MadaVôvô 2007

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Les News du monde en permanence L'actu internationale en temps réel

Raharaha Zaraniaina.... ;  Cacao de Mada... ;  Rassembleurs et Dynamiques... ;  Savoir vivre sur le web...  ;  200 Milliards pour le secteur public... ;  Air mad renforce sa flotte... ;

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Sommaire Madavôvô: 22 octobre  2007

BigNews: Justice Solidaire ... Jumelage ! ...

L'Edito: « Le Web dans toute sa splendeur !...  »

1.Retour compromis pour Ratsiraka, Tantely et Pierrot (Midi)

2. Les Bleus humiliés (sport24)

3.The long road to Midongy (madonline)

4. Madagascar goûte aux bienfaits de la crevette bio (Liberation)

5. Le chocolat pour tous" au 13e Salon du chocolat (google)

6. Les condamnations de Pierrot Rajaonarivelo et consorts maintenues (Nouvelles)

7. investissements directs étrangers à Madagascar = 100 millions de dollars (xinhua)

*. No Comment.... No Comment... 

8. Les hôtels irréguliers risquent la fermeture (jeune Afrique)

9. Sambatra de Mananjary : La circoncision collective chez les Antambahoaka (Tribune)

10. Pierrot Rajaonarivelo: Plus de 26 milliards détournés par simple note de service (Midi)

11. Les ministres élus troquent leurs sièges pour ceux de l'Assemblée nationale (Nouvelles)

12. Comédie protocolaire (Sobika)

13. Journée du refus de la misère:Réduire de 1/2 le nombre des pauvres en 2008 (Tribune)

14. Certains des ministres élus députés risquent de ne plus être reconduits. (Nouvelles)

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22/10/2007

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.586.65 Ar 
USD 1.820.18 Ar 
GBP 3.730.10. Ar 
CHF 1.555.31 Ar 
JPY 15.76 Ar 
ZAR 268.07 Ar 
HKD 234.82 Ar 
Date Eur/Ar Date Eur/Ar
19/08 2486 30/09 2601
07/05/07 2472 28/05/06 2771

(Revues de presse plus bas !!! ... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


 

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 - * - 

Big News... « Justice Solidaire  ...Jumelage !...   »    ... le Dossier   Klikeo eto >>

     DEUX HAUTES JURIDICTIONS JUMELEES : Cérémonie de jumelage de la Cour Suprême de Madagascar avec la Cour de Cassation de la République française,  le vendredi 19 octobre 2007 à 16 heures, à la Cour de Cassation, 5 Quai de l’Horloge, Paris 75001. (par Fafah)

    Retracer la marche dans le temps vers l’établissement de cet évènement qui donne naissance à une convention de  jumelage de la Cour Suprême de Madagascar (qui comprend la Cour de Cassation, le Conseil d’Etat et la Cour des Comptes) avec la Cour de Cassation de la République française s’avère inutile.  

       Force est seulement de reconnaître que l’aboutissement de cet accord de jumelage a été initié par Madame Nelly RAKOTOBE RALAMBONDRAINY, Premier Président de la Cour Suprême de Madagascar. Cette initiative a eu le soutien  de ses homologues,  Messieurs Guy CANIVET et  Vincent  LAMANDA, l’un ayant été suivi par l’autre depuis le 30 mai 2007 dans la haute fonction de Premier Président de la  Cour de cassation,  juridiction la plus élevée de l'ordre judiciaire français qui comprend 6 chambres (3 chambres civiles, une chambre sociale, une chambre commerciale et une chambre criminelle).

          

Reportage photos Klikeo eto >>

 

      Ce procédé s’est opéré dans le cadre de la coopération internationale juridique et judiciaire. A ce propos,  il y a lieu de retenir que les rapports entre la Justice Française et la Justice Malgache  solidement enracinés dans l’histoire, sont très importants jusqu’à l’époque contemporaine quant à leurs effets. Qui plus est, les deux systèmes judiciaires français et malgache ont une action commune, celle de la promotion du Droit écrit de tradition française qui diffère de la ... Lire la suite Cliquez-ici

Les maîtres du monde : C'est fini!!! L'Afrique du Sud est championne du monde 
Vainqueur sans essai 15-6, l'Afrique du Sud grimpe sur le toit du monde aux dépens des Anglais pour la deuxième fois de son histoire.

Les Bleus laminés : Les Argentins ont écrasé les Bleus 34-10 (5essais) et s'emparent de la troisième place du Mondial. Les Bleus ont bu le calice jusqu'à la lie            ... le Dossier   Klikeo eto >>


*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


«le Web dans toute sa splendeur !...    » 

On a pris l'habitude de voir et lire sur l'Espace Sommaire « Un site qui ne bouge pas est un site qui meurt » ...

       J'aimerais vous présenter un charmant jeune homme, Thomas ... Il a tout pour lui ... la jeunesse ... le charme d'un mélange de deux cultures ... la France et 

notre belle Île Rouge, ce paradis du bout du monde, et ... c'est un professionnel de la création de sites Internet et de la communication visuelle. Son statut d'indépendant lui permet aujourd'hui d'être plus souple, plus réactif, d'instaurer une véritable relation de confiance avec les clients, et d'apporter un véritable sens aux mots conseil, qualité, et service.

-Bonjour Thomas... en quelques mots ... dis-nous qui es- tu ?  Quel sont tes liens avec notre belle Île Rouge ?

 Je m’appelle Thomas Carteron, j’ai 31 ans et je suis disons… franco-malgache. Franco-malgache car né en France, une vie depuis toujours en France, mais une mère malgache, et donc tout un côté de ma famille qui vient de la grande île. 

-Depuis quand t'intéresses-tu  à la création de sites ?

Je suis créateur de sites internet indépendant, dans le métier depuis 2000, j’ai auparavant effectué toute une scolarité orientée vers l’art, l’image, les nouvelles technologies, et le travail sur informatique. 

-A ton avis, en général pourquoi créer un site? Quel en serait l’objectif ?

Il y a plusieurs objectifs qui poussent à la création d’un site internet.

De la simple présence sur la toile des sites « carte de visite », aux projets de vente en ligne e-commerce, en passant par les sites vitrines ou institutionnels, tous reflètent le désir de l’entreprise d’être accessible via ce puissant média, incontournable aujourd’hui.

-Quelle est la clé du succès d'un site internet ?

 Le succès d’un site est lié à différents paramètres. 

La première chose qui nous vient à l’esprit mais qui n’est pas

forcément la plus importante, est le design.

Professionnel, véhiculant fidèlement l’image d’une société, d’une association, il doit être séduisant sans être ostentatoire, la subtilité est de mise. ...     ... Lire la suite Cliquez-ici 

   

                    Shoan 

.. Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Shoan  a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.Merci d'avance!                ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>                                       ... Lister  tous les Editos


Midi Mada 22/10/2007
RETROSPECTIVE. Avec leurs multiples condamnations, la boucle est bouclée pour ces membres de l’exécutif d’avant 2002. Retour compromis pour Ratsiraka, Tantely et Pierrot - Didi Ratsimbazafy
Didier Ratsiraka, Tantely Andrianarivo et Pierrot Rajaonarivelo. La mort politique de ces notables de l’ancien régime n’est plus à expliciter avec les multiples condamnations à leur encontre. Jugé par contumace, l’ex-Président Didier Ratsiraka connaît une lourde peine. Il écope dix ans de travaux forcés pour détournement de deniers publics, notamment d’une valeur de 50 milliards au sein de la Banque centrale de Toamasina. 
Plus grave encore, l’on avait déclaré à l’époque, et publiquement, l’incapacité de sa personne à «exercer une fonction publique». Cette décision du 06 août 2003 de la cour correctionnelle compromet, en effet, le retour de l’Amiral au pays dont il était à la tête pendant plus d’un quart de siècle. Pareille situation pour Rajaonarivelo Jocelyn Pierrot, vice-Premier ministre (VPM) à l’époque, qui lui aussi, n’a bénéficié d’aucune clémence de la Justice. Pas plus tard que vendredi dernier, la cour criminelle ordinaire vient de confirmer la sentence de 15 ans ferme pour cet élément phare de Ratsiraka et particulièrement du fameux parti politique Arema. Il s’agit d’une affaire de détournement à grande échelle à la Douane de Tamatave. A entendre le réquisitoire du ministère public, Rajaonarivelo Pierrot a pu détourner, à l’époque, plus de 26 milliards par simple…«note de service». 
Indulgence 
La douane de Tamatave fut le théâtre de cette magouille de haute sphère, entre 1997 à 2002. Quant à Tantely Andrianarivo, il est, rappelons-le, le seul baron de l’ancien pouvoir qui fut arrêté sur le territoire malgache durant la crise de 2002. Ce qui peut être l’origine d’une certaine souplesse, du moins indirecte, de l’Etat envers sa personne. Son évacuation sanitaire en France, il y a déjà deux ans, le démontre certainement. Un consentement qui, à tort ou à raison, est signe d’indulgence de l’actuel pouvoir. Côté judiciaire, il a dans son compteur une double condamnation de deux ans ferme à laquelle s’ajoute douze ans de travaux forcés pour respectivement un détournement de plusieurs milliards et d’atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat. En commun, ils sont tous trois en exil en France et conscients qu’ils n’ont plus d’avenir politique dans la Grande Ile. Avec la différence pour Rajaonarivelo qui, malgré ses péripéties judiciaires, avait encore l’intention de diriger le pays en s’étant présenté à la dernière course présidentielle. 


Sport24.com 20/10/2007
Les Bleus humiliés -Par Julien Pedebos. 

En s'inclinant nettement face à l'Argentine (34-10), l'équipe de France termine quatrième de la Coupe du Monde. Les Pumas, beaucoup plus valeureux, sont bel et bien la révélation de la compétition. 

Contepomi et l'Argentine terminent sur le podium de la Coupe du Monde (Panoramic)

On attendait la revanche du match d’ouverture demain, au Stade de France, pour se disputer le Trophée Webb Ellis. Sud-Africains et Anglais en ont décidé autrement. Le XV de France et l’Argentine s’affrontaient donc, ce vendredi, pour la petite finale. L’occasion de ramener quelque chose de ce Mondial mais aussi le moment de dire au revoir à quelques tauliers comme Ibañez ou encore Dominici.
Le réalisme argentin
Mais loin de l’opposition ennuyeuse à laquelle beaucoup d’observateurs s’attendaient, les deux équipes semblaient bien décidées à vendre chèrement leur peau et ramener la breloque à la maison. Du coup, entre deux amitiés échangées en mêlée qui marquaient bien l’intensité du match, Français et Argentins n’hésitaient pas à jouer au large. Cela donnait quelques belles opportunités, notamment pour Marty, tout près de filer à l’essai après un bon travail de Nyanga côté fermé (7e), avant qu’une passe en-avant d’Harinordoquy pour Rougerie n’empêche l’ailier clermontois de filer en terre promise (11e). Cependant, il fallait attendre plus de vingt-cinq minutes de jeu pour voir le ballon aplati dans un en-but. Auparavant, Elissalde (3-0, 17e) puis Contepomi (3-3, 20e), se répondaient par pénalités interposées. En parfaits empêcheurs de tourner en rond, les Pumas allaient se charger de réduire à néant nos belles initiatives. Felipe Contepomi, tout d’abord, arrivait pleine balle côté fermé pour aplatir en coin (10-3, 28e). Quelques minutes plus tard, c’était le pilier toulousain Hasan qui profitait d’une replacement plus 

que suspect de la défense française pour scorer entre les poteaux, bien aidé en cela par la charge initiale de Vernet Basualdo (17-3, 32e). Le tableau d’affichage ayant pris une tournure plus que fâcheuse pour nos Bleus, une réaction s’esquissait avant la pause, mais la défense héroïque des Argentins stoppait nos protégés à quelques mètres de la ligne pendant de longues minutes. Logiquement, la tension grandissait dans ces phases au près, et c’est dans un climat détestable que les deux équipes se séparaient, non sans voir Ibañez et Vernet Basualdo
Le calvaire bleu
Au retour des vestiaires, les affaires bleues ne changeaient guère. Ajoutons-y en plus quelques initiatives individuelles plus que douteuses, et les hommes de Marcelo Loffreda se régalaient des possibilités de contres. Sur l’une d’elles, Corleto gratifiait le Parc des Princes d’une formidable percée. Hernandez le relayait parfaitement avec une remarquable sautée et Aramburu, en bout de ligne, pouvait aplatir en coin (22-3, 53e). Le Parc des Princes, décidément, semblait réussir tout autant aux rugbymen qu’aux footeux (rappelons-nous l’Ecosse)… Le public commençait à siffler les initiatives audacieuses de Michalak ou de Poitrenaud, et les affaires ne s’arangeaient guère quand Agulla, suite à une interception le long de la touche, offrait à Corleto l’essai décisif (27-3, 64e). Les Bleus, cependant, semblaient bien décidés à sauver l’honneur, voire plus. Harinordoquy sonnait la charge avant d’être suivi par Chabal, tout juste entré. Mignoni pouvait vite extraire et offrir à Poitrenaud le premier essai des Bleus
dans cette rencontre (27-10, 69e). Mais il était dit que les hommes de Bernard Laporte allaient, ce vendredi soir, boire le calice jusqu’à la lie. Sur une énième perte de balle, le contre des Pumas se développait et Contepomi, une nouvelle fois, pouvait trouver la faille (34-10, 76e). Les Bleus quittent donc la compétition sur la plus petite des portes, presque un trou de souris. Les Pumas, pour leur part, terminent sur le podium une compétition qu’ils auront enthousiasmé. C’est on ne peut plus mérité.


madonline.com 19/10/2007
The long road to Midongy 
Its a real adventure. The bad road to Midongy, South of Madagacar, does not prevent the adventure fans to discover this beautiful region.
From the town of Vangaindrano, in the southeast of Madagascar, and yet accessible by paved road, it takes at least seven hours to reach the town of Midongy South, located just a little over 90 km. On forty kilometers, the road is still in good enough condition until you reach the village of Ranomena. From there, the real adventure begins. It will in effect to take more than 6 hours, even in the dry season to complete the approximately 55 kilometers of trails leading to Midongy South. 
When you reach this place, you feel both a hard and an immense pleasure. The trouble because of the execrable state of the track but the fun because of the incomparable beauty of the landscape. Still covered with forest just over 30% of its area, the region of Midongy is a world apart. National Park Midongy admits almost no visitors except researchers and scientists, or those responsible for conservation projects, but allows travelers to admire the beauty of this unique nature of the North East of Madagascar. The town of Midongy itself, located in a basin, provides a panoramic view of the mountains still covered with greenery around.


Libération.fr 19/10/2007

Madagascar goûte aux bienfaits de la crevette bio - Lionel Astruc (QUOTIDIEN) 
A Madagascar, nul n’aurait misé la moindre crevette sur les «tannes», ces vastes dégagements infertiles cachés au milieu de la mangrove. Pourtant, en l’espace de cinq ans seulement, une fois transformées en bassins naturels, ces étendues se sont remplies de l’or rose tant convoité sur les côtes tropicales : les crevettes d’élevage. Aujourd’hui, la production de 14 tonnes de Penaeus Monodon par jour occupe 750 personnes à plein-temps. 
Avec une particularité : les élevages intensifs pratiqués ailleurs (Asie et Amérique du Sud) et leur cohorte de pollutions (mangroves coupées, nappes phréatiques souillées, etc.) ont servi de contre-exemple à la crevetticulture malgache, beaucoup plus récente.
Déjà reconnus par l’Unesco et le WWF comme le meilleur exemple au monde d’aquaculture écologique, les élevages de crevettes de Madagascar viennent d’ailleurs de décrocher un nouveau sésame : la ferme de la compagnie OSO est la première au monde à obtenir le label Agriculture biologique (AB). Situés au pied du parc national des Tsingy de l’Ankarana, ces bassins implantés sans déboisement sur des tannes, affichent tous les critères de l’aquaculture propre. Une moindre densité de crevettes (8 par mètre carré en moyenne contre 100 dans les élevages intensifs) et une eau vivante, qui se défend naturellement des agressions, garantissent des effluents exempts de résidus. Selon le cahier des charges bio, la nourriture de ces crustacés se constitue de granulés biologiques. Cela pourrait constituer un autre atout écologique, si cette nourriture n’était en grande partie importée d’Europe (par bateau), et partiellement constituée de produits de la pêche, puisant sur les ressources marines. Outre le respect de l’environnement, ces aquaculteurs ont aussi la volonté de ne pas bouleverser la vie locale.
La plupart des habitants du village de pêcheurs voisin, Ambavanankarana, ne travaillent donc pas pour la ferme et préfèrent continuer leur activité traditionnelle. Ils profitent cependant des retombées sociales de cette filière digne du commerce équitable : «A travers les quatre villages qui nous entourent, nous avons entre autres créé des points d’eau, rénové les écoles, instauré des dotations en fournitures scolaires et réhabilité un centre de santé», énumère Isabelle Valade, responsable environnement de la ferme, sans préciser que les revenus de ces employés dépassent largement la moyenne locale : «Avant que je ne travaille ici, mes revenus étaient très instables, se rappelle Flavienne Renaly, une ouvrière de 31 ans qui conditionne les crustacés. Ils dépendaient du bon vouloir des collecteurs [poissonniers grossistes, ndlr] pour lesquels je décortiquais des crevettes sauvages. Or ces négociants jouaient sur l’absence de concurrence pour nous imposer des prix très bas, déplore-t-elle. Aujourd’hui, je peux compter sur un salaire fixe et 30 % plus élevé que ce que je touchais avant», sourit cette mère de trois enfants.


google.com 19/10/2007
Le chocolat pour tous" au 13e Salon du chocolat

La 13e édition du Salon du chocolat accueillera de vendredi à lundi près de 150 chocolatiers, porte de Versailles à Paris (XVe), autour du "chocolat pour tous". Le Brésil, le Mexique et le Venezuela seront particulièrement à l'honneur.
Comme tous les ans, le défilé des robes en chocolat sera l'un des temps forts du salon. Les créateurs et marques Stella Cadente, Nelly Biche de Bere, On Aura Tout Vu, notamment, devraient présenter des modèles. Un défilé est organisé tous les jours à 17H00 et les modèles sont exposés au salon.
Pour la première fois, de grands chefs (une à trois étoiles Michelin) réaliseront vendredi devant les visiteurs des plats au chocolat inédits, sucrés ou salés, qui pourront être dégustés ("filet de biche sauce aux grués de chocolat", "Gigot d'agneau de 7 heures mitonné aux fèves de cacao torréfiées", "Sphère au chocolat texture et tuile croquante", "Macaron Banana Split"...).
Les femmes chefs seront à l'honneur samedi, et proposeront elles aussi des mets au chocolat.
Plusieurs conférences, parfois accompagnées de dégustations, exploreront des thèmes variés: "Abbayes et chocolat", "Le chocolat: bon pour le coeur?", "Chocolat et traçabilité", "Le Pérou, une puissance cacaoyère en construction -développement de la filière équitable", "De l'officine à l'office: métamorphoses progressives du chocolat en France au XVIIIe siècle"...
Un jury composé des membres du Club des croqueurs de chocolat et de personnalités décernera des "Awards du chocolat" aux meilleurs artisans chocolatiers. Les visiteurs pourront élire Miss Cacao, "la plus belle jeune femme symbolisant les valeurs du chocolat".
Ateliers pour enfants, démonstratins culinaires, ateliers sensoriels, soins au chocolat, chants et danses des pays producteurs complètent les animations proposées.
Plusieurs opérations caritatives se dérouleront au salon, avec le concours de chocolatiers et de personnalités, au bénéfice de diverses associations.
Pour la première fois à Paris, un Salon du chocolat professionnel se tiendra du 20 au 22 octobre en marge du salon grand public.
Le Salon du chocolat s'exportera ensuite successivement à New York (9-11 novembre), Moscou (30 novembre-2 décembre), Shanghaï (18-21 janvier 2008) et Tokyo (23-28 janvier                                   ... 
Le Salon du Chocolat  Le chocolat dans toute sa splendeur  Klikeo eto >>

    PARIS (AFP) 


Les Nouvelles 20/10/2007

Les condamnations de Pierrot Rajaonarivelo et consorts maintenues
Ayant fait l'objet d'un jugement par défaut, Georges José Gabriel Tahaka, ancien conseiller technique de l'ancien vice-Premier ministre Pierrot Rajaonarivelo, a fait une opposition sur l'arrêt prononcé par la cour criminelle du 8 août 2006. Hier, la cour a dû confirmer le verdict, l'opposant étant une fois de plus absent au procès.
«Donne itératif défaut contre l'opposition, reçoit l'opposition et la déclare mal fondée, confirme l'arrêt du 8 août 2006». La cour criminelle n'a donc fait que réitérer le verdict rendu qui, à l'époque, avait condamné Pierrot Rajaonarivelo et Georges José Gabriel Tahaka à 15 ans de travaux forcés. Il en est de même pour leur ami Jacques François Bonnefoy qui avait écopé de 10 ans de travaux forcés. 
D'après l'acte d'accusation, ils se sont, ensemble et de concert, sans droit ni titre, immiscés dans le maniement de deniers publics d'une valeur de près de 5,308 milliards d'ariary et les ont détournés et soustraits. L'infraction a eu lieu entre 1992 et 2002. Les trois hommes avaient été cités à comparaître en août 2006, sauf qu'à l'époque, ils se sont déjà envolés vers l'extérieur.
Exposé des faits
Lors de la perquisition du domicile de José Tahaka, les enquêteurs de la section de recherches criminelles de la gendarmerie ont découvert six véhicules 4x4 et deux documents intitulés «Note de service» mentionnant en objet : «Mise en place d'un avoir en douanes». Documents dûment signés par Pierrot Rajaonarivelo, et établis au profit de deux grandes concessionnaires de la capitale. Ces fameuses notes leur avaient permis de bénéficier de la somme faramineuse de 232.755.122 ariary, un montant sur lequel sont imputés les droits et taxes qu'ils devaient payer à l'Etat, alors que selon plusieurs témoignages, ce système n'était pas prévu dans le code de douane. 
Un système assez complexe pour bon nombre de gens mais qui permet, en général, de bénéficier d'une franchise douanière et de se faire délivrer, par la suite, une attestation libératoire tenant lieu de quittance pour chaque déclaration douanière. Assez complexe aussi mais a permis aisément à ou aux acteurs de s'octroyer de plusieurs luxueuses voitures, de propriétés immobilières, ainsi que d'un dépôt en banque à dix chiffres. 
Outre la confirmation des peines aux travaux forcés, la cour a également réitéré la confiscation des voitures et des biens immobiliers pour être mis en vente aux enchères publiques, et le paiement de 6 millions ariary d'amende, selon toujours l'arrêt rendu en 2006.
Mparany 


Xinhuanet.com 21/10/2007
Les investissements directs étrangers à Madagascar pourraient atteindre 100 millions de dollars -XINHUA 
Les investissements directs étrangers (IDE) à Madagascar pourraient atteindre 100 millions de dollars d'ici la fin de l'année, a rapporté samedi le quotidien local Tribune citant un responsable du gouvernement. 
Prega Ramsay, Chief Executive Officer auprès de l'Economic Development Board of Madagascar (EDBM, Conseil de développement économique de Madagascar), a déclaré lors d'une réunion vendredi à Antananarivo que les IDE dans le pays devraient avoisiner les 100 millions de dollars américains cette année alors qu'ils n'ont atteint que 85 millions de dollars en 2005. 
Madagascar a pour objectif d'attirer 500 millions de dollars d'IDE d'ici 2012, a-t-il fait savoir. 
Plus de 800 entreprises ont été implantées dans le pays depuis le début de l'année, une hausse de plus de 5% par rapport à la même période l'année dernière, rappelle le journal. 
Ce nombre pourrait dépasser les 1 000 à la fin de l'année avec un investissement moyen de 5 000 à 10 000 euros pour chaque projet, a estimé M. Ramsay. 
Des projets d'un montant total de 250 millions de dollars sont encore en cours d'étude de faisabilité, a-t-il affirmé, ajoutant que ces projets concernent différents secteurs tels que le tourisme, l'agroalimentaire, l'industrie légère, les technologies de l'information et la télécommunication. 
Madagascar a besoin d'appui dans ses efforts pour atteindre la croissance à deux chiffres dans les années à venir, et améliorer encore plus l'environnement des affaires dans le pays. 
Dans ce cadre, l'EDBM a prévu de mettre en place des bureaux dans cinq régions du pays et au niveau des ministères. 
Ces bureaux se chargeront de fournir toutes les informations et les données utiles sur l'EDBM et ses activités. 
Il s'agit de la première réunion organisée par l'EDBM avec les bureaux pour coordiner l'optimisation de la collaboration des différentes entités. 
L'EDBM est fondé en 2006 sur instructions du président malgache en vue d'attirer les investissements directs, dans le cadre de la stratégie pour le développement du pays. 
Son rôle est d'assurer un climat des affaires attractif pour les entreprises étrangères et privées afin qu'elles investissent davantage à Madagascar. 

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Jeune Afrique 20/10/2007
Les hôtels irréguliers risquent la fermeture - XINHUA 
Des hôtels à Madagascar risquent de fermer leurs portes s'ils n'arrivent pas à régulariser leur situation dans les délais fixés par le gouvernement, rapporte jeudi le quotidien local L'Express. 
Plus de 100 hôtels ont jusqu'ici été contrôlés par le ministère du Tourisme, qui a effectué une inspéction nationale depuis juillet dernier dont le but est d'attirer plus de touristes étrangers. 
Le ministère a découvert que certains hôtels ont exercé le métier sans autorisation d'ouverture et d'autres ont tout simplement été illégaux, a indiqué mercredi le ministre du Tourisme Laporte Ravelonarivo. 
Nombre d'hôtels risquent de fermer s'ils n'arrivent pas à régulariser leur situation à temps, a averti le ministre. 
M. Ravelonarivo a fait savoir que son ministère a accordé un délai à ces hôtels afin qu'ils régularisent leur situation et aussi pour améliorer les conditions d'hygiène et la qualité de service de tous les hôtels concernés dans le pays. 
En tant qu'une des principales destinations touristiques de l'Océan Indien, Madagascar a attiré plus de 350 000 visiteurs étrangers pendant les neuf premiers mois de l'année en cours comparé à quelques 311 800 touristes étrangers reçus pendant la même période de l'année dernière


Tribune 22/10/2007
Sambatra de Mananjary : La circoncision collective chez les Antambahoaka

L’eau sacré pour soigner la plaie. Les Antambahoaka , peuple du sud-est de Madagascar, fêtent tous les sept ans le « sambatra »qui est en trois mots, « le rituel de circoncision collective ». Le rendez-vous bât le plein actuellement et ce, jusqu’à la fin du mois.

La circoncision collective du « sambatra », c’est une occasion qui permet aux garçonnets de devenir des hommes au sein de la communauté.
La cérémonie du « sambatra », dure quatre semaines. C’est une fête qui mobilise des milliers de personnes venues de tout le pays. Pendant la fête, les Antambahoaka explosent totalement. Partout, on entend le « Antsa », ces chants cadencés des femmes, du « Hazolahy », littérallement le tambour sacré et l ’ « Antsiva » ou la conque marine.
Un rituel qui marque la fête
Au début de la cérémonie , on chasse les mauvais esprits dans toute la ville pendant que les pères ornent le faîtage des cases d’une colombe sculptée. De leur côté, les mères s’occupent des tenues rouges des garçonnets et les nattes sur lesquelles ils seront opérés.
Quant aux jeunes, ils vont puiser l’eau , qui servira à laver la plaie des circoncis, à une rivière sacrée . A leur retour, un simulacre de bataille a lieu avec les gens du village qui tentent de renverser leurs calebasses.
Tout le monde se rallie après, pour la grande procession en direction du « Vinany », l’embouchure de la mer avec le fameux « Canal de Pangalanes ».
L’enfant, qui porte un habit et un chapeau en rouge pour l’occasion, est porté au dos par son oncle. A l’issue des rituels, les petits garçons reçoivent la bénédiction des rois et dorénavant ils sont intégrés dans le « Tranobe » (Maison sacrée).

La joie dans tout le village
Les femmes mettant leur « lamba traditionnel » qui va très bien avec leurs cheveux tressées, veillent toute la soirée pour la séance de prière. A Mananjary, la population Antambahoaka profite de ce rituel pour faire la fête dans toute la joie. D’ailleurs, « Sambatra » signifie joie, gaieté et bonheur. Plus d’un millier de jeunes garçons sont circoncis. L’enfant circoncis entre alors dans le monde des adultes et est adopté par la tribu. Cette circoncision collective peut s’étaler sur une période de trois mois et sera placée sous le signe de la joie et de l’allégresse. Pas une larme ne sera versée pour ne pas offenser les dieux. Les festivités se déroulent dans toutes les villes et tous les villages Antambahoaka (Mahela, Tsaravary, Ambohinera, Manakara, Mananjary,...).
Un calendrier agricole traditionnel fixe la date du « Sambatra » et le Roi Antambahoaka détermine les modalités du rite. La circoncision se déroule en principe quinze jours ou deux mois après le début des festivités. La cérémonie aura lieu un vendredi, jour considéré comme faste. Les enfants sont alors placés au-dessus d’un taureau avant la circoncision. Après le rituel, le rhum pourra être partagé entre tous les participants à la fête.
Situation géographique de Mananjary
Posée sur la cote est de Madagascar, à la croisée du canal des Pangalanes et du fleuve Mananjary, la ville du même nom enivre de ses parfums d’épices, ramenant ses visiteurs en des temps lointains où l’homme et la nature ne faisaient qu’un. Cette cité côtière, à 560 kilomètres de la capitale Antananarivo, donne une image très contrastée, avec ses édifices coloniaux et ses ruelles qui balancent entre ombre et lumière.
Ici se regroupe la majorité des Antambahoaka, une des 18 ethnies de la Grande Île. Le royaume antambahoaka aurait été fondé au XIVe siècle par Ravalarivo, souverain vénéré dans la contrée de Masindrano, l’actuelle Mananjary, où il était installé. On l’avait surnommé Ratiambahoaka, « aimé du peuple », d’où le nom donné à ses descendants. Issu d’un brassage séculaire et de multiples migrations, leur ancêtres ont traversé les mers en provenance de l’Indonésie, sans doute après un passage par l’Arabie pour rejoindre la Grande Île vers le Xlle siècle.
Pour l’amour et le respect de la tradition afin de valoriser la culture malgache.
Recueilli par Daddy R. 


Midi Mada 21/10/2007
PIERROT RAJAONARIVELO. Enième sentence pour l’ancien Vice-Premier Ministre (VPM). Procès flash, hier, à Anosy. Plus de 26 milliards détournés par simple note de service - Didi Ratsimbazafy
La cour criminelle ordinaire vient de confirmer l’arrêt du 08 août 2006 infligeant une peine de 15 ans ferme pour le sieur Pierrot Jocelyn Rajaonarivelo. Une sentence qui fait suite à une «déclaration mal fondée» et qui a fait l’objet d’un procès flash, hier, au tribunal criminel. 
«Une note de service ne peut, en aucun cas, abroger une loi ou un décret» souligne le code du marché public. Et pourtant, un tel document lui a permis - avec la complicité de son Conseiller Technique Tahaka Georges José Gabriel et un ressortissant français, du nom de Bonnefoy Georges François – de détourner une valeur de 26 540 507 724 Fmg soit une somme de plus de 5,2 milliards d’ariary. Le système est simple. 
«Avoir en douanes»
A travers une note de service pour «mise en place d’un avoir en douanes», signée par l’ancien VPM et non moins, à l’époque, ministre de l’économie des transitaires et des concessionnaires ont pu bénéficier à partir de cette formule d’une franchise fiscale, autrement dit «zéro taxe». La mesure a surtout concerné la commande de voitures 4X4 entrant dans le cadre des Jeux de la Francophonie en 1997 et avant 2002 les dotations pour les parlementaires. A entendre le réquisitoire du ministère public, les mandataires du marché avaient remis en main propre à Pierrot Rajaonarivelo, les sommes qu’ils devaient verser à la caisse de la Douane. Ce «deal» a permis au trio en question d’acquérir plusieurs véhicules 4X4 dernier cri à l’époque. Sans ignorer les lots de terrain de 16 millions d’ariary chacun et les constructions d’une valeur de plusieurs milliards d’ariary à Ambatobe. Dans le box des plaignants, le ministère public et la Direction Générale des Douanes qualifient ces actions, avec le témoignage de plusieurs spécialistes en fiscalité et en marché public, de détournement de deniers publics au préjudice de l’Etat Malagasy. 
Opposition refusée 
Tahaka Georges qui a fait une opposition, finalement refusée par la cour criminelle, voit confirmer sa peine de 15 ans ferme. La Justice inflige 10 ans ferme et un mandat d’arrêt à l’audience pour le français Georges Bonnefoy qui avait joué le rôle de «panera» entre Pierrot Rajaonarivelo et les concessionnaires et transitaires. Ce qui signifie une fois de plus, une «interdiction d’entrée» sur le sol malgache pour ces condamnés, somme toute, en exil en France. Sur le plan politique, la peine de 15 ans ferme équivaut à un rêve brisé pour l’ancien VPM qui avait pourtant l’ambition de devenir le Numéro Un de l’Etat. Du moins, durant trois mandats…


Les Nouvelles 20/10/2007

Les ministres élus troquent leurs sièges pour ceux de l'Assemblée nationale
Les ministres devenus députés sont suspendus de leur fonction au niveau de l'exécutif. Le chef du Gouvernement, Charles Rabemananjara (photo) a annoncé que ceux qui ne se sont pas portés candidats aux législatives assureront l'intérim. Toutefois, les résultats du remaniement pourront leur donner une chance de récupérer leur fonction et de finalement délaisser leur titre de députés.
Les ministres devenus députés sont suspendus de leur fonction au niveau de l'exécutif. Le chef du Gouvernement a annoncé que ceux qui ne se sont pas portés candidats aux législatives assureront l'intérim.
«Les fonctions du Gouvernement doivent continuer», a annoncé le Premier ministre hier au cours d'une réunion organisée dans les locaux de Mahazoarivo. En effet, les six ministres ont été officiellement élus députés comme la Haute cour constitutionnelle l'a annoncé samedi dernier. Ainsi, ces anciens membres de l'exécutif ne pourront plus assister aux conseils des Ministres et du Gouvernement. 
Quant aux postes qui se trouvent vacants, le locataire de Mahazoarivo a précisé : «Ce seront les ministres qui ne se sont pas portés candidats aux législatives qui assureront la fonction intérimaire des autres ministères». En d'autres termes, les ministres devenus députés sont suspendus de leur fonction au sein du gouvernement. 
Certes, face à ces postes vacants, un remaniement devient une nécessité. Les analystes politiques déclarent que cela devrait se dérouler durant ce week-end, ou dans le courant de la semaine prochaine au plus tard. Pour avoir beaucoup plus de précision sur la date, la question a été posée à Charles Rabemananjara. Toutefois, il n'a pas donné de réponses très claires à ce sujet. 
Toutefois, deux cas peuvent se présenter lorsque le remaniement est effectué. Si ces ministres devenus députés sont reconduits, ils perdent le siège au niveau de la Chambre basse et récupèrent leur fonction dans l'exécutif. Dans le cas contraire, ils confirment leur statut de députés.
Liste des Ministres élus députés lors des élections législatives du 23 septembre :
• Patrick Ramiaramanana, ministre de l'Enérgie 
• Donat OlivierAndriamahafamparany, ministre des Mines 
• Andriamparany Benjamin Radavidson, ministre des Finances et du budget 
• Jean Louis Robinson, ministre de la Santé et du planning familial 
• Koto Bernard, ministre de l'Environnement, des eaux et forêts 
• Yvan Randriasandratriniony, ministre auprès de la Présidence , chargé de la Décentralisation et de l'aménagement du territoire 


Edito Sobika.com 19/10/2007

Comédie protocolaire 
Ah ! Que les inaugurations officielles malgaches sont lourdes et ennuyeuses ! Nous avons assisté à l'ouverture d'un salon très confidentiel au Hilton et une fois de plus l'hymne national a été lancé en préambule à toutes choses ! Mais pourquoi chanter l'hymne national quand on inaugure un salon ou une foire ? Est ce si nécéssaire ? A notre sens, Il devrait être chanté quand il s'agit de célébrer une date nationale ( 26 juin par ex ) ou pour un évènement qui engage la nation dans son ensemble comme une compétition internationale mais pas pour un évènement bien particulier ! Arrêtons d'abuser de l'hymne national à toutes les sauces svp ! Si de plus, vous ajoutez à celà des discours emprunts de protocoles datant de l'ère coloniale avec des " votre excelence, mme l'adjointe à la direction du comité bidule, mr le sous machin du je ne sais pas quoi, chers honorables invités à n'en plus finir" , vous sabotez carrément une ouverture qui doit être dynamique, attractive et partagée ! Arrêtons avec ces protocoles qui virent au ridicule ! On peut être respecteux des personnalités être obligé de nommer "1 à 1" leur titre, gloire et fonction pour le plaisir de flatter leur égo ! Quand est ce que les malgaches cesseront cette comédie protocolaire digne d'un autre âge ? 


Tribune 19/10/2007

Journée du refus de la misère : Réduire de moitié le nombre des pauvres en 2008 -  Alphonse M. 
Plus de 80% des Malgaches vivent encore en dessous du seuil de la pauvreté, selon les spécialistes. Raison pour laquelle, le régime actuel s’attèle à l’amélioration des conditions de vie de l’ensemble de la population. Ainsi, selon le ministre de la Fonction publique, du Travail et des Lois sociales, Jacky Tsiandopy lors de la célébration de la journée mondiale de la lutte contre la pauvreté à Manambaro, dans le district de Fort-Dauphin, le gouvernement malgache a fixé la réduction des pauvres de moitié d’ici l’année prochaine, et ceci conformément aux objectifs du MAP (Madagascar Action Plan). Selon toujours cette projection des dirigeants, la pauvreté sera éradiquée d’ici 2012. Les efforts seront redoublés, a-t-il ajouté, par le biais de la création d’emploi et des activités génératrices de revenus. Dans son département, le ministre Tsiandopy a crée des comités communaux pour la promotion de l’emploi (CCPE) en vue de faciliter l’accès des jeunes à la formation professionnelle ainsi que leur insertion dans la vie active.
Mains-d’oeuvres qualifiée
Dans l’Anosy, 7 communes ont déjà leur comité. Celle de Manambaro a été installée officiellement, mercredi dernier en présence des hautes personnalités dont le coordonnateur du système des Nations Unies, Xavier Leus, le chef de région Anosy Tiaro Gabriel.
L’objectif est de faire de cette région un bassin de main d’œuvre qualifiées. Outre l’agriculture, le secteur construction, la coupe et couture sont concernés. En fait, il s’agit d’une consolidation et d’une formation des métiers de base.
Quant au numéro un de l’ONU à Madagascar, il a tenu à signaler la favorisation de la prise en main de la stratégie de développement humain. L’ONU et le gouvernement malgache travaillent de concert pour que le fléau que constitue la pauvreté disparaît. Visiblement, beaucoup reste à faire...


Xinhuanet.com 18/10/2007

Un Institut de Confucius sera mis en place à Madagascar - (XINHUA)

Un Institut de Conficius sera mis en place à l'Université d'Antananarivo selon un protocole d'accord signé mercredi dans la capitale malgache. 
Cet institut a pour but de renforcer la coopération éducationnelle entre la Chine et Madagascar, d'appuyer et de promouvoir l'enseignement de la langue chinoise dans la grande île, indique l'accord signé par le président de l'Université d'Antananarivo Rajerison Wilson Adolphe et l'Ambassadeur de Chine à Madagascar, Li Shuli. 
Dans son discours prononcé lors de la cérémonie de signature, Rajerison a rappelé que la coopération entre la Chine et Madagascar date de 35 ans et beaucoup de choses ont été réalisées sur divers plans. 
"Dans le domaine de l'université, nous allons entamer cette coopération avec la création de l'Institut Confucius", a-t-il déclaré. 
Il a exprimé son souhait que la coopération avec la Chine soit élargie petit à petit dans les années à venir. 
Li Shuli a affirmé que cet accord est fortement significatif puisqu'il inaugure un nouveau secteur de la coopération culturelle et éducative substantielle entre la Chine et Madagascar. 
Il a expliqué que c'est un organisme éducatif non lucratif, qui a été créé dans le but de faire connaître la langue et la culture chinoises dans le monde, pour catalyser ses relations amicales avec les autres pays, et défendre la diversité culturelle mondiale. 
Actuellement, plus de 170 Instituts de Confucius ont déjà été inaugurés dans une cinquantaine de pays. 
Fondé en 1965, l'Université public d'Antananarivo est la plus grande université dans le pays. 
Avec un personnel enseignant de plus de 600, l'université compte actuellement plus de 20 000 étudiants, dont environ 100 étudiants venus de pays africains sont répartis dans 4 facultés et 3 écoles supérieures.


Les Nouvelles 22/10/2007

Les ministres « élus » de la santé et de l'environnement en ballottage défavorable
Fortement secoués par le président Marc Ravalomanana au cours de son émission hebdomadaire du dimanche soir sur la RNM , les ministres de la Santé et de l'Environnement voient leur avenir au sein du prochain gouvernement remanié se ternir. En cause, des projets environnementaux balayés par la Banque mondiale, et des dépenses jugées « futiles » en ce qui concerne la lutte contre le Sida.
Des indications ont été données sur la composition du prochain nouveau gouvernement. Certains des ministres élus députés risquent de ne plus être reconduits.
La première cible de la non reconduction pourrait bien être le ministre de l'Environnement, des eaux et forêts, Bernard Koto. En effet, le chef de l'Etat a formulé une critique qui n'est pas négligeable hier au cours de son discours hebdomadaire diffusée à la radio nationale. 16 projets ont été rejetés par la Banque mondiale et ne recevront donc pas de financement. Si l'on considère les propos du président Ravalomanana, ce rejet pourrait s'expliquer par le trafic de bois précieux qui s'est développé durant une certaine période. Une critique qui vaut pour le ministre une confirmation de la place à la Chambre basse, et une perte de sa fonction actuelle. 
Par la même occasion, le chef de l'Etat a fait quelques mentions concernant le fonds affecté à la lutte contre le Sida. Une partie de la somme affectée à ce domaine a été utilisée à d'autres fins, qu'on qualifierait de dépenses futiles. «Le budget affecté à la lutte contre le Sida est largement suffisant. Une grande partie de cette somme a été cependant utilisée à d'autres fins». Cela pourrait constituer un motif écartant l'idée d'une reconduction au sein du gouvernement. Dans tous les cas, le siège de député est assuré dans le cas où le retour au niveau de l'exécutif n'est plus possible. 
Six ministres sont élus députés. Selon les remarques précédentes, deux ministres ne seront plus maintenus à leur fonction de ministre et seront tenus de porter le titre de député. Le sort de ces quatre anciens membres du gouvernement n'est pas encore connu. 
Cependant, certains de ces ministres pourraient être reconduits à leur fonction. Le cas est probable pour le ministre de l'Energie. Certes, tous les ministères s'efforcent d'assumer au mieux leurs responsabilités. Mais pour résoudre le problème de la Jirama , beaucoup d'efforts restent encore à faire. Un autre central thermique a été inauguré samedi dernier à Antsiranana, en présence du chef du gouvernement et des bailleurs de fonds. Une grande preuve marquant l'évolution de cette société à la veille du remaniement. 
Manohisoa

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