Madavôvô 2006  

L'Année 2006 c'est l'année des Ouvertures..  ;   Joyeuses Fêtes de Noel à tous...

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Présentation au Roi du Maroc Sa Majesté le Roi Mohammed VI  des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana
Notons que la Présentation à Sa Majesté le Roi Mohammed VI des Lettres de Créance par l'Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana a précédé la visite présidentielle. Le programme de séjour présidentiel a été marqué, entre autres, par un entretien en tête-à-tête entre les deux chefs d’Etat, suivi d’une visite au Mausolée Mohammed V où le couple présidentiel a déposé des gerbes de fleurs sur les tombes de feu S.M. le Roi Mohammed V et feu S.M. le Roi Hassan II avant de signer le livre d’or....
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Sommaire Madavôvô: 10 fevrier 2006

BigNews. CAN 2006: Egypte - Côte d'Ivoire en finale... 

1. Jeux Olympiques Turin 2006 :  Turin s'enflamme (Eurosport)

2.Une fièvre mystérieuse secoue une île balnéaire dans le nord-ouest (Jeune Afrique)

3.Chikungunya: 20.000 nouveaux cas en une semaine (France2)

4.Les communautés ethniques apprivoisent l’hiver sur les pentes de ski(Maneige)

5.Tout le monde en parle : Un skieur malgache à Turin (RadioCanada)

6.CHIKUNGUNYA. Pas de panique, mais la vigilance est de mise (wanadoo.mg)

7.Des jeunes récoltent 17.000 livres pour Madagascar (24h.ch)

8. No Comment.... No Comment...

9. Football CAN 2006 : Mido : "Je m'en fous" (Eurosport)

10.Chikungunya: Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre (wanadoo.mg)

... Les Revues de presse plus bas !!!

10/02/2006

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.587,77 Ar 
USD 2.164,52 Ar 
GBP 3.769,84 Ar 
CHF 1.666,49 Ar 
JPY Ar 
ZAR 347,74 Ar 
HKD 278,87 Ar 

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Derniers Messages de nos Petites Annonces         + Savoir plus >>          Les Contacts  >>

1)-je recherche un terrain avec ou sans bungalow, region tulear, Ifaty, faire offre par mail     contact : NICKYANGE2

2)-J'habite dans le sud de la france. Mon désire serai de rencontrer une femme malgache pour faire un bout de chemin ensemble. Profil: Age de 35 a 48 ans libre  un peu sportive,1m60 a 1m70 entre 50 et 68kg tendre douce et honnete. ...   contact : Jean Jacques  COUZ

3)-j'envisage de me rendre a mada afin de creer une activiter touristique pouvez vous me renseigner dans se domaine merci d'avance et bonne annee a tous christian de POITIERS FRANCE     contact : christian BORREDON

4)- vends huiles essentielles de cannelle (cinamomum camphora)           contact : fenoramah

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


 

Big News... CAN 2006: Egypte - Côte d'Ivoire en finale... aujourdhui à 17h.

... à 19h00...  Les Elephants 0 - 0  Les Pharaons   ... c'est la prolongation 

penalty raté du capitaine des Egyptiens à la 97'15 de jeu

Egypte
RD Congo
4 - 1
 
Sénégal
Guinée
3 - 2
 
Côte d Ivoire
Cameroun
1 - 1
(12 - 11)
 
Nigéria
Tunisie
1 - 1
(6 - 5)
Egypte
Sénégal
2 - 1
 
Côte d Ivoire
Nigéria
1 - 0

L'Egypte tient sa finale
Dans une ambiance indescriptible et devant 70000 Cairotes, l'Egypte s'est qualifiée pour la finale de la CAN en battant le Sénégal (2-1).

Dans une ambiance indescriptible et devant 70000 Cairotes, l'Egypte s'est qualifiée pour la finale de la Coupe d'Afrique des Nations 2006. Les Pharaons sont venus à bout des Sénégalais (2-1) à l'issue d'une partie très disputée. L'Egypte affrontera la Côte d'Ivoire, vendredi.

La Côte d'Ivoire, grâce à sa victoire face au Nigeria (1-0), et l'Egypte, qui a éliminé le Sénégal (2-1) tout en reniant sa star Mido, remplacé sous les sifflets par Zaki, auteur du but victorieux, s'affonteront vendredi en finale de la Coupe d'Afrique des Nations de football.

Les Ivoiriens peuvent une nouvelle fois souffler, et rêver très fort à un deuxième trophée qui leur tend les bras. 


*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


Eurosport 10/02/2006

Jeux Olympiques Turin 2006 :  Turin s'enflamme

CÉRÉMONIE D'OUVERTURE - Divertiss. - Emission spéciale 
Date : 10/02/2006 
Horaire : 20H45 - 23H40 
Durée : 175 mn 
Les XXes jeux Olympiques d'hiver de Turin 2006 débutent ce soir par la traditionnelle cérémonie d'ouverture alliant esprit sportif et esprit festif. Les délégations des pays participants viennent défiler et présenter leurs athlètes. Le porte-drapeau français sera le bobeur Bruno Mingeon. Chorégraphes, metteurs en scène, costumiers et professionnels sont également présents lors de cette cérémonie qui comprend un spectacle sur glace intitulé «Les Étincelles de la passion» où huit athlètes de hockey sur glace patineront à l'intérieur du stade olympique de Turin. Un spectacle où l'esprit sportif est mis à l'honneur et où les exploits à venir sont mis en scène avec un soin tout particulier par les artistes et les artisans de la ville de Turin. 


Jeune afrique 10/02/2006
Une fièvre mystérieuse secoue une île balnéaire dans le nord-ouest
MADAGASCAR - 9 février 2006 - par XINHUA 
Une fièvre mystérieuse secoue Nosy Be, île balnéaire dans le nord-ouest de Madagascar avec tous les hôpitaux disponibles bondés de malades, a-t-on appris jeudi de source sanitaire. 
Le nombre de personnes hospitalisées augmente au fur et à mesure que les jours passent. Si 417 cas de fièvres sont recensés depuis le 1er février, début de l'évolution de cette maladie, 51 personnes sont déjà contaminées depuis mardi dernier. 
"Pour le moment, il n'y a pas lieu de paniquer". Les malades sont pris en charge immédiatement et reçoivent les soins nécessaires comme il se doit. 
"Aucune crainte n'est fondée car des interventions sont déjà menées par les entités concernées pour remédier à la situation", explique Dr Be Sébastien, directeur régional de la santé de la région Diana où se trouve Nosy Be. Mais il souligne que ce chiffre a connu une hausse par rapport à celui de l'année dernière. La fièvre touche 60% des consultations contre 20% en situation normale. 
Toutes les mesures sont déjà prises sur place. Même au niveau de la commune, "Cinq millions d'Ariary (2 150 ariary équivalent à un dollar) ont été alloués pour des actions d'assainissement et de désinfection de la ville", note Yves Emest, le maire de la commune urbaine de Nosy Be qui ajoute que le situation dans la ville n'est pas encore alarmante. 
Pour l'instant, la question est de savoir si le cas de Nosy Be ressemble à celui de Toamasina, premer grand port dans l'est du pays pour lequel la suspicion de cas de chikungunya est en attente de confirmation en France. 


France 2  08/02/2006

Chikungunya: 20.000 nouveaux cas en une semaine 
20.000e nouveaux cas de chikungunya ont été recensés en une semaine dans l'île de La Réunion 
Ce qui porte le bilan total des malades à 70.000 cas depuis le début de l'épidémie du printemps 2005.
300 militaires vont être envoyés en renfort de la métropole à l'île de la Réunion pour participer à la lutte contre l'épidémie, a annoncé mercredi François Baroin, ministre de l'Outre-mer. 

Opération de démoustication à La Réunion, frappé par le chikungunyan, maladie véhiculée par les moustiques - F3 

L'épidémie est en "croissance exponentielle" dans l'île et d'une semaine sur l'autre "le nombre de cas croît de manière considérable", a indiqué le Dr Philippe Renault, médecin épidémiologiste à La Réunion.
Le ministre de la Santé Xavier Bertrand s'était rendu lundi et mardi dernier sur l'île, pour renforcer les moyens de prise en charge des malades de cette maladie, véhiculée par les moustiques.
Dominique de Villepin avait décidé il y a une semaine d'affecter 400 militaires supplémentaires à l'île de la Réunion pour renforcer la campagne de démoustication et endiguer l'épidémie de chikungunya, qui frappe l'île depuis mars 2005.
Le chikungunya, ou virus de "l'homme courbé", n'est pas mortel, mais il n'existe ni vaccin ni traitement préventif médicamenteux. La maladie se traduit par une forte fièvre (plus de 39°C), des éruptions cutanées, des courbatures dans les articulations, souvent celles des doigts et des genoux, obligeant le malade à se déplacer courbé.

 Les professionnels du tourisme, un secteur économique vital pour l'île qui accueille chaque année quelque 420.000 touristes, craignent une multiplication des annulations de séjour en raison de la forte progression de l'épidémie.

Maurice touché par le chikungunya 
Quinze habitants de Maurice ont été atteints par le chikiungunya, maladie transmise par un moustique provoquant de fortes fièvres qui a déjà contaminé environ 50.000 personnes dans l'île française de la Réunion et 2.000 aux Seychelles, a-t-on appris vendredi auprès du ministère mauricien de la Santé.
Quinze cas, dont deux semaines, ont été recensés depuis le début de l'année dans cette île de l'océan Indien, selon le ministère de la Santé. L'aéroport de Port-Louis et le port ont été placés sous haute-surveillance sanitaire, selon la même source.


MaNeige 24/02/2006

Les communautés ethniques apprivoisent l’hiver sur les pentes de ski
Les téléspectateurs de l’émission 'Tout le monde en parle' ont fait la connaissance dimanche dernier de Mathieu Razanakolona, ce jeune skieur âgé de 19 ans qui participera aux Jeux Olympiques de Turin en février prochain. Razanakolona, lui qui jouit de la double nationalité canado-malgache, skiera sous le drapeau de Madagascar. Il deviendra ainsi le premier Malgache, et un des rares Africains de l’histoire, à prendre part aux épreuves olympiques de ski alpin. 

RadioCanada.ca 23/01/2006
Tout le monde en parle : Un skieur malgache à Turin
Matin Express: Marie-José Turcotte parle à Mathieu Razanakolona

Mathieu Razanakolona

Madagascar alignera un skieur alpin aux Jeux olympiques de Turin. De passage à Tout le monde en parle, dimanche soir, Mathieu Razanakolona deviendra le premier athlète malgache à participer à des Jeux d'hiver.
Nés d'une mère canadienne et d'un père malgache, Mathieu et son frère Philippe, deux mordus de ski depuis une dizaine d'années, entendent profiter des Jeux pour mettre sur pied un programme d'action humanitaire dans le pays de leurs ancêtres.
Cette participation aux Jeux olympiques leur permettra d'atteindre deux objectifs: les Jeux comme tels et le financement d'un projet de développement au Madagascar.
Après plusieurs mois d'entraînement au pays, les deux frères ont quitté le Québec pour l'Europe où ils prendront part à quelques épreuves internationales avant les Jeux: une Coupe du monde de slalom, à Schladming en Autriche, mardi, et d'autres courses FIS en Suisse et en Italie.

À Turin, Razanakolona prendra le départ du slalom et du slalom géant, les 20 et 25 février.
L'organisme qu'ils ont créé, rAzAlpin.org, leur permettra de financer des projets de développement durable en Afrique.


Wanadoo.mg  08/02/2006

CHIKUNGUNYA. Pas de panique, mais la vigilance est de mise 
Il faut dépasser la rumeur et s’informer sur les véritables risques et autres moyens de défense contre la maladie. 

Attention à la piqûre de ce moustique colorée © AFP

De fortes suspicions commencent à s’amplifier auprès des habitants de Toamasina quant à l’arrivée du chikungunya dans leur ville, « apporté » par des personnes malades venues de l’île de la Réunion. 
Pour leur part, les autorités sanitaires assurent fermement que rien ne permet encore de prouver que la forte fièvre qui sévissait depuis plusieurs semaines dans la capitale Betsimisaraka est à attribuer au virus de cette maladie. 
Mais les effets de la rumeur semblent gagner une partie non négligeable de la population de Toamasina avec des échos arrivant jusque dans la capitale. Propager la rumeur est une attitude fort déconseillée puisque risquant de donner lieu à une panique qui, au final ne servira personne. Quoi qu’il en soit, il faut savoir que toutes les îles de l’Océan Indien, proches de la Réunion sont concernées. Des Comores aux Seychelles en passant par Maurice qui enregistre une quinzaine de cas confirmés. 

Nombre d’observateurs estiment ainsi qu’il est peu probable que la maladie « épargne » Madagascar alors que toutes les autres îles voisines ont été touchées, sachant que la circulation des personnes est effective entre ces îles. 

Il est tout à fait possible d’éviter d’attraper le chikungunya dans le cas où Madagascar serait amené à y faire face. Ce virus non mortel, comme il a été déjà souligné par les autorités sanitaires dans les îles voisines, se transmet par piqûres de moustique. 
L’ennemi à abattre sera alors cet insecte. En se protégeant de leurs piqûres par le biais des moustiquaires et des insecticides appropriés au type de moustique (à base de pyrethrinoïdes) et en veillant scrupuleusement à ce que les moustiques ne se reproduisent pas. 
La majeure partie de la population malgache, déjà en connaissance des principales mesures pour éviter la prolifération des moustiques, devrait redoubler de vigilance et les suivre efficacement : défricher les environs des habitations, assécher les flaques d’eau et autres sites de reproduction favoris des moustiques, etc… Bref, éviter à tout prix de se faire… piquer ! 
Hanitra Ramahatra 


24h.ch  08/02/2006

Des jeunes récoltent 17.000 livres pour Madagascar   RIVIERA / CHABLAIS
Une dizaine de jeunes étudiants et apprentis de la région ont récolté la bagatelle de 17 000 livres à destination de plusieurs bibliothèques de l’île de Madagascar. 
C. BO. 
Publié le 07 février 2006

LDD- CONTAINER: Karine Pasquier (au centre sur la photo) et ses amis ont fait envoyer les 17 000 livres par container maritime, puis par voie routière, à une dizaine de bibliothèques situées sur le territoire malgache. 
«Le résultat a largement dépassé toutes nos attentes», se réjouit Karine Pasquier, instigatrice de cette opération caritative qui a démarré début 2005. Avec une dizaine d'amis, apprentis ou étudiants de la Riviera et du Chablais, la Montreusienne a récolté la bagatelle de 17 000 livres à destination d'une bibliothèque de Madagascar. Précisément à Anjozorobe, village situé à quelques kilomètres de la capitale Antananarivo. «En fait, nous avons pu alimenter une quinzaine de bibliothèques du pays compte tenu du fait que nous avions énormément d'ouvrages à disposition», précise Karine Pasquier, qui suit un cycle d'études à Genève afin d'embrasser la profession de… bibliothécaire.
C'est lors d'un voyage humanitaire sur l'île, dans le but de construire une école à Anjozorobe, que l'idée de récolter des livres a germé dans la tête de la jeune Montreusienne des Avants. Elle crée alors l'association Madakao-livres. Un article paru dans La Presse Riviera Chablais déclenche un très fort élan de générosité.

 «Une centaine de particuliers et quelques bibliothèques de la Riviera et du Chablais nous ont alors offert les livres que nous attendions. Et même bien plus qu'espéré.»
Il a fallu ensuite trouver l'argent pour acheminer les 17 000 livres, par container maritime, puis par voie routière. Repas de soutien, vente de gâteaux et quelque 3000 francs donnés par les employés d'une banque lausannoise ont fait l'affaire.


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Eurosport 10/02/2006

Football CAN 2006 : Mido : "Je m'en fous"
Suspendu six mois, Mido s'explique en exclusivité.
Surpris et un brin fataliste, l'Egyptien met en cause le sélectionneur et la fédération égyptienne. Mais il réitère son amour du maillot égyptien et déclare qu'une victoire des Pharaons en finale de la CAN serait aussi la sienne. Interview !

AHMED HOSSAM MIDO, que s'est-il passé exactement face au Sénégal ?
A.H.M. : J'ai été remplacé et j'ai demandé pourquoi. "Pourquoi vous me faites tout le temps sortir ? Pourquoi suis-je toujours le premier à être remplacé ?" C'est juste ça ma question et c'est pour ça que tout le monde a cru que je me disputais avec lui. Mais c'est totalement faux.
Vous n'avez donc pas insulté Hassan Shehata ?
A.H.M. : Non, rien du tout ! J'étais en colère mais je n'ai pas mal parlé, ni insulté personne. J'ai simplement demandé pourquoi je sortais. Donc j'ai été surpris en apprenant la nouvelle. C'est comme ça que les choses se passent en Egypte. Mais ça n'affectera pas mes performances avec Tottenham. Je vais retourner avec les Spurs et essayer d'inscrire autant de buts que je peux car mon objectif est toujours le même : disputer la Coupe d'Europe. C'est mon rêve aujourd'hui. Je veux retourner en Angleterre jouer au vrai football car ils me manquent beaucoup. J'espère pouvoir jouer ce week-end contre Sunderland.
Vous allez manquer la finale de la CAN dans votre pays.Comment régissez-vous ?

A.H.M. : C'est incroyable ! J'ai été choqué par cette décision. Je ne sais pas pourquoi ils ont pris une telle décision mais j'y ai beaucoup réfléchi. Je pense que, si l'Egypte gagne la CAN, ils diront : "Nous avons gagné parce que nous avons pris une mesure disciplinaire contre Mido et les autres sont des héros" et, s'ils perdent, ils diront : "C'est à cause de Mido et de son attitude vis-à-vis de l'équipe". C'est comme ça qu'ils pensent dans ce pays.
Quelle sont vos relations avec le sélectionneur ?
A.H.M. : Pour être honnête, je me moque de lui, vraiment. C'est un local. Avant d'être sélectionneur de l'Egypte, il entraînait une équipe de seconde division. Je ne le connais même pas. Et je n'ai pas besoin de lui parler. Il est sélectionneur, je suis joueur et c'est tout. Cela dit, je ne suis pas allé le voir après le match et je ne l'ai pas insulté. Je lui ai juste demandé pourquoi il m'avait sorti. Mais, pour être exact, cette décision n'est pas sa décision. C'est celle de la fédération. En fait, ils pensent que si on perd la compétition, ils pourront dire : "Mido a fait ci ou Mido a fait ça". C'est incroyable mais c'est comme ça que les choses se passent au Moyen-Orient. Mais, pour être honnête, je m'en fous.
Regrettez-vous tout de même certains de vos gestes ?
A.H.M. : Non, je ne regrette rien car je n'ai rien dit du tout. A la télévision, ça avait l'air méchant mais je ne l'ai pas insulté.

Comment ont réagi vos coéquipiers à cette décision ?

A.H.M. : Les gars sont vraiment déçus. Ils ne peuvent pas le dire bien sûr mais ils sont très déçus parce qu'ils m'aiment bien. Ils savent comment je suis. Ils savent que j'aime l'équipe et que je veux les aider. Ils sont fantastiques et je leur souhaite vraiment bonne chance. J'espère qu'ils gagneront le tournoi. S'ils gagnent, je gagnerai aussi. Ils ont pris la décision de m'exclure de la CAN. C'est la vie... et la vie continue.
La fédération égyptienne n'a pas été tendre avec vous. C'est dur pour vous de jouer pour l'Egypte ?
A.H.M. : Non, c'est merveilleux de jouer pour l'Egypte parce que j'adore les gens ici. J'adore les gens qui chantent mon nom dans les stades. C'est pour eux que je suis venu ici, pour personne d'autre. Pas pour la fédération égyptienne, pas pour le sélectionneur, pas pour les joueurs. Je suis venu pour gagner la CAN pour eux. Je suis venu ici pour marquer des buts pour mon pays alors que Tottenham ne voulait bien sûr pas me laisser partir. Et je pense toujours que, quelle que soit la décision qu'ils aient pu prendre, ça n'affectera pas le sentiment des Egyptiens. Ils m'aiment toujours. J'aime les gens ici et tout ceci n'y changera rien.
Vous ne pensez pas que le public égyptien va vous en vouloir ?
A.H.M. : Ils savent que j'aime mon pays. Et tous ceux qui s'intéressent au football savent que je n'ai pas insulté le sélectionneur. Mais ce sont des amateurs. Le sélectionneur est un amateur et, à la fédération, ce sont des amateurs. Ils croient tout savoir mais la vérité est qu'ils ne savent rien.
En disant cela, on va dire que vous êtes arrogant parce que vous jouez en Angleterre...
A.H.M. : Je ne suis pas arrogant. Je suis un joueur professionnel du championnat anglais et ce sont des amateurs.
Qu'allez-vous faire pendant la finale ?
A.H.M. : Je regarderai la finale à la télé. Et j'espère de tout mon coeur qu'on va gagner, pour les joueurs et pour tout le peuple égyptien. Si je pouvais faire quelque chose, je le ferai mais je ne peux rien faire. Je peux juste regarder la télé. S'ils gagnent, je serai heureux pour l'équipe mais aussi pour moi-même car j'ai participé à ce tournoi. Je suis quelqu'un de très positif. La vie ne s'arrête pas là. Tant que ma famille, mon fils et mes parents vont bien, c'est la chose la plus importante. Le reste, je m'en fous.
Vous jouerez encore pour l'Egypte à l'avenir ?
A.H.M. : Bien sûr que je porterai à nouveau le maillot égyptien. La vie continue. Les problèmes que j'ai aujourd'hui, je les avais déjà avant.


Wanadoo.mg  08/02/2006

Chikungunya: Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Définition
Le chikungunya (en abrégé CHIK), est une maladie infectieuse tropicale, due à un arbovirus (alphavirus de la famille des Togaviridæ), transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine swahili et signifie : maladie de l'homme courbé, à cause des très fortes douleurs articulaires que la maladie occasionne. Il y a plus de 950 espèces de moustiques. Mais c'est surtout dans les pays tropicaux que le moustique provoque de graves problèmes de santé aux humains et aux animaux. Ainsi nous distinguerons le nom scientifique du moustique aedes aegypti, vecteur important de la dengue, de la Fièvre Dengue Hémorragique (DHF), de la fièvre jaune et d'autres maladies virales. Avec le nom scientifique du moustique aedes albopictus qui concerne L'île de La Réunion, le seul capable de transmettre le CHIK mais il peut aussi transmettre la dengue.
Historique
Le chikungunya n’est pas une maladie nouvelle. Son nom a été utilisé pour la première fois en 1953 lors d’une épidémie en Tanzanie ou le virus responsable du chikungunya a été isolé. La maladie sévit de manière endémique principalement en Afrique. Elle a également été signalée en Asie du sud. Deux souches de chikungunya existent donc dans le monde. L’une asiatique, qui frappe régulièrement Java, par exemple. L’autre africaine, connu actuellement à La Réunion. Les scientifiques du Centre national de références l’ont identifié dès le mois de mai 2005 à La Réunion. Le premier cas y a été enregistré le 22 février. Fin novembre, 4500 personnes étaient contaminées. Fin décembre plus de 6000 et représente déjà le quart des arrêts de travail (36 % dans la région de Saint-Pierre). L'île de La Réunion n’est d’ailleurs pas la seule touchée. Le chikungunya a fait son apparition aux Comores en juillet 2004. Le nord de Madagascar, Maurice, et Mayotte, avec plus de 5000 cas recensés, ne sont pas épargnés, même si l’on en parle finalement assez peu. Ce n’est pas un moustique vivant qui a amené le virus sur L'île de La Réunion, mais très probablement des personnes infectées qui se sont ensuite fait piquer par la petite bête zébrée. En tout cas, c’est bien le moustique qui est le vecteur de transmission locale du CHIK (chikungunya). Quelques cas de contaminations sanguines existent toutefois dans la littérature médicale. Ils sont extrêmement rares et concernent du personnel soignant qui s’est involontairement inoculé le virus.
La maladie
De la larve au moustique : L’œuf devient larve. La larve connaît une évolution en quatre phases, avant de se transformer en nymphe. La phase nymphale dure 48 heures et se clôt par un vol nuptial au-dessus du gîte larvaire. Tout ce cycle dure de six à dix jours. Plutôt six jours en ce moment car les circonstances, humidité et chaleur, sont malheureusement idéales. D’où l’intérêt de bien connaître les sites recherchés par l’aedes. Il n’est pas trop difficile sur la qualité et la taille de sa maternité : une canette lui suffit pour peu qu’elle contienne un peu d’eau. En revanche, il ne pond que dans l’eau douce, stagnante, non croupie et à l’ombre. Il ne faut pas limiter la lutte anti-moustiques à la seule éradication des adultes. Il est beaucoup plus simple et efficace de s’attaquer à une flaque d’eau contenant des centaines de larves immobiles, que de courir derrière le même nombre de moustiques adultes et donc volants.
Cycle du virus
Sur les 12 espèces de moustiques recensés à La Réunion, seul l’aedes albopictus, et uniquement la femelle, est capable de transmettre le CHIK. Cette capacité “vectorielle” de la femelle aedes s’explique par une faculté à dupliquer le virus (et non pas la quantité de sang absorbé, bien insuffisante). Et contrairement aux idées reçues, ce n’est pas en absorbant le sang mais juste avant, en injectant un peu de salive dans le corps de sa victime, que le moustique commet l’irréparable. Un moustique s’infecte en effet en piquant un humain contaminé. Le sang traverse ensuite la frontière stomacale de l’animal pour passer dans ses glandes salivaires. La femelle devenue infectante le reste toute sa vie, soit environ un mois si elle ne croise pas sur son chemin l’humain muni de vaporisateur. Or elle pique et pond tous les quatre jours environ. 7 à 8 transmissions par moustique sont donc envisageables. “Mère aedes” pond environ 300 œufs au cours de son existence. Les connaissances actuelles n’ont pas permis de trouver de cas de transmission verticale, c’est-à-dire que les œufs pondus par une femelle infectée ne sont a priori pas contaminés. Pour la dengue en revanche, c’est prouvé mais seulement pour un œuf sur 600.
Les symptômes
L’incubation de la maladie dure de quatre à sept jours en moyenne. La virémie, c’est-à-dire la période de présence du virus dans le sang et donc de transmission possible, s’étale sur environ cinq jours. Les anticorps se déclarent ensuite. Ils restent dans le sang. L’immunité est donc normalement acquise à vie. Les premiers symptômes peuvent faire penser à une crise de paludisme. Selon l'OMS, le chikunguya est une forme de Dengue, bien que les autorités sanitaires de différents pays préfèrent éviter cette appellation afin de préserver le tourisme. La maladie se déclare généralement par une très forte fièvre, parfois au-delà des 40°, durant environ 3 jours. Cette fièvre est suivie d'un érythème et de courbatures très douloureuses, agissant principalement sur les articulations durant 5 jours ou plus. Les douleurs articulaires peuvent persister ou réapparaître pendant plusieurs mois. Si les symptômes de la maladie, eux, n’ont plus de secret pour les Réunionnais, une attention particulière doit toutefois être portée aux nourrissons : les douleurs bloquent souvent leur mâchoire, les empêchant de se nourrir. Les malades ne sont pas pour autant immunisés. En effet, on constate que différentes personnes l'ont contracté plusieurs fois de suite.
Précautions
La transmission du virus d'homme à homme n'est, à ce jour, pas démontrée. Trop de personnes âgées se sont retrouvées seules, car contaminées, à Noël. Côtoyer des “chikungunyés” ne présente pas de risques directs. Il y a cependant de fortes suspicions de transmission in-utéro entre la mère et l'enfant. Le chikungunya est suspecté de provoquer des lésions neurologiques graves chez le fœtus, pouvant entraîner son décès in utero. En piquant une personne infectée, le moustique récupère le virus et peut ainsi le propager. On ne sait pas si le moustique infesté est immédiatement contagieux ou si le virus doit d'abord évoluer dans le corps du moustique.
Aucun médicament n'a été mis au point ; seul un vaccin expérimental aurait été développé par l'armée états-unienne d'après Libération. Il n’existe pas de traitement virucide (“tueur de virus”) et aucun vaccin n’est finalisé et donc commercialisable.
Le traitement est purement symptomatique : faire tomber la fièvre et réduire la douleur au moyen d'aspirine ou de paracétamol. Le virus n'est pas mortel, mais les fièvres liées à la chaleur peuvent provoquer une hyperthermie importante pouvant causer de graves lésions au cerveau et entrainer la mort. Il existe des formes asymptomatiques (c'est à dire sans fièvre ni douleurs) également transmises par le même vecteur. Les singes sont également porteurs du chikungunya, ainsi qu'éventuellement d'autres animaux sauvages ou domestiques.

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 Fety sy Fihaonana

 

FENOAMBY au grand complet et ses invités 
SAMEDI 18 fev 2006 à 21h

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Augustin ANDRIAMANANORO
Réalisateur Multimédia


Ste IMAGES & PRODUCTIONS
Tél. : 06 13 19 92 38
 

 

 

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  avec Marie Jo  Le dimanche en direct de 12h00 à 13h30

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