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La France
a affronté la Namibie dimanche soir :
TOULOUSE (Reuters) - Avec une victoire record 87-10 sur la Namibie et un bonus offensif à la clef, la France a relancé sa Coupe du monde, dimanche, à Toulouse, et peut envisager avec plus de confiance l'Everest qu'il lui reste à gravir.
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Tana
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MADAGASCAR
EN
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extraits
de Madamaki.com / Voyage-bons-plans.com / aody.mg
***
Ny Fomba malagasy sur rainizafimanga.COM -
Nature et Environnement >>
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«
Comment réduire la pollution
à Tana ?...
»
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Les véhicules motorisés jouent un rôle important dans les problèmes de qualité de l'air urbain et les effets des émissions sur la santé.
Quand je vois les dérèglements climatiques qui touchent notre planète et donc Madagascar, je me sens concerné par les gaz a effets de
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serre émis par les automobiles. Quand on est à Tana, la pollution est ce qui me frappe le plus maintenant, car on la respire bien fort dans les embouteillages, on la sent vraiment et on la voit bien noire sortie des pots d'échappements !
Tana est une ville de plus en plus polluée ( mais elle est encore loin d'être une Mexico ou une Calcutta ) et cela est du en très grande partie aux transporteurs routiers: bus, minibus, taxi
be, camions en tous genres. Un transporteur dont le véhicule ne crache pas une fumée noire, c'est un mirage ! Tana a les poumons malade de ses transporteurs et le plan vert engagé pour l'avenir, excellente idée, ne suffira pas a résorber ce problème. Je suis prêt à parier que les cancers et maladies dus à la pollution ambiante vont se multiplier dans les 5-10 années à venir. Pour diminuer cette pollution, la solution est simple mais impossible: revoir à 100% le parc de véhicules de transport. Mais comment pousser les transporteurs a changer leurs véhicules ? Ce n'est économiquement pas viable pour eux. Installer des filtres à particules ? Est ce seulement faisable sur des véhicules de 25-35 ans ?! Pour une fois, je n'ai pas d'idées à proposer pour réduire la pollution automobile à Madagascar, bien que cela ne concerne que Tana en fin de compte. Si vous en avez, proposez les aux lecteurs
!..
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Les
Nouvelles 19/09/2007
Circulation : que chacun prenne ses responsabilités !
(Andry
T. )
La ville des Mille a reçu les félicitations de Métropolis et on s'empresse de se frotter les mains à Tsimbazaza et à Mavoloha mais la circulation demeure encore difficile et dangereuse dans la capitale pour les automobilistes.
Si
ce jour vous prenez le volant pour aller au bureau, amusez-vous à
compter le nombre de piétons qui circulent dans la chaussée, ceux
qui traversent là où ça leur convient, dès fois avec arrogance
envers les automobilistes. Notez aussi dans la foulée ces
deux-roues qui se prennent pour Casey Stoyner (le pilote australien
leader du championnat de GP 500 cc). Et au retour à la tombée de
la nuit, pourquoi pas les cyclistes qui ne
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disposent
d'aucun feu de signalisation ? Ce petit jeu vire au
cauchemar dans les quartiers populeux comme Behoririka, Isotry
ou Mahamasina pendant les jours de marché. Il faut avoir un œil
à gauche, un œil à droite et même des yeux derrière la tête
pour éviter un accident. Et dites-vous bien que ce n'est pas
vos pantoufles et votre canapé qui vous attendent si jamais
vous écrasez mortellement un de ces piétons ou un de ces
cyclistes mais du manioc au menu quotidien et des poux sous la
couverture. Faute ou pas faute, si au volant vous tuez
quelqu'un, vous attendrez votre procès à Ambaniatsinanana.
Inutile
de poser la question de savoir si les piétons ont perdu le sens
du civisme car cette mauvaise habitude, voire cette inconscience
du danger qu'ils encourent, ne date pas d'hier. Les trottoirs
sont truffés de trous, des égouts béants sont autant de pièges
difficiles à repérer pendant les délestages et… comment
faire quant les voitures chevauchent les trottoirs
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pour
se garer ou que des marchands étalent leurs marchandises à même le
trottoir ? A qui faut-il s'adresser pour remettre de l'ordre dans cette
ville ?
Les pistes de solutions sont là si la commune d'Antananarivo veut bien
les creuser. Davantage de places pour les marchands, plus de parkings pour
les automobilistes et des trottoirs de « velours » pour les piétons. Le
reste n'est plus qu'une histoire de sensibilisation comme ce qui se fait
auprès des élèves du primaire actuellement.
Bref, la mairie d'Antananarivo est à féliciter pour ses réalisations en
matière de développement de la ville mais elle gagne à réduire le taux
d'accidents dont elle a sa part de responsabilité, si minime
soit-elle.
Andry T
Express Mada 18/09/2007
Steeve Turmel avoue
: BAHAMAS EST UN BLUFF
Steeve Turmel, l'agent de recrutement pour les Bahamas, est passé aux aveux. Les emplois qu'il a promis ne sont que mirage. La Justice est à ses trousses
Steve Turlek, lisant son communiqué d'aveu, hier.
Finies les illusions des Malgaches. 4 000 d’entre eux doivent désormais arrêter de rêver, car ils ne partiront pas aux Bahamas. Steeve Turmel, le consultant international chargé du projet de recrutement, a finalement tout avoué. Il a lu son communiqué de presse, hier, au ministère des Affaires étrangères à
Anosy. C'était en présence de l’ambassadeur de Maurice, des secrétaires généraux des ministères de la Fonction publique, du travail et des lois sociales et celui de la Justice.
Dans cette lettre, le premier responsable reconnaît pour la première fois ses erreurs dans cette histoire qui a fait couler tant d’encre dans tout Madagascar et qui a suscité beaucoup d’espoirs. Mais mieux encore, il a promis de rembourser l’argent qu’il a soutiré aux 4 000 candidats retenus. Lauréat Solofoharinirina, secrétaire général du ministère de la Fonction publique, du travail et des lois sociales, estime que près de 415 millions d’Ariary ont été collectés comme caution.
Désespoir
Pour les autorités malgaches, cette révélation est la fin de plusieurs jours de surprises et de contradictions. " Steeve Turmel s'est engagé à rembourser les cautions collectées. Il a d’ailleurs déjà contacté son banquier à ce sujet et demandé aux autorités malgaches d’ouvrir son compte gelé. Une demande qui sera approuvée vue la situation ", souligne Jacky Tsiandopy, ministre de la Fonction publique, du travail et des lois sociales.
Il ajoute que des mesures seront prises pour faciliter le paiement : " Nous ferons en sorte que plusieurs banques dans la capitale s'en chargent pour éviter la bousculade et la pression ".
Mais les comptes de Steeve Turmel auprès de la Justice ne sont pas encore réglés. " La poursuite judiciaire à son encontre continue ", affirme le ministre.
Même si ce recrutement aux Bahamas est enfin tiré au clair, il laisse des victimes. Alice Rafarasoa en fait partie. Cette femme âgée de 35 ans, retenue pour être cuisinière aux Bahamas, ne cache pas son désespoir après avoir dépensé Ar 250 000 pour les préparatifs des dossiers.
" S’il en est ainsi, aller aux Bahamas n’est pas mon destin. Mais je me réjouis que Steeve Turmel va nous rembourser, c’est tout ce qui compte ", conclut-elle.
Mea Culpa
Moi, Steeve Turmel, présente mes sincères excuses pour avoir induit en erreur bon nombre de gens à Madagascar pour travailler aux Bahamas. Dans cette affaire, hélas, je suis aussi une victime. Malgré tout, je m’engage à travers mon banquier à rembourser les cautions à tous ceux et à toutes celles qui les ont dûment payées. Je tiens aussi à préciser que ce chapitre " recrutement aux Bahamas " est clos et ce n’est plus à l’ordre du jour. Le calendrier pour le remboursement sera publié dans les journaux de la semaine prochaine à partir de mardi 25 septembre 2007.
Fanja Saholiarisoa
Les Nouvelles 15/09/207
Plus de 800 Cd et Vcd saisis à Mahamasina
La lutte contre le piratage des œuvres artistiques continue. Jeudi dernier, lors d'une descente au marché de Mahamasina, les policiers de cet arrondissement ont procédé à la saisie de plus de 800 Cd et Vcd contrefaits. Des responsables au sein de l'Office malgache des droits d'auteur (Omda) ont également été présents à cette opération.
Trois vendeurs à la sauvette ont été interpellés au cours de cette descente policière. D'autres ont réussi à se sauver, laissant leurs marchandises. Les produits saisis sont en grande partie des films et de clips étrangers.
Les artistes locaux se disent satisfaits de cette opération. «Cela fait longtemps que nous avons demandé à ce qu'on fasse une opération de ce genre car non seulement, les œuvres des artistes étrangers méritent d'être protégées mais les pirates des œuvres locaux se cachent derrière la vente de ces produits. Mais moi, je trouve que si on veut vraiment combattre le mal, il faut l'attaquer à la source. Il ne faut pas oublier que les producteurs, c'est-à-dire les gros bonnets, s'enrichissent sur le dos des artistes et mènent une vie de Nabab», a dénoncé N.R, un artiste de renom.
Les trois revendeurs ont été présentés au parquet hier et l'on ignore pour l'heure le résultat de leur audition.
Mparany
moov.mg 19/09/2007
MÉTROPOLIS.L’Avenue de l’Indépendance à prolonger jusqu’à Ambohimanarina
En marge de la réunion du CA et des Commissions de Travail de cette association des grandes villes du monde, Marc Ravalomanana a annoncé un projet d’urbanisation de Tana.
Après le Boulevard de
l’Europe, l’«autoroute» à deux voies longeant le Marais Masay, le Boulevard de Tokyo, Tana verra encore ses infrastructures routières élargies d’ici peu. L’idée d’une extension de
l’Avenue de l’Indépendance jusqu’à Ambohimanarina a été, en effet, émise par le Président de la République, hier à
Ambohitsirohitra.
C’était au cours de sa rencontre avec le Président de Métropolis, Jean Paul
Huchon, et non moins président du Conseil Régional de l’Ile-de-France. Notons en passant que la RIF (Région
Ile-de-France) est le principal bailleur de fonds de tous les derniers travaux d’embellissement de la Ville des Mille, notamment les jardins, les îlots et ronds points, ainsi que
l’Avenue de l’Indépendance.
Changements positifs
Pour l’instant, les détails de ce projet présidentiel de prolongement de
l’Avenue de l’Indépendance ne sont pas encore précisés. Marc Ravalomanana a seulement évoqué que ce prochain aménagement concernerait la Gare de
Soarano. De vieux projets d’extension routière existaient déjà auparavant. Toutefois, ils ne se sont jamais concrétisés, en raison surtout des problèmes d’expropriation.
A l’heure actuelle, avec l’augmentation incessante du parc automobile, d’une part, et de la population citadine |

Le centre ville d'Antananarivo est si saturé que l'air y est pollué
© DTS |
d’autre part, de tels aménagements routiers sont plus que nécessaires afin de désengorger cet axe très fréquenté de la ville.
Par ailleurs, le Chef de l’Etat ambitionne aussi de construire un Hôtel de ville pour la capitale. Tana est la seule ville au monde qui en est dépourvue depuis l’incendie du 13 mai 1972, déplore cet ancien édile, grand initiateur du «Plan vert» de Tana avec l’appui de la RIF.
En tout cas, l’actuel PDS de Tana, Hery Rafalimanana, épaulé par son équipe de la CUA (Commune Urbaine d’Antananarivo), a montré sa ferme volonté d’emboîter le pas à ses deux prédécesseurs, Marc Ravalomanana et Patrick Ramiaramanana (devenu ministre de l’Energie), dans les actions d’embellissement et d’assainissement de la ville. Et apparemment, il a déjà fait ses preuves. Le Président de la République et le Président de Métropolis sont, entre autres, impressionnés et satisfaits par les changements positifs de Tana et la rapidité des travaux.
Schéma d’urbanisme
Et ces travaux d’amélioration de la Ville des Mille vont encore se poursuivre. D’ailleurs, les réflexions faites et les résolutions prises à l’issue de la réunion du Conseil d’Administration et des Commissions de Travail de Métropolis, vont sûrement être bénéfiques pour Tana. Cette rencontre de plus d’une centaine de responsables de grandes métropoles du monde, qui se tient depuis hier au Hilton Madagascar, apportera de nouvelles solutions pour faire face aux défis de l’explosion urbaine actuelle.
Quel schéma d’urbanisme devrait-on adopter ? Quels plans mettrait-on en place pour l’hygiène publique, l’électricité, le logement, l’énergie, l’accès aux services sociaux de base, l’élimination des déchets, etc. ? Ce sont, entre autres, les questions sur lesquelles vont se pencher ces responsables de Métropolis qui envisagent sérieusement de monter une « Banque des villes » afin de faciliter le financement des projets d’urbanisation et d’amélioration des infrastructures de chaque métropole.
Avec le mouvement irréversible de la population vers le milieu urbain, les villes devraient revoir leurs différentes infrastructures en conséquence. C’est notamment le cas de Tana qui a à élargir ses infrastructures routières, et ne plus se contenter du Boulevard de Tokyo, de l’«autoroute» à deux voies longeant le Marais Masay et du Boulevard de l’Europe.
Vola Andriamanana © Midi Madagasikara
allAfrica 14/09/07
Madagascar: DTS lance une nouvelle marque
- L'Express de Madagascar - Lova Rafidiarisoa
Wanadoo devient Moov à Madagascar et ce, à partir d'aujourd'hui. La société DTS ne représente plus la marque Wanadoo. Elle aura sa propre marque, Moov.
« Nous avons passé un accord avec France Telecom, le propriétaire de la marque Wanadoo, pour ce grand changement », fait savoir Patrick Pisal Hamida, directeur général de DTS. En Europe, Wanadoo est devenue Orange, depuis le 1er juin 2006.
Le grand changement, qui aura un impact direct sur les clients, résidera dans le changement des adresses email. « A partir d'aujourd'hui, les adresses wanadoo.mg changeront en moov.mg. Tous les courriers de l'ancienne adresse d'un client seront redirigés automatiquement vers la nouvelle », rassure-t-il.
« Puisque, de plus en plus, les utilisateurs exigent un service de qualité, de nouvelles offres seront mises sur le marché très prochainement », déclare-t-il. Outre ce changement, le portail wanadoo.mg n'existe plus. « A partir de demain, la nouvelle adresse sera www.moov.mg, avec de nouveaux interface et services », conclut-il.
Moov.mg
15/09/2007
Amoron’i Mania : Aucun district de la région n’est épargné par les incendies de forêt actuellement.
Les feux de brousse gagnent de l’ampleur. Comme tous les ans, de la période allant de septembre à mars, la situation n’est guère paisible pour les responsables des Eaux et Forêts et encore moins pour les populations environnantes des localités touchées par les feux de brousse.
C’est le cas actuellement dans la région d’Amoron’i Mania. Les feux de brousse gagnent de l’ampleur. Aucun district ne peut prétendre être épargné par ce fléau. Si dans le district de
Fandriana, ces feux de brousse sont moins fréquents, il n’en est pas ainsi dans les districts
d’Ambositra, Ambatofinandrahana et Manandriana. Les incendies de forêts constituent le quotidien de ces populations. Dans ces districts réputés zones rouges en matière d’insécurité, les feux de brousse sont souvent l’œuvre des dahalo (voleurs de bœufs) pour parfaire leurs sales besognes, mettant souvent en otages les populations environnantes qui n’osent pas intervenir de peur des représailles. Ce, face à l’insécurité persistante et grandissante qui sévit dans les campagnes.
Etendues des territoires
Bien que des efforts considérables aient été menés au niveau de la région par des actions de sensibilisation et |
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de répression, au niveau des districts, des communes et des
fokontany, ces efforts ne sont pas soutenus. Non pas par manque de volonté de la population, mais face à l’insécurité qui prévaut. A cela s’ajoute aux mécanismes concernés l’insuffisance des moyens humains et matériels pour la mise en œuvre des plans d’actions. Pour ne parler que des étendues des territoires qui ne comptent parfois que 12 habitants au km² à l’Ouest, avec même deux à trois jours de marche à pied du chef-lieu des communes pour rejoindre ces fokontany. Pour l’heure, l’on ne peut que crier au feu… et se renvoyer la balle.
ANASTASE
© Midi Madagasikara
Midi
14/09/2007
LEGISLATIVES. Les candidats promettent monts et merveilles aux électeurs pendant la campagne. Lequel d’entre eux tiendra parole ?
Confusion sur la fonction des députés - RC
Autant il y a de candidats députés, 1542 en tout, autant il y a une définition de la fonction des membres de l’assemblée nationale. Autant il y a de partis, autant il y a d’explications sur le rôle des députés. Mais rares sont ceux qui s’y connaissent réellement. En clair, la confusion règne sur le sujet.
Personne ne fait vraiment pas le travail pédagogique nécessaire pour y remédier. A commencer par les candidats du Tim qui restent dans l’ensemble les plus visibles et les plus actifs de tous les prétendants. Ils prônent un alignement total et complet du législatif sur l’exécutif. Pire, c’est dans l’affiche même ! « Map = Faritra Mandroso ». Il s’agit d’un résumé du projet présidentiel en décembre 2006 et c’est le condensé de la politique générale de l’Etat présenté par le nouveau Premier ministre à Tsimbazaza devant l’assemblée dissoute en juillet dernier. Les autres partis et candidats ne font pas autrement. Une candidate, dans le 6ème district d’Antananarivo, promet plus de salles de classe dans les écoles publiques et plus de médicaments dans les dispensaires. Les candidats de l’Ame promettent notamment, s’ils sont élus, d’être des « animateurs de la vie locale ». Des exemples parmi des milliers qui font que les députés peuvent amener dans leurs circonscriptions respectives l’eau, l’électricité, la route, les écoles, les Csb, les tenues de sports, la sécurité…
Arsenal législatif
Les candidats de l’opposition, presque tous inaudibles depuis le début de la campagne, attribuent aux députés un rôle plus politique. Et plus conforme aux principes théoriques de la séparation des pouvoirs malmenée dans la nouvelle Constitution en parlant de « fonction législative » (sous- titre II). Il faut chercher parmi les « pro- Ravalomanana » pour trouver un discours plus adapté. L’Aldr (alliance libérale et démocratique pour la régionalisation) et le Mfm veulent réhabiliter l’institution. Leurs candidats en font une des conditions pour l’instauration d’une véritable démocratie à Madagascar. « Tous les débats doivent se passer à Tsimbazaza pour éviter dans le futur qu’ils descendent dans les rues », disent- ils à longueur de journée. Pour sa part, le Teza évoque un retour aux sources en parlant de « contrôle du travail de l’exécutif par le législatif et des députés qui proposent des lois ». D’ailleurs, les candidats de ce parti à ces élections promettent un arsenal législatif décliné en cinq lois sur l’économie et le social dont l’objectif est de permettre aux Malgaches « la maîtrise de l’économie nationale ». Tout un programme.
EMILE RAKOTOMALALA : « Insuffler un nouvel élan à l’Assemblée »
- R.O.
Le PDS de l’ex-province autonome d’Antananarivo, François Emile Rakotomalala, est tête de liste du TIM dans l’Avaradrano. Il a tenu avant-hier, un meeting à Ambohimanga Rova où il a reçu publiquement le soutien du maire Guy Ranohisoa et de son père, le sénateur Ranohisoa Seth. Etaient aussi présents les maires des communes avoisinantes comme Manandriana, Sabotsy-Namehana, Ambohimanga… Interview de cet administrateur civil qui veut être le porte-parole de ses anciens administrés.
- Midi : Pourquoi êtes-vous candidat ?
- François Emile Rakotomalala : « C’est pour apporter ma « part de briques » au développement du pays et insuffler un nouvel élan à l’Assemblée nationale ».
- Midi : D’après vous, quel devrait être le rôle des députés ?
- F.E.R. : « Le rôle de l’Assemblée nationale porte principalement sur le contrôle de l’Exécutif. En tout cas, il s’agit pour les députés, d’apporter des critiques constructives et non subversives, sans devenir pour autant des moutons de Panurge. Il faut un élan commun et un esprit de collaboration entre le Législatif et l’Exécutif pour la concrétisation du MAP ».
- Midi : Et entre députés eux-mêmes ?
- F.E.R. : « Le respect mutuel est important. La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. Il faut laisser les élus du peuple, exercer librement leur mandat ».
- Midi : Sont-ils également libres de changer de camp ?
- F.E.R. : « Je ne suis pas, mais pas du tout, partisan des députés qui retournent leur veste. C’est contraire à l’éthique. Et il ne faut pas non plus trahir la confiance des électeurs. L’intérêt général doit primer sur les intérêts particuliers du député ».
- Midi : Vous êtes-vous mis en position de disponibilité pour être candidat ?
- F.E.R. : « Comme vous le savez, depuis l’adoption de la Constitution révisée, les provinces autonomes n’existent plus. Du coup, la nomination des PDS a été tacitement abrogée puisque la loi fondamentale se trouve hiérarchiquement au-dessus de tous les autres textes ».
- Midi : Vous n’êtes plus PDS mais chef de la circonscription administrative ?
- F.E.R. : « Jusqu’à présent, il n’y a pas encore eu de texte nommant les chefs de circonscription administrative. Au regard de la loi, je n’ai plus de titre officiel, même s’il y a encore des mesures administratives à régler comme la question de la dévolution des biens et des personnes de l’ex-province autonome qui fait, du reste, l’objet d’une commission interministérielle ».
allAfrica 14/09/07
Madagascar: Banque centrale de Manakara - de nouvelles arrestations autour d'un détournement
L'enquête sur l'affaire de détournement des 12 milliards d'ariary à la Banque centrale de Manakara suit son cours. Deux personnes viennent d'être incarcérées, après avoir été déférées, mardi, au Parquet du tribunal de la ville. Elles sont soupçonnées de complicité avec le présumé auteur principal du vol, en cavale à l'étranger.
L'un des prévenus est le propriétaire d'un restaurant de Manakara. Il est soupçonné d'avoir reçu et utilisé une partie de la somme volée.
Le second est un habitant d'Antananarivo. Il est poursuivi pour avoir fait transiter l'argent dans la capitale afin de le reconvertir en devises dans un bureau de changes.
Les informations recueillies auprès de la Police économique à Anosy affirment que quatre personnes suspectées dans l'affaire ont été entendues au Parquet du tribunal de Manakara, mardi. Deux d'entre elles ont bénéficié d'une liberté provisoire.
L'Express de Madagascar (Antananarivo)
- Teholy Martin
Les Nouvelles 15/09/207
François Emile Rakotomalala assisté par Marcel Ranjeva à Avaradrano
Le ministre des Affaires étrangères Marcel Ranjeva continue de coacher les candidats Tim
d'Analamanga. Hier encore, il a assisté le candidat François Emile Rakotomalala avec le chef de région
d'Analamanga et le président du fokontany d'Anosy Avaratra à Avaradrano, lors d'une séance de distribution de cahiers. Les élèves de l'école primaire publique, de l'école catholique, du collège d'enseignement général, de l'école privée
Andresena, du Mino school et de l'akany Tsimoka du quartier ont reçu un don de la part des candidats dirigés par l'ex-Pds de la province d'Antananarivo.
Marcel Ranjeva a remercié la population pour la confiance qu'elle avait dans le régime lors des dernières élections. Il a considéré la campagne menée jusqu'à ce jour comme des actions qu'il a entreprises durant les jeux des îles pour le coaching de l'athlétisme. Aussi, compte-t-il tirer de son partenariat avec le peuple des résultats positifs comme les médailles d'or en août dernier.
Prisca R.
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Madamaki.com
19/09/2007 Antananarivo change, s'embellit, se
modernise
-
Francia Randroso
La capitale de Madagascar a fait l'objet d'un lifting complet. Des espaces verts attrayants, des arbustes bien taillés, des canaux débarrassés de leurs légendaires détritus.
LE PARC
NATIONAL ANDASIBE
Faisant partie des Hautes Terres centrales, le Parc National d’Andasibe se trouve sur la Route nationale 2, entre Antananarivo, la capitale malgache, et Tamatave
(Toamasina), principal port de commerce de la Grande Ile.
La forêt primaire tropicale humide de la région de l'est est incontestablement la plus boisée et la plus dense de toute l'île, ce qui en fait un joyau unique. Par l'isolation durant des millénaires de l'île, la faune et la flore se sont développées en marge des autres continents, offrant ainsi de nombreuses variétés endémiques à Madagascar.
Le Parc National d’Andasibe est connu par les variétés de sa faune : amphibiens, oiseaux, insectes, ...surtout on y trouve toutes les espèces du maki de Madagascar notamment l’indri indri et plus de cent espèces d'orchidées
L'appel envoûtant des indris, résonne aux alentours de la Réserve. Vous ne le trouverez dans aucun Parc Zoologique du monde entier car il meurt en captivité. Une chose qu'il ne faut pas rater dans la vie, c'est le rendez-vous avec les indris...
Pour faciliter la compréhension de cette nature, un Centre d'Interprétation Environnemental est mis gracieusement au service des visiteurs. La meilleure période pour les visites se situe entre septembre et janvier.
Il est conseillé de se munir de: Chaussures antidérapantes, vêtements de pluie.
Cette réserve mérite vraiment qu’on y consacre une journée.
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2)-
Bonjour. Je suis Française, métissée malgache. J'ai 52 ans. Je voudrais communiquer avec des internautes malgaches en attendant de rentrer au ays. Me contacter à
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moov.mg 19/09/2007
Pétrole. La première production de Tsimiroro se précise
- R.E.
Madagascar, pays pétrolier. On commence de plus en plus à y croire avec l’avancement de certains projets de prospection pétrolière
« Le programme de produire 1000 barils par jour dés cette année 2007 est maintenu » annonce-t-on de source auprès de l’OMNIS. Chez Madagascar Oil SA, on s’active pour réaliser à temps ce défi qui augure de très bonnes perspectives pour l’avenir de la production pétrolière à Madagascar.
Compétence
Un défi lié au nom de Samuel Malin, l’homme d’affaires canadien qui, avec Robert Nelson, a créé la compagnie de recherches et d’exploitation pétrolière Madagascar Oil SA et initié des projets de gisements pétroliers dans des sites comme Bemolanga et
Tsimiroro. Des projets auxquels les observateurs du marché pétrolier malgache ont commencé à croire quand, au mois de mai 2006, Samuel Malin qui occupait alors le poste de Chief Executive Officer et les actionnaires de Madagascar Oil ont réussi à lever 60 millions de dollars US sur les marchés boursiers internationaux pour concourir à la suite du financement du projet.
Il est à noter qu’une partie de ces achats ont été réalisés directement par des fonds de placement nord-américains dont le très connu “Jefferies &
Co. Inc.”. Une démarche réussie qui traduisait la confiance des investisseurs internationaux envers Madagascar mais également la compétence de Samuel Malin qui avait déclaré que « le succès de cette première introduction en bourse élargira la base de notre actionnariat et nous permettra d’envisager l’avenir des pétroles du Melaky et du
Menabe, et notre objectif reste la mise en
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Plate forme de recherche pétrolière on-shore dans l'Ouest de Madagascar
© DTS. Les choses se dessinent de plus en plus nettement en ce qui concerne, les premières productions pilotes de pétrole à partir de l’huile lourde à
Tsimiroro, par Madagascar Oil. |
production du gisement Tsimiroro ».
Une déclaration vérifiée actuellement sur le terrain puisque actuellement, le gisement d’huile lourde de Tsimiroro est le projet pétrolier le plus avancé à Madagascar, dans la mesure où les premiers barils sont attendus pour très bientôt. Même s’il n’est plus le CEO de Madagascar
Oil, le milieu pétrolier espère bien que cette société de droit malgache saura optimiser les compétences Sam Malin afin de mener à bien les projets en cours. Faut-il en effet rappeler que ce diplômé de l’université de géologie de Queens (Canada) et de l’université de Cambridge (Angleterre) qui plus est, impliqué dans la recherche pétrolière à Madagascar depuis 1990, a cédé sa place de Chief Executive Officer de Madagascar Oil à un certain Alex
Archilla. Sur ce point, l’on se pose actuellement dans le milieu pétrolier malgache la question de savoir, pourquoi, un homme de cette envergure et fortement intégré vis-à-vis des grandes institutions, des autorités malgaches et des opérateurs nationaux et internationaux n’a plus de pouvoir exécutif dans le projet.
Sakoa
Confiant dans l’avenir économique malgache en général et au secteur pétrolier et énergétique en particulier, Samuel Malin a également initié le projet Sakoa et a fondé la société Madagascar Consolidated Mining dont il est le président et qui a pour activité principale l’exploration et l’exploitation de charbon de terre. On annonce par ailleurs la création par lui,
d’Avana Group spécialisé dans diverses activités dont l’exploration et |

Carte de Madagascar représentant les blocs de recherche pétrolière en date du 31 mars 2006
© DTSLe plus en avance |
l’exploitation minière.
Midi
mada 18/09/2007
Dernière ligne droite
A partir d’aujourd’hui, la campagne de propagande pour les législatives entame sa dernière ligne droite. Les candidats ont encore jusqu’à vendredi pour convaincre les électeurs de voter en leur faveur.
Jusqu’à présent, les favoris se précisent au fur et à mesure des échos de campagne. Les électeurs doivent maintenant affiner leur choix après les avoir rencontré, lorsqu’ils ont sillonné les quartiers et effectué du «porte à porte». Ils n’oublieront pas ceux qui n’ont pas lésiné sur les moyens pour faire passer leur message et démontrer leur détermination. Le week-end a, en effet, été riche en meetings animés par des artistes de renom.
Une élection de proximité comme les législatives peut réserver des surprises. Il en a toujours été ainsi. Le vote des électeurs étant en grande partie influencé par la cote des partis politiques. Le TIM est en première ligne. Non seulement parce qu’il est considéré comme l’enfant du Président de la République mais aussi parce que ses candidats s’appuient sur l’image forte de Marc Ravalomanana pour convaincre les électeurs de leur valeur et de leur efficacité.
D’autres partis ont aussi la préférence des électeurs. Mais dans quelle proportion leur est-elle accordée ? Il faut attendre les résultats pour en avoir une idée. Sinon, le vote des électeurs peut aussi être influencé par la personnalité des candidats en lice. Indépendamment de leur parti politique, les candidats qui font forte impression aux électeurs dépassent facilement leurs concurrents sur le terrain. Ces gens-là sont nombreux dans ces législatives. Ils seront à l’origine des surprises. Ils ont en commun le charisme et la sympathie.
Quoi qu’il en soit, au bout de cette dernière ligne droite que les candidats mettront à profit, pour se différencier et devancer leurs concurrents, les électeurs seront mieux fixés sur leur choix lors du scrutin du 23 septembre prochain. Auparavant, ils pourront toujours suivre à la trace ceux qui leur ont paru excellents. Les débats, s’il en existe, pourront les aider. Cette forme d’échange, en effet, est celle qui fait le plus défaut et pourtant est celle à laquelle les électeurs aspirent le plus en ce moment.
Zo Rakotoseheno
allafrica 18/09/2007
Les confectionneurs du Pochard éménagent à Andravoahangy
- L'Express de Madagascar
- Fanja Saholiarisoa
Les marchands confectionneurs déménagés du Pochard apprécient leur nouvelle localité à Andravoahangy. Selon eux, leur nouvelle place est mieux que l'ancienne.
Cela fait deux semaines que les marchands confectionneurs du Pochard ont quitté leur lieu de commerce. Mais leur déménagement s'est déroulé dans le calme, aucune grogne n'ayant été enregistrée de leur part.
"Le fait est que nous aimons bien la nouvelle place. Contrairement à ce que nous avons craint au début, le marché
d'Andravoahangy est un lieu propice à nos activités ", explique Solofonanahary, un des nouveaux venus sur le marché.
Il souligne que la sécurité est mieux assurée et les lieux plus propres, contrairement à leur ancienne place. " Nos anciens clients commencent aussi à nous rejoindre, petit à petit ", admet une autre confectionneuse.
Droit d'occupation
Un millier de marchands de confection ont été contraints de quitter le marché Pochard, car le propriétaire de la place a décidé de reprendre les terrains pour y bâtir une école. Les nouveaux occupants d'Andravoahangy sont logés à côté du Centre de santé de base (CSB-II), une place difficile à trouver, malgré tout. Comme les autres marchands, ils doivent s'acquitter du droit journalier d'occupation de place, sous forme de ticket d'Ar 500."Ce n'est pas aussi facile de repérer nos anciens fournisseurs. Nous devons toujours les contacter par téléphone avant de les rejoindre ", note Rosette Ravaoarisoa, une marchande de confections, habituée à venir dans la capitale deux fois par mois, pour acheter ses produits de confection.
Les nouveaux venus occupent le marché tous les mardis et jeudis. Les autres jours, ils doivent se mêler aux autres marchands d'Andravoahangy. Le déménagement n'a pas du tout été une contrainte pour les principaux concernés par cette mesure. Les responsables de la commune n'ont pas eu à intervenir. Ces derniers envisagent d'ailleurs de déplacer les marchands d'art du marché de Pochard, mais cette décision nécessite encore une nouvelle localité.
Orange.fr
16/09/2007
Mondial de rugby: Blacks et Australiens confirment la domination de l'hémisphère sud
- PARIS (AFP)
voir tous les articlesL es matches de vendredi et samedi ont confirmé la domination des trois géants de l'hémisphère sud en ce début de Coupe du monde, où les nations européennes peinent à trouver leur rugby.
Samedi, l'Australie a dominé les Gallois 32-20 dans le groupe B sur la pelouse de Cardiff, sans jamais trembler, une semaine après avoir passé 91 points aux Japonais.
Les All Blacks, après avoir atomisé l'Italie 76-14 le week-end dernier, ont concassé les amateurs portugais, dépassant la barre des 100 points (108-13), à Lyon
(Gr.C).
Quant à l'Afrique du Sud, elle avait humilié vendredi soir l'Angleterre, championne du monde en titre, par 36 à 0, (Gr.A)
Pendant ce temps, les grandes nations historiques du Tournoi des six nations ont étalé leurs limites et surtout leurs doutes.
L'Irlande, samedi soir, est péniblement venue à bout 14-10 de la généreuse Géorgie, nation de second rang rugbystique, au terme d'un match indécis jusqu'à la dernière seconde (Gr.D). Avec deux essais marqués, les Irlandais ne décrochent même pas le bonus offensif. Et ils ont concédé aux Géorgiens le bonus défensif.
Le XV du Trèfle, considéré il y a un an comme l'une des meilleures équipes au monde, semble avoir perdu en quelques mois toutes ses certitudes.
L'Angleterre, sur la pelouse du Stade de France, a laissé pas mal de ses illusions de conserver son trophée. Quant aux Gallois, courageux contre l'Australie samedi, ils n'ont pas l'étoffe de champions du monde.
Et que dire de la France, que l'on classait parmi les favoris du mondial, douchée glacée par l'Argentine dès le match d'ouverture (17-12)? Après cette défaite, les Bleus se retrouvent en position délicate dans le groupe D, et n'ont déjà plus le droit à l'erreur ce dimanche face aux très modestes Namibiens. Pour continuer à espérer terminer en tête de sa poule, la France doit gagner dimanche. Elle doit aussi marquer au moins quatre essais, pour empocher le bonus offensif.
Mais la Coupe du monde est longue, jusqu'à la finale du 20 octobre, et l'histoire rappelle qu'un départ en fanfare n'est pas toujours synonyme de succès. Elle rappelle, aussi, qu'une équipe ayant perdu un match de poule n'a jamais été championne du monde.
Xinhuanet.com
14/09/2007
Madagascar sera absent au championat du monde de lutte
ANTANANARIVO, 12 septembre (XINHUA) -- Madagascar ne disputera pas du Championnat du monde de lutte, prévu le 17 au 23 septembre à Baku, en Azerbajian, rapporte le journal Les Nouvelles dans son édition du mercredi.
Les lutteurs malgaches ne participeront pas au championat du monde puisque le Ministère des Sports n'a pas payé sa cotisation à la Fédération internationale de lutte. L'assurance de 5.600 Euros n'a pas été payé par le Comité d'Organisation des Jeux des Iles ( COJI) sous le ministère, qui avait promis de prendre en charge cette dépense.
La décision a été prise à la dernière minute alors que les billets d'avion ont déjà été reservés et que toutes les formalités relatives aux visas de séjour ont déjà été réglées ainsi que la lettre d'engagement mentionnant la liste des sept athlètes, soit trois dames et quatre hommes a déjà été envoyée.
Liva Rambeloson, président de la fédération de lutte à Madagascar, s'est plaint que les athlètes et la fédération, dont il est se charge, ont fait de leur mieux dans les préparations techniques et logistiques mais les autres responsables n'ont pas fait preuve de coopération.
La participation des lutteurs malgaches dans cette compétition internationale aurai pu être un tremplin pour la qualification aux Jeux Olympiques de 2008 à Beijing en cas de victoire.
Les
Nouvelles 14/09/2007
Test ADN obligatoire pour les candidats au regroupement familial
Le regroupement familial a permis à un peu moins de 26 000 presonnes d'entrer en France en 2004: 12.000 conjoints, 13 308 enfants. La loi du 23 novembre 2003 avait déjà considérablement verrouillé le cadre légal du regroupement familial.
La commission des lois de l'Assemblée nationale a adopté avant-hier un amendement au projet de loi sur l'immigration autorisant un candidat au regroupement familial à avoir recours au test ADN pour prouver son lien de filiation…
PARIS - La commission des lois de l'Assemblée nationale a adopté avant-hier un amendement au projet de loi sur l'immigration autorisant un candidat au regroupement familial à avoir recours aux tests ADN pour prouver son lien de filiation, a-t-on appris de source parlementaire.
"Cette procédure ne pourrait être mise en oeuvre qu'à l'initiative d'un demandeur désireux de prouver sa bonne foi le plus rapidement possible", a fait valoir Thierry Mariani
(UMP), auteur de l'amendement qui a donné lieu à une vive discussion.
Pour M. Mariani, cette procédure "sûre et rapide", déjà "utilisée par 11 de nos partenaires européens", permettra de "répondre au développement de la fraude documentaire".
Les socialistes ont émis des doutes sur les possibilités de mise en oeuvre dans les pays d'origine de tels tests. Ils ont également soulevé la question des enfants adoptés ou recueillis.
Des députés
UMP, dont François Goulard et Etienne Pinte, ont également critiqué cet amendement contre lequel ils ont eux aussi voté. M. Goulard a émis des réserves d'ordre pratique et M. Pinte s'est interrogé sur l'opportunité d'appliquer à des ressortissants étrangers des tests qui ne sont autorisés en France que sur décision judiciaire. |
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Mieux encadrer le regroupement familial
La commission a apporté plusieurs autres modifications au projet qui vise à "mieux encadrer le regroupement familial".
Toujours à l'initiative de M. Mariani, elle a adopté un amendement qui dispense les conjoints âgés de plus de 65 ans et candidats au regroupement familial d'une "évaluation de connaissance de la langue et des valeurs de la République ".
Un autre amendement adopté prévoit une nouvelle évaluation à l'issue de chaque formation.
Les députés ont en outre porté à 1,33 fois le SMIC le niveau de ressources nécessaires qui pourra être exigé pour tout regroupement de familles de "six personnes ou plus".
Deux autres amendements de M. Mariani sur le maintien d'un étranger en zone d'attente ont été approuvés. Le premier autorise l'admnistration à décider, sans renouvellement de procédure, du prolongement en zone d'attente pour une durée maximale de 4 jours.
Le second autorise la prolongation pour une période de huit jours, du maintien en zone d'attente d'un étranger "en cas de volonté délibérée" de ce dernier "à faire échec à son départ".
Contre le "risque de voir des étrangers abuser du système d'aides au retour", les députés ont par ailleurs entériné un amendement d'Eric Ciotti (UMP) permettant la mise en place d'un fichier biométrique des bénéficiaires. Le projet de loi du ministre de l'Immigration Brice Hortefeux, adopté mercredi en commission, doit être soumis les 18 et 19 septembre aux députés en séance plénière pour l'ouverture de la session extraordinaire.
(AP)
allAfrica 14/09/07
Madagascar: Trois visas pour aller aux Bahamas
- L'Express de Madagascar
- Fanja Saholiarisoa
Le recrutement pour les Bahamas n'est toujours pas tiré au clair. Le ministère de la Fonction publique, du travail et des lois sociales soutient qu'aucune demande de visa de travail ne lui a été ni adressée ni signée dans ses services jusqu'à ce jour.
«Personne ne peut affirmer qu'il a obtenu un visa de travail de notre département. Cela sous-entend que personne ne peut se rendre dans cet archipel pour travailler. Gare à celui qui ose le faire, car cela le mettra en mauvaise posture», souligne Lauréat Solofoharinirina, secrétaire général du ministère.
Le haut responsable souligne qu'il faut au moins trois visas pour pouvoir se rendre aux Bahamas. Une information officielle de l'ambassade américaine affirme, de son côté, qu'elle ne peut accorder que le visa d'entrée aux
Etats-Unis.
Ce qui l'exclut de la démarche. En même temps, les candidats continuent de suivre les préparatifs en vue de leur départ. Après la queue observée pendant au moins deux semaines au service de l'émigration à
Anosy, hier, ils étaient nombreux, à l'Institut Pasteur à se faire vacciner contre
l'hépathite B et la fièvre jaune.
La plupart espèrent partir ce mois. D'autres croient à la garantie que certains responsables du recrutement leur ont promise. «Nous continuons d'y croire, parce qu'ils nous soutiennent. Nous avons été maintes fois informés d'un départ prochain. De plus, ils nous ont promis qu'ils nous rembourseraient au cas où le départ est annulé», précise Tiaray Maharavo, un des candidats qui forme le voeu de devenir machiniste aux îles Bahamas.
Tribune
16/09/2007
Séjour de Rossy en terre natale
: Il faut préparer le terrain avant de prendre une décision !
Rossy devant la presse : « Il faut une preuve quand on dit quelque chose ».
A la veille de son départ, le chanteur national Rossy, a tenu à clarifier la situation. «Je n’ai pas de problème envers qui que ce soit et si j’en ai un, je prendrai la peine de le lui dire directement» a t-il déclaré pour couper court au bruit qui ne cesse d’animer les discussions ici et là.
Il était bel et bien là ! Rossy, celui à qui l’on doit le plus grand évènement culturel jamais organisé à Madagascar,de la culture malgache à l’étranger, a fini son séjour en terre malgache.
Arrivée au pays discrètement, il y a quelques jours, Rossy a profité de ce bref passage pour rendre visite à sa famille et à ses amis qu’il n’a pas vu depuis cinq ans. « J’étais parti suite à la situation tumultueuse en 2002.Ensuite, je me suis occupé de ma profession, en intégrant une école spécialisée en matière d’organisation évènementielle, d’où l’obtention de ma licence », a-t-il raconté à la presse, hier à « La Plage » de
betongolo, aux côtés de sa femme, Joséphine.
En parallèle, le chanteur national a suivi une formation auprès d’une école d’accordéon. «Et comme il n’est pas facile de vivre à l’étranger, je me suis mis sur un projet de «Contes» quimarche bien actuellement» a-t-il continué.
Effectivement, lors de la projection d’un Dvd, on a remarqué que Rossy a un succès énorme auprès des enfants lors de ces tournées sur ce projet de « Contes ».
Un Dvd comme « voan-dalana »
Mais l’homme est détérminé plus que jamais pour la musique. Il n’a cessé de continuer ses recherches musicaux d’où la présentation d’un
dvd, en guise de « voan-dalana » mais également, pour confirmer le fruit de ses longs travaux.
Intitulé « Ino vaovao », ce Dvd contient 12 titres qui retracent l’historique du groupe
Rossy, mais qui reflètent également les «biens» que l’enfant prodige d’Analalava a laissé pour le milieu culturel malgache.
A l’image des « Jeux de la Francophonie » ou encore le fameux « Tapolaka glady », ce Dvd démontre le professionnalisme que Rossy s’est acquiert tout au long de sa carrière. « On a travaillé avec quatre cadreurs et toute une équipe pour peaufiner ce dvd », a t-il lancé. Toutes les images lors des tournées du groupe auparavant ont été recueillies afin de donner plus de vivacité à cet opus.
« Il faut bien préparer le terrain avant de prendre une décision quelconque. On a déjà entamé les négociations eauprès de toutes les autorités compétentes concernant l’organisation d’un concert exceptionnel à Madagascar et on attend la suite », a t-il promis lors de cette rencontre avec la presse.
A noter que plusieurs personnalités ont répondu à l’appel de Rossy, hier. Une situation qui prouve que l’homme n’a pas du tout un quelconque problème vis-à-vis de qui que ce soit.
- Daddy R.
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