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1)-bonjour !
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thierry
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... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
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Edito
: "Salama Mada,
... mes
racines, mon pays, ma terre, mon coeur !"
Je suis artiste peintre et je crée toujours un poème ou un petit mot avec une toile.
Quelques vers à partager de la part de l'enfant du pays. J'espère que cela
vous plaira !
Salama Madagascar
Pays de morale où les ethnies cohabitent,
Où les continents n'ont pas de limite,
Entre l'Afrique et l'Asie chaque homme s'aime et s'y sent en famille.
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Morale pour le monde entier,
Tu t'adaptes à l'homme, à ses rites,
Tu écoutes son cœur.
Toi qui danses dans la pauvreté sur tes musiques métissées,
Il n'est pas étonnant que Dieu ait rempli ta terre rouge de pierres précieuses,
Celles qui représentent ton cœur.
Terre mère de toutes les espèces de ce monde,
Senteurs de vanille, d'Ylang-ylang caressent chaque bout de ton île,
Où les paysans cultivent ta canne à sucre,
Jusque dans tes rizières des hauts plateaux où tu domines le monde.
Pays de rassemblement dans l'amour,
Tu sais ouvrir ton cœur en baptisant ton arbre, celui du voyageur.
Même dans la misère, tu n'hésites jamais à ouvrir ton foyer aux inconnus.
Qu'ils soient blancs, tu lui offres toujours ta part de
romazavo.
Agrémenté d'un peu de zébu dans tes jours de chance,
Tu lui donnes même ton bol de riz et ton verre de rhum,
En t'assurant qu'il ait bien mangé.
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Toile
nommée "Carte de Madagascar" peinte en 2007 par
Laetitia Peyret et actuellement présentée à l'Académie
française
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Tu lui laisses toujours un peu de place dans ton taxi brousse,
Pour qu'il partage la beauté de ton île,
De tes immenses plages blanches et turquoises, bordées de palmiers,
De tes forets luxuriantes, terrains de jeux de tes lémuriens,
De tes villes décorées de tes broderies et de tes vanneries,
Bercées par la musique de tes pousse-pousses.
Et toi Gasy, tu le fais avec le sourire,
Alors que pendant ce temps,
Tu parts rejoindre tes zébus dans les champs,
Pour travailler ta terre, ta richesse, symbole de ton cœur
Veluma Mada
Mes racines, mon pays, ma terre, mon cœur à jamais pris par toi.
...Lire la suite
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...
Lire le Dossier " 60è anniversaire de 1947"
Cliquez-ici
Laetitia Peyret (de
Bordeaux) , enfant du pays.
...
Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina",
Armand a répondu à notre appel
de publier des Editos, maintenant à
qui le tour? On vous attend edito men et edito women.
Merci d'avance!
...
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allAfrica.com 01/03/2007
Madagascar: La concurrence entre les compagnies aériennes se joue sur la notoriété
Une flotte entièrement renouvelée. C'est la compagnie aérienne Corsairfly depuis son rachat par le groupe TUI, ayant plus de 120 appareils et qui se place au 15ème rang mondial. Elle n'est plus ainsi une compagnie de charter mais peut effectuer un réseau régulier, avec deux à trois fréquences de vols directs par semaine, pour la liaison France-Antananarivo.
Corsairfly offre également des produits et des prestations à bord plus attractifs et plus compétitifs par rapport à ses concurrents, et ce, avec un tarif promotionnel de moins de 500 euros TTC pour un aller-retour, a annoncé David Parlange, responsable des ventes. Mieux encore, elle ouvrira une ligne aérienne sur Nosy-Be en combinant avec la destination d'Antananarivo au départ de la France. Un projet prévu démarrer avant la fin de 2007. En effet, cet opérateur du secteur aérien veut développer sa présence sur Tanà.
Développement éco-touristique
En tant que compagnie régulière, Corsairfly effectue une ligne de long-courrier. Elle peut vendre directement ses billets aux passagers à travers ses différents points de vente. Un assouplissement des conditions d'émissions des billets avec un délai de 10 jours contre 3 jours pour les autres compagnies est également offert, compte tenu de la demande de visa par ses clients.
Son ambition n'est pas uniquement d'acheminer des passagers d'un point A au point B mais aussi de contribuer au développement éco-touristique de l'île. La majorité de nos passagers sont des touristes, a évoqué Christian Commissaire, directeur Business Intelligent. En 2006, plus de 36.000 passagers ont été transportés par Corsaifly à destination de Madagascar, moins chère que les destinations vers des îles voisines desservies par cette compagnie. Il y aura trois fréquences de vols hebdomadaires durant la haute saison, entre juillet et août.
La capacité des sièges sera aussi améliorée atteignant un nombre de 50.000 à 55.000 par an, selon Christian Commissaire. En tout, plus de 2 millions de passagers ont été transportés par Corsairfly en 2006 sur l'ensemble de son réseau régulier dans le
monde.
Midi Madagasikara (Antananarivo)
- Navalona R.
Madagascar-actuel.info
27/02/2007
Le sinistre est déclaré
:« Anita », « Bondo », « Clovis », « Dora », « Enok », « Favio » sont passés et ont laissé des
traces
7 personnes décédées, 32695 sinistrés, 96 146 hectares de rizières inondées, 7855 sans abri et nombre d’infrastructures dévastées. Ce sont les conséquences des intempéries qui ont frappé la Grande Ile depuis la fin de l’année. Menacé maintenant d’une insécurité alimentaire, de crise des logements et de prolifération des maladies, le pays ne peut que faire appel à la solidarité
inernationale.
Une pluviométrie excessive
Depuis décembre 2006. « Anita », « Bondo », « Clovis », « Dora », « Enok », « Favio » sont passés et ont laissé des traces. Sans parler de la pluviométrie qui est supérieure à la normale dans presque toute l’île. A 350% par rapport à la normale à Maintirano par exemple.
Le nombre des sinistrés, c’est à dire les gens qui doivent attendre que les eaux se retirent de chez eux pour pouvoir rentrer, continue d’augmenter qu’ils sont maintenant à 32 695.
Il y a également les 7855 sans abri qui ont carrément perdu leur maison d’habitation. En outre, les fortes pluies ont meurtri l’agriculture : 96 146 ha de rizières sont inondées. Sans passer sous le silence les pertes sur l’infrastructure : au niveau des ports, comme à Mahajanga. Des écoles, des habitations, des locaux administratifs tels à Nosy Varika.
Des routes sont aussi coupées, tel le cas au niveau de la Route Nationale 6, et les ponts qui sont fortement endommagés, comme le pont de Pomay entre Malaimbandy et Morondava.
Enfin et non des moindres, des chemins de fer du réseau Nord ont été touchés. Il s’agit des lignes ferroviaires qui relient la capitale à Toamasina (Tce), la capitale à Antsirabe ( TA) et Moramanga à Ambatondrazaka
(Mla).
7 morts
Sur le plan humain, 7 personnes ont décédé. Le décès est dû principalement à l’ effondrement des maisons ou des mûrailles ou simplement à la montée des eaux. Des maladies épidémiques menacent aussi un grand nombre. Et sur le plan économique, on constate déjà la pénurie et la hausse des prix des Produits des Premiers Nécessités dans tout le pays.
Il faut 488 milliards
d’Ariary
Une somme de 242 682 353 de dollars, soit environ 488 milliards d’Ariary serait nécessaire pour un entier redressement.
Un appel à la solidarité devant la communauté internationale a été lancé hier dans les locaux de la Ministère des Affaires Etrangères.
5,8 millions de dollars seraient nécessaires pour l’aménagement de 40 hectares. C’est la surface indispensable pour héberger les sans abris dans les prochains jours. Les sans abris, qui ont fait et ont habité dans des constructions interdites et illicites.
Reconstruire des bâtiments administratifs aussi
Quant à la réhabilitation des bâtiments administratifs, il faut 2,9 millions de dollars. Bref, les coûts estimatifs de tous les besoins s’affichent à une somme de 242 682 353 dollars, équivalent à environ 488 milliards d’Ariary.
Elle sera approximativement répartie comme suit : 80 millions de dollars pour le Ministère des Travaux Publics, 16 millions de dollars pour le Ministère des Transports et du Tourisme, 7 millions de dollars pour le Ministère de l’Education Nationale et de la Recherche Scientifique, 47 millions de dollars pour le Ministère de l’Agriculture, 18 millions de dollars pour l’Aménagement du Territoire,
56 millions de dollars pour le Ministère de la Santé et 16 millions de dollars pour le Bureau National de la Gestion des Risques et des Catastrophes (ex Cns).
La France en premier
L’Ambassadeur de France, Alain le Roy a dit que la France octroie 700 000 euros, soit environ 1 milliard 800 millions d’Ariary pour faire face à l’insécurité alimentaire. Quant aux autres partenaires, ils ont tous promis de se pencher sur le sinistre.
www.madagascar-tribune.com
Express Mada 01/03/2007
Constitution : Les provinces autonomes supprimées
Le premier ministre Charles Rabemananjara a levé un pan de voile sur la Constitution révisée hier à
Mahazoarivo. Il a ainsi annoncé le maintien du Sénat, la suppression des provinces autonomes et des collectivités territoriales décentralisées. Le mandat présidentiel reste à cinq ans.
La révision de l'actuelle Constitution consiste essentiellement à supprimer les provinces autonomes. Le Sénat est maintenu, ainsi que la durée du mandat du président de la République.
La révision de la Constitution porte sur la suppression des provinces autonomes. Le Sénat est maintenu. Le premier ministre Charles Rabemananjara l'a confirmé hier, au Palais de
Mahazoarivo, à l'occasion de la visite du Nonce apostolique, Augustine Kasuja.
"Le point important est la réalisation du développement rapide et durable au niveau des régions et des communes. C'est pourquoi, il n'y aura plus de provinces autonomes", a t-il déclaré. En ce qui concerne le Sénat, le chef de gouvernement a déclaré que son existence ne sera pas remise en cause. "Beaucoup ont présagé l'annulation du Sénat, mais il sera maintenu. En outre, la durée du mandat du président de la République n'est pas modifiée. Elle est toujours de 5 ans", a t-il soulevé.
En attendant la publication du décret arrêtant le texte du projet de révision de la Constitution, le contenu des modifications à apporter se précise actuellement.
Circonscriptions trop vastes
Avant le conseil des ministres au Palais d'Etat à Iavoloha, mardi soir, le président de la République, Marc Ravalomanana, a déjà donné des explications reflétant l'orientation de la retouche à la Loi fondamentale.
Il n'a plus hésité de manifester sa volonté d'abroger les dispositions textuelles sur les provinces autonomes dans la Constitution. "Les circonscriptions des provinces autonomes sont trop vastes. Les présidents de la Délégation spéciale des provinces (PDS) n'arrivent jamais à visiter toutes les localités sur les territoires respectifs de leurs provinces en une année, même si on leur donne quatre hélicoptères", a t-il soutenu lors de sa rencontre avec les 27 sénateurs issus de formations politiques différentes à
Ambohitsorohitra.
Parlementarisme
Par contre, toujours selon lui, le chef de l'Etat n'a pas proposé la suppression du poste de premier ministre. "L'idée vient du comité préparatoire de la révision de la Constitution. Et je n'exerce aucune influence sur le comité", a t-il ajouté.
Avant même que le projet de révision de la Constitution soit officialisé, le président national du parti Mpitolona ho amin'ny fandrosoan'i Madagasikara (MFM), Manandafy Rakotonirina a déjà manifesté sa satisfaction. "La suppression des provinces autonomes est la première solution que le MFM a proposé au comité préparatoire de la révision de la Constitution. Nous allons voter pour le OUI, si c'est vraiment le cas", s'est-il réjoui.
Outre la suppression des provinces autonomes, le MFM a aussi suggeré celle du poste de premier ministre. Mais Manandafy Rakotonirina n'a plus accordé d'importance à cette suggestion. "Par cette proposition, nous voulons un vrai régime présidentiel. Or le maintien de la primature
présente un degré de parlementarisme à travers le mécanisme de rapport entre le gouvernement et le parlement. Mais la suppression des provinces autonomes nous importe plus, actuellement", a t-il conclu.
Réactions
Marson Evariste, président national du Rassemblement du parti social démocrate (RPSD) : "Je préfère attendre la publication officielle du texte de révision constitutionnelle avant de me prononcer".
José Rakotomavo, président du Comité pour la réconciliation nationale (CRN) et co-président des Trois forces nationales (3FN) : "Il vaut mieux attendre le document officiel contenant la révision à faire, afin de pouvoir porter une vision d'ensemble. En outre, en tant qu'entité, les membres devraient se réunir pour discuter sur le sujet".
Jules Randriamaholison, coordinateur national de la section Santé du Tiako i Madagasikara (TIM Santé) : "Nous attendons la consigne de vote venant de l'instance dirigeante du TIM. Nous sommes déjà prêts à faire la propagande dans ce sens".
Fano Rakotondrazaka
Express
28/02/2007
Consommation: Le
riz disparait du marché
Comme il fallait s’y attendre, la spéculation a
fini par faire disparaître le riz sur le marché. A Antananarivo comme
dans d’autres villes, à l’instar de Fianarantsoa, cette denrée précieuse
est soit introuvable, soit vendue à prix d’or.
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Les grossistes et demi-grossistes en riz sont réticents à vendre
ce produit de première nécessité. Ils dénoncent le monopole qui fait
souffrir la population tananarivienne.
La
crise du riz, comme lors de l'après-cyclone Géralda, risque de réapparaître
dans la Grande île. Dans beaucoup de provinces, le kilo de cette denrée
alimentaire connait une hausse vertigineuse.
De nombreux commerçants et demi-grossistes ont arrêté depuis quelque
temps d'en vendre dans la capitale. D'Ambohitrarahaba à Andoharanofotsy,
d'Ivato à Ambohimangakely, les étals sont désespérément vides.
"J'ai fait toutes les échopes ce matin, il n'y en a que deux qui
vendent des brisures à 1 300 ariary le kilo. Et je n'ai eu droit qu'à
cinq kilos", déplore Germaine Rasoangita, mère de famille vivant à
Sabotsy Namehana. Son calvaire est
partagé par de nombreuses femmes de ménage. Depuis deux jours, le riz a
disparu du marché.
|
Les détaillants et les demi-grossistes mettent à l'index le monopole
dans ce secteur. "L'approvisionnement en riz devient un business
risqué. A l'heure actuelle, il est rare de trouver un sac de 50 kilos à
moins de Ar 70 000, un prix déjà élevé. Or, le revendeur se doit de le
céder à Ar 63 000. D'où ce semblant de pénurie. Une situation qui
n'est pas du goût ni du consommateur, ni du revendeur ", souligne un
grossiste d'Analakely, un de ceux qui ne vendent plus de riz.
"Le problème, qui ne date pas d'hier, réside dans l'absence de
concurrence. Seuls les grossistes qui détiennent des stocks peuvent
encore en vendre", ajoute Radadafara, un autre grossiste d'Isotry. La
plupart des détaillants interrogés précisent que la société Magro
vend le riz pakistanais en stock tampon à Ar 55 000. "Mais elle ne délivre
que deux sacs de 50 kilos par acheteur", souligne un responsable auprès
du grand magasin Albert à Analakely.
Grogne des clients
Face à cette situation, le consommateur qui prend trois repas à base de
riz par jour se trouve préoccupé. Ramada, une femme qui doit nourrir
cinq personnes, n'achète plus qu'un kilo contre dix auparavant à chaque
fois qu'elle vient au marché.
"La grogne monte du côté des clients. Il faut dire que le prix du
kapoaka augmente chaque jour", soupire un détaillant des pavillons
d'Analakely. Certains commerçants, qui vendent le kilo du riz Makalioka
à Ar 2000 et le riz pakistanais à Ar 1600, mentionnent seulement le type
du riz, et non son prix. Au niveau des demi-grossistes, vendre le sac de
50 kilos à Ar 70 000 n'est plus de mise.
Un grossiste renommé dans ce commerce avance pourtant: "Le bâteau
apportant du riz importé est déjà arrivé à Toamasina, lundi. Nous y
étions pour en acheter. Le sac de 50 kg nous coûte Ar 58 000, pour le
revendre à perte à Ar 1000 le kilo".
Ce grossiste semblait très sûr de ce qu'il dit, concluant que le riz
abondera sur le marché d'ici quelques jours. En attendant, les ménages
broient du noir. Beaucoup accusent les grossistes de spéculation.
"Chaque fois qu'il y a un cyclone, ils en profitent pour faire de la
rétention de stock et majorer le prix", assène Georgine Ravelontsoa,
de Tanjombato. Eternelle polémique.
Fanja Saholiarisoa
Clicanoo
27/02/2007
Alerte rouge sur la Réunion
La Réunion sera à nouveau en alerte rouge à partir de 18 heures. Depuis cette nuit, Gamede plonge au sud pour se rapprocher de nouveau de l’île.
Hier, Gamede semblait s’éloigner de la Réunion en faisant route à l’ouest. Mais les services de Météo France savaient qu’à tout moment, le cyclone pouvait piquer au sud et se rapprocher à nouveau de la Réunion. Après être resté stationnaire pendant la nuit, le système qui a quelque peu perdu en intensité, revenant au stade de cyclone tropical, a incurvé sa course pour descendre au sud. Ce qui le rapprochera à nouveau de la Réunion au cours des heures à venir.
Mauvais temps sur l’ouest
A 7 heures, il se trouvait à 310 kilomètres des côtes (19.2 sud, 53 est). Ce changement de trajectoire a poussé la préfecture à déclencher à nouveau l’alerte orange. Il est vrai que les conditions climatiques restent très mauvaises sur la Réunion, avec notamment de très fortes précipitations. Les choses ne devraient pas s’arranger. Il est en effet prévu que le système passe au plus près de l’île en fin de journée, à une distance qui reste encore difficile à prévoir. "Une distance de 250 kilomètres n’est pas à exclure", annonce les services de Météo France. D’ores et déjà, il est prévu que le vent tourne dans la journée pour rentrer plein ouest, une région jusque-là relativement épargnée mais qui devrait connaître des conditions difficiles avec des pointes de 120 km/h prévues et 140 km/h dans les hauts. Les précipitations devraient aussi redoubler de violence et des vagues de cinq mètres sont attendues à l’ouest. Autant dire que la prudence reste de mise.
• Point de 10 heures 30 : Comme prévu Gamede descend au sud. Il s’est donc à nouveau rapproché de la Réunion. Il se trouve actuellement à 300 km dans l’ouest nord-ouest de la Réunion (19.5 sud 52.9 est). Il a légèrement accèléré, se déplacant au sud à la vitesse de 14 km/h. Les prévisionnistes de Météo France prévoient qu’il continue incurve légèrement sa course vers le sud-ouest.
allAfrica
26/02/2007
Madagascar: Sinistre - la France, premier sur le terrain
- Midi Madagasikara-Nr
La France a été parmi les premiers à répondre à l'appel à l'aide internationale lancée par le gouvernement. D'ailleurs, elle reste le principal bailleur de fonds bilatéral de la Grande Ile et le premier en terme de partenariat.
Et si l'appui sollicité s'élève à 240 millions de dollars, son ambassadeur, Alain Le Roy, a promis au nom de l'hexagone d'accorder 700.000 euros, soit 1,8 milliards Ariary. Ainsi, les secours se sont-ils organisés à partir de la Réunion. Et un Transall de la base aérienne 181 est arrivé hier matin dans la Grande Ile, en partance de Gillot, avec à son bord 160 tentes familiales destinées aux sinistrés.
D'une valeur de 30 millions d'Ariary, elles ont été remises officiellement aux autorités malgaches à l'aéroport d'Ivato. Mais d'autres promesses d'aide sont aussi parvenues cette semaine au Premier ministre, Charles Rabemananjara, qui a reçu plusieurs personnalités au palais de Mahazoarivo. La Banque Africaine pour le développement (BAD) a déjà accordé une aide d'urgence de 500.000 dollars, avec possibilité d'efforts supplémentaires. La République de la Norvège va aussi contribuer. L'Afrique du Sud, le Sénégal et le FMI ont promis de suivre.
Alignée
Par ailleurs, le chef du gouvernement a reçu, en audience hier, l'émissaire français au Palais de Mahazoarivo. Passant en revue la coopération bilatérale, les deux hommes ont discuté de son amélioration en conformité avec le MAP. Selon Alain Le Roy, des actions seront effectuées dans plusieurs domaines, notamment au niveau de la santé, de l'éducation, des infrastructures et du développement rural. « Toute notre coopération est claire, elle sera alignée sur le MAP », devait-il souligner. A noter que Madagascar n'est pas le seul dans cet état de sinistre. Le Mozambique n'a pas non plus été épargné. Les deux pays ont bénéficié d'une aide française coordonnée à partir de l'île soeur.
Wanadoo.mg
26/02/2007
Cyclone : Gamède frappe Madagascar, après ses ravages à la Réunion
Un mort à Maurice et 9 blessés à La Réunion. C'est le bilan humain de Gamède qui menace sérieusement la Grande île.
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Le cyclone tropical Gamède se rapproche de nos côtes. La Grande île se trouve, depuis hier, dans sa zone d'influence, puisque ce météore est vraiement d'une grande envergure, avisent les techniciens du service de la météorologie
d'Ampasampito. Les masses nuageuses et les vents violents atteignant en moyenne les 155 km/h, avec des pointes de 210 km/h, qui accompagnent ce phénomène, concernent déjà le pays, en provoquant de fortes pluies sur certains endroits. Des avis de menace et d'avertissement sont ainsi lancés à l'endroit d'une trentaine de districts longeant le littoral Est,
d'Antalaha à Tolagnaro, en passant par Maroantsetra, Sainte-Marie, Toamasina I et II,
Vatomandry, Mahanoro, Nosy Varika, Farafangana, etc. LEs pêcheurs travaillant entre Antalaha et Mananjary sont également avertis de ne plus prendre le large. Hier, à 15h, Gamède était localisé à 490 km au Sud- Est de
Toamasina. Il progresse vers le Nord-Ouest à 11km/h. |
"La grande question qui taraude la population et les autorités malagasy est de savoir si Gamède touchera terre ou non. Mais pour l'instant, on ne peut rient avancer de bien précis. Ce météore est très capricieux et pourrait changer de trajectoire d'un moment à l'autre. Avant, il faisait cap Sud Sud Ouest. Peu de temps après, il a pris la direction Nord-Ouest. Ainsi, il se pourrait donc que Gamède descende plus tard vers le Sud-Ouest", craignent les météorologues.
Avant de frapper la Grande île, Gamède qui a rôdé à plus de 200km de La Réunion y a déjà fait de grands ravages, avec un bilan de 9 personnes blessées, 100 000 autres privées d'électricité, un pont de la rivière St-Etienne détruit, sans parler des arbres déracinés et des autres dommages. Un jeune homme est également porté disparu et compté pour mort à l'île Maurice.
A l'annonce de ces dégâts dans des pays où les infrastructures et les mesures de prévention sont suffisamment robustes et aux normes, l'inquiétude gagne déjà la grande majorité de la population malgache.
Vola Andriamanana
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Nosintsika 01/03/2007
China in Africa - can it be win-win?
CHINESE President Hu Jintao's trip to Africa this month has been a catalyst for much speculation on China's role on the continent. No other major power shows the same interest in Africa. Hu's recent trip - his fifth since 1999 and second in nine months - took him through eight African states in 12 days.
It came on the heels of the visit by Chinese Premier Wen Jiabao to seven resource-rich African countries in June last year, his third trip to the continent. Compare that record to the only two official trips made to Africa by a US president; those by presidents Clinton in March 1998
and Bush five years later.
Does Beijing's extraordinary level of interest reflect a coincidence of Africa's and China's economic maturity, or does it represent something more sinister, a fresh attempt to drain Africa's natural resources? Is it of benefit to Africa? What is China's interest in
Africa?
On paper it is all about trade and aid. At the China-Africa summit held in Beijing in November last year, Hu offered $5bn in loans and credit to Africa, along with a doubling of aid. During his recent trip, Beijing also announced that it would lend African nations $3bn in preferential credit over three years and double aid and interest-free loans at the same time. Last year, trade between China and Africa reached $55,5bn, a 40% jump on 2005. Accumulated direct Chinese investment in Africa is now $6,6bn, according to official Chinese sources.
But the figures do not tell the full story. The importance of China to Africa has to be understood in terms of China's own development path. Its real economic growth, which has averaged a shade under 9% annually for the past 30 years, has been on the back of export growth averaging over 17% during this time and nearly twice that figure last year. In 1980, China's share of world trade was less than 1%; by 2003 it had risen to 6%. This trade largely involves China's processing and assembly of raw materials and parts that come from elsewhere. Its shortage of minerals, energy, arable land and even water is as impressive as its abundance of labour and manufacturing
capacity.
China depends on this fast growth pace to continue, because a slowdown threatens internal political and economic stability. Yet a slowdown seems unavoidable, a portent of increasing saturation of China's export markets, and because Chinese-led demand is driving up the prices and availability of the very raw materials it needs. Moreover, China dependency on fast economic growth is exacerbated by its failure to deal with the unprofitability of state-run enterprises, the poor financial shape of its pension system and the bad quality of local bank
assets.
This largely explains China's interest in Africa. As the growth in the value of its exports slows, China needs to continue expanding its economy and cater for its 1,4-billion expectant citizens by vertical integration: adding more Chinese "content" to the same exports. To do that it needs to secure and acquire sources of raw materials. This is where Africa comes in.
China, then, does not have a detailed plan for Africa beyond its own needs, and beyond the cocktail of high diplomacy, safaris, summits and aid. Yet Africa is today a - perhaps the - foreign policy priority for Beijing. Its involvement in Africa is the most significant development on the continent since the end of the Cold War. It is likely to represent the biggest policy challenge for China; not least since Beijing will find it will have to modify its stance on non-involvement in domestic matters. For Africa's commitment to democracy has been the result of a hard-fought struggle by its people. Any perceived subversion of this status will no doubt be met by popular resistance. China's African learning curve might be steep and potentially fraught in this regard.
China's efforts to establish control of supplies of raw materials will in turn be both a challenge and an opportunity for those African nations intent on adding more value domestically to their commodities through increased local beneficiation. Can the interests of China and Africa be reconciled? Potentially - if Africa can strike beneficiation and exploration partnerships, and if China does not only uphold but seeks to improve continental governance standards.
The China-Africa relationship is founded on more than trade and aid. It is connected, fundamentally, to the path of Chinese development. Hence the current concentration of Beijing's effort on Africa and its resources. Even though China is acting in its own self-interest, Africa should not be afraid of losing out. After all, lasting relationships need to be mutually
beneficial.
Dr Mills heads the Brenthurst Foundation
Dr Trejos is at INCAE, Central America's regional business school, and is a former trade minister of Costa
Rica.
Afrik.com
01/03/2007
Le cyclone Gamède poursuit sa route destructrice vers Madagascar
- par Safi Fele
Il a fait d’énormes dégâts à La Réunion
L’alerte rouge a été levée, lundi, à 6 heures du matin, sur l’île de La Réunion. Le cyclone Gamède n’y a pas été meurtrier, cependant il y a causé des dégâts matériels importants. Des centaines de milliers de familles sont privées d’eau et d’électricité. L’ouragan, de plus en plus puissant, poursuit sa route vers Madagascar.
Dimanche soir, après s’être éloigné de l’île de la Réunion, le cyclone faisait du surplace à quelque 320 Km au Nord-ouest de l’île. Il se dirige aujourd’hui vers Madagascar. Selon le bulletin météorologique, Gamède se trouvait, dimanche, à 490 Km au nord-est de Toamasina sur la côte est de l’île. L’Express de Madagascar rapporte, ce lundi, que des avis d’avertissement et d’alerte ont été déclenchés. Les pêcheurs sont interdits de sortir en mer et déjà des moyens de communication sont endommagés à cause des rafales de vent de 210 Km/h. Il devrait frapper la Grande Île dans un ou deux jours, d’après le blog consacré à Madagascar. Le peuple malgache se prépare d’ores et déjà à vivre des moments très difficiles. Selon Jacky Rolland Randimbiarison, secrétaire exécutif du bureau national de la gestion des risques et catastrophes, une grande mobilisation a été menée pour prévenir le pire.
Après avoir menacé l’île Maurice pendant 36 heures, puis fait 2 morts, samedi, lors de son passage à 260Km de l’île, le cyclone |
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Gamède a fait 9 blessés et des dégâts matériels considérables à La Réunion. L’alerte rouge a été levée lundi à 6 heures du matin, heure locale. La population est de nouveau autorisée à circuler. Cependant la préfecture conseille de ne le faire qu’en cas de nécessité absolue car les routes restent dangereuses à cause des pluies torrentielles. Les routes non inondées sont encombrées de branches, de coulées de boue et même de câbles électriques « avec étincelles », selon une habitante de Sainte-Clotilde. Tous les établissements scolaires restent fermés.
La Réunion est paralysée et a subi des dégâts matériels graves
Le cyclone tropical Gamède a produit des rafales de vent de 205 Km /h dans la nuit de samedi à dimanche. Les communes de Cilaos et de Salazie, situées sur les hauteurs de l’est et du sud, sont coupées du reste de l’île en raison d’éboulis sur les voies d’accès. 100.000 abonnés EDF sont toujours privés d’électricité, 100.000 le sont d’eau et 40.000 de téléphone. Les établissements scolaires, les centres de formation et les universités restent fermés. Les réseaux téléphoniques Orange et SFR sont détériorés. Les cultures ont également souffert.
L’ensemble de l’île reste paralysé. Dans le sud, le pont de la rivière Saint-Etienne à Saint-Louis, où 50.000 véhicules circulaient chaque jour, et qui est essentiel pour les liaisons routières à l’intérieur de l’île, s’est effondré à la suite des crues provoquées par les précipitations. Face à cette situation de crise, le maire de Saint-Louis réclame « un approvisionnement du sud par voie aérienne ou cabotage maritime ».
La Direction départementale de l’Equipement doit expertiser un autre pont en aval, qui menace de céder, avant d’envisager sa réouverture totale à la circulation. En attendant, les automobilistes doivent faire un tour complet de l’île pour passer de Saint-Louis à la commune voisine de Saint-Pierre !
Wanadoo.mg 01/03/2007
Salaire : Un salaire minimum de Ar 63.519 convenu par les partenaires sociaux
Accord entre le patronat et les syndicats : augmenter l’actuel salaire minimum d’embauche – qui est de Ar 56.713 - et augmenter de 12% les salaires minima.
« Les partenaires sociaux ont convenu de porter le salaire minimum d’embauche de Ar 56.713 à Ar 63.519 à partir du 1er janvier 2007 et d’augmenter de 12% tous les salaires minima à savoir de M1 (main d’œuvre) à OP 3 (ouvrier professionnel) dans le secteur agricole et non agricole ». Ce fut lundi dernier, lors de la réunion des partenaires sociaux que cette décision a été prise pour augmenter donc de Ar 6806 l’actuel salaire minimum d’embauche. Réunion à l’issue de laquelle ils ont fait connaître au ministre de la Fonction Publique, du Travail et des Lois Sociales cet accord, tout en demandant à ce dernier de procéder à sa légalisation, dans une lettre à lui ont adressée et signée conjointement par le GEM, le FIVMPAMA et le CONECS ainsi que par les syndicats : FMM, FISEMA, FISEMARE, SARTM, SEREMA, SEKRIMA, SRMM, TM et USAM.
Ar 6806
Bien sûr, nous sommes loin du salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) revendiqué un temps, par une partie des syndicalistes, mais jugé irréaliste. Au vu des Ar 6806 de plus pour l’actuel salaire minimum d’embauche, mentionnés dans l’accord des partenaires sociaux, il est évident que cette augmentation est sans commune mesure avec le coût de la vie. De même que les 12% d’augmentation des bas salaires. Néanmoins, les premières réactions à chaud de quelques futurs bénéficiaires - à qui nous avions demandé leur avis sur l’éventualité d’une augmentation sont à peu près les mêmes : « toute augmentation est la bienvenue ! C’est mieux que rien…». Bref, pour les premiers concernés, quelques milliers d’ariary de plus, ne sont pas de refus ! En ce qui les concerne, les fonctionnaires ont déjà obtenu leurs 10% d’augmentation annoncés par le chef de l’Etat le 31 décembre 2006 et dès janvier 2007, l’augmentation a été effective.
L’accord des partenaires sociaux semble, quant à lui, s’acheminer vers ce qui a été dit à l’endroit du secteur privé : laisser à leur appréciation l’augmentation des salaires dans le privé. La légalisation d’un tel accord revient, bien entendu, à l’Etat.
Hanitra R. ©Midi Madagasikara
Le
Quotidien 27/02/2007
TOAMASINA:
Gamede et ses 500 km de diamètre ont détruit 18 maisons
A peine concernée par un avis de menace, la province de Toamasina enregistre déjà des dégâts inestimables. Depuis samedi jusqu’à lundi vers midi, le cyclone tropical a détruit 18 maisons du côté d’Ampasimazava et laissé une vingtaine de familles sinistrées.
La présence de ce cyclone dans la ville du Grand port fait que la mer devient violente et elle commence à creuser petit à petit les bords de la côte. Outre les maisons emportées par l’érosion, le terre- plein de La Seal en est également victime. De plus, un arbre est tombé sur un passant ayant emprunté le chemin du Bazar Be. Cet incident lui a valu une clavicule et des os de la cage thoracique cassés.
Cyclone tropical intense
Depuis hier à 15 heures, Gamede, localisé à 350 kilomètres à l’Est de Toamasina, est devenu un cyclone tropical intense. Avec ses 500 kilomètres de diamètre, il est accompagné d’un vent de 170 km/h au centre et de rafales de vents de 235 km/h. D’après les informations émises par le service de la météorologie, sa position reste toujours quasi stationnaire mais pourrait gagner la terre ferme du Sud vers mercredi ou jeudi.
A l’heure actuelle, les districts suivants font déjà l’objet d’un avis de danger imminent : Antalaha, Maroantsetra, Mananara Nord, Soanierana Ivongo, Sainte Marie, Vavatenina, Fénérive Est, Toamasina I et II, Brickaville, Vatomandry, Antanambao Manampotsy et, Mahanoro. Les habitants sont priés de ne pas sortir en mer afin d’éviter tout accident.
Plusieurs localités sont par ailleurs menacées, en l’occurrence Andilamena, Amparafaravola, Ambatondrazaka, Moramanga, Anosibe An’Ala et Marolambo.
Bien que la présence de Gamede mette sous pression la côte Est, d’autres districts sont également tenus de rester vigilants, à savoir Nosy Varika, Fandriana, Ifanadiana, Mananjary, Ikongo, Manakara, Vondrozo, Vohipeno, Farafangana, Midongy Atsimo, Vangaindrano, Befotaka, Amboasary Atsimo et Tolagnaro.
Farah
Tribune
27/02/2007
Décret de nomination des professeurs en médecine
Les avis sont partagés
Face aux besoins importants dans la formation des praticiens stagiaires au niveau des hôpitaux et dans le domaine de la santé publique, le ministère de la Santé et du planning familial et celui de l’Education nationale et de la recherche scientifique ont pris un nouveau décret fixant les critères particuliers de nomination des maîtres de conférences et des professeurs en médecine. De leur côté, les professeurs en exercice ont vivement réagi en condamnant cette nouvelle disposition, tendant à dévaloriser les diplômes. Les avis sont partagés...
Branle-bas de combat au sein du monde médical malgache. Ainsi, le ministère de la Santé et du Planning familial et celui de l’Education nationale et de la Recherche scientifique ont conjointement pris un décret le 22 novembre 2006, fixant les critères particuliers de nomination des maîtres de conférences et des professeurs en médecine de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique à vocation d’exploitation spécifique pour le département ministériel chargé de la santé.
Diminution du nombre des professeurs
Interrogé sur ce nouveau texte, le ministre de tutelle Jean Louis Robinson, accompagné de son vice-ministre Perline Rahantanirina, nous a affirmé sans ambages que cette décision a été prise après avoir constaté la situation qui prévaut au sein du monde médical.
Tout d’abord, le premier responsable de la Santé a signalé que le nombre des professeurs en médecine ne cesse de diminuer ces derniers temps. Actuellement, Madagascar n’a plus que 17 professeurs en médecine. Une situation alarmante, selon ses propres termes, alors que dans d’autres pays africains, comme au Maroc, le nombre des professeurs a beaucoup augmenté. Dans cette même foulée, il a insisté que plusieurs spécialistes sont actuellement dans l’attente.
Les professeurs pointés du doigt
Et pour enfoncer le clou, Dr Robinson a pointé du doigt les professeurs d’être à l’origine de cette situation. « Il y a un goulot d’étranglement », a-t-il déploré. Des chefs de clinique ou internat, qui ont décroché leurs diplômes depuis plusieurs années, sont condamnés, a ajouté le ministre. Certains d’entre eux sont désormais à la veille de leur retraite.
Abordant la question concernant le CAMES (Comité Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur), notre interlocuteur a fait savoir que des centaines de millions ont été dépensés pour nos candidats et il faut passer par la Côte d’Ivoire et le Sénégal. Pour étayer sa thèse, il a pris l’exemple du Pr Benjamin Rakotoambinina, un médecin reconnu mondialement. Il a échoué lors du concours organisé par le CAMES. Toutefois, le locataire d’Ambohidahy a annoncé qu’il n’est pas question de se retirer de ce Comité créé par une convention de l’OUA.
Grogne des professeurs
Du côté des professeurs, c’est le tollé général. Contrairement aux avis du ministre de la Santé, les professeurs en exercice crient au scandale. Ils voient d’un mauvais œil la décision de leur patron.
Contactés, certains d’entre eux qui ont requis leur anonymat ont fustigé les deux ministres initiateurs du décret.
« Ce nouveau texte mettra en danger non seulement la profession mais surtout la santé publique », ont-ils insisté. Aux yeux de ces professeurs, il s’agit d’une vraie braderie du diplôme universitaire. Profitant de notre rencontre, ces professeurs ont tenu à signaler qu’il revient aux facultés et aux universités de délivrer les diplômes et au ministère de recruter les diplômés après. Une manière de rappeler que le ministère a outrepassé ses attributions. Ce nouveau système, va favoriser le népotisme et la discrimination, déclarent certains professeurs.
Visiblement, la grogne s’amplifie au sein des professeurs en médecine en vue de défendre leur corps. Pour les rassurer, le ministre de la Santé a informé que l’acquisition du diplôme se fera par voie de concours dont la première édition se déroulera vers la fin de cette année sous la houlette de jury de renoms.
A l’heure actuelle, on compte près d’une centaine de prétendants. L’objectif est d’organiser un concours d’agrégation nationale, a conclu le ministre. Des arrêtés d’application seront en vue.
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Nominations...
Selon le décret n° 2006-854 du 22 novembre 2006, les maîtres de conférences et les professeurs d'enseignement supérieur dans les disciplines médicales sont nommés conjointement par le Ministre chargé de l'enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et le ministre chargé de la santé. Les praticiens spécialisés hospitalo-universitaires (titulaires du diplôme d'Etat de docteur en médecine et de Certificat d'Etudes Spécialisées (CES) , les praticiens spécialisés de gestion des programmes de santé publique (titulaires du diplôme d'Etat de docteur en médecine et du CES), peuvent être candidats aux fonctions de maîtres de conférences et des professeurs en médecine.
Toutefois, le même décret stipule quelques critères pour que la candidature soit valable. Tous ceux qui ont rempli les conditions requises seront nommés par décret pris en conseil des ministres, sur proposition conjointe des deux ministres cités ci-dessus après avis du collège des enseignants et des pairs, lequel collège est représenté par une composition de trois professeurs d'université pour chaque candidat. Notons que des nominations existaient bien avant, mais sous condition d'être admis au concours d'agrégation.
- Alphonse M.
allAfrica
26/02/2007
Madagascar: Cyclone - Gamède menace le littoral Est-
Midi Madagasikara- Vola Andriamanana
Gamède arrive droit sur nous. Ce cyclone tropical, - qui s'accompagne de vents pouvant atteindre les 185km/h en rafales -, se trouvait, hier vers 18h, à 1000 km au large de Mananara-Nord. Faisant cap ouest-sud-ouest et se déplaçant à 26 km/h, sa trajectoire actuelle le rapproche progressivement des côtes malgaches. « Pour l'heure, Gamède n'interfère pas encore sur le temps qu'il fait au pays. »
Barques à moteur
Toutefois, son influence pourrait bien se faire sentir d'ici dimanche », annoncent les techniciens du service de la météorologie
d'Ampasampito.
Face à cette menace, Jacky Roland Randimbiarison, secrétaire exécutif de l'ex-CNS, devenu le BNGRC (Bureau National de Gestion des Risques et Catastrophes) s'inquiète. Ainsi, pour limiter les éventuels dégâts, le BNGRC mobilise déjà ses moyens. « Nous allons déjà nous prépositionner à Mahanoro puisque Gamède pourrait bien atterrir de ce côté de l'île. Nous prévoyons, entre autres, d'équiper cette ville de barques à moteur pour pouvoir évacuer les habitants, en cas d'inondation», indique Jacky Roland
Randimbiarison.
Sans attendre Gamède, les intempéries ont repris de plus belle depuis hier. Et les pluies orageuses continueront encore de frapper pendant ce week-end, avisent les météorologues qui minimisent, pour l'instant, Humba, un autre système dépressionnaire localisé à plus de 3000 km de la Grande Ile. Humba est maintenant au stade de tempête tropicale modérée. Elle se déplace à 16 km/h dans la direction sud sud-ouest.
Déjà à bout
La saison cyclonique est bien « productive » cette année. Depuis décembre, les intempéries ont fait au grand total, 43.000 sinistrés à travers le pays, avec des dégâts nécessitant la bagatelle de 243 millions de dollars pour les réparer, d'après l'appel au secours de l'Etat Malgache. Jusqu'à présent, un pays, en l'occurrence la France, et une institution, la BAD, ont répondu favorablement à cet appel à la solidarité internationale. Pas plus tard qu'hier, la France vient de remettre 135 tentes pour abriter assez convenablement les sinistrés, hébergés dans des sites de fortune. Et si jamais Gamède vient à nous frapper, les dégâts risquent encore de s'alourdir. La population qui est déjà à bout, n'en a vraiment pas besoin.
vttm47.blog.fr
25/02/2007
Vondron'ny tia tanindrazana mpiady tamin'ny 29 martsa 1947-
par vttm47
Nandritran’ny 60 taona nanjakan’ny frantsay teto
Madagasikara, dia enjika sy fanabotriana, ary fampijaliana feno habibiana no nihatra tamin’ireo nanohitra
azy.

agrandir
la photo Klikeo
eto
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Teo koa ny asa
an-terivozona, ny lahasa tsy misy karama, ny asa 30 andro izay asa tsy maintsy ataon’ny tovolahy feno 18
taona, ny karatra isan-dahy izay aloa isan-taona, miampy ny fanadiovana ny
arabem-panjakana. Fa ny tena loza dia ny SMOTIG, manao làlana ,
tetezana, tonelina, indrindra fa ny làlam-by mampitohy an’Antananarivo sy
Toamasina, Antananarivo sy Antsirabe, Fianarantsoa Manakara. Tao koa ireo tranom-panjakana isan-karazany etc… Fa maro tamin’ireo mpiasa no matin’ny hanoanana nohon’ny tsy fahampiana
sakafo, ary mba hialana amin’izany dia nandositra ny tanàn-dehibe mba tsy
voaantso. Ny ankizy mianatra tamin’izany dia vitsy fa nampiasan’ny colons amin’ny karama varimasaka ny
ankamaroany, fa ny zanaky ny manan-katao ihany no afaka mankany
an-tsekoly. Taty aoriana dia nisy sekoly naorin’ireo misionera catholique sy misionera
protestanta, anglikana, teo koa ny sekolim-panjakana, ny Ecole regionale isaky ny provinces
enina.
Ireny rehetra ireny dia namoaka ankizy vita fianarana araka ny sokajy sy lalana napetraky ny fanjakana
Frantsay, izay
nomeny anarana c.e.s.d (Cours Elementaire du Second Degré ), fari-pahaizana ambony indrindra azon’ny Malagasy
ratovona. Tsy kivy anefa ny Malagasy fa vao maika aza nanaitra ny ambom-pony ity
lalana. Ary taty aoriana dia
dokotera, ka anisan’izany ny dokotera Raseta, Ravoahangy
Andrianavalona, Raherivelo Ramamonjy sns… ...
Lire le Dossier " 60è anniversaire de 1947"
Cliquez-ici
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(Fiainana nanjakan’ny tsindry hazo lena ka tsy nahafahan’ny Malagasy nivoatra tamin’ny lafin’ny
fanabeazana)
Tribune
26/02/2007
Détournement de deniers publics, faux et usage de faux
Gariste Daméogéonie, arrêté à Moroni
Huit jours seulement après l'avis de recherche lancé contre lui, Gariste Daméogéonie est arrêtée. Une célérité qui amène certains à s'interroger sur le cas des hommes politiques qui sont jusqu'à présent recherchés par la Justice malgache.
Suite au mandat d'arrêt international délivré par le juge d'instruction en charge des dossiers où il est impliqué, Gariste Daméogéonie a été arrêté ce vendredi à Moroni, capitale des îles Comores. Cette arrestation a eu lieu grâce à l'accord de coopération judiciaire entre les deux îles soeurs d'une part, et d'autre part à la collaboration du consul honoraire de Madagascar aux Comores.
Quelques heures seulement après l'arrestation, l'Etat malagasy a envoyé un avion spécial pour l'extradition de Gariste, mais cette extradition n'a été effectuée que samedi après-midi. Dès sa descente d'avion, Gariste a été immédiatement conduit à la prison centrale d'Antanimora. Et hier matin, et ce pour des raisons de sécurité, il a été transferé à Tsiafahy où il attend actuellement son jugement.
« Actuellement, Gariste et quelques personnes qui ont été déjà arrêtées dans le cadre de cette affaire, attendent leur procès. Les enquêtes proprement dite vont commencer car nous avons déjà entre nos mains des preuves permettant de trouver la vérité. », a souligné hier devant la presse la ministre de la Justice Lala Henriette Ratsiharovala.
Simple comptable au ministère des Finances
Deux grands dossiers attendent au tribunal d'Anosy cet ancien comptable du ministère des Finances : détournement de deniers publics d'un montant total de 29.000.000.000 Fmg ou 4.900.000.000 Ar et faux et usage de faux. L'affaire remonte d'après les enquêtes menées par la brigade financière au sein du ministère des Finances en 1998 quand le footballeur Gariste a exercé la fonction de simple comptable au sein de ce ministère. Au mois de juin 2006, Gariste a été déjà traîné devant la barre, mais il a bénéficié d'une libérté provisoire (LP). Quelques semaines après, un mandat de dépôt a été délivré contre lui, mais on ne l'a pas trouvé. Le 15 février 2007, le juge d'instruction en charge des dossiers a émis un mandat d'arrêt « national ». En même temps, le ministère de la Justice et le Secrétariat d'Etat chargée de la Sécurité Publique ont publié un avis de recherche, qui a fait la « Une » de la presse malgache. Parallèlement à ces démarches, les deux ministères ont noué des contacts avec les îles de l'Océan Indien. Ce qui a permis de localiser Gariste.
En tout cas, l'opinion curieuse veut savoir les noms des personnes qui ont été déjà arrêtées dans le cadre de cette grosse affaire. De la transparence SVP !
- Eugène R.
Midi
Mada 26/02/2007
SECURITE ROUTIERE
:Les débats font rage sur la ceinture de sécurité et les vitres fumées
La prochaine entrée en vigueur des mesures relevant de la sécurité routière fait actuellement l’objet de vifs débats au sein des usagers : port obligatoire de la ceinture de sécurité ; usage interdit par le grand public des vitres fumées ; interdiction de téléphoner au volant ; phares obligatoires pour les deux roues, port du casque,
etc…
Hanitra R.
« C’est un débat qui n’a même pas lieu d’être. Ne laissons plus perdurer un laisser-aller qui n’a que trop duré », clame-t-on d’un côté. « Il faudrait des mesures en adéquation avec nos réalités », soutient-on de l’autre
La série de mesures qui devrait entrer en vigueur à la mi-mars, intéresse donc, obligatoirement, un grand nombre d’usagers : ceux pour qui de telles mesures ne posent pas de problème et défendent même la nécessité d’instaurer des mesures qui, tout au moins, pourraient atténuer le laisser-aller, et d’autres qui devront changer radicalement de comportement et qui ne le feront pas de gaieté de cœur.
Taxis
Les propriétaires de véhicules anciens sont notamment les plus exposés à un dilemme puisque ces véhicules ne sont tout simplement plus équipés de dispositifs tels la ceinture de sécurité, depuis belle lurette. Va-t-il donc leur falloir en installer une eux-mêmes ? Quid alors du degré de sécurité sur de telles installations adaptées et en aucun cas d’origine ni conformes aux normes ? Ou alors ces véhicules sont-ils tout simplement condamnés à ne plus jamais rouler ? Pour l’instant, beaucoup de questions et peu de réponses. Et plus encore chez les chauffeurs de taxi-ville qui sentent leurs emplois menacés. En effet, seule une infime partie d’entre eux conduit un véhicule équipé de ceintures de sécurité. L’écrasante majorité des taxis de Tana est constituée de voitures 4L et de 2CV qui en sont dépourvues depuis « toujours ». Alors qu’actuellement il n’est pas rare non plus d’apercevoir des taxis qui ne sont pas aux normes avec les réglementations déjà en vigueur, pour ne citer que les basiques clignotants et feux de stop en état de marche !
Indiscret
Pour leur part, les adeptes des vitres fumées montent au créneau, défendant la motivation qui les a animés en installant ce dispositif. Et d’affirmer qu’ils l’ont fait par mesure de sécurité : « l’intérieur des véhicules est moins exposé aux regards indiscrets des voleurs, lesquels n’hésitent pas à casser les vitres pour s’emparer des objets à l’intérieur ». Tout ceci, bien sûr, en marge des autres motivations peut-être « inavouées » qui auraient pu inciter certains automobilistes à teinter les vitres de leurs portières et leur lunette arrière. Bref, la série de mesures que le ministère des Transports et du Tourisme compte mettre en vigueur n’a pas encore fini de faire parler d’elle.
Les
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