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1)-je recherche un studio ou une chambre meublé pour deux personne du 15/03/2007 au 12/06/2007
Contact: LE BOURHIS
2)-Bonjour,jeune titulaire d'un diplôme de marketing et communication (BAC +4+ expériences), et non épanouie dans mon emploi actuel, j'en recherche un nouveau. Alors, si jamais vous trouvez quelque chose relative à ce domaine, pensez à moi! merci
Contact: Sandiniaina
3)-bonjour !
je m'appelle kanji prisca âgée de 21ans , je suis métisse indienne et malgache , je mesure 1m68, je pèse environ 56kg , yeux marrons , cheveux noirs ,j'aimerai trouver une agence de publicité ou manequin
4)-Je cherche l'âme soeur. Je suis un homme de 50 ans libre et indépendant. Je cherche une beauté malgache. Intelligence supérieure indispensable. Contact: Jean-Luc
5)- Nous louons chambres d'hôte avec petit déjeuner à Tamatave dans propriété bord de mer. Accueil à l'aéroport assuré. Possibilité repas sur place. Contact: Dejouvancourt
Danielle
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... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
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Edito
: "Iza
no mahita vehivavy tsara ?...
"
Le
08 mars 2007 c'est la "Journée de la femme 2007" .
Pourtant majoritaires sur terre, les femmes sont les premières victimes des inégalités.
Sur 1,5 milliard d'êtres humains qui vivent dans la pauvreté, 70 % sont des
femmes.
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"Fankalazana ny vehivavy izay sady tsara no
mazoto... " (Chapitre 31 des Proverbes dans la Bible, du verset 10 au verset
31)
Iza
no mahita vehivavy tsara? Fa ny tombany dia mihaotra lavitra noho ny
voahangy. Matoky
azy ny fon'ny lahy, Ary tsy mitsahatra ny fanambinana azy . Soa
no ataon-dravehivavy aminy, fa tsy ratsy, Amin'ny andro rehetra
hiainany. Mizaha
volon'ondry sy rongony izy Ary mazoto miasa amin'ny tànany. Toy
ny sambon'ny mpandranto izy, ka avy any alin'ny lavitra no itondrany
ny haniny. Mifoha
izy, raha mbola alina, Ka manome hanina hoa an'ny ankohonany Sy
anjara ho an'ny ankizivaviny. Mihevitra
saha izy ka mahazo azy; Ny vokatry ny tànany no anaovany
tanimboaloboka. Misikina
irery izy, Ary hatanjahiny ny sandriny.
Hitany
fa tsara ny tombom-barony, Ary tsy maty jiro mandritra ny alina izy. Mandray
ny fihazonam-bohavoha izy, Ary ny tànany mihazona ny
ampela.
Manatsotra
ny tànany amin'ny ory izy, Eny , mamelatra ny tànany amin'ny mahantra. Tsy
manahy ny orampanala ho amin'ny ankohonany izy; Fa ny ankohonany rehetra
samy voatafy volon'ondry mena avokoa.
Manao
firakotra ho azy izy; Ny fitafiany dia rongony fotsy madinika sy lamba
volomparasy;
Ny lahy dia halaina eo
am-bavahady, Raha miara- mipetraka eo amin'ny loholona. Manao
akanjo hariry madinika ravehivavy ka mivarotra izany, Ary fehin-kibo no
amidiny amin'ny mpandranto.
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"Les hommes ont le génie de la vérité, les
femmes seules en ont la passion. Il faut de l'amour au fond de toute
les créations. Il semble que la vérité a deux sexes, comme la
nature. Il y a une femme à l'origine de toute les grandes choses."
[
Lamartine]
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Hery
sy voninahitra no fitafiany, Ary ny andro ho avy dia ihomehezany. Manokatra
ny vavany amin'ny fahendrena izy; Ary ny lalàn'ny famindrampo no eo
amin'ny lelany. Mitandrina
tsara ny ataon'ny ankohonany izy, Ary tsy homana ny mofon'ny fahalainana. Ny
zanany mitsangana ka midera azy hoe sambatra; Ny lahy koa mitsangana
ka midera azy hoe: Maro
ny zazavavy nanao soa, Fa hianao manoatra noho izy rehetra. Fitaka
ny fahahatsaram-bika, ary zava-poana ny fahatsaran-tarehy; Fa ny
vehivavy matahotra an'i Jehovah ihany no hoderaina; Omeo
azy ny avy amin'ny vokatry ny tànany; Ary aoka ny asany hidera azy eo
ambavahady.
...Lire la suite
Cliquez-ici
...le
talmud hébreux se termine en disant...
"Prends bien garde de ne jamais faire pleurer une femme, car Dieux
compte ses larmes"
Haritiana Langlois (Unicef à Phnom
Penh Cambodge)
...
Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina",
Haritiana Langlois a répondu à notre appel
de publier des Editos, maintenant à
qui le tour? On vous attend edito men et edito women.
Merci d'avance!
...
Pour
Envoyer un article ou Pour nous contacter
>>
RFI
08/03/2007
Des
cinéastes se mobilisent contre la violence conjugale en France
Emmanuelle Millet, initiatrice du projet «Dix films pour en parler».
(Photo : Kéoprasith Souvannavong / RFI)En France, une femme sur dix est
victime de violence conjugale. Une femme en meurt tous les trois jours. A
l'initiative de la jeune réalisatrice Emmanuelle Millet, un groupe de cinéastes
- parmi lesquels Patrice Leconte, Zabou Breitman, Coline Serreau – s'est
mobilisé contre ce fléau en montrant une collection de dix courts-métrages
préventifs et pédagogiques sur ce sujet tabou.
... Lire
la suite sur Les News International de MadaVôvô >>
Even.fr
08/03/2007
Présentation:
La Journée
internationale de la femme
La Journée internationale de la femme (le 8 mars) est célébrée par des
groupes de femmes dans le monde entier. Elle est également célébrée à
l'ONU et, dans maints pays, c'est un jour de fête nationale. Lorsque les
femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières et
par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques
et politiques, se réunissent pour célébrer leur Journée, elles peuvent
voir, si elles jettent un regard en arrière, qu'il s'agit d'une tradition
représentant au moins 90 ans de lutte pour l'égalité, la justice, la
paix et le développement.
La Journée internationale de la femme est l'histoire de femmes ordinaires
qui ont fait l'histoire ; elle puise ses racines dans la lutte que mènent
les femmes depuis des siècles pour participer à la société sur un pied
d'égalité avec les hommes. Dans l'antiquité grecque, Lysistrata a lancé
une 'grève sexuelle' contre les hommes pour mettre fin à la guerre ;
pendant la Révolution française, des Parisiennes demandant 'liberté, égalité,
fraternité' ont marché sur Versailles pour exiger le suffrage des
femmes.
L'idée d'une Journée internationale de la femme s'est au tout début
fait jour au tournant du XIXe et du XXe siècle, période caractérisée
dans le monde industrialisé par l'expansion et l'effervescence, une
croissance démographique explosive et des idéologies radicales.
... Lire
la suite sur Les News International de MadaVôvô >>
Le
Quotidien 08/03/2007
VIE PROFESSIONNELLE
: 3/4 des femmes actives travaillent dans le secteur informel
Même si les femmes malgaches participent de plus en plus à l’activité économique, l’on constate que 3/4 des femmes actives travaille encore dans le secteur informel. Les femmes malgaches exercent plutôt dans les domaines du commerce et de l’artisanat et ce, généralement, dans le secteur informel. Pour le reste, la majorité des femmes malgaches travaillent dans les zones franches, l’éducation ou la santé. L’importance du travail des femmes malgaches n’est donc n’est pas encore suffisamment comprise ou mise en valeur dans notre pays.
Femme chef de ménage
En outre, d’après les enquêtes de l’Instat, 11% des femmes chefs de ménages sont inactives ou au chômage, contre 3% chez les hommes chef de ménage chez les hommes.
Femme battante
Néanmoins, l’on constate que les femmes veulent prendre en main leur avenir et souhaitent ne plus être considérées comme des “objets”. Nombre de femmes occupent maintenant le poste de cadre supérieur. Plus précisément, 28% de ces postes sont occupés par des femmes à Madagascar.
Encore des efforts
Des efforts ont été accomplis concernant l’égalité des hommes et des femmes à Madagascar. Mais après constatation, beaucoup reste à faire, à commencer par les habitudes et l’éducation des enfants sur cette notion d’égalité. En effet, bon nombre de familles à Madagascar prônent encore sur la suprématie des hommes. L’effort doit donc commencer avec un changement de mentalité.
Felana
allAfrica
08/03/2007
Référendum - vulgarisation des brochures sur les amendements
- Midi Madagasikara -DR
A 29 jours de la tenue du référendum constitutionnel, le ministère de l'Intérieur et de la Réforme Administrative mobilise ses agents. Des brochures portant sur les nouveaux amendements constitutionnels ont été ainsi acheminées dans les différentes régions et districts éparpillés dans toute l'île. Les agents de l'Etat doivent en conséquence être mis au parfum de la teneur de cette révision actuelle de la loi fondamentale.
Par la suite, les différents responsables des 22 régions et des 117 districts propageront ces textes, au niveau des communes. Pour gagner par la suite, les Fokontany. Sur cette campagne de vulgarisation des amendements à la Constitution, les stations publiques (la Rnm et la Tvm) ont commencé à diffuser ces derniers temps, leur contenu. Et ce, durant le journal parlé.
Les dépliants et les affiches feront probablement leur apparition pour renforcer les chaînes de diffusion publiques. Avec le temps et les aléas climatiques qui ne jouent guère en faveur de l'Etat, tout ce qui est en son pouvoir a été mobilisé. Les radios de proximité pourraient également intervenir, à savoir les radios locales, leur rôle pouvant être plus efficace. Par ailleurs, si le Ffkm prête main forte au pouvoir pour la large diffusion des nouveaux amendements, la tâche qui incombe à ce dernier va «s'alléger».
En outre, d'autres associations pourraient s'impliquer dans cette campagne de sensibilisation, tels les comités d'observation des élections, en l'occurrence, le Kmf-Cnoe. Une course contre la montre pour les tenants du pouvoir qui devraient propager au maximum, le contenu des nouveaux amendements constitutionnels. Mais le message sera-t-il entendu par la population qui est actuellement confrontée à d'autres problèmes, tels que la hausse du coût de la vie, notamment du prix du riz.
Midi
Mada 06/03/2007
POLLUTION DE L’AIR. Les cas de troubles au niveau des yeux et les inconforts respiratoires sont de plus en plus fréquents à Antananarivo. Les enfants sont les plus atteints.
Les irritations oculaires et les troubles des voies respiratoires en augmentation
Les enfants en sont les premières victimes : des troubles divers au niveau notamment des yeux et des vois respiratoires : des yeux qui démangent à longueur de journée, toux et rhumes qui ont tendance à devenir chroniques, etc…
Hanitra R.
Tenue pour responsables de la plupart de ces maux : la pollution atmosphérique. En effet, les troubles respiratoires s’inscrivent dans le peloton de tête des motifs de consultation chez les jeunes enfants à Antananarivo. De même, des irritations des yeux sont de plus en plus observées. Les allergies dues à la pollution de l’air sont, de ce fait, mises à l’index comme étant l’un des facteurs de recrudescence de ces types de troubles. Certains sujets, même en bonne santé ressentent des gênes plus ou moins légères tandis que les plus sensibles se retrouvent avec des malaises, des inconforts respiratoires, toux, essoufflements, irritation des muqueuses du nez et de la gorge, augmentation de la production de mucus et les personnes ayant déjà des problèmes de santé respiratoires notent des aggravations de leurs maux.
Polluants
Il faut savoir que la ville d’Antananarivo n’est pas parmi les villes les moins polluées du monde. Les gaz d’échappement, les feux de brousse et les fumées dégagées par les briques en cours de cuisson sont, notamment, les principales sources de pollution de l’air à Antananarivo. Le centre ville et les quartiers les plus peuplés et très fréquentés par les véhicules le sont davantage avec des indices de pollution élevés. Les polluants atmosphériques sont nombreux, souvent invisibles. Le monoxyde de carbone est le plus répandu. Il s’agit d’un polluant qui provient de la combustion incomplète des combustibles et du carburant. Les véhicules pollueurs qui circulent à Antananarivo contribuent à cet état des choses. Le monoxyde de carbone n’affecte pas directement les voies respiratoires mais se combine avec le sang et réduit l’oxygénation de celui-ci. L’ozone est lui aussi, très toxique pour les voies respiratoires. Résultant d’une réaction photochimique entre les gaz d’échappement des véhicules et la lumière solaire, l’ozone a un très grand pouvoir oxydant et peut provoquer des irritations oculaires et des inflammations des voies respiratoires. Après avoir respiré de l’air riche en ozone, les asthmatiques sont plus sensibles aux allergènes. D’où les risques accrus de faire une crise. Bref, à défaut de pouvoir respirer un air plus propre dans le centre de la capitale, les médecins préconisent des sorties vers des endroits plus « aérés » aussi souvent que possible. Un air plus propre ne pourra que faire du bien notamment aux enfants en bas âge.
Le
Quotidien 05/03/2007
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FORTE FIèVRE:
Simples astuces pour la faire tomber
Les mères de famille s’inquiètent lorsque leur petit
a une forte température . En fait il existe des gestes simples à adopter afin de la tomber. C’est le thème développé samedi au Tranom-pokonolona Analakely par
le Pr Marcel Razanamparany dans le cadre de la célébration du cinquième
anniversaire de l’émission “InfoSanté” de la Tv Mbs.
Ce médecin a expliqué que l’élévation de la température chez l’enfant est une défense naturelle mais si celle-ci dépasse la normale (38,5° - 39,5°), elle est mortelle. Si un tel cas se présente, il ne faut pas paniquer car avant de joindre un médecin, l’enfant doit en premier lieu se sentir à l’aise. |
La mère doit commencer par alléger ses vêtements car le fait de lui mettre davantage de couvertures risque d’élever sa température et cela entraîne les convulsions voire une mort subite.
Le Dr Razanamparany a par la suite mentionné la prescription d’une dose de paracétamol, soit 60mg à 90 mg par kilo par jour ( 30 mg en trois à quatre prises) . L’on ne peut s’attendre à un effet immédiat mais la mère doit renouveler la dose toutes les 4h, 6h et 8h. Il faut également lui faire un cataplasme de glaçon ou d’eau froide sur le front sans oublier de lui à donner à boire (1 litre) car l’enfant perd toute son eau en suant ce qui engendre la déshydratation.
Le Pr Razanamparany a toutefois interdit l’utilisation d’antibiotique qui provo-quera des infections nosocomiales difficiles à traiter.
De plus, l’usage de médicaments autres que le paracétamol causera une ménin-gite et une encéphalite.
Comme conseil pratique, l’intervenant a insisté sur le fait d’avoir un thermomètre dès qu’on a un enfant en
bas âge. “Le bébé doit avoir son propre thermomètre. Il y a plusieurs façons de l’utiliser à savoir sous les aisselles, dans la bouche et dans le rectum. La plus commune s’est de le placer sous les aisselles pendant 6 à 8 minutes, relever la température indiquée et ajouter 0,5°, cette valeur déterminera la température de l’enfant”, a-t-il souligné.
Toutes ces prescriptions ne sont autres que les premiers gestes d’urgence ; mais il ne faut pas oublier d’emmener l’enfant chez un médecin.
Farah |
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Wanadoo.mg
05/03/2007
SERGE ZAFIMAHOVA. «Le référendum est un forcing constitutionnel ! »
J-30 pour le référendum constitutionnel. Un laps de temps assez court qui ne permettra pas le débat de fond auquel est plutôt habitué notre Invité de ce lundi.
Serge Zafimahova s’exprime sur le projet de révision de la constitution dans cet entretien. Il donne un avis «très personnel» qui ne va pas dans le sens du Oui ! Sans être tout à fait un Non.
En tant que citoyen, êtes-vous pour ou contre cette révision de la constitution ?
Pour ou contre n’est pas vraiment la question pour moi. Pour l’heure, mon avis tient plutôt à une question de forme. Je constate que les méthodes choisies pour aboutir à cette consultation ne sont pas appropriées. Le référendum est un «forcing constitutionnel». Il relève même de l’ineptie. Ce qui augure rien de bon pour ce qui est du devenir de l’Etat. Pour l’avenir commun des Malgaches. Quant aux questions de fond, il paraît que l’équilibre des pouvoirs n’est plus respecté. A la lecture des amendements proposés, l’exécutif va faire une mainmise sur l’ensemble des Institutions de la République s’il ne l’a pas déjà fait.
D’après vous, est- ce que cette révision apportera le développement rapide et durable tant attendu et tant promis par le pouvoir ?
Une nouvelle Constitution n’apportera pas à elle seule le développement ! Le rôle d’une Constitution est de prévoir et d’amener un Etat de droit et de faire respecter les règles démocratiques ; d’équilibrer les pouvoirs repartis entre les différentes institutions. C’est le cadre dans lequel tout se fait. Par contre, le développement, qu’il soit rapide ou non, durable ou pas, dépend de la politique générale de l’Etat, elle-même définie par le pouvoir en place. En tout cas, avec un projet de Constitution non approprié comme celui-ci, le développement ne sera pas au rendez- vous.
Qu’est-ce que le Club Développement et Ethique (C.D.E.) compte faire face à cette révision de la Constitution ?
De nombreuses institutions, des partis politiques ou encore des personnalités se sont déjà exprimés sur le sujet. Pour leur part, les membres du C.D.E. ne se sont pas encore réunis pour débattre de la question. Mais quand cela sera fait, le club prendra officiellement position. Au sein du Cde, nous avons l’habitude de débattre librement et sans aucune contrainte des questions de fond alors que nos membres viennent de tous horizons.
Propos recueillis par Ramahery Nasolomanalina ©Midi Madagasikara
Tribune
06/03/2007
Danses sportives • La fédération en gestation
La discipline s’implante
Ses trois années d’existence semblent avoir suffi à la danse sportive pour conquérir tout Madagascar. Des constats de Haja André Resampa président de l’Association pour la Promotion de la Danse Sportive à Madagascar, la discipline a vite fait de prendre racine car, de 100 stagiaires au tout début en 2004, l’effectif est passé à presque 2.000 à la veille de cette dernière édition.
Des tournées de sensibilisations ont déjà aussi été procedées dans des grandes agglomérations de la Grande Ile, et, parallèlement au 3ème open de Madagascar tenu au Palais National Des sports et de la Culture de Mahamasina le week end dernier, une concertation a été organisée entre les promoteurs de la danse sportive à Madagascar et les professeurs de danse de salon de la capitale pour mettre au point une stratégie commune pour la vulgarisation et la promotion de cette catégorie de danses.
La fédération pour bientôt
La rencontre entre spécialistes de la danse a donc permis la mise en place d’un bureau de coordination dirigé par le président de l’Apdsm qui jetera les bases d’une fédération car les négociations sont déjà en cours.
Haja andré Resampa a d’ailleurs revelé à la presse sportive que la fédération internationale n’attend que la création de cette institutions pour financer divers programmes allant dans ce sens.
Le premier championnat d’Afrique en danse sportive pourra être organisé à Madagascar.
- Manou
Madagascar-actuel.info
08/03/2007
L'heure
du bilan après le passage des cyclones : Le pays est en crise
Dégâts des intempéries
: Besoin d’urgence de 82 millions de dollars
Des routes à reconstruire, des ports à remettre en état tel celui de Mahajanga où tout un terre-plein s’est effondré, sans parler des champs de cultures ravagés et bien sûr des établissements ou des maisons d’habitation à réhabiliter ; en tout cas d’énormes travaux en perspectives. Mais les moyens font défaut et c’est la raison de cet appel à solidarité du gouvernement. Le Premier ministre a évalué les besoins d’urgence.
Suite aux dégâts causés par les intempéries, le ministère des Affaires étrangères malgaches a lancé un appel de détresse en direction des généreux donateurs. Certains pays, comme le royaume du Maroc, ont déjà favorablement répondu au gouvernement malgache, d’autres hésitent encore.
Intervenant à la Radio du Monde (RFI), le premier ministre malgache, le général Charles Rabemananjara a évalué à 82 millions de dollars, les besoins immédiats du pays dont 22 millions seront affectés aux travaux de réhabilitation des infrastructures routières.
L’appel des autorités malgaches aura des échos au sein de la communauté internationale ou non ? Pour l’instant, on est encore loin du chiffre avancé par le gouvernement.
A noter que l’Ile de la Réunion, un département français dans l’Océan Indien, est également durement frappée par le cyclone Gamede dont les dégâts sont évalués à plusieurs centaines de millions d’euros. Non loin de nous, le Mozambique, dévasté aussi par les pluies torrentielles et le passage des cyclones tropicaux, a aussi formulé une demande auprès de la communauté internationale pour sauver des milliers de vie humaine.
La diplomatie malgache pourrait faire peser tout son poids pour que les pays amis fassent un geste! La balle est désormais dans le camp de l’équipe du général Marcel
Ranjeva.
En dehors les inondations de plusieurs milliers d’hectares de rizières et de cultures maraîchères, les infrastructures routières sont les plus touchées par les pluies torrentielles de ces derniers temps, provoquant une menace au ravitaillement de divers centres urbains. Du coup, le prix des produits de première nécessité a fortement augmenté.
Heureusement que le gouvernement a pris des mesures draconiennes pour éviter le pire.
www.madagascar-tribune.com

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Nosintsika 08/03/2007
Tout en souhaitant une excellente journée à mes consoeurs femmes.
8 mars : L'ONU à "l'avant-garde" pour la parité
- Bessan Vikou - BBC Afrique, New York
Ban Ki-Moon veut que son équipe soit un exemple pour la parité .
Dans une déclaration présidentielle, introduite par l’Afrique du Sud et adoptée
mercredi, à l’unanimité, le Conseil de sécurité demande instamment au
secrétaire-général de nommer plus de femmes comme représentantes et envoyées
spéciales.
Le Conseil a adressé ce message au secrétaire-général à l’occasion de la
célébration, ce 8 mars, de la journée internationale de la femme.
Ainsi, le Conseil se joint à la cause des femmes : il demande qu’il y ait dans
les missions de maintien de la paix davantage de femme comme observateurs
militaires, membres de la police civile, spécialistes des droits de l’homme et
membres d’opérations militaires.
Par cette démarche, soucieuse d’égalité entre les sexes, la déclaration fait
obligation aux Etats de communiquer au secrétariat général le nom de femmes
pouvant être inscrites sur une liste centralisée, qui sera régulièrement mise à
jour.
A en croire Ban Ki-moon, l’ONU doit être à l'avant-garde des actions visant à
promouvoir les droits des femmes. Asha-Rose Migiro a été nommée vice secrétaire-générale de l'ONU
"C’est pourquoi, assure le secrétaire-général, j'ai fait de la parité entre les
hommes et les femmes une caractéristique fondamentale de mon équipe, comme
l'atteste la nomination de la Tanzanienne Asha-Rose Migiro au poste de
vice-secrétaire-générale".
Pendant que le Conseil de sécurité réclame plus de parité dans l’architecture du
système des Nations Unies, force est de constater qu’il n’y a pas une seule
femme parmi les représentants de ces quinze membres permanents.
Midi
Mada 08/03/2007
JOURNEE DE LA FEMME. La célébration officielle aura lieu à Ampefy. Partout ailleurs, les manifestations pour marquer la journée, sont légion.
Non aux violences faites aux femmes
C’est Ampefy qui accueillera cette année, la célébration officielle de la journée de la femme, 8 mars. Près de 1500 participants aux manifestations et jusqu’à 5000 personnes du public, y sont attendues ce jour. Partout ailleurs, diverses manifestations sont en vue, en majeure partie, organisées par des associations de femmes.
Hanitra R.
L’association des femmes médecins de Madagascar, pour sa part, propose des séances gratuites de prise de tension artérielle (Ta) et de poids pour les femmes. C’est à la gare de Soarano et à la salle de fête « Ambiance » de la commune de Bemasoandro, ce jour. « Paramètres peu coûteux et faciles à réaliser, la connaissance de sa Ta et son poids constitue pour chaque femme un premier pas vers la prise de conscience de son état de santé. L’association Soanjanahary et les professionnels de l’horticulture, quant à eux, proposent une vente-exposition florale à la Bibliothèque nationale, à partir de 9h.
AIC
En marge de ces manifestations, les uns et les autres, ne devraient pas perdre de vue le thème de la journée, portant sur les moyens de mettre fin aux impunités quand les violences sont perpétrées à l’encontre des femmes. Le Coordonnateur du système des Nations Unies, Bouri Sanhouidi, s’est exprimé sur la question : « Le fait d’avoir intégré la promotion de l’égalité de genre et l’autonomisation des femmes au rang des défis du MAP traduit la ferme volonté de Madagascar… de mettre fin à toute discrimination sexiste et d’assurer la participation de la femme dans les affaires sociales, économiques, politiques et civiques… Tant que la violence à l’encontre des femmes continuera, tout le pays ne peut prétendre réaliser des progrès vers l’égalité, le développement ou la paix… ».
Au niveau international, à noter l’assemblée des volontaires de l’Association des Volontaires de la Charité (AIC) à Rome, portant le thème des « Femmes et pauvreté dans la diversité des cultures ». Cette assemblée internationale réunira 350 volontaires AIC de 50 pays. Nous y reviendrons.
Le
Quotidien 08/03/2007
ENFANTS DES RUES
: Le Père Pedro lance un SOS
Selon le Père Pedro, les rues de la Capitale deviennent actuellement des “zones de non droit”. Ce, à cause de la présence des enfants des rues qui errent ici et là au lieu
d’être sur les bancs de l’école.
Honte pour les parents et pour la ville
D’après lui, a Capitale rencontre en ce moment deux problèmes majeurs : le non respect des droits de l’enfant et l’autre l’image ternie de la ville dont le motif reste les enfants des rues.
A ce propos, le Père Pedro de l’Akamasoa lance un SOS à l’attention des parents, des responsables de la ville, de l’Etat, des Eglises, des Sociétés civiles et des Ong afin de trouver des solutions rapides et pérennes pour sauver ces enfants.
Il estime que “les efforts se devraient être durables. Les autorités responsables savent ce qui se passe en Ville :
l’éclatement, la violence, les viols, la prostitution dans les familles… Honte pour la ville que les parents laissent leurs enfants se perdre dans la rue, honte aussi pour les responsables des services de l’ordre, lorsque les enfants ne craignent plus personne”.
Actions sur terrain
Il souligne en outre qu’ “Il y va de la dignité, de l’avenir des enfants et du regard
que portent les touristes sur notre beau pays et sur notre Capitale. Dans bien des cas, la charte des enfants n’est pas respectés. C’est un défi pour chaque citoyen de faire tout son possible pour encourager les enfants à rentrer chez eux, à aller à l’école et à aider les parents”.
Akamasoa n’a pas alors attendu longtemps pour agir car certains de ses membres ont effectuer dans la nuit du mardi une descente sur terrain pour rechercher les
enfants. Ils ont pu ramener trois enfants de 6 à 7 ans et une bonne vingtaine se sont enfuis.
Pour le père Pedro, il s’agit principalement d’accomplir des missions de sauvetage dans la rue et non de discuter sur une table ronde puisque
la situation est déjà un état d’urgence. “Certainement, une solution existe... à nous de la chercher ensemble, pour ne pas perdre notre âme et la leur”, a-t-il conclu.
Recueillis par Farah
Tribune
08/03/2007
Enseignement supérieur public
: Réservé uniquement aux riches ?
Pour les universités malgaches, le mot d’ordre est maintenant la mise en place du LMD (Licence-Masters-Doctorat). La Conférence des Présidents a fixé le basculement pour Janvier 2008. Mais des points essentiels demeurent obscurs concernant ce passage.
Les professionnels de l’enseignement sont inquiets quant au devenir de nos jeunes qui poursuivent des études supérieures dans les établissements publics. En effet, le système qu’on est en train de mettre en place est celui qui est en cours dans les pays développés notamment anglo-saxons. Alors que Madagascar ne dispose ni des équipements, ni des ressources financières suffisantes pour mieux gérer la LMD.
Leur premier souci est celui de la qualité des enseignements. Si le Ministère de l’Education Nationale pense que ce nouveau système vise justement à améliorer les choses, certains enseignants pensent qu’en fait, il s’agit d’un système de sélection qui avantagera les plus nantis.
Formations payantes
Effectivement, le passage au LMD suppose que les élèves issus des lycées doivent avoir un certain niveau de connaissance. Sans cela, ils ne peuvent pas s’inscrire normalement et si jamais ils peuvent le faire, il est certain que ceux qui n’ont pas ce « socle commun » n’auraient aucune chance de réussir. Autrement dit, tous les étudiants à l’université sont appelés, avant leur entrée à la fac, à maîtriser, par exemple, les principales langues vivantes (anglais, français…) et l’informatique.
La question se pose alors comment ces étudiants pourraient acquérir ces connaissances. La solution pourrait être celle de recourir aux centres de formation privés qui dispensent ces cours spécialisés (Alliance Française, CNELA…). Mais on sait que ces centres sont payants et il faut disposer d’une petite fortune pour y poursuivre des études. Cela avantagera donc les riches et pénalise non seulement les moins nantis en milieu urbain mais également la plupart des étudiants originaires du monde rural.
Pire, la transversalité des enseignements est encore plus exclusive. Dans la LMD, c’est l’étudiant qui choisit son itinéraire universitaire. Dans ce cas, selon ses besoins, il est appelé à prendre des cours dans d’autre département ou laboratoire autre que le sien. Mais le problème c’est que certains modules seront payants notamment ceux qui font appel à des experts externes. Mais qui pourrait payer ? Encore une fois, les riches.
Des filières vouées à disparaître
Autre souci important concerne le financement des anciens départements. Dans la LMD, ces derniers sont voués, à échéance, à disparaître. Seuls les laboratoires – à former ou déjà en fonctionnement – persistent. Et les financements leur seront seulement attribués. Mais il y aura des critères concernant l’affectation des budgets. Dans le système anglo-saxon, seuls les laboratoires « performants » sont dotés des moyens financiers conséquents.
Le problème se pose alors sur la définition même de ce mot « performant ». Et il est certain que les études en sciences pures (médecine, physique…), dont les résultats peuvent être visibles à court terme, seront les principaux bénéficiaires des fonds. Quid alors des filières en sciences sociales ou en lettres ?
Incapables de montrer dans l’immédiat des résultats probants, ces dernières pourraient voir leur budget réduit comme une peau de chagrin. Pire, certaines peuvent purement et simplement disparaître.
Des cris d’alerte sont ainsi lancés aux principaux responsables. Car dans la manière où les choses évoluent, certains enseignants craignent que l’on passera de facto vers un enseignement supérieur public réservé uniquement aux riches. Décidément à Madagascar, la notion d’égalité des chances est passée de mode !
- Alexandre L.
Le
Quotidien 06/03/2007
COOPéRATION NIPPO-MALGACHE
! Plus de 1,7 milliard de Yen pour le développement et 4 millions Usd pour les sinistrés
“La coopération entre Mada-gascar et le Japon est fructueuse” a déclaré le Ministre des Affaires Etrangères, Marcel Ranjeva, en signant avec le représentant nippon à Madagascar, Tadaharu Chichii.
Deux conventions
Pour être fructueuse, la coopération entre les deux pays l’est effectivement ces six dernières années, pour ne citer que l’effacement de la dette commerciale
(1er mars), la construction récente du by-pass ou boulevard de Tokyo,... Et deux conventions à la fois ont été signées le 05 mars au Ministère des Affaires Etrangères à Anosy.
Non remboursable hors projet
La “première signature porte sur la coopération finan-
cière hors projet” d’un montant de sept-cent millions (700 000 000) de Yens.
Il s’agit d’une forme d’assistance unique mais déjà habituelle à Madagascar depuis 1988 et bien acceptée comme la contribution directe au profit du milieu économique et commercial. Un tel apport permettra aux opérateurs économiques de notre pays d’acquérir soit des produits de consommation courante, soit des matériels industriels équivalant à 5,8 millions d’US $ comme les machines outils, ciment, produits en acier, équipements de fabrication,...
Suite à la vente des produits offerts par le Japon sur les marchés locaux malagasy,
la recette est mise en réserve constituant le Fonds de contre-partie qui sera utilisé avec
le consentement bilatéral aux projets en faveur du développement socio-économique malagasy.
Projet de Construction d'Epp
La deuxième convention concerne un Projet de Construction d'Ecoles Primai-res Publiques (Phases III), d’un montant de un milliard trente-deux millions de
Yens, soit onze milliards neuf cent millions d'Ariary. Ce projet est destiné à plus de
10 000 enfants des régions d’Antsiranana et de Toliara. Pour rappel, le nombre d’
écoles construites par le Japon depuis 1997 est de 540 salles de classe pour 27 000 élèves enregistrés dans les régions de Toamasina, Anta-nanarivo, Fianarantsoa et Mahajanga. “La coopération japonaise entre dans le cadre du Madagascar action Plan ou Map” a conclu le Ministre Marcel Ranjeva.
4 millions d’US $ pour les sinistrés
En marge de ces deux signatures, l'ambassadeur japonais a annoncé une aide japonaise d'un montant de quatre millions de dollars américains en réponse à l'appel du gouvernement malgache pour faire face aux intempéries qui ont sévi à Madagascar.
Recueillis par Gérard C.
Midi
Mada 05/03/2007
FOOTBALL. Un score de 2 à 2 qui a mis tout Mahamasina debout jusqu’à la dernière seconde. Ajesaia n’a pas gagné mais n’a pas perdu non plus pour le moment.
L’Ajesaia tout près de l’exploit !
Que s’est-il passé dans la tête de José pour qu’il tire le penalty pratiquement dans les bras du portier égyptien ? C’est la question qui fut sur toutes les lèvres du public de Mahamasina qui rentre avec d’amers regrets liés à ce score de 2 à 2 de
l’Ajesaia devant Ismaily SC dans le cadre des éliminatoires de la Coupe de la CAF.
Clément Rabary
C’était pourtant un samedi des grands jours avec un Stade de Mahamasina rempli à ras bord. Et lorsque Bolida offrit le premier but à Tsiry après un déboulé sur le flanc gauche de la défense égyptienne, les 35.000 spectateurs se levèrent comme un seul homme pour apprécier ce qu’on n’imaginait même pas car il faut dire que
l’Ajesaia souffrait de la comparaison avec un adversaire aussi prestigieux.
Mais grâce à la hargne d’un Bolida qui traînait encore une blessure,
l’Ajesaia ouvrit le premier but dans une ambiance euphorique.
A 1 à 0, on pensait que c’était le score idéal pour rentrer aux vestiaires. Mais entre ce qu’on veut et ce qu’il y a, les Egyptiens avaient aussi leur logique à eux. Deux têtes singulièrement assassines à trois minutes d’intervalle (40è et 43è) et Ismaily reprend le contrôle des opérations sous les yeux d’un public silencieux et admiratif devant le talent de ces Egyptiens très techniques mais quelque peu handicapés par l’état du terrain de
Mahamasina. Ce fut d’ailleurs sur un faux rebond que le gardien égyptien concéda le but d’égalisation sur un tir de 25 m de Njaka contré dans un premier temps par un défenseur adverse.
A 2 à 2 et surtout après l’expulsion de leur meneur sur une agression contre
Setra, on commençait à y croire. Bien que dominateurs, les Egyptiens étaient malgré tout prenables. Et de cela, Bolida le savait au point qu’il tenta un slalom dans la surface
d’Ismaily obligeant du coup les Egyptiens à commettre l’irréparable. Enfin on l’espérait car on ne s’attendait pas du tout à ce que Jeremia Randriambololona ait choisi un jeune inconnu pour faire exécuter la sentence. José prit en effet son élan pour tirer à mi-hauteur mais pratiquement sur le gardien qui dévia le ballon en corner. C’était durant les arrêts de jeu. Une faute que
l’Ajesaia et ses partisans vont regretter car le match dans deux semaines dans l’enfer
d’Ismaïlia ne s’annonce pas aussi facile que celui de Mahamasina où les boys
d’Antanikatsaka furent incapables de gérer une situation de supériorité numérique alors qu’il restait une bonne demi-heure à jouer. Dommage. Doublement dommage.
allAfrica.com
06/03/2007
Madagascar: Environnement - 7 promotions du Dess EIE sont sorties, en co-diplômation entre l'université d'Antananarivo et l'université Montesquieu Bordeaux IV
27 nouveaux diplômés du DESS EIE, prochain recrutement à partir du 15 mai
Le DESS Etudes d'Impacts Environnementaux (EIE) est en co-diplômation entre l'Université d'Antananarivo et l'Université Montesquieu Bordeaux IV, et initié au début par l'Université de l'Océan Indien, sous tutelle académique des deux universités. Les 6ème et 7ème promotions ont terminé leurs études et la cérémonie de sortie des étudiants s'est déroulée vendredi dernier à la Fac DEGS de l'Université d'Antananarivo.
Il s'agit pour ce DESS de donner, en un an, une formation professionnelle orientée vers la conception, la mise en oeuvre, le suivi et l'évaluation des études d'impacts environnementaux. Au-delà de la stricte EIE, la dimension étude stratégique d'impacts environnementaux est présente dans la formation. Ce cycle a pour objet de former des experts nationaux et étrangers en EIE et planification régionale et de permettre aux diplômés de s'adapter au contexte régional et aux demandes des autorités responsables des différents secteurs concernés.
Initialement ouverte aux ressortissants des pays membres de la COI, la formation s'adresse aujourd'hui à tous les pays francophones. Elle est conçue pour des scientifiques titulaires d'un diplôme d'ingénieur ou d'un diplôme universitaire sanctionnant au moins 4 années d'études supérieures.
Des professionnels du secteur public et du privé ainsi que des associations spécialisées dans tous les domaines concernés par l'environnement, pouvant justifier de 10 à 15 ans d'expériences et recommandés par leur employeur peuvent également présenter leurs candidatures. Dans les dernières promotions sorties vendredi, la 6ème a compté dans ses rangs 16 étudiants dont 2 Français et 14 Malgaches. Ils ont effectué tous leurs stages à Madagascar.
Quinze d'entre eux ont été admis et un recalé. La 7ème promo, quant à elle, a compté 13 étudiants dont 6 Malgaches, 4 Comoriens et 3 Français. Leurs stages ont été effectués à La Réunion, à Madagascar et aux Comores. Un seul sur les 13 étudiants a été recalé. La 8ème promotion a déjà commencé ses cours et le prochain recrutement pour la 9ème promotion se fera à partir du 15 mai 2007.
Midi Madagasikara (Antananarivo)
-Hanitra R.
Express
Mada 08/03/2007
Harilala Ramanantsoa
: “Être femme est un atout en affaires”
La fondatrice de la société Mada Vision, organisatrice de l'évènement Grande braderie, parle de ses 12 années d'expériences en tant que femme-entrepreneur.
• Parlez-nous de votre parcours en tant que chef d'entreprise ...
Je pense que le fait d'être à la fois une femme et chef d'entreprise a toujours créé quelques difficultés. Assumer la fonction de mère de famille impose, de même, des contraintes importantes et entraîne des efforts supplémentaires. Heureusement, l'appui et la compréhension de mon mari m'ont beaucoup facilité la tâche. Le réflexe des hommes de vouloir sous-estimer une femme existe quelquefois. Cela exige automatiquement une force morale et physique plus importante.
• Etre femme est-il un handicap dans un milieu dominé par les hommes ?
C'est un facteur qui peut être un atout, mais sous certaines conditions. Dans le milieu des affaires, par exemple, un homme peut faire preuve de plus d'indulgence envers une femme. Mais il appartient ensuite à cette dernière de prouver sa capacité. D'ailleurs, j'estime que l'esprit d'entrepreunariat est inné chez la femme, chacune à son degré. Car elle s'occupe déjà quotidiennement de la gestion du budget du ménage.
• Qu'est-ce qui différencie une entreprise dirigée par une femme de celle dirigée par un homme ?
Il en existe beaucoup beaucoup. Ainsi, contrairement à la plupart des hommes chefs d'entreprise, une femme accorde toujours un oeil attentif à tout ce qui se passe autour d'elle. Elle prend un peu plus de soins des détails qui font souvent la différence en affaires. Je reconnais que les femmes peuvent être plus émotives, mais elles sont plus patientes et disposent d'une force morale très grande.
• Dans le cas de Mada vision et de la Grande braderie, peut-on y déceler les empreintes d'une femme ?
Je précise que Mada Vision n'est pas une entreprise dirigée essentiellement par des femmes, car notre président de conseil d'administration est un homme, tout comme certains membres de notre personnel. Ceci dit, si on se réfère au parcours de la Grande Braderie depuis sa création en 1999, nous n'avons jamais perdu de vue notre objectif, à savoir faire de cet évènement une mode de vie à Madagascar. Dans cette vision, la femme occupe forcément une place importante dans l'organisation de l'évènement.
• Mais encore...
Aujourd'hui, on constate que les hommes et les enfants viennent plus nombreux encore à la Grande braderie. Cela signifie que les gens ont besoin d'autres choses que de faire des emplettes, d'où le développement des animations annexes grâce à nos partenaires.
• La Grande braderie n'est pas exempte de critiques, notamment dans l'application de la remise de 15% sur les tarifs ...
Bénéficier d'une réduction de 15% constitue un droit pour les visiteurs de la Grande braderie. C'est un contrat entre Mada Vision et les 250 participants à l'évènement. Nous disposons de prix différentiels des produits. Mais les tarifs sont très variables, dans la mesure où il existe trop de facteurs déterminants comme la diversité des produits. Cela n'exclut pas certains participants malhonnêtes dès le départ. D'ailleurs, dix d'entre eux ont été exclus de la liste pour la prochaine édition. Il appartient aussi et surtout aux acheteurs de réclamer leur droit. Nous publions toujours au préalable la liste des participants. Ainsi, les gens peuvent se renseigner sur les prix dans les boutiques.
Propos recueillis par Mahefa Rakotomalala
vttm47.blog.fr
25/02/2007
Vondron'ny tia tanindrazana mpiady tamin'ny 29 martsa 1947-
par vttm47
Nandritran’ny 60 taona nanjakan’ny frantsay teto
Madagasikara, dia enjika sy fanabotriana, ary fampijaliana feno habibiana no nihatra tamin’ireo nanohitra
azy.

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Teo koa ny asa
an-terivozona, ny lahasa tsy misy karama, ny asa 30 andro izay asa tsy maintsy ataon’ny tovolahy feno 18
taona, ny karatra isan-dahy izay aloa isan-taona, miampy ny fanadiovana ny
arabem-panjakana. Fa ny tena loza dia ny SMOTIG, manao làlana ,
tetezana, tonelina, indrindra fa ny làlam-by mampitohy an’Antananarivo sy
Toamasina, Antananarivo sy Antsirabe, Fianarantsoa Manakara. Tao koa ireo tranom-panjakana isan-karazany etc… Fa maro tamin’ireo mpiasa no matin’ny hanoanana nohon’ny tsy fahampiana
sakafo, ary mba hialana amin’izany dia nandositra ny tanàn-dehibe mba tsy
voaantso. Ny ankizy mianatra tamin’izany dia vitsy fa nampiasan’ny colons amin’ny karama varimasaka ny
ankamaroany, fa ny zanaky ny manan-katao ihany no afaka mankany
an-tsekoly. Taty aoriana dia nisy sekoly naorin’ireo misionera catholique sy misionera
protestanta, anglikana, teo koa ny sekolim-panjakana, ny Ecole regionale isaky ny provinces
enina.
Ireny rehetra ireny dia namoaka ankizy vita fianarana araka ny sokajy sy lalana napetraky ny fanjakana
Frantsay, izay
nomeny anarana c.e.s.d (Cours Elementaire du Second Degré ), fari-pahaizana ambony indrindra azon’ny Malagasy
ratovona. Tsy kivy anefa ny Malagasy fa vao maika aza nanaitra ny ambom-pony ity
lalana. Ary taty aoriana dia
dokotera, ka anisan’izany ny dokotera Raseta, Ravoahangy
Andrianavalona, Raherivelo Ramamonjy sns… ...
Lire le Dossier " 60è anniversaire de 1947"
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(Fiainana nanjakan’ny tsindry hazo lena ka tsy nahafahan’ny Malagasy nivoatra tamin’ny lafin’ny
fanabeazana)
Les
Reportages de LaComm'
... La Culture malgache
a toute sa place sur rainizafimanga.com...
Le Dossier
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