LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...

. Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Emma  a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.Merci d'avance!       ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>              ... Lister  tous les Editos

Midi Mada 26/10/2007
Douanes. Les importateurs informels mènent la vie dure depuis la mesure de renforcement des contrôles - R.Edmond
Fouilles renforcées à Ivato contre les fraudes
Tout est à fouiller. C’est la règle qui prévaut actuellement à la frontière douanière de l’aéroport international d’Ivato où les fouilles ont été renforcées depuis quelques jours.
Excès
« On a décidé de renforcer les fouilles, suite à certains excès constatés ces derniers temps », nous a déclaré un haut responsable de la douane. Une décision qui a posé des problèmes de stockage au petit entrepôt de l’aéroport et dans laquelle sont pointés du doigt les « affairistes » qui, sous couvert d’un voyage à but touristique à Bangkok ou à Guangzhou, ramènent dans leurs bagages accompagnés, des marchandises destinées à la revente. Mais la mesure est aussi destinée à couper court aux fraudes pratiquées de connivence entre douaniers et affairistes.
Pénalisante
Logique pour une douane qui est toujours en quête de plus de performances en matière de recettes douanières, la mesure est pénalisante pour ceux qui vivent des importations informelles. « Non seulement ce métier nous permet de vivre, mais il est aussi créateur d’emplois», déclare R.N qui fait plusieurs aller-retour Tanà-Bangkok-Guangzhou-Tanà, depuis des années. « Nous avons le droit d’utiliser 10 millions d’ariary pour faire ce genre de voyage et nous avons une franchise de 40 kg de marchandises par personne offerte par la compagnie aérienne, alors autant en profiter pour vivre », ajoute-t-il, en précisant que depuis cette mesure, des marchandises sont bloquées et que ses affaires tournent mal.
Manque de clarté
En fait, le problème qui se pose surtout à Ivato, c’est le manque de clarté dans les régles de taxation des bagages accompagnés. « Parfois, on nous fait payer 10.000 Ar par kilo, parfois on débourse 80.000 ariary par bagages, finalement, on ne sait plus quoi faire », dénonce un autre petit importateur qui suggère que le mieux serait que la douane mette en place un système de taxation spécifique à ce genre de transactions. « Si on applique une taxation avec un taux qui ne nous pénalise pas trop, mais qui sera applicable pour tout le monde, nous sommes partants », ajoute-t-il. Interrogé sur ce qu’il pense de cette situation, le Directeur Général des Douanes s’est dit ouvert au dialogue. « Ce qui est important c’est de faire ce genre de métier en professionnel et je suis prêt à discuter avec ceux qui le pratiquent pour trouver la meilleure solution », a annoncé le DG Vola Razafindramiandra qui n’a pas manqué d’avertir tout candidat au trafic contre les conséquences des fraudes. « Des sanctions seront appliquées aussi bien aux commerçants qu’aux douaniers fautifs »
Illégalité et copinage
Les observateurs dénoncent par ailleurs la flagrante illégalité et le copinage qui continuent de persister à Ivato. Il s’agit de certains fonctionnaires de l’Etat, des directeurs généraux ou des membres de cabinet de ministère qui, à leur arrivée à Ivato, se font accueillir par un responsable du protocole de leur département pour bénéficier d’un traitement de faveur. Pas de queue à la police des frontières, et parfois même pas de fouilles pour les bagages comme tout le monde. Alors qu’une source auprès de la douane nous apprend que ce traitement de faveur n’existe pas dans les législations. « Si c’est la fouille systématique qui est la règle, elle est valable pour tout le monde », selon ce haut responsable de la douane visiblement déterminé à remettre de l’ordre au sein de cette administration qui tient une place importante dans les recettes publiques.

Les Nouvelles  26/10/2007

Plusieurs faux passeports et cartes d'identité saisis ! - Mparany
Le service central de lutte contre les faux, fraudes et contrefaçons a frappé un grand coup. Quatre personnes ont été interpellées hier avec en leur possession une soixante de faux cachets et un bon paquet de fausses cartes d'identité nationale, des faux passeports, permis de conduire ou encore des documents consulaires. Un coup de filet qui ne manquera pas toutefois de lancer une polémique quant à la facilité déconcertante dont font montre les faussaires pour 

fabriquer des passeports et des documents officiels, pourtant jugés « infalsifiables » par les autorités. Vaste coup de filet du service central de lutte contre les faux, fraudes et contrefaçons. Les policiers de ce service de police ont démantelé un réseau de faussaires.  Quatre personnes, dont trois hommes et une femme, ont été interpellées hier matin par les limiers du service central de lutte contre les faux, fraudes et les contrefaçons. Le pot aux roses a été découvert grâce à un informateur qui a mis la puce à l'oreille des policiers. Selon ce délateur, ces gens se livreraient à la constitution et la négociation de faux dossiers.  Hier matin, les policiers, accordant une importance prépondérante à ces renseignements ont fait une descente à Ambondrona, au domicile de deux d'entre eux. Lors de la perquisition, ils ont découvert des preuves irrécusables sur la pratique douteuse de ces personnes, à savoir des fausses cartes d'identité nationale, deux faux permis de conduire, quatre passeports et des faux cadastres. La liste ne s'arrête pas là car, ils y ont également saisi des formulaires de certificat de résidence et de documents consulaires, ainsi que des papiers administratifs.  Les deux hommes avaient aussi en leur possession près d'une soixantaine de faux cachets portant les noms de plusieurs responsables et chefs de service, tant publics que privés. Parmi ces cachets contrefaits, figuraient ceux du service des domaines, de la douane, de la police de l'air et des frontières, de la préfecture de police…), ainsi que des estampilles des ministères, des districts et bien d'autres aussi.

 Substitution de photo
Lors de l'enquête, la femme dénommée Tojosoa et Jean Ladislas, son complice ont avoué leur forfait. Ils ont cependant émis des réserves qui, selon la police, n'enlèvent en rien à leur implication. «Nous avons trouvé certains de ces documents, presque par hasard mais, vu qu'ils pourraient nous être utiles, nous les avons gardés car au cas échéant, il ne nous reste qu'à substituer les photos», ont-ils déclaré. L'on sait également que Jean Ladislas venait de sortir de la prison le 15 octobre dernier et ce pour détention et vente de drogue. 
On ignore pour le moment le prix à payer pour «bénéficier» du service de ces faussaires mais la découverte de ces faux documents laisse entendre que ce n'est pas la demande qui leur manquait. Ainsi, si le service central des enquêtes spécialisées n'a auparavant enregistré que deux cas d'utilisation de faux documents d'état civil par trimestre, ce chiffre s'est vu doublé, voire triplé durant le premier trimestre de cette année. En effet, pour les 15 cas de présomption de faux et usage de faux actes d'état civil signalés et transmis à l'époque par le consulat de France, quatre ou cinq se sont avérés faux après vérification. 

Les Nouvelles 23/10/2007
Deux poétesses pour un « Hiaka » engagé 
Pour ce début de saison poétique, Lydiary a choisi de partager la scène avec Tsirinala, une poétesse engagée qui s'inspire surtout du quotidien pour écrire des poèmes sur la société et la nation. Elles seront sur scène demain à partir de 15h, sous le thème général de la dégradation, que ce soit de la société ou de l'environnement. Levelo et Belahy les rejoindront pour quelques notes en musique, avant le débat ouvert au public. 
21 poèmes seront déclamés, tous traitant des vicissitudes de l'humanité. L'affiche a été choisie suite à la demande du public, las des poèmes à l'eau de rose, pour un sujet bien plus engagé. Un petit livret sera mis en vente à l'entrée, contenant les 21 poèmes déclamés par leur auteur. 

Moov 24/10/2007

Les Nouvelles 25/10/2007

Les écrivains et poètes malgaches se découvrent 
Les écrivains et poètes malgaches réunis dans l'association Havatsa-Upem exposent depuis hier les résultats de leurs travaux de traduction à l'espace Raharihasina à Analakely. 
En fait, c'est le paysage des gens de lettres qui y est exposé. Un hommage aux grands littéraires qui ont apporté leur contribution à la littérature malgache ou leurs travaux pour en répandre l'ouverture sur le monde, occupe tout un pan de mûr. 
Parmi eux, Régis Rajemisa Raoelison (dictionnaire malgache), Dox (traducteur de pièces classiques telles que Corneille), Rabearivelo (Le meilleur ambassadeur de la poésie), Rainandriamampandry (dictionnaire anglais-malgache) et Ratsimamanga (recherche et traduction phytothérapique). 
Les auteurs contemporains aussi
Les auteurs contemporains y ont aussi leur place qu'ils soient écrivains, auteur d'ouvrages didactiques ou chercheurs-traducteurs dans des domaines qui restent encore à définir tels que le tourisme, la science,… 
Un espace de vente d'ouvrages récents et la présence de leurs auteurs pourraient vous permettre de repartir de cette exposition bien agencée, avec un livre dédicacé ou d'avoir le loisir de discuter de leurs oeuvres avec eux. 
Le président de l'association Henri Rahaingoson, saura vous conter les merveilles de la littérature malgache avec une verve et une connaissance qui n'appartiennent qu'à lui. Entrée libre jusqu'au 31 octobre à 17H.
Renée Raza

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moov.mg 26/10/2007
FAO: le virus H5N1 pourrait devenir endémique en Europe via canards et oies
Le virus de la grippe aviaire H5N1 pourrait être transmis aux poulets en Europe par des populations de canards et d'oies domestiques apparemment en bonne santé et devenir endémique, ouvrant ainsi "un nouveau chapitre dans l'évolution" de la maladie, a mis en garde jeudi la FAO.

Madagate.com 25/10/2007 
Michel RAZANATEFY, artiste peintre du ‘’Prix du Public’’ :la peinture malgache à l’honneur
au 8e Salon d’Automne de Croissy Beaubourg, Seine et Marne, France

Alexandra FADIN est une artiste française, professionnelle. Elle travaille le bronze, le plâtre et la terre cuite. Son thème de prédilection est l’être humain, l’harmonie du corps. Ses œuvres évoquent spirituellement une grâce esthétique et sublime, rendant hommage à la femme.
Quant à J. Andrianaivo RAVELONA, l’artiste a introduit une nouvelle tendance dans sa création à coté de ses quelques œuvres du thème ‘’Vers…’’ Mais la philosophie demeure toujours dans le courant Ay Fanahy.

Parmi les 65 participants, le cercle solidaire des artistes malgaches, frères et sœurs spirituels de J. Andrianaivo RAVELONA ne furent pas en reste à ce salon : Jean Michel RAZANATEFY, 58 ans de peinture, 3e génération des maîtres malgaches.  Fidèle à lui-même, il a exposé ses toiles à l’huile de style classique, représentant la vie quotidienne malgache.  HAZAVANA, le peintre de la Lumière, se distingue de plus en plus par sa nouvelle voie de symbolisation dans ses créations, en quête d’une originalité certaine par l’utilisation de la poudre de terre, (tany mena) de pierres précieuses malgache, ou de feuille d’or. Sahondra RABEARIVELO, à travers ses sculptures porteuses de message, en particulier sur la faune et la flore, transmet sa vision du monde de demain, quelque soit le support utilisé.  Lala RATSIMANDRESY, une étoile montante, partageant toute sa passion, son bonheur à travers ses toiles ou ses pastels a présenté des thèmes tels que : l’hiver, l’été, l’oasis de verdure.

Vote pour la meilleure œuvre du salon, en peinture
Pendant toute la durée du salon, les visiteurs composés essentiellement de connaisseurs, d’amateurs d’arts votent pour la meilleure œuvre du salon. Les oeuvres des 2 invités d’honneur, étant classées hors concours, ne sont pas soumis au vote selon le règlement du salon. 
A l’issue de l’exposition, les organisateurs sont passés au dépouillement. Au cours duquel l’œuvre de J. Michel RAZANATEFY a obtenu le plus haut score.
Sa toile intitulée ‘’Vieille femme malgache’’, a remporté les votes du jury : un portrait d’une femme malgache âgée, réalisé à l’huile sur toile, d’une expression parfaitement rendue à la manière classique du maître.
Le Maire,dans son discours aussi émouvant que chaleureux devant l’assistance a remis le trophée à J. Michel RAZANATEFY, l’auteur de la meilleure œuvre du salon, en lui adressant toute sa profonde reconnaissance. 

Ce 8e salon d’ Automne de Croissy Beaubourg est une aubaine pour Jean Michel RAZANATEFY, 72 ans, 58 ans de peinture qui a indiscutablement mérité ce Prix, de par la qualité de son œuvre, sa persévérance dans l’art, son courage et son dynamisme malgré son âge. 2 grands noms de la peinture malgache Deux grands noms de la peinture malgache ont marqué ce 8e salon d’Automne de Croissy Beaubourg : Jean Andrianaivo RAVELONA et Jean Michel RAZANATEFY, l’invité d’honneur et le lauréat du salon, en peinture. Deux amis de longue date, deux styles différents mais complémentaires, 2 véritables frères dans l'art. Ayant combattu depuis des années pour la reconnaissance de la peinture malgache, ils sont fiers d'être réunis à chaque exposition, dont ce 8e Salon d’Automne de Croissy Beaubourg.  Soutien des artistes La participation des artistes malgaches à ce salon a pu se faire grâce au soutien actif de Mme Marcelle R.

GUADAGNO, une malgache qui, à coté des organisateurs, a contribué à la réalisation du salon. Mme Marcelle R. GUADAGNO est résidente de Croissy Beaubourg depuis 24 ans. De part son dynamisme, sa fierté et son attachement à la culture malgache, elle œuvre sans aucune contrepartie avec bon cœur et dévouement.
Notons que la ‘’Vieille femme malgache’’ peint par Jean Michel RAZANATEFY est née en 1800, photographiée en 1900. Elle est l’ascendante des 5 générations de Marcelle R. GUADAGNO.

Les Nouvelles 23/10/2007
87% de la population active privée de couverture sociale 
87% de la population active, dont une majorité de paysans, ne bénéficie pas de sécurité sociale. Les 13% restants sont des salariés affiliés à la Cnaps ou à certaines sociétés d'assurance. Cet état des lieux de la sécurité sociale à Madagascar a été présenté par le directeur de la sécurité sociale, le Dr Jules Randriamaholison, hier au Colbert. L'octroi de la sécurité sociale semble encore restreint dans le pays. Le projet de loi 2005/007 portant création des 

établissements de fonds de pension de retraite et de la mutuelle de santé est déjà en cours d'application pour que toutes catégories de travailleurs, des secteurs formels ou informels, puissent jouir de leurs droits de sécurité sociale.87% de la population active n'est pas couverte par la sécurité sociale, particulièrement les paysans. Explications du Dr Jules Randriamaholison, directeur chargé de la sécurité sociale au sein du ministère de la Fonction publique, du travail et des lois sociales.  Les Nouvelles : Qu'est ce que la sécurité sociale ?  Dr Jules Randriamaholison : La sécurité sociale englobe tous les droits dont les travailleurs doivent jouir en milieu du travail. Elle touche la santé des salariés et de leurs familles, les allocations sociales et la pension des retraités. En fait tout ce qui concerne la dignité humaine des travailleurs.  Qui peuvent bénéficier de la sécurité sociale ?  Toute personne exerçant un emploi pouvant générer des revenus, tant formel qu'informel, doit bénéficier d'une sécurité sociale. En général, elle est régie par une Charte et un code qui ont été adoptés par les pays membres de la Sadc cette année. Toutefois, certains pays doivent encore les ratifier pour qu'ils soient appliqués au niveau de chaque membre.  Où en est l'état des lieux à Madagascar ?  L'octroi de la sécurité semble encore restreint à Madagascar. 13% seulement de la population active, plus précisément les salariés, en bénéficie à travers les prestations de la Cnaps , l'Amit, l'Ostie et autres. Les 87%, qui ne sont autres que des travailleurs indépendants comme les artisans, les paysans ou encore les ouvriers informels, les magistrats, ne jouissent pas de leurs droits sur la sécurité sociale. Tout compte fait, seuls les salariés affiliés à la Cnaps et adhérés à certaines sociétés d'assureurs en ont profitent beaucoup.

Des solutions à ce problème ? 
Des dispositifs ont été pris pour qu'ils soient traités de façon humaine. Le projet de loi n°2005/007 portant création des établissements de fonds de pension de retraite de base est en cours d'application. Un établissement est déjà opérationnel et a reçu l'agrément de l'Etat. Il a pour mission de subvenir aux besoins sociaux des travailleurs informels. En principe, ces derniers cotisent et l'argent collecté sera versé à la caisse du Fonds de pension de retraite. À ce fonds de pension s'ajoute une mutuelle de santé qui sera mise en place. Ce dispositif incite surtout les paysans des milieux ruraux à cotiser pour qu'ils soient pris en charge en cas de maladie. Cette mutuelle est aussi ouverte à d'autres personnes exerçant la profession libérale comme les médecins libres, les avocats, les huissiers…En principe, toutes catégories de travailleurs, des secteurs formels ou informels, doivent être traitées sur le même pied d'égalité en matière de sécurité sociale. 
Propos recueillis par Noro Niaina 

Les NOuvelles 24/10/2007
Manjakandriana : Des trafiquants de câbles de la Jirama arrêtés - Mparany 
Quatre voleurs de câbles de la Jirama ont été appréhendés par la gendarmerie de Manjakandriana, vendredi dernier. Connus dans cette petite commune pour leur trafic illicite, ces quatre bandits ont été surpris en possession de 30m de câbles. Rodés en la matière, ils utilisaient des pinces coupantes et des…gri-gri ! Ils opéraient de jour comme de nuit, n'hésitant pas à intimider les témoins en brandissant une arme factice, selon la gendarmerie de cette ville, située à 47 Km à l'est d'Antananarivo. 
Depuis quelques semaines, le vol de câbles électriques est devenu assez courant à Manjakandriana. Plusieurs foyers sont ainsi privés d'électricité et la Jirama se retrouve dans l'embarras. Las de devoir faire face à un délestage qui pour une fois n'a aucun rapport avec les soucis de cette société d'Etat, les habitants ont décidé de coopérer avec les gendarmes. Ainsi, la gendarmerie a pu tendre un piège aux malfaiteurs après avoir recueilli les témoignages sur leurs méfaits. 
Les quatre voleurs ont été déférés au parquet lundi et détenus provisoirement à la maison centrale d'Antanimora.

"Les 'Grands' parlent d'idée   les 'médiocres' parlent d'évènements   les 'misérables' parlent contre les personnes..."	Clikeo ny 2CV mena	"Hier c'est une  histoire Demain est un mystère Aujourd'hui un cadeau..."

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