|
1)-Bonjour,jeune titulaire d'un diplôme de marketing et communication (BAC +4+ expériences), et non épanouie dans mon emploi actuel, j'en recherche un nouveau. Alors, si jamais vous trouvez quelque chose relative à ce domaine, pensez à moi! merci
Contact: Sandiniaina
2)-bonjour !
je m'appelle kanji prisca âgée de 21ans , je suis métisse indienne et malgache , je mesure 1m68, je pèse environ 56kg , yeux marrons , cheveux noirs ,j'aimerai trouver une agence de publicité ou manequin
3)-Je cherche l'âme soeur. Je suis un homme de 50 ans libre et indépendant. Je cherche une beauté malgache. Intelligence supérieure indispensable. Contact: Jean-Luc
4)- Nous louons chambres d'hôte avec petit déjeuner à Tamatave dans propriété bord de mer. Accueil à l'aéroport assuré. Possibilité repas sur place. Contact: Dejouvancourt
Danielle
5)- cherche agences manequin Contact :
RANDRIAMANANTENASOA
|
|
... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
|
Edito
: "Voly vary maro anaka
...
riziculture
qui enfante beaucoup!
"
Le Riz L’aliment essentiel de tout un peuple
135 kg, c'est le poids de riz que consomme un malgache annuellement ! Inutile de vous préciser qu'il est aliment de base de la cuisine malgache. Le plus recherché par les connaisseurs est le riz rouge. C'est un riz entier non blanchi très savoureux et parfumé. Cette céréale est l'essence même de la société malgache. On le retrouve, dès le petit déjeuner, avec les
mokary, petites galettes de riz cuites dans un moule spécial. Elle s'inscrit dans le paysage, et dans le quotidien des malgaches à travers le travail, les fêtes et les repas.
Le SRI (Système de Riziculture Intensive) est un système 100 % naturel, découvert à Madagascar en 1984 par le Père de
Laulanié. Le SRI permet d'accroître très sensiblement les rendements tout en consommant 2 fois moins d'eau et 10 fois moins de
|
semences,
il limite les dégagements de gaz à effet de serre et il préserve la biodiversité.
C'est une vraie solution de développement durable diffusée auprès de 200.000 paysans malgaches et dans 32 pays. ....
"Tefy Saina" est l’association paysanne qui perpétue l’œuvre de Henri de Laulanié, père du SRI. Tefy
Saina, c’est aussi tout un programme pour créer la richesse en milieu rural.
LES SECRETS DU SRI: Les paysans baptisent le SRI de divers noms "Plants de 8 jours", "Plants de 2 feuilles". Mais Voly vary maro anaka (riziculture qui enfante beaucoup) est devenu l'appellation imagée courante.
Durant des siècles, on a cultivé le riz dans beaucoup d'eau comme s'il s'agissait d'une plante aquatique (tels les joncs et les
nénuphars). C'était un moyen pour lutter contre les mauvaises herbes. On repiquait couramment des plants vieux de 1 mois, voire de 3 mois.
Depuis 30 ans, il est vrai, on préconisait à Madagascar le repiquage de plants de 21 jours, en lignes pour le sarclage à l'outil. Ainsi améliorait-on nettement la production.
Mais, alors que dans certains pays la moyenne nationale est de 5 à 7 tonnes de riz à l'hectare, les Malgaches arrivent à peine à dépasser les 2 tonnes.
|

Klikeo eto
|
INCROYABLE: Aujourd'hui, celui qui le veut, peut doubler et même tripler ses rendements, dès lors que l'apport en eau dans sa rizière est maîtisé ......... ou maîtrisable.
Un chercheur japonais, Katayama, avait mis en évidence les merveilleuses possibilités de tallage d'un plant de riz.
Mais son document scientifique délaissé dormait depuis des décennies.
Après la découverte accidentelle d'Antsirabe, le Père Henri de Laulanié prit à cœur d'exploiter ces données théoriques en imaginant de nouvelles techniques rizicoles. Trois ans après leur vulgarisation, il y avait déjà 50.000 riziculteurs à pratiquer le SRI.
L’Etat malgache appuie la diffusion du SRI et a même lancé le concours du meilleur riziculteur, régulièrement gagné par un pratiquant du .......... SRI !!
.
..Lire la suite
Cliquez-ici Nicolas Duriez (Rotary Club Lille-est
Comité Inter-Pays France-Madagascar )
...
Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina", Nicolas
Duriez a répondu à notre appel
de publier des Editos, maintenant à
qui le tour? On vous attend edito men et edito women.
Merci d'avance!
...
Pour
Envoyer un article ou Pour nous contacter
>>
Jeune
Afrique 04/03/2007
Marseille-Tana direct
Air Madagascar confirme sa consolidation à l’issue d’une année 2006 favorable, malgré les surcoûts liés aux dépenses d’hydrocarbures. Parmi les projets en gestation : l’ouverture d’une liaison directe Antananarivo-Marseille au mois d’avril prochain. La compagnie nationale malgache poursuit ainsi l’extension de son réseau entamée en 2004 avec les dessertes de Bangkok (Thaïlande) et de Milan (Italie).
Tribune 02/03/2007
Projet de révision de la Constitution:
Le Sénat est maintenu
Le président Rajemison Rakotomaharo et les sénateurs de Madagascar sortent la tête haute avec la decision du conseil des ministres de maintenir le Sénat dans la Constitution révisée. Reste à savoir si le nombre des membres de cette Institution (90 actuellement) sera à réduire.
Un grand ouf de soulagement pour les actuels et les futurs sénateurs de Madagascar d’une part et pour les 500 employés de Sénat d’autre part. Hier, alors qu’il recevait à son bureau à Mahazoarivo le nonce apostolique, Augustino Kasuja, le premier ministre Charles Rabemananjara a révelé que le Sénat est maintenu dans le projet de texte constitutionnel à soumettre au référendum du 4 avril prochain.
Par ailleurs, le chef du gouvernement a souligné que les dispositions constitutionnelles (article 45) relatives au mandat du président de la République ne feront pas l’objet de modification. Cet article 45 de la Constitution stipule que le président de la République est élu au suffrage universel direct pour un mandat de cinq ans et il est rééligible deux fois. Le président Marc Ravalomanana pourra donc se présenter pour une troisième fois après l’expiration du mandat en cours.
Bref, le président de la République a opté pour la Constitution « B » du comité préparatoire, qui propose la suppression des provinces autonomes et le maintien du Sénat.
Encore des zones d’ombre
Quoi qu’il en soit, des zones d’ombre persistent sur le projet de texte constitutionnel à soumettre au référendum du 4 avril prochain. Un projet que le Conseil des ministres d’avant-hier a adopté.
Plus d’un se demandent pourquoi le pouvoir renonce jusqu’à maintenant (à 19 jours du début de la campagne référendaire) à mettre à la disposition des citoyens, plus précisémment des électeurs, les tenants et aboutissants des amendements apportés à la Constitution révisée. Quid des dispositions relatives aux régions et aux Fokontany ? Les chefs de région seront-ils désignés ou élus ? Quid aussi des éventuelles modifications apportées aux dispositions relatives à
l’Assemblée nationale (de l’article 66 à l’article 75 de l’actuelle Constitution) ? Le nombre des députés seraient-ils à réduire à 118 (au lieu de 160) à raison de un par district ?
Bref, des questions qui attendent urgemment des réponses de l’Exécutif pour que le référendum du 4 avril ne soit pas une parodie de démocratie, une expression utilisée par les évêques catholiques dans leur récent message au peuple malgache.
- Eugène R
wanadoo.mg 02/03/2007

Le
ministre de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche Marius
Ratolojanahary (en lunettes) © Le Quotidien |
Riz: "Pas de panique", selon le Ministre Marius Ratolojanahary du MAEP
Face à une augmentation inopinée du prix du riz, le ministre de l'Agriculture et les opérateurs privés ont donné des explications jeudi.
"Ne paniquez pas, le riz existe", a affirmé le ministre de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche Marius Ratolojanahary, lors d'un point de presse jeudi après-midi.
D'après toujours le ministre malgache de l'Agriculture, il y a des rétentions de stocks. "Dans certains endroits comme dans l'Alaotra (grenier à riz de Madagascar), il y a encore du riz, mais suite aux cataclysmes naturels qui ont engendré de grandes pertes tant au niveau des infrastructures routières qu'au niveau des rizières, il est très difficile d'approvisionner en camion la capitale".
Une solution a été déjà trouvée pour l'acheminement de cette production rizicole d'Alaotra. "Un contrat avec la société d'exploitation de la ligne ferroviaire Madarail est en train d'être conclu pour le transport de cette principale denrée alimentaire malgache vers Antananarivo, Antsirabe et Toamasina", a ajouté M. Ratolojanahary tout en espérant qu'au moins 350 tonnes de riz par jour sortiront de l'Alaotra pour Antananarivo. |
Pour le moment, il est très difficile de trouver du riz sur le marché, et si on en trouve, c'est à un prix exorbitant. En effet, depuis le mois de décembre, le prix du riz sur les marchés n’a cessé d'augmenter, de 10% en moyenne. Actuellement, le kilo du riz local se négocie à plus de Ar 1500. "Avec l'arrivée de cette cargaison de 55.200 tonnes, le prix du riz sur le marché ne devrait pas dépasser les Ar 1000", a affirmé Andriambolonirina Rakotovao, PCA de la Plate-Forme Riz, regroupant 9 entités dont les riziers professionnels.
Madagascar, avec plus de 18 millions d'habitants, est un des pays consommateurs de riz au monde. Mais sa production rizicole n'arrive pas à suivre le taux de croissance annuel de sa population (3,03 %). Alors, le pays importe près de 100.000 tonnes de riz chaque année. Un chiffre qui va être revu à la hausse cette année. "Je crois que l'on va dépasser de très peu ce chiffre cette année", a ajouté M. Andriambololonirina. |
 |
Recueillis par Solofo Andrianjakarivelo
©DTS
Les Nouvelles 02/03/2007
Constitution : le projet B retenu pour le référendum
Le Sénat sera maintenu parmi les institutions de
l’Etat
Les sénateurs ont-ils eu raison du président de la République Marc Ravalomanana ? C’est un peu le cas de le dire, car il semblerait qu’après la rencontre des deux parties, au cours de laquelle les sénateurs ont été consultés sur le projet de révision de la Constitution, Marc Ravalomanana a finalement opté pour le maintien du Sénat parmi les institutions de
l’Etat.
Le conseil des ministres d’avant-hier s’est longuement penché sur cette révision constitutionnelle, et aurait décidé d’adopter le deuxième projet de texte qui a été proposé par le comité préparatoire de la révision de la Constitution, avant de trancher sur la question à soumettre aux électeurs pour le référendum du 4 avril prochain. Ce projet B suggère la suppression des provinces autonomes, tandis que le Sénat sera maintenu.
Néanmoins, le texte officiel émanant du conseil des ministres n’est pas encore sorti. On pense toutefois que cela ne saurait plus tarder. Et d’ailleurs, le conseil d’avant-hier a déjà précisé que ce texte de projet de révision de la Constitution sera diffusé incessamment.
En ce qui concerne les provinces autonomes, leur suppression est pratiquement acquise. Plusieurs arguments ont été avancés par les sénateurs, entre autres leur trop grande superficie qui rend leur gestion plus ou moins difficile.
Hier, le co-président du comité préparatoire, Honoré Rakotomanana qui à l’époque, a siégé au sein du comité pour la révision constitutionnelle de 1999 visant l’institution des provinces autonomes, n’a pas caché que le fiasco de ces dernières tient au niveau des transferts de compétences, des moyens et des ressources. «Ces transferts auraient dû être effectués concomitamment, mais les choses se sont passées autrement . En tout cas, il n’y a jamais eu de transfert des ressources des provinces autonomes, et c’est ce qui a abouti à leur échec… Je pense qu’avec les régions, ce ne sera plus le cas».
Cette trop grande étendue des provinces autonomes est effectivement difficile à gérer. Certaines régions d’une même province sont plus ou moins enclavées et risquent d’être délaissées au profit des autres.
Un développement de proximité
C’est ce qui justifie dans une certaine mesure, le souci de Marc Ravalomanana qui prône un développement de proximité en renforçant les moyens des différentes structures décentralisées actuelles, depuis les fokontany jusqu’aux régions en passant par les communes et les districts.
Un tel développement de proximité semble plus facile à gérer et à contrôler.
Pour en revenir au maintien du Sénat, on chuchote que son rôle et sa mission n’ont pas subi de grand changement. Ce maintien a été confirmé hier par le Premier ministre Charles Rabemananjara qui a reçu en audience le Nonce apostolique, Augustine
Kasuja.
Par contre, on envisagerait de réduire le nombre des sénateurs dont les deux tiers restent élus en nombre égal dans chaque région, et le tiers désigné par le président de la République. Le mandat de ces derniers serait également réduit au même que celui du président de la République, c’est-à-dire cinq ans.
Quoi qu’il en soit, les partisans du maintien du Sénat devraient se réjouir de cette vraisemblable décision du conseil des ministres. Tandis que ceux des provinces autonomes devraient peut-être attendre leur consolation pour une autre occasion.
Sur un autre plan, on dit que le Sénat avec l’Assemblée nationale constitue une expression de la démocratie dans le pays. Et cette démocratie a toujours été une exigence des bailleurs de fonds internationaux. Il reste à savoir, quelle majorité sortira du scrutin ? Mais le maintien du Sénat est déjà un avantage pour l’initiateur de cette révision de la Constitution.
Miadana Andriamaro
Madagascar-actuel.info
27/02/2007
Le sinistre est déclaré
:« Anita », « Bondo », « Clovis », « Dora », « Enok », « Favio » sont passés et ont laissé des
traces
7 personnes décédées, 32695 sinistrés, 96 146 hectares de rizières inondées, 7855 sans abri et nombre d’infrastructures dévastées. Ce sont les conséquences des intempéries qui ont frappé la Grande Ile depuis la fin de l’année. Menacé maintenant d’une insécurité alimentaire, de crise des logements et de prolifération des maladies, le pays ne peut que faire appel à la solidarité
inernationale.
Une pluviométrie excessive
Depuis décembre 2006. « Anita », « Bondo », « Clovis », « Dora », « Enok », « Favio » sont passés et ont laissé des traces. Sans parler de la pluviométrie qui est supérieure à la normale dans presque toute l’île. A 350% par rapport à la normale à Maintirano par exemple.
Le nombre des sinistrés, c’est à dire les gens qui doivent attendre que les eaux se retirent de chez eux pour pouvoir rentrer, continue d’augmenter qu’ils sont maintenant à 32 695.
Il y a également les 7855 sans abri qui ont carrément perdu leur maison d’habitation. En outre, les fortes pluies ont meurtri l’agriculture : 96 146 ha de rizières sont inondées. Sans passer sous le silence les pertes sur l’infrastructure : au niveau des ports, comme à Mahajanga. Des écoles, des habitations, des locaux administratifs tels à Nosy Varika.
Des routes sont aussi coupées, tel le cas au niveau de la Route Nationale 6, et les ponts qui sont fortement endommagés, comme le pont de Pomay entre Malaimbandy et Morondava.
Enfin et non des moindres, des chemins de fer du réseau Nord ont été touchés. Il s’agit des lignes ferroviaires qui relient la capitale à Toamasina (Tce), la capitale à Antsirabe ( TA) et Moramanga à Ambatondrazaka
(Mla).
7 morts
Sur le plan humain, 7 personnes ont décédé. Le décès est dû principalement à l’ effondrement des maisons ou des mûrailles ou simplement à la montée des eaux. Des maladies épidémiques menacent aussi un grand nombre. Et sur le plan économique, on constate déjà la pénurie et la hausse des prix des Produits des Premiers Nécessités dans tout le pays.
Il faut 488 milliards
d’Ariary
Une somme de 242 682 353 de dollars, soit environ 488 milliards d’Ariary serait nécessaire pour un entier redressement.
Un appel à la solidarité devant la communauté internationale a été lancé hier dans les locaux de la Ministère des Affaires Etrangères.
5,8 millions de dollars seraient nécessaires pour l’aménagement de 40 hectares. C’est la surface indispensable pour héberger les sans abris dans les prochains jours. Les sans abris, qui ont fait et ont habité dans des constructions interdites et illicites.
Reconstruire des bâtiments administratifs aussi
Quant à la réhabilitation des bâtiments administratifs, il faut 2,9 millions de dollars. Bref, les coûts estimatifs de tous les besoins s’affichent à une somme de 242 682 353 dollars, équivalent à environ 488 milliards d’Ariary.
Elle sera approximativement répartie comme suit : 80 millions de dollars pour le Ministère des Travaux Publics, 16 millions de dollars pour le Ministère des Transports et du Tourisme, 7 millions de dollars pour le Ministère de l’Education Nationale et de la Recherche Scientifique, 47 millions de dollars pour le Ministère de l’Agriculture, 18 millions de dollars pour l’Aménagement du Territoire,
56 millions de dollars pour le Ministère de la Santé et 16 millions de dollars pour le Bureau National de la Gestion des Risques et des Catastrophes (ex Cns).
La France en premier
L’Ambassadeur de France, Alain le Roy a dit que la France octroie 700 000 euros, soit environ 1 milliard 800 millions d’Ariary pour faire face à l’insécurité alimentaire. Quant aux autres partenaires, ils ont tous promis de se pencher sur le sinistre.
www.madagascar-tribune.com

|
Cliquez
sur TetezamitaKely
 |
"Les
'Grands' parlent d'idée
les 'médiocres'
parlent d'évènements
les 'misérables'
parlent contre les personnes..."
|
Aujourd'hui
un cadeau..."
|
Clikeo ny
2CV
mena |
|

|
allAfrica
04/03/2007
Madagascar: Révision constitutionnelle - le gouvernement ne dispose plus des forces armées
- Midi
La physionomie du chapitre II de la loi fondamentale relatif au gouvernement n'a pas été épargnée par l'opération de toilettage. Dans la Constitution actuellement en vigueur, l'article 61 stipule que « le gouvernement dispose de l'Administration et des Forces armées ». Dans la version amendée, l'article 62 dernier alinéa précise que « le gouvernement dispose de l'Administration d'Etat ».
En somme, on a ajouté le «d'Etat » pour enlever par contre « et des Forces armées ». Aussi général de corps d'armée qu'il soit, le successeur de Jacques Sylla, ne dispose plus de la Grande Muette dont le chef suprême reste le Président de la République. La défense faisant partie des domaines réservés du chef de
l'Etat.
Autorité
Par ailleurs, l'article 63, alinéa 1er prévoit que « le Premier ministre, chef du gouvernement, conduit la politique générale de l'Etat ; il dirige l'action du gouvernement et est responsable de la coordination des activités des départements ministériels ». L'alinéa 1er de l'article 64 (nouveau) est plus nuancé car le PM ne la conduit plus, mais « met en oeuvre la politique générale de l'Etat ». Quant à l'alinéa 2 dudit article, il dispose que le Premier ministre « a autorité sur les membres du gouvernement dont il dirige l'action, et est responsable de la coordination des activités des départements ministériels ainsi que de la mise en oeuvre de tout programme national de développement ». Le « a autorité sur les membres du gouvernement » a le mérite de lever toute équivoque sur le cas du ministère auprès de la Présidence chargé de la Décentralisation et de l'Aménagement du Territoire qui n'échappe donc pas au ressort de
Mahazoarivo.
Le même alinéa 2 réitère la fonction d'exécutant du Premier ministre qui est responsable « de la mise en oeuvre de tout programme national de développement ». Le dernier alinéa de l'article 64 d'ajouter qu' « il (le PM) assure le développement équilibré de toutes les régions ». Des dispositions plus fermes par rapport à l'avant-dernier alinéa de l'ancien article 63 qui se limitaient à édicter qu' « il s'efforce de promouvoir le développement équilibré de toutes les provinces autonomes ».
Sécurité
L'autre amendement important opéré au niveau des prérogatives du Premier ministre porte sur la question de la sécurité. L'article 63 (ancien), alinéa 9, prévoit effectivement qu' « il assure la sécurité publique et le maintien de l'ordre dans le respect des libertés fondamentales et des droits de l'Homme ; à cette fin, il dispose de toutes les forces chargées de la police, du maintien de l'ordre , de la sécurité intérieure et de la défense ».
Autre formulation avec l'article 64 (nouveau), alinéa 9 qui stipule que le Premier ministre « assure la sécurité, la paix et la stabilité sur toute l'étendue du territoire national dans le respect de l'unité nationale ; à cette fin, il dispose de toutes les forces chargées de la police, du maintien de l'ordre, de la sécurité intérieure et de la défense ».
Force est de constater que « le maintien de l'ordre » cède la place à « la paix et la stabilité ». Idem pour « le respect des libertés fondamentales et des droits de l'Homme » qui s'est effacé ou a été effacé au profit de « l'unité nationale ».
Midi Mada 02/03/2007
CONSTITUTION. Les nouveaux amendements constitutionnels créent de nouvelles conditions pour les futurs candidats à la présidence de la République. Il leur faudra être «de nationalité malagasy d’origine par le père et la mère».
L’Etat laïc disparaît
Il y a à boire et à manger dans le nouveau projet de Constitution du président Marc Ravalomanana. La presse et le conseil chrétien des églises en ont eu la primeur hier à
Ambohitsorohitra. En dehors de la disparition programmée des provinces autonomes, le projet consacre aussi la fin prévisible de la laïcité de l’Etat.
NR
Le Fokonolona et le Fokontany font également leur entrée en préambule. Mais ils ne font pas partie des collectivités territoriales décentralisées ! Celles-ci sont constituées par les Régions et les Communes (titres 5, chap 2 et 3). Le malagasy reste la langue nationale tandis que l’anglais va devenir la troisième langue officielle aux côtés du malagasy et du français (art. 4 dernier alinéa). Concernant les partis, le constituant a inventé la notion de «droit d’opposition démocratique qui est reconnu aux minorités» (art 14 dernier alinéa). Une entorse à la liberté de grève est introduite à l’article 33 qui reconnaît le droit de grève tout en le nuançant par la mise en place du «principe de continuité du service public».
Immunité réduite
Dans l’organisation de l’Etat, le projet garde les trois fonctions : exécutive, législative et juridictionnelle (art 41). Concernant le président de la République, la grande nouveauté réside dans le fait que «tout candidat aux fonctions de président de la République doit être de nationalité malagasy d’origine par le père et la mère (art 46). En outre, tout candidat devra «résider sur le territoire de la République de Madagascar au moins six mois avant le jour du dépôt de candidature» (même article). Le président pourra dissoudre
l’Assemblée nationale pour des causes déterminantes et il peut encore le faire «dans les 12 mois qui suivent l’élection des nouveaux députés» (art 59). Pour leur part, les parlementaires deviennent tout simplement sénateurs et députés tout courts et non plus sénateurs ou députés de Madagascar (art 67 et 77). Le député est «astreint à l’obligation d’assiduité. En cas d’absence injustifiée, l’indemnité est supprimée de plein droit» (art 68 alinéa 4). Son immunité est réduite par l’article 70 alinéa 2 disant «qu’aucun député ne peut, pendant la durée des sessions, être arrêté, en matière criminelle ou correctionnelle, qu’avec l’autorisation de l’assemblée, sauf s’il est surpris comme auteur, coauteur ou complice d’un crime ou d’un délit au moment des faits». «La durée de chaque session est fixée à 60 jours,… ; la seconde session, consacrée principalement à l’adoption de la loi de finances, commence le troisième mardi d’octobre» (art 72). Le mandat de sénateur est ramené à 5 ans (art 77). «Le sénat comprend, pour deux tiers, des membres élus en nombre égal pour chaque Région et pour un tiers nommés par le président de la République» (art 78). Ce sont les principaux amendements à la Constitution proposés au vote des électeurs.
allAfrica 02/03/2007
Madagascar: Football, vers un nouveau duel entre David et Goliath !
- Midi Madagasikara (Antananarivo) - Clément Rabary
Le monde du ballon rond est en effervescence depuis l'arrivée sur notre sol des egyptiens
d'ismaïlia, de très grande taille et autant le dire, très impressionnants.
Et si l'histoire pouvait se répéter au point de voir aujourd'hui ce petit David de l'Ajesaia, prendre le dessus devant le Goliath égyptien d'Ismaïlia ? C'est en tout cas ce qu'on souhaite tant les Egyptiens qui ont débarqué, hier, de l'avion en provenance de Nairobi, culminent dans l'ensemble à plus de 180 cm.
Des joueurs de très grande taille et sans nul doute très agressifs venus, comme ils le disent, pour s'offrir une victoire déjà synonyme de qualification car ils pensent qu'ils resteront imbattables chez eux.
Ismaily Sporting Club estime avoir les moyens de gagner son duel contre l'Ajesaia pour la simple et bonne raison qu'il se sent de taille à reconquérir le titre africain qu'il a déjà gagné en 1969. A cela une raison, une seule, le club a cassé sa tirelire pour s'offrir depuis novembre dernier les services de l'entraîneur français, Patrice Neveu. Il est en grande forme comme l'atteste sa seconde place au championnat égyptien où figurent pourtant des clubs mythiques comme Al Ahly et
Zamalek.
Bref, Ismaily a tout l'air d'un géant. Mais loin de faire peur aux protégés de Jeremia Randriambololona, cela les motive car l'entraîneur de l'Ajesaia qui faisait bien partie de la formation qui est allée contraindre les Pharaons au partage sous les pyramides, est persuadé que la petite taille de ses joueurs n'est pas un handicap et que tout serait question de mobilité et de vitesse.
En clair, l'Ajesaia qui reprend ses blessés, Bolida et Yvan, ne perd pas espoir de venir à bout de ces géants égyptiens avec l'aide du public. Et une fois de plus, le duel d'anthologie tournera à l'avantage du petit David face à Goliath.
Midi Mada 02/03/2007
JUSTICE. La compétence, l’indépendance et l’impartialité doivent guider les nouveaux magistrats et greffiers.
« Réforme primordiale »
Cérémonie de sortie et de remise de diplôme, hier, à
l’Ecole Nationale de la Magistrature et des Greffes (ENMG), à Tsaralalàna. Ils étaient 93 dont 44 élèves magistrats et 49 élèves greffiers, à venir grossir les rangs de la grande famille judiciaire. Ils appartenaient à la 8ème promotion (2004) des magistrats, filière judiciaire « Fanjiry », la 4ème promotion (2004) des magistrats, filière administrative « Filamatra » et la 4ème promotion (2004) des magistrats filière financière « Arovola ».
DR
Ainsi, que des élèves greffiers, promotion 2005 «Tafita ». L’arrivée de ces nouveaux magistrats et greffiers va rajeunir davantage le corps judiciaire. Dans son allocution, madame le ministre de la Justice, Lala Ratsiharovala, a déclaré qu’une réforme profonde de la justice est primordiale. Elle s’est référée à cette occasion au MAP, tout en mentionnant la place primordiale de la justice dans la construction de l’Etat de droit.
Impartialité
Lors de son intervention, le Directeur Général de l’ENMG, Bakolalao Ramanandraibe, a mis l’accent en matière de discipline et que les manquements à l’éthique seront sanctionnés. Selon cette dernière, la compétence, l’indépendance et l’impartialité doivent guider ces nouveaux magistrats et greffiers. Par ailleurs, elle estime que l’efficacité de la justice est liée à l’intégrité des magistrats. Et que cela renforce l’Etat de droit. Le D.G a également profité de l’occasion pour parler du Conseil Supérieur de la Magistrature. Le CSM a pour rôle, entre autres, le recrutement, l’affectation et les mesures disciplinaires, à l’égard des magistrats. Tout en signalant au passage que pour ce conseil, l’autonomie financière n’existe pas encore.
Express
28/02/2007
Consommation: Le
riz disparait du marché
Comme il fallait s’y attendre, la spéculation a
fini par faire disparaître le riz sur le marché. A Antananarivo comme
dans d’autres villes, à l’instar de Fianarantsoa, cette denrée précieuse
est soit introuvable, soit vendue à prix d’or.
 |
Les grossistes et demi-grossistes en riz sont réticents à vendre
ce produit de première nécessité. Ils dénoncent le monopole qui fait
souffrir la population tananarivienne.
La
crise du riz, comme lors de l'après-cyclone Géralda, risque de réapparaître
dans la Grande île. Dans beaucoup de provinces, le kilo de cette denrée
alimentaire connait une hausse vertigineuse.
De nombreux commerçants et demi-grossistes ont arrêté depuis quelque
temps d'en vendre dans la capitale. D'Ambohitrarahaba à Andoharanofotsy,
d'Ivato à Ambohimangakely, les étals sont désespérément vides.
"J'ai fait toutes les échopes ce matin, il n'y en a que deux qui
vendent des brisures à 1 300 ariary le kilo. Et je n'ai eu droit qu'à
cinq kilos", déplore Germaine Rasoangita, mère de famille vivant à
Sabotsy Namehana. Son calvaire est partagé par de nombreuses femmes de ménage. Depuis deux jours, le riz a
disparu du marché.
|
Les détaillants et les demi-grossistes mettent à l'index le monopole
dans ce secteur. "L'approvisionnement en riz devient un business
risqué. A l'heure actuelle, il est rare de trouver un sac de 50 kilos à
moins de Ar 70 000, un prix déjà élevé. Or, le revendeur se doit de le
céder à Ar 63 000. D'où ce semblant de pénurie. Une situation qui
n'est pas du goût ni du consommateur, ni du revendeur ", souligne un
grossiste d'Analakely, un de ceux qui ne vendent plus de riz.
"Le problème, qui ne date pas d'hier, réside dans l'absence de
concurrence. Seuls les grossistes qui détiennent des stocks peuvent
encore en vendre", ajoute Radadafara, un autre grossiste d'Isotry. La
plupart des détaillants interrogés précisent que la société Magro
vend le riz pakistanais en stock tampon à Ar 55 000. "Mais elle ne délivre
que deux sacs de 50 kilos par acheteur", souligne un responsable auprès
du grand magasin Albert à Analakely.
Grogne des clients
Face à cette situation, le consommateur qui prend trois repas à base de
riz par jour se trouve préoccupé. Ramada, une femme qui doit nourrir
cinq personnes, n'achète plus qu'un kilo contre dix auparavant à chaque
fois qu'elle vient au marché.
"La grogne monte du côté des clients. Il faut dire que le prix du
kapoaka augmente chaque jour", soupire un détaillant des pavillons
d'Analakely. Certains commerçants, qui vendent le kilo du riz Makalioka
à Ar 2000 et le riz pakistanais à Ar 1600, mentionnent seulement le type
du riz, et non son prix. Au niveau des demi-grossistes, vendre le sac de
50 kilos à Ar 70 000 n'est plus de mise.
Un grossiste renommé dans ce commerce avance pourtant: "Le bâteau
apportant du riz importé est déjà arrivé à Toamasina, lundi. Nous y
étions pour en acheter. Le sac de 50 kg nous coûte Ar 58 000, pour le
revendre à perte à Ar 1000 le kilo".
Ce grossiste semblait très sûr de ce qu'il dit, concluant que le riz
abondera sur le marché d'ici quelques jours. En attendant, les ménages
broient du noir. Beaucoup accusent les grossistes de spéculation.
"Chaque fois qu'il y a un cyclone, ils en profitent pour faire de la
rétention de stock et majorer le prix", assène Georgine Ravelontsoa,
de Tanjombato. Eternelle polémique.
Fanja Saholiarisoa
allAfrica
04/03/2007
Madagascar: Un nouveau code de la route en cours de finalisation
Alcool, taxi-be, bicyclettes, scooters, charrettes à bras, mis à l'index
L'insécurité routière s'aggrave. La fréquence des accidents de la circulation a connu une augmentation très significative en passant de 1500 à 1782 cas de 2005 à 2006. La route tue de plus en plus puisque le nombre de ses victimes s'élève à 437 en 2006 contre 368 décès en 2005.
A Tana, la conduite en état d'ivresse, les taxi-be, les bicyclettes, les scooters, les charrettes à bras sont les premiers « générateurs » d'accidents de la circulation, déplore le commissaire central Francis
Randrianatoandro.
C'est justement ce constat d'insécurité routière grandissante qui a poussé le ministère des Transports à adopter les nouvelles dispositions récemment publiées dans l'arrêté No.952 du 16 janvier 2007, a souligné Sarobidy Tsohara, directeur des Transports terrestres, au cours d'un point de presse tenu hier à
Anosy, avec des responsables concernés par la régulation de la circulation, notamment la gendarmerie et la police.
En fait, ces soi-disant « nouvelles mesures » sont des dispositions figurant déjà dans l'actuel code de la route, mais dont l'application n'a jamais été effective. Elles ont donc été remises au goût du jour pour que le pays se mette, enfin, en conformité avec les normes internationales. Ainsi, sous peine d'amendes ou de mise en fourrière suivant l'infraction commise, les motocyclistes, les vélomotoristes sont obligés de porter des casques ; tous les cycles devraient obligatoirement être pourvus d'éclairage et de dispositifs réfléchissants visibles de l'arrière ; les conducteurs ne peuvent plus téléphoner, même en se servant d'un kit mains libres ; les enfants de moins de 5 ans ne doivent plus être placés sur les sièges avant des véhicules et les passagers assis à l'avant, conducteurs compris, doivent obligatoirement porter une ceinture de sécurité ; et les vitres des véhicules appartenant à un citoyen lambda ne doivent plus être « fumées ».
Certaines de ces nouvelles dispositions doivent être appliquées immédiatement. Toutefois, le ministère des Transports, en collaboration avec les autorités routières se donne, à partir de la semaine prochaine, un temps de sensibilisation. « La sécurité n'est pas négociable». Aussi le code de la route, datant de 1962, est-il en ce moment remis à jour, - et sera soumis aux parlementaires à leurs prochaines sessions -, pour se conformer aux réalités actuelles.
-
Midi Madagasikara (Antananarivo)-
Vola Andriamanana
vttm47.blog.fr
25/02/2007
Vondron'ny tia tanindrazana mpiady tamin'ny 29 martsa 1947-
par vttm47
Nandritran’ny 60 taona nanjakan’ny frantsay teto
Madagasikara, dia enjika sy fanabotriana, ary fampijaliana feno habibiana no nihatra tamin’ireo nanohitra
azy.

agrandir
la photo Klikeo
eto
>>
|
Teo koa ny asa
an-terivozona, ny lahasa tsy misy karama, ny asa 30 andro izay asa tsy maintsy ataon’ny tovolahy feno 18
taona, ny karatra isan-dahy izay aloa isan-taona, miampy ny fanadiovana ny
arabem-panjakana. Fa ny tena loza dia ny SMOTIG, manao làlana ,
tetezana, tonelina, indrindra fa ny làlam-by mampitohy an’Antananarivo sy
Toamasina, Antananarivo sy Antsirabe, Fianarantsoa Manakara. Tao koa ireo tranom-panjakana isan-karazany etc… Fa maro tamin’ireo mpiasa no matin’ny hanoanana nohon’ny tsy fahampiana
sakafo, ary mba hialana amin’izany dia nandositra ny tanàn-dehibe mba tsy
voaantso. Ny ankizy mianatra tamin’izany dia vitsy fa nampiasan’ny colons amin’ny karama varimasaka ny
ankamaroany, fa ny zanaky ny manan-katao ihany no afaka mankany
an-tsekoly. Taty aoriana dia nisy sekoly naorin’ireo misionera catholique sy misionera
protestanta, anglikana, teo koa ny sekolim-panjakana, ny Ecole regionale isaky ny provinces
enina.
Ireny rehetra ireny dia namoaka ankizy vita fianarana araka ny sokajy sy lalana napetraky ny fanjakana
Frantsay, izay
nomeny anarana c.e.s.d (Cours Elementaire du Second Degré ), fari-pahaizana ambony indrindra azon’ny Malagasy
ratovona. Tsy kivy anefa ny Malagasy fa vao maika aza nanaitra ny ambom-pony ity
lalana. Ary taty aoriana dia
dokotera, ka anisan’izany ny dokotera Raseta, Ravoahangy
Andrianavalona, Raherivelo Ramamonjy sns… ...
Lire le Dossier " 60è anniversaire de 1947"
Cliquez-ici
|
(Fiainana nanjakan’ny tsindry hazo lena ka tsy nahafahan’ny Malagasy nivoatra tamin’ny lafin’ny
fanabeazana)
Echo
du Capricornes 02/03/2007
INVITATION
: Les Amis des Echos du Capricornes
vous invitent cordialement au
Marché poétique malgache, des Afriques et d’Ailleurs, 2ème édition
Manifestation culturelle autour du thème ’Le hainteny et l’amour’
: Dimanche 4 mars 2007 de 15h à 22h
: Salle PATIO de la Mairie de Cachan
RER B Arcueil Cachan – BUS 187, 162, 184 (Arrêt Mairie de Cachan)
En ouverture du Festival Printemps des poètes des Afriques et d’Ailleurs – 4ème édition
du 4 au 17 mars 2007
Avec la participation des poètes, écrivains, musiciens et artistes : Aina, Andamioly, Antsiva, Marius Fontaine (Fenoamby), Fx-Maha, Hanitr’Ony, Ibana Rahalahy, Fredy Jaofera, Michel Randria, Milon Kazar, Nath & Day, Pierre Pelletier, Roland, Raoul Rabemananjara, Lalao Rabeson, Francine Ranaivo, Abel Andriarimalala, Raharimanana, Soavina Ramaroson, Aurore Voahangy …
Fandrotrarana amoron-dalana aho
Tsy mamingana anao mba ho lavo
Fa misakana anao mba hiresaka |
Je suis le chiendent au bord de la route
Je n’arrête pas vos pieds pour vous jeter à terre
Je vous retiens pour que nous parlions |
Hainteny, recueillies et traduites par Jean Paulhan – 1913
Au programme (*)
Expositions et
ventes
A partir de 15h et jusqu’à 19h
Artisanats, stand librairie : livres de poésies des poètes présents, dictionnaires, beaux livres sur Madagascar, nouveautés…
Tableaux de photographies de Soavina Ramaroson et de Pierre Pelletier.
Baobab à poèmes
Ateliers:
15h30 -16h : Initiation à la poésie pour les enfants à partir de 7 ans
15h30 -16h30 : Atelier de traduction de hainteny
· 15h30-18h30 : Atelier de création de hainteny avec Raharimanana |
16h – 16h30 : goûter des enfants
16h30 – 18h30 : Parloir libre et présentation des résultats d’ateliers
A partir de 18h30 : souper malgache
20h-22h : Tout public
Nuit de la poésie malgache, des Afriques et d’Ailleurs |
Manifestation organisée par l’Association des Amis des Echos du Capricorne,
Association culturelle et de soutien aux émissions radiophoniques Echos du Capricorne et Zooma Capricorne;
Madagascar sur les ondes parisiennes - F.P.P. 106.3 FM
Renseignements / réservations au souper malgache: Claudia SOLOFOLANDY 06 66 19 54 67
claudia@echoscapricorne.org
(*) Programme sous réserve : mise à jour sur : www.echoscapricorne.org
Les
Reportages de LaComm'
... La Culture malgache
a toute sa place sur rainizafimanga.com...
Le Dossier
"Monet aux Pixels"
cliquez ici
>>>
Cultures
du Coeur-ARF

568
places gratuites
Cliquez-ici
>>
|
Voyage au bout du monde...
QUE
DIRE DU CEZANNE ?
"
Croisière sur la Manche"
cliquez ici
>>
|
Fomba
sy Fitenindrazana
cliquez ici
>>
|
Recette
andro gasy

Neny
présente pour les Fêtes
Laoka
miaro voanio
cliquez
ici >>
|
|
Culture
et Voyages

Vanessa
& Rojo dans les
Les 7 merveilles de Rome
cliquez ici
>>
|
Family
Média
La
Photo coup de cœur
... et
la Pensée du jour
>>
|
|
|