Madavôvô 2007

L'Année 2006 c'était l'année des Ouvertures..  ;   Joyeuses Fêtes de Noel à tous et Bonne Année 2007 ...

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Présentation au Roi du Maroc Sa Majesté le Roi Mohammed VI  des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana
Notons que la Présentation à Sa Majesté le Roi Mohammed VI des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana a précédé la visite présidentielle. Le programme de séjour présidentiel a été marqué, entre autres, par un entretien en tête-à-tête entre les deux chefs d’Etat, suivi d’une visite au Mausolée Mohammed V où le couple présidentiel a déposé des gerbes de fleurs sur les tombes de feu S.M. le Roi Mohammed V et feu S.M. le Roi Hassan II avant de signer le livre d’or....
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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Sommaire Madavôvô: 12 mars  2007

BigNews: Le Sport est Roi , ...

Edito: "Et à Mada? Mardi Gras et Carnaval ! ... "

1. Championnat de Madagascar de tennis de table 2007 (Total-Mada)

2. Les « anti-4 avril » se mobilisent (Les Nouvelles)

3. Madagascar: Banque, l'IFC entre dans le capital de BNI Leasing (allAfrica)

4. Employée de maison : Une stratégie de (sur)vie  (Tribune)

5. VIH / SIDA - Amoron'i Mania. 6087 personnes dépistées, 11 cas positifs (Wanadoo)

6. Trois « généraux à 4 étoiles » à la tête du reboisement (Tribune)

7. Immunité parlementaire : Effervescence à Tsimbazaza (Tibune)

8.No Comment.... No Comment...

9. Les origines des Evénements de mars 1947 (Quotidien)

10. Chambre administrative,requête en annulation du référendum du 4 avril 2007!(allAfrica)

11. Une femme entre mille… Perline Rahantanirina, vice-ministre de la Santé (Midi)

12. Femmes :Précieuses au foyer, en milieu professionnel et dans la société (Quotidien)

13. Loi du 9 /12/ 1905 concernant la séparation des Églises et de l'État (Nosintsika)

14. Constitution: Toute personne a le devoir de respecter l’environnement (Tribune)

... Le précédent MadaVôvô  8  mar 2007  >>

... Les Revues de presse plus bas !!!

12/03/2007

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.615.11 Ar 
USD 1.990.28 Ar 
GBP 3.844.02 Ar 
CHF 1.623.26 Ar 
JPY - Ar 
ZAR 269.22 Ar 
HKD 254.67 Ar 
Date Eur/Ar Date Eur/Ar
28/02 2640 30/01 2.649
08/03 2610 28/05 2771

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Les News du monde en permanence L'actu internationale en temps réel

Derniers Messages de nos Petites Annonces         + Savoir plus >>          Les Contacts  >>

1)-Je cherche un emploi (ex agent de la Galana Raffinerie Toamasina) dans notre pays ou à l'extérieur,contact tél: 261330708003     Contact: Albert Razafinjato

2)-je recherche un studio ou une chambre meublé pour deux personne du 15/03/2007 au 12/06/2007     Contact:  LE BOURHIS

3)-Bonjour,jeune titulaire d'un diplôme de marketing et communication (BAC +4+ expériences), et non épanouie dans mon emploi actuel, j'en recherche un nouveau. Alors, si jamais vous trouvez quelque chose relative à ce domaine, pensez à moi! merci  Contact:  Sandiniaina

4)-bonjour ! je m'appelle kanji prisca âgée de 21ans , je suis métisse indienne et malgache , je mesure 1m68, je pèse environ 56kg , yeux marrons , cheveux noirs ,j'aimerai trouver une agence de publicité ou manequin

5)-Je cherche l'âme soeur. Je suis un homme de 50 ans libre et indépendant. Je cherche une beauté malgache. Intelligence supérieure indispensable. Contact: Jean-Luc

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


 

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Edito : "Et à Mada? Mardi Gras et Carnaval ! ... " 

"C'était la Fête du mardi-gras à l'école “Au petit monde”, à Mandrosoa Ambohijatovo, dans la matinée de vendredi. L'ambiance était au rendez-vous. . Arborant les déguisements de leur choix, les écoliers de cet établissement ont fait un carvanal, Les enfants se sont amusés avant de partir en congé de mardi-gras."  Express Mada du 17/02/2007        ... Le Carnaval de l'Océan Indien  click-here >>

     La fête de Carnaval se déroule à différents endroits de notre planète et à différentes dates selon l'endroit du globe ... selon des rituels différents ... 
Mardi Gras et Carnaval sont deux fêtes qui marquent la période de Pâques. 
Venez découvrir les légendes et l'histoire de ces fêtes à travers le monde et ses saveurs ... Le Mardi gras ouvre la période pascale, moment essentiel dans le calendrier chrétien.

Et c'est universel ... à Madagascar, comme partout ailleurs dans le monde, on célèbre cette période durant lequel la gaieté et la tristesse alternent, jusqu'à la Pâques elle-même, jour d'espérance et d’allégresse. Pour la préparation de Pâques et pour se purifier, les Chrétiens observent un temps de jeûne et d'austérité de 40 jours, le Carême, en souvenir de la retraite de Jésus dans le désert. Par opposition à cette austérité, un jour d'abondance et de joie précède le début du carême : le Mardi-gras. 

      Ce jour est appelé « gras » car traditionnellement le beurre et l'huile sont des ingrédients liés aux festins. À Mardi gras, les excès sont permis, aussi bien en gastronomie : crêpes, beignets et toutes bonnes choses sucrées ! ... que dans l'apparence vestimentaire : le carnaval. La tradition de faire des crêpes à Mardi 

Carnaval et festival de musique à NosyBé en 1994

gras vient de la nécessité d'épuiser les réserves de beurre et d'oeufs qui ne seront pas utilisées durant le carême. Mardi gras est une fête d'origine catholique qui marque, en apothéose, la fin de la semaine des sept jours gras autrefois appelés jours charnels. Cette période pendant laquelle on festoyait précède le mercredi des Cendres marquant le début du Carême. Et le Mardi gras, on a de nombreux carnavals.

En Europe, comme à Madagascar, les festivités des jours gras sont devenues bien moins intenses en raison de la baisse des pratiques religieuses d'abstinence durant le Carême .

Aux États-Unis, Mardi gras est une fête très importante et réputée, notamment à la Nouvelle-Orléans.
Les dates actuelles de cette fête sont pour cette année le mardi 20 février et le 5 février pour 2008.
Mardi gras, populairement, est aussi le jour où l'on mange les fameux "beignets de carnaval". Dans la tradition chrétienne, les festivités associées au carnaval précèdent l'entrée dans le Carême où le chrétien mange "maigre", avec abstinence notamment de viande ; d'où l'étymologie du mot "carnaval" qui dérive du latin médiéval: "carnelevare" signifiant: "enlever, retirer la chair".

     Cette année le Carnaval de Venise a eu lieu du 9 au 20 fevrier 2007 , comme le veut la tradition, avec une débauche de costumes et de couleurs. Le festival Donia a lieu tous les ans à Nosy-Be. Durant 4 à 5 jours, c'est la fête sur l'île, encore plus que d'habitude. Depuis 1994, c'est le rendez-vous culturel à ne pas rater, organisé par le Cofestin. Au programme: un carnaval d'ouverture tout en couleurs, des chanteurs, malgaches bien sûr mais également venant de tout l'Océan Indien pour des concerts le soir, et des animations sportives et socio-culturelles la journée.    ...Lire la suite  Cliquez-ici     
                                  
             ... Le Carnaval dans le monde  click-here >>

 

« Les grands carnavals dans le monde : Carnaval Costumes extravagants, défilés dans les rues et traditions ancestrales »

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de Venise

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de Londres

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De Rio

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De Guadeloupe

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De Madagascar

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de l'Océan Indien

... Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina", Shoan  a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.              Merci d'avance!                     ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>


Communication TOTAL MADAGASIKARA 12/03/2007

Championnat de Madagascar de tennis de table 2007

Bravo pour le champion et sa famille! 
Un des mes collègues était en finale contre lui ce WE, je sais donc qu'il ENCORE gagné! 
Lalaïna GIRARDOT  Responsable Communication  TOTAL MADAGASIKARA

Heureux de porter à votre connaissance la victoire ce jour de Vincent Belrose en finale du tournoi organisé par la Section d'Antananarivo de tennis de table dans le cadre du déroulement Championnat de Madagascar 2007.
Cela lui permet de participer le week-end prochain au championnat de la Ligue d'Analamanga (Antananarivo avec les sections des communes environnantes) avec la perspective d'être le Champion de Madagascar en titre en 3eme série et accéder en 2nde série dès la saison prochaine. 

Il fait partie du Club de la Cie d'Assurances ARO, dont le directeur de l'agence centrale d'Antananarivo n'est autre que Hery Ramalanjaona. Grosses bises à tout le monde .

Henry et Anna Randriamifidy  (rainizafimanga.com)


Les Nouvelles 11/03/2007
Les « anti-4 avril » se mobilisent 
Ceux qui sont contre le référendum se manifestent. Des réactions et des promesses d’action apparaissent de part et d’autre dans ce sens. 
Après quelques réactions timides contre le référendum du 4 avril, voilà que les grosses pointures se manifestent. L’Arema a annoncé hier à son siège de Soanierana qu’il roule pour le «non» à la nouvelle Constitution. «Plusieurs raisons nous ont poussés à nous prononcer contre ce scrutin comme la violation du principe de la séparation des pouvoirs, la suppression de la laïcité de l’Etat ainsi que le retour vers le centrisme étatique énoncés dans la révision», a expliqué Samuel Ralaidovy, le coordinateur national du parti.
Benjamin Vaovao, secrétaire administratif national de l’Arema, a déjà lancé l’idée de l’organisation d’une campagne pour le «non» avec le Comité pour la réconciliation nationale (CRN). Il a souligné que des plateformes ont été créées dans chaque province pour sensibiliser la base. Il a notamment prévu de couvrir toutes les provinces ce mois-ci. «Nous insisterons sur la contradiction entre le 4 avril et le 3 décembre. Nous évoquerons notamment l’idée que ce nouveau scrutin est organisé alors que le régime déclare la situation d’urgence», a-t-il souligné. Malgré sa volonté, l’initiative de Benjamin Vaovao n’a pas eu de grands échos jusqu’à maintenant…
La carte de la légalité 
Pierre Andrianantenaina, leader du parti Farimbona, monte aussi le ton. Il joue la carte de la légalité en envoyant une requête à la Chambre administrative pour l’annulation du décret de convocation des électeurs pour le 4 avril. «Ce décret est entaché d’illégalité et ne respecte pas la hiérarchie des normes. Si le code électoral a souligné qu’il faut 90 jours pour convoquer les électeurs, ce décret a été sorti moins de deux mois avant la date du référendum. Plus précisément, le 19 février dernier. N’est-ce pas une violation flagrante ?», a argumenté le politicien.
Toutefois, à quelques semaines de l’ouverture de la campagne pour le référendum, les «anti-4 avril» ne dévoilent pas leurs stratégies. «Je crois que les moyens engagés pour faire gagner le non ne peuvent être évoqués pour l’instant», a tout simplement lancé Benjamin Vaovao. «Pour l’instant, nous nous focalisons surtout sur notre action à la Chambre administrative. Nos actions à venir dépendront de sa décision», a déclaré à son tour Pierre Andrianantenaina.
Sitraka Razafimahefa


allAfrica 10/03/2007

Madagascar: Banque, l'IFC entre dans le capital de BNI Leasing - Midi Madagasikara  - R.e.
Le crédit-bail se développe et fait actuellement l'objet de nombreuses initiatives pour que les opérateurs y fassent recours.
Le crédit-bail est à la mode. Et ce ne sont pas les initiatives privées qui manquent pour développer à Madagascar ce nouveau système révolutionnaire de financement des entreprises qui veulent acquérir des équipements. Depuis hier par exemple, la BNI Leasing vient d'augmenter son capital avec l'entrée de la Société Financière Internationale en tant qu'actionnaire
Avantages
La signature de la Convention a eu lieu hier à l'agence Zénith de la BNI Madagascar à la Tour Zital en présence du Directeur de l'IFC pour l'Afrique Thierry Tanoh et du Directeur général de la BNI Pascal Fall. Par cette opération, l'IFC apporte un investissement à fonds propres de 100.000 dollars USD. Du coup, cette entrée de l'IFC permet d'augmenter de 25% le capital de la BNI Leasing qui passe ainsi de 760 millions d'Ariary à 950 millions d'Ariary, et détenu à hauteur de 20% par l'IFC et de 80% par la BNI Madagascar. Cette entrée de l'IFC dans le capital de la BNI Leasing apporte plusieurs avantages car elle permet entre autres de renforcer les liens entre les deux parties, d'augmenter la marge de manoeuvre de la BNI Leasing dans le financement de l'économie, de par le relèvement du plafond de crédit accordé, suite à l'augmentation de ses fonds propres. Cet accord permet également à la BNI Leasing de bénéficier de l'expérience et du professionnalisme de l'IFC qui a contribué au développement et à la promotion du leasing dans le monde et surtout dans les pays émergents.
Promotion
En effet, l'IFC est le bras du groupe de la Banque Mondiale pour la promotion du secteur privé et contribue à la promotion des marchés ouverts et concurrentiels dans les pays en développement. La facilitation de l'accès au crédit est l'un des objectifs de l'IFC. BNI Leasing pour sa part fait partie du groupe Crédit Agricole qui est le numéro Deux dans l'activité de crédit-bail en France et numéro Un en Pologne. Opérationnelle depuis un mois, BNI leasing qui est implantée au premier étage de la Tour Zital a déjà traité avec plus de 80 chefs d'entreprises. Le montant des dossiers accordés est de 3673 milliards d'Ariary répartis comme suit : professionnels et très petites entreprises : 57%, Petites et Moyennes Entreprises : 7%, grandes entreprises :36%. Les matériels d'équipements en BTP, les machines agricoles, les voitures utilitaires, les voitures de tourisme, les matériels informatiques ont été les principaux biens d'équipement acquis par le biais du crédit-bail. Le crédit-bail qui est appelé à connaître un développement certain surtout depuis que l'Etat a décidé de régler la question de la double imposition de TVA sur le crédit-bail.
Dans le discours qu'il a prononcé, le Directeur de l'IFC pour l'Afrique Subsaharienne a déclaré que l'IFC s'engage à aider à la création d'opportunités pour les petites entreprises, de contribuer davantage à la croissance économique et à la création d'emplois à Madagascar.


Even.fr 08/03/2007

Présentation: La Journée internationale de la femme
La Journée internationale de la femme (le 8 mars) est célébrée par des groupes de femmes dans le monde entier. Elle est également célébrée à l'ONU et, dans maints pays, c'est un jour de fête nationale. Lorsque les femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières et par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques et politiques, se réunissent pour célébrer leur Journée, elles peuvent voir, si elles jettent un regard en arrière, qu'il s'agit d'une tradition représentant au moins 90 ans de lutte pour l'égalité, la justice, la paix et le développement.
La Journée internationale de la femme est l'histoire de femmes ordinaires qui ont fait l'histoire ; elle puise ses racines dans la lutte que mènent les femmes depuis des siècles pour participer à la société sur un pied d'égalité avec les hommes. Dans l'antiquité grecque, Lysistrata a lancé une 'grève sexuelle' contre les hommes pour mettre fin à la guerre ; pendant la Révolution française, des Parisiennes demandant 'liberté, égalité, fraternité' ont marché sur Versailles pour exiger le suffrage des femmes.
L'idée d'une Journée internationale de la femme s'est au tout début fait jour au tournant du XIXe et du XXe siècle, période caractérisée dans le monde industrialisé par l'expansion et l'effervescence, une croissance démographique explosive et des idéologies radicales
.

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Wanadoo.mg 10/03/2007
VIH / SIDA - Amoron'i Mania. 6087 personnes dépistées, 11 cas positifs aux premiers tests rapides...?
Les actions de lutte contre le VIH /SIDA dans la région d'Amoron'i Mania vont bon train. Par la mise en place à ce jour, dans les 31 communes sur 55 que compte la région, des comités locaux de lutte contre le SIDA (CLLS). 
Dans ces communes, 10 sont déjà opérationnels et 7 ont pu élaborer leurs plans locaux de lutte contre le VIH/SIDA (PLLS). 42 organisations communautaires de base (OCB) ont pu bénéficier des Fonds d'Appui à la prévention de lutte contre cette maladie (FAP/PMPS). 21 centres de prévention de la transmission mère-enfant (PTPME) sont opérationnels. Il existe deux centres de dépistage (CTV-CDT) implantés à Ambositra, chef-lieu de la région. 
Recherche plus accentuée 
Plus d'une dizaine de séances de dépistage de proximité ont été jusqu'à l'heure réalisées. Les résultats ont abouti à 6087 personnes dépistées dont onze cas se sont avérés positifs aux premiers tests rapides, a révélé le Dr Randriamanantena Marcellin, directeur régional de la Santé et du Planning Familial d'Amoron'i Mania, lors de notre entretien périodique. Ce premier responsable de la région de préciser toutefois qu'aucun cas de maladie du SIDA n'a encore été confirmé jusqu'à ce jour dans la région. Les Onze cas sont issus des premiers tests rapides qui seront soumis à des recherches plus accentuées dans les centres spécialisés. Il faut donc attendre des résultats plus approfondis pour confirmer ou non la présence du SIDA chez ces individus. 
Les Onze cas déclarés positifs proviennent principalement de la ville d'Ambositra, d'Ambatofinandrahana et de la commune rurale d'Imito dans le district de Fandriana. 
IST 
Les infections sexuellement transmissibles (IST) sont des maladies qui ne sont pas à sous-estimer dans la région. A preuve, le taux de prévalence atteint 0,31% dans la région. Un taux en progression par rapport à l'année 2006, a souligné le Dr Randriamanantena Marcellin en toute transparence. La ville d'Ambositra vient toujours en tête de peloton avec 0,40%. Face à cette situation, les stratégies de lutte contre le IST ont été renforcées. Toutes les 109 formations sanitaires sont dotées de KITS IST (cura 7, génicure). Plus de 120.000 préservatifs "Fimailo" ont été distribués dans les districts sanitaires. Une situation à prendre au sérieux de par la situation sociogéographique de cette région située sur l'axe RN7 pour ne citer que cela. IL vaut mieux donc se prémunir. 
Anastase  ©Midi Madagasikara 


Tribune 09/03/2007

Employée de maison : Une stratégie de (sur)vie 
« S'émanciper », « trouver une vie meilleure » tels sont entre autres les raisons pour les filles de la campagne pour venir travailler comme employée de maison dans la capitale. Les motifs financiers sont dans la plupart des cas secondaires, l'essentiel est de partir et de quitter la condition campagnarde dans laquelle elles vivent. C'est comme si la vie ou la survie n'est possible qu'en milieu urbain. 
« Trouver une vie meilleure » pourrait être l’objectif de ce millier de femmes qui quittent les régions environnantes de la capitale pour se mettre au service des familles tananariviennes. Itinéraire.
Etre une « bonne famille » à Antananarivo requiert certaines conditions. Parmi elles, se trouve en bonne place, la présence d’une « petite bonne à tous faire » généralement d’origine campagnarde. Le choix des régions de provenance est, d’ailleurs, primordial dans le choix des personnes. En général, les Tananariviens préfèrent les filles provenant du Vakinankaratra notamment celles qui sont originaires d’Antanifotsy.
L’âge est également un critère de choix. Si les adolescentes sont actuellement les plus nombreuses, les « patrons » cherchent plutôt les préadolescentes entre 10 et 13 ans. Pour eux, elles sont plus malléables et faciles à « dresser » contrairement aux plus âgées. Ces dernières sont souvent regardées avec méfiance car on les juge comme capables de toutes les « vices » et notamment les vols.
Réseaux de recrutement
En général, entre les « patrons » et les futures employées de maison se trouve une personne intermédiaire. Les recrutements se font ainsi par cooptation et très rarement par l’entremise d’une agence ou d’une offre d’emploi. Certes, actuellement des maisons de placement existent comme le JREWS Ressources sis à Behoririka et des offres sont régulièrement publiées dans des journaux (Vidy Varotra...). Mais les employeurs s’en méfient beaucoup. Ils préfèrent mettre leur confiance à des «connaissances» qui pourraient les conseiller.
Ainsi leur premier réflexe est de demander à leurs proches parents s’ils trouvent des « petites » pour les aider dans leurs travaux quotidiens. Ceux-ci contactent alors les proches de leur propre « mpanampy » (employée de maison) ou les personnes qui les entourent. Les tractations s’engagent alors entre les parents de la future employée et les futurs employeurs souvent sous l’égide d’un intermédiaire. Ce dernier, en contact régulier entre la ville et les campagnes, devient en quelque sorte un agent de placement. D’ailleurs, leur service est payant et équivaut, en général, au premier salaire de l’employée.
Trouver encore mieux
Pour les candidates, les motifs de départ ne sont pas a priori pécuniaires. D’ailleurs, souvent elles ne touchent même pas leur salaire. Celui-ci est immédiatement versé aux parents. L’employée se contente de ce que ses patrons lui offre en sus du gîte et de la nourriture.
Leur première motivation est celle de quitter la campagne et la vie qui y est assez pénible, du moins celle-ci est vue comme telle. La ville devient alors un eldorado où tout brille. A cette attirance s’ajoute l’envie de rassembler aux sœurs aînées ou aux filles du village qui ont déjà goûté à la vie urbaine et ses merveilles (ou à ses mirages !!). La curiosité se mêle alors à l’utile.
En effet, monter à Antananarivo, c’est aussi trouver d’autres perspectives. D’autres marchés de travail s’ouvrent également. Le plus important d’entre eux, c’est le travail dans les zones franches qui ceinturent la ville. Les enquêtes menées parmi les employés de zones franches montrent qu’une frange importante d’entre eux ont été auparavant des « bonnes ». Et voulant « s’émanciper » et avoir leur propre autonomie, ils s’élancent dans une nouvelle carrière en particulier dans le textile où le niveau de qualification est moindre. 
Désormais, elles ont gagné leur insertion en tant que personnes urbanisées. Elles peuvent envisager autrement leur vie : foyer, mariage, enfants... Tout semble à portée de main. Qui pourrait infirmer que le vouloir ne détermine pas la réussite ?
Portrait • Hanitra, employée de maison
Teint basané, cheveux tressés, accent à la Vakinakaratra, Hanitra, la vingtaine, est fière d’être à Antananarivo. Elle est employée de maison dans une famille de classe moyenne et ne regrette pas d’être loin de ses siens. Interview.
Madagascar Tribune : Depuis quand vous êtes à Antananarivo ?
• Hanitra : Je suis arrivée ici il y a six ans. Je suis originaire d’Antanifotsy. En fait, je n’habite pas la ville elle-même mais un village situé à plusieurs kilomètres de là.
Qui vous a amenée ici ?
• Mes sœurs travaillaient déjà ici il y a longtemps. Elles étaient « bonnes » et les restent encore actuellement. Et quand le fils du patron de l’une d’entre elles s’était marié, il avait demandé à ma sœur si elle pourrait lui trouver une autre personne. Ma sœur m’avait tout de suite contactée. Mes parents étaient au début réticents car j’étais trop jeune à l’époque et que j’étais la dernière fille qui leur restait au village. Mais j’avais insisté et ils avaient fini par accepter.
Pourquoi vous avez insisté ?
• Ben (rire)... Mes sœurs m’avaient poussé à le faire... (rire) Enfin... Je voulais, à l’époque, ressembler à mes sœurs. À chaque fois qu’elles retournaient au village, elles devenaient de plus en plus jolies. Elles n’étaient plus de vielles campagnardes. Elles portaient des jolies robes et des jolies parures. Elles avaient de l’argent, beaucoup d’argents et pouvaient acheter tout ce qu’elles voulaient. Je les avais enviées. Ainsi, j’étais pressée de partir en ville.
Et votre travail vous plaît ?
• Cela dépend des patrons. Actuellement, j’en suis à mon troisième. Le premier était gentil mais sa femme ne m’aimait pas trop. Elle était toujours derrière moi à m’engueuler. À l’époque, j’étais un peu maladroite car je n’avais pas encore beaucoup d’expériences. Finalement, j’avais changé de patron mais celui-ci était parti à Tuléar. Et c’était une connaissance qui m’avait trouvé mon travail actuel.
Ici, je n’ai rien à me plaindre. Le travail n’est pas trop difficile. D’ailleurs, mon métier consiste actuellement à arranger les chambres et à chercher les enfants à l’école. Je suis libre le dimanche et régulièrement on me donne quelques linges de rechange. 
Vous pensez rester employée de maison encore longtemps ?
• Non. Je ne peux pas le rester éternellement, ici. Je veux avoir ma propre vie. Actuellement, je sors avec un garçon qui travaille comme gardien de nuit. Et il m’a conseillé d’économiser quelques sous. Nous projetons de monter une petite gargote près de GRIFFY (NDRL, zone franche spécialisée dans l’habillement sis à Ambatobe). Cela nous permettrait, je pense, de gagner notre indépendance. En fait, il nous faut être libre financièrement si nous voulons fonder une famille. Et avoir une famille à moi est mon rêve de toujours.
 - Alexandre L 


Tribune  27/02/2007

Nature et Environnement

Trois « généraux à 4 étoiles » à la tête du reboisement

Une grande première dans les annales du reboisement à Madagascar. Trois départements ministériels relevant de la souveraineté nationale (Intérieur, Défense Nationale, Affaires Etrangères) se sont donnés rendez-vous, à Tsimahabeomby, commune rurale d’Imerintsiatosika pour faire un reboisement commun dans le domaine du Régiment d’Artillerie Lourde à Imerintsiatosika, dans le cadre de la protection de l’environnement et la mise en œuvre de la Révolution verte, un des objectifs du MAP. Ce reboisement a été conduit par les « quatre étoilés » du gouvernement, à savoir, le Premier Ministre Charles Rabemananjara, Petera Behajaina, Marcel Ranjeva. L’Esprit de corps oblige. Une occasion pour ces généraux de Corps d’Armée de se rappeler les « souvenirs d’antan » comme frères d’armes. Chaque année, le domaine militaire à Imerintsiatosika a été toujours choisi comme site de reboisement. Samedi dernier, 9.000 jeunes plants (eucalyptus, pins, jacarandas) ont été mis en terre par plus de 1.000 personnels de ces trois ministères. Les membres du Corps diplomatique et consulaire conduits participent également à ce reboisement, comme ils ont l’habitude de le faire avec le Ministère des Affaires Etrangères, chaque année. Ce reboisement s’est déroulée sous le signe de la solidarité et de la fraternité. 

A cette occasion, le ministre des Affaires Etrangères, Marcel Ranjeva a octroyé des matériels sportifs (ballons, maillots, survêtements) pour les équipes de football du RAL et des jeunes de la Commune rurale d’Imerintsiatosika.
Nivo T. A.    Madagascar Tribune 


Madagascar-actuel.info   08/03/2007

L'heure du bilan après le passage des cyclones : Le pays est en crise

Dégâts des intempéries : Besoin d’urgence de 82 millions de dollars 
Des routes à reconstruire, des ports à remettre en état tel celui de Mahajanga où tout un terre-plein s’est effondré, sans parler des champs de cultures ravagés et bien sûr des établissements ou des maisons d’habitation à réhabiliter ; en tout cas d’énormes travaux en perspectives. Mais les moyens font défaut et c’est la raison de cet appel à solidarité du gouvernement. Le Premier ministre a évalué les besoins d’urgence.
Suite aux dégâts causés par les intempéries, le ministère des Affaires étrangères malgaches a lancé un appel de détresse en direction des généreux donateurs. Certains pays, comme le royaume du Maroc, ont déjà favorablement répondu au gouvernement malgache, d’autres hésitent encore. 
Intervenant à la Radio du Monde (RFI), le premier ministre malgache, le général Charles Rabemananjara a évalué à 82 millions de dollars, les besoins immédiats du pays dont 22 millions seront affectés aux travaux de réhabilitation des infrastructures routières. 
L’appel des autorités malgaches aura des échos au sein de la communauté internationale ou non ? Pour l’instant, on est encore loin du chiffre avancé par le gouvernement. 
A noter que l’Ile de la Réunion, un département français dans l’Océan Indien, est également durement frappée par le cyclone Gamede dont les dégâts sont évalués à plusieurs centaines de millions d’euros. Non loin de nous, le Mozambique, dévasté aussi par les pluies torrentielles et le passage des cyclones tropicaux, a aussi formulé une demande auprès de la communauté internationale pour sauver des milliers de vie humaine. 
La diplomatie malgache pourrait faire peser tout son poids pour que les pays amis fassent un geste! La balle est désormais dans le camp de l’équipe du général Marcel Ranjeva. 
En dehors les inondations de plusieurs milliers d’hectares de rizières et de cultures maraîchères, les infrastructures routières sont les plus touchées par les pluies torrentielles de ces derniers temps, provoquant une menace au ravitaillement de divers centres urbains. Du coup, le prix des produits de première nécessité a fortement augmenté. 
Heureusement que le gouvernement a pris des mesures draconiennes pour éviter le pire.
www.madagascar-tribune.com


Tribune 09/03/2007

Immunité parlementaire : Effervescence à Tsimbazaza 
Visiblement, les députés de la majorité à Tsimbazaza ne sont pas unanimes sur les dispositions de l’article 70 du projet de révision de la Constitution, relatives à l’immunité parlementaire. 
Pendant que le président de l’Assemblée nationale Mahafaritsy Samuël Razakanirina effectue une mission à l’extérieur, les couloirs du Palais de Tsimbazaza est en train de vivre une effervescence particulière engendrée par la lecture de l’article 70 du projet de révision de la Constitution. Cet article 70 dispose que les députés ne sont couverts par l’immunité parlementaire que pendant la durée des sessions. En dehors des sessions, ils peuvent être arrêtés en matière criminelle ou correctionnelle comme les simples sujets de droit. Cette effervescence est constatée tant au sein de la majorité qu’au sein d’autres groupes parlementaires. Visiblement, la plupart des députés ne sont pas d’accord avec ces nouvelles dispositions constitutionnelles qui ne leur permettraient pas d’accomplir comme il faut leur mission en tant que « Solombavam-bahoaka ». Un groupe de députés dirigé par l’élu d’Antsohihy Rémi dit Jao Jean se préparerait actuellement à rencontrer le président de la République ou le Premier ministre pour exprimer leur point de vue sur ces nouvelles dispositions.
La prudence
Du côté de la majorité TIM, c’est la prudence. Quelques députés du parti au pouvoir comme Ralambozafy Alexandre dit Chiriack d’Ivohibe ont déjà dénoncé ces dispositions du projet de révision de la Constitution. Un autre député TIM, qui a requis son anonymat par peur d’être blâmé par son parti, est même allé jusqu’à laisser entendre qu’avec ce projet de révision de la Constitution, les députés ne peuvent plus faute d’immunité parlementaire « servir » pendant l’intersession leurs électeurs. Une manière pour cet élu TIM de faire comprendre que les « solombavam-bahoaka » digne de ce nom, qui entrent des fois en conflit avec les autres autorités locales, voire gouvernementales, dans le combat où ils défendent les intérêts de la population qui les a élus. Quoi qu’il en soit, ces députés TIM sont soumis à la discipline du parti. Cette discpline a toujours triomphé à l’Assemblée nationale. Reste à savoir de quelle discipline s’agit-elle cette fois-ci. L’avis personnel de Razoarimihaja Solofonantenaina, président national du TIM et non moins vice-président de l’Assemblée nationale, vaut-il consigne du parti pour ces députés de la majorité ? Joint au téléphone hier, le député Jeannot Randrianaivoarivony a fait savoir que les députés TIM se réuniront incessamment pour déterminer la position commune à défendre. 
- Eugène R. 


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Le quotidien 11/03/07
DOSSIER HISTOIRE : Les origines des Evénements de mars 1947
Cette année, dans dix neuf jours, le 29 mars exactement, nous célébrerons le soixantième anniversaire du mouvement de 1947. Actuellement, les interdits concernant les archives de cette période sont entièrement levés et chaque citoyen Malagasy, chercheur ou non, peut se documenter et comprendre les tenants et aboutissants de cette partie de l’histoire de la nation Malagasy. 29 mars 1947 représente l’apogée des luttes menées afin de recouvrir notre indépendance spoliée par la France coloniale en 1895. Pendant des décennies, Malagasy et étrangers tentèrent de trouver une explication à l’enchaînement des faits et chacun a son interprétation de cette période, mais une chose est sûre cette période marquera la conscience collective des Malagasy jusqu’au 22 février 2002, date de la première investiture présidentielle de Marc Ravalomanana, à partir de là une nouvelle perspective doit diriger notre représentation du passé afin de réaliser le changement de comportement pour le redressement économique du pays.
Réalisé par Gérard C.

Les événements de 1947 ne sont pas l’expression d’une révolte populaire spontanée, mais le résultat de plusieurs facteurs qui se sont additionnés dans le temps. A leur paro-xysme, les responsables du pouvoir colonial furent sur-
pris par leur violence et leur ampleur. Ces facteurs sont au nombre de deux : immédiats et les raisons profondes . 
1-Les facteurs immédiats :
déception des tirailleurs malgaches
Entre 1939- 1945, plus de 34 000 Malagasy se sont engagés dans l’Armée française durant les différentes campagnes de la Seconde Guerre Mondiale : campagne de France (1940), campagnes d’Italie, France et Allemagne (1942-1945). Cer-tains ont reçu des citations, comme le 32e Régiment Colonial d’Artillerie Mixte Malgache le 2 juillet 1941 : “régiment d’artil-lerie d’élite ayant fait preuve des plus belles qualités de bravoure et d’intrépidité.... a détruit de nombreux engins blindés ennemis (allemands)...a terminé la campagne (de France) en conservant les deux tiers de ses pièces,...”. Les troupes prises dans la débâcle de juin 1940 stationnèrent dans le Midi de la France jusqu’à la fin des hostilités et furent utilisées pour les travaux d’intérêt général, plus particulièrement le développement de la riziculture en Camargue. D’autres ont participé dans les réseaux de la Résistance. Ce long séjour en métropole a permis à ses militaires engagés dans l’armée française - la nostalgie aidant - de réfléchir sur le passé et l’avenir de Madagascar. A la fin de la Guerre, ils ont cru pouvoir bientôt revenir au pays, avec l’espoir de revenir avec des messages de liberté et comblés d’honneur par la France nouvelle, celle de la Libération gaulliste qui “est enfin reconnais-sante à l’égard des Malagasy des services qu’ils venaient de lui rendre à un moment tragique de son histoire”. Mais ce fut une grande déception car ils ne furent finalement rapatriés qu’en août 1946, après moult tracasseries administratives et de frustrations supplémentaires. Rien d’étonnant à ce qu’à leur retour, ils furent accueillis en héros par les Malagasy. Devant les primes dérisoires qu’ils ont reçues, ces soldats rejoignirent les rangs des sociétés secrètes (Jiny et Panama) pour devenir les “libérateurs de leur Nation”. 
Réquisitions et Office du riz
Afin de faire face à l’ “effort de guerre”, le pouvoir colonial à Madagascar, bien qu’il ait été affaibli par la défaite de juin 1940, a augmenté les réquisitions. Pour pallier le déficit de main d’oeuvre, les entreprises privées, dont le plus grand nombre implantées, sur le littoral Est (Toamasina) se lancèrent dans de vastes opérations de réquisitions, plus de 17 000 requis en 1942, dont une grande partie composée par les 
femmes. De telles pratiques sont souvent accompagnées d’abus perpétrés par le secteur privé (compagnies et colons) comme les “locaux spéciaux” (prisons) dépeuplèrent des villages entiers et ont fait fuir la population. Résultat : si les cultures de rente ont gagné en production, les cultures traditionnelles et vivrières ont totalement périclité avec la famine qui pointait le bout de son 
nez. Et, comme pour aggraver davantage le tout, l’administration a mis en place l’Office du riz en 1943 afin de contrôler et orienter la production rizicole de Madagascar vers l’effort de guerre. Le résultat ne s’est pas attendre car si la production destinée à l’exportation a connu une amélioration significative, la consommation locale a été au bord de l’asphyxie car la quasi-totalité de la production auprès des paysans, et ce, malgré les promesses de régulation par l’Office du riz, a été raflée par celui-ci, réduisant beaucoup de ruraux à trouver autre chose à se mettre sous la dent, d’où un mécontentement général. Pour cette raison, les nationalistes Ravoa-hangy, Raseta, Jules Ranaivo, 
le pasteur Ravelojaona et bien d’autres syndicalistes malagasy créèrent le comité de salut public afin de protéger la nation mala-gasy des exactions de l’administration coloniale assistée des compagnies et des colons français. 
2- Les causes profondes :
défaite française, la revanche des Ancêtres
L’opposition des Malagasy à l’Office du riz a été le signal pour la séparation entre une partie des “forces dits progressistes” (communistes et syndicalistes) avec une fraction des nationalistes malagasy en l'occurrence les futurs députés (Ravoahangy et Raseta). En effet pour les progressistes français la défaite de juin 1940 et l’occupation allemande est une injustice qu’il faut combattre mais aux 
yeux d’un certain nombre de Malagasy cette défaite est un signe du ciel : la revanche des Ancêtres (tody)sur ce que 
la France a fait subir(tsiny) à Madagascar 45 ans plus tôt en le colonisant. Mais, dans leur grande naïveté, beaucoup de nos compatriotes d’alors pensaient qu’une fois que la France aura “goûté” aux af-fres d’une “occupation” étrangère , elle sera plus compréhensive vis-à-vis des demandes des Malagasy pour un retour de leur indépendance. 
Ambiguïtés de la France après la Libération
On peut dire que la puissance coloniale a joué aussi sur les ambiguïtés durant la Seconde Guerre Mondiale et la période de l’après guerre immédiat. 
En reprenant un terme plus contemporain elle a fait une bonne opération de marketing politique. Celle-ci est faite de promesses à l‘image de la Conférence de Brazzaville en janvier 1944 et qui fut précédée de la visite de René Pleven à Antananarivo et son discours 
à Mahamasina en décembre 1943 devant 50 000 personnes. 
Un vent d’espoir souffla sur la nation Malagasy mais il est vite tombé car le but de la métro-pole gaulliste était de faire adhérer les colonies à sa cause et son effort de guerre et le nom d’Empire colonial a même été changé en Union française. La réalité est toute autre et la déception est à son comble.
(à suivre)


allAfrica 10/03/2007
Madagascar: Chambre administrative, requête en annulation du référendum du 4 avril 2007 !
Conférence de presse de Pierre Andrianantenaina ce matin à 11 heures, au Radama Hôtel. Au menu, la consultation référendaire. 
« Les collèges électoraux sont convoqués quatre-vingt-dix jours au moins avant la date du scrutin par décret pris en conseil de gouvernement ou par arrêté de l'autorité compétente selon les dispositions légales prévues pour chaque catégorie d'élection ».
Le parti Farimbona de Pierre Andrianantenaina invoque ces dispositions de l'alinéa 1er de l'article 29 de la loi organique n°2000-014 du 24 août 2000 portant code électoral, pour dire que le décret n°2005-150 du 19 février 2007 portant convocation des électeurs pour le référendum du 4 avril 2007, a été pris en violation de ladite loi organique.
« Deux mois »
Le parti Farimbona qui s'est fixé entre autres principes et objectifs, « l'instauration d'un véritable Etat de droit dans lequel le pouvoir judiciaire, reflet de la Justice et du Droit, a toute la confiance du peuple », d'introduire alors le 6 mars dernier, une requête auprès de la Chambre administrative de la Cour suprême. Et ce, aux fins d'annulation du décret incriminé qui a été pris « moins de deux mois avant le scrutin ». Et qui « vise d'ailleurs expressément la loi organique n°200-014 du 24 août 2000 ». Celle-là même dont les conditions d'application dans le cadre du prochain référendum, viennent de faire l'objet d'un décret pris en conseil de gouvernement en date du 7 mars. En somme, au lendemain même du dépôt de sa requête par Farimbona. Ceci expliquant ou n'expliquant pas cela.
Dérogation
Anticipant quelque peu ce que le représentant de l'Etat malagasy et/ou la Chambre administrative pourraient arguer, Pierre Andrianantenaina par l'entremise de son avocat, Me Willy Razafinjatovo alias Olala, d'expliquer qu' « il ne saurait y avoir de méprise sur le sens de la dérogation formulée dans l'article 1er de l'article 29, concernant le deuxième alinéa du même article. Et aux termes duquel, « en matière de consultation référendaire, le collège électoral convoqué par décret du Président de la République pris en conseil des ministres, est appelé à se prononcer sur un projet de révision de la Constitution ou une question importante à caractère national ».
Compétence
Dans sa requête, Me Olala d'avancer que « si le législateur a accordé un délai de 90 jours aux électeurs pour réfléchir avant d'exprimer leur choix dans ce qu'on pourrait appeler des matières ordinaires, il est tout simplement inconcevable que ce délai puisse être inférieur à 90 jours lorsqu'il s'agit de questions fondamentales, tel qu'un projet de révision de la Constitution ». Pour l'avocat de Farimbona, « logiquement, la dérogation est donc relative, non pas au délai, mais à la compétence ». Dans les matières ordinaires, la convocation des électeurs est de la compétence du gouvernement ou de l'autorité compétente selon les dispositions légales prévues pour chaque type d'élection. Par contre, souligne-t-il, en matière de consultation référendaire, la compétence appartient au Président de la République qui prend un décret en conseil des ministres.
Célérité
« Il serait insensé de prétendre que le Président de la République puisse, sauf peut-être circonstances exceptionnelles légalement constatées, abréger les délais prévus par la loi », est-il souligné dans la requête en annulation du décret « entaché d'illégalité ». Reste à savoir si la Chambre administrative va faire preuve de célérité comme elle l'avait montré en 2002 en annulant prestement, fût-il un acte de gouvernement, le décret de nomination des membres de la HCC version Mantasoa. Ou renouer avec la lenteur légendaire - assimilée parfois à une manoeuvre dilatoire - de l'appareil judiciaire, comme c'était le cas pour la requête en annulation du décret relatif à l'élection présidentielle du 3 mars 2006 introduite par Pierrot Rajaonarivelo. Et par l'intermédiaire également de Me Olala qui attend toujours ou enfin (c'est selon) d'être notifié sur l'enrôlement de l'affaire, trois mois après le scrutin présidentiel. Bis repetita pour la requête de Farimbona ?

Midi Madagasikara (Antananarivo)- RO


Midi Mada 09/03/2007
Une femme entre mille… Perline Rahantanirina, vice-ministre de la Santé et du Planning Familial
Femme, épouse, mère de famille – trois fils, médecin et vice-ministre. Elle est tout cela à la fois. Entre autres, car la vie qu’elle mène la conduit à se pencher sur diverses autres préoccupations. 
Hanitra R.

Récemment nommée au poste de vice-ministre de la Santé et du planning Familial, et la troisième femme à avoir intégré l’actuel gouvernement, le docteur Perline Rahantanirina, puisqu’il s’agit d’elle, est, à l’occasion de la journée internationale de la femme, celle à qui nous avions demandé de s’exprimer, justement, sur… la femme. Bien entendu, elle n’a pas manqué de réitérer l’importance du thème principal abordé lors de cette journée : la violence faite aux femmes. « Les femmes méritent d’avoir leur place dans la société. Le thème que nous avions abordé aujourd’hui, selon lequel, il faut mettre fin aux impunités lorsque des violences sont faites aux femmes, est un appel à une prise de conscience des uns et des autres. Car la femme est avant tout un pilier sur lequel repose bien des choses ». A commencer par la famille et qui dit famille y associe inévitablement l’enfant. Justement, l’enfance, elle connaît. La femme médecin qu’elle est a, en effet, longtemps exercé son métier auprès des enfants. Pendant 26 ans, elle a travaillé dans la fonction publique mais en sa qualité de médecin, elle a déjà travaillé dans divers hôpitaux, dont ceux pour enfants et ce, pendant une quinzaine d’années. C’est ainsi que des milliers d’enfants ont été ses petits patients et certains, aujourd’hui devenus plus grands, s’en souviennent encore. Actuellement vice-ministre de la Santé, elle a encore de nombreuses occasions d’aborder ce sujet des enfants. Rappelons qu’il y a sept ans, elle a occupé le poste de médecin inspecteur à Antananarivo-Renivohitra. Les bureaux du ministère de la Santé, elle les a également longtemps fréquentés car elle a déjà été directeur de la médecine préventive au sein de ce ministère et par la suite, occupé un poste de directeur général au sein du même ministère. 


Le Quotidien 09/03/2007

Femmes :Précieuses au foyer, en milieu professionnel et dans la société
Toutes les descendantes d’Eve ont célébré hier la Journée Internationale de la Femme ayant pour thème “Mettre fin aux impunités quand des violences sont perpétrées à l’encontre des femmes”. Cela fait maintenant 30 ans que les Nations Unies commémorent la journée.
Pour Madagascar, la célébration nationale s’est déroulée hier au Relais de la Vierge, dans la commune d’Ampefy, région d’Itasy, honorée par la présence de la première de l’Etat, Lalao Ravalomanana, ainsi que par l’assistance des hautes personnalités à savoir des ministres, des chefs d’agence du système des Nations Unies, des femmes parlementaires, sans oublier les femmes des localités voisines. 
Le 8 mars, moment fort pour les femmes puisque ce fut la journée où elles ont entendu parler de leur délicatesse puisque la mère de la nation a tenu à déclarer que les femmes sont “précieuses”, un attribut qu’elles portent dans plusieurs domaines.
L’exposition des produits de la région d’Itasy à savoir l’artisanat et les produits agricoles a marqué la journée d’hier. 
Des associations telles Vehivavy Mihary, Fikambanam-behivavy Tiako de Soavinandriana, Bali-sama, Fivaza, Landin’Iarivo, les femmes du Sénat, le Ministère de la Santé et du Planning Fa-milial, l’Office National de Nutrition, l’Unicef, la Croix Rouge Malagasy ont érigé leurs stands pour mettre en exergue leurs réalisations en matière de lutte contre la violence, en Agr, en santé infantile et maternelle. Par la même occasion, des groupements de femmes ayant participé à un concours d’Agr ont été primés par l’organisation mondiale de l’agriculture La première (Fao). Les heureuses gagnantes se sont vu remettre des pompes à pédales en guise de récompense.
Pour terminer la journée en beauté, il y eut une visite du centre de santé de base niveau II de la commune. Une manière de constater de visu les réalités sur terrain à savoir les conditions de santé de la population locale, notamment celles des femmes.
Les mères ont certainement dit tout bas : “mitondra fanafody ny fahitako anao”.
La région de l’Itasy a été bienheureuse cette année. Elle est pilote pour les différents lancements et célébrations. Avec le Madagascar Action Plan, la nomination des chefs de fokontany, le lancement de campagne “Ezaka Kopia ho an’ny Ankizy” et enfin la célébration de la journée internationale des femmes, le centre de l’île a reçu tant de privilèges pour abriter des manifestations de grande envergure. Dans ce sens, le Map et ses engagements commencent ses effets d’ “Itasy d’huile”.


Nosintsika 09/03/2007

Loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Églises et de l'État
Salut à tous,
– 9 décembre 2005. La loi (française) sur la laïcité de l’Etat a 100 ans.
Comme le rappelle Midi-Madagasikara dans son edition d'hier, à Madagascar, cette loi a été reprise texto, enfin presque, par le législateur malgache dans l’ordonnance n°62-117 du 1er octobre 1962 relative au régime des cultes. Notamment en son article 2 qui stipule que « l’Etat ne salarie ni ne subventionne aucun culte ».
C'est la raison pour laquelle il nous semble opportun de vous proposer ci-dessous le texte de loi.
@ + Les moderateurs Nosintsika
Pour la petite histoire, cette loi a été adoptée par l’Assemblée nationale (française) à l’issue de 48 séances et d’un débat fleuve de 10 mois.
Le président de la Chambre des députés annonce, lors de la séance du 30 juin (la dernière avant le vote final), le dépôt de deux « dispositions additionnelles ». Elles se posent toutes les deux, l'opportunité de l’application à l’Algérie et aux colonies de la future loi de séparation des Eglises et de l’Etat.
Certains s’interrogent alors : « Les indigènes[5] du Congo, de Madagascar ou du Tonkin possèdent-ils un niveau intellectuel susceptible de comprendre ce progrès prétendu des idées modernes ? » (idée du « retard » mais relativisée par l’expression « progrès prétendu »)
Aristide Briand, rapporteur de la Commission, au nom de celle-ci et du gouvernement, propose la disposition suivante : « Des règlements d’administration publique détermineront les conditions dans lesquelles la présente loi sera applicable à l’Algérie et aux colonies » . Ce qui se traduira :
- à Madagascar, où une séparation de fait existait déjà et où le gouverneur Augagneur avait durement combattu le protestantisme (considéré comme favorable à l’Angleterre et à l’autonomie des Malgaches), par le décret du 11 mars 1913, qui copie les 2 premiers articles de la loi de 1905.
- Dans le reste des colonies, la séparation ne va pas être appliquée et en Guyane le catholicisme, aux Comores l’islam, à Tahiti le protestantisme, seront (et eux seuls) toujours des cultes reconnus. C’est toujours le cas pour le catholicisme en Guyane. Aujourd’hui à Mayotte, le « droit personnel » musulman s’applique, avec une vérification de conformité avec les droits fondamentaux.
Loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Églises et de l'État...   
(Publiée au Journal officiel du 11 décembre 1905).   
...  Lire la suite du dossier >>


Tribune 09/03/2007

Projet de révision de la Constitution (suite) - Les grands amendements

      Article 39 : Toute personne a le devoir de respecter l’environnement. L’Etat, avec la participation des provinces autonomes, assure la protection, la conservation et la valorisation de l’environnement par des mesures appropriées.
    Article 39 amendé : Toute personne a l’obligation de respecter les valeurs culturelles, les biens publics et l’environnement. L’Etat et les collectivités territoriales décentralisées assurent la protection, la conservation et la valorisation de l’environnement par des mesures appropriées.
    CONCLUSION : Avec le projet de révision, le respect des valeurs culturelles, des biens publics et de l’environnement est devenu une obligation pour tous.
    Article 41 : Les Institutions de l’Etat sont: le président de la République et le Gouvernement; l’Assemblée nationale et le Sénat; La Haute Cour Constitutionnelle. Les trois fonctions de l’Etat- fonction exécutive, fonction législative, fonction juridictionnelle sont exercées par ces institutions et ces organes distincts. La Cour Suprême, les Cours d’Appel et les juridictions qui leur sont rattachées ainsi que la Haute Cour de Justice participent à la fonction juridictionnelle.
    Article 41 amendé : Les Institutions de l’Etat sont: le président de la République et le Gouvernement; l’Assemblée nationale et le Sénat; La Haute Cour Constitutionnelle. Les trois fonctions de l’Etat- exécutive, fonction législative, fonction juridictionnelle - obéissent au principe de la séparation des pouvoirs et sont exercées par des organes distincts. La Cour Suprême, les Cours d’Appel et les juridictions qui leur sont rattachées ainsi que la Haute Cour de Justice exercent la fonction juridictionnelle.
    CONCLUSION : Le projet de révision met l’accent sur la séparation des pouvoirs.
    Article 43 : Les fonctions au service des Institutions de l’Etat ne peuvent constituer une source d’enrichissement ni un moyen de servir des intérêts privés. A l’exception de ses droits et sous peine de déchéance, aucune des personnalités visées à l’article 42 ci-dessus ne peut accepter d’une personne physique ou morale, des émoluments ou rétributions de nature à empêcher l’accomplissement normal de sa mission. La loi fixe les modalités d’application de ces dispositions notamment en ce qui concerne la détermination des droits, des émoluments et des rétributions ainsi que la procédure de déchéance.
    Article 43 amendé : Les fonctions au service des Institutions de l’Etat ne peuvent constituer une source d’enrichissement illicite ni un moyen de servir des intérêts privés. A l’exception de ses droits et sous peine de déchéance, aucune des personnalités visées à l’article 42 ci-dessus ne peut accepter d’une personne physique ou morale, des émoluments ou rétributions de nature à empêcher l’accomplissement normal de sa mission. La loi fixe les modalités d’application de ces dispositions notamment en ce qui concerne la détermination des droits, des émoluments et des rétributions ainsi que la procédure de déchéance.
    CONCLUSION : Avec le projet de révision, ceux qui exercent des fonctions au service des Institutions de l’Etat peuvent s’enrichir mais non illicitement.


 vttm47.blog.fr  25/02/2007
Vondron'ny tia tanindrazana mpiady tamin'ny 29 martsa 1947- par vttm47

Nandritran’ny 60 taona nanjakan’ny frantsay teto Madagasikara, dia enjika sy fanabotriana, ary fampijaliana feno habibiana no nihatra tamin’ireo nanohitra azy.

agrandir la photo  Klikeo eto  >>

 Teo koa ny asa an-terivozona, ny lahasa tsy misy karama, ny asa 30 andro izay asa tsy maintsy ataon’ny tovolahy feno 18 taona, ny karatra isan-dahy izay aloa isan-taona, miampy ny fanadiovana ny arabem-panjakana. Fa ny tena loza dia ny SMOTIG, manao làlana , tetezana, tonelina, indrindra fa ny làlam-by mampitohy an’Antananarivo sy Toamasina, Antananarivo sy Antsirabe, Fianarantsoa Manakara. Tao koa ireo tranom-panjakana isan-karazany etc… Fa maro tamin’ireo mpiasa no matin’ny hanoanana nohon’ny tsy fahampiana sakafo, ary mba hialana amin’izany dia nandositra ny tanàn-dehibe mba tsy voaantso. Ny ankizy mianatra tamin’izany dia vitsy fa nampiasan’ny colons amin’ny karama varimasaka ny ankamaroany, fa ny zanaky ny manan-katao ihany no afaka mankany an-tsekoly. Taty aoriana dia nisy sekoly naorin’ireo misionera catholique sy misionera protestanta, anglikana, teo koa ny sekolim-panjakana, ny Ecole regionale isaky ny provinces enina. Ireny rehetra ireny dia namoaka ankizy vita fianarana araka ny sokajy sy lalana napetraky ny fanjakana Frantsay, izay 
nomeny anarana c.e.s.d (Cours Elementaire du Second Degré ), fari-pahaizana ambony indrindra azon’ny Malagasy ratovona. Tsy kivy anefa ny Malagasy fa vao maika aza nanaitra ny ambom-pony ity lalana.
Ary taty aoriana dia dokotera, ka anisan’izany ny dokotera Raseta, Ravoahangy Andrianavalona, Raherivelo Ramamonjy sns…     ... Lire le Dossier " 60è anniversaire de 1947 Cliquez-ici 

(Fiainana nanjakan’ny tsindry hazo lena ka tsy nahafahan’ny Malagasy nivoatra tamin’ny lafin’ny fanabeazana)                   


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