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... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
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Edito:
"Mieux vaut tard que jamais !
... "
Désolé du retard mais il parait
qu'il y a 365 jours en 2007 !!! ... mes vœux sont un peu tardifs, mais
je ne les regrette pas.
Poème de Nouvel An 2007 ( Axé sur les fruits de l’Esprit de Gal.5.22 )
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Que notre résolution la plus nette
En cette nouvelle année 2007
Soit de fructifier le vrai Amour
Allié à la Joie de tous les jours
Que le long de cette nouvelle page
Puisse se révéler la plus belle image
De notre fructification rayonnante
en Paix et Patience croissantes
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Qu’avec la dynamique de ce nouvel an
Surgisse aussi en nous le meilleur élan
Générateur de Bonté et de Bénignité
Dans l’unité comme dans la diversité
Qu’au cours de cette nouvelle année
Puisse croître sans cesse la Fidélité
Et s’expérimentent en permanence
Douceur et Tempérance
... la suite
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Manantsoa ANDRIAMIARINA de Kremlin Bicêtre
...
Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina",
Manantsoa a répondu à notre appel
de publier des Editos, maintenant à
qui le tour? On vous attend edito men et edito women.
Merci d'avance!
...
Pour
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allAfrica
18/03/2007
Madagascar: Cyclone, Indlala a déjà fait des ravages dans le Nord-Est
- Midi Madagasikara-Hanitra R.
Favio, Gamède , et maintenant Indlala. La grande ile n'a pas fini d'en découdre avec les perturbations cycloniques. Les dégâts seront sans doute revus à la hausse.
Il était attendu dans la journée d'hier. Il n'a pas fait faux bond et a effectivement atteint la terre ferme hier. Il s'agit du cyclone Indlala qui succède donc à Gamède, lequel a tout de même laissé quelques traces dans la partie Sud-Est de Madagascar.
Indlala a particulièrement touché la ville d'Antalaha pour y être resté de longues heures, mais l'ensemble de la Région de la SAVA en a eu de sérieux échos. Vents violents et pluies diluviennes ont notamment été le lot des populations de cette région depuis hier. Si Gamède était d'une taille particulièrement impressionnante (1000km de diamètre), deux fois plus grand qu'Indlala qui fait 500km de diamètre, ce dernier n'est pas moins intense car il était accompagné de vents pouvant aller jusqu'à 230km/h au centre. Dès hier, les ravages de ce cyclone ont été constatés. Bâtiments décoiffés, montée des eaux, cultures aplaties sont donc actuellement le lot de toute une population dans la SAVA et une partie des régions voisines.
Après son entrée, Indlala pourrait perdre de son intensité et enregistrer un affaiblissement sensible. Il n'en demeure pas moins que ce cyclone reste un danger pour plusieurs autres régions. Les prévisions font, en effet, état d'une progression vers le Sud en longeant les côtes à l'intérieur des terres. Avec ce que cela suppose de dégâts dans les localités « visitées » par le cyclone. Les populations déjà traumatisées par Favio dernièrement, n'ont franchement pas besoin de cela
Midi
Mada 18/03/2007
MAP-CONSTITUTION. Les débats sur le référendum s’enracinent. Les prises de position se multiplient aussi. Elles sont sans complaisance.
«2 textes dangereux»
Map et Constitution. «Ce sont les deux textes dangereux pour ou contre lesquels les électeurs sont priés de se prononcer de gré ou de force, le 4 avril». Le Crn poursuit ainsi sa croisade contre «les dérives autoritaires du régime». A la tête de cette offensive se trouve naturellement le président du comité, Emmanuel Rakotovahiny, épaulé cette fois par Gabriel Rabearimanana, opposant de la première heure.
RC
Potion magique
Quelle est cette potion magique ? Emmanuel Rakotovahiny persiste à dire que «le pays doit passer par la réconciliation nationale pour partir sur de bonnes bases». Gabriel Rabearimanana renchérit que «celle- ci doit être mise en œuvre le plus rapidement avant que la Nation ne s’effondre». En effet, ils croient que «rien de durable ne se construit si tous les enfants du pays n’y contribuent de manière volontaire et libre». Ce qui n’est pas le cas d’après leur analyse de la situation. Celle- ci est marquée par «un clivage très accentué entre le pouvoir et l’opposition», d’après les deux hommes. Lesquels refusent ainsi d’appeler les électeurs à voter NON ou OUI le 4 avril. Pour eux, il faudra faire l’impasse sur ce scrutin qui «ressemble à un coup d’épée dans l’eau». Voilà en tout cas un grain de sable dans le moteur bien huilé du référendum qui, visiblement, divise la classe politique.
Jeune
Afrique 17/03/2007
ONU : appel de fonds pour aider le pays touché par des intempéries
- MADAGASCAR - XINHUA
L'équipe des Nations Unies pour Madagascar a lancé un appel jeudi de plus de 9. 6 millions de dollars afin de soutenir les efforts du gouvernement malgache après les passages successifs de tempêtes tropicales et les inondations qui ont touché le pays ces derniers mois.
L'appel lancé jeudi vise à venir en aide à 293.000 personnes dans tout le pays, indique un communiqué du Bureau de coordination des affaires humanitaires (OCHA) de l'ONU.
"Les conséquences humanitaires de ces catastrophes naturelles sont particulièrement importantes", dit communiqué, qui rappelle que Madagascar est l'un des pays les plus pauvres du monde, au 143ème rang sur 177 dans l'indicateur du développement humain.
Entre le 24 décembre 2006 et le 26 février 2007, les tempêtes tropicales Bondo et Clovis, ainsi que les cyclones Gamede et Favio ont touché le pays à divers endroits. Un autre cyclone, baptisé Indlala, est attendu bientôt.
Selon le communiqué de l'OCHA, la situation est d'autant plus grave que la saison des pluies a été particulièrement intense, entra?nant des inondations dans les régions les plus peuplées à travers tout le pays, y compris la région de la capitale, Tananarive, le nord-ouest, l'ouest et le sud-est.
Sept personnes sont mortes et 33.000 ont été déplacées du fait de ces intempéries qui auront des conséquences sur les récoltes de quelques 260.000 personnes, selon
l'OCHA.
La sécurité alimentaire dans l'île s'est détériorée de manière dramatique et les risques de mortalité maternelle et infantile sont en augmentation, comme ceux de voir des maladies liées à l'eau comme le choléra se développer.
allAfrica.com
16/03/2007
Madagascar: Tuberculose, un traitement à suivre impérativement jusqu'au bout
Plus de 15.500 tuberculeux ont été recensés en 2006. 13% d'entre eux sont « perdus de vue ».
La tuberculose, qui fait 2 millions de victimes chaque année dans le monde, est encore un problème de santé publique à Madagascar, reconnaît le ministre de la Santé, du Planning familial et de la Protection sociale, le Dr Jean Louis Robinson, hier à
Antanimena.
C'était au cours de la réunion préparatoire de la célébration de la Journée mondiale de la Lutte contre la Tuberculose qui se tiendra le 24 mars prochain à Toliara. Le choix de cette ville n'est pas fortuit. C'est Toliara qui compte actuellement le plus de tuberculeux, puisque 64% des malades s'y trouvent.
Résistance aux médicaments
Dans le pays, la tuberculose a affecté plus de 15.500 Malgaches l'année dernière, avec un taux de mortalité de 6%, et un taux de guérison de 75%. Et ces statistiques concernent seulement les malades ayant fréquenté les centres de santé.
De peur de l'exclusion sociale, beaucoup d'autres tuberculeux se « cachent », en effet, pour se fondre dans la communauté. Cette situation rend ainsi difficile leur prise en charge, d'autant plus que ces malades non-traités constituent des réservoirs de contamination des bacilles tuberculeux. A ces malades « cachés » s'ajoutent les 13% « perdus de vue. » Ces « perdus de vue » sont, en fait, des malades qui n'ont pas mené jusqu'au bout leur traitement. Ils sont exposés au phénomène de résistance aux médicaments. C'est dire que leur cas pourrait déboucher sur un problème plus grave encore, en raison de la multiplication des souches multirésistantes.
La journée du 24 mars sera donc une occasion pour le consortium de partenaires luttant contre la tuberculose, de réactualiser ses défis. Ce consortium, appuyé par le Fonds Mondial, Fidelis, et Global Drug Facility, regroupe plusieurs entités, notamment, le ministère de tutelle, Salfa, Voahary Salama et
l'Ecar.
Ces challenges consistent à parvenir à un taux de guérison de 85% d'ici 2009 ; à diminuer à moins de 10% le taux des « perdus de vue » et augmenter de 8% le nombre de malades traités.
8 mois
Afin de parvenir à ces objectifs, le consortium sensibilise particulièrement les tousseurs chroniques de plus de 3 semaines à se faire dépister. « La tuberculose se soigne et se guérit. Le traitement, d'une durée de 8 mois, doit impérativement être suivi jusqu'au bout. Un tuberculeux n'est plus contagieux dès qu'il prend ses médicaments. Ces médicaments sont d'ailleurs octroyés gratuitement auprès de tous les centres de santé. Et ce, alors que réellement ce traitement de 8 mois coûte 170.000 ariary par malade », a tenu à souligner le Dr Jean Louis Robinson.
Pour prévenir la tuberculose, le ministre préconise la vaccination par le BCG des jeunes enfants et l'assainissement de l'environnement. En ce moment, cette maladie touche particulièrement les 15 à 54 ans. C'est-à-dire la population productive. Ce qui, effectivement, fait de la tuberculose un grand problème de santé publique
Midi Madagasikara (Antananarivo) - Vola A.
Le
Quotidien 16/03/2007
SéCURISATION FONCIèRE
: Quand les dons oraux “insultent” les cadastres et plans des Domaines
Une des priorités le plus souvent citées dans le cadre du Développement Rural (engagement n°4) dans la mise en oeuvre du Madagascar Action Plan (Map) est la sécurisation foncière (défi n°1).
Un seul aspect du problème
Si la sécurisation foncière est la clé du développement rural, tel qu’il est ressenti par beaucoup de Malagasy, finalement, elle n’est qu’un aspect du problème. Souvent, on a le verbe facile pour dénoncer les employés des Domaines dans leur manière de titrer les cadastres qui, souvent, se terminent en litige au Tribunal entre les différents protagonistes, souvent membres d’une même famille voire “grande” famille, les terak’i... ou zafin’i...
Beaucoup oublient trop vite que nous sommes une société de l’oralité et les dons oraux (tolobava) ont été légion durant le siècle précédent quand un patriarche décide de faire legs à sa multidude descendance ses terres et patrimoines. Et comme nous sommes aussi une société aux pratiques assez larges, mêmes les enfants nés hors mariage sont reconnus, ce qui rend le phénomène du “bâtard” inconnu à Mada-gascar. Mais, hélas, le tolobava, ou don oral/ engagement verbal, n’a aucune valeur devant la justice.
Prenons l’exemple d’un terrain familial non loin de la banlieue ouest de la capitale, le grand-père latifundiaire est mort au temps de la Ière République et sa nombreuse descendance issue de son mariage légal et religieux n’a pas connu sa prospérité sous le régime socialiste. La seule issue pour eux, malgré l’adage populaire malagasy “ne pas céder son patrimoine”, la mort dans l’âme, les cinq familles ont décidé de vendre leurs terres.
Mais voilà, quelques années après les faits est apparue une fille de grand-père née hors mariage, qu’il a conçue avec une femme durant ses tournées en province et qu’il a reconnue légitimement. Perplexité de la famille “légale et religieuse”. La seule solution a été de lui offrir une contrepartie financière, refus de l’héritière qui s’est sentie flouée d’autant plus que ces familles ne lui ont même pas annoncé la mort de son père par pure...ignorance. L’affaire est allée devant la Justice qui lui a donné raison. D’où embarras pour ceux ou celui ayant acquis les terres de ces familles. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres dont nous ignorons les tenants et aboutissants. Mais ce type de problème révèle bien les lacunes de notre système de valeurs et voilà un comportement à changer au plus vite.
Seul l’écrit prime
Depuis le temps de la royauté, les Malagasy savaient que seul l’écrit prime sur l’oral. Mais, souvent, notre caractère empreint de moramora a toujours voulu croire que tout se résoudrait facilement. Il est courant à notre époque que certaines personnes accordent foi à ces dons oraux et commencent à construire des maisons et autres tombeaux ou encore cultivent les terres qu’ils ont cru recevoir de leurs ancêtres “verbalement” pour se retrouver sur le carreau dépossédées de tout.
Il est grand temps que nos ruraux s’adaptent à ce nouveau comportement. Ce n’est qu’à partir de cela qu’ils pourront compter d’une manière réelle et crédible réussir la seconde priorité qu’ils réclament haut et fort durant les ateliers régionaux de mobilisation sur la mise en oeuvre du Map, le micro-crédit (défi n°2 de l’engagement 4) afin de développer leur activités agricoles. Car comment pourraient-ils trouver des aides financières s’ils ne sont même pas maîtres des terrains qu’ils exploitent. Et, pour le devenir, il faut que les terrains de cultures soient titrés en leur nom.
Le Millenium Challenge Account (Mca) a fait de la sécurisation foncière une des bases de son intervention pour le développement de Madagascar et l’Etat est là afin de donner la valeur juridique incontestable des certificats fonciers attribués par les guichets fonciers qui sont en train d’être répartis sur toutes les communes de la République.
Mais tous ces efforts de l’administration Ravalomanana, déployés avec l’aide des bailleurs de fonds, seraient vains si les intéressés eux-mêmes ne changent pas de mentalité en abandonnant définitivement ces vieilles pratiques de dons oraux qui faussent les cadastres et autres plans des Domaines et à l’origine de litiges qui bloquent pour des années voire des décennies un processus de développement.
Nous vivons dans un pays riche et généreux c’est à nous de savoir l’exploiter au maximum avec talent et rationalité.
(à suivre)
Gérard C.
Midi
Mada 16/03/2007
CYCLONE. Bondo,
Favio, Gamède…, et maintenant Indlala. La Grande Ile n’a pas fini d’en découdre avec les perturbations cycloniques. Les dégâts seront sans doute revus à la hausse.
Indlala a déjà fait des ravages dans le Nord-Est de Madagascar
Il était attendu dans la journée d’hier. Il n’a pas fait faux bond et a effectivement atteint la terre ferme hier. Il s’agit du cyclone Indlala qui succède donc à Gamède, lequel a tout de même laissé quelques traces dans la partie Sud-Est de Madagascar.
Hanitra R.
Indlala a particulièrement touché la ville d’Antalaha pour y être resté de longues heures, mais l’ensemble de la Région de la SAVA en a eu de sérieux échos. Vents violents et pluies diluviennes ont notamment été le lot des populations de cette région depuis hier. Si Gamède était d’une taille particulièrement impressionnante (1000km de diamètre), deux fois plus grand qu’Indlala qui fait 500km de diamètre, ce dernier n’est pas moins intense car il était accompagné de vents pouvant aller jusqu’à 230km/h au centre. Dès hier, les ravages de ce cyclone ont été constatés. Bâtiments décoiffés, montée des eaux, cultures aplaties sont donc actuellement le lot de toute une population dans la SAVA et une partie des régions voisines. Après son entrée, Indlala pourrait perdre de son intensité et enregistrer un affaiblissement sensible. Il n’en demeure pas moins que ce cyclone reste un danger pour plusieurs autres régions. Les prévisions font, en effet, état d’une progression vers le Sud en longeant les côtes à l’intérieur des terres. Avec ce que cela suppose de dégâts dans les localités « visitées » par le cyclone. Les populations déjà traumatisées par Favio dernièrement, n’ont franchement pas besoin de cela…

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Quotidien 18/03/2007
ANALAVORY
: L’élevage de coqs de combat rapporte beaucoup
Dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale des femmes le 08 Mars 2007, l’Association des Femmes Docteurs Vétérinaires Mala-gasy ou Afdvm, créée en octobre 2006 et qui regroupe
une centaine de membres à Madagascar, a organisé une séance de vaccination gratuite contre la maladie de New-casttle au niveau de
quelques éleveurs d’Ampefy. En quelques mots, les objectifs de cette Association se résument à la participation à l’amélioration de la sécurité alimentaire à Madagascar, à la contribution dans l’amélioration de la santé animale dans le pays et à l’augmentation des revenus journaliers de chaque ménage. Lors de cette journée de la femme, près de 300 têtes de volailles ont été vaccinées (Avichole pour se protéger contre le choléra ou barika et Pestavia pour lutter contre la peste) pendant cette manifestation pour les éleveurs aux environs de la Commune rurale d’Ampefy.
58 000 têtes de volailles
Selon le Dr Norosoa Ravao-narivo, qui détenait un Cabi-net vétérinaire à Analavory, cette zone pratique à la
fois l’agriculture et l’élevage. Les Communes d’Ampefy et d’Analavory comptent près
de 58 000 têtes de volailles, 15 870 têtes de bovins, 5 600 porcins et 250 caprins. Compte tenu de l’existence des maladies aviaires telles le choléra et la peste qui affectent les volailles dans sa zone, les éleveurs ont acquis l’habitude de vacciner leurs volail-les. Quant au Dr Vololonirina Razafindratsima, qui est le secrétaire Général de l’Asso-ciation, cette manifestation entre dans l’appui à la participation des femmes au développement rural ainsi qu’à la prévention contre la grippe aviaire même si cette épidémie n’existe pas encore à Madagascar.
Epargne
En milieu rural, l’élevage de volailles constitue une épargne pour les paysans. Selon Rakotonirina, du Fokontany d’Ankorondrano, une poule peut produire jusqu’à 40 par an si les conditions nécessaire sont remplies. Ainsi si une famille a 30 têtes de volailles, elle pourra acheter au moins un bœuf à la fin de l’année pour augmenter leurs revenus. Quant à Johnny du Fokontany d’Antanjona, il pratique l’élevage de variété de coq de combat. Pour lui, un poulet de six mois lui
rapporte près de 5 000 Ariary car ce genre de loisir est très apprécié dans la région et ses environs. Quant au coq géniteur, il coûte au moins 15 000 Ariary. Actuellement, l’éleveur en a plus de 70 têtes, ce qui lui rapporte beaucoup en plus de son activité agricole.
A partir de 1 mois
Pour prévenir la santé des volailles, la vaccination est administrée à partir de 1 mois. Pourtant, la vaccination contre la peste se fait une fois par an tandis que celle contre le choléra se fait tous les trois mois.
En outre, des suivis de la santé des volailles et ani-maux domestiques se font au niveau des Postes et Cabinets vétérinaires.
Recueillis par Felana
Source : Maep
Le
Quotidien 16/03/2007
TOURISME
: Bravo Andilana Beach recevra ses premiers clients le 10 juin
Selon le journal milanais Guida Viaggi (disponible sur le site www.guidaviaggi.it), “Bravo Andilana Beach” (nouvelle dénomination d’Andilana Beach) recevra ses premiers clients le 10 juin prochain.
Rappelons que le Groupe italien intégré Alpitour World a obtenu l’exclusivité de la commercialisation de la destination Madagascar sur ce site en Italie. Ceci en collaboration avec la compagnie aérienne malgache Air Mada-gascar grâce au vol Milan- Nosy
Be. Alpitours, par la voix du Brand Manager “Villagi Bravo”, Andrea
Gilardi, avait annoncé, lors d’une conférence de presse, le 22 février dernier, qu’il ouvrirait les portes
d’Andi-lana Beach sous sa bannière dès le 12 mars dernier. “Bravo Andilana Beach compte actuellement 208 chambres”.
Par ailleurs, la vulgarisation en Italie des 300 000 brochures de 24 pages chacune relatant tous les circuits
touristiques de Madagascar est en cours.
Après l’annonce de la reprise d’Andilana Beach par
Alpitour, quatre tours opérateurs commercialisent actuel-lement la destination Mada-gascar en Italie. Il s’agit
d’Alba Tour, de Cisalpina Tour, de Dreamtour et de Tucano qui distribue également à large échelle des
brochures sur la Grande Ile (SoloMadagascar).
La Smth (Société Malgache du Tourisme et de l’Hôtel-lerie), le propriétaire du complexe, a investi 1 |
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million
d’euros pour les travaux d’extension de cette infrastructure touristique qui compte désormais 350 em-ployés avec une augmentation salariale de 15 à 20%.
Cette prise en main de la commercialisation de la destination Madagascar par Alpitour représente une bouffée d’oxygène pour la promotion du secteur touristique à Madagascar.
Ndrasana
Madamaki.com 16/03/2007
Salon Mondial du Tourisme à Paris.
Salon Mondial du Tourisme : le Salon où toutes les envies prennent vie
Envie de se détendre, de respirer, envie de découvrir de nouveaux territoires, ....
Au Salon Mondial du Tourisme, chacun peut s'inventer un voyage rien que pour lui.
Evénement unique en son genre, le Salon réunit au travers de leurs offices de tourisme, toutes les destinations du monde entier.
Du 15 au 18 mars, la planète entière débarquera à Paris au Salon Mondial du Tourisme et composera, au hall 7.3 Porte de Versailles, le plus extraordinaire patchwork de paysages et de visages.
Une occasion exceptionnelle de faire le plein d'idées, de comparer et de s'entourer des meilleurs conseils.
Le Salon Mondial du Tourisme est un concentré de rêve et d'évasion, la plus belle invitation au voyage!
Nono ;) !
Midi
mada 16/03/2007
DROGBA à Tana
Sous très haute surveillance
Didier Drogba sera-t-il présent au match du 25 mars ou non ? A cette question, rien n’est encore certain. Trop incertain que la situation commence à inquiéter des autorités et particulièrement des responsables de la sécurité publique.
Didi R.
Star internationale et récemment élu meilleur footballeur du continent africain, la venue - ou non - de Didier Drogba, ce buteur de Chelsea devient, pour l’instant, un sujet à polémique. Plus précisément, l’on craint que son absence, tant attendue par les spectateurs qui ne reculent pas devant le prix du billet revu à la hausse par rapport aux coûts habituels, puisse générer un mécontentement. Et pour prévenir toute situation pouvant nuire à l’ordre public, les efforts des agents de renseignements des institutions seraient actuellement orientés sur ce point. A la dernière information, il jouera dans un match amical à l’île Maurice la veille de son match à Mada, soit à une semaine des quarts de finale de la ligue des champions. Quant à la rencontre avec les Barea de Madagascar, sa participation n’est pas encore confirmée. Décidément, le monde du football malgache attend avec impatience l’évolution de la situation. En tout cas, quoi qu’il advienne, les forces de l’ordre joueront un rôle plus qu’important pendant cette journée mémorable du ballon rond. Et surtout, au moment où la Grande Ile n’est pas du tout à l’abri de tout acte terroriste…
vttm47.blog.fr
25/02/2007
Vondron'ny tia tanindrazana mpiady tamin'ny 29 martsa 1947-
par vttm47
Nandritran’ny 60 taona nanjakan’ny frantsay teto
Madagasikara, dia enjika sy fanabotriana, ary fampijaliana feno habibiana no nihatra tamin’ireo nanohitra
azy.

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Teo koa ny asa
an-terivozona, ny lahasa tsy misy karama, ny asa 30 andro izay asa tsy maintsy ataon’ny tovolahy feno 18
taona, ny karatra isan-dahy izay aloa isan-taona, miampy ny fanadiovana ny
arabem-panjakana. Fa ny tena loza dia ny SMOTIG, manao làlana ,
tetezana, tonelina, indrindra fa ny làlam-by mampitohy an’Antananarivo sy
Toamasina, Antananarivo sy Antsirabe, Fianarantsoa Manakara. Tao koa ireo tranom-panjakana isan-karazany etc… Fa maro tamin’ireo mpiasa no matin’ny hanoanana nohon’ny tsy fahampiana
sakafo, ary mba hialana amin’izany dia nandositra ny tanàn-dehibe mba tsy
voaantso. Ny ankizy mianatra tamin’izany dia vitsy fa nampiasan’ny colons amin’ny karama varimasaka ny
ankamaroany, fa ny zanaky ny manan-katao ihany no afaka mankany
an-tsekoly. Taty aoriana dia nisy sekoly naorin’ireo misionera catholique sy misionera
protestanta, anglikana, teo koa ny sekolim-panjakana, ny Ecole regionale isaky ny provinces
enina.
Ireny rehetra ireny dia namoaka ankizy vita fianarana araka ny sokajy sy lalana napetraky ny fanjakana
Frantsay, izay
nomeny anarana c.e.s.d (Cours Elementaire du Second Degré ), fari-pahaizana ambony indrindra azon’ny Malagasy
ratovona. Tsy kivy anefa ny Malagasy fa vao maika aza nanaitra ny ambom-pony ity
lalana. Ary taty aoriana dia
dokotera, ka anisan’izany ny dokotera Raseta, Ravoahangy
Andrianavalona, Raherivelo Ramamonjy sns… ...
Lire le Dossier " 60è anniversaire de 1947"
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(Fiainana nanjakan’ny tsindry hazo lena ka tsy nahafahan’ny Malagasy nivoatra tamin’ny lafin’ny
fanabeazana)
Les
Reportages de LaComm'
... La Culture malgache
a toute sa place sur rainizafimanga.com...
Le Dossier
"Monet aux Pixels"
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du Coeur-ARF

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Voyage au bout du monde...
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Recette
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Neny
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