Madavôvô 2006  

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Présentation au Roi du Maroc Sa Majesté le Roi Mohammed VI  des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana
Notons que la Présentation à Sa Majesté le Roi Mohammed VI des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana a précédé la visite présidentielle. Le programme de séjour présidentiel a été marqué, entre autres, par un entretien en tête-à-tête entre les deux chefs d’Etat, suivi d’une visite au Mausolée Mohammed V où le couple présidentiel a déposé des gerbes de fleurs sur les tombes de feu S.M. le Roi Mohammed V et feu S.M. le Roi Hassan II avant de signer le livre d’or....
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Sommaire Madavôvô: 01 fevrier 2006

BigNews. CAN 2006:RESULTATS ET CLASSEMENT DU GROUPE C ...

1. Le scandale du chikungunya (Clicanoo)

2.Le CHIK enfin pris au sérieux (Clicanoo)

3. Colonisation: l'article controversé supprimé "d'ici trois semaines"(Wanadoo.fr)

4. Le président du Sénat français attendu en mai à Madagascar (Xinhuanet)

5.Dynamitage de ponts en 2002 :Confirmation des peines (La Gazette)

6. No Comment.... No Comment...

7.Selon son épouse... : Rossy n’est pas un « réfugié politique » (La Gazette)

8. La perturbation tropicale Boloetse semble se stabiliser ... (Les Nouvelles)

9. La pluie fait des dégâts - 7 maisons effondrées (Express)

  

... Les Revues de presse plus bas !!!

30/01/2006

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.593,09 Ar 
USD 2.121,85 Ar 
GBP 3.769,67 Ar 
CHF 1.663,41 Ar 
JPY Ar 
ZAR 347,12 Ar 
HKD 273,56 Ar 

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Derniers Messages de nos Petites Annonces         + Savoir plus >>          Les Contacts  >>

1)-je recherche un terrain avec ou sans bungalow, region tulear, Ifaty, faire offre par mail     contact : NICKYANGE2

2)-J'habite dans le sud de la france. Mon désire serai de rencontrer une femme malgache pour faire un bout de chemin ensemble. Profil: Age de 35 a 48 ans libre  un peu sportive,1m60 a 1m70 entre 50 et 68kg tendre douce et honnete. ...   contact : Jean Jacques  COUZ

3)-j'envisage de me rendre a mada afin de creer une activiter touristique pouvez vous me renseigner dans se domaine merci d'avance et bonne annee a tous christian de POITIERS FRANCE     contact : christian BORREDON

4)- vends huiles essentielles de cannelle (cinamomum camphora)           contact : fenoramah

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


 

Big News... CAN 2006:RESULTATS ET CLASSEMENT DU GROUPE C 

26/01/2006  Tunisie 2-0  Afrique du Sud

"C'est un bonheur"

 Auteur de deux buts contre la Zambie, Pascal Feindouno savoure la qualification de la Guinée pour les quarts de finale de la CAN.

26/01/2006  Zambie 1-2  Guinée
22/01/2006  Afrique du Sud 0-2  Guinée
22/01/2006  Tunisie 4-1  Zambie
    Pts J G N P bp bc +/-
1 Tunisie 6 2 2 0 0 6 1 5
2 Guinée 6 2 2 0 0 4 1 3
3 Zambie 0 2 0 0 2 2 6 -4
- Afrique du Sud 0 2 0 0 2 0 4 -4


*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


Clicanoo.com  01/02/2006

Le scandale du chikungunya 
Un traitement nuisible à l'écosystème
La vie n'a pas de prix
Sur l’île de la Réunion en septembre 2004, j’avais appris par une amie réunionnaise, en formation à l’IUFM, que des moustiques porteurs du chikungunya, s’étaient installés au Port, via des bateaux-conteneurs. Cette information officieuse avait été divulguée par un médecin de la Drass, scandalisé par l’interdiction de divulguer cette information par ses supérieurs hiérarchiques. De retour sur l’île depuis peu, quelle ne fut pas ma surprise de constater que la maladie sévit fortement aujourd’hui, semant à juste titre un vent de panique auprès de la population (on annonce que 80% de la population sera d’ici peu atteinte et on commence à dénombrer des morts consécutifs à cette maladie). Entre temps, les autorités de la Drass n’ont déclaré le fléau qu’en mars 2005, presque un an après l’arrivée du moustique contaminant, date à laquelle aucune mesure sanitaire n’a été prise pour éradiquer le moustique. On ne peut être que choqué de constater à quel point certains supérieurs hiérarchiques ont si peu le sens de leurs responsabilités ! Ce n’est qu’aujourd’hui que les responsables prennent le problème au sérieux, informant, par une pub onéreuse, la population de se protéger, alors qu’on ne trouve plus de produits anti-moustiques dans les magasins de l’île. Le recteur vient d’annoncer le report d’une semaine la rentrée scolaire des vacances de l’été austral. Une commission ministérielle est arrivée sur l’île lundi pour constater les dégâts de la maladie. Espérons que ces personnes prendront les mesures qui s’imposent pour “punir” les irresponsables de la Drass, sans se tromper de cible, et qu’ils sauront agir pour enrayer le fléau. Encore un scandale de plus à ajouter à la politique libérale actuelle.
Une citoyenne outrée


Clicanoo.com   26/01/2006

Le CHIK enfin pris au sérieux 
Les hiérarques de la Santé nationale admettent le caractère exceptionnel de la crise qui affecte La Réunion. La situation étant hors contrôle, l’État passe à la vitesse supérieure et la solidarité nationale va jouer. Mais les deux “mandarins” avertissent : la crise ne va pas cesser à court terme. Il faudra subir jusqu’à l’hiver prochain... et se préparer à l’avenir. D’autres arboviroses menacent.

Le ministre de l’Outre-mer, François Baroin, vient de déléguer à La Réunion l’un de ses missi dominici, le directeur des affaires politiques et financières Richard Samuel, accompagné des deux plus éminentes autorités de la santé nationale, le directeur général de la Santé Didier Houssin et Gilles Brucker, directeur général de l’Institut de veille sanitaire (InVS). Cette ambassade, qui se déroule évidemment sous l’égide conjointe de Xavier Bertrand, ministre de la Santé et des Solidarités, ira à la rencontre des Réunionnais, de leurs élus et des professionnels de santé afin de faire un point sur la maladie et présenter sur place le rapport des experts (Ndlr : le rapport Duhamel, mission commune IRD, InVS et IGAS), qui sont venus en décembre dernier. La mission Houssin-Brucker est une émanation directe de la structure d’appui interministérielle sur le chikungunya, pilotée par le ministère de la Santé et des Solidarités en lien étroit avec Medetom et les autres départements ministériels. Cette cellule mobilise les meilleurs organismes d’expertise publique, elle est le pendant national de la 

cellule de crise permanente pilotée par le Préfet de Région. Comme de bien entendu, l’arrivée de ce triumvirat de hauts fonctionnaires et “mandarins” ne suffira pas à terroriser les moustiques. Les deux scientifiques, que nous avons rencontrés dès leur descente d’avion, dans les salons de l’aéroport Roland-Garros, en conviennent volontiers, à l’instar de Didier Houssin : “Il ne faut pas se faire d’illusion, l’épidémie ne s’arrêtera pas du simple fait de notre présence...” Mais, explique Laurent Cayrel, leur arrivée montre que pour le gouvernement, l’heure est à la “mobilisation générale”.
“UN FAUX SENTIMENT D’IMPUNITÉ...”
Pour Gilles Brucker, “boss” de l’InVS en charge de la surveillance de l’état de santé de toute la population, la situation à La Réunion est régulièrement suivie depuis le printemps dernier, “mais elle a basculé à partir de décembre, ce qui implique une révision des dispositifs à la hauteur de la dynamique et des conséquences de l’épidémie...” Gilles Brucker est de toute évidence l’homme de la situation. Spécialiste en épidémiologie des maladies transmissibles, il a dirigé le Centre de coordination de la lutte des infections nosocomiales Paris-Nord pendant plus de dix ans, et le service de santé publique de l’Hôpital de la Pitié Salpêtrière sans oublier son passé de chargé de mission auprès du ministre délégué à la Santé pour les questions relatives aux alertes sanitaires. Sa lecture des événements est significative : “Notre dispositif de surveillance est débordé par une situation de transmission hyper-épidémique (...). Le chikungunya était connu de longue date, mais il n’avait pas franchement été étudié dans les pays concernés, et il vient de nous apparaître qu’il n’est plus véritablement bénin en cas de développement important de l’épidémie, comme le prouvent les cas graves chez les nouveaux-nés, les arthralgies chez les adultes, les méningoencéphalites, et l’impact du virus sur les personnes vulnérables (Ndlr : les décès)”. Dans le détail, la mise à niveau des dispositifs passe, selon Gilles Brucker, “par le dialogue avec les praticiens, le redimensionnement du réseau Sentinelle (...) et la définition d’une stratégie dotée de moyens adéquats...” Mais l’épistémologiste prévient, “même en tel cas, avec la dengue par exemple, les résultats ne sont pas immédiats...” Les Dr. Houssin et Brucker conviennent de ce que l’épidémie est loin d’être terminée, qu’elle suivra son cours vraisemblablement jusqu’à l’hiver prochain, que le succès local de la lutte contre le paludisme a introduit sur l’île un faux sentiment d’impunité, voilé le caractère pernicieux des moustiques.
PAS QUESTION DE SANCTUARISER LE DÉPARTEMENT
Et d’admettre que la crise CHIK est” un cruel rappel à la réalité “. En conséquence de quoi, aujourd’hui et à l’avenir, la lutte anti-vectorielle doit être une préoccupation permanente. Pour ce faire, des spécialistes métropolitains qui sont récemment intervenus aux Antilles où la dengue frappe, apporteront leur secours, et une étude rigoureuse des produits insecticides sera conduite de façon à adapter étroitement les produits aux besoins et à la préservation de l’environnement. Enfin, comme il n’est pas question de sanctuariser le département, la nécessité de mettre en place des politiques de coopération Réunion-Mayotte, avec les Ententes Interdépartementales de démoustication métropolitaines, via l’Adege (Agence nationale pour la démoustication et la gestion des espaces naturels démoustiqués), par exemple, paraît séduire le directeur général de la Santé, quand le Préfet de Région, lui insiste sur la nécessité d’engager au niveau de la Commission de l’océan Indien, des politiques de coopération centrées sur la surveillance et la lutte contre les arboviroses...
Philippe Le Claire  Pour information : http: //www. eid-med. org/


Clicanoo.com   01/02/2006

“Le chikungunya a tué mon mari” 
Pétrus Hector est mort le 20 janvier dernier, à Saint-Philippe, sous les yeux de son épouse Louisette. Atteint du chikungunya une semaine auparavant, ce touriste a été emporté par une crise cardiaque. “Je pense que le chikungunya a tué mon mari”, témoigne depuis la métropole sa veuve, anéantie par ce drame et qui souffre elle aussi du virus. Pour ce couple de Charente, les vacances ont tourné au cauchemar.


Wanadoo.fr 30/01/2006

Colonisation: l'article controversé supprimé "d'ici trois semaines"
Le président de l'Assemblée nationale Jean-Louis Debré, a indiqué jeudi sur Europe 1 que la suppression de l'alinéa controversé de la loi du 23 février 2005 mentionnant le "rôle positif" de la colonisation française, devrait être effective "d'ici trois semaines".

Après la décision de Jacques Chirac de supprimer cet alinéa, a indiqué M. Debré, le Conseil constitutionnel a été saisi mercredi soir et devrait "répondre dans les huit jours".
Ensuite, a-t-il expliqué, "il y a aura un décret de suppression et toute cette affaire sera terminée, je le souhaite, d'ici trois semaines".
"La phrase est supprimée. Elle a blessé et c'est inutile qu'une loi blesse", a-t-il expliqué. Pour autant, a souligné le président de l'Assemblée nationale, "il n'y a ni repentance, ni reniement, ni renoncement à notre passé".
Il a convenu que la solution était "brutale" mais il l'a justifiée au nom "de la sagesse et de l'intérêt de la France".
Jean-Louis Debré, qui avait évoqué dans un premier temps une réécriture de l'article, a indiqué qu'un nouveau débat parlementaire "aurait montré que nous alimentions des passions".
"Dans cette affaire, a-t-il ajouté, le président de la République n'avait qu'un seul souci, rassembler les Français".
M. Debré a fait valoir que "le rôle de la loi n'est pas d'écrire, de formuler un jugement ou une opinion sur l'Histoire et que le législateur n'est pas là pour faire les programmes scolaires". L'article 4 de la loi sur les rapatriés stipule que "les programmes scolaires reconnaissent le rôle positif de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord".

Interrogé sur le sort d'autres lois telles que la loi Gayssot sur le racisme et la loi Taubira sur l'esclavage, il a exprimé son intention de "réunir un certain nombre de parlementaires pour qu'on ne revienne pas aux lois qui écrivent la mémoire d'un peuple". La loi n'est pas là "pour faire la morale ou imposer une version de l'Histoire", a-t-il dit.


Xinhuanet.com  30/01/2006

Le président du Sénat français attendu en mai à Madagascar 
Le président du Sénat français, Christian Poncelet, est attendu à Madagascar au mois de mai prochain, a-t-on appris samedi de source officielle. 
Lors de cette visite, M. Poncelet participera aux "Assises sur la coopération décentralisée" entre les 22 régions de France et les 22 de Madagascar. La visite irait également de pair avec la finalisation d'une convention de coopération et de création de groupe d'amitié en la France et Madagascar. 
Du 17 au 25 janvier dernier, une délégation conduite par Rajemison Rakotomaharo, président du Sénat malgache, a visité la France pour préparer le dossier. Lors de cette visite de travail, le numéro deux du régime malgache, également président du groupe d'amitié franco-malgache, avait signé la déclaration d'intention relative à ladite convention avec la partie française


La Gazette  29/01/2006

Dynamitage de ponts en 2002 :Confirmation des peines Rolly M. 
La Cour d’appel a statué hier sur le sort les 24 militaires impliqués dans des vols de 2 525 kg de dynamite et divers explosifs militaires, en 2002, à la base aéronavale d’Ivato. Ainsi, à quelques nuances près, les peines, prononcées en première instance, ont été confirmées par la Cour : Jean Randrianantenainasolo (sergent-chef), Germain Simon Rasakaizarimanana (lieutnant-colonel), Roger Luc (capitaine) et Raymond Rakotosalama (lieutenant-colonel) ont été condamnés à 3 ans d’emprisonnement ferme tandis que Jean Emile Tsaranazy (général de brigade de l’Armée nationale) et Lucien Raymond (colonel) l’ont été à 5 ans, ferme avec mandat d’arrêt décerné à l’audience.
En ce qui concerne Raymond Michel Rakotobe (général retraité), la Cour a hier pris acte de son désistement d’appel. Bref, ayant déjà pu bénéficier des largesses de la dernière grâce présidentielle, cet étoilé de l’Armée est maintenant libre. Et pour Jenner Rakotoarison (militaire), la même Cour a pris acte de son décès pour déclarer que l’arrêt d’hier ne lui est pas opposable. Quant aux 17 autres militaires, leur relaxe au bénéfice du doute a également été confirmée.
A l’issue du prononcé de ce verdict, des familles des condamnés, notamment ceux qui continuent encore à croupir à la maison centrale d’Antanimora, ont crié au scandale : « les nôtres ont ainsi définitivement été condamnés pour avoir exécuté des ordres émanant de leurs chefs hiérarchiques qui, pourtant, n’ont même pas été poursuivis judiciairement dans cette affaire ». Rappelons, en effet, que, deux colonels de l’Armée, impliqués dans ce dossier pénal, ont révélé que ce serait des généraux qui auraient donné l’ordre à ces militaires de perpétrer ces vols de dynamites et autres explosifs à la base d’Ivato (voir « La Gazette » du 24 septembre). Mais curieusement, aucune poursuite judiciaire n’a été ouverte, jusqu’à ce jour, à leur encontre. Pis, les mêmes officiers ont aussi révélé que le dynamitage des ponts de Mamokomita (Maevatanana) et Zazafotsy (Ihosy) serait l’œuvre du camp Ratsiraka tandis que celui de Fatihita (Ambositra) serait celui du camp Ravalomanana. Par ailleurs, ils ont été fermes et catégoriques pour confirmer que seuls des militaires ont été capables d’opérer ces dynamitages (voir encore « La Gazette » du 24 septembre).
Quoi qu’il en soit, les familles des condamnés ont déclaré hier faire diligenter toutes les démarches utiles et nécessaires pour que des dossiers pénaux soient ouverts contre ces généraux, indiqués comme étant les commanditaires de ces vols de dynamites et de ces destructions de ponts. En attendant, des civils, notamment les deux anciens députés d’Antsirabe I (des membres de l’Arema), continuent encore de croupir à Antanimora (condamnés chacun à 6 ans d’emprisonnement ferme), inculpés d’être les commanditaires du dynamitage du pont de Fatihita. Au fait, comment se fait-il que les dossiers pénaux de ces derniers, qui ont interjeté appel, n’ont pas encore été, presque deux années après le prononcé du verdict en premier ressort, enrôlés à une quelconque audience de la Cour d’appel ?


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La Gazette  30/01/2006

Selon son épouse... : Rossy n’est pas un « réfugié politique » 
Intervention de Joséphine, épouse mais aussi danseuse et choriste de Rossy, hier sur Fréquence Plus. Selon elle, son mari, qui réside à Paris, n’est pas un « réfugié politique », contrairement aux rumeurs que l’on colporte dans l’île. Elle a demandé à ceux qui véhiculent ces bruits de faire attention « car cela pourrait coûter la vie aux autres » ( ?). 
Paul Bert Rahasimanana, dit Rossy, s’est engagé activement dans le soutien à l’amiral Didier Ratsiraka, et avait fait campagne pour ce dernier à l’élection présidentielle de décembre 2001. Flairant le triomphe de Marc Ravalomanana dès le début de la crise de 2002, il a prudemment pris le large et s’est installé en France, à la faveur d’une tournée de son groupe dans l’Hexagone. Il est vrai que du temps où il était conseiller spécial de Didier Ratsiraka, il a mené une sourde guérilla contre le maire d’Antananarivo Marc Ravalomanana. Avec l’accession de ce dernier au pouvoir, il pouvait s’attendre à des représailles et a donc préféré quitter le pays. On notera que les deux enfants de Rossy et de Joséphine sont nés à l’île de la Réunion et bénéficient donc de la nationalité française. Comme il est difficile d’expulser de France des parents de citoyens français (encore mineurs), Rossy et Joséphine peuvent résider en France sans avoir besoin de solliciter le statut de réfugié politique.
De tous les ratsirakistes exilés en France, Rossy est peut-être le mieux loti. Compositeur et chanteur doté d’un sens certain du rythme, il est très sollicité dans une France fascinée par le tempo tropical. L’homme réalise d’ailleurs souvent des tournées hors de l’Hexagone, et après une tournée en Norvège récemment, il s’est produit à Mayotte, comme pour narguer le pouvoir Ravalomanana. En sus de ses cachets d’artiste, il touche de confortables ristournes de ses multiples CD et cassettes diffusés à l’étranger. 


Les Nouvelles 30/01/2006

La perturbation tropicale Boloetse semble se stabiliser dans la région d’Ikalamavony
La liste des perturbations tropicales susceptible de passer dans le sud-ouest de l’océan Indien est au nombre de 26. Boloetse en est actuellement la deuxième, avec un vent des vents de 65 km/h seulement elle cause des dégâts lors de son passage dans la Grande île
Depuis quelques jours, le ciel s’est assombri, des coups de vent se forment et la pluie tombe fréquemment. Cette perturbation du climat est due à Boloetse, la deuxième perturbation cyclonique qui s’abat sur la Grande île. Cette dernière a commencé à toucher samedi soir les côtes centre-est de Madagascar. Des mesures ont donc été prises concernant cette situation et l’avis de danger imminent a été décrété hier dans les districts de Nosivarika, Mananjary, Manankara, Fandriana, Ifanadina, Ikongo, Ambalavao, Fianarantsoa I et II, Ambohimahasoa et Ambositra, par le chef de service de la météorologie et le secrétaire exécutif du CNS.
Selon ces derniers, après avoir effectuer une boucle, la perturbation cyclonique s’est dirigée vers le nord puis vers l’ouest de la Grande île. Samedi vers 18 heures, elle s’est située à 80 Km/heure au large de Mananjary, accompagnée de fortes rafales de vent d’une vitesse de 65 Km/heure au niveau de la mer et des pluies torrentielles. Des avis de menace et d’avertissement ont également été décrétés entre autres dans les districts d’Ambatofinandrahana, Ihosy, Vohimpeno, Farafangana, Betroka, Vatomandry, Mahanoro, Ambatolampy et d’Antsirabe I et II.
Mais la perturbation semble s’atténuer depuis hier puisque hier soir vers 15 heures locales, elle a commencé à entrer dans le district d’IKalamavony et semble y demeurer. A 18 heures locales, le vent semblait se stabiliser à 45 Km/heure. A cause de l’affaiblissement des rafales de vent, tous les avis de danger imminent, de menace et d’avertissement ont été retirés. Toutefois, le service de la météorologie d’Ampasampito incite les habitants des zones concernées par les précédents avis à être très prudents car rien n’est encore sûr. La vitesse du vent s’est stabilisée à 45Km/heure mais elle pouvait très bien augmenter dans les heures qui ont suivi les dernières informations. 
Boloetse est la deuxième des 26 perturbations cycloniques susceptibles de se former dans le sud-ouest de l’Océan Indien. Elle a commencé à se former le 24 janvier dernier au large des côtes-est malgaches, plus précisément à 4 ou 5 Km des côtes de Toamasina. Elle s’est déplacée vers la région de Farafangana, elle s’est par la suite, écartée de la terre pour se rapprocher de la mer où elle a commencé à puiser ses forces. C’est ensuite avec un vent d’une vitesse de 65 Km/heure qu’elle a pénétré le nord de la Grande île le 27 janvier vers 15 heures. Et selon les dernières informations recueillies, elle avance à petite vitesse (45Km/heure) vers le côté Ouest de Madagascar. 
Iandry A. Razafitsalama 


Express Mada 30/01/206

LA PLUIE FAIT DES DÉGÂTS - SEPT MAISONS EFFONDRÉES
Trois maisons sont devenues inhabitables à Ambatomainty.
Les fortes précipitations du week-end se sont soldées par l'effondrement de maisons à Antananarivo et la coupure de la communication téléphonique dans certaines zones. 

Il fallait s'y attendre: la pluie persistante a fait des dégâts. Effondrement de maisons, éboulement de terrain, brûlure par la foudre... sont, entre autres, les conséquences des fortes précipitations, résultant de la perturbation tropicale, qui sont tombées sur toute l'Ile. 
Antananarivo et certaines zones des régions Amoron'i Mania et Bongolava sont les plus touchées. En dépit des dégâts matériels, aucun décès n'est à déplorer jusqu'à hier soir. "La situation n'est pas encore grave. A preuve, aucune demande d'assistance ne nous est parvenue jusqu'ici. De même, la pluviométrie reste dans la normale", confie Jacky Ramandimbiarison, secrétaire exécutif du Conseil national de secours (CNS), hier en fin d'après-midi. 
Dans la capitale, sept maisons se sont effondrées samedi, dont quatre dans le deuxième arrondissement et trois dans le quatrième. Malgré les dégâts matériels, tous les occupants s'en sont sortis indemnes dans l'un et l'autre cas. 
Bâties dans le fokontany d'Ankazotokana, quatre maisons se sont affaissées avant-hier vers 11 heures. "L'infiltration des eaux usées due à l'inexistence de canaux de déversement dans le quartier est à l'origine de cet effondrement", expliquent les 

riverains. Ayant constaté des fissures, les locataires ont déménagé la veille du drame, apprend-on. 
Un mur de soutènement s’effondre sur des habitations à Ambanidia.
De leur côté, les propriétaires de trois autres maisons situées à Ambatomainty se sont trouvés sur les lieux au moment du drame. Cet effondrement, provoqué par les travaux de construction de canaux d'irrigation effectués par le fokontany, fait d'une vingtaine de personnes issues de trois familles, des sans-abri. 

Par ailleurs, plusieurs poteaux électriques frappés par la foudre ont pris feu dans la ville. C'est ce qu'on a remarqué à Ankadivato, Avaradoha, ou encore Faravohitra. A Tsiroanomandidy, deux personnes frappées par la foudre, samedi, ont été brûlées au premier degré. 
"Pire, le district d'Ambohimahasoa dans la région Amoron'i Mania est coupé du reste du monde depuis vendredi. Les lignes téléphoniques ne marchent plus", fait savoir le député Rabesaiky Guillame Marie. 
La perturbation tropicale Boloetse est restée quasi stationnaire dans le district d'Ikalamavony. "Pendant toute la journée d'hier, son œil y a été localisé", apprend-on auprès de la direction des exploitations météorologiques. Faut-il rappeler qu'elle est entrée en terre, samedi à 23 heures, entre les ditricts de Nosy Varika et d'Ifanadiana. 
Aucun danger.
Les dégâts sont importants à Ambatomainty.
Boloetse ne présente pas de danger car sa force continue de s'affaiblir. "C'est d'ailleurs ce qui explique la levée de tous les avis d'avertissement, de menace et de danger lancés aux districts du Sud et du Sud-est du pays", déclare Sahondrarilala 

Raveloarisoa, chef de service de la météorologie. Toutefois, on ignore si elle sortira en mer ou se dissolvera sur terre. 
La perturbation tropicale continue de faire cap à l'Ouest avec une vitesse de 14 km à l'heure. Elle draine cependant des rafales de vent atteignant les 45 km à l'heure et un vent moyen de 35 km à l'heure. 
"Néanmoins, les pluies résultant des masses nuageuses persisteront dans les régions Atsinanana, Alaotra-Mangoro, Vakinankaratra , Amoron'i Mania, Haute-Matsiatra et Vatovavy-Fitovinany. Aussi, les habitants de ces zones sont-elles priées d'être vigilants face aux éventuelles crues des rivières ", ajoute Sahondrarilala Raveloarisoa. 
Pour Antananarivo, en particulier, les fortes précipitations sont dues à une zone de convergence intertropicale (ZCIT) résultant de la rencontre de la mousson, vent chaud et humide du Nord-ouest, et de l'alizée, vent froid du Sud-est. 
Pour l'instant, une éventuelle inondation n'est pas à craindre dans la plaine d'Antananarivo malgré une petite augmentation du niveau de certaines rivières. 
Henintsoa Andriamiarisoa 

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