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L'amour est le plus beau sentiment qui dévore nos coeurs avec ardeur, surtout quand nous fermons les yeux et le paysage de ce pays nous hante et nous berce, alors l'espoir renaît que cette année sera la meilleure"
Ny vohitra salovan’ireo lavaka
Simba, rotika noho ny hetraketraky ny olona
Ireo lohasaha mavana rotsian’ny rian-drano
Ny ala maintso kitroka miangola tena lafatra
Ilay lalankely lalina sahondran’ny rotsa-kazo feno hagagana
Misy dobo tarafin’ny loko maitso mavana
Mitaratra ao koa ny aloky ny hendry avy anaty tany
Hivohizako ily hafatra feno
fitiavana.
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Ilay tanana
mitokana, tsotra nefa mihaja
Amin’ny tafo bozaka milanto sy malefaka
Ny loko volontany
Itarafana ny vary masaka mavo eny an-tanimbary
Misy hafatry ny ho avy sy ny
mandrakizay.
Raha ho tonga iny alina
Ka ho tony koa ny mponina
Mody hatory koa ny masoandro
Lasa ny rahona arahim-peom-baliha
Mikiaka ny rivotra any an’ala
Emma RAZAFITSEHENO
(Ankilizato Morondava )
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Traductions
par l'Auteur
Le
Quotidien 02/02/2007
KMSB:
“Le rôle des fokontany devrait être déterminé par la Constitution”
Le Kmsb félicite l’initiative du Chef de l’Etat de remettre les fokontany à la place qui leur revient dans le processus de développement. Il suggère même que le rôle des fokontany en tant que collectivités territoriales décentralisées doit être clairement déterminé par la Constitution. Par ailleurs, le Kmsb estime que les Chefs de Fokontany devraient être élus par la population. En outre, les Plans Communaux de Développement (Pcd), les Plans Régionaux de Développement (Prd) et le Map (Madagascar Action Plan) devraient être réalisés à partir des plans de développement des fokontany. Ceci conformément à la démarche ascendante.
Recueillis par Ndrasana
Wanadoo.mg
05/02/2007
La déshydratation et ses dangers.
Les personnes âgées et les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables face à la déshydratation et à ses préjudices.
Quelques conseils pour préserver votre santé.
Buvez au moins 8 verres d'eau par jour, mais pas de l'eau glacée
8 verres d'eau :
Un verre d'eau correspond environ à 100ml d'eau. Ne consommez pas moins de verres d'eau chaque jour pour vous préserver des dangers de la déshydratation. Passez notamment outre des problèmes d'incontinence si vous y êtes sujet !
Système de compensation
L'augmentation de la température corporelle, de même que la réduction des apports hydriques d'origine alimentaire, doit être contrebalancée. Ainsi, absorbez 500ml d'eau supplémentaires si la température de votre corps passe à 38°C.
Conseils pratiques
Ne vous fiez pas à vos sensations. Contraignez-vous à boire régulièrement : n'attendez pas de ressentir les premiers effets de la soif pour le faire.
Evitez les aliments et les boissons trop glacés. La prompte sensation de fraîcheur qui suit leur consommation est trompeuse, la soif reviendra rapidement...au galop !
Sylvie R. ©Le Quotidien
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allAfrica
05/02/2007
Madagascar: MCA, 255.000 ha de terrains sécurisés en 2009
Le président du MCC, John Danilovich, très satisfait, se portera ambassadeur de Madagascar auprès du congrès américain pour l'obtention du « Compact II».
Seuls 10% des terrains sont titrés à Madagascar. Pourtant, la sécurisation foncière est primordiale à l'attrait des investissements dans le secteur agricole. Le programme MCA, depuis un an de sa mise en oeuvre, a déjà apporté des résultats palpables à ce sujet.
En effet, les inventaires des documents fonciers archivés dans les services des domaines, y compris la direction centrale, ont été finalisés, selon Emma Ralijohn, DG du MCA. L'informatisation de ces dossiers est aussi en cours, outre l'installation des guichets fonciers communaux. En 2009, près de 255.000 ha de terrains seront sécurisés avec la création de 250 guichets fonciers communaux, dont 21 seront opérationnels en juin 2007, a-t-on appris.
Premier pays
Le président du Millenium Challenge Corporation, l'Ambassadeur John Danilovich, en visite au pays, a constaté de visu ces impacts positifs, en se rendant, à Ambatofinandrahana, accompagné d'une forte délégation. Madagascar est le premier pays à avoir signé le « compact » d'une somme de 110 millions USD en présentant son propre programme et c'est le premier parmi les 16 pays éligibles ayant pu tirer des résultats satisfaisants, a-t-il annoncé. Parmi les 21 coopératives bénéficiaires à Ambatofinandrahana, certains membres deviennent les vrais propriétaires de leurs terrains, via des certificats fonciers. En outre, le MCA a appuyé leurs dossiers pour obtenir des crédits de la BOA, avec un taux préférentiel de 1,7% par mois au lieu de 3% en vue de lancer la production de maïs, a témoigné Naivonjato Andrianiaina, paysan. L'entreprise mauricienne LFL s'engage à prendre leurs récoltes à un prix sur le marché, à destination d'une provenderie. Ambatofinandrahana produit 12.000 tonnes de maïs sur 8.000 ha exploités, loin de satisfaire la demande locale, a souligné le ministre de l'Agriculture, Marius Ratolojanahary, lors de la cérémonie. Il incite ainsi les paysans à produire davantage tout en respectant les normes afin de percer le marché régional.
Nouveau programme
eurs, une autre coopérative à Soavina-Ilaka Centre, a choisi de planter pour la première fois le géranium au lieu du manioc, avec l'appui du MCA. « Nous gagnerons un revenu de Ar 2 millions/ha en 4 mois contre Ar 400.000 en 1 à 2 ans en cultivant le manioc », dixit Rakotozafy Randriampionona, planteur. L'Homéopharma achètera leurs récoltes. Six centres d'affaires agricoles sont aussi installés permettant aux producteurs et PME d'accéder aux informations sur le marché. Des critères d'éligibilité sont imposés chaque année à Madagascar. L'Etat fera ainsi davantage preuve d'une bonne gouvernance sur l'utilisation à bon escient du fonds du MCA en montrant des impacts directs, selon le ministre Marius Ratolojanahary. En attendant le vote de la loi sur l'octroi du « compact II » par le congrès américain, l'Etat présentera bientôt son nouveau programme, en tant que pro-actif, a-t-il conclu.
Midi Madagasikara (Antananarivo)- Navalona R.
Le Monde.fr 01/02/2007
Un beau-frère de Ben Laden tué par balle à Madagascar
Un homme d'affaires saoudien, beau-frère d'Oussama ben Laden, a été tué par balle par des inconnus à Madagascar, a annoncé son frère mercredi.
Jamal Khalifa, qui travaillait dans le commerce des pierres précieuses, "a été tué de sang-froid en plein sommeil, quand une bande armée d'une trentaine de personnes a attaqué sa chambre", a déclaré Malek Khalifa à la chaîne satellitaire arabe Al-Arabiya, basée à Dubaï.
Les assaillants ont volé toutes les affaires de Khalifa, a ajouté son frère, qui s'exprimait au téléphone depuis la ville saoudienne de Djeddah, sur la mer Rouge.
Selon des sources non précisées citées par la chaîne, des hommes armés ont attaqué mercredi à l'aube une mine de pierres précieuses dont Khalifa était propriétaire et l'ont tué, emportant des documents et d'autres biens.
Malek Khalifa a soutenu que son frère n'entretenait aucune relation avec ben Laden, bien qu'il soit un beau-frère par alliance du chef d'Al-Qaïda qui a été déchu de sa nationalité saoudienne et déshérité par sa famille.
"Il n'avait aucune relation avec Oussama ben Laden (...) son groupe ou tout autre groupe", a dit Malek
Khalifa.
Le ministère saoudien des Affaires étrangères a publié mercredi un communiqué exprimant "le profond regret et le malaise" suscités par l'assassinat du citoyen saoudien à Madagascar.
Un responsable anonyme cité par l'agence officielle SPA a ajouté que "le ministère avait contacté les autorités à Madagascar par le biais de l'ambassade saoudienne en Tanzanie pour être informé des circonstances de cet acte criminel" et qu'il avait également demandé le rapport du médecin légiste.
"L'ambassade en Tanzanie a contacté la famille de la victime pour faciliter le rapatriement de son corps", a ajouté la même source.
RFI 01/02/2007
La cigarette au travail, c'est fini
A partir d'aujourd'hui, il est totalement interdit de fumer dans les lieux publics et dans les entreprises. La productivité des salariés est-elle en question ? Réponse ce jeudi.
Des sanctions à la clé
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Qui va verbaliser les fumeurs indisciplinés dans les entreprises ? Après les syndicats de cadres du ministère de la Santé et ceux des Affaires sociales, les inspecteurs du travail aussi ont fait part de leurs réticences à devenir la "police des fumeurs". Quelque 175.000 agents de
l'Etat sont habilités à contrôler l'interdiction de fumer dans les lieux à usage collectif, la très grande majorité de ces agents sont assermentés ou aptes à exercer ce contrôle: inspecteurs du travail et, sous leur autorité, contrôleurs du travail, policiers et gendarmes, a rappelé mercredi le ministère de la Santé. Dans les entreprises, les procès-verbaux seront dressés par les 1.400 inspecteurs et contrôleurs du travail, qui en plus de leurs missions de contrôle habituelles, seront chargés de relever les infractions des salariés qui fumeront, et des employeurs qui ne respecteront pas les dispositions de la loi sur l'interdiction de fumer. Plusieurs syndicats d'inspecteurs du travail, le SNUTEF
(FSU), la CGT, et Sud-Travail, ont d'ores et déjà appelé à ne pas |
sanctionner les salariés fumeurs, estimant notamment que l'inspection du travail était "détournée de sa mission de protection des salariés", a souligné Gérald le Corre (CGT). La mission de l'inspection "n'est pas de traiter les conduites addictives en surveillant et punissant les salariés. Sa mission de fond est de traiter des conditions de travail qui, se dégradant, poussent de plus en plus les salariés à prendre des substituts, pour +tenir+ et garder leur emploi", affirme le syndicat. "L'inspection du travail n'est pas la police des lieux de travail et des travailleurs", ajoute Dominique Maréchal, membre du bureau national du
SNUTEF.
Les inspecteurs du travail.Pour verbaliser, les inspecteurs du Travail devront utiliser des carnets à souches conçus initialement pour la répression des infractions routières, et sur lesquelles ils devront remplacer la mention "conducteur" par "contrevenant". Au ministère de la Santé, on précise que "le choix a été fait de ne pouvoir payer les amendes forfaitaires que par timbre amende ou par chèque". Mardi, les inspecteurs de l'Action Sanitaire et Sociale ont aussi jugé "inapplicables et mal préparées" les inspections qu'ils devront eux-aussi effectuer dans les établissements relevant du ministère des Affaires sociales. Ils avaient été précédés en janvier par les syndicats représentant les cadres de la Santé, médecins de santé publique ou ingénieurs sanitaires, qui refusent de devenir les "pervenches" des fumeurs. "Nous les médecins, nous ne verbalisons pas les malades, nous les soignons, nous sommes là pour aider les gens, et si nous devons verbaliser, nous sommes utilisés à contre-emploi totalement", avait déclaré Etienne Lecomte du SMISP (Syndicat des médecins inspecteurs de santé publique). Le ministère de la Santé a reconnu mercredi que certains des 3.000 agents de son ministère n'étaient "pas tous à ce jour assermentés" pour verbaliser. Néanmoins, le ministre Xavier Bertrand s'est déclaré "résolument optimiste" sur l'application de la mesure."Il pourra y avoir des sanctions dès demain s'il y a effectivement des récalcitrants", a déclaré le ministre. "Il y a à la fois une vraie compréhension des fumeurs, une mobilisation des non-fumeurs et surtout cette évolution de la société qui est marquante", a-t-il estimé. Néanmoins, le ministère du Travail a indiqué mercredi qu'il refusait toutes les demandes de reportage avec des contrôleurs, estimant qu'il est "trop tôt".
Express
Mada 02/02/2007
Ville d'Antananarivo
: Coup d'envoi de la préparation du référendum
Même en l’absence de décision, la préparation du référendum a déjà commencé en matière de révision de la liste électorale notamment pour la Capitale.
Les responsables chargés de la révision de la liste électorale se concentrent de plus en plus sur la préparation de la consultation populaire à venir. Le chef de la région d'Analamanga, Pierre Manganirina Randrianarisoa, a réuni, hier à Nanisana, les 192 chefs de fokontany de la commune urbaine d'Antananarivo. La séance de travail sur la révision annuelle de la liste électorale a vu la présence du préfet de police de la ville d'Antananarivo, Edmond Rakotomavo, ainsi que des six chefs de districts de la capitale.
Chaque district se voit dôté d'un ordinateur. Pierre Manganirina Randrianarisoa a annoncé que la finalité de ce don en matériel est d'éviter la répétition des erreurs dans l'élaboration des listes électorales. Le ministère de l'Intérieur et de la réforme administrative a aussi accordé un prolongement de 15 jours à l'arrêt provisoire desdites listes. Chaque année, la date butoir est le 31 janvier. Elle est reportée au 15 février à titre dérogatoire.
Exception
Le préfet de police de la ville d'Antananarivo a confirmé le caractère exceptionnel du regroupement à Nanisana. Il signale au passage que la révision annuelle de la liste électorale est devenue une tradition. “Nous avons l'habitude d'organiser les réunions avec les chefs de fokontany au Tranompokonolona d'Isotry. L'année dernière, nous avons organisé six rencontres. Mais l'entrevue avec le chef de région, comme ce qui se passe aujourd'hui, n'est pas fréquente”, a t-il affirmé.
Sur le plan organisationnel, le choix de la date du référendum doit respecter un certain délai comme l'indiquent les textes de loi. Le chef de district d'Antananarivo II, Andriamadimanana Ralaizozoro, précise : “Le code électoral stipule que le scrutin se tiendra au moins 90 jours après la convocation des électeurs aux urnes. Cela veut dire que le référendum n'aura pas lieu avant le mois de mai”. Certains chefs de fokontany affirment que l'insuffisance des moyens matériels et humains s'avère un problème fondamental dans l'établissement de la liste électorale. Celui d'Anjanahary II N, Jean Paul Emile, l'a exprimé, hier : “Il faut donner aux fokontany les moyens nécessaires, afin qu'ils puissent accomplir leur mission.
Aucune date n'est encore avancée pour la tenue du référendum constitutionnel annoncé par le président de la République, Marc Ravalomanana. Lors de l'inauguration du by-pass à Ambohimanambola, le lundi 22 janvier, le chef d'Etat s'est contenté d'affirmer que des modifications seront apportées à la Constitution. La situation reste actuellement au statu quo.
Fano Rakotondrazaka
Madagate.com
02/02/2007
Obs Madagascar : Opération “Casting” pour des métiers “high
level”
Suite à une seule insertion dans la presse, samedi dernier, pour inscription et envoi de Cv sur le site web d'Obs ou Osmosis Business Solutions, quelque 600 jeunes et moins jeunes de niveau Bac+2 et bac+5 sont venus hier, jeudi 1er février 2007, passer un casting, à la Galerie Kamoula, avenue de l'Indépendance Antananarivo.
Formation-emploi
Il s'agissait, pour Marcel Ramanantsoa, Dg du groupe Obs, ayant son siège social en France, et Augustin Andriamananoro, expert en communication, de recruter, dans un premier temps, une dizaine de postulants dans une stratégie de formation-emploi de très haut niveau. En effet, Obs ouvre dans les applications Ntic "High level" de projets quasi-mondiaux. Pour avoir une idée de l'ampleur de cette "boîte", il suffit de faire un tour sur : www.osmosis-corp.com
Obs Madagascar s'est implanté dans la grande île en 2005. Misant sur le potentiel et la valeur humaine, elle entend, à terme, engager 150 personnes pour faire d'elles des techniciens Ntic de haute volée. "Pourquoi chercher à faire venir des vazaha, alors qu'ici les jeunes ne demandent qu'à être bien préparés et encadrés ?", s'est demandé Marcel
Ramanantsoa,
Savoir-faire
Ainsi, priorité absolue aux natifs. Dans le domaine des Ntic sous leur aspect méconnu du grand public -qui ne dispose, dès lors, que du prêt à l'emploi-, Obs Madagascar, comme ses sœurs Obs Antilles et Obs France, entend faire primer la qualité du savoir-faire en la matière. Des formations dans des institutions spécialisées en France sont envisagées. Enfin, il est précisé que ceux qui n'ont pas été admis durant cette première vague ne doivent pas désespérés. "Dans le domaine des Ntic de haut niveau, le baratin n'a pas sa place", ont martelé de concert Messieurs Ramanantsoa et Andriamananoro (debout, de gauche à droite sur la photo). " Nous ne promettons pas la lune car les Ntic et leurs multiples applications constituent les piliers du développement humain, à l'échelle planétaire, de ce troisième millénaire "Vous connaissez Windows Vista ?…"
Le quotidien

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allAfrica
01/02/2007
Madagascar: Banque centrale - Frédéric Rasamoely nouveau gouverneur
Gaston Ravelojaona part avec le sentiment du devoir accompli. Frédéric Rasamoely entre en fonction sous le signe de la continuité.
Le nouveau Gouverneur de la Banque Centrale de Madagascar, fraîchement nommé par le Président de la République n'est pas un nouveau venu dans le milieu. Mieux, il est parmi les pionniers de cette institution financière puisque dès 1973, on le repérait déjà à Antaninarenina avec un certain Léon Rajaobelina ou encore Honoré
Rakotomanana.
Technicien
Changement dans la continuité en somme pour la Banque Centrale qui se retrouve avec un technicien de haut niveau, rompu au domaine financier et monétaire. Diplômé en hautes études juridiques et économiques, Frédéric Rasamoely est passé dans des grandes écoles internationales comme l'Ecole Nationale du Trésor de Paris ou encore l'Institut des Hautes Etudes Internationales.
Frédéric Rasamoely a également fait carrière au sein du ministère de tutelle de la Banque Centrale pour avoir été Directeur du Trésor pendant 3 ans et Directeur Général des Finances pendant 7 ans. Au sein même de la Banque Centrale, il a été administrateur pendant 8 ans. Ses relations avec les banques primaires seront par ailleurs facilitées dans la mesure où Frédéric Rasamoely a assuré pendant un certain temps la fonction de Secrétaire Général de l'Association Professionnelle des Banques et aussi de Secrétaire Général de la Commission de Supervision Bancaire et Financière. Son expérience des banques est d'autant plus riche quand on sait qu'il assurait également la fonction d'administrateur au sein de ces banques.
Expérience
Le choix de Frédéric Rasamoely a été certainement et en partie dicté par son expérience internationale. En effet, comme la Banque Centrale est naturellement associée aux négociations avec les bailleurs de fonds, l'actuel Gouverneur est l'homme qu'il faut à la place qu'il faut dans la mesure où il a déjà eu l'occasion, à maintes reprises, de participer à des conférences internationales organisées par des institutions et bailleurs de fonds internationaux comme le CNUCED, la Commission Européenne, la Banque Mondiale et le FMI.
Au lendemain de sa nomination, Frédéric Rasamoely a déjà eu une longue séance de travail avec son prédécesseur. Les deux hommes se connaissant très bien, tout s'est naturellement passé dans les meilleures conditions. Notons qu'avant sa nomination au poste de Gouverneur de la Banque Centrale de Madagascar, Frédéric Rasamoely était Président de la Commission des Finances du Sénat. Deux fonctions complémentaires qui se succèdent.
Les
Nouvelles 05/02/2007
Marc Ravalomanana sur les traces de Richard Ratsimandrava
32 ans plus tôt, le 5 février 1975 plus exactement, le colonel Richard Ratsimandrava a été investi des pleins pouvoirs par le général Gabriel Ramanantsoa, pour prendre la direction suprême des affaires nationales en tant que chef de l’Etat et du gouvernement de l’époque.
Malheureusement, son passage au gouvernement n’aura duré qu’une semaine, après son assassinat du 11 février à Ambohijatovo. Jusqu’ici, le souvenir de cet événement est encore vivace dans de nombreux esprits qui attendent encore et toujours le procès des présumés cerveaux de cet attentat.
En accédant au pouvoir le 15 juin 1976, le président Didier Ratsiraka avait promis de faire la lumière sur cette affaire, mais il n’en fut rien jusqu’à son éviction en 1992 après le mouvement populaire de 1990-91.
Son successeur Albert Zafy avait également annoncé de reprendre l’affaire en mains, mais ayant fait l’objet d’une motion d’empêchement en milieu de mandat, il n’a pu finalement mener ses intentions à leur terme.
Richard Ratsimandrava fut lui-même, avant d’être promu chef d’Etat, ministre de l’Intérieur du gouvernement Ramanantsoa. Il s’est notamment illustré à travers ses actions visant à redonner aux «Fokonolona»… comme c’est le cas actuel avec le président de la République Marc Ravalomanana, tous les moyens leur permettant de prendre en mains leur propre développement. Il avait notamment souligné à cet égard : «… En ce moment où on m’a investi des pleins pouvoirs pour la direction des affaires nationales, je voudrais rappeler les grandes orientations du développement qui ont été soumises à l’approbation du peuple le 10 octobre 1972, à savoir le développement socioéconomique du pays par la prise en charge du processus par le Fokonolona… Car seuls les Fokonolona disposent des droits et pouvoirs dans leur circonscription… L’heure est aux actions, et que chacun prenne ses responsabilités à cet effet…»
Place aux priorités de chaque région
Dans une certaine mesure, ces déclarations rappellent celles émises récemment par Marc Ravalomanana lorsqu’il a annoncé réorienter les actions du développement à partir de la base.
Pas plus tard qu’hier, il l’a encore réitéré lors de sa rencontre avec les chefs de Fokontany d’Iavoloha (lire article par ailleurs).
Dans ces conditions, le moins qu’on puisse dire est que Marc Ravalomanana semble actuellement se lancer sur les traces de Richard Ratsimandrava en prônant la redynamisation des Fokonolona ou des Fokontany pour le développement socioéconomique du pays.
On note cependant que beaucoup d’observateurs sont également de cet avis. Entre autres, tous les candidats à l’élection présidentielle du 3 décembre dernier ont plus ou moins ressenti la nécessité de réorienter ce développement à partir de la base.
Toutefois, force est de remarquer que Marc Ravalomanana entend y mettre toute la pression en voulant associer tous les représentants des forces vives de la nation à la mise en œuvre du «Madagascar action plan» (MAP). Les différents ateliers régionaux qui ont été organisés à cet effet en témoignent quoiqu’auparavant, de telles rencontres régionales ont également eu lieu, mais à la différence peut-être qu’à l’époque, il était plutôt question de recueillir toutes les suggestions pouvant aboutir à la finalisation du programme. Tandis que maintenant, il s’agit de définir sinon de recenser les priorités de chaque région… et partant de chaque Fokontany.
Miadana Andriamaro
Le
Quotidien 05/02/2007
REDYNAMISATION DES FOKONTANY
C’est parti !
La Présidence veillera au paiement des indemnités des Chefs fokontany et de leurs adjoints, chaque fokontany sera doté d’un bureau suivant les normes : ce sont les deux éléments clés de la nouvelle stratégie visant à redynamiser les fokontany dans le processus de développement. Ils ont été révélés hier par le Président Marc Ravalomanana en personne alors qu’il assistait à une réunion du fokontany d’Iavoloha. A cette occasion, le Chef de l’Etat a réitéré que les 17 500 fokontany jouent désormais un rôle de premier plan dans le processus de développement du pays. Raison pour laquelle il faut les remettre à la place qu’il leur revient. Jusqu’ici, les fokontany ont fait face à des obstacles financiers et matériels et leurs chefs sont peu motivés. Le Président Marc Ravalomanana a laissé au soin du département ministériel concerné la publication du décret relatif à l’indemnisation des chefs fokontany. Par ailleurs, il appartient aux Chefs de districts, d’arrondissements et aux Maires de fixer les modalités de désignation des Chefs fokontany. De l’avis du Chef de l’Etat, ces derniers doivent à la limite savoir lire et écrire car ils seront appelés à suivre (au moins 3 fois par an) des formations au Palais d’Etat d’Iavoloha.
Par ailleurs, le Président Marc Ravalomanana a insisté sur le fait que désormais, la réunion des fokonolona doit être institutionnalisée. Chaque citoyen est appelé à y participer car en ce faisant, il pourra prendre activement part aux décisions touchant la vie du fokontany.
Ndrasana
Les Nouvelles 03/02/2007
Le «bluff »
d’Andrianafidisoa lui a coûté quatre ans d’emprisonnement
Quatre ans d’emprisonnement. C’est la condamnation que le tribunal de droit commun qui a jugé l’affaire du coup d’état du général Andrianafidisoa a prononcée à l’encontre de cet officier supérieur de l’Armée. Un coup d’Etat qui, selon le prévenu, n’était qu’un simple bluff.
C’était dans une salle archi-comble et sous bonne garde que s’est déroulé hier le procès tant attendu du général Andrianfidisoa. Pour cette première comparution, il devait répondre sur deux chefs d’inculpation, à savoir d’avoir proclamé l’avènement d’un directoire militaire et le renversement du régime, et d’avoir tenu des propos menaçant les gouvernants.
Affichant un air impavide et inébranlable, le général Fidy a plaidé non coupable. Le président de séance a alors répliqué en demandant si sa déclaration médiatique en novembre 2006 ne revêtait pas un caractère d’acte de déstabilisation.
«Ce n’était qu’un coup d’Etat bluff mais pour qu’un bluff ait l’air d’un bluff, il faut qu’il ait l’air d’un vrai. Vous savez, plusieurs hautes personnalités ont été absentes du pays à l’époque, alors je me suis dit qu’il fallait secouer un petit peu l’administration pour voir sa réaction. En tant qu’officier supérieur de
l’Armée, je n’ai fait qu’appliquer une dissuasion militaire : élever d’un cran la pression. Le président Ravalomanana est un frère pour moi. Alors ce n’est pas moi qui allais le trahir. C’était plus tôt son entourage qui voulait lui donner des mauvaises impressions sur moi. La preuve, durant mon périple à
Ambatondrazaka, j’ai reçu un appel de l’ancien ministre de la police me demandant la raison de mon agissement. Je lui ai répondu que ma conscience est tranquille. Puis, j’ai rajouté que je vais me rendre à Brickaville et vous savez la suite. 300 agents des forces de l’ordre m’y ont attendu. Ça m’a fait mal au cœur de constater que le président ait fait foi à un système de défense aussi absurde».
Rancunes des frères d’armes
Par ailleurs, le général Fidy a indiqué qu’il était victime de machination orchestrée par ses frères d’armes. «Lors de la pacification en 2002, suivant l’ordre du premier ministre, on m’a confié des missions. A l’époque, j’avais sous mes commandements des généraux à trois étoiles. Alors, qu’on le veuille ou non, ça a créé un certain malaise au sein de l’Armée. Mais le fait est que j’ai réussi à libérer Andohanatady et Mahajanga. Le président Ravalomanana m’a félicité et en guise de remerciement, il m’a promis de voir personnellement la situation des mes gars. Par conséquent,
l’Armée s’est vue doter de matériel, entre autres des camions et de bien d’autres. Ce qui n’a pas plu à mes frères. J’ai tout fait pour
l’Armée et pour le gouvernement mais maintenant ils se sont retournés contre moi».
Pour appuyer sa défense, le général Fidy a expliqué qu’à un an de son départ à la retraite, il ne commettrait pas de bêtise de ce genre. «Malgré le fait que je suis resté au grade de capitaine pendant 9 ans, Dieu merci, j’ai atteint le grade de général à 59 ans. Alors pourquoi prendrai-je le risque de me faire arrêter à un an de mon départ à la retraite ?».
Après le général Fidy, le tribunal est passé à l’audition des témoins. Une audition qui a fait perdre le nord à l’assistance du fait que ces derniers ont déclaré n’avoir rien vu, rien entendu sur cette affaire.
De leur côté, les représentants du ministère public ont trouvé que les charges retenues contre le général sont suffisantes et ont requis l’application de la loi. Ils ont déclaré qu’il y avait eu coup d’Etat, mais que le général n’est pas arrivé à ses fins.
En réponse, tout au long de leurs plaidoiries, les trois conseils du général ont demandé le renvoi de fin de la poursuite. Ainsi, afin de disculper son client, l’un d’eux a avancé que les tenants du pouvoir sont toujours à leur place jusqu’à ce jour, alors que l’acte d’accusation, selon lui, stipulait que le général était accusé d’avoir proclamé l’avènement du directoire militaire et le renversement du régime. «Ce qui veut dire que le général a menti. Mais le code de procédure pénale ne punit pas le mensonge. Subséquemment, je demande le renvoi de fin de la poursuite», a-t-il martelé.
Son second conseil, a lu devant le tribunal le mémoire de défense que le général lui-même a formulé depuis sa chambre de détention. Quant au troisième avocat, il a expliqué que pour la mise en place d’un gouvernement insurrectionnel, il devait y avoir au moins trois éléments, à savoir le moyen humain, le moyen financier et le moyen matériel. «Rien de tout ça n’avait été établi au préalable. Pas de gouvernement, pas de ressources financières, alors comment voulez vous qu’il puisse instaurer un gouvernement insurrectionnel ? Comme il l’avait dit tout à l’heure, ce n’était que du bluff».
A la fin du débat, le général Fidy a frappé fort. «Effectivement, j’ai fait un coup d’Etat mais c’était en 2002. J’ai renversé le régime de Ratsiraka. Pour que coup d’Etat il y ait, un certain nombre de paramètres doit être maîtrisé. Ce général est-il assez fou pour risquer une opération aussi minime, au bout de sa carrière, à un an de sa retraite, après avoir bâti ce régime pour le détruire après ?».
Après le verdict qui le condamne à quatre ans d’emprisonnement ferme, les avocats du général Fidy ont d’ores et déjà fait savoir qu’ils vont interjeter appel.
R. B.
Wanadoo.mg 01/02/2007
Drogue à
Mada. Des dealers riches à milliards !
La drogue est une filière en plein essor dans la Grande Ile. Le fait le confirme: partie des bas quartiers, elle arpente les boîtes de nuit, et gagne même les hautes sphères de la société.
Plus grave encore, elle est désormais en terrain conquis dans les milieux scolaires ! Cette situation est aujourd'hui plus qu'inquiétante. La drogue est devenue une menace généraliste pour la famille comme pour la société. Zoom sur le phénomène !
Juteuse mais à risque !
Partout dans le monde, la drogue est un business très juteux. A Madagascar comme ailleurs, le secteur nourrit tout un circuit. Chez nous, les dealers sont ceux qui tirent le plus de profit de leurs activités illégales. Ils n'ont qu'à revendre le produit pour se faire de l'argent. Et dans la tendance actuelle, où la prise de drogue se pratique presque un peu partout, la demande ne manque pas. A cette allure, le business ne cesse de prendre de l'importance pour atteindre l'échelle du commerce de gros !
C'est, en effet, la seule explication logique de la réussite de ces revendeurs de drogue qui pullulent dans tous les coins. Durant l'année 2006, l'opération du service central des stupéfiants et des substances psychotropes de la |
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police amène à confirmer cette thèse. "Parmi les dealers arrêtés, on comptait des possesseurs de voitures de haut de gamme. Leur "patrimoine", en outre, se compose de plusieurs villas et d'autres biens assimilés à un véritable étalage de richesse", concède le commissaire Jérémie
Andrianaivo, chef de service de cette branche. Et de continuer "qu'il y avait même des dealers riches en milliards". Cette branche dynamique de la police nationale compte à son actif, le démantèlement de cinq réseaux de grossistes durant l'année qui s'est écoulée. Parmi les 294 personnes mises en cause, on dénombre pour la plupart des jeunes oisifs, des étudiants, des fonctionnaires et des...artistes. Bref, des représentants de tous les groupes sociaux professionnels !
Police. "Objectif 2007: réduire de 30% la prise"
Est-il possible d'éradiquer complètement le fléau ? A cette question, Jérémie Andrianaivo, le chef du service des stupéfiants n'a pas manqué de souligner que la drogue est un phénomène intégré dans la vie sociale. " A son époque, le roi Andrianampoinimerina avait déjà, à travers des discours, interdit la consommation de cannabis". Une manière pour ce responsable d'indiquer que l'on est en face d'un phénomène très difficile à maîtriser. Et c'est sans doute dans cette ligne d'idée que l'objectif de la police nationale, pour cette année, est de réduire à 30%, le commerce, la prise et donc, le nombre des consommateurs.
Miser sur l'action préventive, c'est dans cette orientation que la police, à travers le service des stupéfiants, compte atteindre l'objectif. Intensifier la campagne de sensibilisation et de conscientisation dans les milieux scolaires, multiplier la descente dans les bas quartiers (non pour procéder à des arrestations mais plutôt de rencontrer les jeunes afin de les conscientiser), intimider les groupes de consommateurs potentiels de
"rongony", à travers des opérations de ratissage dans les coins réputés de la capitale.
D'où provient le cannabis ? Essentiellement de la partie sud de l'île. La RN7, la RN4 et la RN1 sont les axes de circulation de ce chanvre indien. Quant aux drogues dures, à savoir le cocaïne et l'héroïne, les consommateurs, des gens parfois très aisés, les importent. C'est une autre filière, avec des enjeux financiers encore plus importants !
Didi R. ©Midi Madagasikara
allAfrica 02/02/2007
Madagascar: Jamal Khalifa, un boeing 777 spécial l'attendait à Ivato
Tué dans un cambriolage à Soameloka - Sakaraha, le beau frère d'Oussama Ben Laden a eu droit à un retour extraordinaire.
Une délégation venant d'Arabie Saoudite est arrivée, hier, à Madagascar à bord d'un Boeing 777, spécialement dépêché pour le rapatriement du corps de Jamal Khalifa. Conduite par un émissaire du roi Abdallah, elle a eu des entretiens avec les autorités malgaches pour faciliter les procédures administratives.
La dépouille mortelle de Jamal Khalifa, acheminée depuis Soameloka, a été transportée à la morgue de l'hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona (HJRA), pour une autopsie avant d'être remise aux représentants de sa famille.
Jamal Khalifa, le beau frère par alliance de Ben Laden, a été tué au cours d'un cambriolage perpétré, dans la nuit de mardi, par des bandits armés dans son domicile à Soameloka - Sakaraha (Faritany de Tuléar). Mortellement touché à la poitrine, il a succombé à ses blessures tandis que son frère s'en est sorti après avoir reçu une balle dans les jambes. Les assaillants se sont emparés d'un coffre, contenant beaucoup d'argent, et d'un ordinateur portable ainsi que de deux téléphones mobiles.
Ce milliardaire Saoudien opérait dans l'exploitation de pierres précieuses dans le Sud de la Grande Ile depuis 1997. Il a toujours nié son appartenance à Al Quaïda et ce, bien qu'il soit le beau frère de Ben Laden, et déclaré qu'il n'entretenait aucune relation avec ce dernier. D'ailleurs des agents de la CIA sont arrivés à Madagascar en 2001 pour enquêter sur lui et un dénommé Amine, un de ses employés, mais cela n'a donné aucun résultat.
Selon un responsable de la Gendarmerie, deux enquêtes sont actuellement ouvertes par les autorités malgaches notamment l'attaque à Soameloka mais aussi l'appartenance de Jamal Khalifa au réseau d'Al Quaïda. Pour l'heure, les investigations suivent leurs cours et aucune arrestation n'a été opérée. Mais il est certain que la délégation saoudienne, tout en souhaitant collaborer pour l'arrestation des criminels qui ne devaient pas être difficiles à arrêter, espérait aussi un raffermissement des liens entre les deux pays.
La dépouille mortelle de Jamal Khalifa a quitté le sol de Madagascar à 18h 10 min, à bord du Boeing 777, pour un aller simple. Sans retour.
Midi Madagasikara (Antananarivo)
- Aina Razafimahatratra
Tribune
05/02/2007
Artane
: Trois euros le paquet de 20 comprimés à Tana - Ax's
La semaine dernière, quatre employés d’une société de pêche sainte-marienne ont été jugés par le tribunal correctionnel de Saint-Denis pour avoir importé illégalement de la Grande Île 150 kg de langoustes, 60 cartouches de cigarettes Boston et... 8 800 cachets d’Artane et de Rivotril. Un marché juteux qui révèle les trafics florissants en provenance de Madagascar. Le prix d’une boîte d’Artane renfermant 20 comprimés est vendu à 7 500 Ariary, soit environ 3 euros, dans les pharmacies de la capitale malgache. Le trafic entre Madagascar et La Réunion est difficilement contrôlable. « Pourrai-je avoir un paquet d’Artane s’il vous plaît Monsieur». Et le pharmacien de rétorquer aussitôt : « Il vous faut une ordonnance ». La même réponse revient dans toutes les pharmacies d’Antananarivo que nous avons visitées hier. Une pharmacienne du quartier d’Antanimena exige même une ordonnance émanant d’un neurologue. « Ce n’est pas n’importe quel médecin qui peut prescrire ce médicament. Tant que l’ordonnance n’est pas signée d’un neurologue connu, il vous est impossible de vous en procurer chez nous » explique-t-elle en énumérant quelques conditions posées par le ministère Malgache de la santé concernant la vente d’Artane depuis 2004 : Chaque pharmacie de la capitale et de la périphérie de Tana - environ une centaine au total - ne peut obtenir que deux boîtes d’Artane par semaine.
Rares connaisseurs
Ce qui limite considérablement le nombre de médicaments circulant sur le marché. Cette mesure n’est pas sans conséquence pour certains malades devant suivre un traitement continu. Par ailleurs, les pharmaciens doivent remplir un document mentionnant les noms du malade, de l’acheteur et du médecin qui a prescrit le médicament. Ce document est remis au ministère qui peut alors exercer un contrôle . Mais ces dispositions sont loin d’être suffisantes pour endiguer le trafic. Les pharmaciens ne disposent pas des moyens permettant de consulter rapidement la liste des vrais médecins et autres spécialistes. Les fausses ordonnances émanant de faux praticiens ont encore de beaux jours devant elles. Le prix d’un paquet d’Artane est fixé à 7.500 Ariary, soit 3 euros pour 20 comprimés de 5 mg. Le trafic est particulièrement lucratif avec le prix pratiqué par les « revendeurs » à La Réunion. À noter que ce médicament est très peu consommé, car il est encore méconnu, par les toxicomanes malgaches. En revanche, dans certains quartiers comme à Ambolokandrina, des « mpanera » ou intermédiaires attendent les clients potentiels aux abords des pharmacies. Ils exhibent des boîtes d’Artane pour se faire répérer rapidement par les rares clients connaisseurs. Ceux-là même qui envoient à la Réunion ce médicament destiné initialement à traiter des pathologies neurologiques comme la maladie de Parkinson.
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