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LES JOURNAUX                                    ...  De nos correspondants à Mada

Tribune de Madagascar 12/08/02
DIDIER RATSIRAKA    Où LE JUGER ?
Où et de quelle manière juger l'amiral Didier Ratsiraka, l'homme qui dans un accès d'égoïsme forcené a plongé le pays dans la dévastation et la guerre civile pour se maintenir au pouvoir ? Les premiers procès ont démarré la semaine dernière avec les verdicts que l'on sait. Quid de ceux qui ont fui le pays et qui pensent être à l'abri des poursuites judiciaires en se terrant à l'étranger ? On pense au principal instigateur de la désastreuse crise récente dont le cas est de plus en plus évoqué dans le débat public : l'amiral Didier Ratsiraka.
Voici ce qu'en a dit récemment Alice Rajaonah, ministre de la Justice : "Vous avez entendu parler de la Cour Pénale Internationale, mise sur pied il y a quelques jours à La Haye. Nous avions eu des représentants lors de sa fondation, de même que lors de la signature de son statut en juin 1998 à Rome ...". Plus revanchard dans son approche, le numéro 2 du RPSD, Voninahitsy Jean Eugène s'est exprimé ainsi : "On devrait hâter l'extradition de l'amiral Didier Ratsiraka, ainsi qu'on l'a fait au Chili pour Pinochet. Et quand il sera condamné, on devait l'enfermer dans la cellule où moi-même j'ai été détenu, à la prison d'Ambatolampy".
En fait, il y a loin de la coupe aux lèvres, car dans le premier comme dans le second scénario, des obstacles, apparemment insurmontables, se dressent sur le chemin de la Justice. En ce qui concerne la Cour Pénale Internationale (CPI) de La Haye, l'amiral peut y être à bon droit être inculpé de génocide et de crime contre l'humanité, deux délits identifiés par nos juristes dans la récente crise. Elle peut déjà recevoir des plaintes, même si elle ne dispose pas encore ni de juges, ni de procureur, ni de salle d'audience. Mais cette juridiction, créée le 1er juillet dernier, est mort-née, ou, tout au moins, mise en veilleuse pour un bon bout de temps. Les Etats-Unis craignent en effet que la CPI ne soit un instrument politique pour frapper ses troupes qui participent à des opérations de maintien de la paix (Bosnie, Kosovo, Afghanistan, etc.). Comme ils exigent l'immunité pour ses militaires vis-à-vis de la CPI, la revendication se heurte à un refus des Européens. Le bras de fer qui est appelé à durer compromet l'essor de la CPI et retarde son fonctionnement.
Par ailleurs, la livraison par la France de l'amiral Didier Ratsiraka par le biais d'une extradition n'apparaît pas évidente pour beaucoup. D'abord, parce que le chef d'Etat français Jacques Chirac et l'amiral entretiennent de longue date des relations amicales. Ensuite, parce que l'asile accordée par la France à l'amiral sur son sol (six mois renouvelables, indique-t-on), équivaut à une mesure de protection. Dans ces conditions, il paraît peu vraisemblable que l'Hexagone remette le génocidaire à l'Etat malgache, du moins à court terme. La demande d'extradition malgache peut donc se heurter à une fin de non recevoir, la France invoquant tel ou tel autre prétexte pour motiver son refus. Par exemple, des poursuites judiciaires "à but politique" à l'endroit de l'amiral, ou tout simplement l'existence de la peine de mort dans le droit malgache.
Bref, les prochaines initiatives judiciaires de l'Etat malgache ne sont pas forcément vouées au succès. Et dans ces épisodes médiatisés, l'amiral pourrait encore camper fermement sur le devant de la... Seine.
Adelson RAZAFY
DIVERS:
ASSOCIATION DES BOULANGERS PROFESSIONNELS
LE PAIN AU-DESSUS DE 1 000 fmg N'EST PAS JUSTIFIÉ

Le prix conseillé reste le même: 1 000 Fmg. Si des détaillants vendent la baguette de pain au-dessus de 1 000 Fmg, les boulangers n'en sont en rien responsables. Ils affirment qu'ils ne pensent pas du tout augmenter leur prix même si la hausse s'observe partout et surtout pour les matières premières et intrants dont ils ont besoin. Les boulangers ont remis à la presse samedi dernier les détails de ces hausses. Entre autres, on peut y lire que le sac de farine Kobama coûte actuellement 141 500 Fmg contre 112 500 Fmg en février. Soit une hausse de 26%. Pour la farine importée, la hausse est plus forte: 170 833 Fmg actuellement contre 117 500 Fmg en février. Et il n'y a pas que la farine, la hausse est partout: levures, améliorants, sel fin, gas oil, eau, électricité...
Si l'ABP (association des boulangers professionnels) ne songe pas à augmenter leur prix, c'est, a-t-on expliqué, parce que la Kobama lui a déjà promis que l'ancien prix serait rétabli. Pour amortir les impacts des hausses, soit ils subissent une réduction de leur marge, soit ils font varier légèrement le poids de la baguette. Ici, ils ont tenu à faire remarquer que la baguette, contrairement à ce que l'on croit, ne pèse pas 200g. C'est plutôt le poids de la pâte crue utilisée pour une baguette dont le poids varie entre 160 et 170 g. Et selon les boulangers, plus le pain sec obtenu avec la pâte crue de 200g est léger, plus il est croustillant. 
Sur leur marge, les boulangers ont joué la transparence: le prix de revient brut du pain est de 420 Fmg. Leur marge brute est ainsi de 330 Fmg (750 - 420). Soit 78,6%. La marge nette s'obtient, notons-le, en passant, après déduction des charges sociales, charges locatives, frais d'entretien et de réparation des matériels d'exploitation et des matériels roulants, assurances, téléphone, frais de transports, charges financières, les taxes et droits divers... Avec un prix de gros de 750 Fmg, et avec la TVA de 20%, c'est-à-dire 150 Fmg, les détaillants achètent la baguette à 900 Fmg. S'ils la revendent à 1 000 Fmg, ils bénéficient d'une marge de 11,11% (99,99 Fmg). 
Un prix au-dessus de 1 000 Fmg n'est en aucun cas justifié à Tana, a conclu le président de l'ABP, Amedée Ramalason. 
Sammy R.
DOUANES À TOAMASINA
VENTES AUX ENCHÈRES ILLÉGALES

Durant la crise post-électorale, le parc sous-douane au port de Toamasina a été le centre de divers actes criminels. Ainsi, 8 containers y ont été déplombés par des brigands pour être vidés de tout leur contenu. Heureusement, au moment où ces malfrats finissaient leurs actes, des agents de la sécurité ont pu les repérer pour les amener à s'enfuir. Ainsi, ils n'avaient pas pu vider entièrement les deux derniers containers. Selon les explications fournies par le DG des douanes dépêché sur place par le président de la République, les infrastructures du port de Toamasina présentent encore des failles énormes en matière de sécurité. Ainsi, les criminels peuvent joindre, pour perpétrer leurs actes, le parc sous-douane par la mer: en vedette ou pirogue, voire même à la nage.
Mais le DG Fulgence Rabemananjara a également répondu à nos questions relatives aux ventes aux enchères, opérées en pleine crise, diligentées au port suite à l'ordre formel donné par l'ex-gouverneur de Toamasina: " Toutes les conditions légales, devant permettre d'officier à de tel genre de vente aux enchères, n'ont pas été réunies. Telle, entre autres, le désintéressement de la Chambre de commerce ou encore le fait que les propriétaires des marchandises n'ont pas pu enlever leurs biens faute de sécurité d'accès à Toamasina consécutivement à l'installation des barrages terroristes de Brickaville. Et les responsables locaux de la douane n'ont pu faire que d'obtempérer à l'ordre donné par Samuel Lahady par peur de représailles ". En tout cas, des marchandises dans des containers des particuliers et, surtout, des véhicules importés appartenant à des privés ont été vendus lors de ces enchères. L'on évoque à Toamasina que, à titre d'exemple, un Peugeot 309 a été " adjugé ", lors de cette vente aux enchères, simplement à 1 500 000 fmg. Adjudication de complaisance dans la mesure où la séance n'a même pas été faite en public. De toutes les façons, I'on sait que cette vente aux enchères a été ordonnée par l'ex-gouverneur pour que l'équipe terroriste de Toamasina puisse acquérir des véhicules qu'elle a convoités au parc sous-douane. Pour rassurer les victimes, le DG des douanes a déclaré que son département prendra les dispositions qui s'imposent, tant au niveau de l'administration que devant la Justice, dès qu'il recevra une plainte émanant de celles-ci.
Rolly Mercia.
TRIBUNE-LIBRE:
LETTRE OUVERTE À HERIZO RAZAFIMAHALEO
La règle de politesse la plus élémentaire exige une rencontre audio ou visuelle entre nous deux. Malheureusement, n'étant pas en possession de vos coordonnées postale et téléphonique, je me suis résolu à entreprendre cette démarche aussi insolite qu'impertinente. Veuillez m'en excuser
Ces jours-ci, certains articles de presse sortent à votre encontre des allégations non fondées. Je crois qu'on veut vous couler. Qui c'est " on " ? Je ne peux procéder à une quelconque identification. Néanmoins, d'après le poète français Baudelaire " les Nations démocratiques n'ont de grands hommes que malgré elles, elles font tous leurs efforts pour ne pas en avoir ". Par simple induction, je conclus que vos détracteurs vous considèrent comme un grand homme politique en même temps qu'un grand homme d'affaires.
Malgré l'insignifiance de votre performance lors des récentes présidentielles vous êtes paradoxalement, l'homme à abattre politiquement parce qu'ils (vos détracteurs) savent parfaitement que l'histoire vous a donné raison lorsque vous vous êtes présenté comme le candidat de l'alternance sécurisante, l'optimum entre l'immobilisme et l'aventurisme. Par ailleurs, ils savent pertinemment que les 4 % de voix qui vous sont attribuées représentent de véritables sujets politiques, c'est-à-dire des individus dotés de raison, liberté et mémoire, capables de construire un " projet de vie " (John Rawls) qui ont pu comprendre le principal enjeu de cette élection et qui ont émergé au-dessus d'une masse de citoyens soumis au conditionnement politique des Eglises, asservis par l'argent et prêts à prendre toutes directions du vent, au moindre frémissement.
Pour vos détracteurs, vous êtes un grand homme d'affaires. Suivant le dicton " Ny hazo avo alan-drivotra " si vous étiez un petit épicier du coin, on ne se serait pas acharné contre vous. Au lieu de vous adonner à des activités spéculatives (de l'argent facile) sous la tutelle illicite des hommes du pouvoir, vous avez eu l'impudence de vous lancer dans des activités de production, en particulier dans le secteur aussi difficile qu'est l'industrie, animé de cette conviction qu'un développement rapide repose sur la créativité, l'initiative, la prise de risques des opérateurs économiques. Vous êtes parvenu à jouer dans la cour des grands, grâce à vos efforts personnels et évidemment avec l'appui de la banque et du système financier. A un âge où les jeunes cherchent encore leur voie, vous avez déjà créé plusieurs milliers d'emplois, vous avez déjà produit plusieurs centaines de milliards fmg de valeur ajoutée nationale.
Et maintenant, les attaques fusent à l'occasion de l'emprunt effectué par SITRAM auprès des Assurances ARO. Je sais qu'il est autorisé aux compagnies d'assurances par divers décrets, d'octroyer des prêts, de faire des placements financiers, de prendre des participations au sein du capital des sociétés. Ce sont des pratiques tellement courantes que dans les pouvoirs délégués aux Directeurs Généraux, il est spécifié : " le Directeur Général peut octroyer des prêts avec ou sans hypothèque etc…. "
A ce titre, il est demandé " aux sources bien informées " de bien vouloir consulter le rapport d'audit réalisé lors de la passation de service entre le Directeur Général sortant et entrant. Elles verront à la page 18, la liste du portefeuille des assurances ARO, et constateront la diversité des montants de prêts octroyés de 1 milliard fmg à plus de 10 milliards fmg, à des taux d'intérêt généralement presqu'identiques.
Par ailleurs, il semble que l'opération se serait dénouée dans les meilleures conditions pour les Assurances ARO. Les journalistes vous ont-ils interrogé à ce sujet avant de sortir leurs articles ? Donc, si vous tenez vraiment à vous expatrier au Canada, il y aurait de fortes chances pour que les Assurances ARO n'y fasse pas objection. Mais je sais que vous n'irez pas au Canada, c'est de la pure intox.
Certainement, vous avez été élevé suivant la tradition chrétienne et vos méditations religieuses ont fait renforcer votre foi en l'Evangile Saint MARC, qui contient le passage suivant : " Sambatra izay enjehina amin'ny fahamarinana… "
A trop vouloir détruire, il pourrait se produire le phénomène de la " sélection adverse " (principe d'Akerlof) qui est un mécanisme de marché conduisant à un recul progressif des produits d'un niveau de qualité donné au bénéfice des produits de niveau de moindre qualité, dans le secteur informel. Autre exemple : vous qui êtes de formation économiste, vous souvenez-vous de l'expression " la mauvaise monnaie chasse la bonne ", lorsque l'argent supplante l'or ?
Tel est votre cas, et c'est cela le côté tragique de ce pays : les mauvais veulent prendre la place des meilleurs au moyen de la calomnie. C'est triste, mais en fin de compte, c'est l'Histoire qui est triste. 
Mes amitiés,
INGAHINDRIANA
Assemblée nationale: Rajomalahy Samuel "Qu'il n'y ait pas d'amalgame"
Opération anti-corruption, d'une part, opération pacification, de l'autre. C'est dire qu'aujourd'hui, l'on s'attelle à la double lutte contre la concussion et l'insécurité rurale. Concernant ce dernier point, le PDS Pety Rakotoniaina de Fianarantsoa a invité de nombreux journalistes pour vivre sur le terrain le lancement de l'opération dans les zones qualifiées de rouge dans le centre Sud. Ikalamavony, Ambatofinandrahana et même Ambohimahasoa et Fianarantsoa II figurent en tête de liste.
A Ambalavao, l'élu Rajomalahy Samuel a été le premier à tirer la sonnette d'alarme. "L'opération-Malaso" avait débuté plus tôt que prévu. Il a contribué à l'arrestation de son homonyme Rajomalahy Ernest, bandit de grand chemin ayant semé la terreur d'Ambohimahasoa à Andonaka. Il appartient désormais à la Justice de trancher pour qu'il n'y ait pas d'amalgame et de confusion. Ce que souhaite le questeur de l'Assemblée nationale.
MFM: Congrès national
Le parti MFM organise du 21 au 23 août un congrès national au siège de l'INPF à Maibahoaka-Ivato. Deux représentants de chaque sous-préfecture feront donc le déplacement de Tana-Ville, et le bureau national du MFM prendra en charge leurs frais de déplacement, de restauration et d'hébergement. 
Germain Rakotonirainy, secrétaire général (c'est-à-dire numéro deux après Manandafy Rakotonirina) a déjà parcouru les provinces pour sensibiliser les sections sur l'importance de ces assises. La semaine dernière, il était à Mahajanga et a organisé un rassemblement au centre de Mahabibo pour réorganiser les structures locales du parti. 
On signalera que le MFM n'a pas présenté de candidat à l'élection présidentielle du 16 décembre dernier, contrairement aux fois précédentes.
Bien avant le scrutin, le parti a soutenu publiquement le candidat Marc Ravalomanana, et fut aux côtés de ce dernier lors de la crise aiguë de six mois. Nommé ensuite conseiller spécial du président Marc Ravalomanana, le chef du MFM Manandafy Rakotonirina fit honneur à ses nouvelles fonctions en participant activement aux sommets de Dakar et d'Addis-Abeba.
Deux sympathisants du MFM, Ranjivason Théodore et Rakotovazaha Olivier siègent dans l'actuel gouvernement, à un titre ou à un autre...
Sport: 13è championnat d'Afrique, la médaille d'Or pour Rakotozafy Rosa
Exploit extraordinaire pour l'Athlétisme malgache, samedi dernier à Tunis, la capitale Tunisienne, où s'est déroulé du 6 au 10 Août derniers, le 13e championnat d'Afrique d'Athlétisme.
Madagascar, par l'intermédiaire de Rosa Rakotozafy, pensionnaire du Centre Internationale d'Athlétisme de Dakar ( CIAD ), est monté sur la plus haute marche du podium pour la médaille d'Or du 100 m haies dames.
En effet, Rosa Rakotozafy qui avait fait mieux ( médaille d'Argent ) qu'à Alger, il y a deux ans, a remporté, samedi dernier, la finale du 100 m haies dames dans un temps de 13" 13 améliorant du coup sa meilleure performance de la saison qui était de 13" 30.
Dans la finale du 100 m haies, Rosa Rakotozafy a devancé de 03/100e de secondes, la Nigériane, Angela Atede, deuxième pour la médaille d'Argent, avec un temps de 13" 16. La médaille de Bronze est revenu à la Sénégalaise, Kene Ndoye, troisième en 13' 72.
Avec cette médaille d'Or de Tunis, Rosa Rakotozafy est sélectionnée pour représenter l'Afrique à la prochaine coupe du monde de Madrid en Espagne, les 20 et 21 septembre prochains.
Au classement des médailles, Madagascar qui totalise deux médailles dont une d'Or celle de Rosa et une d'Argent, celle de Berlioz en 110 m haies, termine la 13e édition du championnat d'Afrique, à la 14e place.


Midi de Madagascar 12/08/02
Patrick Ramiaramanana, PDS d'Antananarivo-Renivohitra
" Je ne suis pas investi d'une mission politique,
je suis ici pour restaurer la discipline "

Nommé à la tête de la Délégation spéciale dela Commune Urbaine d'Antananarivo (CUA), Patrick Ramiaramanana affiche unevolonté et un courage de relever les défis que l'ancien Maire de la capitale,Marc Ravalomanana a inscrits dans son programme. Deux ans et demi après sonélection, ce dernier quitte ainsi le " Fivondronana " pour céder la place,d'abord, à son adjoint de l'époque, Guy Rajemison Rakotomaharo, devenu, luiaussi, Président du Sénat, puis à Patrick Ramiaramanana, désigné par leministère de l'Intérieur comme Président de la Délégation Spéciale de la CUA,selon les dispositions légales. Quelques jours après sa nomination, PatrickRamiaramanana se penche actuellement sur les dossiers, les " poumons " de lacapitale. Bien qu'il soit un peu prématuré pour lui de poser des questions surles détails, il a quand même accepté de répondre d'une manière générale à nosquestions. Interview. 
Val Andriamahaitsimiavona 
Midi : M.Le Président, vous voilà à la tête de la Mairie de la capitale de Madagascar, quelles sont vos priorités ?
Patrick Ramiaramanana : Etant donné que presque tout le programme inscrit pour cette année s'est trouvé affecté par les événements que le pays vient de vivre, il me paraît urgent d'accélérer le processus de la réhabilitation des routes et de l'embellissement de la ville, c'est-à-dire, la continuation de ce qui était déjà prévu pour Antananarivo. Cela concerne beaucoup de volets : canalisation, assainissement, mise en fonctionnement des infrastructures publiques, etc. La plupart entre dans le cadre des projets concernés par le financement de 110 milliards fmg dont une grande partie fait déjà l'objet d'appel d'offres. Nous avons déjà eu une séance avec l'Agetipa concernant certains volets et les travaux devront débuter la semaine prochaine. Il s'agit par exemple de quelques tronçons de routes comme à Mahamasina, à Isotry, à Anosipatrana, ou encore à Ampefiloha.
Midi : La Commune avait lancé avant la fin de l'année dernière une grande opération, une campagne pour la propreté et l'hygiène. Qu'en est-il actuellement ? 
PR : Dans les six arrondissements, les actions menées avaient connu un résultat conséquent. La crise étant, il reste à préserver les acquis mais aussi de continuer l'opération de sensibilisation et d'achever certains travaux suspendus, comme par exemple, l'installation des matériels relatifs à l'acheminement d'eau permettant aux lavoirs et aux WC de fonctionner. Il nous faut également répertorier les endroits où il est nécessaire d'entamer de nouveaux travaux.
Midi : Parlons de ces marchands qui inondent les trottoirs… 
PR : La croissance du nombre de petits marchands traduit la pauvreté d'une ville. Il nous faut donc une politique de base. Mais dans le programme financé par la Banque mondiale qu'on vient d'évoquer tout à l'heure, il y a un volet construction de marchés où on essayera de pallier les problèmes que vous évoquez. Pour le moment, il s'agit de restaurer la discipline, tout en réfléchissant comment on peut les aider. Déterminer les lieux où ils peuvent être placés, en attendant. C'est comme dans ces travaux de remblais illicites. Tout le monde doit être au-dessous de la loi. Il faut que les réglementations en vigueur soient suivies. Je serai particulièrement sévère sur ce plan-là. Pareil pour ces affichages sauvages, ou encore ces stationnements encombrants. Il faut restaurer la discipline quelque peu effarouchée par la récente crise politique.
Midi : Parlons politique. Vous êtes nommé à la tête de la Délégation spéciale jusqu'à ce qu'une élection de Maire se tienne. Les textes parlent de 60 jours. Qu'en est-il exactement ? 
PR : D'abord, je tiens à préciser que je ne suis investi d'aucune mission politique. J'ai accepté de bonne foi ma nomination et j'agirai en conséquence. Il échoit au ministère de l'Intérieur de prendre les décisions sur ce plan-là. J'ai d'autres missions, exécuter les programmes et administrer la Commune.
Midi : Et vos relations avec les conseillers municipaux ? 
PR : Aucun problème. Je les ai rencontrés au palais d'Ambohitsorohitra. Ils ont manifesté leur volonté de collaborer et moi de même. Pour moi, il faut une cohésion et une entente parfaite pour pouvoir réaliser des choses. Et je fais appel dans ce sens. Prenons le même départ, travaillons main dans la main pour la capitale de Madagascar. 
Opération " dahalo "
Plus de 1000 bovidés récupérés, 5 dahalo arrêtés dans le sud depuis fin juillet 
En moins de 15 jours, de finjuillet à mi-août, quelque 1300 bovidés ont été récupérés par les forces del'ordre dans la région d'Ambalavao, d'Ihosy et d'Ikalamavony, et 5 "dahalo" ont été arrêtés,selon des sources locales.
Bodo A. 
Cette prise est le fruit des efforts des gendarmes, qui ont procédé à une traque aux "dahalo" bien avant le lancement de l'opération officielle de la chasse aux "dahalo" annoncée par le Président de la République. Selon la population de ces régions, qui connaît bien les habitudes des "dahalo", à force d'en être les victimes, ces derniers sont plus actifs que jamais dans la période précédant une opération militaire. Les attaques et les vols de bœufs se multiplient ainsi à l'approche de toute opération militaire annoncée publiquement ou dans les coulisses. Cette fois, les forces de l'ordre ont ainsi précédé les "dahalo" et ont lancé leur opération bien avant ces derniers. Une opération qui a, apparemment, porté ses fruits. Sur les 1300 bovidés, 150 ont déjà pu être récupérés par leurs propriétaires selon des sources locales.
PDS 
Le PDS de la province de Fianarantsoa, Pety Rakotoniaina, a participé activement à ces opérations. Il avait déjà annoncé lors des manifestations "Tambatra 2002" qui se sont tenues à Fianarantsoa au mois d'avril, sa volonté d'en venir à bout de ce fléau qu'est le vol de bœuf, un problème qu'il connaît particulièrement. Ayant été le député de la région d'Ikalamavony, l'une des zones les plus chaudes en la matière, avant d'être PDS, il en connaît sûrement long sur le sujet. Ces derniers temps, le PDS se déplaçait souvent en dehors de la ville de Fianarantsoa pour effectuer des tournées dans les zones sensibles. En tout cas, aussi bien dans cette région que dans le reste de Madagascar, la lutte contre le vol de bœuf est devenue une priorité nationale.
Commémoration du 10 août
Les " anciens " veulent politiser l'histoire, affirme le Mouvement des Jeunes pour l'Avenir de Madagascar 
Le Majm, ou le Mouvement des Jeunes pour l'Avenir de Madagascar, cette association qui a organisé la célébration du 11è anniversaire des événements du 10 août 1991, se rend compte que les anciens, " ces personnalités connues qui ont fait de la politique depuis longtemps " veulent politiser l'histoire de Madagascar. Razafinjatovo Tsilavina, coordonnateur et responsable de communication au sein de cette association, qui a vu le jour en début juillet 2002, explique : " Quand nous avons organisé cette manifestation sur les événements du 10 août, nous avions vraiment dû nous débrouiller seuls. Nous avons demandé à rencontrer des politiciens qui se sont impliqués dans cette lutte, mais ils n'ont pas voulu nous recevoir. Pourtant, nous n'avions pas de visée politique en organisant cette manifestation, c'était surtout dans le but de mieux faire connaître aux Malgaches leur histoire. " 
Bodo A. 
Organisation
D'ailleurs, d'autres organisations sont déjà prévues par cette association pour les années à venir, dont la commémoration de l'incendie du Palais d'Antananarivo le 06 novembre, l'insurrection de 1947…Concernant la marche sur Iavoloha qui a été annulée au dernier moment, elle n'aurait pas reçu l'aval de la Préfecture, toujours selon la même source. Quoi qu'il en soit, cette commémoration a attiré du monde, surtout au niveau de l'exposition et de la projection de film à l'espace Rarihasina. Selon l'estimation du responsable du Mjam, celles-ci ont attiré pas moins de 1000 personnes par jour. En effet, 4 projections étaient programmées tous les jours.
Peu de cas
Les membres de l'association, par le biais de son responsable de communication, déplorent surtout le peu de cas que l'on accorde à l'histoire de Madagascar : " Quand on parle de Mao Tse Tong ou de Hitler, on connaît jusqu'à leur date de naissance. Mais quand il s'agit de l'histoire de Madagascar, on dirait que tout est fait pour que les Malgaches n'en sachent guère les détails ", a-t-il analysé. Et de conclure: " Ce n'est pas parce que nous ne sommes pas des Hery Velona ou des membres de l'Undd, que nous n'avons pas le droit d'organiser une manifestation sur les événements de 1991. Il faut que les " anciens " cessent de politiser l'histoire de notre pays ". Les événements leur donneront sûrement raison…
Fier Mada : Plus de 25.000 visiteurs
Un nouvel horizon pour les paysans 
La 4 ème édition de laFoire Internationale de l'Economie Rurale (Fier Mada 2002) a pris fin hier sousle signe de la satisfaction surtout du côté des paysans pour lesquels un nouvelhorizon s'ouvre après les contacts et les formations reçues pendant les cinqjours de manifestation. Côté affluence, un des organisateurs de cettemanifestation nous a déclaré qu'environ 5000 personnes ont visité chaque jourFier Mada. Ce qui fait plus de 25.000 visiteurs pendant les cinq jours demanifestation.
Edmond Rakotomalala 
Satisfaits
Les membres de Fivondronan'ny Tantsaha eto Vakinankaratra FITAVA ou Groupement des paysans du Vakinankaratra ont raison d'être satisfaits, leur projet d'ouvrir un point de vente de leurs produits est finalement sur le point d'être réalisé, puisque la participation au Fier Mada leur a permis de trouver des partenaires. Mieux, a indiqué le Président du groupement, " nous avons trouvé beaucoup de potentiels preneurs pour nos produits ". Des produits très prisés d'ailleurs par les visiteurs de Fier Mada, puisque de simples échantillons au début, ils ont été par la suite vendus à la demande des visiteurs. Du coup, la FITAVA était obligée de faire parvenir d'Ambatolampy une dizaine de sacs de produits locaux (maïs, haricots …) 
Concours
Ce n'est pas uniquement ces paysans du Vakinankaratra qui ont pu tirer profit de Fier Mada. Juste à leur côté, des femmes membres d'une association d'artisans ne cachent pas non plus leur satisfaction. " Si nous avions été avisées plus tôt de la tenue de la foire, on se serait mieux organisées et aurait mieux tiré profit de la manifestation ", lance l'une d'elles. Une ferme paysanne a vendu toutes les vaches laitières exposées, tandis que les tapis mohair venus tout droit du Sud ont tous trouvé preneurs bien avant la clôture de Fier Mada. De même, des paysans venus de l'Imoron'i Mania ont liquidé tous les fruits qu'ils ont emmenés. A noter, par ailleurs, le succès du concours du meilleur pâtissier qui a bénéficié de l'appui de Cora qui a prêté ses matériels de production pour la réalisation du concours. 
Financement
Et si le succès commercial était au rendez-vous, les participants ont aussi eu l'occasion d'apprendre. Et pas n'importe quelle matière, puisque les paysans notamment ont eu droit à des séances de formation sur la notion de financement des micro-projets. Faut-il en effet rappeler que le thème principal de Fier Mada cette année était : " Renforçons le financement rural " ? Ainsi, durant les cinq jours et en marge de la vente exposition, une série de formations sur le financement rural a eu lieu, notamment avec la participation du Projet de Soutien au Développement Rural (PSDR), et les associations de mutuelles de crédit rural comme la CECAM, par exemple.. Des formations qui ont permis à ces paysans de mieux connaître le système de financement du monde rural. " Nous espérons la mise en place très rapide de ces systèmes chez nous ", a déclaré un paysan. 
Un succès, en somme, pour Fier Mada malgré le fait qu'elle ait été organisée juste après la crise. Rendez-vous est donné l'année prochaine puisque dorénavant, Fier Mada aura lieu chaque premier mercredi du mois d'août. 

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EXPRESS DE MADA  12/08/2002
Un audit est en cours sur l'utilisation des crédits additionnels de l' "IPPTE"
Après la récente publication du rapport de l'Inspection générale de l'Etat sur l'utilisation des fonds secrets de la Présidence de la République, l'on apprend qu'un audit est actuellement en cours - confié, cette fois, à la Chambre des comptes - sur les abus qui auraient été commis dans l'affectation des crédits mis à la disposition du précédent gouvernement dans le cadre de l'Initiative en faveur des pays pauvres très endettés (Ippte). Il s'agit des ressources additionnelles qui ont été dégagées à la suite de l'allégement de la dette obtenue, en décembre 2000, à hauteur de 1,5 milliard de dollars - soit quelque 815 millions de dollars en valeur nette actualisée (l'équivalent de 4 455 milliards Fmg à l'époque) -, et qui étaient censées renforcer les crédits alloués à l'éducation, la santé, les infrastructures, l'adduction en eau potable et l'environnement. Aucune indication n'est donnée, pour l'instant, sur les montants qui auraient ainsi "changé d'affectation", mais la procédure utilisée semble des plus irrégulières. En effet, la mobilisation d'une partie importante des fonds a été effectuée au moyen d'un simple décret d'avance, pris en milieu d'année, alors qu'il aurait fallu une loi de finances rectificative pour définir la nouvelle répartition des crédits dans le budget de l'Etat. L'enquête dira comment les fonds ont été effectivement utilisés, mais tout semble indiquer qu'ils ont contribué, pour une grande partie, à renforcer le "trésor de guerre" de l'ancienne équipe dirigeante. On était à quelques mois de l'élection présidentielle. 
Après les fonds spéciaux, la Présidence de la République "s'intéresse" à l'utilisation, par le précédent gouvernement, des ressources additionnelles dégagées grâce à l'Initiative en faveur des pays pauvres très endettés (Ippte), mécanisme qui avait permis à la Grande Île d'obtenir des bailleurs de fonds, en décembre 2000, un allégement de sa dette à hauteur de 1,5 milliard de dollars, soit l'équivalent de 815 millions de dollars en valeur nette actualisée (environ 4 455 milliards Fmg de l'époque). Cette enveloppe, qui représente 40% de l'encours total fin 99, devait permettre une économie annuelle d'environ 60 millions de dollars sur le service de la dette entre 2001 et 2019, et les montants réaffectés étaient censés renforcer les crédits alloués à l'éducation, la santé, les infrastructures, l'adduction en eau potable et l'environnement. 
Aucune indication n'a été donnée, pour l'instant, sur les montants mis en cause, mais il semblerait que des abus aient été commis. Cette fois, c'est à la Chambre des comptes qu'il a été demandé de faire la lumière sur des affectations qui n'auraient donc pas respecté l'orthodoxie budgétaire. En l'occurrence, la mobilisation d'une partie importante des fonds a été effectuée au moyen d'un simple décret d'avance, pris en milieu d'année, alors qu'il aurait fallu l'adoption d'une loi de finances rectificative pour définir une nouvelle répartition des crédits dans le budget de l'Etat. Une procédure d'exception qui n'aurait vocation à s'appliquer qu'en cas d'urgence, sauf à considérer que la pauvreté peut être considérée comme une urgence nécessitant le recours à une telle procédure, selon l'explication "officieuse" qui aurait été invoquée à l'époque pour justifier la démarche. Il est vrai que le Parlement n'était plus plus en session, mais la convocation d'une session extraordinaire aurait pu être envisagée. 
Autre entorse à l'orthodoxie : le décret en question a été mis en vigueur sans la publication préalable au Journal officiel, ce qui expliquerait le fait qu'il n'y ait pas eu plus de "réactions" autour. En tout cas, il apparaît d'ores et déjà établi que les principaux bénéficiaires de cette nouvelle répartition de crédits ont été la Présidence de la République, la Primature, et les deux ministères de la Santé et de l'Enseignement. On parle notamment d'allocations "substantielles" accordées aux responsables provinciaux de ces départements, aux chefs de circonscription scolaire, au titre des dépenses de fonctionnement (fournitures de bureau, indemnités de déplacement, carburants…), ce qui autorise en fait bien des hypothèses dans la mesure où l'élection présidentielle approchait. L'enquête dira comment les fonds ont été effectivement utilisés, mais tout indique qu'ils ont contribué, en grande partie, à renforcer le "trésor de guerre" de l'ancienne équipe dirigeante.
Le ministre Charles S. Rabotoarison à Toamasina 
La semaine dernière, le ministre de l'Environnement Charles Sylvain Rabotoarison est descendu à Toamasina avec au programme la réception officielle des matériels d'équipement destinés à la lutte contre les déversements d'hydrocarbures en mer, au port de Toamasina, consultation de l'Ong Frères de Saint-Gabriel au Cité Canada et une visite du parc national d'Ivoloina suivie d'une réunion de concertation avec des entités impliquées dans la protection de l'environnement dans la région. 
Compte tenu du nombre de passages de pétroliers et de la taille de ces navires engagés dans le trafic maritime autour de nos côtes, le risque de pollution par des hydrocarbures existe et l'éventualité de pollutions accidentelles ne peut être écartée pour notre île. On estime qu'environ 700 millions de tonnes de pétrole brut traversent annuellement les eaux de îles de l'océan Indien dont 350 millions dans le canal de Mozambique, à destination de l'Europe, l'Asie et l'Amérique. Les statistiques montrent également 1200 voyages par an de gros pétroliers (>250.000 tonnes) et 4000 voyages de pétroliers de taille moyenne (environ 60.000 tonnes). Ainsi le risque d'accident comme l'abordage, échouage et la collision est possible. C'est pourquoi l'importance de ce don de matériels que le ministère de l'Environnement a reçu de la Banque mondiale par le biais du Fem (Fonds pour l'environnement mondial) dans le cadre du projet de lutte contre les déversements d'hydrocarbures en mer. Initié depuis l'année 1999, il s'agit d'un projet à vocation régionale, à réaliser avec les pays de la Commission de l'Océan indien (Coi) dont la coordination nationale est confiée à Florent Rakontondrasata. Le coordonnateur du projet au sein de la Coi Raj. H. Prayag a remis officiellement le don au ministre de l'Environnement Charles Sylvain Rabotoarison, jeudi 8 août dans l'après-midi. Une dotation évaluée à des milliards de Fmg (tirés des 4,5 millions de dollars Us du financement total du projet), elle comporte de lot national et de lot régional. Les 7 ports de la Grande-île à savoir : Antsiranana, Mahajanga, Manakara, Sainte-Marie, Toamasina, Toliara et Tolagnaro en ont, en effet, bénéficié dont le montant tourne respectivement en moyenne autour des 100.000 dollars. Le lot national est placé sous la responsabilité du Port de Toamasina. 
Chaque port bénéficiaire a déjà son propre plan de lutte contre les déversements d'hydrocabures. Et des formations continues sont actuellement mises en œuvre pour mieux assurer la performance des agents chargés d'entretenir et d'utiliser ces matériels. 
Il faut noter que ce don comporte des barrages pour confiner les hydrocarbures déversés en mer et arrêter leur dérive, des écrémeurs (à moto-pompe et en feuilles-buvoir) pour la récupération, des reservoirs pour décantation). Et pour faciliter le déplacement, ils sont entasser dans des remorques à carrosserie inoxidable. 
En expliquant la performance de cette nouvelle dotation, le coordonnateur du projet au sein de la Coi qui a dirigé la séance de démonstration de l'utilisation de ces matériels, a révélé que "c'est la première fois que ce système de prévention et de protection, dont l'efficacité a été prouvée au niveau mondial, est adopté dans la région de l'océan Indien". D'autres pays de l'Afrique riverains de l'océan Indien tels la Tanzanie, le Kenya, l'Afrique du Sud, le Mozambique vont prochainement être intégrés dans le système. Un processus qui s'avère nécessaire dans la mesure où la protection de l'environnement marin demande la coopération régionale et internationale. C'est pourquoi Madagascar, pour ce faire, a dû s'engager à signer les 3 conventions internationales y afférentes. Ainsi, Madagascar peut faire appel à la communauté internationale quand la catastrophe dépasse sa capacité d'intervention. Puisqu'il s'agit également des hydrocarbures, la coopération avec les compagnies pétrolières est très sollicitée. Une réunion axée dans ce sens a déjà eu lieu à Maurice. 
Toujours dans la même journée, le ministre a effectué une visite auprès de l'Ong Frères de Sain-Gabriel dont on parlera dans une prochaine édition.
Ministère de la Fonction publique, du travail et des lois sociales 
Mais ce qu'on ne savait pas beaucoup, c'est le travail effectué en quelques mois par le Dr Vola Dieudonné Razafindralambo en charge du ministère de la Fonction publique, du travail et des lois sociales. Etant lui-même un cadre de l'Etat, ayant déjà exercé comme secrétaire général au sein de ce département, il lui a été plus facile de négocier avec les syndicats des fonctionnaires et des travailleurs ainsi qu'avec les groupements du patronat. En plus, diplômé des universités de Pittsburg (Management) et de Boston (Leadership Efficient) en plus de son doctorat en médecine obtenu à l'université d' Antananarivo en 1980, le Dr Vola Dieudonné Razafindralambo maîtrisait déjà les dossiers puisqu'il a été enseignant à l'Enam (Ecole nationale d'administration) tout en étant chef de service de perfectionnement et de formation du personnel au sein du ministère de la Santé, avant de diriger le ministère de la Fonction publique, du travail et des lois sociales. Entretien. 
MISE EN PLACE DU CONSEIL SUPERIEUR DE LA FONCTION PUBLIQUE 
L'une des premières décisions prise par le Dr Vola Dieudonné Razafindralambo au sein de son déprtement a été la mise en place du conseil supérieur de la Fonction publique. "Il s'agit d'un organe consultatif réunissant les fonctionnaires et le ministère. C'est au sein de cet organe que les syndicats peuvent émettre leurs avis concernant l'amélioration des conditions des fonctionnaires sur tous les plans. Les décisions prises par ce conseil seront soumises au conseil des ministres qui prendra les décisions définitives", nous a-t-il précisé. Bien avant cela, ce département s'est déjà occupé des dossiers d'avancement d'échelon et de classe des agents de l'Etat. "Plus de 90% (quatre-vingt dix pour cent) des dossiers ont été traités mais je pense qu'il faudrait centraliser les dossiers au sein de ce département pour que nous puissions accélérer les procédures, d'autant que certains ministères oublient parfois de nous faire parvenir les dossiers de leurs employés" précise le ministre Vola Dieudonné Razafindralambo. En plus, son département s'est aussi occupé de l'accélération de l'étude des dossiers des fonctionnaires admis à la retraite. Selon le ministre, "tout fonctionnaire doit être informé des dossierss qu'il doit fournir six mois avant sa mise à la retraite afin qu'il n'y ait pas beaucoup de temps entre sa dernière paie en tant que salarié et celle en tant que retraité". 
MISE EN PLACE DU CONSEIL NATIONAL DE L'EMPLOI 
Concernant le secteur privé, après une rencontre avec les organisations patronales et syndicales, le ministre Vola Dieudonné Razafindralambo a pu entamé le dialogue social. "Une entité dénommée conseil national de l'emploi regroupant les syndicats des travailleurs, les organisations patronales et le ministère existe actuellement. Elle a aussi un pouvoir consultatif puisque toute décision qu'elle juge nécessaire devra être soumise au conseil des ministres, seul habilité à prendre les décisions définitives". 
Au cours de la mise en place de ces deux organisations, le ministre Vola Dieudonné Razafindralambo a pu constater que… "toutes les entités - secteur public, secteur privé et patronat - ont constaté que certaines lois régissant le travail à Madagascar doivent être actualisées ou plus précisément remises à jour". Et de conclure : "Il appartient donc à ces organisations d'en faire des propositions". Enfin, pour plus d'efficacité dans les contrôles, les inspecteurs du travail devront à partir de maintenant se déplacer à deux et doivent, dans chaque société qu'ils visitent, rencontrer séparément les travailleurs et les employeurs avant une éventuelle confrontation.
LA CNAPS AURA SON CONSEIL D'ADMINISTRATION DANS DEUX MOIS 
En terminant cet entretien, le Dr Vola Dieudonné Razafindralambo a souligné que le conseil d'administration de la Cnaps (caisse nationale de prévoyance sociale) sera mis en place d'ici deux mois.
Marché boursier - Madabourse reprend ses activités 
L'association "Madabourse" a été créée depuis deux ans déjà, mais n'a pas encore eu l'occasion de se faire connaître du grand public, sinon de faire ses preuves dans le domaine où elle s'est assignée une mission de relance du marché boursier au pays. Un marché qui reste pratiquement inconnu pour la majorité de l'opinion, mais que ses promoteurs ont, à juste titre, voulu expliquer à travers un récent entretien avec Harotsilavo Rakotoson qui est l'un de ces promoteurs du nouveau marché boursier à Madagascar. 
o Madabourse vient de bénéficier du soutien du Vice-premier ministre Narisoa Rajaonarivony pour sa relance; qu'en est-il exactement ? 
- Nous le remercions chaleureusement. Son appui rentre d'ailleurs dans le droit fil de ce qu'il a évoqué dans son allocution lors de l'inauguration de la Bourse, à savoir le "public and private partnership". C'est donc, à la fois son soutien public et l'état d'esprit dans lequel ce soutien s'exprime qui nous rendent très optimistes quant au nouvel élan que son département va apporter au pays. 
o Qu'entendez-vous exactement par nouvel élan ? 
- Il serait trop facile d'être cruel et de tirer sur une ambulance. Il faut tout de même se souvenir de ce qu'était ce département auparavant. Et le changement notable est justement cette volonté affichée par le Vice-premier ministre actuel de mettre fin à l'affairisme, et en outre de travailler avec le privé dans la transparence. C'est une avancée remarquable pour notre pays. 
o Au-delà de ces considérations, que pensez-vous des réformes qu'il projette de mener ? 
- Je voudrais d'abord faire une remarque sur ce qu'il a dit à propos des aides obtenues à Paris. Je pense qu'il avait du courage à être aussi clair et transparent sur cette question. Bien entendu, c'est son rôle, car un ministère du budget est par définition celui qui dit non neuf fois et demie sur dix. C'est courageux car les attentes sont grandes dans l'opinion publique… Sur les réformes du secteur financier, il s'engage sur un terrain vital pour le pays. Le secteur financier est celui qui est le plus verrouillé et le plus contrôlé et donc le plus rétif aux réformes. Mais c'est notre avenir. Et en tant que Madabourse, mais aussi tout simplement en tant que jeune Malgache, je lui souhaite d'y réussir pour notre avenir dans ce pays.
Prix du pain - Les boulangers de l'ABP jouent la transparence 
Se sentant particulièrement visée par certains articles de presse, ces derniers temps, les boulangers regroupés dans l'Association des boulangers professionnels (ABP), dirigés par son Président, Amédée Ramalason, ont joué la transparence devant les journalistes, samedi, pour expliquer le différentiel de prix du pain de 200 g. 
En effet, on a surtout repproché aux boulangers les énormes profits qu'ils réalisent en vendant le pain entre 1 250 et 1 500 Fmg l'unité. Sur ce point, les boulangers ont été formels: si le pain est vendu à ces prix, ce n'est pas du tout de leur faute. Tous les boulangers de l'ABP cédent leurs produits aux revendeurs et aux détaillants à 900 Fmg l'unité (750 Fmg + TVA, soit 900 Fmg TTC) en leur conseillant un prix de vente aux consommateurs de 1 000 Fmg, soit une marge bénéficiaire de 11,11 % (900 Fmg x 11,11% = 99,99 Fmg). Donc le dépassement de ce prix conseillé relève uniquement des revendeurs et détaillants. 
Pour expliquer ce prix de gros Hors Taxes de 750 Fmg , les boulangers sont partis sur la base des données suivantes: 
- 1 sac de 50 kgs de farine Kobama : 112 500 
- 400 grs de levure Saf instant : 9 120 
- 250 grs d'améliorants Maginix : 7 150 
- 1 kg de sel fin : 1 400 
- 5 litres de gas - oil pour la cuisson : 20 650 
- 11,67 kwh de courant force : 5 368 
- 30 litres d'eau : 29 
--------- 
Total 156 217 Fmg 
PAS DE HAUSSE DE PRIX À CRAINDRE 
Si avec un sac de farine , on obtient généralement 376 pains, le prix de revient brut du pain est donc (arrondi) de 420 Fmg, d'où le décompte ci après: 
- Prix de revient brut : 420 
- Marge brute (78,6 %) : 330 
----- 
- Prix de gros HT 750 
- TVA 20 % 150 
----- 
Finalement, on aboutit à un prix de vente aux revendeurs TTC de 900 Fmg. 
À priori, on peut relever que la marge brute (78,6 %) appliquée paraît excessive. Mais les boulangers ont fait remarquer que la marge bénéficiaire nette de chaque entreprise s'obtient après déduction : des charges sociales (salaires, CNaPS, Ostie), charges locatives, frais d'entretien et de réparation des matériels d'exploitation et des matériels roulants, Assurances, téléphone, frais de transports, charges financières (agios), taxes et frais divers, dotation aux amortissements, ... 
Sur la base de ces calculs, les boulangers ont expliqué que le prix qu'ils appliquent sont réalistes et ne peut être considéré, en aucun cas, comme exploitant les consommateurs. Et d'ajouter qu'ils ont toujours accompagné la population (qui constitue aussi les consommateurs) dans sa lutte. Ainsi, a-t-on fait remarquer que, quand l'ordre de faire de la capitale "une ville morte" a été lancé pendant la crise, on n'a pu trouver un seul pain dans la ville. De même, pendant cette période, l'ABP a toujours fait l'effort de ne pas arriver à une situation de rupture de pain malgré la hausse exhorbitante des prix des matières premières et consommables (farine, carburants, ...). 
Actuellement, les boulangers déplorent que le prix des matières premières, intrants et consommables soit entraîné dans une spirale de hausse de prix. À titre d'exemple, le prix du sel fin est passé de 700 Fmg/kg HT (en août 2001) à 1 400 Fmg/kg HT (en août 2002), l'essence de 4 010 Fmg/l (en février 2002), à 5 520 Fmg/l (en août 2002). 
Mais les consommateurs n'ont pas à craindre d'une hausse de prix prochainement, selon l'Abp, pour qui "l'ajustement" se fera au niveau du poids du pain.
Média - Nestor Rasolofonjatovo privé de tout contact 
Mais cette visite vient de lui être refusée depuis samedi dernier, apprend-on. Il semble même que Nestor a été isolé dans une cellule, privé de tout contact et donc de visite. Les raisons de cette mesure seraient que les charges retenues contre Nestor semblent s'assimiler à de véritables actes de déstabilisation du régime en place, autrement dit d'atteinte à la sûreté de l'Etat, et qu'en attendant le procès proprement dit, qui statuera sur la véracité et le bien-fondé ou non de tels soupçons, le prévenu est formellement interdit de visite et contact… sauf avec ses avocats. C'est déjà une bonne chose, mais la confrérie des journalistes est unanime à revendiquer que cette affaire soit jugée dans les plus brefs délais.


NOSINTSIKA Antananarivo , alahady 11 aogositra 02
manakory aby daholo tompoko , 
Rétrospective (jery todika) de la semaine du lundi 05 août au dimanche 11 août 02 . 
Sources : LAKROA , MIDI, MBS 
1. SANTE PUBLIQUE : épidémie mortelle de grippe dans le Sud ( suite) 
L'hécatombe continue avec un bilan de plus de 300 morts dans le Sud-Est et 5000 malades . De nouveaux foyers de grippe ont été découverts comme à Ifanadiana , Manakara . Après examens , les autorités sanitaires et l'Institut Pasteur confirment l'existence d'une grippe virale de type A , forme de grippe qui a toujours existé chez nous mais qui, faute de soins a eu des effets ravageurs . Il s'agit là d'impacts plus ou moins indirects de la crise . Toutefois, même si l'épidémie s'étend cette semaine , la population est mieux avertie et se soigne à temps . 
L' OMS ou Organisation Mondiale de la Santé a décidé d'intervenir en envoyant des experts pour déterminer les raisons de l'ampleur de l'épidémie dans les régions pauvres frappées par la malnutrition et par une situation sanitaire plus que précaire .
2. Le Sénat a nommé ses 2 nouveaux membres à la HCC ( art. 119 de la Constitution ) 
Deux jours après l'ouverture de la session extraordinaire , les sénateurs ont procédé à l'élection de leurs représentants qui doivent siéger au sein de la HCC . Sur 30 candidats mobilisés au début , ont été retenus au final M. Rabehaja Fils Edmond ( proposé par l'AREMA) à 73 voix et Mme Rasoazanamanga Raheltine , candidate du TIM à 71 voix . Le premier est Enseignant-Chercheur à la Faculté de Droit et la seconde est Conseiller Technique non permanent auprès du ministère de la Justice tout en étant Conseillère Technique à la Chambre Administrative de la Cour Suprême . 
3. Premiers procès des inculpés de sévices durant la crise . 
Les premiers verdicts sont tombés entre 18 mois avec sursis et 3 ans de prison ferme . Ils étaient 17 dont les 2 étrangers (français) arrêtés à un barrage à Antanimena en ayant conduit un camion militaire maquillé porteur de vivres et de divers équipements au mois de Juin . Les chefs d'inculpation sont divers, allant de l' association de malfaiteurs à l' atteinte à la sureté de l'Etat . Les inculpés font partie d'une première vague dont les peines sont dites légères , au regard des 250 inculpés qui sont encore en attente de leurs procès . 
4. Nomination du nouveau PDS de la Ville d'Antananarivo 
M. Patrick Ramiaramanana assurera jusuq'aux prochaines élections municipales la gestion de la capitale . Il est connu pour avoir dirigé des travaux pour la Mairie . IL sera ppuyé par M. Adrien Razafindrazaka , INspecteur du Trésor et M. Justin Randriamampionona , Administrateur Civil . 
5. Carburant : stop des longues files de voitures à Tana 
Depuis vendredi , l'essence ordianire est revenue totalement à Tana , sachant que le gas-oil était déjà disponible . 
6. AIR MADAGASCAR : l'Administrateur Délégué- Fondé de pouvoir démissionne
M. Roland Ranjatoelina dépose sa démission le 08 / 08/02 de manière précipitée . Nommé Fondé de pouvoir après la constitution du nouveau Conseil d'Administration , la question naturelle que le public s'est posé est la raison de sa non-nomination comme directeur général de la Compagnie . Sa succesion n'est pas encore connue 
7. Onzième anniversaire du massacre du 11 Août 1991 
Un culte oecuménique a été prévu par le Mouvement des Jeunes pour l'Avenir , pour commémorer la Marche de la LIberté vers le Palis d'Iavoloha , marche qui s'est soldée par une répression sangalante dont on ne sait pas le nombre exact de morts . Après 11 ans , ce massacre demeure une interrogation . 
8. Prévision d'un taux de croissance négatif pour 2002 
Selon les estimations , en 2002 , l'économie affichera un taux de croissance de - (moins) 10,7% . . Ce taux négatif se répartit comme suit : - 1, 2% pour le secteur primaire (agriculture , pêche et élevage ) , -19,7% pour le secteur secondaire (industrie) , -14,6% pour le secteur tertiaire ( service ) . La crise touchera surtout le tourisme , la construction , les transports de marchandises et des voyageurs , les entreprises franches . 
Le taux de croissance négatif sera illustré par les impacts négatifs au niveau des conditions de vie de la population : les ménages urbains sont les plus vulnérables pour cause d'emplois perdus ou suspendus sine die .
Je vous souhaite une bonne semaine à venir , mandrapihaona indray , 

Faraniaina PIERRE BERNARD

 

 

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