LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...

« La corruption, ce cancer du développement...   »     Pour qu'il y ait un corrompu, il faut bien un corrupteur !      Selon l'étude de Transparency International publiée vendredi 9 décembre 2005 à l'occasion de la Journée anti-corruption de l'ONU, la corruption est de plus en plus présente dans la plupart des  pays, et les populations les plus pauvres en sont souvent les premières victimes... Ce sont les populations d'Afrique, le continent le plus pauvre de la planète, qui versent, semble-t-il, la part la plus élevée de leurs revenus en pots-de-vin. En tête de liste, le Cameroun, le Ghana et le Nigeria, où plus de 20 % de la richesse nationale par habitant serait engloutie par la corruption.  Le résultat a été l`enracinement de la pauvreté et l`instabilité politique dans ces pays du Sud.  Quant à  Madagascar, l'éradication de la corruption est institutionnalisée (Décret n°2002-1128 du 30 septembre 2002). Sa mission consiste à éradiquer la corruption, protéger les biens publics, assurer la justice, favoriser la transparence et assurer un climat de confiance pour l'investissement privé au pays      Peut-on estimer les sommes détournées ? Comment un pays spolié peut-il faire face ?   L’engagement anti corruption de la communauté internationale est-il sincère ? Le CCFD (1) tente de répondre. Les avoirs détournés et les biens mal acquis par les dictateurs des pays du Sud représentent un vrai enjeu de développement. Ils sont estimés au bas mot entre $ 100 et 180 milliards. M. Camdessus, l’ancien directeur général du FMI, parle de $ 1 000 milliards. La fortune de $ 5 à 6 milliards amassée par Mobutu en RDCongo équivaut auPIB(2) du pays !       Cette corruption mine la démocratie. Elle finance le maintien au pouvoir de régimes autoritaires (arrangements avec l’opposition, clientélisme, achat d’armes). Elle s’impose dans l’imaginaire de la population comme la clé de la réussite politique ou économique et tend à s’ériger en système. En sapant les efforts entrepris par les citoyens pour la justice et la vérité, elle ruine les espoirs de démocratisation même des plus téméraires. Les discours vertueux des bailleurs de fonds masquent mal la faiblesse des fonds restitués ($ 4 milliards) ou gelés ($ 2,7 milliards).  Le pillage des richesses des pays du Sud s’est opéré avec la complicité ou à l’initiative des gouvernements et des entreprises du Nord...

Soucieux de leurs intérêts, États-Unis, Royaume-Uni et France ont soutenu l’arrivée ou le maintien au pouvoir des régimes les plus despotiques et corrompus : Suharto et Marcos en Asie, Duvalier et Pinochet en Amérique latine, Abacha et Houphouët-Boigny en Afrique.  L'Indice de perception de la corruption en Afrique en 2005     Le Dossier...  Klikeo eto    En 1997-98, la France et la compagnie Elf ont financé la reprise du pouvoir au Congo par Denis Sassou Nguesso,   ... Lire la suite Cliquez-ici         Père Lucien Heitz ( Communication de www.spiritains.org )

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Lucien a  répondu à notre appel  pour publier des Edito maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.Merci d'avance!        ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>         ... Lister  tous les Editos     

Clicanoo.com 27/01/2008

 Du sexuel humanitaire - Maminirina

Il ne suffit pas de se proclamer « amoureux de Madagascar » pour cacher la réalité, car dans son courrier du 22 janvier, ce monsieur ne donne pas l’impression d’avoir la moindre once de respect ni de compassion pour le peuple malgache, bien au contraire. Tout d’abord, ce monsieur doit être bien irrésistible, du genre Adonis, pour être autant sollicité par les jeunes femmes à sa descente d’avion. Je vais moi-même à Madagascar plusieurs fois par an, accompagné d’amis européens mâles pas si moches que ça, et ni moi ni mes amis ne nous sommes jamais fait harceler de la sorte à l’aéroport, pauvres de nous ! A moins qu’il ne confonde l’aéroport d’Ivato avec des lieux tels le Glacier ou l’Indra de Tana, ou les tripots de Diego, Morondava et Nosy Be. J’ose espérer qu’il ne soit pas naïf au point de croire que les filles qui fréquentent ces célèbres établissements sont de jeunes éplorées à la dérive, en quête du grand amour. Qu’il se détrompe, ce sont bien des p… professionnelles, les mêmes que l’on croise rue Curiol à Marseille, rue Saint-Denis à Paris ou rue de Nice à Saint-Denis… de la Réunion (vous savez, le plus vieux métier du monde…). Ainsi donc, ce monsieur vient d’inventer un concept révolutionnaire : le tourisme sexuel à vocation humanitaire ! N’exagérons rien : ce type d’activité ne concerne que quelques quartiers bien ciblés des principaux sites touristiques malgaches, et l’ensemble des jeunes filles de bonne famille de ce pays n’est pas du tout attiré ni par les vazaha savates deux doigts, ni par les vieux riches libidineux en quête d’une seconde jeunesse. Ce monsieur reproche aux autorités et riches commerçants locaux de rouler en luxueux 4x4 au lieu de s’occuper des pauvres. La réalité bien visible est que ce sont surtout les étrangers (ONG, ambassades, hommes d’affaires, véhicules de location pour touristes) qui utilisent ce genre de véhicule car bien entendu hors de question pour ces gens-là de mettre un pied dans la boue au milieu de la piétaille locale. Mieux encore, ils prennent soin de choisir des modèles spécialement préparés pour l’Afrique, interdits de séjour chez nous car ne répondant pas aux normes antipollution européennes dites Euro IV. Bonjour l’écologie et honte à nous ! Les richissimes multinationales pétrolières seraient avisées de fournir, au titre de la protection environnementale, du carburant de bonne qualité à ces pays afin de leur permettre de rajeunir leur parc automobile. Mais surtout, ce monsieur évacue d’un revers de main le vrai problème qu’est la pédophilie. Or je crains fort qu’en donnant une certaine légitimité « humanitaire » au tourisme sexuel, ce soi-disant amoureux de Madagascar ne fasse qu’encourager ce comportement déviant. Pour finir, parlons de la pauvreté, cause de tous les maux. Pour bien connaître Madagascar et avoir suivi de près son évolution au cours de la dernière décennie, j’estime que depuis 4 ans, d’énormes progrès ont été faits. Il y en a assez de cette manière caricaturale que nous avons à la Réunion de dénigrer l’action des autorités malgaches. Un échéancier est suivi dans la lutte contre l’extrême pauvreté, il s’appelle le MAP (Madagascar action plan) ; laissons donc aux responsables malgaches le temps de remonter la pente car pas plus que nos dirigeants occidentaux empêtrés dans leur reconquête du pouvoir d’achat, le président malgache ne dispose de la baguette magique qui effacerait en quelques années des décennies de gabegie.

Express 25/01/2008
Immigration : Les États-unis facilitent l'octroi des visas d'entrée - Fanja Saholiarisoa 
Des changements continuent à l'ambassade des Etats-Unis. Devant l'augmentation des demandes de visas d'entrée dans ce pays, son ambassade à Antananarivo facilite, depuis l'année dernière, les démarches.
« Le gros changement que nous avons opéré, est la suppression des droits de visa. Seuls les frais du dossier de 131 dollars sont désormais demandés. De plus, les Malgaches sont favorisés par la possibilité d'ouvrir une inscription et de prendre rendez-vous sur internet », explique Neal Vermillion, consul américain.
Il indique que chaque année, le représentation reçoit près de 1 500 demandes de visa pour non immigrant. Pour les Malgaches, « ce visa dure trois mois », précise Hery Ramahefason, assistant consulaire, qui ajoute que les visas d'étude, de tourisme et d'affaires sont les plus demandés.
Une autre démarche très prisée des Malgaches est la participation à la loterie pour l'obtention de visas de diversité, octroyés chaque année à 50 000 personnes du monde entier. « Chaque année, des Malgaches partent définitivement aux Etats-Unis grâce à cette option. L'offre est lancée d'octobre à décembre par un communiqué officiel, mais il faut faire attention aux arnaques », précise Neal Vermillion.

Les Nouvelles 25/01/2008
PANNEAUX PUBLICITAIRES : Contrats à renouveler - Miadana Andriamaro

Réticent au départ concernant les nouvelles mesures que les responsables de la commune avaient décidées à l'époque à propos de l'occupation sinon de l'usage des panneaux publicitaires de la commune, le maire d'Antananarivo, Andry Rajoelina, donne maintenant l'impression de reconnaître le bien-fondé de ces mesures en décidant que tous les usagers de ces panneaux publicitaires de la commune doivent renouveler leurs contrats respectifs. Mais la mesure, quand bien même elle entre dans le cadre de la continuité, a l'air d'une certaine connotation politique que les uns et les autres comprendront d'eux-mêmes. Continuité oblige peut-être, car les usagers des panneaux publicitaires de la commune sont de nouveau appelés à revoir leur contrat dans le cadre d'une nouvelle mesure projetée par le nouveau maire d'Antananarivo, Andry Rajoelina, à cet effet. Résumé des faits. En avril 2007, les responsables communaux ont réuni tous les usagers de ces panneaux publicitaires ou les régisseurs de publicité comme on les qualifie. Et ce, en vue de s'entendre sur les nouvelles mesures projetées par la commune à propos de l'usage ou de l'occupation de ces panneaux. «Innover !» Tel était le mot d'ordre lancé au cours de cette réunion à laquelle Andry Rajoelina a participé en tant que représentant de ses sociétés «Doma pub» et «Injet». Mais la mesure ne semble pas lui avoir convenu.  En tout cas, son refus de «se soumettre» à cette décision a fait l'objet d'une large médiatisation à travers laquelle il s'est posé comme victime d'une sorte de harcèlement des pouvoirs publics à son encontre. C'était justement dans le courant d'octobre dernier, dans le cadre d'une annonce publicitaire parue dans la plupart des journaux de la place. Cette annonce dénonçait des prétendues mauvaises pratiques de la mairie dans la gestion de ces panneaux publicitaires.

Cependant, les nouveaux responsables communaux, dont en l'occurrence le nouveau maire d'Antananarivo, voudraient actuellement conforter cette mesure. Mesure qui a été signée par l'ancien secrétaire général de la commune urbaine d'Antananarivo devenu actuellement, conseiller spécial du maire Andry Rajoelina pour les grands projets.
Entreprise périlleuse ?
Autrement dit, Andry TGV ne semble avoir compris le «bien-fondé» des mesures qu'il avait critiquées à l'époque, que maintenant. Pour dire que, dans une certaine mesure, il a aussi bien fait de s'en remettre aux conseils de cet ancien secrétaire général de la commune dans la conduite de ses projets pour le développement de la municipalité. D'autant plus qu'il s'agit d'un vrai et grand projet qui permettrait aux uns et aux autres de revoir leur stratégie respective en matière de publicité publique. Et Doma Pub et Injet ont aussi l'obligation de suivre la nouvelle règle du jeu. 
On ne peut que saluer les intentions du nouveau maire qui entend poursuivre sa gestion dans la continuité de ce qu'a déjà entamé son prédécesseur. Mais de là à vouloir tout changer subitement risque d'être une entreprise plus ou moins périlleuse. D'ailleurs, Andry Rajoelina a déjà annoncé au moment de sa prise de service, qu'il va essayer de combiner ses projets de développement de la municipalité avec ceux envisagés par ses prédécesseurs. 
Gageons seulement que cette continuité qu'il prévoit dans l'utilisation ou l'usage des panneaux publicitaires, n'a rien d'une intention de «revanche» sinon de vengeance par rapport à certaines démêlées qu'il a connues auparavant.

Tribune 24/01/2008
Les loyers à Tana : Entre 15 000 et 5.200.000 Ariary - par Felana 
Le loyer d’une maison dans le Grand Tana varie actuellement entre 15.000 et 5.200.000 Ar (2.000 euros). Chaque famille, selon sa catégorie socio-professionnelle, choisit celle qui lui convient le mieux. 15 000 Ariary évite déjà pour une petite famille de certains bas quartiers de passer la nuit à la belle étoile. Si d’autres loyers ne sont accessibles qu’en devises où ils atteignent les 2000 euros pour les étrangers ou pour des Malgaches à fort revenu mensuel.
Toujours est-il que d’une manière générale, des loyers mensuels variant de 100 000 à 150 000Ar sont les limites que la quasi-totalité des tananariviens peuvent débourser. À ce prix, ils exigent la proximité du lieu d’habitation par rapport au centre ville pour éviter les frais de déplacement vers le lieu de travail. Ils exigent également le branchement électrique. Par ailleurs, les locataires tiennent à ce que la maison soit bien gardée, en sécurité, aérée et ensoleillée. Car souvent, ils doivent fermer portes et volets la plupart du temps pour ne la rouvrir que les temps où ils sont chez eux.
En ce qui concerne l’offre, une à deux pièces est acquise avec cette somme. Sont facultatifs les autres besoins comme l’eau courante, les autres équipements de confort, le plan de la maison par rapport à la route principale. Un intermédiaire (mpanera) à Analakely et une personne travaillant dans une agence à Andravoahangy Ambony ont des vues analogues sur le sujet : « avec 100 000 à 150 000Ariary on peut louer une maison à une ou à deux pièces dotés uniquement d’électricité en centre ville actuellement. Pour plus de confort, il faut débourser jusqu’à 200 000 Ariary ».

Midi 24/01/2008
Transport aérien. Air Madagascar n’arrive toujours pas à trouver une alternative au prochain départ du Boeing 767-300 - La ligne Tanà-Guangzhou compromise ? - R.Edmond
La ligne aérienne Antananarivo-Guangzhou sera-t-elle réellement ouverte cette année 2008 ? C’est la question que se posent actuellement les professionnels du tourisme et des voyages en particulier et du milieu des affaires en général. On rappelle qu’Air Madagascar avait annoncé lors du Madagascar Trade Show China l’opportunité d’ouvrir cette nouvelle ligne compte tenu de son potentiel. La réponse à la question demeure inconnue en raison de certains problèmes rencontrés actuellement par Air Madagascar.
Indisponibilité
Il s’agit en l’occurrence de l’indisponibilité, d’ici peu d’un des Boeing 767 – 300 que loue Air Madagascar mais dont le contrat expirera prochainement. « Jusqu’à maintenant, on ne sait pas encore si l’on pourrait trouver un avion à louer en remplacement de celui qu’on utilise actuellement » annoncent-on, de source auprès de la compagnie aérienne nationale. Or, sans ce deuxième Boeing 767 – 300, il est pratiquement impossible pour la compagnie de lancer une nouvelle ligne. Une mission très difficile en somme pour Air Madagascar où le problème d’indisponibilité d’appareil à louer est actuellement réel sur le marché des aéronefs. L’on annonce en effet que les compagnies propriétaires de Boeing 767-300 ne tiennent pas du tout à les lâcher. Or, ce type d’appareil est très recherché dans la mesure où il consomme relativement peu de carburants par rapport aux autres avions. Chez Air Madagascar, on ne désespère pas pour autant et on continue à rechercher les solutions à ce problème. 
Accroissement 
Des solutions que la compagnie trouvera, dépendront en effet son avenir et celui du tourisme à Madagascar. Ce, dans la mesure où face aux efforts de promotion de la destination Madagascar, l’on assiste actuellement à un net accroissement du nombre des arrivées de touristes en terre malgache.
Pour en revenir à la ligne Antananarivo-Guangzhou, les opérateurs économiques l’attendent impatiemment en raison du développement actuel des échanges entre Madagascar et la Chine en particulier et entre Madagascar et l’Asie en général dont le point d’éclatement est pour le moment Bangkok. Sur ce dernier point, l’on annonce toujours chez Air Madagascar que le taux de remplissage est satisfaisant. En somme, une continuation sur Guangzhou est très prometteur en termes de développement des échanges. A condition évidemment qu’Air Madagascar réussisse à franchir le barrage de l’indisponibilité du Boeing 767-300

Les Nouvelles 25/01/2008
COURRIER DU LECTEUR : Visa et visa - Oncle Georges 
J'ai un ami qui vient de débarquer à Mada car il adore ce pays. Quelle a été sa surprise quand on lui a demandé 57 euros pour le visa à Ivato. Il ne comprend vraiment pas pourquoi pour une visite d'une semaine en vacances, on lui demande une telle somme. Il a déjà fait plusieurs pays dans le monde mais pour lui, le prix du visa pour entrer dans notre pays doit être un record du monde !!! Sous forme d'humour, je lui ai répondu que pour une fois que mon pays détient un record autre que la pauvreté, je ne vais pas m'en plaindre !!!! 
En plus, comme il n'avait pas la somme sur lui (il prend en fait à partir de sa carte Visa, encore !!! de la monnaie locale pour ses besoins), il était obligé de sortir pour aller me demander à la sortie de lui avancer l'argent !!! 
Après avoir payé, il s'est vu coller plus d'une dizaine de «timbres fiscaux» sur son passeport. Il compte le montrer partout pour en faire une sorte de trophée unique au monde!!!! 
Je me demande si l'on ne marche pas sur la tête dans notre pays. Le meilleur moyen de «taxer» un touriste c'est de l'inciter à venir (nombreux et souvent) et de tout faire pour qu'il dépense de l'argent (resto, souvenirs, artisanats, hôtels, locations de voiture,… ) pendant son séjour. De toute façon, rien qu'avec la TVA , l'Etat en récupère 20% !!! 
Nous, on fait tout pour qu'il paie (le touriste) avant de fouler le sol malgache et lui donner une leçon en lui demandant la prochaine fois de réfléchir avant de venir !!! Pour une famille de 4 personnes, le coût des visas représente : 57x 4 = 228 euros. Cela fait déjà une belle somme, même pour un Européen moyen (cela représente le 1/4 du SMIC français !!). En France ou ailleurs en Europe ou aux US (cela fait 340 US$ !!!), avec cette même somme, vous pouvez passer (seul) une semaine au ski ou faire un vol aller/retour vers le Maghreb (à partir de Paris) avec une compagnie low cost. 
Si on ajoute le fait que le prix du billet A/R Paris/Tana est loin d'être bas (faute de concurrence mais aussi de volume), on peut dire que la promotion du tourisme n'est vraiment pas une priorité des autorités. Pourtant, il me semble que le MAP le dit. Bon, entre ce que le MAP dit et les dirigeants font, il y a peut-être une marge !!!! Ou alors, peut-être que la promesse du MAP n'engage que ceux qui le lisent 
A bon visa, salut !!!

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Communication EMADEX 27/01/2008

C'est la période de soudure à Madagascar!

Reseau d'Échanges électroniques spécialisé en petit transfert d'argent et achat de produits pour les proches à Madagascar

Chers compatriotes et amis de Madagascar,    Après les temps des fêtes, c'est la période de soudure à Madagascar et avec l'augmentation récente des prix des carburants, beaucoup de produits ont également vu leurs prix augmenté. Pour faire face à cette période plus difficile pour les proches à Madagascar, EMADEX a rajouté dans son catalogue, des produits à grand format  (riz de 50kg, ….) et des nouveaux packs alimentaires (petit dejeuner, fruit et légumes, hygiène,...). Parmi les offres existantes, des prix ont été ajustés à la baisse. Le but étant de pouvoir donner un coup de pouce aux proches à Madagascar.

     À partir de fevrier 2008, d'autres nouvelles offres seront également disponibles (restaurant virtuel, des nouveaux spéciaux,...) ainsi que de nouveaux modes de paiement.

      Emadex c'est toujours le réseau 100% malagasy qui vous permet de transferer de l'argent et acheter des produits livrables à Madagascar en -1h ou 24h ouvrables.

         On continue de grandir, d'avancer et d'évoluer pour vous!

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(déjà 300 clients et 12 partenaires dans le monde)

Bientôt EMADEXREVERSE, vous permettra d'envoyer de l'argent vers la France, le Canada et les USA, livrable en moins de 48 heures ouvrables!

Et vous pourriez également envoyer des produits de Madagascar vers la France et l'inverse au meilleur prix. (restez connectés pour tout savoir)  

Les Nouvelles 25/01/2008
BANQUE : La BFV-Société générale récompense ses fidèles clients - Ranaivo Lala Honoré 

La BFV-Société générale a remis hier des prix aux gagnants de diverses manifestations auxquelles elle a participé (Salon de l'habitat, promotion des services Western Union, ouvertures de nouvelles agences dans la capitale). En tout, 40 lots ont été distribués pour une valeur totale de 20 millions d'ariary. Le gros lot a été le billet Tana-Paris-Tana avec la compagnie aérienne Corsair qui a été gagné par Véronique Raveloarisoa. 
C'est à cette occasion qu'on a appris que pour l'année 2008, la BFV-Société générale ouvrira de nouvelles agences, dont une à Ambositra, une seconde à Mahajanga ainsi qu'à Toamasina. C'est également au cours de cette année que la BFV-Société Générale achèvera la rénovation intégrale de toutes ses agences qui seront toutes dotées d'un distributeur automatique de billets de banque. 
2008 verra également le lancement d'une nouvelle gamme de produits (prêts et épargne) ainsi qu'une nouvelle gamme de cartes élargie. Toutefois, le personnel ne sera pas négligé en termes de formation des professionnels de banque. 
Si en 2006, 33.000 heures de formation ont été dispensées, en 2007, 45.000 heures ont été investies. Cela sera poursuivi tout le long de l'année en cours.

LaComm' 25/01/2008

"Les 'Grands' parlent d'idée   les 'médiocres' parlent d'évènements   les 'misérables' parlent contre les personnes..."	Clikeo ny 2CV mena	"Hier c'est une  histoire Demain est un mystère Aujourd'hui un cadeau..."

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