche dernier par Andrianjaka Rajaonah, président de l’association Otrikafo, corrigent. «Une lettre confidentielle adressée par le Haut-commissaire De Coppet au Dr. Ravoahangy exprime, selon Andrianjaka Rajaonah, la déception du Haut-commissaire car Ravoahangy était intraitable sur l’idée d’indépendance de Madagascar bien que le dialogue fut établi. 


allAfrica 19/03/2007
Madagascar: Les Barea devant les « Eléphanteaux » de l'Académie Guillou !
L'engouement prend de plus en plus de place pour les mordus du ballon rond, très impatients de voir comment les protégés de Rossignol vont réagir.
Pour un test en vue du match contre les Eléphants de la Côte d'Ivoire, les Barea ne peuvent mieux trouver que ce dimanche où ils auront à en découdre avec l'Académie Ny Antsika. Les techniciens de l'Académie Ny Antsika, devra-t-on préciser, car les atouts des Antsirabéens sont bien sûr, cette maîtrise technique hors norme comme tous les pensionnaires de l'Académie Jean Marc Guillou et comme l'a été justement une écrasante majorité des Eléphants ivoiriens.
Elevés à la sauce Guillou, les jeunes d'Antsirabe constituent un sparring-partner idéal, même s'ils souffrent encore de la comparaison, en étant encore des Eléphanteaux à qui il manquait encore la puissance physique d'un Didier Drogba ou de Baki Koné.
Le match qui opposera Jean Paul Rossignol à l'autre Français Olivier Guillou ne manque pas pour autant d'entrée, même si on déplore au passage l'absence des meilleurs joueurs de l'Ajesaia retenus pour le match retour de l'équipe contre Ismaily SC.
La grande question est de savoir si le rappel des anciens ne serait qu'un moyen de combler le déficit en nombre des appelés au sein des Barea car on ne pense pas que le staff technique irait jusqu'à reconduire cette défense qui avait pris eau de toutes parts, notamment lors du match contre le Gabon, toujours dans le cadre de ces éliminatoires de la CAN 2008.
Partant, il serait imprudent de refaire confiance à ces hommes qui sont irréprochables dans le championnat local, mais qui ne savent même plus sur quel pied danser devant des vrais techniciens du ballon rond.
En plus, il y a aussi cette question de fraîcheur physique évoquée par Arsène Malabary. Un domaine sur lequel les Malgaches souffriraient de la comparaison et à laquelle il n'y a pas de solution miracle, car aussi doué soit-il, l'ancien Lensois qui selon toute vraisemblance, sera chargée de la préparation physique, ne pourra pas faire grand-chose dans un laps de temps, relativement court. A moins bien sûr que le natif de Nosy Be qu'il est, parvient à trouver un remède miracle. Evidemment autre que le fameux...khat qui est un produit dopant.
Midi Madagasikara (Antananarivo) - Clément Rabary


 vttm47.blog.fr  25/02/2007
Vondron'ny tia tanindrazana mpiady tamin'ny 29 martsa 1947- par vttm47

Nandritran’ny 60 taona nanjakan’ny frantsay teto Madagasikara, dia enjika sy fanabotriana, ary fampijaliana feno habibiana no nihatra tamin’ireo nanohitra azy.

agrandir la photo  Klikeo eto  >>

 Teo koa ny asa an-terivozona, ny lahasa tsy misy karama, ny asa 30 andro izay asa tsy maintsy ataon’ny tovolahy feno 18 taona, ny karatra isan-dahy izay aloa isan-taona, miampy ny fanadiovana ny arabem-panjakana. Fa ny tena loza dia ny SMOTIG, manao làlana , tetezana, tonelina, indrindra fa ny làlam-by mampitohy an’Antananarivo sy Toamasina, Antananarivo sy Antsirabe, Fianarantsoa Manakara. Tao koa ireo tranom-panjakana isan-karazany etc… Fa maro tamin’ireo mpiasa no matin’ny hanoanana nohon’ny tsy fahampiana sakafo, ary mba hialana amin’izany dia nandositra ny tanàn-dehibe mba tsy voaantso. Ny ankizy mianatra tamin’izany dia vitsy fa nampiasan’ny colons amin’ny karama varimasaka ny ankamaroany, fa ny zanaky ny manan-katao ihany no afaka mankany an-tsekoly. Taty aoriana dia nisy sekoly naorin’ireo misionera catholique sy misionera protestanta, anglikana, teo koa ny sekolim-panjakana, ny Ecole regionale isaky ny provinces enina. Ireny rehetra ireny dia namoaka ankizy vita fianarana araka ny sokajy sy lalana napetraky ny fanjakana Frantsay, izay 
nomeny anarana c.e.s.d (Cours Elementaire du Second Degré ), fari-pahaizana ambony indrindra azon’ny Malagasy ratovona. Tsy kivy anefa ny Malagasy fa vao maika aza nanaitra ny ambom-pony ity lalana.
Ary taty aoriana dia dokotera, ka anisan’izany ny dokotera Raseta, Ravoahangy Andrianavalona, Raherivelo Ramamonjy sns…     ... Lire le Dossier " 60è anniversaire de 1947 Cliquez-ici 

(Fiainana nanjakan’ny tsindry hazo lena ka tsy nahafahan’ny Malagasy nivoatra tamin’ny lafin’ny fanabeazana)                   


Les Reportages de LaComm' 

... La Culture malgache a toute sa place sur rainizafimanga.com...     Le Dossier "Monet aux Pixels"  cliquez ici  >>>

Cultures du Coeur-ARF

568 places gratuites

 Cliquez-ici  >>

Voyage au bout du monde... 

QUE DIRE DU CEZANNE  ?

 " Croisière sur la Manche"

cliquez ici  >>

Fomba sy Fitenindrazana

Cliquez... Ny Fitenindrazana

cliquez ici  >>

Recette andro gasy

Neny présente pour les Fêtes

Laoka miaro voanio

   cliquez ici  >>

Culture et Voyages

Vanessa & Rojo dans les

  Les 7 merveilles de Rome 

  cliquez ici  >>

Family Média 

La Photo coup de cœur

... et la Pensée du jour >>


les infos du jour - Revenir vers le haut

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Sommaire en haut de page)

Cliquez... Les Archives ...Archives 2002 - 2005

Tantara ity ka tantara...   Lire Les 15  Derniers  MadaVôvô >>

 

 

 

Augustin ANDRIAMANANORO
Réalisateur Multimédia


Ste IMAGES & PRODUCTIONS
Tél. : 06 13 19 92 38
 

 

 

Le 1er site Culturel malgache A l'etranger

www.heli-s-madagascar.fr.st

 

On line

Emission Gasik'Arts

  avec Marie Jo  Le dimanche en direct de 12h00 à 13h30

92.6 FM Toulouse 

  103.7 FM Montauban
107.3 FM Castres Mazamet

Le site Culturel Kolo Kolo

Envoyer à un ami >>

Le site d'Animation ARR...Cliquez

Les détails, les photos, les archives et l'historique des évènements sur Mada sur
"MadaVôvô"
consultable sur
Tous les resultats des competitions  Rubrique Relaxation... Yoga & Sports... Velo... Football...  (click here)
RETOUR AU SOMMAIRE  des MadaVôvô

 Accueil du site ARR

Accueil du site Rainizafimanga

  Accueil du site d'Animation ARR