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Les News du monde en permanence L'actu internationale en temps réel

Raharaha Zaraniaina.... ;  Cacao de Mada... ;  Rassembleurs et Dynamiques... ;  Savoir vivre sur le web...  ;  200 Milliards pour le secteur public... ;  Air mad renforce sa flotte... ;

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Lire plus bas)

Sommaire Madavôvô: 11 Janvier  2008

BigNews: Madagascar: Les quadruplés trouvent une marraine ... 

L'Edito: « Le Parfum... un tourbillon de séduction dans une valse de sensualité ! »

1. Le salaire minimum d’embauche à 70 000 Ariary (midi)

2. Immobilier : Une nouvelle loi pour les sociétés étrangères (tribune)

3. Commune – JIRAMA : Le black out évité de peu (nouvelles)

4. Gouvernement :Des femmes ministrables ! (midi)

5. Commune d'Antananarivo : Plusieurs quartiers sans eau ni éclairage (nouvelles)

6. Conseil du gouvernement : Six chefs de région limogés  (express)

*. No Comment.... No Comment...             ... Lire la 2ème Page de MadaVôvô    (... )   Cliquez ici >>

7. Les maires, dont 10 femmes, promettent de faire de leur mieux. (moov)

8. Madagascar: Les quadruplés trouvent une marraine (allAfrica)

9. Rêver d'un gosse star de foot (nouvelles)

10. Pension : Les retraités pas forcément heureux (nouvelles)

11. Madagascar: Lôlô sy ny tariny prépare un album (allAfrica)

12. Des quadruplés à la maternité de Befelatanana (midi )

13. Langues : « L'année des langues » (nouvelles)

                                                               ... Le précédent MadaVôvô   05 jan 2008  >>

11/01/2008

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.621.56 Ar 
USD 1.785.34 Ar 
GBP 3.507.21 Ar 
CHF 1.604.73 Ar 
JPY 16.31 Ar 
ZAR 261.95 Ar 
HKD 228.71 Ar 
Date Eur/Ar Date Eur/Ar
31/12 2603 30/11 2607
07/05/07 2472 28/05/06 2771

(Revues de presse plus bas !!! ... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


 

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allAfrica 10/01/2008

Madagascar: Les quadruplés trouvent une marraine -

Mialy Rajoelina, l'épouse du maire d'Antananarivo, a rendu visite, hier, aux quadruplés nés le 5 janvier, à la maternité de Befelatanana. Elle a promis de prendre en charge l'alimentation de Nancy, Nathanaëlle, Joany et Jeremia ainsi que de leur maman.
Cette bonne nouvelle a ravi la petite famille de Parfait Randrianasolo et Veromanitra Raharimalala. Celle-ci, qui vient juste de sortir de quatre jours d'état d'inconscience, a pu émettre quelques mots de remerciements.

Très touchée par la naissance des quadruplés, l'épouse du maire de la Capitale leur a aussi offert des vêtements et cinq paquets de couches. « Je prie le ciel pour que Veromanitra et ses enfants soient en bonne santé car il 

n'est pas facile d'élever quatre enfants » s'émeut-elle. L'arrivée de ces premiers dons, d'une valeur d'Ar 450 000 s'accompagne d'une promesse d'aide aux parents. La mère et les bébés ont été inscrits dans une association de planning familial. « Les nourrissons sont vigoureux malgré leurs poids qui tournent autour de 1 500 g », indique le médecin-chef Jean Pierre Rakotovao, de la maternité de Befelatanana. ... suite  Cliquez ici >>

MADAGASCAR EN IMAGE            extraits de Madamaki.com / Voyage-bons-plans.com / ahaona-madagascar.com


*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


« Le Parfum... un tourbillon de séduction dans une valse de sensualité !  »

     Tout d'abord je vous souhaite Bonne Année 2008, arahaba tratrin'ny taona , Happy New Year, Buon Anno, ... et un voyage olfactif pour parfumer cette nouvelle année 2008.

       Le cinéaste  a eu du nez, l'adaptation tant attendue du sublime roman de Patrick Süskind par le réalisateur du film "Le Parfum" traduit bien le monde olfactif .

       Dans la France du XVIIIème siècle naît Jean-Baptiste Grenouille, un homme à l'odorat 

Bonne Année 2008

 si fin et développé que sa perception du monde est olfactive. Son unique désir est simple : capturer les plus belles odeurs du monde afin de fabriquer le parfum ultime. Mais la plus belle des odeurs est celle du corps d'une femme et Jean-Baptiste est prêt à tout pour se l'approprier... 

    Pour ce voyage olfactif, j’ai choisi de ne pas trop m’attarder sur les innombrables lancements de senteurs mode ou marketing – dits « classiques et intemporels », que j’apprécie aussi pour certains, préférant vous faire découvrir des parfums exclusifs créés en toute liberté par les plus grands « nez » de l’industrie … des « Senteurs d’Ailleurs ».  

     Le parfum, qu’est-ce que c’est ?
     Le parfum, sous sa forme concentrée, est un liquide, mais ce qui le distingue des autres liquides, c’est que lorsqu’il s’évapore, lorsqu’il est diffusé, lorsqu’il est appliqué sur la peau, il devient une fragrance, c’est-à-dire un bouquet d’odeurs les plus agréables. 
     Le parfum a donc une certaine matérialité, puisque c’est un liquide, mais sa véritable nature, la fragrance, est absolument immatérielle : impossible à saisir, ou même à voir, la fragrance n’est repérable que par le sens olfactif, ou autrement dit, l’odorat.     

   Le flacon joue ainsi un rôle essentiel pour la représentation matérielle du parfum : c'est le flacon qui donne une forme au parfum, une personnalité physique bien distincte. La publicité représente donc le parfum d’une manière métonymique, en mettant en valeur sa forme 

matérielle, le flacon (phore) et afin de la substituer à la fragrance immatérielle.    

    Un parfum se porte, comme un vêtement : le matin, en s’observant face au miroir, ou le soir, avant de se rendre chez des amis, un homme, une femme peut se demander : quel parfum vais-je pouvoir porter ?

  Un parfum nous accompagne, nous étreint, nous habite … C’est un miroir de la personnalité, reflétant ce que l’on est …. On s’imagine de telle ou telle façon ... On veut se montrer différent ou soi 

même ... C’est une signature olfactive … Sans parfum, on ressent une sensation de nudité …

      Chaque parfum raconte une histoire et réveille en chacun de  

... Le Dossier Cliquez-ici  

nous des souvenirs cachés. C’est aussi le reflet d’une époque, de l’humeur du moment … On peut « s’imprégner » d’un parfum précis selon son habillement, l’heure de la journée ou de la nuit, le climat, son état d’esprit …  ... Lire la suite Cliquez-ici 

                   Marie-Hélène Rabefaniraka Courroy de Bordeaux

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Baby a  répondu à notre appel  pour publier des Edito maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.Merci d'avance!       ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>              ... Lister  tous les Editos                    Les infos sportives du monde en permanence  >>


Midi Mada 11/01/2008

Secteur privé. Après de longues heures de débats, patronat et syndicat des travailleurs ont fini par trouver un consensus. Le salaire minimum d’embauche à 70 000 Ariary
Après de longues discussions hier au siège du GEM (Groupement des Entreprises de Madagascar) à Ambohijatovo sur le sujet de la hausse de salaire, le patronat et le syndicat des travailleurs ont fini par trouver un consensus. En effet, les deux parties ont décidé d’appliquer une hausse de 10,16% sur le salaire des employés du secteur privé tandis que cette augmentation sera de 10% pour les fonctionnaires. Une révision qui ramène le salaire minimum d’embauche dans le privé à 70 000 Ariary (350 000 Fmg) net, si ce chiffre était de 63 142 Ariary soit 315 714 Fmg. 
Que ce soit le patronat ou le syndicat, chacun défendait sa position. Le premier proposait une révision à la hausse de 9%, le second voulait faire appliquer une augmentation du salaire minimum de 12%. Le patronat avant d’accepter les 10,16% a longuement réfléchi et a mis du temps pour délibérer. Mais le syndicat des travailleurs ne s’est pas contenté de ce consensus. Les syndicalistes ont demandé à ce que les deux parties reviennent à la table des négociations d’ici le mois de mai ou juin pour démarrer les discussions sur la hausse des salaires à appliquer en 2009 et ce sera en fonction des indicateurs économiques de l’époque. Ceci, expliquent-t-ils, pour rattraper les écarts entre la réalité économique et la situation des travailleurs.
Mal en point
Les responsables d’entreprises n’ont pas manqué l’occasion pour faire part de leur situation. En effet, le patronat dresse un tableau noir de la situation des sociétés privées. «Les promoteurs sont très mal en point en ce moment», lâchent-ils. La situation est d’autant plus grave pour les entreprises franches. La hausse trop importante du coût de l’énergie ; Madagascar étant le pays où l’électricité est la plus chère ; la flambée des prix du carburant, et la fluctuation de l’Ariary, sont, entre autres, les problèmes auxquels font face les promoteurs. Les exportateurs malgaches sont de loin distancés par ceux des autres pays, apprend-on de certains membres du syndicat. La situation est plus qu’insupportable, devait déclarer un responsable de groupement. 
Mais du côté des salariés, il faut oser le dire, on ne peut pas aller loin avec ce Smig de 70 000 Ariary, qui équivaut à un sac de riz. Faut-il noter que ces derniers subissent également la hausse du coût de l’énergie et sont frappés de plein fouet par l’inflation. Sans parler du prix du loyer ou d’autres services sociaux. Faut-il en effet rappeler qu’au moindre mouvement des prix des produits pétroliers, tous les autres secteurs d’activités connaissement également un renchérissement des coûts. Alors, les salariés trouvent la négociation prévue au mois de juin justifiée. 
Didier Rambelo


Communication aplus  11/01/2008

LE RENDEZ-VOUS DES ENTREPRISES

La Chambre de Commerce et d’Industrie d’Antananarivo vous convie
le mardi 15 Janvier 2008 à 9h00
à participer au rendez-vous des entreprises
au 20 rue Henry Razanatseheno - Antaninarenina

Thème : Concevoir et gérer le développement de votre entreprise
Invité : Jaona RAVALOSON, Analyste Financier (Paris)
Modérateur : Njaka Rajaonarison, Chef de service BIPAF – CCIAA

Les places étant limitées, nous vous conseillons de confirmer votre présence    au 20 22 202 11      ou E-mail bipaf@tana-cciaa.org

 

LES VENDREDIS DU CDE n° 25

Vous  êtes  cordialement  convié à  participer  aux  réflexions  du   Club Développement et Ethique

qui  se  tiendra  à la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Antananarivo

20 rue Henry Razanatseheno - Antaninarenina

le mardi    15 janvier 2007   à  16h  30mn (exceptionnellement mardi)

Thème                   Investissement direct et système financier international

Intervenant               Jaona RAVALOSON, Analyste Financier (Paris)

Modérateur            Serge Radert, Secrétaire Général du CDE

Les places étant limitées, nous vous conseillons de confirmer votre présence au 032 05 01 887      ou E-mail aplus@moov.mg


Tribune 10/01/2008
Immobilier : Une nouvelle loi pour les sociétés étrangères
Bientôt le prix de l’immobilier dans la capitale et partout dans la Grande île connaîtra un véritable renversement de situation.
Toute entreprise de droit malgache et même des sociétés gérées par des étrangers, ont pleinement le droit d’acheter un bien immobilier d’ici peu. Si ces entreprises d’investissement direct étranger s’étaient auparavant contentées d’une location auprès des nationaux pour les terrains déjà titrés et immeubles ou d’un simple bail. Après des décennies de débat, l’Etat a enfin cédé en matière d’acquisition foncière et il sera désormais possible pour ces sociétés d’avoir leur propre lotissement. En effet, la loi sur les investissements qui vient d’être votée par le Sénat, mais qui devra encore passer devant l’Assemblée nationale, autorise cette pratique.
Quoique les conditions d’implantation des sociétés à Madagascar étaient plus accessibles, le contexte foncier, quant à lui, avait toujours fait hésiter de nombreux opérateurs à s’investir pour améliorer l’environnement d’implantation des sociétés d’investissement direct étranger dans le pays. Cette autorisation d’acquisition foncière sera ainsi délivrée par l’EDBM agissant pour le compte du Ministère chargé des Domaines. Une fois l’autorisation obtenue, l’entreprise peut librement céder ou transférer son bien.
Toutefois, deux conditions doivent être remplies par ces sociétés pour que l’Etat puisse leur autoriser un tel achat de terrain ou d’immeuble. « Les biens immobiliers doivent être affectés exclusivement et de façon continue à l’exercice d’une activité commerciale notamment industrielle, touristique ou de service ou d’une activité agricole ou halieutique. L’activité commerciale ne peut consister dans l’acquisition de l’immeuble en vue de sa revente, en l’état ou après réalisation d’aménagements ou de constructions ». Ainsi, les actes d’achat-revente de terrain ou de spéculations immobilières sont interdites pour ces entreprises.
Mais en cas d’absence de réalisation du projet d’investissement dans un délai de 6 mois, à compter de la date d’émission du titre de propriété, l’Etat se réserve le droit de retirer l’autorisation.
Recueilli par Ax’s 


Les Nouvelles 08/01/2008

COMMUNE – JIRAMA : Le black out évité de peu 
Après le dialogue, hier, entre la Jirama et le premier responsable de la commune d'Antananarivo, la ville ne sombrera plus dans le noir et l'eau coulera à nouveau des bornes-fontaines. Par ailleurs, « la Jirama doit encore de l'argent à la commune, fruit des surtaxes communales et des droits de circulation » dixit Andry Rajoelina… 
Antananarivo ne sombrera plus dans le black-out et l'eau coulera à nouveau des bornes-fontaines. D'ailleurs, ces dernières ont été fonctionnelles dès hier après-midi. C'est aussi le cas des éclairages publics et des lumières dans les établissements de la commune et les écoles primaires publiques. C'est le fruit du dialogue entre les responsables de la Jirama et le maire d'Antananarivo. 
Désormais, à partir de ce mois de janvier, la commune s'engagera à payer régulièrement les factures de la Jirama. En contrepartie, la Jirama s'engagera à faire des rapprochements systématiques pour les compensations telles les surtaxes de la commune, prélevées sur les factures des usagers de la Jirama d'Antananarivo, ou encore les droits de circulation de ses camions. 
«Le fait qu'il y a eu des coupures de l'électricité et des bornes-fontaines était tout simplement le fruit d'un malentendu, d'une communication qui ne passait pas» selon le maire. En effet, d'après les comptes, la Jirama doit plus de 6 milliards d'ariary à la commune. La commune de son côté ne doit que 6 milliards à la Jirama , à raison de 3 milliards d'ariary par an depuis 2006. Par conséquent, c'est donc la Jirama qui devra payer la commune et non l'inverse. 
Ces chiffres sont en cours de vérification au sein de la commune et le solde exact sera connu avant la fin de cette semaine. 
Réduire la consommation à 30% 
À long terme, Antananarivo envisage de réduire sa consommation d'électricité de 30% en utilisant des ampoules économiques. Cela permettra d'ajouter de nouveaux poteaux et d'installer des bornes-fontaines pour les quartiers les plus démunis. 
La commune est actuellement en train d'étudier la gratuité des bornes-fontaines. Actuellement, les usagers payent 500 ariary par mois, une somme surtout allouée à l'entretien et au salaire des gardiens. 
La mairie vérifiera aussi les raccordements sauvages, tant pour l'électricité que pour l'eau. Plusieurs cas sont en effet déjà décelés, mais il en reste encore bien d'autres. Le défi est de démembrer ce réseau en 10 mois au plus tard. 
Le maire Andry Rajoelina, pour sa part, n'exclut pas le fait qu'on lui mette des bâtons dans les roues. Et ce, au sein même de sa commune ou en dehors. Toutefois, le maire reste positif et croit en la transparence de ses actes.
Faly Rajaonarison 


Midi Mada 09/01/2008
GOUVERNEMENT. Plusieurs indices prêtent à penser que les représentantes du sexe faible pourraient faire une entrée en force dans l’équipe gouvernementale. Des femmes ministrables !
« Que les hommes et les femmes se trouvent au même niveau pour qu’on puisse donner à ces dernières les places qu’elles méritent ». C’est ce qu’a déclaré le Président Marc Ravalomanana à l’issue des discours de Rabearisoa Annick Hantanirina et de Raheliarisoa Samueline qui furent respectivement les porte-paroles des 1547 maires et des 22 Régions. C’était lors de la cérémonie de présentation de vœux au Président de la République qui a été agréablement surpris par la double intervention de la mairesse de Bongatsara et du chef de Région Sud-Ouest.
3 femmes 
C’est dire que l’abrogation deux jours après, des nominations de deux éléments féminins les plus en vue parmi les chefs de Région, a tout aussi surpris les observateurs qui se perdent en conjectures et supputations. Notamment celle qui consiste à dire que Hanta Rabetaliana – malgré l’absence de fanion de la Région Haute Matsiatra à Iavoloha - et Moana Esa Raseta pourraient être appelées à d’autres fonctions. Déjà que lors du dernier remaniement gouvernemental, leurs noms avaient circulé avec insistance dans les salons. Qui plus est, le Chef de l’Etat n’a jamais caché son souhait de voir davantage de femmes siéger dans le gouvernement qui ne compte actuellement que 3 descendantes d’Eve. Contre 16 représentants du sexe fort. En somme, la parité hommes – femmes est loin d’être atteinte. Le prochain remaniement sera probablement l’occasion de contrebalancer un tant soit peu le déséquilibre entre les deux genres.
Ministrables 
D’autres « limogés » durant le conseil des ministres du week-end sont également considérés comme des ministrables potentiels, pour ne citer que l’ancien DG de la Police nationale, Jacky Rahaingo. Un moment pressenti pour être le DG du Central Intelligence Service (CIS). C’est dire le capital confiance du chef de l’Etat à son endroit. A la mesure même du traitement particulier – notamment en termes de salaires et indemnités – dont bénéficie la Police nationale par rapport à l’Armée et à la Gendarmerie.
Elections 
L’effectif du gouvernement ne pouvant être pléthorique, ne serait-ce que pour des raisons budgétaires et organisationnelles, des ministres actuels vont devoir céder leurs places. Et ce, compte tenu de leurs performances ou plutôt contre-performances tant au niveau de leurs départements respectifs que dans le coaching des Régions dont ils avaient la charge durant les dernières élections communales ou à la limite, pendant les prochaines régionales et sénatoriales. L’obligation de résultats passant également par la voie des urnes qui ne saurait être TIMorée.
R. O


Les Nouvelles 07/01/2008

COMMUNE D'ANTANANARIVO : Plusieurs quartiers sans eau ni éclairage - Faly Rajaonarison
Les quartiers d'Anosy, Mahamasina, Andrefan'Ambohijanahary, Isotry, 67ha et bien d'autres encore sont actuellement dépourvus d'éclairages publics et privés de points d'eaux. Cela fait suite aux menaces de coupure de la Jirama auprès de la commune d'Antananarivo car cette dernière n'a pas honoré des factures de 2 ans s'élevant à 3,3 milliards d'intérêts. D'autant plus que la Jirama procèdera à des coupures progressives. Antananarivo sombrera-t-elle dans le black-out total ?

Les bâtiments de la commune d'Antananarivo dans les quartiers d'Isotry, de 67ha, d'Anosy, de Mahamasina, d'Andrefan'Ambohijanahary et de bien d'autres sont actuellement dans le noir et dépourvus d'eau. La Jirama a en effet exécuté sa menace de coupure depuis quelques jours.
C'est l'insécurité qui risque de s'accroître à tout moment avec ce black-out. D'autant plus que la Jirama a annoncé qu'il procéderait à ces coupures progressivement. 
Du côté d'Andrefan'Ambohijanahary, par exemple, les usagers paient généralement 10 ariary le seau dans les pompes publiques. Mais actuellement, ces derniers sont obligés de le payer à 100 ariary, juste à côté, c'est-à-dire, auprès d'une douche publique. Sans parler des heures perdues dans les files d'attente : certains vont même jusqu'à Anosibe, rien que pour éviter ce désagrément. Des mécontentements commencent également à se sentir mais heureusement, les débordements sont encore évités.
3,3 milliards d'ariary d'impayés
La commune d'Antananarivo a grand besoin de solution immédiate pour faire face à ces coupures des éclairages et des pompes publiques. En effet, des factures de la Jirama depuis 2006, s'élevant à 3,3 milliards d'ariary n'ont pas encore été honorées. 
Dès aujourd'hui, le premier responsable de cette commune discutera des priorités auprès des responsables de la Jirama , pour rétablir ces besoins du petit peuple. En effet, «il n'y avait pas eu de dialogue ni au moins une lettre de sommation de la part de la Jirama , avant ces coupures» dixit le nouveau maire. D'autant plus que la Jirama doit également quelques factures à la commune comme les droits de circuler et les surtaxes communales. En réalité, la Jirama devait en 2006, 306 millions d'ariary à la commune d'Antananarivo et environ 411 millions d'ariary en 2007. 
Malheureusement, la caisse de la ville est plus que vide et actuellement, cette entité n'arrivera même pas à couvrir le quart de cette dette. Pourtant, cette somme était bel et bien disponible l'année dernière mais apparemment, payer 

n'était pas encore une priorité. 
Jusqu'à maintenant, les responsables de cette commune sont encore en phase de passation de dossier. Ce qui fait que les nouveaux responsables sont donc encore en train de procéder aux arrêtés des comptes. Cela ne veut toutefois pas dire qu'il n'y a pas de continuité dans les affaires en cours. Néanmoins, des solutions dans l'immédiat s'imposent car nul ne sait ce que demain nous réservera.


Express Mada 07/01/2008

Conseil du gouvernement : Six chefs de région limogés - Iloniaina Alain 
Six chefs de région dont celui d’Analamanga, Pierre Manganirina Randrianarisoa, ont été limogés. Une décision qui est plus ou moins liée aux mauvais résultats aux communales du Tim dans ces régions.
La vague des élections législatives du 23 septembre et des communales du 12 décembre 2007 emporte avec elle six chefs de région. Le gouvernement souhaite ainsi prévenir que guérir, avant d’attaquer les régionales et les sénatoriales. 
Six des 22 chefs de région ont été limogés d’un seul coup lors du conseil des ministres du 5 janvier à Ambohitsorohitra. Il s’agit des chefs de région d’Analamanga, Manganirina Randrianarisoa, d’Anosy, Gabriel Tiaro, de la Haute Matsiatra, Hanta Rabetalianina, et de la Sava, Moana Essa Raseta. Paulin, chef de région d’Analanjirofo et Richard Reddeck Rafaralahy, de la Sofia, complètent le tableau. 
Le communiqué du conseil des ministres ne précise pas les motifs de l’éviction. Yvan Randriasandratriniony, ministre de la Décentralisation et de l’aménagement du territoire, également président du Tiako i Madagasikara (Tim), était injoignable, hier. 
Mais les régions touchées ont un point commun : quelques déroutes marquantes du Tim aux législatives et aux communales. C’est le cas de Tolagnaro, où Gabriel Tiaro a fait les frais de la défaite de l’ancien vice-ministre Alin Ramilison, de Mananara avaratra, où la défaite du Tim devant l’opposant Boniface Zakahely a sacrifié Paulin. Une série de défaites dans la Sofia, face aux indépendants, a éjecté de son siège Richard Reddeck Rafaralahy. 
Avenir incertain 
Le cas de Manganirina Randrianarisoa, chef de région de l’Analamanga est le plus patent. Ce dernier paie les pots cassés de la débâcle de Hery Rafalimanana, candidat du Tim dans la Capitale réputée bastion du régime, aux municipales. Son dérapage verbal de déclaration de guerre, lors du faradoboka des municipales à Mahamasina, trahit la panique dans le camp du pouvoir. 
La série de limogeages correspond à la culture de résultats imposée par le président Ravalomanana. Et le discours du pasteur Lala Rasendrahasina, président du Conseil œcuménique des églises chrétiennes (FFKM), vendredi à Iavoloha, s’apparente à une préparation psychologique dans ce sens. Il a évoqué la nécessité de «couper les branches des vignes improductives», lors de la cérémonie de présentation des vœux des corps constitués.
En effet, le rôle politique des chefs de région s’accroît au fil du temps. Outre leur mission économique, ils deviennent, dans la pratique, une courroie de transmission par excellence entre le Tim et sa base. Ils proposent, par exemple, les noms des candidats du parti aux élections du bureau politique. Ils ont également une responsabilité politique tacite de faire élire les candidats du parti présidentiel. 
Le départ en série des premiers responsables régionaux relance la question du remaniement gouvernemental. Les ministres, coaches des régions, ont une part de responsabilité partagée avec les chefs de région, lors des élections. Ils y travaillent en étroite collaboration. 
Encadré : Quatre chefs de régions rescapés
En 2004, la nomination a été précédée d’une sélection de dossiers suivie d’entretien. Le gouvernement avait fait un tam-tam médiatique autour du tri. Il avait même mis en place un contrat de deux ans, assorti d’un essai de six mois. Ce qui ne semble plus le cas actuellement. 
Sur les 22 régions désignées en septembre 2004, seuls quatre chefs de région échappent encore à la valse des limogeages. Il s’agit de Jean Claude Rabarijaona, chef de région du Bongolova, de Fernand Jeannot de Betsiboka et les deux autres, Robinson David Alexandre, de l’Alaotra Mangoro, et Lanto Rabenatoandro du Vakinankaratra. 
Pour ce qui est de la dernière série d’évictions, le gouvernement a déjà trouvé des remplaçants à trois chefs de région. Reddeck Richard Rafaralahy et Gabriel Tiaro laissent leurs places aux colonels André Randriamanesy et Roland Randriamampionona. Hanta Rabetalianina est relayée par Jean de la Croix Rabemanana.


 

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moov.mg 11/01/2008
"Nous ne decevrons pas nos électeurs et le pouvoir central", dixit les maires 

Investiture des maires issus d'Antananarivo Renivohitra, d'Ankazobe, d'Ambohidratrimo, d'Andramasina, d'Anjozorobe et de Manjakandriana à Ankorondrano jeudi matin. "La place de maire n'est pas une place d'honneur mais de travail", selon Ranjeva Marcel, ministre coach de la région Analamanga. 

134 maires issus des districts d'Antananarivo Renivohitra, d'Ankazobe, d'Ambohidratrimo, d'Andramasina et d'Anjozorobe se sont vus remettre leurs écharpes de maires par la région Analamanga. L'occasion aussi de présenter au public le nouveau chef de région en la personne de Fidy Ratsimbazafy. 
"La priorité sera les élections régionales et sénatoriales de mars et avril", a-t-il déclaré à Moov. 
Le ministre Ranjeva Marcel ainsi que le président du Sénat Rajemison Rakotomaharo, ont quant à eux, axé leurs discours sur les responsabilités de ces nouveaux élus. 
"Montrez que vous êtes capables de développer vos communes respectives. Et que la région Analamanga sera toujours la première en matière de développement", a annoncé le ministre des affaires étrangères Marcel Ranjeva. 
"Vos responsabilités sont les plus importantes, car les communes que vous dirigez sont les leviers du développement", a ajouté Rajemison Rakotomaharo de la Chambre Haute. 
Les maires, dont 10 femmes, promettent de faire de leur mieux. 
"Nous n'allons pas décevoir la région Analamanga et nos électeurs", a déclaré le maire d'Ambohitrimanjaka, doyenne des 134 maires. 

Présentation du nouveau chef de région Analamanga par le ministre Ranjeva Marcel  © DTS

En ce qui concerne la mairie d'Antananarivo, l'organigramme du staff de Tsimbazaza sera présenté pour approbation au conseil municipal de Mahamasina vendredi. Le ballet diplomatique quant à lui continue. Andry Rajoelina a reçu le consul de Thaïlande en son bureau à Tsimbazaza dans l’après-midi du Jeudi. 
Solofo Andrianjakarivelo © DTS 


allAfrica 10/01/2008
Madagascar: Les quadruplés trouvent une marraine - L'Express de Madagascar - Noro Haingo Rakotoseheno
Mialy Rajoelina, l'épouse du maire d'Antananarivo, a rendu visite, hier, aux quadruplés nés le 5 janvier, à la maternité de Befelatanana. Elle a promis de prendre en charge l'alimentation de Nancy, Nathanaëlle, Joany et Jeremia ainsi que de leur maman.
Cette bonne nouvelle a ravi la petite famille de Parfait Randrianasolo et Veromanitra Raharimalala. Celle-ci, qui vient juste de sortir de quatre jours d'état d'inconscience, a pu émettre quelques mots de remerciements.
Très touchée par la naissance des quadruplés, l'épouse du maire de la Capitale leur a aussi offert des vêtements et cinq paquets de couches. « Je prie le ciel pour que Veromanitra et ses enfants soient en bonne santé car il n'est pas facile d'élever quatre enfants » s'émeut-elle. L'arrivée de ces premiers dons, d'une valeur d'Ar 450 000 s'accompagne d'une promesse d'aide aux parents.
La mère et les bébés ont été inscrits dans une association de planning familial. « Les nourrissons sont vigoureux malgré leurs poids qui tournent autour de 1 500 g », indique le médecin-chef Jean Pierre Rakotovao, de la maternité de Befelatanana.


Les Nouvelles 11/01/2008
Rêver d'un gosse star de foot
Ima Faneva Andriatsima, Paulin Voavy, Abel Anicet, Kassa Voavy et dernièrement Lalaina Nomenjanahary en France, Pamphile Rabefitia, Jean Bruthon, Brunly, Pascal Randrianantenaina à La Réunion et aux Seychelles, ce sont autant de jeunes footballeurs qui ont quitté le pays pour évoluer sous d'autres cieux pour améliorer la pratique du ballon rond, et surtout leurs conditions sociale et économique. 
Depuis quelques années, jouer dans une équipe étrangère, mauricienne, réunionnaise et surtout française est devenu un prestige tant désiré par les footballeurs que par leurs parents. Pour ces derniers, avoir un enfant qui évolue dans une équipe d'«Andafy» est synonyme de réussite dans la carrière sportive. Il va sans dire que le gain de ces expatriés en monnaie étrangère, incomparablement plus valeureuse que celle de Madagascar, devient une petite fortune qui fait la joie de toute la famille, une fois converti. Les parents peuvent se targuer d'avoir un fils footballeur payé autant qu'un ministre. Que demander de mieux ? 
Cette migration sportive est devenue une référence pour tous les autres footballeurs, ainsi que les jeunes qui pratiquent ce sport. Jadis, un enfant mordu de foot fait référence à un footballeur de l'équipe nationale quand on lui demande sa référence. Mais aujourd'hui, cette réponse ne fait plus mention d'une vedette locale, mais plutôt d'as mondiaux à laquelle s'ajoute le souhait de partir plus tard à l'étranger pour y jouer au foot. 
Les parents, se rendant compte que le sport, en l'occurrence le foot, peut être un chemin vers la «réussite», se joignent à cette aspiration de leur progéniture en l'engageant dans cette voie, sans consulter au préalable l'avis du concerné. Ce dernier, appâté plus par le gain que par la passion du foot, et de plus désireux de satisfaire les vœux de ses parents, accepte de bon cœur. Les parents de leur côté, impatients de voir leur rejeton «footballeur» à la télé et dans les journaux, se précipitent pour le doter des équipements nécessaires en foot sans broncher. 
Mais une fois dans le bain, l'enfant commence à se rendre compte que le chemin est long et difficile. Il s'aperçoit que les contraintes des entraînements, de la ponctualité et surtout de l'entrain ne sont pas faciles à gérer, et qu'il faut la volonté, la passion, l'énergie et le talent pour évoluer en football. En plus, le sens du sacrifice, de la persévérance et de la discipline qu'il faut acquérir, s'ajoute comme ingrédient essentiel à ces qualités sine qua non pour la réussite dans ce domaine. D'après le dirigeant de l'une des écoles de foot les plus en vue, la raison du désistement des 15 % des joueurs en cours de formation est le manquement à ces conditions. 
Rêver d'avoir un enfant star de foot est permis à tout le monde. Mais mettre en pratique les moyens d'y parvenir constitue une autre paire de manches qui est tributaire du bon vouloir et du pouvoir de l'enfant. En tout cas, il n'est pas donné à tous ceux qui le veulent de devenir une virtuose du foot. 
Rivo Steph 


Les Nouvelles 09/01/2008

PENSION : Les retraités pas forcément heureux 
La déclaration du président Marc Ravalomanana concernant la révision de la situation des retraités n'a pas du tout réjoui les retraités tant dans le secteur public que privé. Leurs commentaires divergent car ils espèrent être traités d'une manière plus humaine et voir le montant de leur pension augmenter face à la hausse du coût de la vie. Du côté de la Cnaps , des ressources sont disponibles en cas d'augmentation de la pension dont le montant alloué aux affiliés varie actuellement entre 100.000 et 1.300.000 ariary. 
L'augmentation de la pension des retraités, promise par le président Marc Ravalomanana a suscité des commentaires de la part des bénéficiaires tant dans le secteur public que privé. La Caisse nationale de prévoyance sociale (Cnaps), quant à elle, dispose des ressources nécessaires à l'augmentation. 
«Nous sommes très impressionnés par cette déclaration, mais à qui profite cette considération du chef de l'Etat ? D'après les rumeurs qui circulent, cette révision touche notamment les agents de l'Etat mais pas les retraités affiliés à la Cnaps », selon un membre de l'association des retraités de la Cnaps (FMRA-Cnaps). Pour l'association des personnes âgées regroupées dans la fédération Fizoma, «l'initiative présidentielle nous a beaucoup touchés. Seulement, il fallait aussi prendre en considération la pension des veuves qui ne reçoivent que le 1/3 de leur salaire avant la retraite», comme l'a expliqué le président Moks Razafindramiandra. En général, l'on accorde peu de crédit aux retraités de la Cnaps par rapport à ceux de la fonction publique et on les classe parmi les exclus sociaux de la société qui peuvent tout juste prétendre obtenir ces fameuses «cartes vertes». 
Ces impressions ont été recueillies à l'issue de la déclaration présidentielle lors de la présentation de vœux au palais d'Iavoloha. En fait, elle n'a pas réjoui la plupart des retraités même si la pension a connu une hausse considérable de 90% en cinq ans pour ceux qui sont affiliés à la Cnaps (2003-2007). Mais la pension allouée tous les trimestres semble dérisoire face à la conjoncture actuelle. La vulnérabilité des pensionnés s'explique par la modicité de leurs ressources financières qui ne leur permet pas de joindre les deux bouts. Quoi qu'il en soit, ils attendent avec impatience et espoir l'application de cette initiative, du moins pour leur respect en tant que personnes âgées.
49.399 retraités affiliés à la Cnaps
On compte actuellement 49.399 retraités répartis dans toute l'île, affiliés à la Cnaps. Ils perçoivent un montant variant entre 100.000 et 1.300.000 ariary tous les trois mois suivant leur catégorie professionnelle. De 2003 à 2007, la pension des retraités a connu une hausse de 90%. Du Janvier 2003 au janvier 2004, la hausse a été de 9,43% outre la majoration spéciale attribuée au mois d'avril 2003 par le chef de l'Etat atteignant les 30%. Depuis le mois d'avril 2004, la pension a connu une hausse de 16,70%. Depuis le mois de janvier 2005 au mois d'avril 2007, la hausse était respectivement de 10,02%, de 12,56% et de 12,04%. 
Pour les femmes et hommes de ménage, les plantons, les lessiveuses, ils perçoivent plus que les employés de bureau soit une hausse de 227,16%. Si en 1999, la pension était à raison de 50.000 ariary, ce montant atteint à présent plus de 110.000 ariary. Pour les employés de banque ou d'autres grandes entreprises qui versent plus de cotisations à la Cnaps , ils perçoivent 1.300.000 ariary contre 57.000 ariary en 1999. 600 entreprises sont affiliées à la Cnaps. 
Concernant la déclaration du président Marc Ravalomanana de revoir la situation des retraités avant l'an 2000, la Cnaps dispose des ressources nécessaires pour réaliser cette promesse. Dans les perspectives, la Cnaps projette d'apporter des améliorations en matière de protection sociale touchant la santé dont la prise en charge des frais des soins et des médicaments. 
Noro Niaina 


allAfrica 09/01/2008
Madagascar: Lôlô sy ny tariny prépare un album -L'Express de Madagascar -Juliano Randrianja
Quatorze ans après le dernier, le groupe-légende des années 70 projette de sortir un nouvel album. Depuis 1977, Lôlô sy ny tariny a deux albums à son actif, une compilation en 33 tours récemment transformée en compact-disc et une cassette en enregistrement live et ayant pour titre «Madagascar maninona e» en 1994.
Pour cette fois, Lôlô sy ny tariny concevra son troisième album à l'étranger après leur concert prévu à «La Cigale» Paris, le 1er mars prochain.
«Pour l'instant, il n'est pas possible de préciser le contenu de cet album, le choix étant large. Actuellement, il y a quelques 270 titres qui ne sont pas encore mis en boîte, comme Tady vita fatomaty, très connu du public», revèle Bebey, un membre de Lôlô sy ny tariny.
«Toutes les chansons du concert du groupe à «La Cigale» figureront en DVD ou en CD. Nous entrerons en studio avant ce spectacle, et nous allons arranger quelques nouveaux titres», lance-t-il.
Notons qu'après «La Cigale», Lôlô sy ny tariny projette de revenir au grand complet dans la Grande île pour quelques rendez-vous avec le public.
Quant à la couleur musical du nouvel album, on s'attend à un son plus raffiné et une musique plus soignée. Pour les paroles, Bebey affirme que le groupe ne s'écartera pas de l'ancien registre. Mais avec les contributions d'Eric Manana et de Lôlô devenus professionnels en France, autre chose se prépare. Au second semestre de l'année, le groupe poursuivra sa tournée en Allemagne.


Midi Mada 07/01/2008

Des quadruplés à la maternité de Befelatanana -Hanitra R.

Maternité. Des naissances peu ordinaires, les médecins et sages-femmes de la maternité de Befelatanana en ont vu beaucoup. Mais hier, l’arrivée de quatre bébés d’un seul coup, n’a pas manqué d’émerveiller. 

Trois filles et un garçon, d’un seul coup ! Samedi après-midi, la maternité de Befelatanana a vécu une naissance peu ordinaire. Il s’agissait, en fait, d’une naissance multiple, des quadruplés nés d’un second geste. A 16h03, Nancia, Natanaelle, Joany et Jeremia ont commencé un à un à faire leur apparition et pousser leurs premiers cris. Veromanitra Raharimalala, la maman, ne les a sans doute pas vu venir. Cette paysanne venue d’Ambohidratrimo, en effet, ne savait pas qu’elle allait accoucher ce jour-là de quadruplés. Une naissance multiple, certes, mais pas « autant » ! C’est Nancia (1,850 kg) qui est venue au monde la première, suivie d’une seconde fille, Natanaelle (1,650kg). Puis arrive l’unique garçon des quadruplés, Joany (1,600kg) et enfin Jeremia (1,500kg). Tous les quatre ont, évidemment, été placés en couveuses, mais sont apparemment en bonne santé. La mère, elle, paraissait très éprouvée par l’accouchement qu’elle venait de vivre. Malgré cela, c’est une joie immense pour elle d’avoir eu ses bébés. La foule de questions qui se pose maintenant concerne le futur, notamment sur les moyens de subvenir aux 

besoins de ces nouveau-nés. En effet, cette jeune paysanne de 23 ans ne roule pas sur l’or. Et maintenant, la famille compte donc 5 enfants, les parents ayant déjà eu un enfant avant l’arrivée des quadruplés.
Besoins
Ces nouveau-nés, c’est évident, vont avoir besoin d’énormément de lait maternisé, le lait de la mère ne pouvant jamais suffire à les nourrir. Les premiers jours suivant la naissance, les bébés ne consomment pas encore une trop grande quantité de lait, mais cela ira en croissant, au fil des mois. Dans quelques semaines, les bébés engloutiront une boîte de lait maternisé par jour, sinon plus. A raison d’environ six biberons par jour pour chacun d’eux, le calcul est vite fait et la facture, très salée sachant qu’une boîte de lait coûte autour de Ar 12000. Sans parler des couches, langes, brassières et autres accessoires indispensables aux nouveau-nés. 
En effervescence !
Quoi qu’il en soit, cette naissance multiple met toute la famille et même la famille élargie, en effervescence. Des quadruplés, on n’en voit pas arriver tous les jours dans la famille. Idem pour le personnel de la maternité qui, bien qu’habitué à des circonstances peu ordinaires autour des naissances dans leur service, n’accueille pas non plus des quadruplés toutes les semaines. Pour les uns et les autres, l’essentiel est que la mère se porte bien et que les bébés soient en bonne santé malgré leur poids à la naissance, inférieure à la normale. Chose inévitable, en fait, lorsqu’il s’agit de quadruplés comme c’est le cas ici.


Les Nouvelles 08/01/2008

LANGUES : « L'année des langues » selon Henri Rahaingoson 
2008 a été proclamée « année internationale des langues » par l'Assemblée générale des Nations Unies. Henri Rahaingoson, président de l'Union des poètes et écrivains malgaches (Havatsa-Upem), professeur de lettres et chercheur linguiste, nous commente dans cet entretien sa vision et ses espérances quant à cette initiative. 
L.N. (*) : « 2008, Année des langues » : Quelle connotation accordez-vous à cette décision ?
H.R. (-) : Hormis ma condition de linguiste, je me réjouis et remercie les Nations Unies d'avoir enfin adopté une année consacrée aux langues. Cette opportunité arrive à propos au savoir de la décision politique de réviser la Constitution. En effet, cinq alinéas résument les espérances gouvernementales à ce sujet. L'un d'eux reconnaît le malgache comme langue nationale. Un sixième alinéa y a été adjoint pour préciser que les langues officielles à Madagascar sont le malgache, le français et l'anglais. Cette décision couvre l'entièreté de son sens au pays. 
* Selon vous, par quelles voies s'appliqueront ces alinéas ? 
- Par le Madagascar action plan. Un programme de développement rapide et durable ne peut ignorer la langue, vecteur de communication entre les dirigeants et le peuple. Il est alors imminent de développer une politique de communication à tous les niveaux, que ce soit littéraire, scientifique ou technique, pour espérer élaborer une politique viable. 
* Comment imaginez-vous la mise en place de cette politique ? 
- Il faut dépasser le stade de la Constitution , adopter des lois et des décrets d'applications et préciser les travaux, les structures, les infrastructures, le personnel et les financements nécessaires à cette mise en place. 
* Quels sont les autres apports nécessaires pour une réelle application de cette proclamation ? 
- La langue est le reflet d'une culture. Il est important de la promouvoir, de la développer, de l'outiller et de la moderniser pour comprendre son évolution. Il est dès lors important de créer des dictionnaires, de former des lexicographes pour trouver les vocables appropriés dans des domaines tant généraux que spécialisés pour vulgariser la langue à tous les niveaux. 
* Quel serait votre message aux dirigeants pour que cette politique de vulgarisation de la langue malgache soit effective et qu'elle soit véritablement une langue de développement ? 
- Pour que cette politique soit effective, cet effort concerne tout un chacun et pas seulement les politiques. Les ministères, les facultés, les techniciens et les scientifiques doivent unir leurs efforts pour se mettre à la portée du peuple. Ils se doivent de maîtriser eux-mêmes le malgache pour écouter, comprendre et transmettre leurs messages au peuple qui pense d'abord malgache. Par cette même optique, ils est de leur devoir de permettre une ouverture au peuple par l'apprentissage des langues étrangères en vigueur aussi au pays.
Propos recueillis par Renée Raza 

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