MadaVôvô 2007   -  Page 1 / 2

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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Sommaire Madavôvô: 21 novembre  2007

BigNews: Le Sport est Roi ... 

L'Edito: « L’AUTHENTICITE fait la différence !»

1. Défense : Ravalomanana annonce la création de Forces spéciales (express)

2. Madagascar: Propagande - vers une guerre d'images et de sons (midi)

3. La réforme des institutions françaises : vers une VIème République ou une Vème bis ?  (nouvelles)

4.Madagascar: le secteur de la santé a besoin de plus de 960 millionsde dollars (xinhua)

5. Chrome : L'exportation a triplé en 4 ans (nouvelles)

6. Petrole: Le premier forage d’Exxon Mobile en juin 2008 (midi)

*. No Comment.... No Comment...  

7. Bodo & Poopy, le duo. Racontez-nous…. (moov)

8. Droit de vote aux étrangers résidents (midi)

9. Entretien routier : 60 millions de dollars de pertes (nouvelles)

10. Electricité et Eaux de Madagascar : croissance moins forte au 3ème trimestre   (challenges)

11. Moov ambitionne de révolutionner internet à Madagascar (aody)

12.  Près de 48% des familles malgaches n’utilisent pas de latrines. (moov)

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21/11/2007

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.597.07 Ar 
USD 1.762.70. Ar 
GBP 3.636.90. Ar 
CHF 1.586.95 Ar 
JPY 15.97 Ar 
ZAR 262.55 Ar 
HKD 226.53 Ar  
Date Eur/Ar Date Eur/Ar
30/10 2595 30/09 2601
07/05/07 2472 28/05/06 2771

(Revues de presse plus bas !!! ... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


 

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*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


«  L’AUTHENTICITE fait la différence !  » 

  MégaSoirée de l’ A.R.F. du 10 novembre 2007 à Tournan-en–Brie, avec le Groupe GALASSAM' , le DJ Ndrenja & Le Traiteur "AS de Madagascar" 

     Pour résumer l'ambiance de cette soirée inoubliable... Une joie immense, chaleureuse et communicative... un enthousiasme délirant ! 

   Le VIVRE ENSEMBLE avec vous,  

pour vous et vous avec nous dans un même espace et au même moment :  « L’Authenticité fait la différence » ! C’est le thème  adopté à LaComm’ pour  donner beaucoup plus de dimension à son « Marronnier ».

Il s’agit de notre rituel article relatant la célébration de la soirée annuelle des descendants des RAINIZAFIMANGA en France et à l’étranger, ce avec et pour leurs amis pour faire la fête. En effet, dans le cadre de ses actions, notamment  Pour & Dans Le FIHAVANANA, valeur chère à tous les Malgaches, une Soirée Annuelle est fixée en automne, par l'A. R. F. pour ne pas faillir à un « héritage ancestral » .

   Par les moyens qui sont propres à chacun et chacune, notamment et surtout la joie de se retrouver ensemble, nous avons tous fait de cette soirée festive une réussite ! 

En France et à l’Etranger, pour ne citer que certains,  tels que nos cousins et amis de la famille, Gérard Rajaona, Madame Nelly Rakotobe, Josiane Ratsimbazafy, ….qui sont venus de loin : de Madagascar, du Canada, de Suisse, de Dakar, ... pour leur amour de la famille !  

UN GRAND MERCI à tous, dont  à ceux de Bordeaux, de Bourges, de Nancy, de Reims, de Rennes, de…., à notre Traiteur «  As De Madagascar ». Un petit clin d’œil à toute l’équipe de Sophie et Alexis, notamment Tiana, Corinne, Christopher…  pour les si  bons petits plats, amuse-bouches (Ravitoto, achards, sambos, mofo gasy,…) bien de chez nous sans parler des boissons diverses et variées (THB, Dzama, Bonbon Anglais, …) ; aux  musiciens, aux chanteurs et chanteuses qui nous ont fait vibrer d’émotion avec les airs d’antan et d’aujourd’hui. … pour tous les goûts, pour toutes les générations confondues,  de la valse viennoise de nos parents, jusqu’à la danse tectonique actuelle de nos jeunes,  en 

passant par  l’incontournable Salegy,  ou les danses traditionnelles malgaches  comme le Mandihiza Itsikitsika ou les danses des guerriers dans le Sud de Madagascar…, aux airs  du groupe Voanio de Toamasina,

Le Grp Galassam' a la MégaSoirée ARF 2007 ...  Klikeo eto >>

   bref…  de toutes  les Provinces de notre Grande Ile ou aussi des tubes dont ceux  des années soixante notamment avec les chansons du temps des "Rabaraona frères et soeurs" appelés « Les Surfs » ; des années quatre vingt avec l’interprétation des chansons de Boney M,  ce quatuor avec son titre à succès  Daddy Cool en 1977 ou  également en 1978, le sommet de sa popularité avec par exemple l’un de ses  tubes, le Rivers of Babylon ;  au  DJ ;  à celles qui nous ont offert  le spectacle de danses ! 

    « Sitraka enti-matory, ka valiana raha mahatsiaro. » 

i.e A une chose qui a fait plaisir au moment de s’endormir, on répond en se réveillant.  

           A l’ Automne prochain !

Note : ( * ) L’histoire, la  petite, et, sans majuscule, a fait institué le “marronnier” comme l’article revenant chaque année à date fixe par la grâce des cycles sociaux… et des routines journalistiques.  

... Lire la suite Cliquez-ici 

              Andree Ratovonony (Fafah) de VSG

. Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Fafah  a répondu à notre appel de publier des Edito maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.Merci d'avance!       ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>              ... Lister  tous les Editos


Express Mada 21/11/2007

Défense : Ravalomanana annonce la création de Forces spéciales 
Ravalomanana (au centre) présente Cécile Marohanta (2è à g.), ministre de la Défense nationale, à Toliara. 
Le président Ravalomanana a bouclé sa tournée dans les six chefs-lieux des anciennes provinces en quatre jours. Le chef de l'Etat a tenté de sensibiliser les autorités militaires sur les nouvelles orientations en matière de défense. 
Le chef de l'Etat a levé un pan du voile sur la stratégie adoptée dans le cadre des nouvelles orientations militaires, lors de son déplacement à Toliara, hier. Il a révélé la création d'une entité dénommée Forces spéciales pour le développement . «Celle-ci sera mise sur pied incessamment», a-t-il soutenu. 
Le président Ravalomanana a soutenu que l'unité est interarme. «Elle collaborera pour la réalisation du Plan d'actions pour Madagascar (Map) pour pouvoir atteindre le taux de croissance économique fixé. Elle défendra également nos richesses sous-marines tout en assurant la sécurité pour le développement rural», a-t-il expliqué. 
Le chef de l'Etat n'a pourtant pas précisé la place des Forces spéciales dans la configuration militaire actuelle. En effet, le président Ravalomanana avait déjà lancé le Service civique et les Forces de développement, il y a quelques années. 
Le président Ravalomanana, également chef suprême des armées, a tenu à effectuer sa campagne d'explication au niveau des chefs-lieux des anciennes provinces en quatre jours. Il a commencé sa tournée à Antsiranana et à Toamasina, avant de rallier Fianarantsoa. Hier, il s'est rendu à Toliara, à Morondava, puis à Mahajanga. 
Pendant sa tournée, le chef suprême des armées a présenté Cécile Manorohanta, ministre de la Défense, aux autorités militaires locales. C'est à l'ancienne vice-ministre de l'Education nationale que le chef de l'Etat confie la clé de la réalisation des nouvelles orientations en matière de défense.
Iloniaina Alain


Midi Mada 21/11/2007
Madagascar: Propagande - vers une guerre d'images et de sons- R.o.
La campagne électorale se fera aussi sur le petit écran et par la voie des ondes
La propagande pour la course à la mairie de Tana sera d'une importance capitale. Elle s'annonce particulièrement serrée entre le PDS candidat Hery Rafalimanana et le PDG candidat Andry Rajoelina. Le camion ventouse de la Commune et le TGV d'Injet vont se livrer une course poursuite à travers la Ville des Mille.
L'un s'efforçant d'effacer les traces du passage de l'autre durant les deux semaines de campagne qui prendra l'allure d'une guerre d'images et de sons entre Anosipatrana, siège de MBS et Ambodivona où se trouve le studio de Viva. C'est dire que les deux candidats ne vont pas se contenter du temps d'antenne gratuit sur la RNM et la TVM.
Hyper-bondés
A une semaine du coup d'envoi officiel de la campagne électorale, Hery Rafalimanana et Andry Rajoelina se livrent déjà une bataille radio-télévisée. Le premier à travers la chaîne proche du pouvoir donc du Tim et le second, sur sa station, dernière acquisition du groupe Injet. Force est toutefois de constater que le PDS candidat s'octroie plusieurs longueurs d'avance par le biais de l'émission « Haody ry Iarivo » qui est diffusée et rediffusée, à titre de pub du reste, sur presque toutes les télés. A l'exception de Viva qui braque évidemment ses caméras sur le « Tanora Gasy Vonona » qui est submergé par les rencontres et les audiences depuis l'annonce de sa candidature. Partout où passe le TGV, les quais sont hyper-bondés. Personne ne veut rater le train qui mène à Tsimbazaza.
« Zava-bita »
De son côté, Hery Rafalimanana s'adjuge la paternité de tous les « zava-bita » dans la Capitale. Y compris ceux inaugurés ou entamés par le dernier maire élu de la Ville. Le nouveau visage de l'Avenue de l'Indépendance, le jet d'eau d'Ankorondrano, l'espace vert sur la place du 13 mai devenue zone rouge, les boulevards de l'Europe et du Marais Masay, les plantes vertes sises devant l'immeuble Fiaro à Ampefiloha. C'est, entre autres images, le côté jardin de l'émission « Haody ry Iarivo » qui a visiblement oublié le côté cour. La cour insalubre des bas quartiers d'Andranomanalina, d'Anatihazo Pour ne citer que ces quartiers populaires et populeux qui sont à la fois tout près et si loin de la lumière des lampadaires installés sur les deux rives du canal d'Andriantany « new look ».
Bref, si le PDS candidat peut se targuer, à juste titre, d'avoir fait ceci et cela, le « Tanora Gasy Vonona » ne manquera sans doute pas de dire que beaucoup reste à faire pour redorer en profondeur l'image de Tana. En tout cas, si on élit un maire, ce n'est pas pour ne rien faire.


Les Nouvelles 20/11/2007
OPINION : La réforme des institutions françaises : vers une VIème République ou une Vème bis ? 
Près de cinquante ans après la naissance de la Ve République , Nicolas Sarkozy vient d'ouvrir le chantier de la ré-forme des institutions, en installant une commission d'experts et d'hommes politiques qui doivent lui remettre leurs propositions pour le 1er novembre 2007. 
Des observateurs étrangers peuvent être surpris de voir les débats institutionnels prendre en France une importance aussi démesurée. Il est vrai qu'à la différence de la démocratie anglaise, qui s'est enracinée sans texte constitutionnel et de la démocratie américaine, qui n'a connu qu'une Constitution depuis 1787, assortie d'une trentaine d'amendements, la France a fait une abondante consommation de textes constitutionnels, plus d'une quinzaine depuis 1789. Seule la IIIème République avait jusqu'ici bénéficié d'une relative longévité, soixante-cinq ans, de 1875 à 1940. 
Mises en place dans l'urgence en 1958 par le Général de Gaulle, en pleine crise algérienne, les institutions de la Vème République ont été d'abord vivement contestées. Tout devait changer, lorsque François Mitterrand, qui avait violemment attaqué la Constitution de 1958, s'est mis à la trouver fort à son goût après son élection comme Président de la République en 1981. 
Depuis, un certain consensus s'était dégagé autour du modèle institutionnel mis en place en 1958, qui avait donné à la France l'exécutif fort qui lui avait manqué jusque là, tout en respectant les principes de la démocratie et de l'Etat de droit. De plus, cette constitution a fait preuve des qualités de souplesse qui ont permis au pays de progresser, tout en surmontant des épreuves aussi graves que la crise algérienne, la crise de mai 1968, le départ du Général de Gaulle, l'alternance politique à gauche en 1981 et même la «cohabitation», résultant des divergences entre majorité présidentielle et majorité législative constatées en 1986, en 1993 et 1997. 
Et pourtant, on a constaté une montée croissante de la contestation de ces institutions dans une partie de la classe politique. Les uns reprochent au régime français son caractère «hybride», puisqu'il n'est ni présidentiel – dès lors qu'il comporte un Premier ministre responsable devant le Parlement –, ni parlementaire, – puisqu'il confère des pouvoirs importants à un Président de la République élu au suffrage universel : de ce fait, il rend possible des situations de «cohabitation» droite/gauche, génératrice d'inefficacité. D'autres voient dans les institutions la cause majeure – sinon la seule – de la crise démocratique qui s'est notamment traduite, ces dernières années, par la méfiance à l'égard de la classe politique, par un fort degré d'abstention, par un vote protestataire en faveur des partis extrêmes, par les difficultés de l'Etat à se réformer et par la présence symbolique de Jean-Marie Le Pen au deuxième tour de l'élection présidentielle de 2002.
Risques de blocage
Il reste que depuis cinquante ans, la société française, ainsi que le monde qui l'entoure, ont profondément changé et que ces changements affectent nécessairement les modes de gouvernement : au-delà de la mondialisation, qui réduit les marges de manœuvre de l'Etat, la construction européenne a profondément renforcé le poids du processus de décision et du droit communautaires. De plus, des changements ont déjà été apportés à la Constitution , tels que l'institution du quinquennat en 2002, dont on n'a pas tiré jusqu'ici les conséquences. 
Faut-il aller pour autant vers une VIème République ? Certains le proposent, mais il s'opposent profondément sur la solution à retenir, les uns voulant s'orienter vers un régime présidentiel à l'américaine, puisque le Président est déjà élu au suffrage universel, les autres marquant leur préférence pour un régime parlementaire à l'anglaise. Mais, d'un côté, le régime présidentiel, marqué par une stricte séparation des pouvoirs, comporte en France des risques de blocage entre exécutif et législatif, d'un autre côté, le régime parlementaire, qui a laissé de mauvais souvenirs du fait des dérives passées du régime d'assemblée, impliquerait l'adoption du mode de scrutin majoritaire à un tour que la France ne paraît pas prête à retenir. 
Les orientations de Nicolas Sarkozy iraient plutôt dans le sens d'un aménagement des institutions sous forme d'une Vème République bis. Son analyse part de la constatation que la présidentialisation du régime est une réalité, surtout depuis l'adoption du quinquennat, qui fait se succéder, dans la foulée, élection présidentielle et élection législative. Il est donc normal que le Président de la République exerce une prééminence au sein de l'exécutif, même si cela ne doit pas conduire à la disparition du Premier ministre. Mais il se trouve que c'est le Premier ministre et non lui, qui est responsable devant le Parlement. Nicolas Sarkozy souhaiterait, à tout le moins, pouvoir s'expliquer lui-même une fois par an sur sa politique devant le Parlement, ce qu'il ne peut pas faire aujourd'hui. Il propose aussi, afin de rééquilibrer les institutions, de limiter à deux mandats successifs le nombre des mandats présidentiels, et d'encadrer son pouvoir de nomination à certaines fonctions par une intervention, voire un veto, du Parlement.
Des correctifs nécessaires
Plus généralement, face à la prééminence de l'exécutif sur le législatif, voulue en 1958, des correctifs sont nécessaires : il y a lieu de renforcer les pouvoirs du Parlement, dans le domaine de la détermination de l'ordre du jour, du nombre de commissions, de la procédure législative, des mécanismes de contrôle. En outre, pour accentuer ce rééquilibrage des institutions, le Président envisagerait de conférer un statut formel à l'opposition, qui lui permettrait de constituer un véritable contre-pouvoir, de revoir la rédaction du fameux «article 16», qui confère au Président des pouvoirs exorbitants en période de crise, d'introduire dans le mode de scrutin majoritaire actuel «une certaine dose» de représentation proportionnelle. Se pose aussi la question d'une éventuelle transformation de l'actuel Conseil constitutionnel en Cour suprême qui pourrait, dans certaines conditions, être saisi par les citoyens, ou d'une renonciation du Président à présider le Conseil supérieur de la magistrature. 
Nul ne peut prévoir ce que proposera la Commission d'experts, dont les membres, qui appartiennent tant à la majorité qu'à l'opposition, ont des opinions très contrastées sur les questions en cause. Eu égard à l'attachement d'une majorité de l'opinion aux grands principes de la Vème République , tels que l'élection du Président de la République au suffrage universel ou l'existence d'un exécutif fort, il est probable que le rééquilibrage des institutions qui sortira de ces travaux, pour nécessaire qu'il soit, ne modifiera pas en profondeur l'architecture institutionnelle mise en place en 1958. Quand on sait que la révision constitutionnelle à venir, programmée pour le début de 2008, devra réunir en tout état de cause les trois-cinquièmes des votes des deux assemblées parlementaires, cette recherche de consensus n'en sera que plus nécessaire.
Copyright: Project Syndicate/Institute for Human Sciences, 2007. 


xinhuanet.com  19/11/2007
Madagascar: le secteur de la santé a besoin de plus de 960 millionsde dollars - (XINHUA)
Madagascar a besoin d'au moins 960 millions de dollars américains pour réaliser son  programme dans le domaine de la santé, a indiqué le quotidien le  journal local MIDI dans son édition de samedi. 

     Le gouvernement a besoin d'environ 1491,11 millions de dollars pour mettre en oeuvre son engagement, a-t-on révélé durant le  dialogue en cours entre le président Marc Ravalomanana et les  dirigeants locaux ainsi que les représentants des bailleurs de  fonds et des organisations internationales. 

     Le gouvernement dirigé par le parti au pouvoir J'aime  Madagascar ou Tiako I Madagasikara (TIM), a promis dans son plan  économique, ou Madagascar Action Plan (MAP) 2007-2012 annoncé  l'année dernière, qu'il travaillerait pour assurer que tous les  Malgaches soient en bonne santé et pourraient contribuer  productivement au développement de la grande île et aussi mener  une vie longue et fructueuse. 

     Il a aussi pour objectif de fournir des services de santé de  qualité, éliminer les maladies transmissibles et non- transmissibles, réduire la mortalité infantile, réduire la  mortalité maternelle et néonatale, améliorer la nutrition et la  sécurité alimentaire. 

     Le gouvernement se focalise surtout dans la promotion du  plannning familial, la lutte contre le sida et l'approvisionnement en eau potable de la population. 

     Néanmoins, selon le MIDI, le gouvernement malgache n'a pu  acquérir que les 35% du financement, soit 524 millions de dollars, du budget pour le secteur santé alors que les 65% restantes sont  encore à trouver. 

     Pire encore, selon le journal, le financement alloué à la  lutte contre le VIH/sida dans le pays s'étalant de 2007 à 2011 a  été bloqué par un responsable au niveau de la Banque Mondiale,  chargé du dossier sida. 

     La secrétaire exécutive du Comité national de lutte contre le  sida (CNLS) de Madagascar, Fenosoa Ratrimanetrimanana, a déclaré à la presse que le blocage a empêché son institution de réaliser son plan de travail annuel. 

     Cependant, a-elle-dit, l'affaire a déjà été résolue suite à  des discussions avec les bailleurs de fonds et une partie du fond  sera débloquée dans les prochains jours.


Les Nouvelles 19/11/2007

Chrome : L'exportation a triplé en 4 ans - Mialy Tiana
L'exportation de chrome a augmenté à 132 655 tonnes cette année contre 44 744 tonnes en 2003 et les principaux importateurs sont : la Suède , la Chine et l'Italie. Un bilan favorable qui ne manquera pas de persévérer si l'on prend en compte les perspectives d'extension et le programme de la société Kraoma, à travers le Strategic development meeting. Les prospections prévoient une durée d'exploitation de 14 ans pour le gisement de Bemanevika.

Une production de 88 000 tonnes entre 2003 et 2007 et une hausse à l'exportation. Un bilan qui incite la société Kraoma à étendre ses activités vers le secteur aurifère et avec le Strategic development meeting.
«132 655 tonnes de chrome exportés par la société Kraomita Malagasy (Kraoma) en 2007, contre 44 744 tonnes en 2003.» Une prospérité persévérante de la grande société minière malgache sur une période de quatre ans, selon les propos du directeur général Mejamirado Razafimihary. C'était lors de son discours, jeudi dernier à Brieville, à l'ouverture du Strategic development meeting (SDM) auquel s'est initié la société. 
Les perspectives sont bonnes, du moins pour les prochaines décennies. Avec le gisement de Bemanevika, la production courante a dépassé les prévisions avec près de 257 000 tonnes. En effet, si auparavant il fallait décaper 20 m3 de terre stérile pour avoir une tonne de minerais, à présent il ne faut en enlever que 9m3. Le rythme devrait être maintenu pour l'année prochaine avec la Suède , la Chine et l'Italie comme principaux pays importateurs. De plus, la société se dotera de nouveaux équipements en 2008: foreuse, camions, etc. 
L'ancien gisement d'Ankazotaolana qui sera bientôt épuisé, celui de Bemanevika exploité depuis 2005, permettront de maintenir ce rythme de production pour les 14 prochaines années. Les explorations sont en cours pour repérer d'autres gisements et étendre les activités sur d'autres minerais. Une exploitation aurifère à envergure industrielle est actuellement envisagée. 
Quant au secteur social, l'amélioration des conditions de vie de la population locale se profile à travers la construction d'écoles privées, la fourniture de médicaments, l'amélioration des infrastructures de communication, le désenclavement, etc.

Un strategic development meeting pilote
Le président du conseil d'administration de Kraoma Jeanne Davidson Raholimanana fait appel au professionnalisme. L'initiative du SDM au sein de la société y trouve d'ailleurs sa justification. Les thèmes traités se rapportaient au rôle de l'entreprise dans le développement de la région, aux avantages du personnel, à la 

préservation du patrimoine, à l'éducation et la formation. Ainsi, outre l'amélioration de la gouvernance des infrastructures et des conditions sociales, la société improvise sur les infrastructures de communication. Le désenclavement de la région figure parmi les programmes sociaux. 
Félicitant une telle détermination d'une entreprise privée -la première- à s'initier au SDM, le ministre de l'Energie et des mines Elisé Razaka venu sur les lieux a mis l'emphase sur la protection de l'environnement. Il ajoute que force serait de se tourner vers la transformation des minerais sur place. 


Midi Mada 19/11/2007
Exploration pétrolière. Madagascar attend toujours ses premières gouttes d’or noir à l’heure où le cours mondial du brut fait parler de lui. Le premier forage d’Exxon Mobile en juin 2008
Les compagnies pétrolières effectuant des explorations pétrolières dans les zones dotées potentiellement de gisements pétroliers sont très actives. L’on apprend par exemple du vice-Président pour l’Afrique Subsaharienne de la compagnie Exxon Mobile, Kevin Biddle, reçu hier par le Président de la République Marc Ravalomanana au Palais d’Ambohitsorohitra, que cette société effectuera, dans sa phase exploratoire, son premier forage vers le mois de juin ou juillet 2008. - Recueillis par Didier Rambelo
«Les recherches sont en bonne voie», indique-t-il. A noter que Kevin Biddle a été accompagné de son collaborateur, le Directeur Général d’Exxon Mobile Madagascar, Drew Goodbrad. 
100 millions usd pour un forage
Il faut noter que cette compagnie explore 4 blocs pétroliers off-shore dans la partie ouest de la Grande île précisément à Cap St André ; à Mahajanga ; à Ampasindava et à Ambilobe. Selon les explications du vice-Président pour l’Afrique Subsaharienne d’Exxon Mobile, cette entreprise, depuis le début de ses études dans la côte ouest il y a à peu près un an de cela, a déjà beaucoup investi. «Rien que pour un forage, il faut prévoir dans les 100 millions de dollars», précise-t-il. Il a également confié que les matériels nécessaires pour ces travaux ne sont pas donnés. Ceux-ci coûteraient à la compagnie dans les 500 000 dollars. 
Pour ce qui concerne le forage, le vice-Président, Kevin Biddle avait fait savoir qu’il s’agit du bloc off-shore d’Ampasindava, dans un site appelé Sifaka situé à 15 km des côtes et qu’il faudra descendre jusqu’à 1 400 m de profondeur. C’est à la suite de ces explorations que la compagnie pourra savoir si son gisement est rentable ou pas. 
Informer
Pour en revenir à la rencontre entre le Président de la République Marc Ravalomanana et les dirigeants d’Exxon Mobile, Kevin Biddle avait indiqué que l’entrevue consistait à informer le Chef de l’Etat sur l’état d’avancement des travaux de la compagnie après un an de recherche dans la Grande Ile. «Nous lui avons fait part des résultats de nos recherches, notamment les données sismiques et la recherche de la plate forme pour faire le forage». Ce haut responsable n’a pas manqué de noter que les travaux à faire par sa compagnie sont nombreux par rapport à la date prévue pour le forage. Kevin Biddle a également mentionné que sa compagnie rencontre quelques difficultés notamment d’ordre financier. 
Par ailleurs, le ministre de l’Energie et des Mines, Razaka Elysé avait fait savoir qu’une quinzaine de compagnie effectuent actuellement des explorations pétrolières à Madagascar dans 19 blocs pétroliers et que le plus avancé était le projet pilote de Tsimiroro mené par la société Madagascar Oil. 


 

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Concert du Groupe "GROUM'S" à l'AFT Andavamamba Antananarivo le 05 Décembre 2007 à 16h!C'est un groupe de pop-punk!composé de 06 membre  - Tam's:Batteur / Khelly:leade guitare/Riffeur / Slash:lead guitare / Eric:kyeboard / K-To:Bass guitare - billet en venter très bientot - contact: Groum'S

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moov.mg 21/11/2007
Bodo & Poopy, le duo. Racontez-nous…. - ZIKs

Les deux artistes ont décidé de faire un deuxième duo sur scène ce vendredi 23 novembre 2007, le premier datant du 16 février de cette année pour la Saint-valentin 

Icônes de la scène malgache, Bodo et Poopy sortiront leur premier album duo Tia foana le jour même du concert. Elles nous racontent en quelques lignes leurs carrières, leurs histoires… 
Mais tout d’abord, pourquoi ce duo ? 
Bah, on veut tout simplement marquer notre génération, on a envie de retrouver notre public et de revivre toutes ces années de chanson avec eux. 
Il y a tellement de rumeurs qui circulent entre nous que nous voudrions faire taire les mauvaises langues avec ce duo. Comme le titre de l’album l’indique Tia foana, on ne change pas, on a toujours été les mêmes. 
Parlez-nous un peu du spectacle ? 
Le spectacle sera donc au palais des sports Mahamasina dès 19 heures ce vendredi. Il y aura 36 chansons dans le répertoire composé de medley, de duo, de mix. Les DJ’ampela nous accompagneront tout au long de la soirée pour la chorégraphie. 
Revenons à l’essentiel, Bodo&Poopy ce n’est pas une histoire qui date d’hier non ? 
Eh oui ! Nous nous connaissons depuis le lycée. Chacune de nous n’aimait pas les maths encore moins la physique :-). A l’époque Poopy faisait déjà partie du groupe Njila, et moi, Bodo j’étais fan d’elle. 
Aujourd’hui, Poopy en est à ses 24 ans de carrière et moi à 18. On a toutes les deux fait le tour de Mada, on est allées en France, Suisse, Italie, Canada et aux Etats-Unis. 
Les albums, on en a tellement faits…Poopy pour sa part en a produit 10, plus 3 best of et Tia foana ce dernier. 

Vos points communs, qualités, petits défauts ? 
On est toutes les deux nées en 1970. Et comme on l’a dit plus haut, on n’aimait pas les maths au lycée. 
Sinon, on adore les bottes, on en achète tout le temps. Une fois je (Bodo) suis allée en Italie, en revenant il n’y avait que des bottes dans mes bagages, j’avais honte:-). 
Qualité ou défaut ? Bodo prend tout à cœur à chaque fois qu’elle fait quelque chose. C’est peut-être pour ça qu’elle pleure comme une madeleine avoue-t-elle. 
Poopy quant à elle n’aime pas trop papoter, mais ça dépend des jours. Dès fois, on n’entend qu’elle :-) 
P.S: Bodo ne dort jamais sans son oreiller, elle l’emmène toujours avec elle dans ses voyages :-) 
Un grand merci à vous deux pour cette interview, un petit mot pour vos fans ? 
On leur remercie de nous avoir toujours suivi jusqu’ici. Rendre les gens heureux est notre métier. Nous avons de la chance d’avoir ce beau métier et nous nous faisons un plaisir de le partager avec notre public. 

Poopy & Bodo © Tanà in love

Paroles de "TIA FOANA" 

le duo Bodo&Poopy

Toa tsy mahagaga 
Ny toetranao efa malaza fa 
Mora tia vao, avy eo mora lao 
Toa tsy mahataitra 
Ny fombanao na dia tsy laitra 
Fa andrakandramanao izao rehetra izao 

Toa mora adino, mora lefy avokoa 
Toa haitraitra ihany fa tsy matotra ity fo 

F’izany tsy mahasakana ahy 
Ny mbola ho tia anao 
Fa rah any momba ahy dia 
Efa matotra, rah any fitiavako anao 
Zany angamba no antonym 
Mahatonga anao tsy ahafoy ahy 
Indraindray variana 
Raha iny ianao ka manakianaahy 
Tsy ahitako izay rariny ny ambaranao 
Indraindray anefa 
Ianao ilay noheveriko efa nilefa tany 
Toa tsy mahasaraka ahy 
Fa haitraitra ihany mora lefy avokoa 
Fantatrao ihany ny mampilamina ny fo 

(k’izany no tsy mahasakana ahy…) 
Marina fa tsy misy ny lafatra 
Mbola eto ihany aho miandry 
Miandry anao 

Saingy hodianao tsy hita aho 
Noho ny hambom-ponao 
Fa toa resy hoy ianao 
Rah ho ahy irery ianao 

(k’izany no tsy mahasakana ahy…) 

Mbola inty eto ihany 
Ka mananatena sy miandry hatrany 
Hiova ho Hendry ianao 
Ho fitia, vaovao 

Mpihira : bodo & poopy   /   Tonony : poopy   /   Feony : naivo 
© DTS 


Midi Mada 21/11/2007

ELECTIONS COMMUNALES. Les multiples craintes contre le gonflement des listes électorales ne découragent pas Serge Zafimahova de proposer le vote des étrangers. 
Droit de vote aux étrangers résidents -
RC
« A terme et au niveau des élections communales, il serait envisageable d’inclure comme électeurs avec un certain nombre de balises, les étrangers résidents ». Telle est l’une des conclusions de Serge Zafimahova dans un essai sur les enjeux politiques et humains des élections communales du 12 décembre. 
Par ailleurs, il s’insurge contre les « petits candidats qui véhiculent des discours à connotation raciale en défendant le sectarisme identitaire. Ce n’est pas parce que Adolf Hitler avait un ami juif qu’il n’était pas antisémite. Ce n’est pas parce que Jean Marie Le Pen a quelques personnes de couleur dans son entourage qu’il n’est pas raciste ». Il s’agit selon toujours l’auteur « d’un enfermement politique et économique qui favorise la falsification des normes d’évaluation et d’échange, l’appropriation des richesses par et au profit d’une oligarchie et d’un conservatisme économique ». Sur ce chapitre, il parachève par cette profession de foi : « une commune appartient à ses résidents sans exclusion, encore plus la capitale de Madagascar, Antananarivo, appartient à tous les Malgaches et en fait leur fierté ».
Logique de confrontation
S’agissant de la gouvernance globale, Serge Zafimahova pointe aussi du doigt « la méthode pernicieuse d’étouffement de la démocratie orchestrée par l’Etat qui tend à une dérive dictatoriale à travers, entre autres, l’interdiction d’antenne des opposants et même aujourd’hui de l’église catholique sur l’audiovisuel public, l’emprisonnement et l’intimidation de personnes accusées de défendre des idées subversives, les fraudes électorales, la forte pression sur l’administration, l’amalgame des intérêts privés et publics, l’exclusion ethnique… ». Se voulant prémonitoire quant à l’issue de la confusion actuelle, il écrit sans vouloir jouer les oiseaux de mauvais augures que « en s’enfermant dans une logique de confrontation et non de paix sociale, le pouvoir crée lui- même le ferment d’une situation de déstabilisation permanente annihilant ainsi les chances de développement ». Se faisant plus précis, Serge Zafimahova affirme sans détour que « une alternance politique est inévitable et la perspective d’un changement trouble dissuade les investisseurs sérieux en dehors des grandes firmes ». Mais l’essai du président du Cde est aussi ponctué de notes positives notamment quand il préconise qu’une « réconciliation nationale procède de la nécessité d’avoir un environnement propice et pérenne favorable au développement économique, à l’apaisement social et au fonctionnement normal des règles électorales et constitutionnelles ».


Les Nouvelles 20/11/2007

ENTRETIEN ROUTIER : 60 millions de dollars de pertes 

« 60 millions de dollars de pertes annuelles à cause du non respect des poids limitatifs des véhicules en circulation, soit par an 100 kilomètres de routes nouvelles perdus », explique le représentant de la Banque mondiale. Les bailleurs sont unanimes sur l'ampleur des pertes encourues à cause du non respect de telles règles, et cela est corroboré par l'insuffisance du fonds alloué à l'entretien routier. Une conscientisation des usagers s'impose. 
Le non respect des limites de tonnage entraînent 60 millions de dollars de pertes par an. La conscientisation des « casseurs de route » s'avère nécessaire. 
Le représentant de la Banque mondiale a justifié l'importance de l'entretien routier pour le développement du pays. C'était hier, lors du dialogue présidentiel à Iavoloha. Jean Claude Boidin, représentant résident de l'Union Européenne, inscrit l'éradication des «casseurs de route» parmi les priorités vers lesquelles le gouvernement devrait se tourner, et ce, parallèlement à l'augmentation des fonds à allouer à l'entretien routier. Les surcharges fréquemment observées sur les véhicules à fort tonnage accélèrent gravement l'usure de la route, les pertes sont estimées à 60 millions de dollars par an. 
La Banque mondiale ajoute qu'outre les surcharges, «le déversement d'hydrocarbures sur les chaussées, les actes de vandalisme, le non respect du code de la route, etc., provoquent des pertes considérables dans les infrastructures routières, c'est-à-dire la destruction de 100 kilomètres de routes par an.» Face à de tels problèmes, les bailleurs préconisent des campagnes de sensibilisation afin de conscientiser les usagers au respect de leur patrimoine.

Budget insuffisant
Pour la maintenance du parc routier national, le budget prévu pour cette année s'élève à 40 milliards d'ariary. Or, pour un entretien conforme aux normes, il en faudrait 100 milliards. Malgré une telle insuffisance, le parc de route s'est considérablement développé - l'on envisage même 7 800 kilomètres d'ici 2012 contre 805 actuellement- ce qui implique plus de linéaires à entretenir. Pourtant, le fonds disponible pour l'entretien de telles extensions est limité malgré l'augmentation récente et progressive des redevances pour l'entretien routier. Un problème que Jean Claude Boidin traduit comme une entrave au Map. «L'Union européenne mise lourd sur les infrastructures» souligne Boidin. 
Mialy Tiana 


Challenges.fr 19/11/2007
 
Electricité et Eaux de Madagascar : croissance moins forte au 3ème trimestre  
 Electricité et Eaux de Madagascar annonce un chiffre d'affaires de 4,978 Millions d'Euros pour le compte de son 3ème trimestre 2007, en hausse de 6,9% en glissement annuel. Sur neuf mois, l'activité croît de 11% à 15,4 ME. La société précise que 66,7% de son chiffre d'affaires est réalisé en dollars, dont le cours moyen ressortait au 3ème trimestre à 1,3444 pour 1 euro.
           (C)  Finance  Plus


aody.mg 19/11/2007
Moov ambitionne de révolutionner internet à Madagascar - JNR 
- Wanadoo Madagascar devient Moov Madagascar. Le rebranding a été annoncé et officialisé depuis le 14 septembre 2007. La marque wanadoo.mg disparaît ainsi du paysage du web malgache au profit de moov.mg qui entend faire mieux.

La société DTS a mis en œuvre une gigantesque campagne de communication pour le rebranding de sa marque. Des dizaines de panneaux publicitaires arborent depuis quelques jours la couleur moov.mg, le rose. «Une couleur vive et qui connote le dynamisme» selon Patrick Pisal-Hamida, Administrateur et Directeur Général de DTS. 
Du temps de wanadoo Madagascar, le site comptait environ 250.000 visiteurs par mois pour quelque 3 millions de pages consultées. 
La société compte actuellement 180 employés, d’une moyenne d’âge de 30 ans, contre 80 employés vers l’année 2004. 
Aujourd’hui, DTS est une entreprise de droit malgache dont les capitaux sont fournis, à hauteur de 51%, par la société financière malgache (SOFIMA) et, à hauteur de 49%, par la société Telma, l’ancienne société d’Etat de téléphonie fixe aujourd’hui privatisée. 
La société a été créée en 1995, au début par France Câble Radio (FCR) et Telma. Le départ de FCR a ainsi laissé la place à un investisseur local qui continue de financer les activités de cette entreprise qui a l’ambition de faire évoluer internet à Madagascar. 

Patrick Pisal-Hamida, Administrateur et Directeur Général de DTS © aody.mg 

«La concrétisation prochaine du backbone national permettra de booster encore le secteur de la technologie moderne à Madagascar» selon un technicien de DTS. D’autant que le pays ne compte que quelque 100.000 internautes pour une population totale de 18 millions d’habitants. 
Au départ, DTS devait se limiter à une capacité de 1 méga contre 150 méga actuellement. Une situation appelée à évoluer davantage dans les prochaines années, estime-t-on. La concurrence est en effet réelle dans le secteur. Et il n’est pas sûr que DTS continue, sans effort louable, à détenir 75% de part de marché dans ce domaine, comme c’est encore le cas aujourd’hui.


Moov.mg 19/11/2007
Hygiène. Les latrines peu utilisées Près de 48% des familles malgaches n’utilisent pas de latrines. 
Et ce, même si certaines d’entre elles en disposent. Ce faible recours aux sanitaires est, en grande partie, lié aux mauvaises habitudes et aux facteurs culturels. Dans beaucoup de régions de la Grande Ile, les latrines sont, en effet, taboues. Les gens font ainsi leurs besoins n’importe où. Ce qui est à l’origine de la prolifération des maladies diarrhéiques au pays. Justement pour limiter les dégâts, différentes sensibilisations seront prévues au cours de la « Journée internationale d’utilisation des latrines », qui se tiendra ce lundi. 
Cette journée pas comme les autres, sera marquée par diverses activités dans 11 régions, notamment des concours de sketchs et des expositions sur les technologies et les techniques de construction des latrines. Mais en marge de ces manifestations plutôt festives, une conférence-débat pour trouver des arguments très convaincants afin d’éradiquer les causes profondes de cette faible utilisation des « water-closets », se tiendra ce jour à Tana. 
La construction de sanitaires publics à accès gratuit y serait sûrement évoquée comme l’une des solutions à ce faible recours aux latrines. Il faut reconnaître, en effet, que le « droit d’usage » exigé à l’entrée de ces infrastructures publiques ne convient pas tellement aux besoins de la grande majorité des gens, limités dans leurs moyens. Une autre formule devrait ainsi être envisagée. Autrement, les latrines seront toujours considérées pour une frange non négligeable de la population, comme un « luxe » inaccessible. 
v.a. 

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